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6 Nations 2020
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Re: 6 Nations 2020
Merci Jaja pour ce petit message, transmets lui tout notre soutien !jaja69 a écrit:Switch a écrit:https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2019/tournoi-des-6-nations-2020-bouthier-et-houas-titulaires-dupont-ntamack-a-la-charniere.-le-xv-des_sto7642960/story.shtml
Une charnière 100% toulousaine, le XV de France est sauvé ! De quoi arranger la modestie stadiste
Déçu pour Mathieu mais content pour Cameron !
Matthieu est un compétiteur et comme tout compétiteur je sais qu'il aurait souhaiter être Titulaire, mais ne vous y trompez pas, il est heureux d'être sur la feuille et sa détermination sera sans faille, tout comme sa motivation. Il va prendre de l'expérience au sein du groupe et fera de son max lorsqu'on lui donnera sa chance.
biscouette- Centre de presse
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Re: 6 Nations 2020
Ouverture d'une cellule de soutien psychologique !Switch a écrit:sudiste a écrit:79 ème la France est menée de 6 points.
Mêlée sur les 40 anglais . Poirot met son vis à vis au supplice et obtient une pénalité.
Jalibert appelle...Serin la joue rapidement et ouvre.
Jalibert slalome dans la ligne anglaise attirant les défenseurs à lui ..il fixe et allonge une passe de 20 m vers Woki placé dans le couloir qui aplatit après une course rageuse et un dernier raffût sur Daly.
Matthieu en coin, transforme en réalisant le trois bandes ( poteau, poteau, transversale) rentrant
Crise cardiaque et fractures multiples de l'égo du côté de la Haute-Garonne
Ça aussi ça doit avoir du mal à passer… : https://www.sportune.fr/business/le-classement-du-top-14-vs-le-budget-des-equipes-a-mi-parcours-228476 (posté par March' tout à l'heure dans le sujet pognon).
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« Si le seul outil que vous avez est un marteau, vous tendez à voir tout problème comme un clou. » Abraham Maslow
« You can't kill what you can't see. » The Last Poets
« Il est plus facile de tromper les gens, que de les convaincre qu’ils ont été trompés. » Mark Twain
biscouette- Centre de presse
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Humeur : Consterné par le traitement réservé à MJ, la mentalité d'une partie des commentateurs (journalistes et supporters), etc.
Re: 6 Nations 2020
https://www.sudouest.fr/2020/01/30/xv-de-france-galthie-explique-ses-choix-avant-l-angleterre-7130592-4950.php
XV de France : Galthié explique ses choix avant l’Angleterre
par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial.
Le sélectionneur est revenu notamment sur les titularisations de Bouthier et de Haouas, dimanche à Paris (16 heures), face aux vice-champions du monde anglais.
Fabien Galthié, sélectionneur du XV de France, a dévoilé la composition de l’équipe qui affrontera l’Angleterre ce dimanche à Paris (16 heures). Au-delà de l’ossature, faite de nombreux « mondialistes », deux néophytes au niveau international vont vivre leur première sélection : Anthony Bouthier et Mohamed Haouas.
Au-delà de l’explication de ses choix, Fabien Galthié a également exprimé des objectifs qui résonnent comme des promesses : « Attendez-vous à une présence et un engagement optimal. À des joueurs qui vont faire preuve de passion. Qui vont repousser leurs limites. Attendez-vous à un paquet d’avants, à une conquête qui va tout donner. Attendez-vous à des phases de combat féroce. À des placages, des collisions féroces. Attendez-vous à une équipe qui ne lâche rien. »
Anthony Bouthier à l’arrière
« Ce qui nous a poussés à le titulariser, ce sont ses performances en club depuis le début de la saison. Elles sont de très haut niveau, de manière récurrente : il est régulier. Plusieurs fois, alors que son équipe était en difficulté contre La Rochelle et l’UBB, Xavier Garbajosa (son manager à Montpellier) a sorti à la mi-temps son ouvreur All Black Cruden pour faire passer Anthony Bouthier à l’ouverture : il a redynamisé son équipe. Les entraînements qu’il a produits avec nous ont confirmé son potentiel. On lui a donné l’organisation, les consignes, et on lui a dit »à toi de jouer" : il répond favorablement à toutes les situations qu’il a gérées pour le moment."
Mohamed Haouas en numéro 3
« On n’a pas de certitude à ce niveau-là aujourd’hui : à partir du moment où tu hésites entre deux joueurs (avec Demba Bamba) qui ont aussi peu d’expérience, on peut se poser des questions. La réponse, on l’aura dimanche. Mais d’abord, Mohamed Haouas performe en club. Il est sur une trajectoire étonnante. C’est un joueur qui a découvert le rugby dans son quartier à l’âge de 15 ans grâce à l’association Hérault Sport. Des joueurs passent par les académies, les centres de formation. Mais il n’y a pas de vérité. Il y a que celle du terrain. »
La charnière Dupont – Ntamack
« C’est la charnière qu’on a vue pendant la Coupe du monde. Cet axe 9–10, je dirais même avec les centres et Damian Penaud, a donné entière satisfaction : vu le contexte compliqué, ils se sont adaptés à l’environnement. Il y a de la continuité dans la construction de cette équipe. On s’appuie sur eux. »
XV de France : Galthié explique ses choix avant l’Angleterre
par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial.
Le sélectionneur est revenu notamment sur les titularisations de Bouthier et de Haouas, dimanche à Paris (16 heures), face aux vice-champions du monde anglais.
Fabien Galthié, sélectionneur du XV de France, a dévoilé la composition de l’équipe qui affrontera l’Angleterre ce dimanche à Paris (16 heures). Au-delà de l’ossature, faite de nombreux « mondialistes », deux néophytes au niveau international vont vivre leur première sélection : Anthony Bouthier et Mohamed Haouas.
Au-delà de l’explication de ses choix, Fabien Galthié a également exprimé des objectifs qui résonnent comme des promesses : « Attendez-vous à une présence et un engagement optimal. À des joueurs qui vont faire preuve de passion. Qui vont repousser leurs limites. Attendez-vous à un paquet d’avants, à une conquête qui va tout donner. Attendez-vous à des phases de combat féroce. À des placages, des collisions féroces. Attendez-vous à une équipe qui ne lâche rien. »
Anthony Bouthier à l’arrière
« Ce qui nous a poussés à le titulariser, ce sont ses performances en club depuis le début de la saison. Elles sont de très haut niveau, de manière récurrente : il est régulier. Plusieurs fois, alors que son équipe était en difficulté contre La Rochelle et l’UBB, Xavier Garbajosa (son manager à Montpellier) a sorti à la mi-temps son ouvreur All Black Cruden pour faire passer Anthony Bouthier à l’ouverture : il a redynamisé son équipe. Les entraînements qu’il a produits avec nous ont confirmé son potentiel. On lui a donné l’organisation, les consignes, et on lui a dit »à toi de jouer" : il répond favorablement à toutes les situations qu’il a gérées pour le moment."
Mohamed Haouas en numéro 3
« On n’a pas de certitude à ce niveau-là aujourd’hui : à partir du moment où tu hésites entre deux joueurs (avec Demba Bamba) qui ont aussi peu d’expérience, on peut se poser des questions. La réponse, on l’aura dimanche. Mais d’abord, Mohamed Haouas performe en club. Il est sur une trajectoire étonnante. C’est un joueur qui a découvert le rugby dans son quartier à l’âge de 15 ans grâce à l’association Hérault Sport. Des joueurs passent par les académies, les centres de formation. Mais il n’y a pas de vérité. Il y a que celle du terrain. »
La charnière Dupont – Ntamack
« C’est la charnière qu’on a vue pendant la Coupe du monde. Cet axe 9–10, je dirais même avec les centres et Damian Penaud, a donné entière satisfaction : vu le contexte compliqué, ils se sont adaptés à l’environnement. Il y a de la continuité dans la construction de cette équipe. On s’appuie sur eux. »
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: 6 Nations 2020
http://sport24.lefigaro.fr/rugby/6-nations/actualites/six-nations-la-conference-de-presse-de-galthie-en-direct-avant-france-angleterre-991163
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/xv-de-france-galthie-et-ibanez-repondent-a-la-promesse-d-eddie-jones-1849684.html
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Re: 6 Nations 2020
Oups! Suis à la bourre!
Belle et logique compo. Il fallait garder une certaine continuité avec la CM car y a du lourd en face.
Juste étonné pour Poirot sur le banc.
Matthieu aura sa chance et saura la saisir, galthier en aura mal au crâne!
Super content pour Woki...et Bouthier. J’adore ce joueur...il nous le faut à l’ubb. Ce landais doit jouer à l’ubb.
Belle et logique compo. Il fallait garder une certaine continuité avec la CM car y a du lourd en face.
Juste étonné pour Poirot sur le banc.
Matthieu aura sa chance et saura la saisir, galthier en aura mal au crâne!
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grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: 6 Nations 2020
Pour Jeff, peut-être une histoire de complémentarité avec le talon et qu'avec Chat il aurait été titu ? + peut-être pour le piquer un peu ?grospaquet31 a écrit:Oups! Suis à la bourre!
Belle et logique compo. Il fallait garder une certaine continuité avec la CM car y a du lourd en face.
Juste étonné pour Poirot sur le banc.
Matthieu aura sa chance et saura la saisir, galthier en aura mal au crâne!
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biscouette- Centre de presse
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Re: 6 Nations 2020
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Re: 6 Nations 2020
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Re: 6 Nations 2020
biscouette a écrit:Pour Jeff, peut-être une histoire de complémentarité avec le talon et qu'avec Chat il aurait été titu ? + peut-être pour le piquer un peu ?grospaquet31 a écrit:Oups! Suis à la bourre!
Belle et logique compo. Il fallait garder une certaine continuité avec la CM car y a du lourd en face.
Juste étonné pour Poirot sur le banc.
Matthieu aura sa chance et saura la saisir, galthier en aura mal au crâne!
Super content pour Woki...et Bouthier. J’adore ce joueur...il nous le faut à l’ubb. Ce landais doit jouer à l’ubb.
Peut etre qu'il fait trop de faute, qu'il est trop sanctionné en mélée.
willoush- J'aime l'Union à la folie
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Re: 6 Nations 2020
https://www.lerugbynistere.fr/news/vous-lattendiez-la-compo-de-langleterre-face-au-xv-de-france-est-la-3101201222.php
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: 6 Nations 2020
Scalp a écrit:https://www.lerugbynistere.fr/news/vous-lattendiez-la-compo-de-langleterre-face-au-xv-de-france-est-la-3101201222.php
C'est gras, épais, averses annoncées, victoire des Bleus 17 à 15. c'est la troisième ligne que je crains, j'espère que Vakatawa va nous faire courir ce Tuilagi, quand à Marler, il va se faire exploser.
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Re: 6 Nations 2020
https://www.sudouest.fr/2020/01/31/tournoi-des-vi-nations-les-debuts-de-furbank-dans-une-angleterre-au-parfum-mondial-7135613-773.php
Tournoi des VI nations : les débuts de Furbank dans une Angleterre au parfum mondial
par SudOuest.fr avec AFP.
Douze des finalistes de la dernière Coupe du monde au Japon débutent la rencontre contre la France dimanche au Stade de France.
George Furbank, l’arrière de Northampton, connaîtra sa première sélection avec l’Angleterre, dimanche pour le premier match du Tournoi, au sein d’une équipe qui comprendra au coup d’envoi 12 joueurs qui avaient débuté la finale de la Coupe du monde.
Outre Furbank, les seuls « nouveaux venus » dans l’équipe de départ sont le deuxième ligne Charlie Ewels (Bath) et le pilier Joe Marler, qui était remplaçant lors de la défaite face aux Springboks (32–12). « George (Furbank) lit bien le jeu, il est décisif, il a des aptitudes de base, il est bon à la relance, c’est un jeune homme (23 ans) très impressionnant, en confiance et il supporte la pression, rien ne semble le perturber », a loué vendredi en conférence de presse le sélectionneur Eddie Jones.
Youngs-Ford en charnière
Par ailleurs, Jones a choisi de déplacer certains joueurs: Elliot Daly glisse de l’arrière à l’aile gauche, habituel flanker, Tom Curry (21 ans, 19 sélections) jouera N.8, alors que Courtney Lawes, deuxième ligne en finale du Mondial, débutera cette fois au poste de troisième ligne aile. Le sélectionneur australien a conservé la charnière expérimentée Ben Youngs (95 sélections) – George Ford (65 sélections), alors que le pilier droit Kyle Sinckler, qui avait quitté ses coéquipiers en finale après trois minutes de jeu, est titularisé en première ligne. Le pilier Mako Vunipola a lui été mis au repos par le staff anglais et il est « plus probable qu’il joue contre l’Écosse » samedi 8 février, selon Jones.
En deuxième ligne, Ewels « est en bonne forme » et « George Kruis sera très bon en sortie de banc, il finira le match très fort », a prédit Jones, « enthousiaste » à l’idée de jouer devant 80.000 spectateurs au Stade de France (16 heures).
Le XV de départ contre la France
Furbank – J. May, M. Tuilagi, O. Farrell, Daly – (o) G. Ford, (m) B. Youngs – Underhill, Curry, Lawes – Ewels, Itoje – Sinckler, J. George, Marler
Remplaçants : Cowan-Dickie, Genge, W. Stuart, Kruis, Ludlam, Heinz, Devoto, J. Joseph.
Tournoi des VI nations : les débuts de Furbank dans une Angleterre au parfum mondial
par SudOuest.fr avec AFP.
Douze des finalistes de la dernière Coupe du monde au Japon débutent la rencontre contre la France dimanche au Stade de France.
George Furbank, l’arrière de Northampton, connaîtra sa première sélection avec l’Angleterre, dimanche pour le premier match du Tournoi, au sein d’une équipe qui comprendra au coup d’envoi 12 joueurs qui avaient débuté la finale de la Coupe du monde.
Outre Furbank, les seuls « nouveaux venus » dans l’équipe de départ sont le deuxième ligne Charlie Ewels (Bath) et le pilier Joe Marler, qui était remplaçant lors de la défaite face aux Springboks (32–12). « George (Furbank) lit bien le jeu, il est décisif, il a des aptitudes de base, il est bon à la relance, c’est un jeune homme (23 ans) très impressionnant, en confiance et il supporte la pression, rien ne semble le perturber », a loué vendredi en conférence de presse le sélectionneur Eddie Jones.
Youngs-Ford en charnière
Par ailleurs, Jones a choisi de déplacer certains joueurs: Elliot Daly glisse de l’arrière à l’aile gauche, habituel flanker, Tom Curry (21 ans, 19 sélections) jouera N.8, alors que Courtney Lawes, deuxième ligne en finale du Mondial, débutera cette fois au poste de troisième ligne aile. Le sélectionneur australien a conservé la charnière expérimentée Ben Youngs (95 sélections) – George Ford (65 sélections), alors que le pilier droit Kyle Sinckler, qui avait quitté ses coéquipiers en finale après trois minutes de jeu, est titularisé en première ligne. Le pilier Mako Vunipola a lui été mis au repos par le staff anglais et il est « plus probable qu’il joue contre l’Écosse » samedi 8 février, selon Jones.
En deuxième ligne, Ewels « est en bonne forme » et « George Kruis sera très bon en sortie de banc, il finira le match très fort », a prédit Jones, « enthousiaste » à l’idée de jouer devant 80.000 spectateurs au Stade de France (16 heures).
Le XV de départ contre la France
Furbank – J. May, M. Tuilagi, O. Farrell, Daly – (o) G. Ford, (m) B. Youngs – Underhill, Curry, Lawes – Ewels, Itoje – Sinckler, J. George, Marler
Remplaçants : Cowan-Dickie, Genge, W. Stuart, Kruis, Ludlam, Heinz, Devoto, J. Joseph.
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Re: 6 Nations 2020
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Xv-de-france-jefferson-poirot-en-bleu-degrade/1104831
XV de France : Jefferson Poirot, en Bleu dégradé
Titulaire indiscutable et capitaine suppléant de Guilhem Guirado pendant la dernière Coupe du monde au Japon, le pilier gauche bordelais débutera le premier match du Tournoi des Six Nations sur le banc des remplaçants.
Laurent Campistron à Nice 31 janvier 2020 à 18h00
La tendance filtrait déjà des séances d'entraînement sur la pelouse du stade des Arboras, à Nice, où Jefferson Poirot évoluait le plus souvent avec la ''mauvaise'' chasuble, celle des remplaçants. Elle s'est confirmée jeudi après-midi, à l'heure de l'annonce par le duo Fabien Galthié (sélectionneur)-Raphaël Ibañez (manager général) de la composition de l'équipe qui affrontera l'Angleterre, dimanche (16h), en ouverture du Tournoi des Six Nations.
Le pilier gauche de Bordeaux-Bègles (27 ans, 33 sél.) débutera bien la rencontre sur le banc des « finisseurs », comme les appelle désormais Galthié. « Dans le paquet d'avants, on a pensé à des complémentarités, à des équilibres, à des points forts, s'est justifié le sélectionneur, sans citer nommément le joueur de l'UBB. Nous avons deux joueurs d'origine sud-africaine en deuxième-ligne (Le Roux-Willemse), mais aussi deux joueurs du pack qui poussent ensemble à droite en mêlée à Montpellier (Haouas-Willemse) et deux autres en première-ligne qui poussent ensemble à Toulouse (Baille-Marchand). On a cherché des cohérences comme celles-là. »
Pour Poirot, évidemment, le déclassement est brutal. Le pilier avait traversé la dernière Coupe du monde au Japon dans la peau d'un titulaire indiscutable à gauche de la mêlée. Surtout, il était officiellement le vice-capitaine de l'équipe, et parfois même le capitaine, lorsque Guilhem Guirado, l'ancien taulier aujourd'hui retraité des joutes internationales, ne figurait pas dans le quinze de départ. Ces dernières semaines, quand le nouveau staff cherchait un successeur à Guirado, son nom était donc logiquement cité, avec ceux d'Ollivon, Cros, Dupont ou Marchand, parmi les candidats potentiels.
Mais le choix de Galthié et ses adjoints s'est finalement porté sur Ollivon. Une décision que Poirot a acceptée, tout en confiant récemment dans ces mêmes colonnes qu'il espérait quand même « avoir un rôle » dans cette équipe en manque de leaders et de joueurs expérimentés. Un souhait réitéré en début de semaine en conférence de presse : « L'objectif de cette équipe, aujourd'hui, est d'être performante et de gagner des matches. J'espère avoir un rôle là-dedans. Je n'ai pas envie de revivre les quatre années qu'on vient de passer. Là, Charles (Ollivon) a réuni un groupe de leaders autour de lui et a demandé à chacun d'être ses relais dans le groupe. On est huit en tout, mais il pourrait y en avoir d'autres. Ça dépend des joueurs qui sont là. »
« Cyril (Baille) est un super joueur qui me tire vers le haut, comme ça a été le cas des dix joueurs qui ont été sélectionnés à mon poste ces dernières années »
Jefferson Poirot
Dimanche, face aux Anglais, Poirot sera bien là. Mais sur le banc des remplaçants. Le staff tricolore lui a donc préféré le Toulousain Cyril Baille, sans doute un explosif ou tonique que lui, mais peut-être meilleur manieur de balle dans le jeu courant et plus pointu et précis techniquement en mêlée fermé. Baille a un autre atout : celui d'avoir été formé, lancé et couvé au Stade Toulousain par William Servat, l'actuel coresponsable de la conquête et des tâches spécifiques chez les Bleus.
Les deux hommes se connaissent parfaitement, savent exactement ce qu'ils attendent l'un de l'autre. Notamment en mêlée, l'un des dadas de Servat : « Aujourd'hui, en équipe de France, on travaille les liaisons quotidiennement, et très souvent bi-quotidiennement, et parfois même plus que ça, disait-il cette semaine. Quand on fait des mêlées en opposition, je vois parfois qu'on reprend des mauvaises habitudes que je souhaite enlever, sur la manière de descendre, sur la manière de garder le bassin engagé et d'aller vers l'avant... »
Le technicien décèle-t-il moins ces mauvaises habitudes chez Baille, joueur qu'il a façonné selon ses critères, que chez Poirot ? Possible. Pourtant, imaginer qu'une complicité supérieure soit le facteur essentiel, voire déterminant, dans le choix de titulariser le Toulousain ne serait pas juste. C'est oublier que Baille était déjà titulaire en équipe de France durant le Tournoi des Six Nations 2017 (Poirot était certes blessé à un mollet), juste avant qu'une rupture du tendon rotulien d'un genou ne l'écarte des terrains pendant huit mois (d'avril à décembre 2017), mettant forcément sa carrière internationale en sommeil.
C'est oublier aussi que, malgré une nouvelle blessure en août 2018 (ischios), le pilier toulousain a quand même disputé le dernier mondial nippon alors qu'il ne figurait même pas dans le casting initial. Appelé en qualité de réserviste pour remplacer le Clermontois Étienne Falgoux sur blessure, il avait réussi à doubler le Rochelais Dany Priso pendant la préparation pour s'inviter au Japon comme doublure de... Poirot. Son destin de possible futur n°1 au poste semblait déjà sur des rails, à un moment où Servat ne faisait pas encore partie du staff. « Cyril est un copain, confiait Poirot cette semaine, sentant peut-être déjà son statut de n°1 en danger. Un super joueur qui me tire vers le haut, comme ça a été le cas des dix joueurs qui ont été sélectionnés à mon poste ces dernières années. Ce n'est que de l'émulation positive. » Poirot évolue aussi à un poste où les temps de jeu sont quasi équitablement partagés entre ceux qui démarrent et ceux qui finissent. De quoi atténuer un peu sa frustration.
XV de France : Jefferson Poirot, en Bleu dégradé
Titulaire indiscutable et capitaine suppléant de Guilhem Guirado pendant la dernière Coupe du monde au Japon, le pilier gauche bordelais débutera le premier match du Tournoi des Six Nations sur le banc des remplaçants.
Laurent Campistron à Nice 31 janvier 2020 à 18h00
La tendance filtrait déjà des séances d'entraînement sur la pelouse du stade des Arboras, à Nice, où Jefferson Poirot évoluait le plus souvent avec la ''mauvaise'' chasuble, celle des remplaçants. Elle s'est confirmée jeudi après-midi, à l'heure de l'annonce par le duo Fabien Galthié (sélectionneur)-Raphaël Ibañez (manager général) de la composition de l'équipe qui affrontera l'Angleterre, dimanche (16h), en ouverture du Tournoi des Six Nations.
Le pilier gauche de Bordeaux-Bègles (27 ans, 33 sél.) débutera bien la rencontre sur le banc des « finisseurs », comme les appelle désormais Galthié. « Dans le paquet d'avants, on a pensé à des complémentarités, à des équilibres, à des points forts, s'est justifié le sélectionneur, sans citer nommément le joueur de l'UBB. Nous avons deux joueurs d'origine sud-africaine en deuxième-ligne (Le Roux-Willemse), mais aussi deux joueurs du pack qui poussent ensemble à droite en mêlée à Montpellier (Haouas-Willemse) et deux autres en première-ligne qui poussent ensemble à Toulouse (Baille-Marchand). On a cherché des cohérences comme celles-là. »
Pour Poirot, évidemment, le déclassement est brutal. Le pilier avait traversé la dernière Coupe du monde au Japon dans la peau d'un titulaire indiscutable à gauche de la mêlée. Surtout, il était officiellement le vice-capitaine de l'équipe, et parfois même le capitaine, lorsque Guilhem Guirado, l'ancien taulier aujourd'hui retraité des joutes internationales, ne figurait pas dans le quinze de départ. Ces dernières semaines, quand le nouveau staff cherchait un successeur à Guirado, son nom était donc logiquement cité, avec ceux d'Ollivon, Cros, Dupont ou Marchand, parmi les candidats potentiels.
Mais le choix de Galthié et ses adjoints s'est finalement porté sur Ollivon. Une décision que Poirot a acceptée, tout en confiant récemment dans ces mêmes colonnes qu'il espérait quand même « avoir un rôle » dans cette équipe en manque de leaders et de joueurs expérimentés. Un souhait réitéré en début de semaine en conférence de presse : « L'objectif de cette équipe, aujourd'hui, est d'être performante et de gagner des matches. J'espère avoir un rôle là-dedans. Je n'ai pas envie de revivre les quatre années qu'on vient de passer. Là, Charles (Ollivon) a réuni un groupe de leaders autour de lui et a demandé à chacun d'être ses relais dans le groupe. On est huit en tout, mais il pourrait y en avoir d'autres. Ça dépend des joueurs qui sont là. »
« Cyril (Baille) est un super joueur qui me tire vers le haut, comme ça a été le cas des dix joueurs qui ont été sélectionnés à mon poste ces dernières années »
Jefferson Poirot
Dimanche, face aux Anglais, Poirot sera bien là. Mais sur le banc des remplaçants. Le staff tricolore lui a donc préféré le Toulousain Cyril Baille, sans doute un explosif ou tonique que lui, mais peut-être meilleur manieur de balle dans le jeu courant et plus pointu et précis techniquement en mêlée fermé. Baille a un autre atout : celui d'avoir été formé, lancé et couvé au Stade Toulousain par William Servat, l'actuel coresponsable de la conquête et des tâches spécifiques chez les Bleus.
Les deux hommes se connaissent parfaitement, savent exactement ce qu'ils attendent l'un de l'autre. Notamment en mêlée, l'un des dadas de Servat : « Aujourd'hui, en équipe de France, on travaille les liaisons quotidiennement, et très souvent bi-quotidiennement, et parfois même plus que ça, disait-il cette semaine. Quand on fait des mêlées en opposition, je vois parfois qu'on reprend des mauvaises habitudes que je souhaite enlever, sur la manière de descendre, sur la manière de garder le bassin engagé et d'aller vers l'avant... »
Le technicien décèle-t-il moins ces mauvaises habitudes chez Baille, joueur qu'il a façonné selon ses critères, que chez Poirot ? Possible. Pourtant, imaginer qu'une complicité supérieure soit le facteur essentiel, voire déterminant, dans le choix de titulariser le Toulousain ne serait pas juste. C'est oublier que Baille était déjà titulaire en équipe de France durant le Tournoi des Six Nations 2017 (Poirot était certes blessé à un mollet), juste avant qu'une rupture du tendon rotulien d'un genou ne l'écarte des terrains pendant huit mois (d'avril à décembre 2017), mettant forcément sa carrière internationale en sommeil.
C'est oublier aussi que, malgré une nouvelle blessure en août 2018 (ischios), le pilier toulousain a quand même disputé le dernier mondial nippon alors qu'il ne figurait même pas dans le casting initial. Appelé en qualité de réserviste pour remplacer le Clermontois Étienne Falgoux sur blessure, il avait réussi à doubler le Rochelais Dany Priso pendant la préparation pour s'inviter au Japon comme doublure de... Poirot. Son destin de possible futur n°1 au poste semblait déjà sur des rails, à un moment où Servat ne faisait pas encore partie du staff. « Cyril est un copain, confiait Poirot cette semaine, sentant peut-être déjà son statut de n°1 en danger. Un super joueur qui me tire vers le haut, comme ça a été le cas des dix joueurs qui ont été sélectionnés à mon poste ces dernières années. Ce n'est que de l'émulation positive. » Poirot évolue aussi à un poste où les temps de jeu sont quasi équitablement partagés entre ceux qui démarrent et ceux qui finissent. De quoi atténuer un peu sa frustration.
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Re: 6 Nations 2020
Je ne sais pas si le staff de l'équipe de France avait suivi le match de l'UBB contre Édimbourg, mais Poirot avait fait un match pas au niveau de son statut d’international, en commettant beaucoup trop de fautes, sans vraiment peser sur le match...
Ce qui était gênant je trouve, c'est que globalement, ses partenaires avaient tous élevé leur niveau de jeux sur ce match, à l'image de Maynadier...
Ce qui était gênant je trouve, c'est que globalement, ses partenaires avaient tous élevé leur niveau de jeux sur ce match, à l'image de Maynadier...
Dernière édition par Scalp le Ven 31 Jan 2020 - 20:39, édité 1 fois
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Re: 6 Nations 2020
Tout à fait. Même face à la Rochelle il me semble qu'il avait été trop penalisé.
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Re: 6 Nations 2020
certains d'entre nous lui préfères (et moi le premier) Paeva au poste de n°1 , et comme Ravai est le meilleur "finisseur" ….
et pour moi c'est une faute de l'avoir nommé capitaine de l'UBB , surtout un pilier qui par son poste ne fait pas tout son match et son rôle de capitaine le rends intouchable
et pour moi c'est une faute de l'avoir nommé capitaine de l'UBB , surtout un pilier qui par son poste ne fait pas tout son match et son rôle de capitaine le rends intouchable
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Re: 6 Nations 2020
J’espère qu'il va prendre ça comme une bonne piqûre de rappel, ça doit aussi être un peu le but et qu'il va se remettre à jouer plus juste, parce que je trouve que ce n'est pas un problème d'engagement, là il est irréprochable...
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Re: 6 Nations 2020
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2020/tournoi-des-6-nations-2020-la-france-avec-une-victoire-comme-l-irlande-et-le-pays-de-galles.-no_sto7645210/story.shtml
Un vent d'optimisme souffle..., j'aimerais bien l'être autant, pourvu qu'on rivalise, ce serait déjà pas mal, je trouve que la victoire est très fortement hypothétique pourvu que je me trompe !
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Re: 6 Nations 2020
Objectivement je nous vois supérieur derrières avec plusieurs joueurs capables de faire la différence tout seul penaud, vakatawa, thomas, dupont. Mais ma grosse inquiétude c'est devant si on se fait casser la geule par le 5 de devant en anglais je vois pas comment on pourra gagner. Si on arrive à les contenir on devrait pouvoir gagner
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Re: 6 Nations 2020
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Tournoi-des-six-nations-la-france-et-ses-adversaires-au-scanner/1104849
Tournoi des Six Nations: la France et ses adversaires au scanner
Le Tournoi des Six Nations commence samedi, avant le choc France-Angleterre de dimanche. Voici les forces en présence.
Angleterre : une question de mental
Après leur incroyable demi-finale, face aux All Blacks, on pensait les Anglais imbattables lors de la Coupe du monde au Japon. Mais leur incapacité à répondre à la puissance étouffante des Springboks, en finale, a forcément laissé des traces et il est difficile de prédire dans quel état d'esprit ils abordent le Tournoi cette année. Vingt-deux joueurs du groupe de 34 retenus par le sélectionneur Eddie Jones ont vécu l'aventure japonaise et effectué un travail psychologique depuis ; les douze nouveaux appelés, tous très jeunes et inexpérimentés (8 n'ont aucune sélection, et 2 n'en ont qu'une), vont sûrement leur changer les idées.
Autre interrogation : la lourde sanction qui a frappé le meilleur club anglais, les Saracens, pour dépassement du salary-cap, a-t-elle été digérée par le capitaine anglais Owen Farrell et les six autres joueurs (Itoje, George, Daly, Mako Vunipola, Kruis, Earl) de cette équipe qui vont disputer le Tournoi ? Les résultats des Anglais cette année dépendront en grande partie de leurs dispositions mentales. Pour le reste, ils semblent un cran au-dessus des autres nations.
Galles : le début de l'ère Pivac
Voilà près de 13 ans que les Gallois avaient Warren Gatland comme sélectionneur. C'est dire si l'arrivée de Wayne Pivac pour le remplacer marque le début d'une nouvelle ère. Un changement d'autant plus important que Shaun Edwards, l'emblématique entraîneur de la défense, est parti, lui aussi, chez les Bleus. L'effectif compte 14 nouveaux joueurs (dont la pépite Rees-Zammit, qui a choisi la nationalité galloise plutôt qu'anglaise, malgré la tentative de séduction d'Eddie Jones) par rapport au groupe de la Coupe du monde. « Les joueurs se complètent bien, sont bienveillants entre eux », assure Pivac.
Le pays de Galles sort d'un Grand Chelem et d'une Coupe du monde plutôt réussie, avec une petite défaite en demi-finales face au futur champion du monde sud-africain (16-19). C'est une équipe « en changement mais qui a fait ses preuves, qui donne envie de jouer », ajoute Alun Wyn Jones, le capitaine, qui poursuit l'aventure malgré ses 34 ans et 143 sélections. Difficile, malgré les changements, de ne pas faire du pays de Galles un des favoris à la victoire finale.
Écosse : face aux turbulences
Le quinze du Chardon sort d'une Coupe du monde compliquée, avec une élimination en poules après deux défaites face à l'Irlande et au Japon. Toujours en poste, le sélectionneur Gregor Townsend a en partie renouvelé son groupe. Sa première décision, après la mise à l'écart de Stuart McInally (pendant le Mondial) et le départ à la retraite de Greig Laidlaw, a été de nommer capitaine l'arrière Stuart Hogg, joueur le plus expérimenté du squad. Il a ensuite dû gérer le cas Finn Russell, auteur d'un écart de conduite au début du rassemblement la semaine dernière et écarté pour le match d'ouverture face à l'Irlande.
Les Écossais se présenteront à Dublin avec un axe 2-8-9-10-15 à 80 % différent de celui du match d'ouverture de la Coupe du monde, avec Fraser Brown au talon, le nouveau venu Nick Haining en troisième-ligne centre, Ali Price en 9 et Adam Hastings en 10. Pour ne rien arranger, l'Écosse débutera par deux chocs : face à l'Irlande donc, puis l'Angleterre.
France : la fin des défaites encourageantes ?
Fabien Galthié l'a plusieurs fois répété : « Un Tournoi réussi est un Tournoi gagné. » Le nouveau sélectionneur envisage-t-il de faire mouche d'entrée de jeu ? Possible. L'ambition est là. Et le dernier Grand Chelem date de 2010 : une éternité. Faire mieux que l'an dernier (deux victoires) serait déjà un premier pas. Le calendrier est plutôt favorable avec trois réceptions (Angleterre, Italie et Irlande) et deux déplacements (pays de Galles et Ecosse). Avec un premier match face aux Anglais, vice-champions du monde, on sera vite fixé.
« Ce qui est bien d'affronter l'Angleterre, c'est que ça nous projette tout de suite sur des standards très élevés en termes d'exigence, d'être capable de matcher avec une équipe de ce standing », a d'ailleurs expliqué Galthié. Pour « matcher », l'équipe de France a été rajeunie (exit les trentenaires), même si elle s'appuiera sur plusieurs joueurs cadres, comme son nouveau capitaine Charles Ollivon ou le plus capé, Gaël Fickou, mais aussi ses pépites Damian Penaud, Virimi Vakatawa ou Teddy Thomas. De quoi enfin stopper le syndrome de la défaite encourageante qui a rythmé les quatre dernières années ?
Irlande : une page à tourner
Difficile de succéder à Joe Schmidt, qui a conduit l'Irlande à trois victoires dans les six derniers Tournois. Mais moins difficile après l'immense déception de la Coupe du monde, achevée par une rouste contre les Blacks en quarts de finale (46-14). Ancien adjoint de Schmidt, l'Anglais Andy Farrell, trop conscient de la nécessité de recommencer à gagner, n'est pas reparti de zéro. Il a confié le capitanat à Sexton, dont on peut penser qu'il aura raccroché en 2023, maintenu Murray en grâce et rappelé Toner. Mais Farrell n'est pas dupe : cette équipe a grand besoin d'un souffle nouveau et d'un jeu d'attaque moins conservateur. Pour le souffle, il a sélectionné quelques jeunes pleins d'avenir, comme Kelleher, Doris, Deegan ou O'Toole, et devrait installer Larmour à l'arrière. Quant au jeu offensif, il en a confié les clés à Mike Catt, qu'il a côtoyé dans le staff anglais du temps de Lancaster.
Italie : la vie sans Parisse
L'équipe d'Italie va vivre un tournant historique durant ce Tournoi, avec le retraite programmée de l'emblématique Sergio Parisse. Signe de sa stature, le recordman de sélections (142) a demandé à jouer un dernier match à domicile, qui sera face à l'Écosse ou l'Angleterre. Le vide que le numéro 8 va laisser n'arrange pas les affaires d'une équipe qui n'a plus gagné un match dans le Tournoi depuis cinq ans.
« On espère obtenir des résultats. Au moins une victoire, peut-être plus », a confié Luca Bigi, talonneur et nouveau capitaine. Conor O'Shea parti à la Fédération anglaise, le Sud-Africain Franco Smith, ancien ouvreur, mènera les Italiens. « Nous voulons trouver notre ADN et exploiter nos points forts », explique-t-il. Dur défi.
Tournoi des Six Nations: la France et ses adversaires au scanner
Le Tournoi des Six Nations commence samedi, avant le choc France-Angleterre de dimanche. Voici les forces en présence.
Angleterre : une question de mental
Après leur incroyable demi-finale, face aux All Blacks, on pensait les Anglais imbattables lors de la Coupe du monde au Japon. Mais leur incapacité à répondre à la puissance étouffante des Springboks, en finale, a forcément laissé des traces et il est difficile de prédire dans quel état d'esprit ils abordent le Tournoi cette année. Vingt-deux joueurs du groupe de 34 retenus par le sélectionneur Eddie Jones ont vécu l'aventure japonaise et effectué un travail psychologique depuis ; les douze nouveaux appelés, tous très jeunes et inexpérimentés (8 n'ont aucune sélection, et 2 n'en ont qu'une), vont sûrement leur changer les idées.
Autre interrogation : la lourde sanction qui a frappé le meilleur club anglais, les Saracens, pour dépassement du salary-cap, a-t-elle été digérée par le capitaine anglais Owen Farrell et les six autres joueurs (Itoje, George, Daly, Mako Vunipola, Kruis, Earl) de cette équipe qui vont disputer le Tournoi ? Les résultats des Anglais cette année dépendront en grande partie de leurs dispositions mentales. Pour le reste, ils semblent un cran au-dessus des autres nations.
Galles : le début de l'ère Pivac
Voilà près de 13 ans que les Gallois avaient Warren Gatland comme sélectionneur. C'est dire si l'arrivée de Wayne Pivac pour le remplacer marque le début d'une nouvelle ère. Un changement d'autant plus important que Shaun Edwards, l'emblématique entraîneur de la défense, est parti, lui aussi, chez les Bleus. L'effectif compte 14 nouveaux joueurs (dont la pépite Rees-Zammit, qui a choisi la nationalité galloise plutôt qu'anglaise, malgré la tentative de séduction d'Eddie Jones) par rapport au groupe de la Coupe du monde. « Les joueurs se complètent bien, sont bienveillants entre eux », assure Pivac.
Le pays de Galles sort d'un Grand Chelem et d'une Coupe du monde plutôt réussie, avec une petite défaite en demi-finales face au futur champion du monde sud-africain (16-19). C'est une équipe « en changement mais qui a fait ses preuves, qui donne envie de jouer », ajoute Alun Wyn Jones, le capitaine, qui poursuit l'aventure malgré ses 34 ans et 143 sélections. Difficile, malgré les changements, de ne pas faire du pays de Galles un des favoris à la victoire finale.
Écosse : face aux turbulences
Le quinze du Chardon sort d'une Coupe du monde compliquée, avec une élimination en poules après deux défaites face à l'Irlande et au Japon. Toujours en poste, le sélectionneur Gregor Townsend a en partie renouvelé son groupe. Sa première décision, après la mise à l'écart de Stuart McInally (pendant le Mondial) et le départ à la retraite de Greig Laidlaw, a été de nommer capitaine l'arrière Stuart Hogg, joueur le plus expérimenté du squad. Il a ensuite dû gérer le cas Finn Russell, auteur d'un écart de conduite au début du rassemblement la semaine dernière et écarté pour le match d'ouverture face à l'Irlande.
Les Écossais se présenteront à Dublin avec un axe 2-8-9-10-15 à 80 % différent de celui du match d'ouverture de la Coupe du monde, avec Fraser Brown au talon, le nouveau venu Nick Haining en troisième-ligne centre, Ali Price en 9 et Adam Hastings en 10. Pour ne rien arranger, l'Écosse débutera par deux chocs : face à l'Irlande donc, puis l'Angleterre.
France : la fin des défaites encourageantes ?
Fabien Galthié l'a plusieurs fois répété : « Un Tournoi réussi est un Tournoi gagné. » Le nouveau sélectionneur envisage-t-il de faire mouche d'entrée de jeu ? Possible. L'ambition est là. Et le dernier Grand Chelem date de 2010 : une éternité. Faire mieux que l'an dernier (deux victoires) serait déjà un premier pas. Le calendrier est plutôt favorable avec trois réceptions (Angleterre, Italie et Irlande) et deux déplacements (pays de Galles et Ecosse). Avec un premier match face aux Anglais, vice-champions du monde, on sera vite fixé.
« Ce qui est bien d'affronter l'Angleterre, c'est que ça nous projette tout de suite sur des standards très élevés en termes d'exigence, d'être capable de matcher avec une équipe de ce standing », a d'ailleurs expliqué Galthié. Pour « matcher », l'équipe de France a été rajeunie (exit les trentenaires), même si elle s'appuiera sur plusieurs joueurs cadres, comme son nouveau capitaine Charles Ollivon ou le plus capé, Gaël Fickou, mais aussi ses pépites Damian Penaud, Virimi Vakatawa ou Teddy Thomas. De quoi enfin stopper le syndrome de la défaite encourageante qui a rythmé les quatre dernières années ?
Irlande : une page à tourner
Difficile de succéder à Joe Schmidt, qui a conduit l'Irlande à trois victoires dans les six derniers Tournois. Mais moins difficile après l'immense déception de la Coupe du monde, achevée par une rouste contre les Blacks en quarts de finale (46-14). Ancien adjoint de Schmidt, l'Anglais Andy Farrell, trop conscient de la nécessité de recommencer à gagner, n'est pas reparti de zéro. Il a confié le capitanat à Sexton, dont on peut penser qu'il aura raccroché en 2023, maintenu Murray en grâce et rappelé Toner. Mais Farrell n'est pas dupe : cette équipe a grand besoin d'un souffle nouveau et d'un jeu d'attaque moins conservateur. Pour le souffle, il a sélectionné quelques jeunes pleins d'avenir, comme Kelleher, Doris, Deegan ou O'Toole, et devrait installer Larmour à l'arrière. Quant au jeu offensif, il en a confié les clés à Mike Catt, qu'il a côtoyé dans le staff anglais du temps de Lancaster.
Italie : la vie sans Parisse
L'équipe d'Italie va vivre un tournant historique durant ce Tournoi, avec le retraite programmée de l'emblématique Sergio Parisse. Signe de sa stature, le recordman de sélections (142) a demandé à jouer un dernier match à domicile, qui sera face à l'Écosse ou l'Angleterre. Le vide que le numéro 8 va laisser n'arrange pas les affaires d'une équipe qui n'a plus gagné un match dans le Tournoi depuis cinq ans.
« On espère obtenir des résultats. Au moins une victoire, peut-être plus », a confié Luca Bigi, talonneur et nouveau capitaine. Conor O'Shea parti à la Fédération anglaise, le Sud-Africain Franco Smith, ancien ouvreur, mènera les Italiens. « Nous voulons trouver notre ADN et exploiter nos points forts », explique-t-il. Dur défi.
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Re: 6 Nations 2020
https://www.sudouest.fr/2020/02/01/avant-france-angleterre-ca-va-piquer-pour-eux-aussi-assure-charles-ollivon-7139741-773.php
Avant France – Angleterre : « Ça va piquer pour eux aussi », assure Charles Ollivon
par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial.
À la veille du premier match du Tournoi face à l’Angleterre, ce dimanche au Stade de France (16h), Charles Ollivon, qui va vivre son premier match international en tant que capitaine, a souligné l’ampleur du défi réservé à son équipe. Mais le Basque estime que les Bleus ont des atouts à faire valoir.
Comment vivez les derniers moments qui précèdent votre premier capitanat ?
Très bien. Forcément très concentré, parce que plus le temps avance et plus on prend conscience de l’événement. Mais il y a aussi une part d’insouciance : on a envie de prendre du plaisir ensemble. L’un va avec l’autre.
Avez vous déjà réfléchi au discours que vous allez tenir avant le match à vos coéquipiers?
Pour tout dire, j’y ai réfléchi : je me suis posé la question de savoir si j’allais préparer quelque chose avant ou pas. Et au final, non. Parce que je ne voulais pas me rajouter cette pression de trop anticiper l’événement. J’y ai réfléchi, mais je ne m’y suis pas plongé en profondeur. J’avais d’abord envie de passer ce « captain’s run », de passer ces derniers instants avec tout le monde sans trop me poser de questions et en restant naturel. C’est ce qui fait notre force.
Vous semblez dégager de la confiance. Est-ce le cas?
Je ne pense pas qu’il y ait un surplus de confiance. On n’en fait pas trop, pas de manière démesurée. Alors de la confiance, peut-être. Parce qu’on se connaît de plus en plus : on n’est pas plus stressé ou inquiet que ça. Mais c’est tant mieux. On prépare les choses comme on doit le faire. On travaille bien ensemble.
Un match face à l’Angleterre, qu’est-ce que ça représente à vos yeux?
Ce n’est pas plus particulier qu’un autre match du Tournoi. Je suis focus sur la prestation qu’on aura à faire en équipe. L’Angleterre, on la connaît bien : on connaît sa qualité, on l’a vu pendant la Coupe du monde. Ça ne représente pas quelque chose d’à part, mais un gros match. Une grosse prestation à livrer.
Lorsqu’il a été demandé à Raphaël Ibañez (présent à ses côtés ce samedi en point presse) comment battre les Anglais, vous avez souri. Pourquoi ?
Parce que c’est une question qui est très large (sourire) : on peut échanger longuement sur ce qu’il faut faire pour les battre, il n’y a qu’une seule équipe qui y a réussi pendant la Coupe du monde (L’Afrique du Sud, en finale). Enfin avec nous, puisqu’on a fait match nul (sourire)(Ndlr, le match entre la France et l’Angleterre avait été annulé en raison d’un typhon)… Ils ont fait le plus gros match de la Coupe du monde contre les Blacks en demi-finale, ça suffit à reconnaître le niveau de leur équipe. Tout simplement.
L’Angleterre est habituée au début de match « canon » : elle marque très rapidement. Avez-vous abordé la manière de gérer ces 10 premières minutes ?
On en est tous conscients. Que ce soit lors du Tournoi l’année dernière ou durant la Coupe du monde, ils démarrent tambour battant. On n’a pas mis de plan particulier sur les 10 premières minutes. On a seulement travaillé notre jeu. Mais dans un coin de notre tête, on est conscients que le début de match face être capital.
De la même manière, estimez-vous que le XV de France soit à l’abri d’une nouvelle défaillance en seconde période ? C’était un défaut récurrent au Japon…
On ne peut être sûr de rien. Mais on a travaillé pour. On a l’ambition d’être consistant sur ces fins de match. Il y a une grosse partie de mental. Ça va piquer pour nous, mais ça va piquer pour eux aussi.
Avant France – Angleterre : « Ça va piquer pour eux aussi », assure Charles Ollivon
par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial.
À la veille du premier match du Tournoi face à l’Angleterre, ce dimanche au Stade de France (16h), Charles Ollivon, qui va vivre son premier match international en tant que capitaine, a souligné l’ampleur du défi réservé à son équipe. Mais le Basque estime que les Bleus ont des atouts à faire valoir.
Comment vivez les derniers moments qui précèdent votre premier capitanat ?
Très bien. Forcément très concentré, parce que plus le temps avance et plus on prend conscience de l’événement. Mais il y a aussi une part d’insouciance : on a envie de prendre du plaisir ensemble. L’un va avec l’autre.
Avez vous déjà réfléchi au discours que vous allez tenir avant le match à vos coéquipiers?
Pour tout dire, j’y ai réfléchi : je me suis posé la question de savoir si j’allais préparer quelque chose avant ou pas. Et au final, non. Parce que je ne voulais pas me rajouter cette pression de trop anticiper l’événement. J’y ai réfléchi, mais je ne m’y suis pas plongé en profondeur. J’avais d’abord envie de passer ce « captain’s run », de passer ces derniers instants avec tout le monde sans trop me poser de questions et en restant naturel. C’est ce qui fait notre force.
Vous semblez dégager de la confiance. Est-ce le cas?
Je ne pense pas qu’il y ait un surplus de confiance. On n’en fait pas trop, pas de manière démesurée. Alors de la confiance, peut-être. Parce qu’on se connaît de plus en plus : on n’est pas plus stressé ou inquiet que ça. Mais c’est tant mieux. On prépare les choses comme on doit le faire. On travaille bien ensemble.
Un match face à l’Angleterre, qu’est-ce que ça représente à vos yeux?
Ce n’est pas plus particulier qu’un autre match du Tournoi. Je suis focus sur la prestation qu’on aura à faire en équipe. L’Angleterre, on la connaît bien : on connaît sa qualité, on l’a vu pendant la Coupe du monde. Ça ne représente pas quelque chose d’à part, mais un gros match. Une grosse prestation à livrer.
Lorsqu’il a été demandé à Raphaël Ibañez (présent à ses côtés ce samedi en point presse) comment battre les Anglais, vous avez souri. Pourquoi ?
Parce que c’est une question qui est très large (sourire) : on peut échanger longuement sur ce qu’il faut faire pour les battre, il n’y a qu’une seule équipe qui y a réussi pendant la Coupe du monde (L’Afrique du Sud, en finale). Enfin avec nous, puisqu’on a fait match nul (sourire)(Ndlr, le match entre la France et l’Angleterre avait été annulé en raison d’un typhon)… Ils ont fait le plus gros match de la Coupe du monde contre les Blacks en demi-finale, ça suffit à reconnaître le niveau de leur équipe. Tout simplement.
L’Angleterre est habituée au début de match « canon » : elle marque très rapidement. Avez-vous abordé la manière de gérer ces 10 premières minutes ?
On en est tous conscients. Que ce soit lors du Tournoi l’année dernière ou durant la Coupe du monde, ils démarrent tambour battant. On n’a pas mis de plan particulier sur les 10 premières minutes. On a seulement travaillé notre jeu. Mais dans un coin de notre tête, on est conscients que le début de match face être capital.
De la même manière, estimez-vous que le XV de France soit à l’abri d’une nouvelle défaillance en seconde période ? C’était un défaut récurrent au Japon…
On ne peut être sûr de rien. Mais on a travaillé pour. On a l’ambition d’être consistant sur ces fins de match. Il y a une grosse partie de mental. Ça va piquer pour nous, mais ça va piquer pour eux aussi.
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Re: 6 Nations 2020
Belle marseillaise pour cameron et petit Jaja !
Vivement les remplacements
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latine- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : A proximité de Chaban !
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Re: 6 Nations 2020
Les 2 toulousains Marchand/Croos n'assure pas la touche et c'est la 1ère occasE anglaise
Essai Rattez
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Vince33- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 02/12/2008
Re: 6 Nations 2020
Farell qui se chie dessus, je sais pas pourquoi mais c'est image qui me fait plaisir
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Humeur : Merde
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AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté "c'était mieux avant" :: Saison 2019-2020
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