Re: Coupe du Monde 2019 au Japon

grospaquet31 Dim 22 Sep 2019 - 17:39

Scalp a écrit:https://www.rugbyrama.fr/rugby/coupe-du-monde/2019/international-la-france-grappille-une-place-au-classement-world-rugby_sto7470697/story.shtml

La France grappille une place au classement World Rugby

Après le succès des Bleus face à l'Argentine et la défaite des Écossais contre l'Irlande, le XV de France passe à la 7e place du classement World Rugby. Les Néo-Zélandais profitent de leur victoire contre l'Afrique du Sud pour reprendre leur première place à l'Irlande. Toujours dans le Top 10, le Japon chipe le neuvième rang aux Fidji.

grospaquet31 Dim 22 Sep 2019 - 17:43

Biscouette a écrit:
grospaquet31 a écrit:Je ne sais pas pour vous mais je suis très surpris de « l’affaire » Fofana.
Il est forfait (peut être sur décision du staff) pour un épanchement de sang à la cuisse. Suis pas médecin mais on parle bien d’un hématome? On parlait d’une béquille, ok ça fait mal, mais normalement en qq jours c’est réglé, bon un hématome c’est l’histoire d’une à 2 semaines normalement.
On parle de complication. C’est étonnant, quel genre de complication peut bien arriver à partir d’une béquille?
Oui surprenant. Je n'ai pas vu les détails et effectivement "épanchement de sang" c'est vague, mais ça peut indiquer une lésion, la complication possible c'est que la perte de souplesse due à l'hématome ait entraîné soit une lésion directement sur le même muscle soit un dysfonctionnement biomécanique (et en suivant une lésion sur un muscle antagoniste ou autre), et comme il a déjà eu pas mal de blessures il doit déjà avoir un certain manque de souplesse musculaire.
Après, même sans qu'il y ait quelque chose de grave, le simple temps pour revenir à niveau n'était sans doute pas envisageable sur le temps court de la compétition.
C'est clair qu'il va manquer, et ça aurait permis de mettre par exemple Vakatawa à l'aile plutôt que notre «star».

Y a un article, particulièrement à charge contre Fofana sur sport24, très étonnant. Il mêle des infos dites « offs », des interprétations personnelles (enfin il me semble). C’est assez surprenant. Ça manque un peu de pudeur à mon goût, voire de classe...car du coup, c’est la fin de sa carrière internationale

**biscouette** Dim 22 Sep 2019 - 17:59

Tu parles de cet article ?
http://sport24.lefigaro.fr/rugby/coupe-du-monde-2023/actualites/xv-de-france-fofana-remplace-par-barassi-le-bricolage-continue-974964
Ce n'est pas très clair en tout cas.
De même qu'appeler Barassi plutôt que Belleau – ce qui aurait été plus logique –, qui doit payer de l'avoir ouverte.

grospaquet31 Dim 22 Sep 2019 - 18:38

Biscouette a écrit:Tu parles de cet article ?
http://sport24.lefigaro.fr/rugby/coupe-du-monde-2023/actualites/xv-de-france-fofana-remplace-par-barassi-le-bricolage-continue-974964
Ce n'est pas très clair en tout cas.
De même qu'appeler Barassi plutôt que Belleau – ce qui aurait été plus logique –, qui doit payer de l'avoir ouverte.

http://sport24.lefigaro.fr/rugby/coupe-du-monde-2019/actualites/xv-de-france-l-enigme-fofana-974889

Je crois que Belleau paye surtout l’incoherence Des choix du sélectionneur, un sélectionneur perdu, voir incompétent tant on peut se demander s’il avait prévu qu’un centre se blesse. que fait on dans ce cas? Ben on replace Fickou au centre, initialement pris à l’aile et on intègre Rattez voire on prend Belleau qui couvre 10-12. Ben non, on appelle Vakatawa! (Au passage très bon match de sa part) Un 2ieme centre blessé? on appelle Barassi.
j’ai l’impression que c’est le bordel dans sa tête à Jacques. Ranges un peu!

**biscouette** Dim 22 Sep 2019 - 21:32

Merci Grospack, pas sympa effectivement l'article, alors qu'on parle continuellement de la santé des joueurs, etc. et question blessures il n'a pas été épargné, il a même eu la pire pour un athlète (rupture du tendon d'Achille) – parmi les blessures relativement «classiques» des sportifs j'entends, articulaires, etc. Ça peut se comprendre qu'il s'inquiète à la moindre alerte. Les gens qui se permettent de juger ne doivent pas savoir ce qu'est un an de rééducation et les doutes qui pointent régulièrement, le soucis permanent que cela représente pour un sportif dont la vitesse est essentielle, etc. Si on ne se sent pas à 100%… Une déchirure musculaire si elle arrive, c'est foutu, contrairement à d'autres bobos avec lesquels on peut bricoler.

Quant à J. Brunel il doit bien avoir la pression depuis un moment, pression externe et interne…

grospaquet31 Lun 23 Sep 2019 - 7:06

Biscouette a écrit:Merci Grospack, pas sympa effectivement l'article, alors qu'on parle continuellement de la santé des joueurs, etc. et question blessures il n'a pas été épargné, il a même eu la pire pour un athlète (rupture du tendon d'Achille) – parmi les blessures relativement «classiques» des sportifs j'entends, articulaires, etc. Ça peut se comprendre qu'il s'inquiète à la moindre alerte. Les gens qui se permettent de juger ne doivent pas savoir ce qu'est un an de rééducation et les doutes qui pointent régulièrement, le soucis permanent que cela représente pour un sportif dont la vitesse est essentielle, etc. Si on ne se sent pas à 100%… Une déchirure musculaire si elle arrive, c'est foutu, contrairement à d'autres bobos avec lesquels on peut bricoler.

Quant à J. Brunel il doit bien avoir la pression depuis un moment, pression externe et interne…

Dans la continuité de ce que tu dis concernant le temps de rééducation de blessure (surtout après 30 ans), peut être que quand on présente des fragilités physiques (à la suite de plusieurs blessure le corps se fragilise) que Fofana pense plus dans sa tete à son club qui le paye, qui lui propose des prolongations, qu'à l'EDF.
je ne porte aucun jugement (d'ailleurs je peux le comprendre) c'est juste pour tenter une explication qui fait qu'un joueur ne voudra prendre aucun risque à la moindre alerte alors qu'un autre se dira "ça passe ou ça casse" (surtout sur un événement majeur).

**Scalp** Lun 23 Sep 2019 - 7:34

https://www.sudouest.fr/2019/09/23/je-sais-que-ca-a-fait-parler-6598788-5103.php

Coupe du monde de Rugby. Camille Lopez : " Je sais que ça a fait parler "

par Denys Kappès-Grangé.

Relégué sur le banc des remplaçants au coup d’envoi, l’ouvreur souletin est finalement devenu le héros de ce match grâce à son drop. Et il a assuré se satisfaire de son sort.

« Quand je l’ai vu partir, je me suis dit, ‘il va jamais y arriver.’ » Voilà le petit commentaire qu’a livré Camille Lopez au sujet de son drop synonyme de victoire face aux Pumas. Sur le fond, il n’a pas tort. « Pas très appuyé », comme l’a fait remarquer Jean-Baptiste Elissalde, « il est passé juste ». Tout juste même. Mais à vrai dire, cette trajectoire en rappelait une autre. Celle qu’a suivie Camille Lopez, un peu plus tard dans la soirée, pour s’extirper du corridor de la zone d’interview.

Alors qu’il venait déjà de raconter, par le moindre des petits détails son geste, l’ouvreur originaire de Mauléon a accepté de réitérer l’exercice face aux médias argentins. Mais en espagnol cette fois ! Trop heureux de réaliser que le héros de cette rencontre était hispanophone, ces derniers ont pressuré un Camille Lopez obligé de farfouiller dans son lexique pour raconter une fois de plus cette fin de match.

« Nan mais faut qu’ils arrêtent », a-t-il fini par lâcher dans un large sourire quand un journaliste télé est venu le solliciter. Pour la forme, le Souletin a râlé. Mais pas trop. Car il n’a pas oublié de savourer les émotions qu’il venait de vivre pour ce qui restera son « premier match de Coupe du monde ». On serait prêt à parier que, dans quelques années, il s’en souviendra bien mieux que de ses cours d’espagnol…

Il y a toujours pire

« Forcément qu’il est important puisqu’au final, ça nous permet de repasser devant. Mais c’est tout le match qui est important », s’est-il efforcé de nuancer. Louable, mais vaine tentative de désaxer les caméras qui se sont irrémédiablement braquées sur lui…Car au-delà de son geste, il y a une histoire. Celle d’un joueur que le staff semblait vouloir installer au poste d’ouvreur au milieu de l’été et qui a finalement cédé sa place à Romain Ntamack au coup d’envoi.

« Je sais que ça a fait beaucoup parler cette semaine, a souri Camille Lopez. Vous avez posé beaucoup de questions à mes collègues qui m’ont dit, ‘va falloir que tu ailles en presse, parce qu’ils me posent des questions sur toi.’ Mais le staff a fait ses choix, je les respecte. Des matchs comme ça, tu as envie de les jouer et de les commencer. Mais je fais partie du groupe. Il y en a, c’était pire que moi : ils étaient soit en France ou soit en tribune. »

Camille Lopez relativise. Et il a de bonnes raisons de le faire. Alors qu’il avait été écarté sur le fil en 2015, le Souletin a peut-être eu peur que ce scénario ne se reproduise après un Tournoi où, comme pour Morgan Parra, certains de ses propos avaient été interprétés comme des critiques à l’encontre du staff.

Alors depuis, il savoure. Qu’il soit sur le terrain ou non. « J’ai aucun problème avec ce statut-là, c’est la vérité je peux vous le dire sur la tête de qui vous voulez : de mes enfants si vous voulez ! Je suis content pour Romain, je lui ai dit. » Dans quelle langue cette fois ?

**patrick** Lun 23 Sep 2019 - 9:43

Scalp a écrit:https://www.sudouest.fr/2019/09/23/je-sais-que-ca-a-fait-parler-6598788-5103.php

Coupe du monde de Rugby. Camille Lopez : " Je sais que ça a fait parler "

par Denys Kappès-Grangé.

Relégué sur le banc des remplaçants au coup d’envoi, l’ouvreur souletin est finalement devenu le héros de ce match grâce à son drop. Et il a assuré se satisfaire de son sort.

« Quand je l’ai vu partir, je me suis dit, ‘il va jamais y arriver.’ » Voilà le petit commentaire qu’a livré Camille Lopez au sujet de son drop synonyme de victoire face aux Pumas. Sur le fond, il n’a pas tort. « Pas très appuyé », comme l’a fait remarquer Jean-Baptiste Elissalde, « il est passé juste ». Tout juste même. Mais à vrai dire, cette trajectoire en rappelait une autre. Celle qu’a suivie Camille Lopez, un peu plus tard dans la soirée, pour s’extirper du corridor de la zone d’interview.

Alors qu’il venait déjà de raconter, par le moindre des petits détails son geste, l’ouvreur originaire de Mauléon a accepté de réitérer l’exercice face aux médias argentins. Mais en espagnol cette fois ! Trop heureux de réaliser que le héros de cette rencontre était hispanophone, ces derniers ont pressuré un Camille Lopez obligé de farfouiller dans son lexique pour raconter une fois de plus cette fin de match.

« Nan mais faut qu’ils arrêtent », a-t-il fini par lâcher dans un large sourire quand un journaliste télé est venu le solliciter. Pour la forme, le Souletin a râlé. Mais pas trop. Car il n’a pas oublié de savourer les émotions qu’il venait de vivre pour ce qui restera son « premier match de Coupe du monde ». On serait prêt à parier que, dans quelques années, il s’en souviendra bien mieux que de ses cours d’espagnol…

Il y a toujours pire

« Forcément qu’il est important puisqu’au final, ça nous permet de repasser devant. Mais c’est tout le match qui est important », s’est-il efforcé de nuancer. Louable, mais vaine tentative de désaxer les caméras qui se sont irrémédiablement braquées sur lui…Car au-delà de son geste, il y a une histoire. Celle d’un joueur que le staff semblait vouloir installer au poste d’ouvreur au milieu de l’été et qui a finalement cédé sa place à Romain Ntamack au coup d’envoi.

« Je sais que ça a fait beaucoup parler cette semaine, a souri Camille Lopez. Vous avez posé beaucoup de questions à mes collègues qui m’ont dit, ‘va falloir que tu ailles en presse, parce qu’ils me posent des questions sur toi.’ Mais le staff a fait ses choix, je les respecte. Des matchs comme ça, tu as envie de les jouer et de les commencer. Mais je fais partie du groupe. Il y en a, c’était pire que moi : ils étaient soit en France ou soit en tribune. »

Camille Lopez relativise. Et il a de bonnes raisons de le faire. Alors qu’il avait été écarté sur le fil en 2015, le Souletin a peut-être eu peur que ce scénario ne se reproduise après un Tournoi où, comme pour Morgan Parra, certains de ses propos avaient été interprétés comme des critiques à l’encontre du staff.

Alors depuis, il savoure. Qu’il soit sur le terrain ou non. « J’ai aucun problème avec ce statut-là, c’est la vérité je peux vous le dire sur la tête de qui vous voulez : de mes enfants si vous voulez ! Je suis content pour Romain, je lui ai dit. » Dans quelle langue cette fois ?

Dans la langue de Saint Claude, celle dont on fait les pipes :chambreur:

**Scalp** Lun 23 Sep 2019 - 10:01

**Scalp** Lun 23 Sep 2019 - 10:02

**Scalp** Lun 23 Sep 2019 - 10:02

**Scalp** Lun 23 Sep 2019 - 10:03

**Scalp** Lun 23 Sep 2019 - 10:04

**Scalp** Lun 23 Sep 2019 - 10:05

**Scalp** Lun 23 Sep 2019 - 17:01

https://www.rugbyrama.fr/rugby/coupe-du-monde/2019/arthur-iturria-france-pas-le-rythme-d-un-grand-match-international_sto7471891/story.shtml

Iturria : "Pas le rythme d'un grand match international" face à l'Argentine

Leo Faure via Midi Olympique

Toujours lucide et droit dans ses analyses, le Clermontois affirmait ce lundi les manques de son équipe, notamment dans les secteurs de la conquête. Mais aussi le soulagement pour le XV de France d'avoir remporté ce match.

Question basique : avez-vous pris le temps de fêter la victoire de samedi ?

A.I. : Oui, le soir nous sommes allés tous ensemble au restaurant. Ensuite, nous sommes partis dans une boîte de nuit. Mais je vous rassure, tout le monde est rentré intact à l'hôtel ! (rires)

Dix jours de coupure, le vivez-vous comme une longue attente ?

A.I. : Oui, c'est long parce qu'on est venu au Japon pour jouer au rugby et que, pendant quelques temps, on ne va pas jouer. Autant voir le positif : c'est du temps qui nous est accordé pour bien bosser. Ensuite, les matchs vont vite s'enchaîner et nous n'aurons plus ce temps précieux de travail.

Le match face à l'Argentine a-t-il été usant, physiquement ?

A.I. : Ce match était assez bizarre, y compris la première mi-temps. Dans le premier acte on a marqué vingt points, c'est vrai, mais sur des exploits individuels. En fait, il y avait un faux rythme. Beaucoup de mêlées, de touches, d'arrêts de jeu... Je n'ai pas senti le rythme d'un grand match de rugby international, même en première période.

Ce lundi, le staff a convoqué tous les joueurs de samedi en entretien individuel. Qu'est-il ressorti du vôtre ?

A.I. : Nous avons surtout parlé du secteur de la touche avec Julien (Bonnaire, N.D.L.R.). Nous prenons tout de même deux gros mauls pénétrants, consécutifs à des touches. Nous avons évoqué notre façon de défendre. Ce n'est pas une question d'investissement, tout le monde s'envoie. Mais nous travaillons trop chacun de notre côté. Il faut faire mieux en terme de cohésion.

Comment expliquez-vous un tel renversement du rapport de force entre les deux équipes, en deuxième mi-temps ?

A.I. : Je crois simplement qu'on s'est trompé sur nos structures en seconde période. Nous n'avons pas respecté ce que nous nous étions dit. Il aurait fallu rester plus serrés, autour d'un rugby plus simple. Parfois, en rugby, les choses simples sont déjà très bien. Là, on s'est ouvert aux Argentins. Et ils ont adoré ça ! Il nous ont privés de ballons, ont trouvé des solutions...

Quid des problèmes en mêlée fermée ?

A.I. : Oui, les Argentins nous ont posé des problèmes en mêlée. Ils ont su très bien jouer avec la règle.

Est-ce un compliment ou une critique ?

A.I. : C'est un compliment, vraiment. Je le pense. Il faut savoir s'adapter aux nouvelles règles, qui imposent de ne pas mettre trop de pression. Ils l'ont très bien fait, jusqu'à la limite. Juste assez pour ne pas se faire pénaliser. Ils avaient dû bien bosser là dessus.

Et en touche ?

A.I. : Nous n'avons pas été assez précis individuellement sur les touches défensives, tout simplement. Chacun savait ce qu'il avait faire mais, chacun son tour, on s'est trompé. En touche offensive, match difficile aussi. Les Argentins avaient monté deux blocs forts : un devant et un derrière. Ils nous ont perturbé. Quant à nous, il reste du boulot. Il y a eu trop de ballons importants de perdus.

Un mot sur la performance de Damian Penaud, votre coéquipier en club et ami. Vous surprend-il encore ?

A.I. : Il me surprend tous les jours ! (rires) Sur le terrain, en-dehors, il m'étonne toujours. Ce mec est un phénomène. Il l'est sur le terrain, il l'est en-dehors. C'est bien d'avoir des mecs comme ça dans l'équipe.

Cette victoire a-t-elle enlevé une pression sur le groupe ?

A.I. : C'est surtout au coup de sifflet final que nous avons compris la tension de ce match. Avant, nous n'étions pas très attendus et la pression ne semblait pas immense sur nous. En revanche, une fois que la victoire était là, nous avons ressenti un grande libération. On garde du recul, il reste beaucoup de chemin. On le sait. Mais on a mieux mesuré après le match à quel point c'était une étape importante.

**Dr. Gregory Bouse** Lun 23 Sep 2019 - 18:17

grospaquet31 a écrit:
Biscouette a écrit:Tu parles de cet article ?
http://sport24.lefigaro.fr/rugby/coupe-du-monde-2023/actualites/xv-de-france-fofana-remplace-par-barassi-le-bricolage-continue-974964
Ce n'est pas très clair en tout cas.
De même qu'appeler Barassi plutôt que Belleau – ce qui aurait été plus logique –, qui doit payer de l'avoir ouverte.

http://sport24.lefigaro.fr/rugby/coupe-du-monde-2019/actualites/xv-de-france-l-enigme-fofana-974889

Je crois que Belleau paye surtout l’incoherence Des choix du sélectionneur, un sélectionneur perdu, voir incompétent tant on peut se demander s’il avait prévu qu’un centre se blesse. que fait on dans ce cas? Ben on replace Fickou au centre, initialement pris à l’aile et on intègre Rattez voire on prend Belleau qui couvre 10-12. Ben non, on appelle Vakatawa! (Au passage très bon match de sa part) Un 2ieme centre blessé? on appelle Barassi.
j’ai l’impression que c’est le bordel dans sa tête à Jacques. Ranges un peu!

Ranger quoi ? c'est du vide !

Concernant Belleau, cette décision est quand même d'une injustice crasse: même si je ne suis ni fan du joueur ni du gazier, il aurait été logique de l'appeler.

**patrick** Lun 23 Sep 2019 - 18:23

Moi je trouve que reconnaitre ses erreurs et changer de voie c'est faire preuve d'intelligence ... enfin quand ça n'arrive pas tous les 4 matins rire

**Scalp** Mar 24 Sep 2019 - 9:08

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Didier-mene-et-l-arbitrage-de-france-argentine-comme-si-l-arbitre-n-avait-regarde-qu-elle/1062237

Didier Mené et l'arbitrage de France-Argentine : «Comme si l'arbitre n'avait regardé qu'elle»

Malgré les plaintes des Bleus, l'ancien arbitre Didier Mené estime que les pénalités sifflées contre la mêlée française, samedi, étaient justifiées. Mais que les Argentins auraient également dû être sanctionnés .

Alexandre Bardot et Richard Escot

Il est rare que l'arbitrage de la mêlée attire des louanges des première-ligne. Mais samedi soir, dans les entrailles du Tokyo Stadium, les critiques de Guilhem Guirado et Jefferson Poirot sont allées plus loin qu'à l'accoutumée. Le capitaine des Bleus a parlé de « n'importe quoi », quand son second a dit son « agacement » d'être dans le camp des « baisés. »« On a bossé pendant des semaines pour ne pas mettre de pression lors de l'entrée en mêlée, et sur les trois premières mêlées ils nous mettent la pression et l'arbitre ne dit pas grand-chose, a expliqué Poirot. Il y a une règle, mais elle ne sert à rien. »

« On a été trop gentils. Il faut savoir jouer avec les nouvelles règles de la mêlée » - Arthur Iturria, deuxième-ligne des Bleus

Cette règle dit qu'il est interdit de devancer les commandements de l'arbitre et de pousser avant l'introduction. En juillet, elle a été complétée d'un amendement interdisant aux première-ligne de faire reposer leur tête sur l'épaule de leurs vis-à-vis juste avant l'entrée en mêlée, de manière à éviter toute pression avant l'entrée en mêlée. À Tokyo, les Pumas ont suivi cette instruction à la lettre. Mais selon les joueurs français ils ont exercé la pression différemment. Mené décrypte : « Quand l'arbitre dit :"bind" (liez), les piliers s'attrapent le bras. C'est avec cette liaison qu'on peut mettre la pression, en tirant ou en poussant, sans engager la tête. L'équipe qui la subit se trouve en difficulté au commandement suivant. Le problème, durant ce match, se situe ici. Mais c'est difficilement perceptible pour l'arbitre, car ce sont des mouvements de très faible amplitude. Il faudrait avoir le nez sous la mêlée pour capter ça (rires). »

L'arbitre australien Angus Gardner l'avait, mais il a mis du temps à percevoir le problème. « Il y avait sur ce match de sa part une forme d'incohérence dans ce domaine, note Mené. Et elle a duré trente-cinq minutes. » Durant lesquelles les Bleus ont été sanctionnés deux fois, et les Argentins jamais. Après plusieurs conciliabules avec les joueurs, l'arbitre australien a enfin sanctionné les Pumas, à la trente-sixième minute. Mais comme rien n'est jamais simple en mêlée, Didier Mené ajoute : « Cela dit, la mêlée française a, elle aussi, poussé avant l'introduction. Les pénalités contre elle étaient justifiées, mais c'est comme si l'arbitre n'avait regardé qu'elle. » On n'efface pas comme ça le poids d'années de tricheries en tous genres. « Le problème de l'arbitrage moderne, c'est que les arbitres regardent les matches à la vidéo et arrivent sur le terrain avec un préjugé, reprend Mené. C'est bien de préparer son match, mais après, sur le terrain, il faut faire abstraction de ce qu'on a vu. Là, il a fallu trois ou quatre mêlées successives à Gardner pour comprendre que le rapport de force entre les deux mêlées s'était inversé. À partir de là, il a changé son optique. »

Depuis samedi, celle des Bleus a aussi un peu évolué. Lundi, Arthur Iturria disait : « Les Pumas ont parfaitement joué avec la règle. On a été trop gentils. Il faut savoir jouer avec les nouvelles règles de la mêlée. » C'est peut-être nécessaire mais forcément risqué quand on a une cible dans le dos.

**Scalp** Mar 24 Sep 2019 - 9:12

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/George-ford-angleterre-sur-le-match-des-bleus-contre-l-argentine-ils-ont-joue-a-la-francaise-leur-meilleure-facon-de-jouer/1062056

George Ford (Angleterre) sur le match des Bleus contre l'Argentine : « Ils ont joué ''à la française'', leur meilleure façon de jouer »

Les Anglais, victorieux des Tongiens dimanche (35-3), n'ont évidemment pas manqué l'autre match du groupe C, France-Argentine (23-21) la veille.

Sans briller, l'Angleterre a lancé sa Coupe du monde avec une victoire bonifiée face aux Tonga dimanche à Sapporo (35-3). Elle doit enchaîner face aux États-Unis dès jeudi à Kobe (12 h 45) avant de se tourner vers les chocs contre l'Argentine (samedi 5 octobre, 10 heures) et la France (samedi 12 octobre, 10 h 10) dans la fameuse « poule de la mort ».

Dans les couloirs du dôme de Sapporo, les éléments de langage étaient clairs et repris en choeur : « USA first » et le reste, on verra plus tard. Plutôt que des séquences vidéo des Américains, les Anglais ont tout de même regardé le match entre leurs deux rivaux français et argentins samedi après-midi, après un entraînement dans la matinée.

Alors ? « C'était un match dur, serré, a constaté le talonneur Jamie George. J'ai trouvé que la France est très bien entrée dans la partie et a vraiment bien joué en première période. » Même constat chez le demi d'ouverture George Ford. « La France a très bien commencé, je les ai trouvés très dangereux, avec des offloads bien exécutés. Ils ont joué ''à la française'', et c'est leur meilleure façon de jouer. L'Argentine est bien revenue en deuxième période, on a senti les Français un peu plus nerveux quand le score s'est resserré. Mais le drop de Lopez était vraiment bien senti, un super choix tactique. »

« Les Argentins, on les connaît, ils ne lâcheront rien jusqu'au bout »

Les Anglais vont donc défier une Argentine en mode « dernière chance » le 5 octobre puis une équipe de France soulagée et donc décomplexée une semaine plus tard. Mais si les Pumas créent la surprise, ce dernier constat ne tiendrait plus avec un match à trois qui ne ferait pas les affaires des Bleus.

« Je ne suis pas dans la tête des Français, c'est sûr qu'ils ont dû prendre beaucoup de confiance vu la façon dont ils jouaient mais ils savent aussi qu'ils doivent bien jouer pour battre les États-Unis (2 octobre) et les Tonga (6), précise également - à raison - Jamie George. Nous, on doit gagner nos sept matches pour être champions du monde, c'est aussi simple que ça. C'est sûr que les Argentins n'auront pas le choix mais même si on perd, on basculera sur la France avec l'objectif de gagner. »

« Les Argentins, on les connaît, ils ne lâcheront rien jusqu'au bout, enchaîne Ford. Mais battons d'abord les États-Unis et l'on verra ensuite. » La France, c'est dans trois semaines et on ne peut pas reprocher aux Anglais de ne pas se projeter aussi loin. « J'ai quand même hâte de jouer ''le Crunch'' », sourit Jamie George avant de grimper dans le bus. Il ne doit pas être le seul.

grospaquet31 Mar 24 Sep 2019 - 9:18

donc on rentre en mêlée comment, s'il ne faut exercer aucune pression sur l'adversaire? comme lors d'une mêlée simulée? parce que si c'est le cas, j'en ai pas vu une seule depuis le début de la compétition (j'ai vu 3 matchs ce we)

**flavio33** Mar 24 Sep 2019 - 11:34

Amosa saison terminée, les croisés

grospaquet31 Mar 24 Sep 2019 - 11:36

Bon pour Amosa ça sent la grosse blessure au genou...

**flavio33** Mar 24 Sep 2019 - 11:46

Vous m'aviez oublié??? C est moi le chat noir

**sudiste** Mar 24 Sep 2019 - 11:47

Putain il faut que ça tombe sur lui mad2

et contre les russes mad2

**romojito33** Mar 24 Sep 2019 - 14:04

Ca sent en effet pas bon pour lui et du coup pour l'UBB... Crying or Very sad

**Scalp** Mar 24 Sep 2019 - 14:54

https://www.rugbyrama.fr/rugby/coupe-du-monde/2019/coupe-du-monde-2019-les-samoa-souffrent-puis-deroulent-contre-la-russie_sto7472849/story.shtml

Les Samoa souffrent puis déroulent contre la Russie
Par Emilien Vicens

Entrée en lice mitigée pour les Samoa. Pour leur premier match de la Coupe du monde, les coéquipiers de Chris Vui ont signé une victoire bonifiée contre la Russie, 34 à 9. Mais les joueurs du Pacifique ont longtemps souffert dans cette rencontre, face à l'engagement de leurs adversaires.

Très maladroits et indisciplinés (deux cartons jaunes en fin de première période), les Samoans ont joué à se faire peur avant de dérouler au retour des vestiaires. Six essais ont été inscrits dans cette rencontre, l’œuvre d'Alapati Leiua (16e, 80e), Afa Amosa (46e), Ed Fidow (50e, 53e) et Rey Lee-Lo (63e). En tête à la pause, la Russie s'est ensuite écroulée et n'aura pas inscrit le moindre essai. Deuxième défaite en deux matchs pour les "Ours", quasiment éliminés de la compétition.

Sur le plan comptable, les Samoa ont sans doute réalisé l'opération souhaitée, en décrochant une victoire bonifiée, ce mardi lors de leur première rencontre de la Coupe du monde. Pour le reste, en revanche, on repassera. Comme le Japon quelques jours plus tôt, les joueurs de Steve Jackson ont été surpris par la Russie et sont apparus complètement timorés. Au point de basculer à la pause avec un score en leur défaveur, 6 à 5.

Afa Amosa, la tuile ?

Nombreuses approximations, erreurs techniques, signes de pression extérieure... Les Samoa, qui ont abordé le mondial sans grande certitude, sont passés tout près de la correctionnelle à plusieurs reprises. Comme sur ces deux plaquages hauts au niveau de la tête de l'arrière et capitaine russe Vasily Artemyev, en fin de première période. Après arbitrage vidéo, l'arbitre français Romain Poite a sorti deux cartons jaunes, mais aurait très bien pu se montrer plus sévère. Sans oublier le contre effectué par Vladimir Ostroushko sur Tusu Pisi, et qui aurait pu offrir aux Russes un essai très précieux.

En bref, les Samoans devront se montrer beaucoup plus constants et consistants face à l’Écosse puis le Japon, leurs deux principaux concurrents et prochains adversaires. D'autant que les joueurs du Pacifique devront faire, selon toute vraisemblance, sans Afa Amosa pour la suite de la compétition. Auteur du deuxième essai de son équipe, le troisième ligne centre de Bordeaux-Bègles a été victime d'un plaquage haut au moment d'aplatir et a vu son genou être pris en porte-à-faux. Évacué sur civière, le numéro huit a ensuite été aperçu en béquilles, la jambe entièrement immobilisée.

En face, la Russie a affiché ses limites aujourd'hui. Malgré une forte générosité, longtemps payante face à une équipe sans repère, les « Ours » d'Alexander Pervukhin n'ont jamais réussi à mettre de la continuité dans leur jeu. Ces derniers ont manqué d'inscrire l'essai de l'honneur à plusieurs reprises. Place à une grosse semaine de repos pour eux, avant deux derniers matchs périlleux face à l'Irlande puis l’Écosse.

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