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Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
Je ne pense pas que Blair fasse partie d'une époque révolue. Je suis même sure que non. Je pense que, comme Marais l'an dernier qui a eu du mal à revenir après 3 mois d'arrêt, la reprise n'est pas facile. Au delà du physique, le manque de rythme, de repères et de réflexes avec les autres se paye. Il va revenir. Met lui se laisse aller (il a bien une dizaine de kilo de trop), ça ne me semble pas être le cas de Blair.
latine- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 2897
Date d'inscription : 24/03/2014
Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
D'accord avec kaze33 et sudiste, ci-dessus, Pascal Gauzere l'arbitre commet un péché contre l'esprit du jeu de rugby en annulant l'essai !
Tout amoureux du rugby est affligé de ce dénouement (même un toulousain !). C'est à pleurer !
Tout amoureux du rugby est affligé de ce dénouement (même un toulousain !). C'est à pleurer !
LIONS'XV- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 450
Localisation : BORDEAUX
Date d'inscription : 03/11/2008
Humeur : Allez l'Union, quoi qu'il en soit !
Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
Finalement je suis en train de disséquer le match et là y'a un truc que je pige pas ...
Sur cette dernier action avec avantage sur en avant tout d'abord puis sur pénalité alors que le ballon n'est pas enterré donc jouable Marais fait signe qu'ils arrêtent de jouer avec l'idée, j'imagine de tenter, la pénalité de la gagne. Et puis quand l'arbitre (sous la sollicitation de Madaule) se ravise et ordonne mêlée plus personne de dit rien
On aurait dit du Maynadier
Non sans déconner, va falloir apprendre à un peu ouvrir sa gueule je ne demande pas du Parisse mais quand même
Sur cette dernier action avec avantage sur en avant tout d'abord puis sur pénalité alors que le ballon n'est pas enterré donc jouable Marais fait signe qu'ils arrêtent de jouer avec l'idée, j'imagine de tenter, la pénalité de la gagne. Et puis quand l'arbitre (sous la sollicitation de Madaule) se ravise et ordonne mêlée plus personne de dit rien
On aurait dit du Maynadier
Non sans déconner, va falloir apprendre à un peu ouvrir sa gueule je ne demande pas du Parisse mais quand même
sudiste- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 15929
Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
Lisant les différentes déclarations, je constate qu'on est encore beaucoup trop gentil dans le point presse envers cette injustice totale. Tant qu'on restera des bisounours à ce point, on passera pour la gentille petite équipe qui ne se plaint jamais et qu'on peut entuber tranquillement car au final on s'en fout Dans le sud ouest du jour, Mola ( lui je peux plus le supporter ) dit qu'il n'aurait parlé que de l'action de l'essai refusé si c'était Toulouse à notre place mais que Brunel a tellement la "classe" que lui n'en parle pas... Je veux bien que Brunel est la "classe" mais dès que il y a une décision complètement scandaleuse il faut le dire haut et fort et arrêter de nous prendre pour des jambons. Encore la faute était réelle je veux bien mais là ça ne gêne en rien Fickou de choper Dubié
FrenchKick- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 2834
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 07/07/2015
Humeur : Tant que l'ubb gagne tout va bien :)
Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
Allez, faites vous mal :
L'Equipe :
FOU, DE BOUT EN BOUT
Toulouse a gagné sur le fil un match intense et aux multiples rebondissements, que Bordeaux-Bègles a longtemps maîtrisé et failli gagner à la sirène.
Hamid Imakhoukhene
TOULOUSE - « Tout était contraire pour nous, hormis les vingt premières minutes et la quatre-vingt-deuxième minute. Aujourd'hui, il y a surtout eu beaucoup de cul... » En une phrase, Ugo Mola, le manager de Toulouse, a exprimé son soulagement mais aussi l'impression que son équipe n'avait pas maîtrisé grand-chose hier. À deux pas de lui, Jacques Brunel, son homologue bordelais, ne cachait pas sa déception après un match haletant qui a vu l'UBB tout près d'infliger sa première défaite à domicile de la saison au Stade. Retour sur cette pièce en trois actes.
acte I
Toulouse À ses plus belles heures
Qu'une formation mène 24 à 3 dans ce Top 14 où des équipes tirent déjà la langue, le tiers du Championnat à peine passé, rien de bien neuf. Mais qu'elle le fasse au bout d'un quart d'heure, cela ne pouvait qu'attirer l'oeil. Ernest-Wallon avait retrouvé du coffre et les envolées d'antan : trois essais inscrits en sept minutes, bonus offensif virtuel pour le Stade, dans le sillage d'un envoûtant Cheslin Kolbe, ailier aux appuis de feu et d'un Gaël Fickou auteur de deux passes de grande classe ... Après coup, le manager de Toulouse a apprécié : « On va essayer de construire sur ces premières minutes qui étaient plutôt abouties. » Lors de ce funeste quart d'heure, l'Union Bordeaux-Bègles, il est vrai privé de sept cadres « enfermés » à Marcoussis (Poirot, Maynadier, Tauleigne, Serin, Ducuing, Diaby, Hickey), s'est accrochée à ce qu'elle pouvait, c'est-à-dire pas grand-chose. « On fait une entame catastrophique, on ne peut pas faire pire » , soupirait Matthieu Jalibert, ouvreur de dix-huit ans très en vue. « C'est assez incroyable, s'exclamait Jacques Brunel. D'entrée, on manque un plaquage (sur Kolbe) et on prend un contre de quatre-vingts mètres qui conduit à un essai. On connaissait les qualités individuelles de leurs joueurs, on avait dit, surtout en défense, de ne pas rester en un contre un. Or, on s'est retrouvés plusieurs fois en un contre un... On n'était pas dans le tempo. » Et à 24-3, les Girondins s'interrogent, se réunissent sous les poteaux. « On s'est dit que la suite allait être très difficile » , soupirait le talonneur, Adrien Pélissié.
Acte II
La rébellion girondine
Il faut un peu de tout pour les remontées inespérées. La sainte peur de prendre une dérouillée et d'être ridicules en retour, conjuguée aux effets du relâchement de celui qui a assuré la cavalcade en premier « À 24-3 pour eux, on s'est resserrés, on est revenus sur des choses simples , dit Jalibert. En premier une très bonne conquête » Là où tout joueur de rugby en panique cherche un peu de réconfort. A drien Pélissié abonde : « On a dit : "C'est fini, on va garder le ballon devant, faire des mauls." » Le premier s'en va à dame, le talonneur avec le ballon sous le bras. « On s'est remobilisés, on a montré du caractère. »
La suite appartient à l'improbable qui se dessine. En vingt minutes (22e-40e + 2), les Bordelais claquent quatre essais. Celui de la révolte de Pélissié, donc. les trois autres, ceux de l'espoir renaissant proviennent d'arrières de goût. Lesgourgues, Talebula puis Barraque finissent derrière la ligne dans des mouvements d'envergure faits de charges à propos et de passes après contact. Jalibert ajoute un but pour un cinglant 31-0 dans la musette toulousaine ! Et l'Union vire invraisemblablement en tête au repos (24-34). « Ils nous ont pris, approuvait Gillian Galan, le numéro 8 de Toulouse. On a eu un coup de moins bien et on n'a pas su gérer. Du coup, on a vécu une deuxième mi-temps très compliquée où on défend énormément et où on va très peu chez eux. »
La mainmise des Girondins sur le ballon allait se poursuivre durant l'essentiel de la seconde période, autour notamment de l'impétueux ouvreur Matthieu Jalibert qui prenait beaucoup d'initiatives dans le jeu offensif : « Ça fait partie de mon jeu d'attaquer la ligne et de faire jouer derrière moi. »
« À la mi-temps, on sentait qu'on avait fait douter les Toulousains . Et on a changé quelques petites choses, notamment dans le système offensif en essayant de faire plus de passage par les pivots , expliquait Jacques Brunel. Malheureusement, il y en a un qui était très favorable au départ, mais une faute de main a fait qu'on a pris un contre et un essai. » Un essai de... Kolbe, qui permet au Stade de revenir à 31-34 (44e). Mais Jalibert par un but opportun garde tout de même Toulouse à distance (31-37, 64e).
Acte III
UN STADE BIENHEUREUX
L'UBB n'entend pourtant pas amoindrir ses ambitions. Et il fallait un esprit de juniors pour préserver cette fièvre du jeu. Sur une action à plusieurs phases, Jalibert prend le trou, perce et sert un autre gamin, Geoffrey Cros, vingt ans et pas une seconde de Top 14 dans les jambes cette saison, pour inscrire un cinquième essai portant potentiellement le score à 31-44 (73e). Mais M. Gaüzere a recours à l'arbitrage vidéo pour revenir à un passage à vide de Blair Connor devant Florian Fritz, deux temps de jeu et soixante mètres plus tôt. Il refuse l'essai. « Pour moi, il n'y a rien, rien du tout, regrettait Brunel. Il (Connor) passe à vide, on ne lui donne pas le ballon, mais il ne percute personne, il ne gêne personne. » Mola, lui, se montrait très fair-play. « Sur cette action, je préfère être l'entraîneur de Toulouse que de Bordeaux. Gaël Fickou et Florian Fritz sont obligés de se resserrer par la course de Connor, mais après, honnêtement, si l'essai est accordé à Cros, il n'y a pas scandale... »
Mais c'est surtout la double peine pour l'Union puisque l'arbitre revient à la faute initiale de Connor et accorde une pénalité aux Toulousains. « Pénaltouche » , ballon porté et essai de Tekori ! Toulouse repasse en tête (38-37) à cinq minutes de la fin !
Bordeaux retourne à l'abordage, retrouve des forces pour batailler en conquête. Dans le temps additionnel, M. Gaüzere pénalise Toulouse sur une mêlée enfoncée. À quarante mètres, presque en face des perches, Matthieu Jalibert, jusqu'alors presque parfait (7 sur 8 à ce moment), prend ses responsabilités sous la bronca d'Ernest-Wallon. « Franchement, je trouve ça complètement ridicule de siffler un jeune de dix-huit ans sur la pénalité de la gagne, mais c'est comme ça , regrettait le prometteur ouvreur retenu avec les Barbarians pour affronter les Maoris All Blacks vendredi prochain. Sur le moment, j'essaie de faire le vide, de ne penser à rien, si ce n'est la façon dont je vais taper mon ballon. Mais j'ai voulu l'assurer plutôt que de la frapper comme à l'entraînement. Je passe à côté, elle fuit le cadre. » Le match est fini. Ses partenaires - et même quelques adversaires (Holmes, Fickou...) - le réconfortent. « Quand on est jeune, comme moi, on a forcément l'impression de faire perdre l'équipe. »
« Matthieu a fait un match remarquable et on ne va surtout pas lui reprocher une pénalité ratée, concluait Brunel. Ce qui me gêne, ce n'est pas ce dernier but raté, c'est l'essai refusé, le drop manqué (par Dubié, sur le poteau, à la 71e) et les occasions près de la ligne qu'on ne met pas. » L'amateur de rugby, lui, ne regrettait pas grand-chose de ce match enlevé au scénario complètement givré.
Génération Jalibert Bordeaux s'est appuyé sur plusieurs Espoirs prometteurs, comme l'ouvreur Matthieu Jalibert, pour donner une superbe réplique à Toulouse.
HIM
TOULOUSE - « Je suis fier de l'équipe, soulignait à juste titre le manager de l'UBB Jacques Brunel. Elle a lutté à armes égales avec le Stade Toulousain malgré le contexte, le scénario, avec quatre ou cinq jeunes notamment qui ont montré de belles qualités. »
Parmi ces motifs de satisfaction, il y a bien sûr le comportement des éléments au temps de jeu limité jusque-là, comme le pilier international fidjien Peni Ravai (27 ans), énorme de puissance, de déplacement et de dextérité, pour sa première titularisation en Top 14, et le talonneur Adrien Pélissié (27 ans). Mais la principale source de satisfaction vient des sept joueurs sous contrat Espoirs présents hier à Ernest-Wallon.
Parmi eux, l'ouvreur Matthieu Jalibert, bien sûr (18 ans), qui a débuté au CA Bègles en poussins. Ou le rapide et aérien Cameron Woki (18 ans), troisième-ligne international U 18 et U 19, formé à Bobigny et passé par Massy. Et Cyril Cazeaux (22ans), un habitué, lui. Et Alexandre Roumat (20 ans), Thierry Paiva (21 ans), et Geoffrey Cros (20 ans), tous entrés en jeu, tous très actifs. De ce groupe, seul le demi de mêlée Jules Gimbert (19 ans), fils de Philippe, l'ancien pilier « Rapetou » de Bègles, champion en 1991, resta sur le banc. « Il y avait des jeunes dans l'équipe, oui, mais des jeunes qui s'entraînent depuis cinq mois avec le groupe pro, avec un même projet de jeu , insistait Jalibert. Je ne veux pas parler de jeunes, on fait partie du groupe et il faut savoir saisir la chance quand on nous la donne. »
Matures sur le terrain et dans le discours. Carrément « éblouissants » même, aux yeux d'Ugo Mola, le manager de Toulouse évoquant des « talents, des vrais talents français qui ont été éblouissants aujourd'hui » . L'ancien ouvreur et centre international faisait particulièrement allusion à la performance majeure de Jalibert, l'un des grands artisans de la performance girondine. Déjà deux fois titulaire (à Oyonnax et au Racing 92), l'international U 20 a régalé à l'ouverture, son poste de prédilection.
« Il va beaucoup grandir, insistait Mola. C'est un gamin talentueux, qui, par son jeu au pied, a permis notamment à Bordeaux de trouver des pénaltouches dignes de ce nom, à la Brock James. Aujourd'hui, ce gamin, avec ce qu'il a montré, pourvu que ça dure pour Bordeaux ! Je leur souhaite de le garder longtemps... » H. I.
SO :
TOULOUSE - BORDEAUX-BÈGLES Comme il y a deux ans, l'UBB échoue d'un point, sur une pénalité manquée par Jalibert après la sirène
Une vraie malédiction
Cruel pour la jeune garde girondine qui a rivalisé hier
YOAN LESHAURIÈS ENVOYÉ SPÉCIAL
Alors que l'Union Bordeaux-Bègles est menée 38-37, trois minutes après la sirène, Matthieu Jalibert pose son ballon sous les sifflets du stade Ernest-Wallon pour la pénalité de la gagne, aux 40 mètres. Mais le jeune demi d'ouverture girondin, seulement âgé de 18 ans, voit le ballon passer à côté des perches. Une image qui rappelle forcément la tentative manquée de Lionel Beauxis, dans ce même stade en mai 2015, qui avait privé l'UBB de phases finales (23-22). Le club de Laurent Marti serait-il maudit sur le terrain du Stade Toulousain ? " On peut dire ça, peste le président bordelais. Il devait être écrit qu'on devait perdre ce match. "
Les coups du sort n'ont pas manqué en effet, comme ce drop de Dubié qui a heurté le poteau (31-37, 65e) mais aussi ce raté de Jalibert sur une passe au contact en début de seconde période. S'en est suivi l'essai de Kolbe qui a relancé les Toulousains (31-34, 44e). Erreur de jeunesse. Mais qu'on ne s'y méprenne pas, si ces échecs ont coûté cher à l'UBB au final, Jalibert, qui honorait sa toute première titularisation à l'ouverture en Top 14, a répondu présent tout au long de la partie, a animé et alterné le jeu girondin, et a réalisé un 7/9 au pied. En raison des nombreuses absences (internationaux français et blessés), cette équipe de Bordeaux-Bègles remaniée, avec les jeunes Woki (première titularisation), Roumat, Cros et Paiva (entrés en jeu), a su rivaliser chez un gros calibre du championnat.
" Malgré le bonus défensif, on est très déçus car on était venus ici pour gagner, regrette le troisième ligne Cameron Woki (18 ans). On a su faire de bonnes choses mais je me dis que ce n'est pas possible de commencer un match comme ça. " En effet, le début de partie a ressemblé à un bizutage en règle, avec trois essais encaissés en l'espace de 7 minutes (Kolbe, 9e ; Guitoune, 12e ; Marchand, 16e) et 21 points de retard (24-3).
Mais l'Union s'est réveillée à coups de ballons portés. Avec sa jeune garde et sous l'impulsion d'une première ligne efficace dans le jeu, à l'image de Pélissié et Ravai, les Girondins ont infligé un terrible retour de flammes aux Toulousains, avec un cinglant 31-0.
Brunel " fier de l'équipe "
Ils sont revenus au score grâce à des essais de Pélissié (22e), Lesgourgues (30e) et Talebula (24-24, 33e), avant de prendre le score sur un essai de Barraque (36e), pour compter jusqu'à 10 points d'avance à la pause suite à une pénalité de Jalibert (24-34). Si l'essai de Kolbe (44e) relançait les Toulousains, l'UBB continuait tout de même à faire front et croyait tenir la victoire sur cet essai de Cros à la 73e minute, avant que l'arbitre ne le refuse après vidéo (lire par ailleurs). Le cinquième essai des Rouge et noir, signé Tekori, venait donner le coup de poignard aux Girondins (38-37, 75e), avant que Jalibert ne manque la balle de match.
" On ne va surtout pas lui reprocher une pénalité à 40 mètres, déclarait Jacques Brunel. Je suis fier de l'équipe parce que de par les conditions, le contexte, le scénario, avec quatre ou cinq jeunes qui ont montré de belles qualités, malgré cette part d'inexpérience, l'équipe a lutté à armes égales avec le Stade Toulousain. " Et a su ramener un point, encourageant pour la suite.
Matthieu Jalibert : " C'est rageant "
" Sud Ouest Dimanche " Vous manquez la pénalité de la gagne. Cette image est-elle la seule qui reste dans votre esprit après ce match ?
Matthieu Jalibert Quand on est jeune comme moi, on a forcément l'impression de faire perdre l'équipe. Mais on peut retenir la force de caractère dont on a su faire preuve. On fait une entame catastrophique, on ne peut pas faire pire. Mais derrière, on se resserre, on revient sur des choses simples, sur une très bonne conquête. Ensuite, il y a ce fait de jeu qui est terrible car les gros se sont arrachés pour obtenir cette pénalité à la fin.
Que se passe-t-il dans votre tête au moment où vous posez le ballon sous les sifflets du stade Ernest-Wallon ?
Franchement, je trouve ça complètement ridicule de siffler un jeune de 18 ans sur la pénalité de la gagne, mais c'est comme ça. Sur le moment, j'essaie de faire le vide, de ne penser à rien, si ce n'est la façon dont je vais taper mon ballon. Après, j'ai voulu l'assurer plutôt que de la frapper comme je la frappe à l'entraînement. Je passe à côté, elle fuit le cadre. C'est rageant mais c'est comme ça, c'est une expérience de plus pour progresser et réussir à gérer ce genre de situation la prochaine fois. Mais ce ne sont pas les sifflets qui me font manquer la pénalité. C'est la façon dont je rentre dans le ballon. Je vais analyser ça à la vidéo et travailler encore plus fort pour ne pas que ça se reproduise.
Avec le recul, ne retiendrez-vous pas les choses positives de ce match, avec une équipe de l'UBB remaniée ?
On nous voyait perdants bien avant le match. On s'était très bien préparés. Il y avait des jeunes dans l'équipe mais des jeunes qui s'entraînent depuis cinq mois avec le groupe pro, qui suit le même projet de jeu. Je ne veux pas parler de jeunes, on fait partie du groupe et il faut savoir saisir la chance quand on nous la donne. Aujourd'hui, hormis les vingt premières minutes, on a su la saisir et montrer de belles choses. Il n'y en a pas beaucoup qui auraient su relever la tête.
Propos recueillis par Y. L.
" S'il y a essai, il n'y a pas scandale "
On joue la 73e minute, Matthieu Jalibert, le jeune demi d'ouverture de l'UBB, transperce la défense toulousaine et sert Dubié. Le trois-quart centre est pris par Fickou mais parvient à passer le ballon à Cros qui file inscrire ce qui aurait pu être le cinquième essai girondin, synonyme de victoire. Mais après le visionnage de la vidéo, M. Gaüzère refuse l'essai pour un passage à vide de Connor sur Fritz. " C'est un peu sévère ", juge Laurent Marti, le président girondin, après le match. Pour le manager Jacques Brunel, " il n'y a rien, il ne percute personne et Dubié est bloqué par Fickou, ça n'entraîne pas de conséquences ".
" S'il y a essai, il n'y a pas scandale, reconnaît même Ugo Mola, le manager du Stade Toulousain. Si je suis coach de Bordeaux, je ne parle que de ça à la fin du match. Mais Jacques Brunel a tout simplement la classe. " Le genre de fait de jeu qu'il est toujours plus facile à relever après coup, quand la victoire est de son côté. Il a en tout cas coûté cher à l'UBB.
L'Equipe :
FOU, DE BOUT EN BOUT
Toulouse a gagné sur le fil un match intense et aux multiples rebondissements, que Bordeaux-Bègles a longtemps maîtrisé et failli gagner à la sirène.
Hamid Imakhoukhene
TOULOUSE - « Tout était contraire pour nous, hormis les vingt premières minutes et la quatre-vingt-deuxième minute. Aujourd'hui, il y a surtout eu beaucoup de cul... » En une phrase, Ugo Mola, le manager de Toulouse, a exprimé son soulagement mais aussi l'impression que son équipe n'avait pas maîtrisé grand-chose hier. À deux pas de lui, Jacques Brunel, son homologue bordelais, ne cachait pas sa déception après un match haletant qui a vu l'UBB tout près d'infliger sa première défaite à domicile de la saison au Stade. Retour sur cette pièce en trois actes.
acte I
Toulouse À ses plus belles heures
Qu'une formation mène 24 à 3 dans ce Top 14 où des équipes tirent déjà la langue, le tiers du Championnat à peine passé, rien de bien neuf. Mais qu'elle le fasse au bout d'un quart d'heure, cela ne pouvait qu'attirer l'oeil. Ernest-Wallon avait retrouvé du coffre et les envolées d'antan : trois essais inscrits en sept minutes, bonus offensif virtuel pour le Stade, dans le sillage d'un envoûtant Cheslin Kolbe, ailier aux appuis de feu et d'un Gaël Fickou auteur de deux passes de grande classe ... Après coup, le manager de Toulouse a apprécié : « On va essayer de construire sur ces premières minutes qui étaient plutôt abouties. » Lors de ce funeste quart d'heure, l'Union Bordeaux-Bègles, il est vrai privé de sept cadres « enfermés » à Marcoussis (Poirot, Maynadier, Tauleigne, Serin, Ducuing, Diaby, Hickey), s'est accrochée à ce qu'elle pouvait, c'est-à-dire pas grand-chose. « On fait une entame catastrophique, on ne peut pas faire pire » , soupirait Matthieu Jalibert, ouvreur de dix-huit ans très en vue. « C'est assez incroyable, s'exclamait Jacques Brunel. D'entrée, on manque un plaquage (sur Kolbe) et on prend un contre de quatre-vingts mètres qui conduit à un essai. On connaissait les qualités individuelles de leurs joueurs, on avait dit, surtout en défense, de ne pas rester en un contre un. Or, on s'est retrouvés plusieurs fois en un contre un... On n'était pas dans le tempo. » Et à 24-3, les Girondins s'interrogent, se réunissent sous les poteaux. « On s'est dit que la suite allait être très difficile » , soupirait le talonneur, Adrien Pélissié.
Acte II
La rébellion girondine
Il faut un peu de tout pour les remontées inespérées. La sainte peur de prendre une dérouillée et d'être ridicules en retour, conjuguée aux effets du relâchement de celui qui a assuré la cavalcade en premier « À 24-3 pour eux, on s'est resserrés, on est revenus sur des choses simples , dit Jalibert. En premier une très bonne conquête » Là où tout joueur de rugby en panique cherche un peu de réconfort. A drien Pélissié abonde : « On a dit : "C'est fini, on va garder le ballon devant, faire des mauls." » Le premier s'en va à dame, le talonneur avec le ballon sous le bras. « On s'est remobilisés, on a montré du caractère. »
La suite appartient à l'improbable qui se dessine. En vingt minutes (22e-40e + 2), les Bordelais claquent quatre essais. Celui de la révolte de Pélissié, donc. les trois autres, ceux de l'espoir renaissant proviennent d'arrières de goût. Lesgourgues, Talebula puis Barraque finissent derrière la ligne dans des mouvements d'envergure faits de charges à propos et de passes après contact. Jalibert ajoute un but pour un cinglant 31-0 dans la musette toulousaine ! Et l'Union vire invraisemblablement en tête au repos (24-34). « Ils nous ont pris, approuvait Gillian Galan, le numéro 8 de Toulouse. On a eu un coup de moins bien et on n'a pas su gérer. Du coup, on a vécu une deuxième mi-temps très compliquée où on défend énormément et où on va très peu chez eux. »
La mainmise des Girondins sur le ballon allait se poursuivre durant l'essentiel de la seconde période, autour notamment de l'impétueux ouvreur Matthieu Jalibert qui prenait beaucoup d'initiatives dans le jeu offensif : « Ça fait partie de mon jeu d'attaquer la ligne et de faire jouer derrière moi. »
« À la mi-temps, on sentait qu'on avait fait douter les Toulousains . Et on a changé quelques petites choses, notamment dans le système offensif en essayant de faire plus de passage par les pivots , expliquait Jacques Brunel. Malheureusement, il y en a un qui était très favorable au départ, mais une faute de main a fait qu'on a pris un contre et un essai. » Un essai de... Kolbe, qui permet au Stade de revenir à 31-34 (44e). Mais Jalibert par un but opportun garde tout de même Toulouse à distance (31-37, 64e).
Acte III
UN STADE BIENHEUREUX
L'UBB n'entend pourtant pas amoindrir ses ambitions. Et il fallait un esprit de juniors pour préserver cette fièvre du jeu. Sur une action à plusieurs phases, Jalibert prend le trou, perce et sert un autre gamin, Geoffrey Cros, vingt ans et pas une seconde de Top 14 dans les jambes cette saison, pour inscrire un cinquième essai portant potentiellement le score à 31-44 (73e). Mais M. Gaüzere a recours à l'arbitrage vidéo pour revenir à un passage à vide de Blair Connor devant Florian Fritz, deux temps de jeu et soixante mètres plus tôt. Il refuse l'essai. « Pour moi, il n'y a rien, rien du tout, regrettait Brunel. Il (Connor) passe à vide, on ne lui donne pas le ballon, mais il ne percute personne, il ne gêne personne. » Mola, lui, se montrait très fair-play. « Sur cette action, je préfère être l'entraîneur de Toulouse que de Bordeaux. Gaël Fickou et Florian Fritz sont obligés de se resserrer par la course de Connor, mais après, honnêtement, si l'essai est accordé à Cros, il n'y a pas scandale... »
Mais c'est surtout la double peine pour l'Union puisque l'arbitre revient à la faute initiale de Connor et accorde une pénalité aux Toulousains. « Pénaltouche » , ballon porté et essai de Tekori ! Toulouse repasse en tête (38-37) à cinq minutes de la fin !
Bordeaux retourne à l'abordage, retrouve des forces pour batailler en conquête. Dans le temps additionnel, M. Gaüzere pénalise Toulouse sur une mêlée enfoncée. À quarante mètres, presque en face des perches, Matthieu Jalibert, jusqu'alors presque parfait (7 sur 8 à ce moment), prend ses responsabilités sous la bronca d'Ernest-Wallon. « Franchement, je trouve ça complètement ridicule de siffler un jeune de dix-huit ans sur la pénalité de la gagne, mais c'est comme ça , regrettait le prometteur ouvreur retenu avec les Barbarians pour affronter les Maoris All Blacks vendredi prochain. Sur le moment, j'essaie de faire le vide, de ne penser à rien, si ce n'est la façon dont je vais taper mon ballon. Mais j'ai voulu l'assurer plutôt que de la frapper comme à l'entraînement. Je passe à côté, elle fuit le cadre. » Le match est fini. Ses partenaires - et même quelques adversaires (Holmes, Fickou...) - le réconfortent. « Quand on est jeune, comme moi, on a forcément l'impression de faire perdre l'équipe. »
« Matthieu a fait un match remarquable et on ne va surtout pas lui reprocher une pénalité ratée, concluait Brunel. Ce qui me gêne, ce n'est pas ce dernier but raté, c'est l'essai refusé, le drop manqué (par Dubié, sur le poteau, à la 71e) et les occasions près de la ligne qu'on ne met pas. » L'amateur de rugby, lui, ne regrettait pas grand-chose de ce match enlevé au scénario complètement givré.
Génération Jalibert Bordeaux s'est appuyé sur plusieurs Espoirs prometteurs, comme l'ouvreur Matthieu Jalibert, pour donner une superbe réplique à Toulouse.
HIM
TOULOUSE - « Je suis fier de l'équipe, soulignait à juste titre le manager de l'UBB Jacques Brunel. Elle a lutté à armes égales avec le Stade Toulousain malgré le contexte, le scénario, avec quatre ou cinq jeunes notamment qui ont montré de belles qualités. »
Parmi ces motifs de satisfaction, il y a bien sûr le comportement des éléments au temps de jeu limité jusque-là, comme le pilier international fidjien Peni Ravai (27 ans), énorme de puissance, de déplacement et de dextérité, pour sa première titularisation en Top 14, et le talonneur Adrien Pélissié (27 ans). Mais la principale source de satisfaction vient des sept joueurs sous contrat Espoirs présents hier à Ernest-Wallon.
Parmi eux, l'ouvreur Matthieu Jalibert, bien sûr (18 ans), qui a débuté au CA Bègles en poussins. Ou le rapide et aérien Cameron Woki (18 ans), troisième-ligne international U 18 et U 19, formé à Bobigny et passé par Massy. Et Cyril Cazeaux (22ans), un habitué, lui. Et Alexandre Roumat (20 ans), Thierry Paiva (21 ans), et Geoffrey Cros (20 ans), tous entrés en jeu, tous très actifs. De ce groupe, seul le demi de mêlée Jules Gimbert (19 ans), fils de Philippe, l'ancien pilier « Rapetou » de Bègles, champion en 1991, resta sur le banc. « Il y avait des jeunes dans l'équipe, oui, mais des jeunes qui s'entraînent depuis cinq mois avec le groupe pro, avec un même projet de jeu , insistait Jalibert. Je ne veux pas parler de jeunes, on fait partie du groupe et il faut savoir saisir la chance quand on nous la donne. »
Matures sur le terrain et dans le discours. Carrément « éblouissants » même, aux yeux d'Ugo Mola, le manager de Toulouse évoquant des « talents, des vrais talents français qui ont été éblouissants aujourd'hui » . L'ancien ouvreur et centre international faisait particulièrement allusion à la performance majeure de Jalibert, l'un des grands artisans de la performance girondine. Déjà deux fois titulaire (à Oyonnax et au Racing 92), l'international U 20 a régalé à l'ouverture, son poste de prédilection.
« Il va beaucoup grandir, insistait Mola. C'est un gamin talentueux, qui, par son jeu au pied, a permis notamment à Bordeaux de trouver des pénaltouches dignes de ce nom, à la Brock James. Aujourd'hui, ce gamin, avec ce qu'il a montré, pourvu que ça dure pour Bordeaux ! Je leur souhaite de le garder longtemps... » H. I.
SO :
TOULOUSE - BORDEAUX-BÈGLES Comme il y a deux ans, l'UBB échoue d'un point, sur une pénalité manquée par Jalibert après la sirène
Une vraie malédiction
Cruel pour la jeune garde girondine qui a rivalisé hier
YOAN LESHAURIÈS ENVOYÉ SPÉCIAL
Alors que l'Union Bordeaux-Bègles est menée 38-37, trois minutes après la sirène, Matthieu Jalibert pose son ballon sous les sifflets du stade Ernest-Wallon pour la pénalité de la gagne, aux 40 mètres. Mais le jeune demi d'ouverture girondin, seulement âgé de 18 ans, voit le ballon passer à côté des perches. Une image qui rappelle forcément la tentative manquée de Lionel Beauxis, dans ce même stade en mai 2015, qui avait privé l'UBB de phases finales (23-22). Le club de Laurent Marti serait-il maudit sur le terrain du Stade Toulousain ? " On peut dire ça, peste le président bordelais. Il devait être écrit qu'on devait perdre ce match. "
Les coups du sort n'ont pas manqué en effet, comme ce drop de Dubié qui a heurté le poteau (31-37, 65e) mais aussi ce raté de Jalibert sur une passe au contact en début de seconde période. S'en est suivi l'essai de Kolbe qui a relancé les Toulousains (31-34, 44e). Erreur de jeunesse. Mais qu'on ne s'y méprenne pas, si ces échecs ont coûté cher à l'UBB au final, Jalibert, qui honorait sa toute première titularisation à l'ouverture en Top 14, a répondu présent tout au long de la partie, a animé et alterné le jeu girondin, et a réalisé un 7/9 au pied. En raison des nombreuses absences (internationaux français et blessés), cette équipe de Bordeaux-Bègles remaniée, avec les jeunes Woki (première titularisation), Roumat, Cros et Paiva (entrés en jeu), a su rivaliser chez un gros calibre du championnat.
" Malgré le bonus défensif, on est très déçus car on était venus ici pour gagner, regrette le troisième ligne Cameron Woki (18 ans). On a su faire de bonnes choses mais je me dis que ce n'est pas possible de commencer un match comme ça. " En effet, le début de partie a ressemblé à un bizutage en règle, avec trois essais encaissés en l'espace de 7 minutes (Kolbe, 9e ; Guitoune, 12e ; Marchand, 16e) et 21 points de retard (24-3).
Mais l'Union s'est réveillée à coups de ballons portés. Avec sa jeune garde et sous l'impulsion d'une première ligne efficace dans le jeu, à l'image de Pélissié et Ravai, les Girondins ont infligé un terrible retour de flammes aux Toulousains, avec un cinglant 31-0.
Brunel " fier de l'équipe "
Ils sont revenus au score grâce à des essais de Pélissié (22e), Lesgourgues (30e) et Talebula (24-24, 33e), avant de prendre le score sur un essai de Barraque (36e), pour compter jusqu'à 10 points d'avance à la pause suite à une pénalité de Jalibert (24-34). Si l'essai de Kolbe (44e) relançait les Toulousains, l'UBB continuait tout de même à faire front et croyait tenir la victoire sur cet essai de Cros à la 73e minute, avant que l'arbitre ne le refuse après vidéo (lire par ailleurs). Le cinquième essai des Rouge et noir, signé Tekori, venait donner le coup de poignard aux Girondins (38-37, 75e), avant que Jalibert ne manque la balle de match.
" On ne va surtout pas lui reprocher une pénalité à 40 mètres, déclarait Jacques Brunel. Je suis fier de l'équipe parce que de par les conditions, le contexte, le scénario, avec quatre ou cinq jeunes qui ont montré de belles qualités, malgré cette part d'inexpérience, l'équipe a lutté à armes égales avec le Stade Toulousain. " Et a su ramener un point, encourageant pour la suite.
Matthieu Jalibert : " C'est rageant "
" Sud Ouest Dimanche " Vous manquez la pénalité de la gagne. Cette image est-elle la seule qui reste dans votre esprit après ce match ?
Matthieu Jalibert Quand on est jeune comme moi, on a forcément l'impression de faire perdre l'équipe. Mais on peut retenir la force de caractère dont on a su faire preuve. On fait une entame catastrophique, on ne peut pas faire pire. Mais derrière, on se resserre, on revient sur des choses simples, sur une très bonne conquête. Ensuite, il y a ce fait de jeu qui est terrible car les gros se sont arrachés pour obtenir cette pénalité à la fin.
Que se passe-t-il dans votre tête au moment où vous posez le ballon sous les sifflets du stade Ernest-Wallon ?
Franchement, je trouve ça complètement ridicule de siffler un jeune de 18 ans sur la pénalité de la gagne, mais c'est comme ça. Sur le moment, j'essaie de faire le vide, de ne penser à rien, si ce n'est la façon dont je vais taper mon ballon. Après, j'ai voulu l'assurer plutôt que de la frapper comme je la frappe à l'entraînement. Je passe à côté, elle fuit le cadre. C'est rageant mais c'est comme ça, c'est une expérience de plus pour progresser et réussir à gérer ce genre de situation la prochaine fois. Mais ce ne sont pas les sifflets qui me font manquer la pénalité. C'est la façon dont je rentre dans le ballon. Je vais analyser ça à la vidéo et travailler encore plus fort pour ne pas que ça se reproduise.
Avec le recul, ne retiendrez-vous pas les choses positives de ce match, avec une équipe de l'UBB remaniée ?
On nous voyait perdants bien avant le match. On s'était très bien préparés. Il y avait des jeunes dans l'équipe mais des jeunes qui s'entraînent depuis cinq mois avec le groupe pro, qui suit le même projet de jeu. Je ne veux pas parler de jeunes, on fait partie du groupe et il faut savoir saisir la chance quand on nous la donne. Aujourd'hui, hormis les vingt premières minutes, on a su la saisir et montrer de belles choses. Il n'y en a pas beaucoup qui auraient su relever la tête.
Propos recueillis par Y. L.
" S'il y a essai, il n'y a pas scandale "
On joue la 73e minute, Matthieu Jalibert, le jeune demi d'ouverture de l'UBB, transperce la défense toulousaine et sert Dubié. Le trois-quart centre est pris par Fickou mais parvient à passer le ballon à Cros qui file inscrire ce qui aurait pu être le cinquième essai girondin, synonyme de victoire. Mais après le visionnage de la vidéo, M. Gaüzère refuse l'essai pour un passage à vide de Connor sur Fritz. " C'est un peu sévère ", juge Laurent Marti, le président girondin, après le match. Pour le manager Jacques Brunel, " il n'y a rien, il ne percute personne et Dubié est bloqué par Fickou, ça n'entraîne pas de conséquences ".
" S'il y a essai, il n'y a pas scandale, reconnaît même Ugo Mola, le manager du Stade Toulousain. Si je suis coach de Bordeaux, je ne parle que de ça à la fin du match. Mais Jacques Brunel a tout simplement la classe. " Le genre de fait de jeu qu'il est toujours plus facile à relever après coup, quand la victoire est de son côté. Il a en tout cas coûté cher à l'UBB.
Dernière édition par patrick le Dim 5 Nov 2017 - 18:22, édité 1 fois
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
fier et content du match de l'UBB , et meme pas de rancœur sur le résultat , car je préfère etre dans le ventre mou du championnat et jouer comme hier , et surtout avec des jeunes Jiffs FRANCAIS et non des jeunes Jiffs Fidjiens . etre dans les 6 avec un jeu BOUM BOUM comme Castres ou La Rochelle , non merci , ou avec des vieux Mercenaires comme Lyon ou La Rochelle , non plus !
le plus chiant , c'est que le Staff devras mettre de nouveau nos " Stars" après les doublons ( Poirot et Maynadier sont a des années lumières et coutent surement bcps plus chers en salaires) , et c'est cela qui me fait peur pour l'avenir
Pour finir après tout juste 1/3 du championnat , voilà mon équipe :
TAOFFIFUENA-PELISSIER-COBILLAS (Ravai-Maynadier-Clerc)
MARAIS-CAZEAUX (Aliouat)
DIABY-TAULEIGNE-JONES (Goujon)
LESGOURGUES-JALIBERT (Serin-Hickey)
NAQUAVELU-DUBIE (Talebula)
CROS-CONNORS
DUCUING
le plus chiant , c'est que le Staff devras mettre de nouveau nos " Stars" après les doublons ( Poirot et Maynadier sont a des années lumières et coutent surement bcps plus chers en salaires) , et c'est cela qui me fait peur pour l'avenir
Pour finir après tout juste 1/3 du championnat , voilà mon équipe :
TAOFFIFUENA-PELISSIER-COBILLAS (Ravai-Maynadier-Clerc)
MARAIS-CAZEAUX (Aliouat)
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
Brunel a raison, il dit juste ce que nous avons tous constater l'action de Blair n'a aucun impact sur la suite et dire le contraire serait de la pure mauvaise foi (même le staff toulousain ne s'y risque pas... seuls quelques supporters...).
A près ce n'est pas à Brunel de monter au créneau et de prendre le risque d'une exclusion du stade, il faut qu'il soit avec ses joueurs, c'est à Marti de montrer qu'on doit arrêter de le prendre pour une truffe. Entre les leçons de morale à deux balles de Noves qui pourtant ne se gêne pas pour se servir de l'UBB, le jeu dangereux sur certains de nos joueurs qui ne fait même pas l'objet de vérification vidéo-Hickey... - et cet entubage arbitral... en deux semaines, on s'est fait marcher dessus en permanence. Je veux bien que Marti soit quelqu'un de classe et de respectueux, mais je ne comprend pas son absence de réaction sur cette dernière avanie, dure à avaler.
A près ce n'est pas à Brunel de monter au créneau et de prendre le risque d'une exclusion du stade, il faut qu'il soit avec ses joueurs, c'est à Marti de montrer qu'on doit arrêter de le prendre pour une truffe. Entre les leçons de morale à deux balles de Noves qui pourtant ne se gêne pas pour se servir de l'UBB, le jeu dangereux sur certains de nos joueurs qui ne fait même pas l'objet de vérification vidéo-Hickey... - et cet entubage arbitral... en deux semaines, on s'est fait marcher dessus en permanence. Je veux bien que Marti soit quelqu'un de classe et de respectueux, mais je ne comprend pas son absence de réaction sur cette dernière avanie, dure à avaler.
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
patrick a écrit:
On joue la 73e minute, Matthieu Jalibert, le jeune demi d'ouverture de l'UBB, transperce la défense toulousaine et sert Dubié. Le trois-quart centre est pris par Fickou mais parvient à passer le ballon à Cros qui file inscrire ce qui aurait pu être le cinquième essai girondin, synonyme de victoire.
Récit totalement erroné...Jalibert intervient après Dubié (qui passe par le sol) , il transperce et sert Cros.
Cette chronologie est importante pour comprendre que Dubié n'a absolument pas bénéficié du prétendu passage à vide de Connor.
Merci aux journaliste de regarder les matchs !!!
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
Brunel a peut-être la classe, mais une saillie à l'instar de Mannix, qui dit qu'il en a ras-le-cul des erreurs d'arbitrage de Poite, c'est pas forcément plus mal de temps en temps...
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
krahknardz a écrit:Brunel a peut-être la classe, mais une saillie à l'instar de Mannix, qui dit qu'il en a ras-le-cul des erreurs d'arbitrage de Poite, c'est pas forcément plus mal de temps en temps...
je suis d'accord sur le fond... sur la forme, je persiste, c'est à Marti de l'ouvrir, c'est son projet et son club, c'est à lui d'en défendre l'honneur. Sa déclaration abattue, genre "on est maudis à Toulouse" était pour le moins étonnante
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
Le maintien de ce cap "club gentil, aimable, humble et passif" devient de plus en plus incompréhensible et surtout dangereux. A ce rythme, dans 1 ou 2 ans, on pourrait en toute impunité enc**** l'UBB en toute tranquillité, car on ne saura que personne ne protestera.
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
ils sont tous d'accord au CRC, l'essai aurait du être accepté car le passage à vide n'a aucun effet et que c'est le Toulousain qui plaque Blair et pas Blair qui percute... "y'avait pas les Dieux du rugby avec l'UBB" et ça les fait marrer... on passe quand même un peu pour des tanches, là...
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
Le pire dans tout ça, c'est pas forcément qu'il siffle cette pseudo faute, c'est qu'il la siffle après avoir regarder la vidéo...
Sur le moment, si Gauzere siffle dès le passage à vide de Connor, on peut dire qu'il y a une erreur d'arbitrage mais dans l'instant c'est difficile de pas se tromper.
Mais là, c'est tranquillement, on disséquant les images que l'autre s**** juge qu'il y a faute alors qu'il y a clairement rien, c'est pas l'erreur d'arbitrage c'est un vol manifeste, un coup de pouce donné sciemment à Toulouse pour revenir dans le match.
Sur le moment, si Gauzere siffle dès le passage à vide de Connor, on peut dire qu'il y a une erreur d'arbitrage mais dans l'instant c'est difficile de pas se tromper.
Mais là, c'est tranquillement, on disséquant les images que l'autre s**** juge qu'il y a faute alors qu'il y a clairement rien, c'est pas l'erreur d'arbitrage c'est un vol manifeste, un coup de pouce donné sciemment à Toulouse pour revenir dans le match.
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
kaze33 a écrit:
Sur le moment, si Gauzere siffle dès le passage à vide de Connor, on peut dire qu'il y a une erreur d'arbitrage mais dans l'instant c'est difficile de pas se tromper.
Evidemment s'il siffle , l'action s'arrête et on n'en parlerait même pas vu que l'essai au bout n'existe pas.
Le scandale c'est que non seulement il ne siffle pas mais il fait le signe de jouer...pour lui qui est à 3 m il n'y a rien.
L'appel à la video est de toutes façons une escroquerie car une fois celle ci demandée surtout pour sanctionner l'équipe adverse l'arbitre se trouve sous la pression du stade qui évidemment le poussera à valider une faute qu'il suggère qu'elle puisse exister. A partir de là les dés sont pipés.
D'un autre côté je suis obligé de faire confiance à cet arbitre quand il accorde l'essai à Tekori dont rien ne montre clairement qu'il a bien aplati.
Il faut de toute urgence une modification des règles de la video !!!
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
La dérive c'est que si on extrapole, bientôt tu pourras voir un essai ou une pénalité accordée ou refusée plusieurs minutes après. Un arbitre pourra refuser un essai après 20 temps de jeu et 3 min d'action car 4 min auparavant il y a un un mauvais geste ou un en-avant. Ca va tuer le jeu.
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
sudiste a écrit:kaze33 a écrit:
Sur le moment, si Gauzere siffle dès le passage à vide de Connor, on peut dire qu'il y a une erreur d'arbitrage mais dans l'instant c'est difficile de pas se tromper.
Evidemment s'il siffle , l'action s'arrête et on n'en parlerait même pas vu que l'essai au bout n'existe pas.
Le scandale c'est que non seulement il ne siffle pas mais il fait le signe de jouer...pour lui qui est à 3 m il n'y a rien.
L'appel à la video est de toutes façons une escroquerie car une fois celle ci demandée surtout pour sanctionner l'équipe adverse l'arbitre se trouve sous la pression du stade qui évidemment le poussera à valider une faute qu'il suggère qu'elle puisse exister. A partir de là les dés sont pipés.
D'un autre côté je suis obligé de faire confiance à cet arbitre quand il accorde l'essai à Tekori dont rien ne montre clairement qu'il a bien aplati.
Il faut de toute urgence une modification des règles de la video !!!
Le scandale c'est que non seulement il ne siffle pas mais il fait le signe de jouer...pour lui qui est à 3 m il n'y a rien.
c'est exactement ça : il dit "y'a rien, continuez..." et après quand le ST et le stade réclame, il se désavoue, c'est ça le plus grave, parce que c'est ça qui alimente le soupçon de décision volontairement malveillante.
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
Le défenseur Toulousain va nettement vers Blair et pas le contraire. L'utilisation du ralenti aurait du le remarquer.
Y aurait il eu pénalité si l'action n'était pas allait au bout ? Peut-être pas ... mais on ne le saura jamais, et puis même, ça ne changera rien, Gauzere et ses collègues sortiront toujours leur bouquin de règles qui permet de tout justifier ... et même son contraire.
Y aurait il eu pénalité si l'action n'était pas allait au bout ? Peut-être pas ... mais on ne le saura jamais, et puis même, ça ne changera rien, Gauzere et ses collègues sortiront toujours leur bouquin de règles qui permet de tout justifier ... et même son contraire.
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
histoire de se faire du mal
https://www.youtube.com/watch?v=Qj8QBwcDTuI
l'arbitre est complètement perdu après l'action ou il nous refuse injustement l'essai, 3pt qui nous fera défaut en fin de saison
https://www.youtube.com/watch?v=Qj8QBwcDTuI
l'arbitre est complètement perdu après l'action ou il nous refuse injustement l'essai, 3pt qui nous fera défaut en fin de saison
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flavio33- Orga
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
- Spoiler:
- flavio33 a écrit:petit débrief en direct du stade,
24 3 au bout de 15 min, avec mon collègue on se dit qu'a 50 à la mi-temps on s'enva, on est ridicule, en défense de vrai passoire, on est resté sur la 2eme mi-temps du racing, le match va être très long, les toulousains commencent a chambrer dans les tribunes:
à la mi-temps on passe devant(hein Sofiane ), on a une équipe a moitié schizo, comment on peut passé du néant a des coups de folie d'un coup:zinzin: . Le public toulousain ne comprend pas, le peuple qui a inventé l'ovalie se fait démonter par des jeunes bordelo beglais
on connaît trop l'ubb on se dit qu'on se cramer en deuxième mi-temps, une blessure ou le banc va se faire détruire, un match qu'on a déjà vécu. que ninni, on continu a bouffer les toulousains, sur une occase où on a le décalage en bout de ligne, interception et 7pt dans la musette on va s'écrouler on la connaît l'histoire, mais en fait pas du tout, on continue a les enfoncer, jalibert prend pas les pt et va en touche. Je sens qu'il est fatigué, notamment sur sa dernière pénalité qu'il passe, dans le jeu on est au dessus, comment on peut perdre ce match???
Dubié qui touche le poteau extérieur sur son drop alors que si sa passe toulouse nous revoit pas et on rentre avec les 4pt, et sur une énième occase on marque un essai de cros sur un magnifique travail de jalibert. c'est fait on rentre a bordeaux avec les 4pt, et là arbitrage video... essai refusé penal touche pour toulouse à 5metres, coccote, essai toulousain, en 1min 30 on passe d'un exploit incroyable avec énormément d'absent à une défaites plus que cruelle. c'est pas possible on a zéro réussite, autan au racing on a été nul mais mauvais comme la peste, mais là comment on peut revenir sans la victoire en les dominant autant a l'extérieur???
sur la dernière mêlée, jamais il va siffler pour nous comme face a Newcastle....et beh si, le papy toulousain devant moi me dit "que toute façon on le mérite au vu du match" je dis rien et je pense a bernard et beauxis il y a deux ans face au même toulousain. quand sa passe a coté je suis resté sans réaction impossible de parler pendant 10min jetais complètement dépité, je sais pas à la tv ce que sa donner mais au stade c'était horrible, j'étais jaune, le supporter toulousain a coter de moi me voyant effondré me tape sur l'épaule et me dit que toulouse méritait pas la victoire, j'aurais préférer qu' il me chambre plutôt que de me dire la vérité
jalibert a été enorme tout simplement, un régal de le voir en 10, sur sa dernière pénalité il est cuit(c'est la sensation que j'ai sur ces 5 10 dernières minutes, peut etre que schoeman à la fin....mais c'est facile de dire sa après coup, et pi sortir jalibert vu son match c'était impossible. comment lui en vouloir??? les siffler sur sa penalitée je comprendrais jamais sur pénalité mais c'est partout dans les stades du taup 14 même chez nous...
j'ai adoré les jeunes woki jalibert roumat paiva, je pensais qu'on allait prendre une valise, mais j'ai vu une nouvelle génération qui arrive
le retour a quand même était très très dur
Super ton commentaire à chaud Flavio !
le radis- Team modo
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Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
contrairement a certains je préfèrerais que tous les essais soient validés aprés vidéo . ca n'empecherai pas l'erreur mais au moins elle serait vue de tous comme ici c'est le cas . parce qu'à toulon ce genre d'incident , on a plutot la malhonneteté de le cacher !...en plus ca enlèverait de la pression aux arbitres...
et puis imaginez que toulouse soit qualifiée au final avec 1 point de plus que l'UBB ...quel scandale !
ces arbitres ne sont pas que mauvais , ils se font dessus . celui là il sait plus où il habite à la fin
et puis imaginez que toulouse soit qualifiée au final avec 1 point de plus que l'UBB ...quel scandale !
ces arbitres ne sont pas que mauvais , ils se font dessus . celui là il sait plus où il habite à la fin
jambe de grive- J'aime l'Union passionnément
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Date d'inscription : 25/04/2017
Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
La cerise sur le gâteau indigeste de ma déception c'est que nous sommes dépassés par ça ....
http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2017-2018/rugby-top-14-racing-92-quatre-points-et-une-boucherie-de-rugby_sto6398868/story.shtml
ET pendant ce temps là Gauzere assassine le beau rugby , le vrai ...
http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2017-2018/rugby-top-14-racing-92-quatre-points-et-une-boucherie-de-rugby_sto6398868/story.shtml
ET pendant ce temps là Gauzere assassine le beau rugby , le vrai ...
sudiste- Unioniste de la première heure
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Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
Midol :
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Tombé tout jaune dans le rugby.
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Allez UBB
Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
Il est vraiment temps de passer à autre chose car chaque article sur ce match est comme une pincée de sel sur une blessure encore à vif
sudiste- Unioniste de la première heure
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Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
C'était malheureusement une rencontre de faible niveau avec un temps de jeu famélique...
le radis- Team modo
- Nombre de messages : 13236
Localisation : talence
Date d'inscription : 12/10/2012
Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
le radis a écrit:C'était malheureusement une rencontre de faible niveau avec un temps de jeu famélique...
31min on est allègrement sur les standards de la Champions voire internationaux... Bien loin des purges habituelles du Top14...
C'est d'autant plus rageant que les nôtres n'aient pas été récompensés, surtout après avoir perdu face aux mammouths du Racing qui n'ont joué qu'aux petits tas...
krahknardz- Team modo
- Nombre de messages : 7560
Localisation : Bègles
Date d'inscription : 07/07/2013
Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Re: Top14 - 9ème journée : Toulouse - UBB
le radis a écrit:C'était malheureusement une rencontre de faible niveau avec un temps de jeu famélique...
Forcément Radis que le temps de jeu n'est pas top, les 9 essais et leurs transformations génèrent à eux seuls plus de 12 minutes improductives.
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