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Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
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Scalp- Team modo
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/ubb-racing-92-j-ai-un-nouveau-statut-a-assumer-dit-matthieu-jalibert-2000418.php
UBB – Racing 92 : « J’ai un nouveau statut à assumer », dit Matthieu Jalibert
Par Propos recueillis par Yoan Leshauriès - y.leshauries@sudouest.fr
L’international français est revenu du Tournoi des Six-Nations avec une confiance renforcée et a pris encore un peu plus de poids à l’Union Bordeaux-Bègles. Il assume ce rôle de leader. Après une prestation solide face à Bristol, il sera titulaire à l’ouverture face au Racing 92 ce dimanche (13 h 30) en quart de finale de Champions Cup
Un nouveau Matthieu Jalibert semble être revenu du Tournoi des Six-Nations. De par les tatouages déjà...
(Rires) Oui, j’ai fait ça en rentrant de l’équipe de France pendant la semaine que le club m’a laissée (suite à sa commotion face au Pays de Galles) pour faire deux-trois petits dessins sur le bras. J’avais déjà un lion sur le mollet et là, j’ai fait des tatouages un peu plus personnels par rapport à des croyances, mais je n’en dirai pas plus.
Que vous a apporté le fait d’enchaîner en tant que titulaire chez les Bleus ?
Ca m’a permis de prendre plus confiance en moi et d’être un peu plus posé. C’est vrai que je suis un joueur qui peut parfois avoir des réactions assez impulsives et excessives. J’essaie de me contrôler, d’apporter de la sérénité, du calme pour l’équipe, de donner de la confiance autour de moi. De par mon rôle sur le terrain et mon nouveau statut, je me dois d’apporter tout ça à mes coéquipiers.
« Le staff sait qu’il peut compter sur deux numéros 10 performants au niveau international »
Etes-vous obligé de forcer votre nature ?
Non, je grandis, tout simplement, je suis plus mature. Il ne faut pas oublier que je n’ai que 22 ans. Ca fait aussi partie de mon évolution en tant qu’homme de me calmer au fil du temps. J’évolue sur le terrain mais aussi dans la vie. On apprend tous les jours. J’essaie de prendre mes responsabilités. J’ai un nouveau statut à assumer, j’aime ce challenge.
Avez-vous le sentiment d’avoir répondu à tout ceux qui pouvaient douter de votre capacité à assumer le fait d’être titulaire en 10 avec le XV de France ?
Je n’ai jamais joué pour prouver à qui que ce soit que j’avais le niveau mais je pense que ça a fermé la bouche de certaines personnes. Dans le sport, ça va très vite : un jour tu es tout en haut, un jour tu es tout en bas. J’ai été beaucoup critiqué à mes débuts en équipe de France et ceux qui me critiquaient à l’époque sont ceux qui m’encensent aujourd’hui. Ca me fait doucement rire. J’ai envie de leur dire que quand on laisse le temps à quelqu’un de prendre ses marques et prendre confiance, après, on peut juger son vrai niveau. Sans me trouver d’excuses, j’ai fait une première apparition très jeune chez les Bleus (18 ans en Irlande) et je me suis blessé (ligaments croisés). Quand je suis revenu, j’étais numéro 2, je n’avais pas beaucoup de temps de jeu. Romain (Ntamack) faisaient d’excellents matchs, il n’y avait aucune raison que ce soit moi qui joue. Mais je n’ai jamais douté de mon jeu et de ce que je savais faire. J’ai continué à travailler, j’ai été patient et j’ai saisi l’opportunité. Je suis content d’avoir montré que j’avais les épaules pour porter le numéro 10 au niveau international.
Après ce Tournoi, vous sentez-vous désormais numéro 1 sur le poste ?
Non. Il n’y a pas de numéro 1 ou de numéro 2. Il y a beaucoup de débats par rapport à ça mais je trouve ça inutile. Il y a une forme du moment, j’ai eu la chance de pouvoir jouer, je l’ai saisie. Il ne faut pas enlever à Romain tout ce qu’il a fait avant sa blessure, il a été un patron en équipe de France. On verra quels seront les choix du staff mais je ne me considère pas comme le numéro 1, loin de là.
“J’essaie de prendre la parole de plus en plus devant le groupe. Je sens que je suis plus écouté”
Vous sentiez-vous attendu au tournant ?
Quand on évolue à un poste clé, on est forcément attendu. Il y avait un peu de pression, je savais que j’allais être regardé et jugé sur mes performances. Il valait mieux être bon. Aujourd’hui, je savoure parce que c’est toujours plaisant de recevoir de beaux compliments. Mais après, je n’ai rien gagné non plus. J’ai juste montré que j’étais capable d’être une option sur le poste chez les Bleus. Le staff sait qu’il peut compter sur deux numéros 10 performants au niveau international. J’ai encore beaucoup de choses à travailler.
Jefferson Poirot vous considère comme “le meilleur demi d’ouverture français”. Mourad Boudjellal vous voit comme le “Johan Cruyff du rugby français”. N’y a-t-il pas un risque de se laisser griser ?
J’arrive à garder les pieds sur terre. Ma vie en équipe de France n’a pas été toute rose. J’ai déjà reçu pas mal de critiques et je sais très bien qu’au moindre match où je vais me rater, je serai critiqué. Ca fait toujours plaisir d’entendre des compliments, je remercie les gens qui m’en font. Mais je reste concentré.
Avec vous, « l’UBB est en confiance », juge votre manager Christophe Urios. Comment la transmettez-vous et à quels niveaux ?
J’essaie d’être un peu plus leader. Mon statut a changé, j’essaie de prendre la parole de plus en plus devant le groupe, je sens que je suis de plus en plus écouté. Je tente d’être leader de par mon jeu mais aussi, de plus en plus, en dehors du terrain. Plus tu prouves des choses, plus tu prends de place au sein de l’effectif. Je n’ai pas plus de légitimité qu’un autre mais je sens que je prends confiance à devenir un leader pour ce groupe et pour ce club.
Dans la confiance que vous dégagez, certains y voient un trop plein de confiance, un joueur trop sûr de lui...
Ce que peuvent penser les gens à mon sujet, je m’en fous complètement. Il y a tellement de choses qui se disent... Moi, ce qui m’importe, c’est ce que pensent les gens qui m’entourent réellement. Mes coéquipiers savent comment je suis, comment je me comporte. Je suis le même aux entraînements qu’en match.
« Je fais partie des enfants de l’UBB. Ça a beaucoup de sens pour moi d’écrire l’histoire du club »
Vous avez la volonté d’écrire l’histoire de l’UBB. Pour vous qui avez rejoint le CABBG en cadets, qui avez été ramasseur de balle à Moga, cela a-t-il encore plus de sens ?
Bien sûr. Je fais partie des enfants du club, ces joueurs qui ont commencé très tôt ici. En tant que spectateur, j’ai vécu la montée en Top 14, le maintien, la phase où on était très proches de se qualifier, les premières Champions Cup. En tant que joueur, j’ai vécu les premières demi-finales de Coupe d’Europe (Challenge Cup). C’est vrai que ça a beaucoup de sens pour moi d’écrire l’histoire du club. Et aujourd’hui, je suis très fier de ce qu’on est en train de faire, des choses qui n’ont pas été faites avant. Comme j’ai dit après la victoire face à Bristol, on n’a rien gagné mais on a posé une première pierre et ça, c’est positif pour la suite.
Avant vous, l’enfant du club, c’était Baptiste Serin, jusqu’à ce qu’il rejoigne Toulon. A titre personnel, comment voyez-vous la suite de votre carrière ?
Pour moi, c’est compliqué de penser à ce genre de choses. Dans le rugby pro, ça va très vite. Il y a tellement de choses qui peuvent décider de la carrière d’un joueur, à l’image des blessures par exemple. Je vis au jour le jour. Je ne me pose pas la question de savoir où je serai demain. Pour l’instant, je suis sous contrat jusqu’en 2023, je suis bien à Bordeaux, j’aime ce club et cette ville. Je donne tout et on verra bien.
Que serait une fin de saison réussie à vos yeux ?
Elle sera réussie tout simplement si on atteint les objectifs qu’on s’est fixés. De là à dire qu’une saison réussie, c’est de devenir champion de France, je ne sais pas... En tout cas, il faut montrer un bon visage, se donner à fond et ne pas avoir de regrets. A la fin de la saison, il faudra se regarder et dire qu’on a tout donné. Et même si on n’a pas ce qu’on veux, il faudra pouvoir se dire qu’on s’est battu les armes à la main.
UBB – Racing 92 : « J’ai un nouveau statut à assumer », dit Matthieu Jalibert
Par Propos recueillis par Yoan Leshauriès - y.leshauries@sudouest.fr
L’international français est revenu du Tournoi des Six-Nations avec une confiance renforcée et a pris encore un peu plus de poids à l’Union Bordeaux-Bègles. Il assume ce rôle de leader. Après une prestation solide face à Bristol, il sera titulaire à l’ouverture face au Racing 92 ce dimanche (13 h 30) en quart de finale de Champions Cup
Un nouveau Matthieu Jalibert semble être revenu du Tournoi des Six-Nations. De par les tatouages déjà...
(Rires) Oui, j’ai fait ça en rentrant de l’équipe de France pendant la semaine que le club m’a laissée (suite à sa commotion face au Pays de Galles) pour faire deux-trois petits dessins sur le bras. J’avais déjà un lion sur le mollet et là, j’ai fait des tatouages un peu plus personnels par rapport à des croyances, mais je n’en dirai pas plus.
Que vous a apporté le fait d’enchaîner en tant que titulaire chez les Bleus ?
Ca m’a permis de prendre plus confiance en moi et d’être un peu plus posé. C’est vrai que je suis un joueur qui peut parfois avoir des réactions assez impulsives et excessives. J’essaie de me contrôler, d’apporter de la sérénité, du calme pour l’équipe, de donner de la confiance autour de moi. De par mon rôle sur le terrain et mon nouveau statut, je me dois d’apporter tout ça à mes coéquipiers.
« Le staff sait qu’il peut compter sur deux numéros 10 performants au niveau international »
Etes-vous obligé de forcer votre nature ?
Non, je grandis, tout simplement, je suis plus mature. Il ne faut pas oublier que je n’ai que 22 ans. Ca fait aussi partie de mon évolution en tant qu’homme de me calmer au fil du temps. J’évolue sur le terrain mais aussi dans la vie. On apprend tous les jours. J’essaie de prendre mes responsabilités. J’ai un nouveau statut à assumer, j’aime ce challenge.
Avez-vous le sentiment d’avoir répondu à tout ceux qui pouvaient douter de votre capacité à assumer le fait d’être titulaire en 10 avec le XV de France ?
Je n’ai jamais joué pour prouver à qui que ce soit que j’avais le niveau mais je pense que ça a fermé la bouche de certaines personnes. Dans le sport, ça va très vite : un jour tu es tout en haut, un jour tu es tout en bas. J’ai été beaucoup critiqué à mes débuts en équipe de France et ceux qui me critiquaient à l’époque sont ceux qui m’encensent aujourd’hui. Ca me fait doucement rire. J’ai envie de leur dire que quand on laisse le temps à quelqu’un de prendre ses marques et prendre confiance, après, on peut juger son vrai niveau. Sans me trouver d’excuses, j’ai fait une première apparition très jeune chez les Bleus (18 ans en Irlande) et je me suis blessé (ligaments croisés). Quand je suis revenu, j’étais numéro 2, je n’avais pas beaucoup de temps de jeu. Romain (Ntamack) faisaient d’excellents matchs, il n’y avait aucune raison que ce soit moi qui joue. Mais je n’ai jamais douté de mon jeu et de ce que je savais faire. J’ai continué à travailler, j’ai été patient et j’ai saisi l’opportunité. Je suis content d’avoir montré que j’avais les épaules pour porter le numéro 10 au niveau international.
Après ce Tournoi, vous sentez-vous désormais numéro 1 sur le poste ?
Non. Il n’y a pas de numéro 1 ou de numéro 2. Il y a beaucoup de débats par rapport à ça mais je trouve ça inutile. Il y a une forme du moment, j’ai eu la chance de pouvoir jouer, je l’ai saisie. Il ne faut pas enlever à Romain tout ce qu’il a fait avant sa blessure, il a été un patron en équipe de France. On verra quels seront les choix du staff mais je ne me considère pas comme le numéro 1, loin de là.
“J’essaie de prendre la parole de plus en plus devant le groupe. Je sens que je suis plus écouté”
Vous sentiez-vous attendu au tournant ?
Quand on évolue à un poste clé, on est forcément attendu. Il y avait un peu de pression, je savais que j’allais être regardé et jugé sur mes performances. Il valait mieux être bon. Aujourd’hui, je savoure parce que c’est toujours plaisant de recevoir de beaux compliments. Mais après, je n’ai rien gagné non plus. J’ai juste montré que j’étais capable d’être une option sur le poste chez les Bleus. Le staff sait qu’il peut compter sur deux numéros 10 performants au niveau international. J’ai encore beaucoup de choses à travailler.
Jefferson Poirot vous considère comme “le meilleur demi d’ouverture français”. Mourad Boudjellal vous voit comme le “Johan Cruyff du rugby français”. N’y a-t-il pas un risque de se laisser griser ?
J’arrive à garder les pieds sur terre. Ma vie en équipe de France n’a pas été toute rose. J’ai déjà reçu pas mal de critiques et je sais très bien qu’au moindre match où je vais me rater, je serai critiqué. Ca fait toujours plaisir d’entendre des compliments, je remercie les gens qui m’en font. Mais je reste concentré.
Avec vous, « l’UBB est en confiance », juge votre manager Christophe Urios. Comment la transmettez-vous et à quels niveaux ?
J’essaie d’être un peu plus leader. Mon statut a changé, j’essaie de prendre la parole de plus en plus devant le groupe, je sens que je suis de plus en plus écouté. Je tente d’être leader de par mon jeu mais aussi, de plus en plus, en dehors du terrain. Plus tu prouves des choses, plus tu prends de place au sein de l’effectif. Je n’ai pas plus de légitimité qu’un autre mais je sens que je prends confiance à devenir un leader pour ce groupe et pour ce club.
Dans la confiance que vous dégagez, certains y voient un trop plein de confiance, un joueur trop sûr de lui...
Ce que peuvent penser les gens à mon sujet, je m’en fous complètement. Il y a tellement de choses qui se disent... Moi, ce qui m’importe, c’est ce que pensent les gens qui m’entourent réellement. Mes coéquipiers savent comment je suis, comment je me comporte. Je suis le même aux entraînements qu’en match.
« Je fais partie des enfants de l’UBB. Ça a beaucoup de sens pour moi d’écrire l’histoire du club »
Vous avez la volonté d’écrire l’histoire de l’UBB. Pour vous qui avez rejoint le CABBG en cadets, qui avez été ramasseur de balle à Moga, cela a-t-il encore plus de sens ?
Bien sûr. Je fais partie des enfants du club, ces joueurs qui ont commencé très tôt ici. En tant que spectateur, j’ai vécu la montée en Top 14, le maintien, la phase où on était très proches de se qualifier, les premières Champions Cup. En tant que joueur, j’ai vécu les premières demi-finales de Coupe d’Europe (Challenge Cup). C’est vrai que ça a beaucoup de sens pour moi d’écrire l’histoire du club. Et aujourd’hui, je suis très fier de ce qu’on est en train de faire, des choses qui n’ont pas été faites avant. Comme j’ai dit après la victoire face à Bristol, on n’a rien gagné mais on a posé une première pierre et ça, c’est positif pour la suite.
Avant vous, l’enfant du club, c’était Baptiste Serin, jusqu’à ce qu’il rejoigne Toulon. A titre personnel, comment voyez-vous la suite de votre carrière ?
Pour moi, c’est compliqué de penser à ce genre de choses. Dans le rugby pro, ça va très vite. Il y a tellement de choses qui peuvent décider de la carrière d’un joueur, à l’image des blessures par exemple. Je vis au jour le jour. Je ne me pose pas la question de savoir où je serai demain. Pour l’instant, je suis sous contrat jusqu’en 2023, je suis bien à Bordeaux, j’aime ce club et cette ville. Je donne tout et on verra bien.
Que serait une fin de saison réussie à vos yeux ?
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
Champions Cup - UBB : Cordero revient pour le chaud
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/champions-cup-ubb-cordero-revient-pour-le-chaud-1618057951
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
Champions Cup : notre pronostic pour Bordeaux-Bègles – Racing 92
https://dicodusport.fr/blog/champions-cup-pronostic-bordeaux-begles-racing-92/
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Matthieu-jalibert-ouvreur-de-l-ubb-et-de-l-equipe-de-france-je-prends-un-peu-plus-de-place/1241322
Matthieu Jalibert, ouvreur de l'UBB et de l'équipe de France : « Je prends un peu plus de place »
Renforcé par la confiance que lui a accordée le staff des Bleus pendant le Tournoi des Six Nations, l'ouvreur de Bordeaux-Bègles Matthieu Jalibert s'avance vers le sprint final en Coupe d'Europe et en Top 14 plein d'ambition.
Thomas Perotto
Assis sur les marches en pierre du stade André-Moga, Matthieu Jalibert (22 ans, 12 sél.) a pris le temps vendredi d'évoquer son retour à l'UBB, fin mars, ainsi que l'épaisseur et la confiance acquises lors de son passage en équipe de France pendant le Tournoi. Renforcé par cette période, il veut désormais porter son club vers une fin de saison excitante. À commencer par la Coupe d'Europe, dès ce dimanche face au Racing 92 (13h30).
LA COUPE D'EUROPE : « On n'a pas la pression du Racing »
« Vous avez évoqué, après le huitième de finale remporté face à Bristol (36-17), une aventure européenne placée sous le signe de la découverte et donc sans pression. En quoi est-ce un avantage avant d'affronter le Racing 92 ?
On va découvrir cet environnement sans pression. Juste avec l'envie de montrer ce que l'on sait faire car nous avons un groupe plein d'ambition. Je pense que c'est positif dans le sens où on ne se pose pas de question, on n'a pas la pression du Racing ou des clubs qui visent à tout prix la Champions Cup. La pression absolue du résultat n'est pas là. Mais attention, on ne prend pas la Coupe d'Europe pour de la merde, on ne la galvaude pas. Chaque grand match de Coupe d'Europe est un pas de plus pour le club. C'est maintenant que les grandes équipes et les grands collectifs commencent à exploiter leur potentiel à 100 %.
Avez-vous senti que Bristol n'avait pas regardé l'UBB comme un grand d'Europe ?
Vous voulez que je vous dise ce que je pense franchement ? Bristol pensait gagner à Chaban. Ils ne se sont pas préparés pour ce qui allait leur arriver. Ils savaient que ce serait dur, car on les avait tenus en Challenge (demi-finale remportée par les Anglais 37-20 en prolongation, en septembre) : mais ils pensaient qu'ils allaient nous battre. On a fait un match d'équipe. On les a surpris, ils ont été secoués par cette intensité. On avait une revanche à prendre sur notre défaite à domicile face à La Rochelle la semaine d'avant (11-26), une revanche par rapport à la demi-finale de Challenge mais surtout l'excitation et la passion de vivre un huitième de finale à Chaban.
Que représente la Coupe d'Europe à vos yeux ?
Quand tu commences le rugby, tu ne vois que le Top 14, c'est ce qui te fait vibrer, tu regardes les saisons d'abord par notre Championnat. Mais pour moi, la Coupe d'Europe a beaucoup de saveur aussi. J'ai toujours rêvé de pouvoir la jouer. Quand tu la gagnes, tu es LA meilleure équipe d'Europe. Cela veut dire que tu as été capable de sortir des grosses écuries, ça compte. »
SON STATUT EN CLUB : « J'ai envie de devenir un patron »
« En fin de match face à Bristol, vous étiez capitaine. Qu'est-ce que cela change ?
Cela montre la confiance que l'encadrement a en moi. J'ai envie de devenir le patron de cette équipe, tout en restant à ma place car je sais qu'il y a un capitaine et d'autres leaders. Mais à ma façon, j'ai envie de devenir un patron à l'UBB. Avoir le capitanat sur des bouts de match me rend fier.
Fin décembre 2019, vous nous disiez que vous n'étiez pas un leader naturel par la parole, dans le leadership. Un cap a-t-il été franchi ?
Je ne suis pas d'une nature à prendre la parole facilement. Mais avec mon poste, avec mon nouveau statut, je prends un peu plus de place. Et je prends plaisir à le faire. J'ai des ambitions élevées, le club aussi. J'essaie d'être à la hauteur. Cela passe aussi par mes actions en dehors du terrain et ma parole envers mes coéquipiers.
Depuis votre retour de Marcoussis, vos partenaires vous regardent-ils différemment ?
Je ne sais pas s'ils me regardent différemment mais je me rends compte que lorsqu'on a la chance de jouer de plus en plus au niveau international, on change de statut, on prend de l'épaisseur. Comme pour d'autres joueurs, c'est la notoriété via l'équipe de France qui fait cela. Quand tu es le numéro dix de l'équipe de France, tu prends de l'ampleur. Et tu la rapportes au club.
Avez-vous d'autres certitudes grâce aux Bleus ?
L'équipe de France, c'est le Graal pour un joueur de rugby. C'est le meilleur niveau au monde. Forcément, quand tu joues un match avec les Bleus tu progresses deux ou trois fois plus vite. Je l'ai senti dans mon évolution. Quand je suis performant en équipe de France, ça me booste, ça me donne plus la confiance. Quand je reviens en club, j'essaie d'avoir cette sérénité et cette assurance pour mes coéquipiers. »
L'ÉQUIPE DE FRANCE : « J'étais libéré »
« Les regards portés sur vous sont-ils encore plus insistants lorsque vous passez du club à la sélection ?
J'ai beaucoup d'attentes envers moi-même. Je ne me mets pas plus de pression que cela, mais je sais que je joue à un poste qui est décortiqué, épié. En équipe de France, c'est trois fois pire. La moindre chose que tu fais de bien est encensée, la moindre chose que tu fais de mal sert à te descendre. Une fois que tu l'as compris, tu le vis beaucoup mieux.
Le fait d'avoir joué la fin de la Coupe d'automne des nations vous a-t-il permis de démarrer le Tournoi plus libéré ?
Clairement. J'avais pu faire mes preuves dans ce groupe, montrer ce dont j'étais capable à mes coéquipiers et à l'encadrement. Au fur et à mesure des matches, j'ai pris confiance, je pense aussi que j'en ai donné à mes coéquipiers. J'étais dans mon évolution. Quand le Tournoi a commencé, j'avais cette confiance. J'ai pu jouer comme je sais le faire en club, j'étais libéré. Ça s'est super bien passé.
Comment avez-vous vécu ces quatre titularisations de suite ?
Je m'entraîne pour pouvoir porter le numéro dix et enchaîner, en club et en sélection. J'ai eu cette opportunité-là pendant le Tournoi. On ne va pas se mentir, il y a aussi eu la blessure de Romain (Ntamack, double fracture de la mâchoire) qui m'a permis d'enchaîner. Je ne sais pas comment cela se serait passé sinon. Mais c'est vrai que c'était un bon moment pour moi. J'ai senti que le staff avait confiance en moi, que je répondais à ses attentes. Quand un joueur commence à jouer en bleu, on a tendance à le juger sur son premier, son deuxième match. Mais c'est rare d'être étincelant d'entrée. Il faut lui laisser le temps de s'installer et de prendre confiance. C'est à partir du quatrième ou cinquième match qu'on peut commencer à parler de son niveau.
Des doutes existaient sur votre capacité à vous adapter au jeu de dépossession, à vous fondre dans le moule de Fabien Galthié...
Il n'a jamais été dit de ne pas jouer libéré. On jouait beaucoup au pied au début, oui, on joue un peu plus à la main maintenant. Cela fait partie de la construction et de l'évolution de l'équipe. Au fur et à mesure, on se libère. Je ne me prends pas la tête avec les questions qui se posent sur moi. Si le staff de l'équipe de France me prend, c'est qu'il pense que je suis capable d'évoluer dans son système. Et je pense avoir répondu à ses attentes. La meilleure réponse, elle est sur le terrain. »
Matthieu Jalibert, ouvreur de l'UBB et de l'équipe de France : « Je prends un peu plus de place »
Renforcé par la confiance que lui a accordée le staff des Bleus pendant le Tournoi des Six Nations, l'ouvreur de Bordeaux-Bègles Matthieu Jalibert s'avance vers le sprint final en Coupe d'Europe et en Top 14 plein d'ambition.
Thomas Perotto
Assis sur les marches en pierre du stade André-Moga, Matthieu Jalibert (22 ans, 12 sél.) a pris le temps vendredi d'évoquer son retour à l'UBB, fin mars, ainsi que l'épaisseur et la confiance acquises lors de son passage en équipe de France pendant le Tournoi. Renforcé par cette période, il veut désormais porter son club vers une fin de saison excitante. À commencer par la Coupe d'Europe, dès ce dimanche face au Racing 92 (13h30).
LA COUPE D'EUROPE : « On n'a pas la pression du Racing »
« Vous avez évoqué, après le huitième de finale remporté face à Bristol (36-17), une aventure européenne placée sous le signe de la découverte et donc sans pression. En quoi est-ce un avantage avant d'affronter le Racing 92 ?
On va découvrir cet environnement sans pression. Juste avec l'envie de montrer ce que l'on sait faire car nous avons un groupe plein d'ambition. Je pense que c'est positif dans le sens où on ne se pose pas de question, on n'a pas la pression du Racing ou des clubs qui visent à tout prix la Champions Cup. La pression absolue du résultat n'est pas là. Mais attention, on ne prend pas la Coupe d'Europe pour de la merde, on ne la galvaude pas. Chaque grand match de Coupe d'Europe est un pas de plus pour le club. C'est maintenant que les grandes équipes et les grands collectifs commencent à exploiter leur potentiel à 100 %.
Avez-vous senti que Bristol n'avait pas regardé l'UBB comme un grand d'Europe ?
Vous voulez que je vous dise ce que je pense franchement ? Bristol pensait gagner à Chaban. Ils ne se sont pas préparés pour ce qui allait leur arriver. Ils savaient que ce serait dur, car on les avait tenus en Challenge (demi-finale remportée par les Anglais 37-20 en prolongation, en septembre) : mais ils pensaient qu'ils allaient nous battre. On a fait un match d'équipe. On les a surpris, ils ont été secoués par cette intensité. On avait une revanche à prendre sur notre défaite à domicile face à La Rochelle la semaine d'avant (11-26), une revanche par rapport à la demi-finale de Challenge mais surtout l'excitation et la passion de vivre un huitième de finale à Chaban.
Que représente la Coupe d'Europe à vos yeux ?
Quand tu commences le rugby, tu ne vois que le Top 14, c'est ce qui te fait vibrer, tu regardes les saisons d'abord par notre Championnat. Mais pour moi, la Coupe d'Europe a beaucoup de saveur aussi. J'ai toujours rêvé de pouvoir la jouer. Quand tu la gagnes, tu es LA meilleure équipe d'Europe. Cela veut dire que tu as été capable de sortir des grosses écuries, ça compte. »
SON STATUT EN CLUB : « J'ai envie de devenir un patron »
« En fin de match face à Bristol, vous étiez capitaine. Qu'est-ce que cela change ?
Cela montre la confiance que l'encadrement a en moi. J'ai envie de devenir le patron de cette équipe, tout en restant à ma place car je sais qu'il y a un capitaine et d'autres leaders. Mais à ma façon, j'ai envie de devenir un patron à l'UBB. Avoir le capitanat sur des bouts de match me rend fier.
Fin décembre 2019, vous nous disiez que vous n'étiez pas un leader naturel par la parole, dans le leadership. Un cap a-t-il été franchi ?
Je ne suis pas d'une nature à prendre la parole facilement. Mais avec mon poste, avec mon nouveau statut, je prends un peu plus de place. Et je prends plaisir à le faire. J'ai des ambitions élevées, le club aussi. J'essaie d'être à la hauteur. Cela passe aussi par mes actions en dehors du terrain et ma parole envers mes coéquipiers.
Depuis votre retour de Marcoussis, vos partenaires vous regardent-ils différemment ?
Je ne sais pas s'ils me regardent différemment mais je me rends compte que lorsqu'on a la chance de jouer de plus en plus au niveau international, on change de statut, on prend de l'épaisseur. Comme pour d'autres joueurs, c'est la notoriété via l'équipe de France qui fait cela. Quand tu es le numéro dix de l'équipe de France, tu prends de l'ampleur. Et tu la rapportes au club.
Avez-vous d'autres certitudes grâce aux Bleus ?
L'équipe de France, c'est le Graal pour un joueur de rugby. C'est le meilleur niveau au monde. Forcément, quand tu joues un match avec les Bleus tu progresses deux ou trois fois plus vite. Je l'ai senti dans mon évolution. Quand je suis performant en équipe de France, ça me booste, ça me donne plus la confiance. Quand je reviens en club, j'essaie d'avoir cette sérénité et cette assurance pour mes coéquipiers. »
L'ÉQUIPE DE FRANCE : « J'étais libéré »
« Les regards portés sur vous sont-ils encore plus insistants lorsque vous passez du club à la sélection ?
J'ai beaucoup d'attentes envers moi-même. Je ne me mets pas plus de pression que cela, mais je sais que je joue à un poste qui est décortiqué, épié. En équipe de France, c'est trois fois pire. La moindre chose que tu fais de bien est encensée, la moindre chose que tu fais de mal sert à te descendre. Une fois que tu l'as compris, tu le vis beaucoup mieux.
Le fait d'avoir joué la fin de la Coupe d'automne des nations vous a-t-il permis de démarrer le Tournoi plus libéré ?
Clairement. J'avais pu faire mes preuves dans ce groupe, montrer ce dont j'étais capable à mes coéquipiers et à l'encadrement. Au fur et à mesure des matches, j'ai pris confiance, je pense aussi que j'en ai donné à mes coéquipiers. J'étais dans mon évolution. Quand le Tournoi a commencé, j'avais cette confiance. J'ai pu jouer comme je sais le faire en club, j'étais libéré. Ça s'est super bien passé.
Comment avez-vous vécu ces quatre titularisations de suite ?
Je m'entraîne pour pouvoir porter le numéro dix et enchaîner, en club et en sélection. J'ai eu cette opportunité-là pendant le Tournoi. On ne va pas se mentir, il y a aussi eu la blessure de Romain (Ntamack, double fracture de la mâchoire) qui m'a permis d'enchaîner. Je ne sais pas comment cela se serait passé sinon. Mais c'est vrai que c'était un bon moment pour moi. J'ai senti que le staff avait confiance en moi, que je répondais à ses attentes. Quand un joueur commence à jouer en bleu, on a tendance à le juger sur son premier, son deuxième match. Mais c'est rare d'être étincelant d'entrée. Il faut lui laisser le temps de s'installer et de prendre confiance. C'est à partir du quatrième ou cinquième match qu'on peut commencer à parler de son niveau.
Des doutes existaient sur votre capacité à vous adapter au jeu de dépossession, à vous fondre dans le moule de Fabien Galthié...
Il n'a jamais été dit de ne pas jouer libéré. On jouait beaucoup au pied au début, oui, on joue un peu plus à la main maintenant. Cela fait partie de la construction et de l'évolution de l'équipe. Au fur et à mesure, on se libère. Je ne me prends pas la tête avec les questions qui se posent sur moi. Si le staff de l'équipe de France me prend, c'est qu'il pense que je suis capable d'évoluer dans son système. Et je pense avoir répondu à ses attentes. La meilleure réponse, elle est sur le terrain. »
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
VIDÉO - Chavancy: "Le Racing tourne tellement autour qu'on a vraiment envie de remporter cette Coupe"
https://video.rugbyrama.fr/rugby/champions-cup/2019-2020/chavancy-le-racing-tourne-tellement-autour-qu-on-a-vraiment-envie-de-remporter-cette-coupe_vid1458965/video.shtml
https://video.rugbyrama.fr/rugby/champions-cup/2019-2020/chavancy-le-racing-tourne-tellement-autour-qu-on-a-vraiment-envie-de-remporter-cette-coupe_vid1458965/video.shtml
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
Petite illustration du nouveau mode de fonctionnement des citations pour ceux qui n'auraient pas lu mon message à ce sujet.
Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Matthieu-jalibert-ouvreur-de-l-ubb-et-de-l-equipe-de-france-je-prends-un-peu-plus-de-place/1241322
Matthieu Jalibert, ouvreur de l'UBB et de l'équipe de France : « Je prends un peu plus de place »
Renforcé par la confiance que lui a accordée le staff des Bleus pendant le Tournoi des Six Nations, l'ouvreur de Bordeaux-Bègles Matthieu Jalibert s'avance vers le sprint final en Coupe d'Europe et en Top 14 plein d'ambition.
Thomas Perotto
Assis sur les marches en pierre du stade André-Moga, Matthieu Jalibert (22 ans, 12 sél.) a pris le temps vendredi d'évoquer son retour à l'UBB, fin mars, ainsi que l'épaisseur et la confiance acquises lors de son passage en équipe de France pendant le Tournoi. Renforcé par cette période, il veut désormais porter son club vers une fin de saison excitante. À commencer par la Coupe d'Europe, dès ce dimanche face au Racing 92 (13h30).
LA COUPE D'EUROPE : « On n'a pas la pression du Racing »
« Vous avez évoqué, après le huitième de finale remporté face à Bristol (36-17), une aventure européenne placée sous le signe de la découverte et donc sans pression. En quoi est-ce un avantage avant d'affronter le Racing 92 ?
On va découvrir cet environnement sans pression. Juste avec l'envie de montrer ce que l'on sait faire car nous avons un groupe plein d'ambition. Je pense que c'est positif dans le sens où on ne se pose pas de question, on n'a pas la pression du Racing ou des clubs qui visent à tout prix la Champions Cup. La pression absolue du résultat n'est pas là. Mais attention, on ne prend pas la Coupe d'Europe pour de la merde, on ne la galvaude pas. Chaque grand match de Coupe d'Europe est un pas de plus pour le club. C'est maintenant que les grandes équipes et les grands collectifs commencent à exploiter leur potentiel à 100 %.
Avez-vous senti que Bristol n'avait pas regardé l'UBB comme un grand d'Europe ?
Vous voulez que je vous dise ce que je pense franchement ? Bristol pensait gagner à Chaban. Ils ne se sont pas préparés pour ce qui allait leur arriver. Ils savaient que ce serait dur, car on les avait tenus en Challenge (demi-finale remportée par les Anglais 37-20 en prolongation, en septembre) : mais ils pensaient qu'ils allaient nous battre. On a fait un match d'équipe. On les a surpris, ils ont été secoués par cette intensité. On avait une revanche à prendre sur notre défaite à domicile face à La Rochelle la semaine d'avant (11-26), une revanche par rapport à la demi-finale de Challenge mais surtout l'excitation et la passion de vivre un huitième de finale à Chaban.
Que représente la Coupe d'Europe à vos yeux ?
Quand tu commences le rugby, tu ne vois que le Top 14, c'est ce qui te fait vibrer, tu regardes les saisons d'abord par notre Championnat. Mais pour moi, la Coupe d'Europe a beaucoup de saveur aussi. J'ai toujours rêvé de pouvoir la jouer. Quand tu la gagnes, tu es LA meilleure équipe d'Europe. Cela veut dire que tu as été capable de sortir des grosses écuries, ça compte. »
SON STATUT EN CLUB : « J'ai envie de devenir un patron »
« En fin de match face à Bristol, vous étiez capitaine. Qu'est-ce que cela change ?
Cela montre la confiance que l'encadrement a en moi. J'ai envie de devenir le patron de cette équipe, tout en restant à ma place car je sais qu'il y a un capitaine et d'autres leaders. Mais à ma façon, j'ai envie de devenir un patron à l'UBB. Avoir le capitanat sur des bouts de match me rend fier.
Fin décembre 2019, vous nous disiez que vous n'étiez pas un leader naturel par la parole, dans le leadership. Un cap a-t-il été franchi ?
Je ne suis pas d'une nature à prendre la parole facilement. Mais avec mon poste, avec mon nouveau statut, je prends un peu plus de place. Et je prends plaisir à le faire. J'ai des ambitions élevées, le club aussi. J'essaie d'être à la hauteur. Cela passe aussi par mes actions en dehors du terrain et ma parole envers mes coéquipiers.
Depuis votre retour de Marcoussis, vos partenaires vous regardent-ils différemment ?
Je ne sais pas s'ils me regardent différemment mais je me rends compte que lorsqu'on a la chance de jouer de plus en plus au niveau international, on change de statut, on prend de l'épaisseur. Comme pour d'autres joueurs, c'est la notoriété via l'équipe de France qui fait cela. Quand tu es le numéro dix de l'équipe de France, tu prends de l'ampleur. Et tu la rapportes au club.
Avez-vous d'autres certitudes grâce aux Bleus ?
L'équipe de France, c'est le Graal pour un joueur de rugby. C'est le meilleur niveau au monde. Forcément, quand tu joues un match avec les Bleus tu progresses deux ou trois fois plus vite. Je l'ai senti dans mon évolution. Quand je suis performant en équipe de France, ça me booste, ça me donne plus la confiance. Quand je reviens en club, j'essaie d'avoir cette sérénité et cette assurance pour mes coéquipiers. »
L'ÉQUIPE DE FRANCE : « J'étais libéré »
« Les regards portés sur vous sont-ils encore plus insistants lorsque vous passez du club à la sélection ?
J'ai beaucoup d'attentes envers moi-même. Je ne me mets pas plus de pression que cela, mais je sais que je joue à un poste qui est décortiqué, épié. En équipe de France, c'est trois fois pire. La moindre chose que tu fais de bien est encensée, la moindre chose que tu fais de mal sert à te descendre. Une fois que tu l'as compris, tu le vis beaucoup mieux.
Le fait d'avoir joué la fin de la Coupe d'automne des nations vous a-t-il permis de démarrer le Tournoi plus libéré ?
Clairement. J'avais pu faire mes preuves dans ce groupe, montrer ce dont j'étais capable à mes coéquipiers et à l'encadrement. Au fur et à mesure des matches, j'ai pris confiance, je pense aussi que j'en ai donné à mes coéquipiers. J'étais dans mon évolution. Quand le Tournoi a commencé, j'avais cette confiance. J'ai pu jouer comme je sais le faire en club, j'étais libéré. Ça s'est super bien passé.
Comment avez-vous vécu ces quatre titularisations de suite ?
Je m'entraîne pour pouvoir porter le numéro dix et enchaîner, en club et en sélection. J'ai eu cette opportunité-là pendant le Tournoi. On ne va pas se mentir, il y a aussi eu la blessure de Romain (Ntamack, double fracture de la mâchoire) qui m'a permis d'enchaîner. Je ne sais pas comment cela se serait passé sinon. Mais c'est vrai que c'était un bon moment pour moi. J'ai senti que le staff avait confiance en moi, que je répondais à ses attentes. Quand un joueur commence à jouer en bleu, on a tendance à le juger sur son premier, son deuxième match. Mais c'est rare d'être étincelant d'entrée. Il faut lui laisser le temps de s'installer et de prendre confiance. C'est à partir du quatrième ou cinquième match qu'on peut commencer à parler de son niveau.
Des doutes existaient sur votre capacité à vous adapter au jeu de dépossession, à vous fondre dans le moule de Fabien Galthié...
Il n'a jamais été dit de ne pas jouer libéré. On jouait beaucoup au pied au début, oui, on joue un peu plus à la main maintenant. Cela fait partie de la construction et de l'évolution de l'équipe. Au fur et à mesure, on se libère. Je ne me prends pas la tête avec les questions qui se posent sur moi. Si le staff de l'équipe de France me prend, c'est qu'il pense que je suis capable d'évoluer dans son système. Et je pense avoir répondu à ses attentes. La meilleure réponse, elle est sur le terrain. »
krahknardz- Team modo
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Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Stats d'Avant Match UBB / Racing 92
Bonsoir
Je vous propose toutes mes stats pour votre match contre le Racing 92 à l'occasion du 1/4 Finale de Champions Cup
Lien
Bon match
Je vous propose toutes mes stats pour votre match contre le Racing 92 à l'occasion du 1/4 Finale de Champions Cup
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Bon match
RugbyData- J'aime l'Union beaucoup
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
LaRuine33 a écrit:C'est noté Sudiste
J'ai une piste ....je pense qu'elle est bonne...j'y ai trouvé Exceter/Leinster.
sudiste- Unioniste de la première heure
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Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
On enverra les liens dont on dispose aussi par Whatsapp aux UBB Fanes
sudiste a écrit:LaRuine33 a écrit:C'est noté Sudiste
J'ai une piste ....je pense qu'elle est bonne...j'y ai trouvé Exceter/Leinster.
krahknardz- Team modo
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Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
https://www.ladepeche.fr/2021/04/11/racing-un-statut-a-assumer-9481328.php
Racing : un statut à assumer
Triple finaliste malheureux de la Coupe d’Europe en 2016, 2018 et 2020, le Racing 92 aura aujourd’hui un statut à assumer face à Bordeaux-Bègles, novice à ce stade de la compétition. Les Racingmen se présenteront diminués en Gironde sans leur centre Henry Chavancy ni leur précieux deuxième ligne Dominic Bird, touchés lors de la démonstration francilienne au tour précédent contre Edimbourg (56-3).
L’absence de Russell, l’importance de Jalibert
Suspendu à la suite de son carton rouge reçu contre l’équipe de France dans le Tournoi des six nations, l’Ecossais Finn Russell manquera également à l’appel. En son absence, Antoine Gibert, 23 ans, livrera un match dans le match face à un autre jeune ouvreur français talentueux, l’international Matthieu Jalibert, 22 ans, étincelant dimanche dernier lors de la victoire de l’UBB contre Bristol (34-17). Privé sur commotion de la fin du Tournoi après s’être replacé sur l’échiquier des ouvreurs tricolores, le Girondin a retrouvé, dès son retour la semaine passée, la fulgurance qui le caractérise et qui sera indispensable à l’UBB pour écarter, les "ciel et blanc".
Urios s’attend à un bras de fer
La troupe de Christophe Urios n’est d’ailleurs jamais aussi forte que quand il est là et devient quelconque quand il est absent. "Quand on joue avec Matthieu, l’équipe a confiance en lui, explique le manager, qui apprécie le côté orgueilleux de son joueur. Il aime ces matchs de haut niveau en club de la même façon qu’il aime jouer avec l’équipe de France. Quand tu as des joueurs comme ça dans ton effectif et notamment au poste de numéro 10, ça déteint sur les autres".
Sur sa pelouse, l’ancien technicien du Castres Olympique s’attend à un "bras de fer" entre les deux équipes françaises, dont les routes ne s’étaient jamais croisées en Coupe d’Europe. C’est en revanche déjà arrivé deux fois cette saison en Top 14, pour deux victoires à l’extérieur. De bon augure pour les Franciliens ?
Racing : un statut à assumer
Triple finaliste malheureux de la Coupe d’Europe en 2016, 2018 et 2020, le Racing 92 aura aujourd’hui un statut à assumer face à Bordeaux-Bègles, novice à ce stade de la compétition. Les Racingmen se présenteront diminués en Gironde sans leur centre Henry Chavancy ni leur précieux deuxième ligne Dominic Bird, touchés lors de la démonstration francilienne au tour précédent contre Edimbourg (56-3).
L’absence de Russell, l’importance de Jalibert
Suspendu à la suite de son carton rouge reçu contre l’équipe de France dans le Tournoi des six nations, l’Ecossais Finn Russell manquera également à l’appel. En son absence, Antoine Gibert, 23 ans, livrera un match dans le match face à un autre jeune ouvreur français talentueux, l’international Matthieu Jalibert, 22 ans, étincelant dimanche dernier lors de la victoire de l’UBB contre Bristol (34-17). Privé sur commotion de la fin du Tournoi après s’être replacé sur l’échiquier des ouvreurs tricolores, le Girondin a retrouvé, dès son retour la semaine passée, la fulgurance qui le caractérise et qui sera indispensable à l’UBB pour écarter, les "ciel et blanc".
Urios s’attend à un bras de fer
La troupe de Christophe Urios n’est d’ailleurs jamais aussi forte que quand il est là et devient quelconque quand il est absent. "Quand on joue avec Matthieu, l’équipe a confiance en lui, explique le manager, qui apprécie le côté orgueilleux de son joueur. Il aime ces matchs de haut niveau en club de la même façon qu’il aime jouer avec l’équipe de France. Quand tu as des joueurs comme ça dans ton effectif et notamment au poste de numéro 10, ça déteint sur les autres".
Sur sa pelouse, l’ancien technicien du Castres Olympique s’attend à un "bras de fer" entre les deux équipes françaises, dont les routes ne s’étaient jamais croisées en Coupe d’Europe. C’est en revanche déjà arrivé deux fois cette saison en Top 14, pour deux victoires à l’extérieur. De bon augure pour les Franciliens ?
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
On peut faire "confiance" à la Dépéche du Midi pour appréhender objectivement nos chances face à l'ogre francilien, bien sur le coté orgueilleux de notre jeune 10 est à mettre en avant, le reste bien sur n'est pas à la hauteur de ces XV galactique seuls habilité à viser le firmament Européen.
L'UBB et LR sont des intrus dans cette compétition, comme dans l'autre d'ailleurs. Et pourtant quand je vois jouer les Maritimes je me dis que notre faux pas à Chaban contre eux ne doit rien au hasard et nous aurons besoin de nos meilleures armes cette saison pour les faire plier.
Pour le Racing on sera fixé cet AM;
Allez UBB:flag2:
L'UBB et LR sont des intrus dans cette compétition, comme dans l'autre d'ailleurs. Et pourtant quand je vois jouer les Maritimes je me dis que notre faux pas à Chaban contre eux ne doit rien au hasard et nous aurons besoin de nos meilleures armes cette saison pour les faire plier.
Pour le Racing on sera fixé cet AM;
Allez UBB:flag2:
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
Plus ça va moins on est éloigné du moment béni où nous pourrons nous retrouver.
N'hésitez pas à préparer ce moment en vous associant dès maintenant aux UBB Fanes, le lien est disponible dans le menu du haut
N'hésitez pas à préparer ce moment en vous associant dès maintenant aux UBB Fanes, le lien est disponible dans le menu du haut
krahknardz a écrit:On enverra les liens dont on dispose aussi par Whatsapp aux UBB Fanessudiste a écrit:LaRuine33 a écrit:C'est noté Sudiste
J'ai une piste ....je pense qu'elle est bonne...j'y ai trouvé Exceter/Leinster.
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Allez UBB
Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
Sur les sites de paris sportifs nous somme redevu favoris, peut etre à cause des blessures du coté des racing boys. Je me faisais une réflexion, le dernier match à chaban contre le racing, on avait pas cordero et thomas nous met l essai de la gagne. Aujourdhui cordero est là et pas thomas....
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flavio33- Orga
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
Cordero est là et Mathieu et Cameron sont aussi là.
Il est clair que l'Ubb n'est pas la même équipe avec ou sans Mathieu.
Allez Union
Il est clair que l'Ubb n'est pas la même équipe avec ou sans Mathieu.
Allez Union
Vince33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
Visiblement il fait un temps dégueulasse à Chaban, très sombre.
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
Champions Cup : Etat d’esprit, protocole, banc… L’Union Bordeaux-Bègles ne lâche jamais rien
https://www.20minutes.fr/sport/rugby/3015879-20210410-champions-cup-etat-esprit-protocole-banc-union-bordeaux-begles-lache-jamais-rien
https://www.20minutes.fr/sport/rugby/3015879-20210410-champions-cup-etat-esprit-protocole-banc-union-bordeaux-begles-lache-jamais-rien
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
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Re: Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing
flavio33 a écrit:Sur les sites de paris sportifs nous somme redevu favoris, peut etre à cause des blessures du coté des racing boys. Je me faisais une réflexion, le dernier match à chaban contre le racing, on avait pas cordero et thomas nous met l essai de la gagne. Aujourdhui cordero est là et pas thomas....
Ça m'inquiète cette situation en fait, c'est possible que le Racing se resserre et que nous nous relâchions, même si je pense que ce ne sera pas le cas, Urios veille au grain. Inconsciemment, je sens qu'on se dit que ce sera plus facile, au moins sur ce forum , j'ai bien peur que ce soit loin d'être le cas. Serons-nous capables de faire un match de haut niveau, deux fois de suite ?...
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