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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Dr. Gregory Bouse a écrit:krahknardz a écrit:En fait je n'avais que regardé en diagonale l'article. J'ai vraiment essayé de le lire, je n'ai pas réussi à faire plus que la première colonne avant de devoir m'arrêter pour ne pas vomir.
C'est proprement hallucinant...
Franchement Krahk, tu charries !!
La justification "du-pourquoi-du-comment" RNT n'a pas la même moyenne de points de Jaja est proprement risible: pour les passages concernant notre 10, la rédaction, certes laborieuse, reste tout de même objective.
Désolé, je n'ai même pas réussi à arriver à ce passage. Le début était déjà trop indigeste.
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Champions Cup. L'équipe-type des quarts : avec Jalibert ou Ntamack en 10 ?
https://www.lerugbynistere.fr/news/champions-cup-lequipe-type-des-quarts-avec-jalibert-ou-ntamack-en-10-1304211339.php
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Scalp a écrit:Champions Cup. L'équipe-type des quarts : avec Jalibert ou Ntamack en 10 ?
https://www.lerugbynistere.fr/news/champions-cup-lequipe-type-des-quarts-avec-jalibert-ou-ntamack-en-10-1304211339.php
A part pour entretenir la polémique, je ne vois pas pourquoi ce site pose la question puisque les 3 journaux choisis (dont le "Merdol") ont élu sur la plus haute marche du podium Jaja.
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
VIDEO. On a revu la finale légendaire du championnat de France 1995 : Castres - Toulouse
https://www.lerugbynistere.fr/videos/video-on-a-revu-la-finale-legendaire-du-championnat-de-france-1995-castres-toulouse-1604211453.php
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
https://www.midi-olympique.fr/2021/04/18/toulouse-a-presque-tout-gagne-9495870.php
Toulouse a (presque) tout gagné
Au-delà du bonus défensif qui permet de garder la tête du Top 14, les Stadistes - remaniés et rajeunis - ont montré qu’il avaient encore, grâce à l’émulation qui réside actuellement dans ce groupe, de très belles ressources.
Et si, pour la première fois, le derby avait accouché de deux vainqueurs ? La question est volontairement provocatrice mais, à n’en pas douter, les supporters toulousains avaient le sourire samedi soir. Même si Alexi Balès ne le cachait pas : « On ne va pas mentir, l’objectif était la victoire. On est tous très déçus car il y avait la place pour faire mieux, avec le jeu que l’on a produit. » Avec tous les cadres ou presque au repos au vu des échéances à venir, Toulouse a présenté une équipe « new look », en grande majorité rajeunie et composée de garçons en manque de temps de jeu. Malgré des repères évidemment moindres, cela ne les a pas empêchés d’être audacieux et séduisants. Un gage de satisfaction, qui faisait naître un mélange d’émotions chez l’entraîneur des avants Jean Bouilhou : « Il y a un sentiment de fierté après ce test à Castres. Dans l’engagement et la solidarité, notre formation a tenu la dragée haute à son adversaire. Mais il y a aussi un peu de frustration sur le résultat. » Balès confirme encore : « On repart avec un bonus défensif, avec des certitudes aussi alors que l’enfer nous était promis, mais une défaite quand même. »
Pour les certitudes justement, le Stade toulousain a gagné du temps, beaucoup de temps, samedi. Car les prestations plus qu’encourageantes des jeunes résonnent clairement comme des assurances pour l’avenir. Dimitri Delibes, encore auteur d’un essai, enlève actuellement des doutes sur une ligne de trois-quarts qu’il faut en partie recomposer en vue de la saison prochaine. Malgré la forte concurrence, Yannick Youyoutte a encore démontré qu’il ne décevait jamais. Baptiste Germain a poursuivi sa montée en puissance, quand Simon Renda et Romain Riguet ont vécu un baptême rassurant en Top 14. Ces « gamins » qui ont su se libérer et faire preuve de panache. « On était un peu partagés entre occuper et jouer au début, note Balès. Mais, on voyant qu’on parvenait à « breaker » en portant le ballon, on a continué dans cette voie. » Avec, comme symbole, cet essai de cent mètres incroyable à la 76e minute sur lequel Marty, Germain, Riguet et Lebel furent à la fête.
Les jeunes… et les moins jeunes
Habités par cet enthousiasme, les Toulousains ont donc réagi par le mouvement et l’initiative après l’heure de jeu, quand beaucoup les voyaient s’écrouler. « Ce groupe a connu le traumatisme du Stade français, quand on en a pris plus de quarante (48-14), rappelle Antoine Miquel. On a eu un déclic tous ensemble avec des paroles fortes dans l’en-but pour qu’on ne passe pas pour des gars ridicules. Cela aurait été trop dommage après notre première mi-temps. On voit qu’on a été capables de mettre un essai en partant de notre en-but et de se donner la possibilité de l’emporter sur la fin. » Lui a fait partie des hommes qui ont sonné la révolte. Excellent à Pierre-Fabre, comme depuis plusieurs mois, il avait néanmoins été victime de la grande concurrence à son poste et n’était pas sur la feuille de match au Munster et à Clermont, en Champions Cup.
Il savait qu’il devait répondre présent samedi. Il l’a fait, comme Alexi Balès, auteur d’une de ses meilleures prestations sous le maillot toulousain, Emmanuel Meafou ou Pierre Fouyssac. Thibaut Flament ou Alban Placines, remplaçants en Coupe d’Europe, ont aussi été très en vue. « Je ne suis plus surpris avec ces joueurs qui sont capables de tout, apprécie Bouilhou. Je suis heureux qu’il tente des choses, que ça marche. C’est plaisant de voir autant de ressources physiques et mentales chez les jeunes et les moins jeunes. » Bénéfice d’une immense émulation, comme il y a deux ans d’ailleurs…
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Toulouse a (presque) tout gagné
Au-delà du bonus défensif qui permet de garder la tête du Top 14, les Stadistes - remaniés et rajeunis - ont montré qu’il avaient encore, grâce à l’émulation qui réside actuellement dans ce groupe, de très belles ressources.
Et si, pour la première fois, le derby avait accouché de deux vainqueurs ? La question est volontairement provocatrice mais, à n’en pas douter, les supporters toulousains avaient le sourire samedi soir. Même si Alexi Balès ne le cachait pas : « On ne va pas mentir, l’objectif était la victoire. On est tous très déçus car il y avait la place pour faire mieux, avec le jeu que l’on a produit. » Avec tous les cadres ou presque au repos au vu des échéances à venir, Toulouse a présenté une équipe « new look », en grande majorité rajeunie et composée de garçons en manque de temps de jeu. Malgré des repères évidemment moindres, cela ne les a pas empêchés d’être audacieux et séduisants. Un gage de satisfaction, qui faisait naître un mélange d’émotions chez l’entraîneur des avants Jean Bouilhou : « Il y a un sentiment de fierté après ce test à Castres. Dans l’engagement et la solidarité, notre formation a tenu la dragée haute à son adversaire. Mais il y a aussi un peu de frustration sur le résultat. » Balès confirme encore : « On repart avec un bonus défensif, avec des certitudes aussi alors que l’enfer nous était promis, mais une défaite quand même. »
Pour les certitudes justement, le Stade toulousain a gagné du temps, beaucoup de temps, samedi. Car les prestations plus qu’encourageantes des jeunes résonnent clairement comme des assurances pour l’avenir. Dimitri Delibes, encore auteur d’un essai, enlève actuellement des doutes sur une ligne de trois-quarts qu’il faut en partie recomposer en vue de la saison prochaine. Malgré la forte concurrence, Yannick Youyoutte a encore démontré qu’il ne décevait jamais. Baptiste Germain a poursuivi sa montée en puissance, quand Simon Renda et Romain Riguet ont vécu un baptême rassurant en Top 14. Ces « gamins » qui ont su se libérer et faire preuve de panache. « On était un peu partagés entre occuper et jouer au début, note Balès. Mais, on voyant qu’on parvenait à « breaker » en portant le ballon, on a continué dans cette voie. » Avec, comme symbole, cet essai de cent mètres incroyable à la 76e minute sur lequel Marty, Germain, Riguet et Lebel furent à la fête.
Les jeunes… et les moins jeunes
Habités par cet enthousiasme, les Toulousains ont donc réagi par le mouvement et l’initiative après l’heure de jeu, quand beaucoup les voyaient s’écrouler. « Ce groupe a connu le traumatisme du Stade français, quand on en a pris plus de quarante (48-14), rappelle Antoine Miquel. On a eu un déclic tous ensemble avec des paroles fortes dans l’en-but pour qu’on ne passe pas pour des gars ridicules. Cela aurait été trop dommage après notre première mi-temps. On voit qu’on a été capables de mettre un essai en partant de notre en-but et de se donner la possibilité de l’emporter sur la fin. » Lui a fait partie des hommes qui ont sonné la révolte. Excellent à Pierre-Fabre, comme depuis plusieurs mois, il avait néanmoins été victime de la grande concurrence à son poste et n’était pas sur la feuille de match au Munster et à Clermont, en Champions Cup.
Il savait qu’il devait répondre présent samedi. Il l’a fait, comme Alexi Balès, auteur d’une de ses meilleures prestations sous le maillot toulousain, Emmanuel Meafou ou Pierre Fouyssac. Thibaut Flament ou Alban Placines, remplaçants en Coupe d’Europe, ont aussi été très en vue. « Je ne suis plus surpris avec ces joueurs qui sont capables de tout, apprécie Bouilhou. Je suis heureux qu’il tente des choses, que ça marche. C’est plaisant de voir autant de ressources physiques et mentales chez les jeunes et les moins jeunes. » Bénéfice d’une immense émulation, comme il y a deux ans d’ailleurs…
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Scalp a écrit:https://www.midi-olympique.fr/2021/04/18/toulouse-a-presque-tout-gagne-9495870.php
Toulouse a (presque) tout gagné
Au-delà du bonus défensif qui permet de garder la tête du Top 14, les Stadistes - remaniés et rajeunis - ont montré qu’il avaient encore, grâce à l’émulation qui réside actuellement dans ce groupe, de très belles ressources.
Et si, pour la première fois, le derby avait accouché de deux vainqueurs ? La question est volontairement provocatrice mais, à n’en pas douter, les supporters toulousains avaient le sourire samedi soir. Même si Alexi Balès ne le cachait pas : « On ne va pas mentir, l’objectif était la victoire. On est tous très déçus car il y avait la place pour faire mieux, avec le jeu que l’on a produit. » Avec tous les cadres ou presque au repos au vu des échéances à venir, Toulouse a présenté une équipe « new look », en grande majorité rajeunie et composée de garçons en manque de temps de jeu. Malgré des repères évidemment moindres, cela ne les a pas empêchés d’être audacieux et séduisants. Un gage de satisfaction, qui faisait naître un mélange d’émotions chez l’entraîneur des avants Jean Bouilhou : « Il y a un sentiment de fierté après ce test à Castres. Dans l’engagement et la solidarité, notre formation a tenu la dragée haute à son adversaire. Mais il y a aussi un peu de frustration sur le résultat. » Balès confirme encore : « On repart avec un bonus défensif, avec des certitudes aussi alors que l’enfer nous était promis, mais une défaite quand même. »
Pour les certitudes justement, le Stade toulousain a gagné du temps, beaucoup de temps, samedi. Car les prestations plus qu’encourageantes des jeunes résonnent clairement comme des assurances pour l’avenir. Dimitri Delibes, encore auteur d’un essai, enlève actuellement des doutes sur une ligne de trois-quarts qu’il faut en partie recomposer en vue de la saison prochaine. Malgré la forte concurrence, Yannick Youyoutte a encore démontré qu’il ne décevait jamais. Baptiste Germain a poursuivi sa montée en puissance, quand Simon Renda et Romain Riguet ont vécu un baptême rassurant en Top 14. Ces « gamins » qui ont su se libérer et faire preuve de panache. « On était un peu partagés entre occuper et jouer au début, note Balès. Mais, on voyant qu’on parvenait à « breaker » en portant le ballon, on a continué dans cette voie. » Avec, comme symbole, cet essai de cent mètres incroyable à la 76e minute sur lequel Marty, Germain, Riguet et Lebel furent à la fête.
Les jeunes… et les moins jeunes
Habités par cet enthousiasme, les Toulousains ont donc réagi par le mouvement et l’initiative après l’heure de jeu, quand beaucoup les voyaient s’écrouler. « Ce groupe a connu le traumatisme du Stade français, quand on en a pris plus de quarante (48-14), rappelle Antoine Miquel. On a eu un déclic tous ensemble avec des paroles fortes dans l’en-but pour qu’on ne passe pas pour des gars ridicules. Cela aurait été trop dommage après notre première mi-temps. On voit qu’on a été capables de mettre un essai en partant de notre en-but et de se donner la possibilité de l’emporter sur la fin. » Lui a fait partie des hommes qui ont sonné la révolte. Excellent à Pierre-Fabre, comme depuis plusieurs mois, il avait néanmoins été victime de la grande concurrence à son poste et n’était pas sur la feuille de match au Munster et à Clermont, en Champions Cup.
Il savait qu’il devait répondre présent samedi. Il l’a fait, comme Alexi Balès, auteur d’une de ses meilleures prestations sous le maillot toulousain, Emmanuel Meafou ou Pierre Fouyssac. Thibaut Flament ou Alban Placines, remplaçants en Coupe d’Europe, ont aussi été très en vue. « Je ne suis plus surpris avec ces joueurs qui sont capables de tout, apprécie Bouilhou. Je suis heureux qu’il tente des choses, que ça marche. C’est plaisant de voir autant de ressources physiques et mentales chez les jeunes et les moins jeunes. » Bénéfice d’une immense émulation, comme il y a deux ans d’ailleurs…
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Le Midol invente un nouveau concept : même quand Toulouse perd, Toulouse gagne quand même Trop fort ! Encore plus que chuck Norris ! Plus lèche-c*l tu meurs.
Et voici la deuxième couche : https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2020-2021/top-14-a-toulouse-la-confiance-semble-eternelle_sto8278239/story.shtml
À Toulouse, la confiance semble éternelle
Au Stade toulousain, certaines défaites donnent un grand sourire à Ugo Mola. Ce samedi, les Rouge et Noir se sont inclinés deux petits points chez le voisin castrais (26-24). Si le derby a basculé côté Bleu et Blanc, c’est bien la jeunesse haut-garonnaise qui a une nouvelle fois impressionné les amateurs du ballon ovale.
Équipe bis, place aux jeunes, gestion d’effectif… La composition toulousaine est sortie pleine de fraîcheur en fin de semaine dernière. Maxime Marty, Emmanuel Meafou, Dimitri Delibes et Yannick Youyoutte étaient les symboles de cette (nouvelle) cure de jouvence, dès le début du match. Sur le banc, David Ainu’u (21 ans), Simon Renda et Romain Riguet (20 ans chacun) complètent ce qui devra être "le Stade toulousain des prochaines semaines et des prochaines années" souligne Ugo Mola.
Dans un match que le Castres olympique semblait maîtriser à la 60e minute (26-10), les Rouge et Noir ont arraché un bonus défensif après un essai de 100 mètres. Marty, Fouyssac, Renda puis Lebel concluent une action plus toulousaine que jamais. Derrière un tel réservoir, Toulouse assure un précieux point à Pierre-Fabre et rentabilise un déplacement aussi périlleux qu’audacieux.
La jeunesse guidée par une insolente sérénité
L’entraîneur des avants Jean Bouilhou notait la semaine dernière l’envie de se rendre à Castres avec la volonté de prouver le "fort potentiel" du club haut-garonnais. En l’absence de ses cadres (les frères Arnold, Kaino, Dupont, Ntamack, Kolbe…) les Rouge et Noir ont réussi leur pari et envoient un nouveau message fort à la concurrence. Toujours leader après le succès de La Rochelle sur Lyon, le tenant du titre s’avance serein et plein de confiance face au Racing 92, samedi prochain. Dans une saison perturbée par les doublons internationaux et le calendrier "sanitaire", Toulouse aurait pu, comme la saison passée (7e) , réaliser une saison moyenne.
Depuis septembre, les Toulousains s’accrochent aux deux premières places et n’ont jamais semblé autant sereins qu’en 2019… année du dernier Brennus sur la place du Capitole. Derrière cette image d’intouchables, des failles restent heureusement perceptibles pour les adversaires du Stade.
Défense et conquête : secteurs essentiels face à Toulouse
"On est tombé dans le panneau -touche, mêlée, ballon porté- d’un jeu qui ne nous va pas " concède le coach rouge et noir. Face à Castres, les difficultés des avants ont été mises en avant par le pack bleu et blanc et une domination nette sur les phases de conquête. Certes, les cadres traditionnels étaient absents pour remettre de l’ordre dans la maison, mais ce n’est pas la première fois que les Toulousains peuvent être secoués dans le jeu rapproché.
En Coupe d’Europe, les Clermontois ont agressé, ralenti, et fortement perturbé les lancements de jeu adverses. Si les quadruples champions d’Europe n’ont pas inscrit d’essai, ils ont néanmoins profité d’une trop forte indiscipline jaune et bleue et s’adjuger un succès historique au stade Marcel-Michelin. Le LOU lui est parvenu à gagner ses deux matchs de Top 14 face au leader. Deux rencontres et une méthode : une défense féroce et agressive et surtout, une efficacité diabolique.
La profondeur de talents du Stade toulousain ne semble avoir aucune limite, et l’on voit mal comment les Rouge et Noir pourraient rater leur fin de saison. Il n'empêche que Toulouse continue d'apprendre, et si pour l'instant tous les voyants sont au vert, les autres cadors du Top 14 ont bien en tête de faire dérailler la machine haut-garonnaise.
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
https://www.midi-olympique.fr/2021/04/18/quand-revol-ecrit-a-bouscatel-9496056.php
Quand Revol écrit à Bouscatel...
Au fil d’un long courrier que nous nous sommes procuré, le président du Castres Olympique, Pierre-Yves Revol, a émis de vives critiques sur les premières décisions prises par le nouveau comité directeur de la LNR présidé par René Bouscatel.
Dans une longue lettre qu’il a adressée en début de semaine dernière aux trente présidents que compte le rugby pro français, le patron du Castres olympique Pierre-Yves Revol -ex soutien du vaincu Vincent Merling- a exprimé son désaccord avec un certain nombre de mesures adoptées par le successeur de Paul Goze, l’ancien boss du Stade toulousain René Bouscatel.[...]
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Quand Revol écrit à Bouscatel...
Au fil d’un long courrier que nous nous sommes procuré, le président du Castres Olympique, Pierre-Yves Revol, a émis de vives critiques sur les premières décisions prises par le nouveau comité directeur de la LNR présidé par René Bouscatel.
Dans une longue lettre qu’il a adressée en début de semaine dernière aux trente présidents que compte le rugby pro français, le patron du Castres olympique Pierre-Yves Revol -ex soutien du vaincu Vincent Merling- a exprimé son désaccord avec un certain nombre de mesures adoptées par le successeur de Paul Goze, l’ancien boss du Stade toulousain René Bouscatel.[...]
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Switch a écrit:https://www.midi-olympique.fr/2021/04/18/quand-revol-ecrit-a-bouscatel-9496056.php
Quand Revol écrit à Bouscatel...
Au fil d’un long courrier que nous nous sommes procuré, le président du Castres Olympique, Pierre-Yves Revol, a émis de vives critiques sur les premières décisions prises par le nouveau comité directeur de la LNR présidé par René Bouscatel.
Dans une longue lettre qu’il a adressée en début de semaine dernière aux trente présidents que compte le rugby pro français, le patron du Castres olympique Pierre-Yves Revol -ex soutien du vaincu Vincent Merling- a exprimé son désaccord avec un certain nombre de mesures adoptées par le successeur de Paul Goze, l’ancien boss du Stade toulousain René Bouscatel.[...]
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Quand Revol écrit à Bouscatel...
Au fil d’un long courrier que nous nous sommes procuré, le président du Castres Olympique, Pierre-Yves Revol, a émis de vives critiques sur les premières décisions prises par le nouveau comité directeur de la LNR présidé par René Bouscatel.
Dans une longue lettre qu’il a adressée en début de semaine dernière aux trente présidents que compte le rugby pro français, le patron du Castres olympique Pierre-Yves Revol -ex soutien du vaincu Vincent Merling- a exprimé son désaccord avec un certain nombre de mesures adoptées par le successeur de Paul Goze, l’ancien boss du Stade toulousain René Bouscatel. Dans ce courrier, Revol écrit : « René, je dois te dire que les premières décisions du comité directeur m’interpellent. Choisir Montpellier comme lieu de la finale de Pro D2 alors que les deux clubs en position dominante actuellement sont Vannes et Perpignan est étonnant. […] Si d’ici là le public peut dans certaines conditions être admis dans les stades ce serait très pénalisant pour Vannes. Un responsable de ce club (le manager breton Jean-Noël Spitzer, N.D.L.R.) s’en est ému et je le comprends. D’autant plus que le président de l’Usap est membre de ton comité directeur.»
Plus loin, Pierre-Yves Revol remet en cause -sans les nommer expressément- les récents transferts du Parisien Gaël Fickou vers le Racing, de l’Argentin Santiago Chocobares à Toulouse et du Springbok Elton Jantjies à la Section paloise : « Le comité directeur a décidé d’autoriser le recrutement d’un joueur supplémentaire jusqu’à fin avril compte tenu de la "période Covid". J’ai du mal à relier les deux. La période Covid est censée accroître nos difficultés mais nous incitons les clubs à dépenser plus et à se renforcer en vue de la phase finale.»
Premier pavé dans la mare…
Enfin, le numéro 1 du Castres olympique a demandé dans sa missive au nouveau président de la Ligue Nationale de Rugby que le dernier processus de qualification pour la Champions Cup (les huit premiers clubs du Top 14 avaient été automatiquement qualifiés pour les phases finales de la coupe d’Europe) soit reconduit la saison prochaine dans son intégralité. Et, dans une amabilité adressée à son vis-à-vis toulousain, Didier Lacroix, il conclut ainsi son propos : « Je comprends bien que le Stade toulousain, leader actuel du championnat, soit moins enclin que les autres à lancer le débat comme il l’avait fait avec vitalité la saison dernière (alors que Toulouse était septième du Top 14 et donc hors course, N.D.L.R.) mais cela n’enlève rien à son importance».
De toute évidence, un premier pavé vient d’être lancé dans le jardin de René Bouscatel. Il est signé Pierre-Yves Revol, ancien président de l’institution. La belle unité affichée par les clubs aux prémices de la crise sanitaire a-t-elle été brisée par le dernier scrutin ? Allez savoir…
Marc DUZAN
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Scalp a écrit:Switch a écrit:https://www.midi-olympique.fr/2021/04/18/quand-revol-ecrit-a-bouscatel-9496056.php
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Quand Revol écrit à Bouscatel...
Au fil d’un long courrier que nous nous sommes procuré, le président du Castres Olympique, Pierre-Yves Revol, a émis de vives critiques sur les premières décisions prises par le nouveau comité directeur de la LNR présidé par René Bouscatel.
Dans une longue lettre qu’il a adressée en début de semaine dernière aux trente présidents que compte le rugby pro français, le patron du Castres olympique Pierre-Yves Revol -ex soutien du vaincu Vincent Merling- a exprimé son désaccord avec un certain nombre de mesures adoptées par le successeur de Paul Goze, l’ancien boss du Stade toulousain René Bouscatel. Dans ce courrier, Revol écrit : « René, je dois te dire que les premières décisions du comité directeur m’interpellent. Choisir Montpellier comme lieu de la finale de Pro D2 alors que les deux clubs en position dominante actuellement sont Vannes et Perpignan est étonnant. […] Si d’ici là le public peut dans certaines conditions être admis dans les stades ce serait très pénalisant pour Vannes. Un responsable de ce club (le manager breton Jean-Noël Spitzer, N.D.L.R.) s’en est ému et je le comprends. D’autant plus que le président de l’Usap est membre de ton comité directeur.»
Plus loin, Pierre-Yves Revol remet en cause -sans les nommer expressément- les récents transferts du Parisien Gaël Fickou vers le Racing, de l’Argentin Santiago Chocobares à Toulouse et du Springbok Elton Jantjies à la Section paloise : « Le comité directeur a décidé d’autoriser le recrutement d’un joueur supplémentaire jusqu’à fin avril compte tenu de la "période Covid". J’ai du mal à relier les deux. La période Covid est censée accroître nos difficultés mais nous incitons les clubs à dépenser plus et à se renforcer en vue de la phase finale.»
Premier pavé dans la mare…
Enfin, le numéro 1 du Castres olympique a demandé dans sa missive au nouveau président de la Ligue Nationale de Rugby que le dernier processus de qualification pour la Champions Cup (les huit premiers clubs du Top 14 avaient été automatiquement qualifiés pour les phases finales de la coupe d’Europe) soit reconduit la saison prochaine dans son intégralité. Et, dans une amabilité adressée à son vis-à-vis toulousain, Didier Lacroix, il conclut ainsi son propos : « Je comprends bien que le Stade toulousain, leader actuel du championnat, soit moins enclin que les autres à lancer le débat comme il l’avait fait avec vitalité la saison dernière (alors que Toulouse était septième du Top 14 et donc hors course, N.D.L.R.) mais cela n’enlève rien à son importance».
De toute évidence, un premier pavé vient d’être lancé dans le jardin de René Bouscatel. Il est signé Pierre-Yves Revol, ancien président de l’institution. La belle unité affichée par les clubs aux prémices de la crise sanitaire a-t-elle été brisée par le dernier scrutin ? Allez savoir…
Marc DUZAN
Sur le premier point, c'est effectivement scandaleux. La décence et la logique voudrait qu'avec Perpignan et Vannes comme probables finalistes, la finale se joue géographiquement entre les deux. Bordeaux ou Clermont pourrait faire l'affaire d'autant que ce sont 2 grands stades, 2 grandes villes et 2 places fortes du rugby français. On peut même évoquer Brive, ou Agen, comme candidats pertinents géographiquement. Mais programmer cela à Montpellier, soit à 150km et 1h30 de Perpignan mais à 950km et 8h de Vannes, c'est incompréhensible. Et ca prête vraiment à soupçons quand on sait que comme le fait remarquer Revol, le président de l'USAP est membre de l'équipe Bouscatel !
Deuxièmement, c'est vraiment moche que Toulouse ne se batte pas pour maintenir la qualification des 8 premiers en Champions Cup cette saison encore une fois perturbée par la covid, alors que comme dit encore une fois très justement Revol, Toulouse en était un ardent défenseur l'an dernier...quand Toulouse était 7ème et donc directement concerné !
Bref, je souscris totalement à l'intervention de Revol. On voit déjà la mafia toulousaine à l'oeuvre et c'est à gerber. Bravo messieurs, il est beau l'esprit rugby !
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
https://www.midi-olympique.fr/2021/04/20/toulouse-le-monstre-a-44-pattes-9499317.php
Toulouse, le monstre à 44 pattes
Toulouse peut actuellement compter sur un paquet d'avants impressionnant par sa dimension physique et par la profondeur de son réservoir. Un atout de taille en vue des échéances du printemps.
Que n'a-t-on pas dit ou écrit sur le rugby des lignes arrières du Stade toulousain ces dernières années ? Les Kolbe, Dupont et compagnie, à la fois pétris de talents et d'audace, méritent amplement ces louanges. Dans un registre moins clinquant, le paquet d'avants rouge et noir évolue à un niveau de performance tout aussi impressionnant cette saison.
Ugo Mola lui avait rendu un vibrant hommage après leur démonstration de force sous la pluie d'Auvergne, il y a deux semaines, après avoir son grand huit avait poussé au supplice son homologue clermontois : « Je crois qu’il faut surtout rendre hommage à notre conquête, qui a été à la hauteur d’un quart de finale de Coupe d’Europe. On a l’habitude à Toulouse de louer nos trois-quarts, mais il faut aussi saluer le travail des avants quand ils viennent de sortir deux performances aussi énormes qu’au Munster et à Clermont. » Jean Bouilhou, l'entraîneur des avants, apprécie l'ouvrage à sa juste mesure : « Je suis très satisfait de ce que font les avants. Ils répondent plus qu'à nos attentes. Sur deux matchs, où pour le coup le caractère, l'esprit de combat, la solidarité et le sacrifice étaient essentiels, les joueurs se sont régalés : au Munster, équipe dont tout le monde connaît la valeur, et à Clermont, qui avait chèrement vendu sa peau. » Au-delà de l'impression de toute puissance laissée, des vingt-six essais à son actif (un tiers de l'équipe), des 93 % d'efficacité en mêlée (meilleur rendement du Top 14), ce pack se distingue avant tout par son homogénéité. À chaque poste devant, le Stade possède – au moins - trois titulaires en puissance : Baille, Castets et Neti à gauche ; les frères Marchand et Mauvaka au talonnage ; Faumuina, Aldegheri, Tafili à droite ; en deuxième ligne, aux côtés des frères Arnold, plus grande doublette de l'histoire à 4,16 m cumulés, l'éternel Tekori, le tonitruant Meafou, l'espoir Youyoutte et la belle surprise Flament amènent des solutions diverses et variées ; en troisième ligne, les références Elstadt et Cros sont épaulés par Placines et Miquel, parvenus à un niveau peut-être inattendu, Tolofua et le seigneur Kaino se partageant le numéro 8. Et on en oublie...
"Vingt-deux joueurs du même niveau"
Le tout donne un monstre à 44 pattes, sans égal sûrement en France. « On a vingt-deux joueurs devant qui sont quasiment du même niveau, décrit l'ancien troisième ligne. Il y a deux compétitions à jouer et l'on a envie de montrer toute la qualité de l'effectif du Stade toulousain. Les joueurs travaillent bien, on veut leur donner notre confiance. Si nos vingt-deux avants font de bons matchs, c'est moins problématique quand il y a des blessures pour faire des changements. » Les absences récentes d'Elstadt et des internationaux ont ainsi pu être régulièrement compensées ; dans le même ordre d'idée, cette abondance de biens permet de composer des bancs redoutables : « L'idée, c'est de faire notre cuisine en fonction des forces de l'adversaire. »
Cette force de frappe massive constitue un atout des plus précieux en vue de la double quête du printemps. Elle passe par un résultat positif face au Racing 92, afin de conforter la position de demi-finaliste en championnat. Samedi, après trois déplacements, les Rouge et Noir retrouvent leur pelouse, là où le 27 mars dernier, Montpellier les avait malmenés sur les bases. Jean Bouilhou s'en souvient : « Nous avions perdu huit ou neuf ballons dans les rucks. Ce secteur est un indice de votre capacité à vous engager dans un match. » Un douloureux souvenir comme une piqûre de rappel. Ça arrive même aux meilleurs.
Vincent Bissonnet
Toulouse, le monstre à 44 pattes
Toulouse peut actuellement compter sur un paquet d'avants impressionnant par sa dimension physique et par la profondeur de son réservoir. Un atout de taille en vue des échéances du printemps.
Que n'a-t-on pas dit ou écrit sur le rugby des lignes arrières du Stade toulousain ces dernières années ? Les Kolbe, Dupont et compagnie, à la fois pétris de talents et d'audace, méritent amplement ces louanges. Dans un registre moins clinquant, le paquet d'avants rouge et noir évolue à un niveau de performance tout aussi impressionnant cette saison.
Ugo Mola lui avait rendu un vibrant hommage après leur démonstration de force sous la pluie d'Auvergne, il y a deux semaines, après avoir son grand huit avait poussé au supplice son homologue clermontois : « Je crois qu’il faut surtout rendre hommage à notre conquête, qui a été à la hauteur d’un quart de finale de Coupe d’Europe. On a l’habitude à Toulouse de louer nos trois-quarts, mais il faut aussi saluer le travail des avants quand ils viennent de sortir deux performances aussi énormes qu’au Munster et à Clermont. » Jean Bouilhou, l'entraîneur des avants, apprécie l'ouvrage à sa juste mesure : « Je suis très satisfait de ce que font les avants. Ils répondent plus qu'à nos attentes. Sur deux matchs, où pour le coup le caractère, l'esprit de combat, la solidarité et le sacrifice étaient essentiels, les joueurs se sont régalés : au Munster, équipe dont tout le monde connaît la valeur, et à Clermont, qui avait chèrement vendu sa peau. » Au-delà de l'impression de toute puissance laissée, des vingt-six essais à son actif (un tiers de l'équipe), des 93 % d'efficacité en mêlée (meilleur rendement du Top 14), ce pack se distingue avant tout par son homogénéité. À chaque poste devant, le Stade possède – au moins - trois titulaires en puissance : Baille, Castets et Neti à gauche ; les frères Marchand et Mauvaka au talonnage ; Faumuina, Aldegheri, Tafili à droite ; en deuxième ligne, aux côtés des frères Arnold, plus grande doublette de l'histoire à 4,16 m cumulés, l'éternel Tekori, le tonitruant Meafou, l'espoir Youyoutte et la belle surprise Flament amènent des solutions diverses et variées ; en troisième ligne, les références Elstadt et Cros sont épaulés par Placines et Miquel, parvenus à un niveau peut-être inattendu, Tolofua et le seigneur Kaino se partageant le numéro 8. Et on en oublie...
"Vingt-deux joueurs du même niveau"
Le tout donne un monstre à 44 pattes, sans égal sûrement en France. « On a vingt-deux joueurs devant qui sont quasiment du même niveau, décrit l'ancien troisième ligne. Il y a deux compétitions à jouer et l'on a envie de montrer toute la qualité de l'effectif du Stade toulousain. Les joueurs travaillent bien, on veut leur donner notre confiance. Si nos vingt-deux avants font de bons matchs, c'est moins problématique quand il y a des blessures pour faire des changements. » Les absences récentes d'Elstadt et des internationaux ont ainsi pu être régulièrement compensées ; dans le même ordre d'idée, cette abondance de biens permet de composer des bancs redoutables : « L'idée, c'est de faire notre cuisine en fonction des forces de l'adversaire. »
Cette force de frappe massive constitue un atout des plus précieux en vue de la double quête du printemps. Elle passe par un résultat positif face au Racing 92, afin de conforter la position de demi-finaliste en championnat. Samedi, après trois déplacements, les Rouge et Noir retrouvent leur pelouse, là où le 27 mars dernier, Montpellier les avait malmenés sur les bases. Jean Bouilhou s'en souvient : « Nous avions perdu huit ou neuf ballons dans les rucks. Ce secteur est un indice de votre capacité à vous engager dans un match. » Un douloureux souvenir comme une piqûre de rappel. Ça arrive même aux meilleurs.
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Dommage que cette force de frappe massive, ce monstre à 44 pattes, sans équivalent en France, n'est pas réussi à franchir la montagne Castraise...
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Bientôt un article de La Dépêche annonçant "Le Stade Toulousain, ce club divin qui pourrait battre n'importe quelle équipe dans n'importe quel sport", dans lequel on apprendrait que le monstre toulousain a tellement de talent qu'il serait capable de battre successivement le Real en foot, Golden State en basket, les Chiefs en foot US, Kiel en handball et les Dodgers en baseball Ils pourraient peut-être commencer par aider leurs collègues du TFC
Je sais bien que c'est un média régional, mais quand même, j'ai rarement vu une presse locale aussi partiale et engagée
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Scalp a écrit:Dommage que cette force de frappe massive, ce monstre à 44 pattes, sans équivalent en France, n'est pas réussi à franchir la montagne Castraise...
Avec un tel monstre, je ne comprendrai pas que le ST ne réalise pas le doublé cette année...
Le propagandiste V.Bissonnet aurait pu évoquer aussi les 44 bras des 3/4 Toulousaings au nombre de 22 eux aussi...soit au total 44 joueurs d'un niveau intergalactique...cong !
IL faut mieux en rire...
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Switch a écrit:Bientôt un article de La Dépêche annonçant "Le Stade Toulousain, ce club divin qui pourrait battre n'importe quelle équipe dans n'importe quel sport", dans lequel on apprendrait que le monstre toulousain a tellement de talent qu'il serait capable de battre successivement le Real en foot, Golden State en basket, les Chiefs en foot US, Kiel en handball et les Dodgers en baseball Ils pourraient peut-être commencer par aider leurs collègues du TFC
Je sais bien que c'est un média régional, mais quand même, j'ai rarement vu une presse locale aussi partiale et engagée
Tout simplement un outil de propagande / communication au service du ST.
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
L'antisèche : Toulouse sait aussi gagner moche
https://www.rugbyrama.fr/rugby/champions-cup/2020-2021/l-antiseche-toulouse-sait-aussi-gagner-moche_sto8300007/story.shtml
Mais pas quand c'est l'UBB
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Avec le petit sondage qui va bien non, sans blague
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Scalp a écrit:L'antisèche : Toulouse sait aussi gagner moche
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Avec le petit sondage qui va bien non, sans blague
Je me demande combien de votes toulousains sur les 3400. Faut être malhonnêtes pour dire que l'UBB n'a pas été impactée par la covid !
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
https://www.ladepeche.fr/2021/05/24/stade-toulousain-et-maintenant-le-double-9563153.php
Stade Toulousain : et maintenant, le doublé ?
Après le cinquième succès en Coupe d’Europe, le club entend maintenant défendre son titre en Top 14.
Un Grand Chelem. C’est ainsi que nous pourrions nommer la tournée européenne du Stade Toulousain. Après Cardiff, Dublin, Edimbourg et Paris, Toulouse a enfin entendu l’appel de Londres après avoir échoué, à Twickenham dans le temple du rugby en 2004. Quatre finales franco-françaises, pour autant de succès, ne doivent en tout cas surtout pas dévaluer le moindre trophée. Car avant d’arriver en finale, il a bien fallu que le Stade se débarrasse de clubs britanniques. À l’instar de cette saison rendue spéciale par les conditions sanitaires mais au cours de laquelle Toulouse termine invaincu dans la compétition avec cinq succès en cinq rencontres. Et pas face à Trevise. Le Stade a quand même remporté trois rencontres à l’extérieur dont deux dans des forteresses de provinces irlandaises (Ulster et Munster).
Toujours au moins dans le dernier carré des compétitions
Certes le déroulement du match va longtemps donner des regrets aux Rochelais mais on peut y lire également davantage d’expérience côté rouge et noir ; que ce soit au niveau de la discipline ou au niveau du buteur puisque Romain Ntamack a fait un sans-faute dans les tirs au but quand son homologue West a laissé huit points en route et sur les poteaux. Il convient de ne pas oublier que ce groupe reste sur une finale de championnat de France gagnée en 2019 et deux demi-finales de Coupe d’Europe perdues. Ce qui signifie que le Stade est désormais tout le temps au moins dans le dernier carré de chaque compétition. Ce qui signifie également que ce groupe est revenu au niveau de ses illustres prédécesseurs
Ce qu’Antoine Dupont a traduit ainsi avec l’humilité qui le caractérise : "On ne fait que perpétuer la tradition". Issu d’un pays de traditions, le Haut-Pyrénéen sait de quoi il parle. Et dans ce club où l’histoire revêt une telle importance, lui et ses coéquipiers se sont sentis, à leurs tours, investis d’une mission. Qui était le demi-de-mêlée, premier champion d’Europe il y a 25 ans ? Jérôme Cazalbou, celui qui est manager du haut niveau aujourd’hui. Au Stade Toulousain, on a coutume de dire : "Les hommes passent mais rien n’est plus fort que l’institution."
Un Brennus à défendre
Et maintenant ? La saison n’est pas terminée bien sûr. Parce qu’il s’agit du Stade Toulousain, il faut trouver et se donner d’autres objectifs comme le précisait Emile Ntamack dans nos colonnes en évoquant la carrière de son fils, Romain : "Il a eu la chance de gagner très tôt le bouclier de Brennus. Forcément, l’étape d’après, c’est faire aussi bien mais il n’y a pas eu de championnat depuis. Et c’est vrai que la première chose qui se présente, c’est la Coupe d’Europe. Je souhaite à lui mais également à tous les garçons qui ont travaillé durement pour cet objectif d’avoir le privilège de remporter cette compétition même si ce n’est jamais une finalité. Oui, c’est bien, on est champions mais il faut de nouveau se préparer à le défendre ou à le conserver."
La suite, c’est donc le Top 14. Ce Top 14 dont Toulouse est le dernier champion de France puisque le titre n’a pas été décerné la saison dernière, en raison de la pandémie. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, Didier Lacroix évoque l’idée de donner "un compagnon à la Coupe d’Europe." Le doublé est déjà sur toutes les lèvres. Et sa quête débute dès cette semaine.
Samedi soir, Clermont est à Ernest-Wallon avec l’idée de mettre fin aux festivités. Pour le Stade, il s’agira de l’emporter pour se rendre directement en demi-finale à Lille. Et ainsi aborder la dernière journée à Bordeaux en opérant une certaine rotation et en s’évitant les barrages une semaine avant les demi-finales. Pas simple quand même quand on sait que le club rouge-et-noir a encore perdu deux joueurs, samedi à Londres : Clément Castets et Richie Arnold. Cela commence à devenir compliqué en première ligne où le Stade est déjà privé de Dorian Aldegheri et Julien Marchand qui sera encore suspendu samedi. Rien n’est jamais donné. Même au recordman des victoires en Coupe d’Europe…
Philippe Lauga
Stade Toulousain : et maintenant, le doublé ?
Après le cinquième succès en Coupe d’Europe, le club entend maintenant défendre son titre en Top 14.
Un Grand Chelem. C’est ainsi que nous pourrions nommer la tournée européenne du Stade Toulousain. Après Cardiff, Dublin, Edimbourg et Paris, Toulouse a enfin entendu l’appel de Londres après avoir échoué, à Twickenham dans le temple du rugby en 2004. Quatre finales franco-françaises, pour autant de succès, ne doivent en tout cas surtout pas dévaluer le moindre trophée. Car avant d’arriver en finale, il a bien fallu que le Stade se débarrasse de clubs britanniques. À l’instar de cette saison rendue spéciale par les conditions sanitaires mais au cours de laquelle Toulouse termine invaincu dans la compétition avec cinq succès en cinq rencontres. Et pas face à Trevise. Le Stade a quand même remporté trois rencontres à l’extérieur dont deux dans des forteresses de provinces irlandaises (Ulster et Munster).
Toujours au moins dans le dernier carré des compétitions
Certes le déroulement du match va longtemps donner des regrets aux Rochelais mais on peut y lire également davantage d’expérience côté rouge et noir ; que ce soit au niveau de la discipline ou au niveau du buteur puisque Romain Ntamack a fait un sans-faute dans les tirs au but quand son homologue West a laissé huit points en route et sur les poteaux. Il convient de ne pas oublier que ce groupe reste sur une finale de championnat de France gagnée en 2019 et deux demi-finales de Coupe d’Europe perdues. Ce qui signifie que le Stade est désormais tout le temps au moins dans le dernier carré de chaque compétition. Ce qui signifie également que ce groupe est revenu au niveau de ses illustres prédécesseurs
Ce qu’Antoine Dupont a traduit ainsi avec l’humilité qui le caractérise : "On ne fait que perpétuer la tradition". Issu d’un pays de traditions, le Haut-Pyrénéen sait de quoi il parle. Et dans ce club où l’histoire revêt une telle importance, lui et ses coéquipiers se sont sentis, à leurs tours, investis d’une mission. Qui était le demi-de-mêlée, premier champion d’Europe il y a 25 ans ? Jérôme Cazalbou, celui qui est manager du haut niveau aujourd’hui. Au Stade Toulousain, on a coutume de dire : "Les hommes passent mais rien n’est plus fort que l’institution."
Un Brennus à défendre
Et maintenant ? La saison n’est pas terminée bien sûr. Parce qu’il s’agit du Stade Toulousain, il faut trouver et se donner d’autres objectifs comme le précisait Emile Ntamack dans nos colonnes en évoquant la carrière de son fils, Romain : "Il a eu la chance de gagner très tôt le bouclier de Brennus. Forcément, l’étape d’après, c’est faire aussi bien mais il n’y a pas eu de championnat depuis. Et c’est vrai que la première chose qui se présente, c’est la Coupe d’Europe. Je souhaite à lui mais également à tous les garçons qui ont travaillé durement pour cet objectif d’avoir le privilège de remporter cette compétition même si ce n’est jamais une finalité. Oui, c’est bien, on est champions mais il faut de nouveau se préparer à le défendre ou à le conserver."
La suite, c’est donc le Top 14. Ce Top 14 dont Toulouse est le dernier champion de France puisque le titre n’a pas été décerné la saison dernière, en raison de la pandémie. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, Didier Lacroix évoque l’idée de donner "un compagnon à la Coupe d’Europe." Le doublé est déjà sur toutes les lèvres. Et sa quête débute dès cette semaine.
Samedi soir, Clermont est à Ernest-Wallon avec l’idée de mettre fin aux festivités. Pour le Stade, il s’agira de l’emporter pour se rendre directement en demi-finale à Lille. Et ainsi aborder la dernière journée à Bordeaux en opérant une certaine rotation et en s’évitant les barrages une semaine avant les demi-finales. Pas simple quand même quand on sait que le club rouge-et-noir a encore perdu deux joueurs, samedi à Londres : Clément Castets et Richie Arnold. Cela commence à devenir compliqué en première ligne où le Stade est déjà privé de Dorian Aldegheri et Julien Marchand qui sera encore suspendu samedi. Rien n’est jamais donné. Même au recordman des victoires en Coupe d’Europe…
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https://www.stadetoulousain.fr/actu/9605/partenariat-st-abatilles
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Vite des boite de Kleenex SVP, le sort du ST me tire des larmes, vraiment ils sont en situation difficile, faudrait pas que l'arbitrage les lâche aussi, un petit coup de pouce à chaque tour, c'est bon à prendre.
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Toulouse-La Rochelle. Plaquage Botia vs plaquage Ahki : des décisions de l'arbitre qui s'expliquent
https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/toulouse-la-rochelle-plaquage-botia-vs-plaquage-ahki-des-decisions-de-l-arbitre-qui-s-expliquent_42119693.html
Et un petit carton jaune ?, non mais sans blague
https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/toulouse-la-rochelle-plaquage-botia-vs-plaquage-ahki-des-decisions-de-l-arbitre-qui-s-expliquent_42119693.html
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Et bien mon vieux tu viens de perdre un client fidèle, Abatille à Arcachon qui soutient le ST
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Il y a des bouteilles de flotte Abatilles en conférence de presse
Il est partenaire UBB et ST le gars ?
Ou alors ils sont pas encore au courant de ce partenariat avec le ST.
Il est partenaire UBB et ST le gars ?
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Abatilles est un partenaire historique de l'UBB (partenaire des Girondins il me semble aussi, à vérifier), mais il est devenu partenaire du ST depuis cette saison.
A titre purement localiste, c'est un peu dommage.
Surtout, s'associer à l'image du ST est foncièrement dégradant au regard de la marque Abatilles.
A titre purement localiste, c'est un peu dommage.
Surtout, s'associer à l'image du ST est foncièrement dégradant au regard de la marque Abatilles.
le radis- Team modo
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
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