Préparation de la saison 2020-2021

On a encore pas mal d'incertitude sur la saison prochaine mais d'après SO, un match amical aurait été conclu avec Bayonne le 28 Aout.

Sur SO du jour, Urios et son staff doivent cette semaine proposer date et programme de reprise de la préparation!!!

https://www.midi-olympique.fr/2020/05/10/les-clubs-francais-discutent-dun-boycott-de-la-prochaine-coupe-deurope,8881484.php

Putain mais qualifiez Toulouse d'une manière ou d'une autre et passons à autre chose. Ce chantage commence vraiment à me gonfler !!!

je suis tout à fait d'accord avec lemeitre. On arréte le championnat à la 17e journée donc pas de champion, ok. Mais donc aussi, on prend les 6 premiers pour la qualif en coupe d'europe, point.
c'est vrai que ça lése le st car ils ont fait un bon parcours en coupe d'europe et nous ça nous lése pas car nous aussi on a fait un beau parcours en top 14 et en challenge. Donc ça serait normal poiur nous mais pas pour le st, y'a pas un hic là.....
https://rugby-scapulaire.com/breves/95973-bernard-lemaitre-ce-sont-les-resultats-du-terrain-qui-doivent-qualifier-les-clubs-pas-les-combines-de-repechage
https://sport24.lefigaro.fr/rugby/coupes-d-europe2/actualites/champions-cup-les-clubs-francais-prets-a-aller-jusqu-au-boycott-1001543

https://www.ouest-france.fr/sport/coronavirus-nutrition-confines-les-sportifs-ont-du-revoir-leur-alimentation-6830358

https://sport24.lefigaro.fr/rugby/top-14/actualites/castres-premier-club-du-top-14-a-signer-un-accord-de-baisse-des-salaires-1001602

"Il y a deux moyens de pression» : «Le premier : si les phases finales de la Coupe d’Europe en cours peuvent se faire à l’automne, nous ne les jouerons pas. Les Celtes ont absolument besoin de l’argent de ces matches pour boucler leur budget et n’apprécieront pas cette option. Le second moyen de pression est celui évoqué par Pierre-Yves (Revol, président de Castres, NDLR), celui de ne pas jouer les Coupes d’Europe 2020-2021. Ce sera l’un ou l’autre.»

Ah parce que les clubs français eux n'ont besoin ni de l'argent des phases finales, ni de celui des coupes européennes de la saison prochaine

On marche sur la tête tout cela parce que ni Clermont ni Toulouse ne peuvent accepter l'éventualité de ne pas y être.
S'il faut, la réponse du berger à la bergère sera que Celtes et Anglais prennent note de ce boycott... ou comment se tirer une belle balle dans le pied pour des exigences qui finalement ne regardent que nous

D'accord avec Sudiste, nos clubs ont besoin de ressource et elle ne tombera pas du ciel, si il ni a pas de soucis de santé, il faut y aller.
Au pire supprimer pour la saison prochaine le tournoi des 6 nations, je sais la fédé ne va pas aimer mais comme l'a rappelé le staff d'EDF, les joueurs sont salariés des clubs et licenciés à la FFR, ce sont les clubs les employeurs ils mettent à dispo leurs salariès selon leur intêrét.

C'est fou quand meme cette histoire de coupe d'europe, depuis le début L'ubb et le le lou seraient 7/8 que çà serait reglé, mais là c'est ballot il y à Toulouse et le MHR donc il faut qu'il y ait 8 qualifiés ou alors on fait un barrage mais là c'est c'est pépé De Cromières qui fait pas son rot, regardez moi cette bande de pleutres, et quand on va rejouer le tournoi en Sept Oct on va faire quoi? Toulouse va encore pleurer , et gnagnagna , donc en gros on va mettre le MHR en coupe d'europe pour satisfaire le ST . Je suis assez d'accord avec l'analyse de lemaitre, finalement.

Voici les règles pour la nouvelles saison, World Rugby : https://www.laws.worldrugby.org/index.php?&language=FR

Reprise pour le R92 début juin.

oui joueurs en congés jusqu'à début juin

jaja69 a écrit:Voici les règles pour la nouvelles saison, World Rugby : https://www.laws.worldrugby.org/index.php?&language=FR

Des nouveautés ?

Depuis le début du sketch « coupe d’Europe » je suis certaine qu’on va se faire avoir et qu’une saison blanche va aussi être déclarée pour la qualif pour arranger le grand ST...
Le ST est pitoyable et l’ASM pas beaucoup mieux...
C’est ça les « grands clubs » français qui n’acceptent pas les résultats du terrain et inventent toutes les combines et pression possible pour se qualifier... c’est vraiment une honte.

Interview C Urios à l'Equipe.

Christophe Urios, manager de l'UBB : « Rendez-vous le 5 septembre ! »

L'entraîneur en chef de Bordeaux-Bègles, Christophe Urios, marqué par l'arrêt de du Top 14, raconte sa déception et précise la façon dont ses joueurs et son staff vont repartir à l'assaut d'une nouvelle saison dans trois mois.

Le 30 avril, la LNR a annoncé officiellement l'arrêt du Top 14, saison 2019-2020 après 17 journées. À ce moment-là, l'Union Bordeaux-Bègles était en tête du classement. Ce même jour, Christophe Urios, l'entraîneur en chef du club girondin, apprenait le décès de son ami Jean-Marc Manducher, président d'Oyonnax avec lequel il avait vécu, en tant que coach, les grandes heures du club. Ce 11 mai, jour de déconfinement, le technicien bordelais est revenu vers nous avec une lettre, rédigée en trois parties titrées, afin de livrer son sentiment personnel sur la période de trois mois qu'il a vécue, avec ses hauts et ses bas.

L'interview qu'il nous a accordée en marge de cette déclaration est à retrouver dans l'édition de L'Équipe du mardi 12 mai 2020.
« J'ai vécu ce confinement en traversant plusieurs états d'âme dans ce moment de vie incroyable où tout le monde tombe, s'arrête ou fait une pause. Un truc de fou que je n'aurais jamais pu imaginer, confesse Christophe Urios. En même temps, j'en ai profité pour faire le point sur pas mal de choses : je me suis laissé porter par la vie, et finalement, ça a du bon. Moi qui aime planifier, préparer et contrôler pour mieux adapter, les sentiments qui m'ont traversé durant les trois derniers mois sont de trois ordres », précise l'entraîneur en chef de l'Union Bordeaux-Bègles en guise de préambule.
Le coeur piétiné
« La fin de saison 2018-2919 avait été très difficile à vivre au Castres Olympique, avec l'écroulement sur les quatre derniers matches, et je repartais sur un défi immense à l'Union Bordeaux-Bègles avec l'idée de gagner et de plaire, ma double mission. Notre saison a été incroyable sur le plan des résultats - nous étions premiers avec beaucoup d'écart sur les suivants -, en pratiquant un rugby de qualité. Nous sortions d'une série autoritaire : nous avions battu le LOU à la maison avec le bonus offensif, nous avions gagné à Clermont avec le bonus offensif, nous étions parvenus à battre Castres, notre bête noire. Quand le confinement est arrivé, nous terminions un stage à Arcachon où nous avions revisité notre projet. Nous étions prêts pour la fin de saison. Arrive le week-end (14 et 15 mars) où tout s'écroule. Il n'y a plus de Top 14, nous sommes confinés, nous attendons quinze jours, puis fin avril puis le 11 mai. Ce fut une période compliquée mais j'étais convaincu que notre championnat allait reprendre. Ce confinement a été une grande bataille et dans ce contexte, nous avons apprécié le caractère de notre président. Il s'est battu pour que ça reprenne, il a été loyal. Quand je lisais les déclarations des uns et des autres, je savais qu'il y avait des zones obscures, des présidents qui disaient le contraire de ce qu'ils pensaient, ce qui était assez insupportable. On nous a fait passer pour ceux qui voulaient absolument reprendre parce qu'ils étaient premiers. Disons qu'on a défendu notre position, comme d'autres l'ont fait. Cette position, c'était la reprise du Top 14 à partir de la phase finale, en incluant des quarts de finale. Quand est arrivé le coup de grâce, à savoir que la crise sanitaire était plus forte que notre rugby, franchement, ça a été difficile à encaisser. Presque à en pleurer. »
Nous étions de beaux premiers
« Après la déroute à La Rochelle, en fin de saison dernière, le groupe, staff y compris, était détruit. On a fait en sorte de se remettre au travail. C'est pour ça que je dis que nous sommes de beaux premiers parce que sur le plan de la culture et de l'identité du club, nous nous sommes appuyés sur les épopées fortes du club. Celle de 1969 qui était celle du beau jeu, bien représentée par Jean Trillo. Celle de 1991, épopée de caractère et d'agressivité. Et sur celle de 2011, avec la montée en Top 14. On a ensuite créé une démarche sportive infaillible, avec un travail de mise en place très précis, une relation aux membres du club et aux supporteurs pour ré-enchanter le stade Chaban-Delmas. Et enfin, l'identité de notre jeu, à savoir fournir de longues séquences de jeu, marquer l'adversaire, constituer une base collective solide et prendre plaisir à attaquer. J'ai rarement vu, dans ma carrière, une équipe qui aimait autant attaquer. Même s'il n'y a pas de récompense au bout, on peut dire qu'on a réussi notre pari. On a respecté notre parole et, pour moi, c'était le plus important. On peut rétorquer que nous sommes premiers parce que c'était une saison d'après-Coupe du monde, que nous avons profité des doublons pendant le Tournoi des Six Nations, c'est vrai, mais ce n'est pas le coeur de notre réussite, de notre force. »
Se rebeller, prendre les choses en mains, ne pas pleurnicher
« Il faut continuer l'aventure. Durant cette période de confinement, l'engagement du staff et des joueurs nous a montré que nous sommes installés sur des bases solides. Tout le monde a continué à bosser. J'ai envoyé ce lundi matin un courriel pour préciser le programme de l'intersaison. Mais avant cela, je veux que tout le monde décompresse jusqu'à fin mai. Parce que si les joueurs et le staff n'évacuent pas tout maintenant, ils le feront durant la saison prochaine et je ne le veux pas ! On se reverra début juin, dans le cadre d'un protocole médical très précis, et on se remettra au travail. On s'est dit que, même si la saison n'a pas été récompensée, elle lance bien notre projet de quatre ans. On va faire en sorte de se renouveler pour surprendre, tout faire pour chercher à progresser, parce qu'on veut être les meilleurs possibles. Aujourd'hui, je suis apaisé parce que je sais qu'on a réussi dans notre entreprise et je suis prêt à repartir au combat. Je suis fier de notre recrutement. Ben Tameifuna, Joseph Dweba et Ben Lam vont nous apporter de la puissance et de l'expérience. On a aussi des retours de prêts, comme Maxime Lamothe ou Mathéo Garcia. Et des jeunes, comme Nathanaël Hulleu, ailier international moins de 20 ans. Sans oublier une très grosse formation. Tout cela est bien contrôlé. Nous aurons une équipe encore plus solide. Et si je suis apaisé aujourd'hui, c'est aussi parce que je donne rendez-vous à tous nos concurrents le 5 septembre ! »

à l'écouter et/ou à le lire, il me donne toujours des frissons...
Quel manager

Comment ne pas relever ces derniers mots:
"Sans oublier une très grosse formation. Tout cela est bien contrôlé. Nous aurons une équipe encore plus solide. "
On commentait la faible incorporation d'Espoirs cette saison. Ça confirme ce que nous évoquions, les jeunes ont eu peu de chances simplement parce que la marche était trop haute avec une équipe pro qui s'est transcendée...
Par contre Urios jette clairement le gant à nos adversaires, et il semble clair que tout le monde aura à coeur de faire ravaler aux supporteurs des autres clubs leurs pleurnicheries qui attribuaient notre belle saison à de la chance, des adversaires affaiblis, etc...
On ne peut qu'être impatient de les revoir sur leur terrain

tout à fait d'accord. C'est vraiment l'homme qui manquait à l'ubb. On avait un trés bon président, de trés bons supporters, des joueurs excellents avec une bonne mentalité mais jusqu'à la saison derniére on avait pas le manager capable d'instaurer un climat de ,confiance et de loyauté. C Urios est un gars que l'on veut suivre partout et je le dis encore plus fortement que j'étais une de celle qui doutais de lui et attendais des actes forts tant au niveau rugby qu'au niveau relationnel avec les joueurs et les supporters. Bravo et merçi monsieur urios

mais les toulousains ne sont pas des pleureuses : https://www.francebleu.fr/sports/rugby/exclusif-stade-toulousain-reprise-joueurs-testes-coupe-d-europe-les-confidences-de-didier-lacroix-1589204647

https://sport24.lefigaro.fr/rugby/top-14/actualites/dans-le-rugby-professionnel-une-baisse-des-salaires-qui-pourrait-durer-1001626

L'Équipe
RICHARD ESCOT

Lorsque le 30 avril nous avons joint Christophe Urios pour le faire réagir à la fin de la saison 2019-2020, l'entraîneur de l'Union Bordeaux-Bègles, touché par le décès de l'ancien président d'Oyonnax, Jean-Marc Manducher, n'avait pas souhaité répondre à chaud et nous a donné rendez-vous plus tard. Hier en fin de matinée, après avoir rédigé ses réflexions (disponibles sur le site L'Équipe), Christophe Urios est revenu sur la période de confinement et la fin des illusions de l'UBB alors que le club girondin était leader du Top 14 après dix-sept journées.

« Comment avez-vous vécu la période de confinement qui vient de se terminer ?

À partir du moment où le confinement a été décidé (le 17 mars) , se sont succédé trois projets de reprise : une finale le 18 juillet, puis le démarrage de la saison 2020-2021 par une phase finale, à savoir demies et finale, et enfin le projet de reprise en septembre. Et j'ai toujours pensé qu'on allait reprendre la saison. Du coup, l'annulation a été dure à vivre.

Quel regard portez-vous sur cet arrêt complet de compétition ?

Cette cassure, il faut la remettre dans un contexte. Depuis onze saisons, Bordeaux n'arrivait pas à se qualifier malgré l'excellent travail effectué. Ça s'est souvent joué à très peu. Et là, franchement, on était bien. Je pense sincèrement qu'on se serait qualifiés. Dans quelle position, je ne sais pas, même si j'avais ma petite idée (sourire) .

"Tous les voyants étaient au vert, les planètes étaient bien alignées et, tout à coup, quelque chose nous a tout enlevé

Avez-vous déjà connu une déception aussi forte ?

Non. Je n'ai jamais vécu ça... Ou alors peut-être une fois à Castres, à mes débuts d'entraîneur adjoint, où j'avais vécu une véritable trahison. Là, cet arrêt, je ne l'ai pas vécu de la même façon car on était bien lancés : tous les voyants étaient au vert, les planètes étaient bien alignées et, tout à coup, quelque chose qu'on ne maîtrise pas nous a tout enlevé.

À titre personnel, comment cela s'est-il traduit ?

Ce jeudi 30 avril, j'ai appris aussi le décès de Jean-Marc Manducher, avec lequel j'avais vécu des moments forts, à Oyonnax. Je ne suis pas du genre à me laisser trop longtemps aller mais ces deux jours (30 avril et 1er mai), franchement, ont été très difficiles. Je n'avais envie de rien, je ne parlais pas, j'étais abattu, et tout un tas d'émotions me traversaient. Je repensais à ce que j'avais vécu à Oyonnax et en même temps à l'arrêt de la saison de Top 14. J'avais une double vague qui venait se briser en moi.

Comment avez-vous rebondi ?

Je me suis ressourcé par le travail. Ce confinement m'a permis de réfléchir. Sur le plan personnel, j'ai appris plein de choses. J'ai aussi acheté un vignoble dans le Minervois, près de chez moi. C'était mon rêve absolu. Très vite, j'ai basculé là-dedans. De la même façon, je n'arrivais pas à comprendre, en écoutant tout ce qui se disait sur les différents supports médiatiques, comment on pouvait affirmer que le monde d'après allait être différent de celui que nous avons connu. Bien sûr qu'il sera différent sur le plan du vécu mais aussi sur le plan économique, mais ce qui va être important, c'est surtout de savoir comment les grands dirigeants, les grands managers, vont être capables de relancer une dynamique.

Vous ne pensez pas qu'on puisse y parvenir ?

Si, justement. Avec mon ami Fred, (Frédéric Rey-Millet, co-auteur de Quinze Leçons de leadership , Éditions Eyrolles, 2019), on a beaucoup échangé sur ce sujet. On ne sait pas s'il faut créer un monde nouveau mais on est certains d'une chose : il faut revenir aux fondamentaux ! Temps additionnelnir aux choses profondes qui mettent l'humain au coeur d'un projet, d'un territoire, pour que ça fasse sens. On a d'ailleurs monté un programme qu'on va proposer à une vingtaine de dirigeants, et qui concerne le management du jour d'après.

Avez-vous la même idée pour l'UBB ?

Oui. Mais avant d'en arriver là, ce qui m'a fait du bien, c'est que le président et moi sommes tombés d'accord sur l'idée qu'il ne fallait pas qu'on nous donne le titre de champion de France sur tapis vert. Ça aurait été affreux. Il restait neuf journées, soit quarante-cinq points, et ça semblait très loin. On savait aussi que sur la phase finale, le sixième peut battre le premier, j'avais vécu ça avec Castres. On ne mérite pas ce titre. Et ça a été une façon de dire : "OK, on a fait tout ce qu'on pouvait et plutôt bien. La pandémie nous arrête, on s'est battus pour que ça reprenne." À partir du moment où il a été décidé que la reprise ne serait pas possible, on ne voulait absolument pas d'un titre. Cette décision m'a permis de passer à autre chose. Et de préparer la suite rugbystique.

Comment allez-vous utiliser le moment de l'arrêt de compétition pour sortir de la crise par le haut ?

On ne veut pas vivre cette saison terminée comme un échec, parce qu'on est responsables de rien. Il faut vraiment avancer vers la suite, c'est-à-dire la saison prochaine. Tout donner pour être encore plus performants.

Dans votre lettre ouverte, publiée sur notre site, vous donnez rendez-vous à vos concurrents le 5 septembre. On sent chez vous l'envie d'évacuer quelque chose qui pèse encore un peu...

Oui, cette frustration ne sortira que par le terrain, quand je pourrais saluer les joueurs, les embrasser, serrer mon staff dans les bras... Aujourd'hui, je n'ai pas la rage, je suis apaisé, car nous avons un objectif d'amélioration. Mais quand on va retrouver le terrain, l'entraînement, la préparation des matches, je sais que le tempérament, la personnalité, l'envie de gagner va reprendre le dessus.

"On a un état d'esprit et un comportement de coeur. Pour moi, c'est le plus important. Le reste, c'est de l'enfumage

Avez-vous une idée précise de l'agenda de reprise ?

On sait qu'on va reprendre le 5 septembre, et que le protocole médical est très précis. Évidemment, tout peut être remis en cause du jour au lendemain, on le sait. Ça fait partie de notre vie, aujourd'hui, et pas que dans le rugby, aussi à tous les niveaux de la société. Nous sommes tous logés à la même enseigne. On verra comment les choses s'organisent selon l'évolution de cette saloperie de virus.

L'amertume doit être grande, malgré tout, d'autant qu'aux yeux de beaucoup, l'UBB est passée pour un club égoïste, qui ne pensait qu'à ses intérêts sportifs...

Ce qui nous a fait mal, c'est qu'on a été loyaux. Laurent (Marti, président de l'UBB) a parlé avec son coeur; il a défendu sa position, comme tous les autres. Il y avait une grande cohérence entre ce qu'il nous disait, ce qu'il disait en réunion de présidents et ce qu'il disait à la presse. Ce qui n'a pas été le cas de tout le monde... Du coup, on est devenus des boucs émissaires. Bien sûr que nous étions premiers, mais quand on a su qu'il n'était plus possible d'imaginer une reprise, on s'est rangés à l'avis général. Avec loyauté. C'est pour ça que je suis confiant dans l'avenir : on a un état d'esprit et un comportement de coeur. Pour moi, c'est le plus important. Le reste, c'est de l'enfumage... »

https://www.sudouest.fr/2020/05/12/ubb-trois-matchs-amicaux-face-a-biarritz-clermont-et-bayonne-7478800-4564.php

"à Biarritz le 13 ou 14 août
à Tulle face à Clermont le 22 août
à Bayonne le 28 août (lieu à déterminer)"

A Bayonne ça pourrait se jouer Place des Basques
En tout cas, a priori, rien à la maison. Ceci étant dit, si les matchs ont lieu à huis-clos, ça ne changera pas grand chose.

marchal a écrit:mais les toulousains ne sont pas des pleureuses : https://www.francebleu.fr/sports/rugby/exclusif-stade-toulousain-reprise-joueurs-testes-coupe-d-europe-les-confidences-de-didier-lacroix-1589204647

https://sport24.lefigaro.fr/rugby/top-14/actualites/dans-le-rugby-professionnel-une-baisse-des-salaires-qui-pourrait-durer-1001626

Septembre/ Octobre, entre la Hcup, le tournoi, etc... les Toulousains doivent dès maintenant faire un stock de mouchoirs.

latine a écrit:Depuis le début du sketch « coupe d’Europe » je suis certaine qu’on va se faire avoir et qu’une saison blanche va aussi être déclarée pour la qualif pour arranger le grand ST...
Le ST est pitoyable et l’ASM pas beaucoup mieux...
C’est ça les « grands clubs » français qui n’acceptent pas les résultats du terrain et inventent toutes les combines et pression possible pour se qualifier... c’est vraiment une honte.

Ca c'est HORS DE QUESTION....surtout que Marti a été particulièrement conciliant en acceptant coup sur coup la possibilité de 1/4 en championnat (qui nous privait potentiellement d'une demie quasiment acquise) et d'une formule à 8 clubs en coupe d'Europe....solutions qui garantissait les intérêts du ST et par ricochet du MHR
"Saison blanche" signifie qu'il n'y a pas de champion mais en aucun cas que les 17 matchs joués jusque là n'ont jamais existé ...faut pas déconner quand même

marchal a écrit:mais les toulousains ne sont pas des pleureuses : https://www.francebleu.fr/sports/rugby/exclusif-stade-toulousain-reprise-joueurs-testes-coupe-d-europe-les-confidences-de-didier-lacroix-1589204647

Bonjour la rédaction de l'article ...

On était dans les premiers à militer pour ça. Pas forcément parce qu'aujourd'hui on n'est pas qualifiable       . Si je pousse le raisonnement jusqu'au bout, le Stade Toulousain, c'est pas pleurnicher dans les instances. Il faut qu'on gagner la Coupe d'Europe ou alors qu'il y ait annulation de la saison. On a le droit d'être complètement subjectif. Je porte le polo du Stade Toulousain. Mes joueurs, mes partenaires, mes abonnés ne comprendraient pas que je n'aille pas jusqu'au bout pour défendre les intérêts de mon club. Il faut le faire de façon nuancer. Oui, nous avons milité pour une Coupe d'Europe qui qualifierait huit clubs. Pourquoi ? Parce que la victoire en Challenge Cup ou en Champions Cup qualifie pour l'année prochaine. Vous pouvez donc avoir une victoire de Castres  et de Toulouse et là vous allez voir que Clermont et La Rochelle vont monter dans les tours et se dire effectivement ce serait bien qu'on en ait huit.

Bref si quelqu'un peu déchiffrer

sudiste a écrit:

latine a écrit:Depuis le début du sketch « coupe d’Europe » je suis certaine qu’on va se faire avoir et qu’une saison blanche va aussi être déclarée pour la qualif pour arranger le grand ST...
Le ST est pitoyable et l’ASM pas beaucoup mieux...
C’est ça les « grands clubs » français qui n’acceptent pas les résultats du terrain et inventent toutes les combines et pression possible pour se qualifier... c’est vraiment une honte.

Ca c'est HORS DE QUESTION....surtout que Marti a été particulièrement conciliant en acceptant coup sur coup la possibilité de 1/4 en championnat (qui nous privait potentiellement d'une demie quasiment acquise) et d'une formule à 8 clubs en coupe d'Europe....solutions qui garantissait les intérêts du ST et par ricochet du MHR
"Saison blanche" signifie qu'il n'y a pas de champion mais en aucun cas que les 17 matchs joués jusque là n'ont jamais existé ...faut pas déconner quand même

Tu verras... j’espère me tromper, mais je suis tellement sûre qu’on va se faire entuber que j’ai fait un pari avec un resto en jeu alors que je ne parie jamais...
En plus, le ST la joue chantage envers la coupe d’Europe avec le coup des 8...et comme il lui faut le soutien de tous les clubs, tu vois le chantage en sous-main envers l’UBB avec l’année blanche...
Pitoyable...

Si les Toulousains ne sont pas des pleureuses alors c'est bien imité.Ils n'ont pas besoin de se frotter les yeux avec des oignons comme les pleureuses de Sarrance, c'est inné chez eux.
Sonnes a changé de crémerie faut dire qu'après s'être ressourcé en Irlande le ST devait lui sembler bien "petit"

https://www.sudouest.fr/2020/05/12/l-ubb-retrouve-la-meilleure-affluence-d-europe-7478836-773.php?fromsar=true

Le routine même si nous retrouvons notre podium européen