Top14 : autres matchs

le radis a écrit:Nous allons gagner au ST et cela n'aura rien à voir avec un exploit, encore moins retentissant.

romojito33 a écrit:17ème JOURNÉE
Grenoble 4-1 Clermont
Brive 4-1 Toulouse
Pau 4-1 Paris
Racing 5-0 Agen
Bordeaux 5-0 Oyonnax
Montpellier 4-0 Castres
La Rochelle 1-4 Toulon

le radis a écrit:Je mets ça là parce que je ne sais pas trop où ailleurs (dans quelle boite ?   )

Dans l'équipe du jour par JEAN-LUCGATELLIER


Start-up cherche développeurs


CLINQUANT DANS LE JEU MAIS BUTANT SYSTÉMATIQUEMENT SUR L'ÉCUEIL DES PHASES FINALES, GRENOBLE, 9E DU TOP 14, MANQUE ENCORE D'ATTRACTIVITÉ POUR ATTIRER DES JOUEURS DE RENOM.

GRENOBLE -­ Paul O'Connell, Charlie Faumuina, Conrad Smith, George Smith, David Smith, Mamuka Gordodze, Thierry Dusautoir, Yannick Nyanga, Adam Ashley-Cooper, Henry Chavancy, Scott Spedding, Julien Malzieu, Luke Charteris, Jamie Roberts, Marvin O'Connor, Joe Rokocoko, Maxime Mermoz... Quel est le point commun entre tous ces joueurs ? Ils ont été approchés ces deux dernières années par le FC Grenoble. Autre similitude : aucun d'entre eux n'est venu renforcer l'effectif du club isérois.
Parfois, il n'y a pas eu de tractations. « Dusautoir et Nyanga ont décliné de suite. Chavancy, c'était juste une approche», précise Fabrice Landreau. Parfois, c'est allé loin. « L'an dernier, George Smith (ex-Lyon) était sur le point de signer, ajoute le manager. Il nous a même dit : "C'est génial comment vous jouez. Est-ce que je pourrais m'occuper de vos jeunes ?" On lui a dit oui, bien sûr. » Mais les arguments financiers supérieurs des Wasps ont attiré le troisième-ligne australien aux 111 sélections.
« Ma grande déception, avoue Landreau, c'est de ne pas avoir fait revenir Marvin O'Connor (l'ancien Grenoblois a signé à Montpellier) pour reconstituer notre paire d'ailiers avec Lucas Dupont.» L'argent n'est pas toujours la raison pour laquelle Grenoble rentre régulièrement bredouille de la pêche à ces «X Factor capables individuellem e n t d e fa i re l a d i f fé rence.» L'ancien talonneur évoque l'exemple de Rokocoko, qui a préféré le Racing 92.« Il voulait retrouver ses copains all blacks Laulala, Carter, Masoe.»
Le jeu du FCG est spectaculaire et son staff possède des spécialistes reconnus. Cependant, le club isérois ­ que Landreau compare à « une start-up sur une terre de rugby, universitaire et de technologie » ­ n'a pas encore réuni toutes les pièces du puzzle de l'attractivité. « L'aspect financier, bien sûr, peut être un frein, mais nous sommes capables de trouver une solution, assure le manager. Il nous manque surtout des résultats supérieurs. »

"Tu peux être international en jouant à Grenoble" FABRICE LANDREAU

Au coup d'envoi du match contre Clermont, ce soir, l'équipe est neuvième, à huit points de la sixième place qualificative occupée par Montpellier. Depuis son accession en Top 14, en 2012, elle a terminé onzième à trois reprises. « Un joueur ayant le potentiel de l'équipe de France cherche la sécurité, fait observer le président Marc Chérèque.
Il y a une forte probabilité qu'il signe dans un gros club qui joue régulièrement le top 6, là où sont déjà concentrés les internationaux. Dans un passé récent, nous avons fait une offre à un joueur qui a signé ailleurs, pas pour plus d'argent mais pour avoir cette sécurité sportive. Aujourd'hui, c'est impossible pour nous d'accéder à ce marché. »
Avec 21,5 millions d'euros, son club se situe au milieu du classement financier du Top 14. La masse salariale du « sportif » (charges sociales comprises) représente 57 % du budget total. « Dans un Top 14 globalement déficitaire, nous ­ mais pas seulement nous ­ avons l'obligation de maintenir un résultat d'exploitation relativement à l'équilibre, rappelle Chérèque. Il existe des clubs dont le budget est inférieur au nôtre mais avec une masse salariale supérieure, grâce à des fonds propres. » C'est le cas de Bordeaux-Bègles, dont le président Laurent Marti a pu investir sur AshleyCooper, jugé « trop cher » par Grenoble. À l'inverse, avec moins d'argent que le FCG, Pau s'est offert deux champions du monde all blacks, Conrad Smith et Colin Slade. Landreau y voit clairement « la relation avec la Nouvelle-Zélande » du manager de la Section, Simon Mannix. « La notoriété internationale, ça compte beaucoup, et moi, je n'en ai pas », estime-t-il.
Face à ces murs, Chérèque se félicite d'avoir « recruté malin » ces deux dernières années. « Excepté Aplon (17 sélections avec l'Afrique du Sud), nous n'avons pas pris de joueurs de renom international, mais des McLeod et Grice sont devenus des noms du Top 14. » Landreau dit que l'arrivée de Wisniewski en 2014 était « une première victoire » et celle de Barcella (20 sél.) « un signe important ». « Puisqu'on n'est pas en mesure de recruter Ashley-Cooper, on espère qu'un Xavier Mignot (22 ans, centre) sera international dans deux, trois ans, avancet-il. On est représentés dans toutes les équipes de France de jeunes. On veut dire aux joueurs : "Tu peux être international en jouant à Grenoble".»

20 Cela fait vingt ans, depuis la sélection du deuxième-ligne Olivier Brouzet (72 sél.), que Grenoble n'a pas eu un joueur en équipe de France.

patrick a écrit:

le radis a écrit:Je mets ça là parce que je ne sais pas trop où ailleurs (dans quelle boite ?   )

Dans l'équipe du jour par JEAN-LUCGATELLIER


Start-up cherche développeurs


CLINQUANT DANS LE JEU MAIS BUTANT SYSTÉMATIQUEMENT SUR L'ÉCUEIL DES PHASES FINALES, GRENOBLE, 9E DU TOP 14, MANQUE ENCORE D'ATTRACTIVITÉ POUR ATTIRER DES JOUEURS DE RENOM.

GRENOBLE -­ Paul O'Connell, Charlie Faumuina, Conrad Smith, George Smith, David Smith, Mamuka Gordodze, Thierry Dusautoir, Yannick Nyanga, Adam Ashley-Cooper, Henry Chavancy, Scott Spedding, Julien Malzieu, Luke Charteris, Jamie Roberts, Marvin O'Connor, Joe Rokocoko, Maxime Mermoz... Quel est le point commun entre tous ces joueurs ? Ils ont été approchés ces deux dernières années par le FC Grenoble. Autre similitude : aucun d'entre eux n'est venu renforcer l'effectif du club isérois.
Parfois, il n'y a pas eu de tractations. « Dusautoir et Nyanga ont décliné de suite. Chavancy, c'était juste une approche», précise Fabrice Landreau. Parfois, c'est allé loin. « L'an dernier, George Smith (ex-Lyon) était sur le point de signer, ajoute le manager. Il nous a même dit : "C'est génial comment vous jouez. Est-ce que je pourrais m'occuper de vos jeunes ?" On lui a dit oui, bien sûr. » Mais les arguments financiers supérieurs des Wasps ont attiré le troisième-ligne australien aux 111 sélections.
« Ma grande déception, avoue Landreau, c'est de ne pas avoir fait revenir Marvin O'Connor (l'ancien Grenoblois a signé à Montpellier) pour reconstituer notre paire d'ailiers avec Lucas Dupont.» L'argent n'est pas toujours la raison pour laquelle Grenoble rentre régulièrement bredouille de la pêche à ces «X Factor capables individuellem e n t d e fa i re l a d i f fé rence.» L'ancien talonneur évoque l'exemple de Rokocoko, qui a préféré le Racing 92.« Il voulait retrouver ses copains all blacks Laulala, Carter, Masoe.»
Le jeu du FCG est spectaculaire et son staff possède des spécialistes reconnus. Cependant, le club isérois ­ que Landreau compare à « une start-up sur une terre de rugby, universitaire et de technologie » ­ n'a pas encore réuni toutes les pièces du puzzle de l'attractivité. « L'aspect financier, bien sûr, peut être un frein, mais nous sommes capables de trouver une solution, assure le manager. Il nous manque surtout des résultats supérieurs. »

"Tu peux être international en jouant à Grenoble" FABRICE LANDREAU

Au coup d'envoi du match contre Clermont, ce soir, l'équipe est neuvième, à huit points de la sixième place qualificative occupée par Montpellier. Depuis son accession en Top 14, en 2012, elle a terminé onzième à trois reprises. « Un joueur ayant le potentiel de l'équipe de France cherche la sécurité, fait observer le président Marc Chérèque.
Il y a une forte probabilité qu'il signe dans un gros club qui joue régulièrement le top 6, là où sont déjà concentrés les internationaux. Dans un passé récent, nous avons fait une offre à un joueur qui a signé ailleurs, pas pour plus d'argent mais pour avoir cette sécurité sportive. Aujourd'hui, c'est impossible pour nous d'accéder à ce marché. »
Avec 21,5 millions d'euros, son club se situe au milieu du classement financier du Top 14. La masse salariale du « sportif » (charges sociales comprises) représente 57 % du budget total. « Dans un Top 14 globalement déficitaire, nous ­ mais pas seulement nous ­ avons l'obligation de maintenir un résultat d'exploitation relativement à l'équilibre, rappelle Chérèque. Il existe des clubs dont le budget est inférieur au nôtre mais avec une masse salariale supérieure, grâce à des fonds propres. » C'est le cas de Bordeaux-Bègles, dont le président Laurent Marti a pu investir sur AshleyCooper, jugé « trop cher » par Grenoble. À l'inverse, avec moins d'argent que le FCG, Pau s'est offert deux champions du monde all blacks, Conrad Smith et Colin Slade. Landreau y voit clairement « la relation avec la Nouvelle-Zélande » du manager de la Section, Simon Mannix. « La notoriété internationale, ça compte beaucoup, et moi, je n'en ai pas », estime-t-il.
Face à ces murs, Chérèque se félicite d'avoir « recruté malin » ces deux dernières années. « Excepté Aplon (17 sélections avec l'Afrique du Sud), nous n'avons pas pris de joueurs de renom international, mais des McLeod et Grice sont devenus des noms du Top 14. » Landreau dit que l'arrivée de Wisniewski en 2014 était « une première victoire » et celle de Barcella (20 sél.) « un signe important ». « Puisqu'on n'est pas en mesure de recruter Ashley-Cooper, on espère qu'un Xavier Mignot (22 ans, centre) sera international dans deux, trois ans, avancet-il. On est représentés dans toutes les équipes de France de jeunes. On veut dire aux joueurs : "Tu peux être international en jouant à Grenoble".»

20 Cela fait vingt ans, depuis la sélection du deuxième-ligne Olivier Brouzet (72 sél.), que Grenoble n'a pas eu un joueur en équipe de France.

Qu'est que les "fonds propres" ? Tout l'argent amené par le président (qui, je crois, pour nous n'amène plus grand chose après l'avoir beaucoup fait) et les partenaires ? Cela voudrait il dire que les fonds "pas propres" (financements publics, abonnements, marchandising, etc ???) contribueraient moins à la masse salariale ? Merci aux économistes d'amener leurs lumières

Gahet a écrit:
J'ai été assès Flou ?

Force483 a écrit:Pour en revenir aux pronos pour la prochaine journée, je crois qu'on est trop optimistes en prévoyant un 5 - 0 face à Oyonnax. Je serai plus prudent en remenant une victoire à 4 - 1... Faut se méfier des équipes qui jouent leur maintien en Top 14.
Pour La Rochelle - Toulon, je vois, moi, une victoire de La Rochelle. Courte, mais victoire quand même et là je mets un 4 - 1 pour les Rochellais...
Sinon pour les autres matchs, je suis d'accord avec la majorité.

PS.- Goujon serait dans le 15 de départ ? Ibanez ne devait pas le ménager ?

zizou46 a écrit:Hallucinant la fin de match entre Brive et Toulouse  Du jamais vu pour moi