Top14 - 3ème journée : Castres / UBB

Midol avait donc tout juste pour Castres et tout faux pour nous ...ce qui prouve que cette année nous sommes imprévisibles

sudiste a écrit:Midol avait donc tout juste pour Castres et tout faux pour nous ...ce qui prouve que cette année nous sommes imprévisibles

Et Urios, il donne ses compos au dernier moment...

https://rugby-scapulaire.com/breves/83248-les-statistiques-de-remi-lamerat-depuis-le-debut-de-saison

Les statistiques de Rémi Lamerat depuis le début de saison

par Matthieu Meillan

Hier soir, l’émission Late Rugby Club, sur les antennes de Canal + Sport, nous a proposé les statistiques depuis le début de saisons de notre nouveau trois-quart centre, Rémi Lamerat. Outre ses deux essais inscrits, il a réalisé deux franchissements, ce qui fait de lui le meilleur franchisseur de l’équipe et 26 plaquages, ce qui fait de lui le meilleur plaqueur de l’équipe.

C'est se qui s'appelle, une bonne pioche

https://www.francebleu.fr/sports/rugby/top-14-l-ubb-se-teste-a-castres-1567526141

Scalp a écrit:

[...] managerde [...]

Que voilà un néologisme intéressant (et très probablement involontaire) de la part de Sud Ouest qui aurait pu, pour le coup, être opportun pour qualifier certains des prédécesseurs de Christophe Urios.  
Sans parler de ce salmigondis à la sauce DRH que je trouve un tantinet pénible...
En espérant qu'on tienne enfin la route à l'extérieur et qu'on passe outre cette avalanche de papiers sur LE "grand retour" et "la rivalité de gnagnagna".
L'expérience nous a montré que dès que la presse commence à être élogieuse à propos de l'Union, on a du souci à se faire.
(c'était ma contribution radiesque, surtout si j'ajoute que Rolitulirolitula pourrait être un recrutement intéressant à l'horizon 2023 puisqu'en tant que pilier droit à Punauaia il fait preuve d'une belle vélocité et pourrait être employé utilement s'il était replacé en n°12, comme son oncle à La Châtre en 1978. Non, pas en 13, Kaze, son jeu au pied est excellent)


Arx tarpeia Capitoli proxima, surtout quand le sifflet est euh... fantasque ?

ce n'est rien a écrit:

Scalp a écrit:

[...] managerde [...]

Que voilà un néologisme intéressant (et très probablement involontaire) de la part de Sud Ouest qui aurait pu, pour le coup, être opportun pour qualifier certains des prédécesseurs de Christophe Urios.  
Sans parler de ce salmigondis à la sauce DRH que je trouve un tantinet pénible...
En espérant qu'on tienne enfin la route à l'extérieur et qu'on passe outre cette avalanche de papiers sur LE "grand retour" et "la rivalité de gnagnagna".
L'expérience nous a montré que dès que la presse commence à être élogieuse à propos de l'Union, on a du souci à se faire.
(c'était ma contribution radiesque, surtout si j'ajoute que Rolitulirolitula pourrait être un recrutement intéressant à l'horizon 2023 puisqu'en tant que pilier droit à Punauaia il fait preuve d'une belle vélocité et pourrait être employé utilement s'il était replacé en n°12, comme son oncle à La Châtre en 1978. Non, pas en 13, Kaze, son jeu au pied est excellent)


Arx tarpeia Capitoli proxima, surtout quand le sifflet est euh... fantasque ?

Hey Monjambonstar

Quand tu passes commande, jette un œil au taf
c'est pas l'apocalypse de Kaze, c'est plus carré...

Cardona, Minery, Trainini, Pechou... Muy bien, mais... y'a comme un vide  



Et pis c'est pas moi c'est Kazzzzzzzzzzzzzzzzzzzz, là, d'abord (non, pas en 13, Kaze, ou alors plutôt le petit frère de Fultimimbulatanikanorofetudradolimimbowelotifinualoloka qui joue à Essen en fédérale 23 B mais qui est Jif).  
La gestuelle de Trainini est -certes- somptueuse, tout le monde est d'accord, mais ne saurait encore occulter la splendeur de Seb lorsqu'il était au sommet.
En tous cas laisse-lui son chant du cygne, sois un peu charitable, quoi... Mets-le au moins en Joker (ou sinon tu peux faire une croix sur tes tickets resto de janvier 2016).  

Il manquait le plus beau...

Fultimimbulatanikanorofetudradolimimbowelotifinualoloka qui va sur ses huit ans et demi, quand même !
Mais côôômme d'habitude, le staff se repose sur ses lauriers alors que l'ASM, le SF et Krasnoyarsk se sont déjà positionnés.
'Tain on apprend rien, c'est désespérant.

https://www.sudouest.fr/2019/09/07/cordero-arrive-lance-6532809-773.php

UBB : Cordero arrive lancé

par Yoan Leshauriès.

Après avoir affolé les défenses adverses la saison dernière en Angleterre, l’international argentin, non retenu pour le Mondial, va jouer son premier match avec l’Union Bordeaux-Bègles ce samedi (15h30) à Castres. Il sera titulaire à l’aile.

Il a débarqué il y a seulement dix jours à l’Union Bordeaux-Bègles et le voilà déjà titulaire au poste d’ailier pour le déplacement à Castres aujourd’hui (15 h 30). Déjà prêt Santiago Cordero ? « Il vient de jouer les All Blacks, les Sud-Af’, les Australiens… Sans déconner, si lui n’est pas prêt, personne n’est prêt », répond avec le sourire Christophe Urios, le manager girondin. « On peut encore se poser la question de savoir s’il va être en place sur les schémas de jeu. Mais j’ai la faiblesse de penser que les grands joueurs, il faut les avoir sur le terrain. Et lui fait partie des grands joueurs. Il est décisif, il a un rôle d’autant plus important qu’il doit finir les coups. C’est un grand finisseur, on a besoin de lui. »

Après avoir participé à la première semaine de préparation avec l’UBB, l’international argentin (35 sélections) était parti rejoindre les Pumas pour préparer la Coupe du monde. Mais n’ayant pas été retenu dans la liste finale pour le Japon, il est donc rentré en Gironde plus vite que prévu, et ne jouera donc pas un deuxième Mondial, après celui de 2015 où il s’était révélé au grand public. Le joueur ne semble pas affecté pour autant puisqu’il n’était guère optimiste avant de rejoindre la sélection.

Étincelant à Exeter

« Au départ, ils ont fait appel à moi pour pallier une blessure. Le joueur en question (Bautista Delguy) a bien récupéré, il a donc été sélectionné », explique Santiago Cordero, qui connaît la règle chez les Pumas : priorité aux joueurs évoluant en Argentine.

Il y a deux ans, ce joueur originaire de Buenos Aires, surnommé « la pelusa » (la peluche) dans son pays (« parce que je suis très poilu », sourit-il), a rejoint l’équipe anglaise d’Exeter. La saison dernière, il a affolé les compteurs et les défenses adverses en Premiership, inscrivant 10 essais en 18 matchs (tous titulaires). Des crochets dévastateurs, des appuis hallucinants, et une vitesse éclair qui défilent sur les « best of » compilés à sa gloire sur You Tube. Exeter ayant été contraint de s’en séparer pour des questions de salary-cap, l’UBB a sauté sur l’occasion et a fait signer l’Argentin pour deux saisons. Un gros coup sur le marché des transferts.

Déjà adopté

Le Mondial et la sélection derrière lui, Santiago Cordero a vite pris ses marques au sein de son nouveau club, dont les mérites lui ont été vantés par Mariano Galarza (ancien deuxième ligne argentin de l’UBB qui a rejoint Bayonne cet été). « Tout joueur rêve de jouer un Mondial et représenter son pays mais d’un autre côté, le fait de ne pas avoir été retenu me permet d’être arrivé à Bordeaux plus tôt. Comme ça, j’ai pu mieux faire connaissance avec les mecs, le club, l’équipe… Si j’avais joué le Mondial et que j’étais revenu en novembre, j’aurais été un étranger pour tout le monde. »

La « pelusa » a déjà été adoptée au sein de l’UBB. « Il fait forte impression, confie l’arrière Nans Ducuing. On le connaît, il a pas mal d’expérience au niveau international, il a été élu meilleur joueur en Angleterre. C’est un super joueur, on le voit très habile, très véloce. Il a aussi envie de montrer à sa nouvelle équipe qu’il faudra compter sur lui cette année. Et en plus de ça, c’est un très bon mec, il parle deux-trois mots de français. On sent qu’il y a un petit peu de malice et ça, c’est tout bon pour le groupe. »

« Courir pour ma survie »

Santiago Cordero va avant tout devoir faire la différence sur le terrain. Par son petit gabarit (1,76 m) et son expérience du rugby à VII (il compte 33 sélections à 7 avec l’Argentine), l’arrière-ailier, amateur d’espaces, définit son style de jeu non sans humour : « Courir pour ma survie ». Il va devoir s’adapter au Top 14, un championnat différent de celui de l’Angleterre. « C’est un jeu très serré où il est très difficile de franchir la ligne d’avantage, il faut beaucoup étudier l’adversaire », note-t-il. Malgré cela, il fera tout pour s’engouffrer dans la brèche.

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Bordeaux-begles-chaudes-retrouvailles-pour-christophe-urios-a-castres/1056606

Bordeaux-Bègles : chaudes retrouvailles pour Christophe Urios à Castres

Quatre mois après le barbecue de la discorde qui avait marqué sa fin de mandat à la tête du CO, Christophe Urios fait son retour à Castres aux manettes de l'UBB, dans un climat encore tendu.

Thomas Perotto, à Castres

Son ombre a plané toute la semaine au centre d'entraînement du Lévézou et sur la pelouse du stade Pierre-Fabre. Celui-dont-les-joueurs-ne-doivent-pas-prononcer-le-nom, le vous-savez-qui-de-l'UBB. Une ombre un peu envahissante, presque perturbante même si, dans un formidable concert de langue de bois, les Castrais ont tenté de dégonfler la situation. Christophe Urios, puisque c'est de lui qu'il s'agit, a passé les quatre dernières saisons à la tête du Castres Olympique avant de prendre cet été celle de l'Union Bordeaux-Bègles. Et il est de retour ce samedi.

Pour imaginer le climat qui entoure ce CO - UBB, il faut se replonger dans l'atmosphère de l'ultime journée de Top 14, le 25 mai. Castres vient de s'incliner à domicile face à Toulon (16-25) et laisse échapper une qualification pour la phase finale qui lui tendait les bras. En zone mixte, Christophe Urios, remonté, envoie ses premières flèches. «C'est une très belle histoire qui finit mal. On a vu une équipe usée, qui ne se révolte pas. Je ne sais pas s'ils pensaient à l'an prochain ou si c'est parce qu'on n'a plus rien dans le caleçon. Là, j'ai envie de vacances, de me reposer, et de vite basculer sur un autre défi avec Bordeaux», assène le manager du CO. Le mardi, lors du barbecue de fin de saison, il n'est pas là. Plus là. «Il faut comprendre que j'ai donné ma chemise pour les mecs, comme personne ne l'a encore fait. Je n'avais pas envie de les revoir, expliqua Urios un mois plus tard à quelques journalistes de la presse locale. Donc, dans ces circonstances, à quoi bon me retrouver autour d'un verre et entouré de gens qui m'avaient profondément déçu ? Pourquoi j'aurais ramené de la tristesse à cette table ? Je n'avais pas envie de ça. De la même façon, je n'avais pas envie d'entendre les remerciements du président qui ne me parlait plus.»

La cicatrice est ouverte, elle ne se refermera pas. «La réaction de Christophe après le dernier match a surpris pas mal de joueurs. C'était un mélange de colère, d'incompréhension et de déception. Couper le cordon comme ça, c'était vraiment limite», souffle un joueur du CO en off, les Castrais n'ayant pas été autorisés à parler dans les médias cette semaine, preuve que la tension et la pression sont bien plus grandes qu'on ne veut bien l'admettre officiellement.

Dans la foulée de la défaite face à Toulon, seul l'Argentin Benjamin Urdapilleta ira au domicile d'Urios pour tenter de crever l'abcès et discuter un peu. Plusieurs autres joueurs l'ont relancé par message, pendant deux jours, pour le convaincre de venir au barbecue. En vain. «Sur la manière, j'ai trouvé cela maladroit de sa part, je le dis en toute transparence, confie l'ailier Armand Batlle. Je comprends que la fin de saison avait été éprouvante, qu'une certaine lassitude s'était installée, qu'il y avait une accumulation de stress. Mais on avait ferraillé ensemble longtemps et on a été déçus de ne pas pouvoir se dire au revoir.»

«Christophe est quelqu'un d'entier, de franc. Il a beaucoup donné pour cette équipe. Il ne sait pas faire semblant. S'il n'avait pas envie de revoir les mecs après le dernier match, il n'allait pas se forcer», ajoute le directeur délégué du club, Matthias Rolland qui, lui, est allé boire un café le dimanche avec l'actuel manager de l'UBB. Désormais à Oyonnax, où il a connu Christophe Urios dès 2012, le deuxième-ligne Thibaut Lassalle livre à peu près la même analyse : «On aurait tous préféré qu'il soit là. Mais c'est humain, et Christophe ne triche pas. Il était amer, il était sorti éprouvé par cette période et il ne voulait pas se forcer... Je ne dis pas que c'est normal sur la forme, mais je le comprends.»

«Christophe sera bien accueilli. Je ne suis pas ingrat, je sais ce qu'il a apporté au club» - Pierre-Yves Revol, président du Castres Olympique

Vendredi, lors du dernier entraînement du CO, Mauricio Reggiardo, qui a succédé à Urios, faisait semblant de regarder ailleurs au moment d'évoquer ce contexte particulier. «On ne joue pas contre Christophe Urios, on joue contre l'UBB. Il faut savoir faire la part des choses», a répété l'Argentin. «Le retour de Christophe Urios est secondaire pour moi, confie le président du CO, Pierre-Yves Revol. Il sera bien accueilli. Tout le monde sait que son bilan à Castres, malgré son échec de la saison dernière, est positif sur la durée. Je ne suis pas ingrat, je sais ce qu'il a apporté au club. Mais lui est passé à autre chose, nous aussi. Les déclarations des uns et des autres, cela ne m'intéresse pas. C'est de l'écume.» Début juin, Revol avait pourtant tiré une petite flèche sur le site du CO, en soulignant que «tout le monde a constaté que Christophe Urios a beaucoup parlé de lui au cours de la saison dernière, sans doute trop».

Reste ce mélange de rancoeur, de déception et de frustration, qui anime la plupart des joueurs et des membres du club. «Quand le calendrier de la saison est sorti, on a immédiatement regardé la date des retrouvailles. Et on l'a cochée, je vous le confirme», rigole un titulaire de la saison dernière. «Cette semaine, on n'a pas eu besoin de faire de grands discours pour se préparer, la motivation était toute trouvée», souligne un autre.

«C'est un match particulier, on ne va pas prétendre le contraire, soutient de manière honnête Matthias Rolland. Le retour de Christophe à Castres en est la principale raison. Il a contribué à faire grandir le club, sur le terrain et en dehors. La saison s'est terminée sur une forme de déception, mais sa marque ici reste très positive.»

La marque est positive, mais le souvenir des derniers jours de l'aventure reste vif. Et, à défaut d'un barbecue, les Castrais ne veulent pas passer à côté de ces retrouvailles pour régler une partie de leurs comptes.

https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2018-2019/top-14-le-duel-david-lamerat_sto7446459/story.shtml

Le duel : Lamerat - David

Tant attendu depuis de longues semaines, ce choc entre Castres et Bordeaux promet de faire des étincelles. Sur le banc de touche déjà, en témoigne la rivalité entre Reggiardo et Urios, mais aussi sur le terrain. Un duel sort du lot : celui entre les deux déménageurs Yann David et Rémi Lamerat.

Attaque : Avantage Lamerat

Les deux hommes ont sensiblement le même style de jeu et le même rôle dans leurs équipes respectives. Yann David est connu et reconnu pour être un premier centre très puissant, capable de fixer plusieurs adversaires pour faire jouer derrière. Malheureusement, ses nombreuses blessures ne lui ont jamais permis de franchir un cap et de gagner sa place avec le XV de France. Cependant, depuis son arrivée au CO, l’ancien berjallien semble s’épanouir. Malgré la concurrence d’Ebersohn, Vialelle et Combezou, il reste un joueur à part entière de l’effectif tarnais.

Du côté de l’UBB, l’arrivée de Rémi Lamerat a fait un bien non-négligeable, notamment en l’absence de Semi Radradra. Déjà bien en place, son association avec Jean-Baptiste Dubié est très intéressante. D’autant plus que Christophe Urios lui fait particulièrement confiance. Il devient peu à peu le régulateur de cette ligne d’attaque bordealise et amène son expérience. On a pu le voir contre Toulouse et face à Toulon, contre qui il a inscrit un doublé.

Dans le secteur de l’attaque, nous lui donnons l’avantage car il propose un jeu plus complet, plus technique. En revanche, dans un match fermé comme celui qui se dessine cette après-midi, la puissance au milieu du terrain de Yann David pourrait faire la différence, surtout près de la ligne.



Défense : Avantage David

C’est aussi pour cela que le CO l’a recruté : la faculté qu’à Yann David a défendre sur des joueurs très percutants. Sans oublier sa très bonne lecture défensive. Rarement battu, il est un facteur rassurant pour l’effectif de Mauricio Reggiardo. Cette après-midi, aux côtés de Thomas Combezou, il n’aura pas d’énormes gabarits en face, mais pourrait s’avérer précieux, surtout si l’UBB vise la zone du dix.

Rémi Lamerat est très bon lui aussi dans ce domaine, mais les plaquages dévastateurs du Castrais permettent à sa troisième-ligne de gratter de nombreux ballons et de contre-attaquer. Avantage Yann David, qui doit confirmer, pour s’installer définitivement au poste de centre, devant Robert Ebersohn qui est pour l’instant l’option numéro une au poste de premier centre.

La forme du moment : Avantage Lamerat

On l’évoquait un peu plus haut, le Bordelais a démarré sa première saison en trombe. Pendant ce temps-là, le Castrais n’a disputé que quarante-huit petites minutes contre Montpellier, sans vraiment peser sur la partie. Les deux centres ont de la bouteille puisqu’ils évoluent dans le Top 14 depuis de nombreuses années désormais. Cependant, l’arrivée en Gironde a relancé Rémi Lamerat. En deux rencontres seulement, il s’est déjà imposé et semble être une des pièces imortantes sur lesquelles souhaite se reposer Christophe Urios.

De plus, il bénéfieciera d’une motivation supplémentaire puisqu’il a évolué durant cinq saisons sous le maillot tarnais. Il ne fait aucun doute que ce rendez-vous lui tient à cœur et qu’il souhaitera enchaîner les matchs, lui qui n’en a pas eu l’occasion depuis longtemps.

Attention cependant au réveil de l’ancien joueur du Stade Toulousain. Un tel match, devant son public, pourrait permettre à Yann David de se montrer et de lancer (enfin) sa saison.



Résultat : 2-1 pour Rémi Lamerat

À l’image du match, ce duel semble extrêmement équilibré sur le papier. Les deux joueurs puissants devraient se livrer une belle partie. S’ils ont un style de jeu assez similaire, Rémi Lamerat semble plus complet, notamment techniquement. Très bon défenseur, il impressionne en ce début de saison. Avec deux essais marqués contre Toulon, l’ancien castrais est de retour à son meilleur niveau. Nous lui donnons donc l’avantage dans ce face-à-face.

Mathieu Vich

https://sport.francetvinfo.fr/rugby/top-14/top-14-christophe-urios-ubb-changement-de-role-castres

Top 14: Christophe Urios (UBB), changement de rôle à Castres


Premier match de la 3e journée du Top 14, l'affrontement entre Castres et l'Union Bordeaux-Bègles (15h30) aura une saveur particulière pour Christophe Urios. Champion de France avec Castres voici deux ans, le technicien a, cet été, changé de crèmerie pour prendre en mains l'équipe de Bordeaux-Bègles, avec laquelle il vient dans le stade Pierre-Fabre en tant qu'équipe invaincue. Mais qui n'a plus gagné à l'extérieur depuis le 23 décembre dernier, à Castres.

Pendant longtemps, avec son impressionnant gabarit qui n'a d'égale que sa forte voix, Christophe Urios a été l'image du Castres Olympique. Joueur castrais de 1990 à 1999, passé entraîneur sitôt sa retraite prise (jusqu'en 2003), il y était revenu en 2015, pour mener son groupe jusqu'au Bouclier de Brennus en 2018.

Mais derrière ce sommet, derrière cet accomplissement, la sauce est rapidement retombée. Car en novembre dernier, les rumeurs étaient confirmées: le technicien avait décidé de s'engager avec Bordeaux-Bègles pour la saison suivante. Un choix qui a accompagné Urios durant toute la saison, notamment avant les affrontements entre les deux clubs. A l'arrivée, le CO a échoué à se qualifier pour la phase finale, tout comme l'UBB.

Comme il l'a déjà vécu lorsqu'il entraînait Bourgoin ou Oyonnax, Christophe Urios va donc prendre place dans le vestiaire des visiteurs. Avec un atout, deux premières victoires initiales cette saison contre Toulouse (30-25) et Toulon (34-12), et une écharde dans le pied: son équipe n'a plus gagné à l'extérieur depuis le 23 décembre dernier. C'était alors à... Castres. Et comme le CO se trouve déjà sous pression après sa courte victoire à domicile contre Montpellier (26-25) et sa défaite au Racing (23-14), les hommes de son ancien partenaire, Mauricio Reggiardo, qui a pris sa succession, ont bien envie de jouer un mauvais tour à leur ancien coach.

Thierry Tazé-Bernard

Bien que cela ne semble pas être dans sa mentalité, je suis impatient de voir si Lucu a les nerfs assez solides pour résister aux provocations de Kockott voire à le faire dégoupiller pour lui faire manger une biscotte

http://arl.lesindesradios.net/news/rugby-top-14-castres-ubb-19518

Notons que Delguy dont la blessure avait motivée le rappel de Cordero en sélection vient de planter 4 essais en une mi temps pour le dernier match de préparation des Argentins..... vous me direz, vue l'opposition, Santiago en aurait sans doute marquer 6

http://www.sport-tv.org/2019/09/rugby-3eme-journee-du-top-14-et-canal-rugby-club-ce-week-end.html


3ème Journée du Top 14 et Canal Rugby Club ce week-end !

Samedi après-midi, deux rencontres sont diffusées consécutivement sur CANAL+ : Castres/Bordeaux-Bègles à 15h30, puis Toulon/Lyon à 17h30. A partir de 20h35, un MULTIRUGBY avec trois matchs est proposé sur CANAL+SPORT, suivi de JOUR DE RUGBY à 22h35. Dimanche, le promu briviste affronte Clermont à 16h50, pour le 100ème derby de l’histoire entre les deux clubs. La 2ème partie du CANAL RUGBY CLUB débutera ensuite à 18h40. Enfin, le choc entre le Racing 92 et le Stade Toulousain, champion de France en titre, est diffusé en prime time sur CANAL+ à 21h00.

Samedi 7 septembre :

15h10 : SAMEDI SPORT en direct sur Canal+
15h30 : CASTRES / BORDEAUX-BEGLES en direct sur Canal+
17h30 : TOULON / LYON en direct sur Canal+
20h35 : MULTIRUGBY en direct sur Canal+Sport

(coup d’envoi des rencontres à 20h45)

• MONTPELLIER / LA ROCHELLE (également en direct sur Rugby+ )
• PARIS / BAYONNE (également en direct sur Rugby+ )
• PAU / AGEN (également en direct sur Rugby+ )
22h35 : JOUR DE RUGBY en direct sur Canal+Sport


Dimanche 8 septembre :

16h40 : CANAL RUGBY CLUB en direct sur Canal+
16h50 : BRIVE / CLERMONT en direct sur Canal+ Commenté par Bertrand Guillemin avec Cédric Heymans et Astrid Bard
18h35 : CANAL RUGBY CLUB en direct sur Canal+
20h55 : AVANT MATCH TOP 14 en direct sur Canal+
21h00 : TOULOUSE / RACING 92 en direct sur Canal+ Commenté par Eric Bayle avec Thomas Lombard et Philippe Fleys

LE CANAL RUGBY CLUB

Et à 18h40 prise d'antenne pour le CANAL RUGBY CLUB en direct sur Canal+ avec Isabelle Ithurburu à la présentation et Sébastien Chabal et Marc Lièvremont comme consultants
Au programme du CANAL RUGBY CLUB de ce dimanche 8 septembre :

Retour sur la rencontre entre Castres et Bordeaux-Bègles, marquée par le retour de Christophe Urios au stade Pierre-Fabre. Ce match représente le premier test pour l’UBB à l’extérieur, après deux victoires à domicile pour débuter la saison.
Retour sur le match Lyon/Toulon : trois joueurs recalés de la liste de Jacques Brunel pour le Mondial (Félix Lambey, Anthony Belleau et Romain Taofifenua) font leur retour à la compétition avec leur club à l’occasion de cette rencontre.
Présentation des enjeux de la rencontre Toulouse/Racing 92, diffusée dimanche à 21h00 sur CANAL+
L’actualité de l’Equipe de France, qui arrive dimanche à son camp de base au Japon
Le film du Top 14 : Résumés des trois matchs prévus samedi à 20h45 : Montpellier/La Rochelle, Paris/Bayonne et Pau/Agen
« Cadrage, débordement » : un retour plein de sourires sur la semaine écoulée en Top 14 et en Equipe de France

Quatre mois après le barbecue de la discorde qui avait marqué sa fin de mandat à la tête du CO, Christophe Urios fait son retour à Castres aux manettes de l'UBB, dans un climat encore tendu.

Thomas Perotto, à Castres


Wow ! Elle est magnifique celle-là !
Et notons que M. Perotto est resté d'une rare sobriété journalistique en choisissant de ne pas évoquer le fameux "petit-déjeuner de l'apocalypse", ni le célèbre "brunch du massacre" ou encore le "goûter de la nuit des longs couteaux".
C'est tout à son honneur.

Match difficile en perspective. Sur le papier, on devrait pouvoir rivaliser avec le CO même si à domicile, ils vont être très motivés.

Validons nos deux premiers résultats en ramenant quelque chose de Castres et surtout pas une valise pleine.

Un bonus défensif serait déjà un bon début, faut pas se voir trop beau, on est en pleine construction encore.

barbecue de la discorde a écrit:

Quatre mois après le barbecue de la discorde qui avait marqué sa fin de mandat à la tête du CO, Christophe Urios fait son retour à Castres aux manettes de l'UBB, dans un climat encore tendu.

Thomas Perotto, à Castres


Wow ! Elle est magnifique celle-là !
Et notons que M. Perotto est resté d'une rare sobriété journalistique en choisissant de ne pas évoquer le fameux "petit-déjeuner de l'apocalypse", ni le célèbre "brunch du massacre" ou encore le "goûter de la nuit des longs couteaux".
C'est tout à son honneur.

le Point Godwin n'est pas loin

Croisons les doigts pour ne pas voir nos bonnes impressions des deux premières journées partir en fumée! Bon match à tous!

Kokcott nous fait pour le moment mal avec son jeu au pied! Il a le vent avec lui!

Choix étonnant de Diaby qui choisit la mélée dans son camp au lieu d'aller occuper le terrain castrais... Du coup pas étonnant qu'on se risque à une pénalité contre nous dans notre camp, 3-0.
On galére a sortir de notre camp!

romojito33 a écrit:Kokcott nous fait pour le moment mal avec son jeu au pied! Il a le vent avec lui!

Ducuing aussi nous a fait mal avec son jeu au pied

barbecue de la discorde a écrit:

Quatre mois après le barbecue de la discorde qui avait marqué sa fin de mandat à la tête du CO, Christophe Urios fait son retour à Castres aux manettes de l'UBB, dans un climat encore tendu.

Thomas Perotto, à Castres


Wow ! Elle est magnifique celle-là !
Et notons que M. Perotto est resté d'une rare sobriété journalistique en choisissant de ne pas évoquer le fameux "petit-déjeuner de l'apocalypse", ni le célèbre "brunch du massacre" ou encore le "goûter de la nuit des longs couteaux".
C'est tout à son honneur.

Excellent

Trop fort MJS !!

Vince33 a écrit:

romojito33 a écrit:Kokcott nous fait pour le moment mal avec son jeu au pied! Il a le vent avec lui!

Ducuing aussi nous a fait mal avec son jeu au pied

Oui en effet, on n'arrive pour le moment pas à respirer. Castres joue bien et utilise ce qu'elle fait de mieux, occupation au pied avec le vent et combat!

12' de jeu, 11' dans notre camp