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Mafia Cassoulet - Publireportages
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Abatilles est un partenaire historique de l'UBB (partenaire des Girondins il me semble aussi, à vérifier), mais il est devenu partenaire du ST depuis cette saison.
A titre purement localiste, c'est un peu dommage.
Surtout, s'associer à l'image du ST est foncièrement dégradant au regard de la marque Abatilles.
A titre purement localiste, c'est un peu dommage.
Surtout, s'associer à l'image du ST est foncièrement dégradant au regard de la marque Abatilles.
le radis- Team modo
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Moi ça me fait plutôt rigoler qu'en plus des vins venus d'ailleurs on serve de l'eau de Gironde dans une bouteille bordelaise sur les tables toulousaines. Joli pied de nez. Si on réfléchit bien, mis à part la saucisse dont on trouve par ailleurs bien d'autres variantes, qu'est ce que la grande culture Toulousaine a apporté à la gastronomie française ?
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Allez UBB
Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
patrick a écrit:Moi ça me fait plutôt rigoler qu'en plus des vins venus d'ailleurs on serve de l'eau de Gironde dans une bouteille bordelaise sur les tables toulousaines. Joli pied de nez. Si on réfléchit bien, mis à part la saucisse dont on trouve par ailleurs bien d'autres variantes, qu'est ce que la grande culture Toulousaine a apporté à la gastronomie française ?
Ouai vu comme ca, c'est pas faux en effet.
On va surement voir les bouteilles d'eau qui viennent du bassin d'Arcachon autour de ce qui concerne le ST, au final c'est plutôt une bonne initiative je trouve
C'est les Toulousains qui vont pouvoir râler pour le coup de voir des produits du bassin d'Arcachon, s'il y a des bouteilles dans la salle de muscu, en conférence de presse, les vestiaires, etc c'est plutôt une bonne nouvelle
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
M'en fous ..bois pas d'eau
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
le radis a écrit:Abatilles est un partenaire historique de l'UBB (partenaire des Girondins il me semble aussi, à vérifier), mais il est devenu partenaire du ST depuis cette saison.
A titre purement localiste, c'est un peu dommage.
Surtout, s'associer à l'image du ST est foncièrement dégradant au regard de la marque Abatilles.
c'est pour cette raison que je me suis mis à la Volvic depuis 3 ans...et elle est bien meilleure !
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/top-14/top-14-dans-la-lutte-pour-les-phases-finales-tout-reste-a-jouer_AN-202105260306.html
Je mets cet article ici parce qu'il est assez remarquable !
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le radis- Team modo
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Oui c'est toujours la même origine, marrant ils vont chercher des équipes à 60/62 points à qui il va reter 2 matchs à jouer pour espérer se qualifier, on en a 72.
Les petits génies en ont 73. et viennent finir chez nous,je me délecte de la gueule de Mola s'il perd à Chaban.
Les petits génies en ont 73. et viennent finir chez nous,je me délecte de la gueule de Mola s'il perd à Chaban.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
https://www.midi-olympique.fr/2021/06/09/quand-la-cancel-culture-sattaque-au-rugby-9596115.php
Quand la « cancel culture » s’attaque au rugby
Les flics ont de l’humour. Si, si. La preuve ? Le 22 mai dernier, au crépuscule de la finale de Champions Cup entre Toulouse et La Rochelle, la Police Nationale de la Haute-Garonne postait ce message sur les réseaux sociaux : « Dans le cadre de la disparition inquiétante de supporters rochelais, merci de relayer cet appel à témoins : « Individus portant un maillot jaune et noir, possiblement déculottés et susceptibles d’être désorientés ou confus ; yeux rouges et larmoyants ; état psychologique proche de la dépression » ».
Ce que l’on prit alors comme une belle et bonne déflagration de second degré fit pourtant un tel « bad buzz » qu’une poignée de temps plus tard, les tuniques bleues du 31 devaient retirer de la toile leur trait d’esprit initial, appuyant leur démarche d’apaisement par un message d’excuse à l’attention de tous ceux dont la sensibilité avait pu être écorchée. Le reproche qui revenait en boucle, concernant le premier jet de la Police Nationale, était celui-ci : « Ce n’est pas très rugby… » N’en déplaise aux indignés du monde moderne, le « tweet » des flics était au contraire très « rugby », sport né d’une effronterie, d’un bras d’honneur à l’attention des règles et du cadre ultra-traditionaliste des collèges anglais de la fin du XIXe siècle. Et franchement : quel sort aurait réservé les procureurs du monde moderne à William Webb-Ellis, qui « le premier prit le ballon dans ses bras et courut avec » ? Et sacrebleu, le rugby a-t-il perdu son sens de l’humour pour vouloir soudainement éradiquer de son univers la raillerie, la malice ou le « chambrage », autant de schèmes qui font évidemment partie de son ADN ?
Ici et là, les offusqués de la « cancel culture » effacent, dénoncent et détruisent, brandissant l’oriflamme du « respect » comme un totem d’immunité. Et au nom de ce qu’ils jugent comme le bien, une armée de chevaliers blancs a donc contraint, au fil d’un bien piteux combat, à l’abrogation d’une bouffonnerie pour le moins inoffensive. C’est d’un triste, nom d’un homme…
Marc Duzan
Quand la « cancel culture » s’attaque au rugby
Les flics ont de l’humour. Si, si. La preuve ? Le 22 mai dernier, au crépuscule de la finale de Champions Cup entre Toulouse et La Rochelle, la Police Nationale de la Haute-Garonne postait ce message sur les réseaux sociaux : « Dans le cadre de la disparition inquiétante de supporters rochelais, merci de relayer cet appel à témoins : « Individus portant un maillot jaune et noir, possiblement déculottés et susceptibles d’être désorientés ou confus ; yeux rouges et larmoyants ; état psychologique proche de la dépression » ».
Ce que l’on prit alors comme une belle et bonne déflagration de second degré fit pourtant un tel « bad buzz » qu’une poignée de temps plus tard, les tuniques bleues du 31 devaient retirer de la toile leur trait d’esprit initial, appuyant leur démarche d’apaisement par un message d’excuse à l’attention de tous ceux dont la sensibilité avait pu être écorchée. Le reproche qui revenait en boucle, concernant le premier jet de la Police Nationale, était celui-ci : « Ce n’est pas très rugby… » N’en déplaise aux indignés du monde moderne, le « tweet » des flics était au contraire très « rugby », sport né d’une effronterie, d’un bras d’honneur à l’attention des règles et du cadre ultra-traditionaliste des collèges anglais de la fin du XIXe siècle. Et franchement : quel sort aurait réservé les procureurs du monde moderne à William Webb-Ellis, qui « le premier prit le ballon dans ses bras et courut avec » ? Et sacrebleu, le rugby a-t-il perdu son sens de l’humour pour vouloir soudainement éradiquer de son univers la raillerie, la malice ou le « chambrage », autant de schèmes qui font évidemment partie de son ADN ?
Ici et là, les offusqués de la « cancel culture » effacent, dénoncent et détruisent, brandissant l’oriflamme du « respect » comme un totem d’immunité. Et au nom de ce qu’ils jugent comme le bien, une armée de chevaliers blancs a donc contraint, au fil d’un bien piteux combat, à l’abrogation d’une bouffonnerie pour le moins inoffensive. C’est d’un triste, nom d’un homme…
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Non mais, au secours , Parler de cancel culture, dire que le Rugby est attaqué, parce que des flics du 31 on dût retirer un tweet, c'est limite de l'appropriation culturelle
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
C'est surtout que je trouve qu'il y a un gouffre énorme entre d'un côté cette histoire de blague nulle des flics du 31, et de l'autre côté la vraie cancel culture venue des USA qui fait par exemple retirer à des studios des scènes de leurs films, qui fait modifier à Disney certains de ses classiques, qui veut faire modifier à des villes des noms de rues ou supprimer à des pays des personnages de leur histoire. On peut quand même pas comparer tout ça.
La cancel culture, la vraie, est quand même autrement plus gênant et polémique car on parle de gens qui en France demandent par exemple à ce qu'on oblitère Napoléon de notre histoire, qu'on arrête d'enseigner à l'école certaines périodes de l'Histoire, ou à l'inverse qu'on révise et modifie des éléments de notre culture. A côté de ça excusez moi mais cette blague de merde qui perso m'a pas fait rire c'est de la couille en barre.
Après, est-ce à la police de faire des blagues sur les réseaux sociaux ? Ca aussi, on peut en parler Surtout que faire des blagues sur des disparitions quand t'es flics et qu'on sait le nombre de disparitions non-élucidées chaque années, bon... Perso je trouve ça moyen mais bon, ce n'est que mon avis
La cancel culture, la vraie, est quand même autrement plus gênant et polémique car on parle de gens qui en France demandent par exemple à ce qu'on oblitère Napoléon de notre histoire, qu'on arrête d'enseigner à l'école certaines périodes de l'Histoire, ou à l'inverse qu'on révise et modifie des éléments de notre culture. A côté de ça excusez moi mais cette blague de merde qui perso m'a pas fait rire c'est de la couille en barre.
Après, est-ce à la police de faire des blagues sur les réseaux sociaux ? Ca aussi, on peut en parler Surtout que faire des blagues sur des disparitions quand t'es flics et qu'on sait le nombre de disparitions non-élucidées chaque années, bon... Perso je trouve ça moyen mais bon, ce n'est que mon avis
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Switch a écrit:C'est surtout que je trouve qu'il y a un gouffre énorme entre d'un côté cette histoire de blague nulle des flics du 31, et de l'autre côté la vraie cancel culture venue des USA qui fait par exemple retirer à des studios des scènes de leurs films, qui fait modifier à Disney certains de ses classiques, qui veut faire modifier à des villes des noms de rues ou supprimer à des pays des personnages de leur histoire. On peut quand même pas comparer tout ça.
La cancel culture, la vraie, est quand même autrement plus gênant et polémique car on parle de gens qui en France demandent par exemple à ce qu'on oblitère Napoléon de notre histoire, qu'on arrête d'enseigner à l'école certaines périodes de l'Histoire, ou à l'inverse qu'on révise et modifie des éléments de notre culture. A côté de ça excusez moi mais cette blague de merde qui perso m'a pas fait rire c'est de la couille en barre.
Après, est-ce à la police de faire des blagues sur les réseaux sociaux ? Ca aussi, on peut en parler Surtout que faire des blagues sur des disparitions quand t'es flics et qu'on sait le nombre de disparitions non-élucidées chaque années, bon... Perso je trouve ça moyen mais bon, ce n'est que mon avis
Je ne dis pas autre chose Switch , on peut vraiment se foutre de la gueule de Marc Duzan
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
C'est surtout qu'à l'écouter, on a porté une grave atteinte à la liberté d'expression du peuple toulousain qui s'en retrouve brimé, foulé au pied et montré du doigt, c'est nul. Et encore une fois, ce genre de blague venant de la police, bof. Surtout sur des disparitions. C'est comme si après une large victoire du PSG dans le Classico les pompiers de Paris tweetaient "début d'incendie à l'OM, ca sent le roussi pour les marseillais !". Par sûrs que les toulousains proches des gilets jaunes rigoleraient si après une manif le Police tweetait "18h, c'est l'heure de l'apéro et de s'envoyer un petit jaune".
Bref, sujet clos, pour moi. Beaucoup de bruit pour rien
En tout cas je note que les toulousains, qui d'ordinaire sont pas les derniers à tailler et à critiquer ceux qui leur reproche, sont ici bien sensibles
Bref, sujet clos, pour moi. Beaucoup de bruit pour rien
En tout cas je note que les toulousains, qui d'ordinaire sont pas les derniers à tailler et à critiquer ceux qui leur reproche, sont ici bien sensibles
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Baille : itinéraire du meilleur "gaucher" de la planète
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2020-2021/cyril-baille-itineraire-du-meilleur-gaucher-de-la-planete_sto8385330/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2020-2021/cyril-baille-itineraire-du-meilleur-gaucher-de-la-planete_sto8385330/story.shtml
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
https://actu.fr/sports/rugby/top-14/top-14-plus-de-cartons-rouges-pour-les-adversaires-du-stade-toulousain-fausse-idee_42848400.html
La contre-attaque toulousaine
Jettons un coup d'oeil rapide aux rédacteurs de cet article :
- Clément MAZELLA : diplômé d'une école de journalisme toulousaine, pigiste puis journaliste puis respo éditorialiste au Midol/RR
- Geoffroy JACQUESON : diplômé d'une école de journalisme toulousaine, pigiste au Midol/RR
Bon déjà, donc, on part sur un bon gros article orienté rédigé par 2 toulousains étant passé au Midol.
Ensuite, l'article compare l'ensemble des matchs de Top14, mais ce que dénonce beaucoup de gens, ce n'est pas tant l'arbitrage du ST en général que l'arbitrage du ST sur des matchs clés, à des moments importants, tant en Top14 qu'en coupe d'Europe, d'ailleurs. Et là, c'est un peu différent. Que Agen prenne un rouge contre Toulouse sur un match lambda, ca ne change rien. Là où ça change, et ce qui énerve, c'est cette impression que les décisions arbitrales en général sont souvent favorables au ST et notamment dans les moments où le ST est en difficulté. Et dernier point, pour avoir une vision pertinente et réalistes, il ne faut pas s'attarder que sur les cartons mais sur tous les faits de matchs :
- les faute sifflées contre les adversaires de Toulouse
- les fautes oubliées de Toulouse
- les cartons non-sortis contre Toulouse
- l'étonnante mansuétude de la Commission de discipline envers les toulousains
...etc.
L'adversaire peut ne prendre aucun carton, si l'arbitre siffle 50 pénalités contre eux dans le match et "oublie" 1 ou 2 carton(s) contre Toulouse, ca change le match. Et pourtant rien ne transparait dans le filtre et la grille de lecture choisie par cet article. Sûrement un hasard, hein
Il faudrait comparer les sanctions prises par la Commission, ou les décisions arbitrales prises pour des actions similaires pour des toulousains et des non-toulousains. Et là on se rendrait compte de la réalité. Rien que cette année, un rouge contre l'adversaire en finale de coupe d'Europe, un rouge contre l'adversaire en demi-finale de Top14, un rouge oublié (mais sanctionné après coup) contre Toulouse en demi-finale de coupe d'Europe, et tout ceci rien que sur 2 matchs de phases finales. Sans parler des blagues comme Tekori en Commission de discipline (1 semaine pour un coup de coude volontaire dans la tête).
Bref, cet article essaie de noyer le poisson en présentant les chiffres d'une façon floue et macro qui effectivement ne laisse rien transparaitre. C'est pas bête, mais ça ne trompe personne, surtout quand on voit l'identité des auteurs, à savoir deux toulousains passés au Midol Un peu comme si deux hauts fonctionnaires d'un ministère rédigeaient un rapport certifiant que non, telle ou telle entité qui dépend de leur ministère n'est pas avantagée, en comparant à l'échelle macro, de manière floue et avec d'autres pays. Les chiffres, on leur fait dire ce qu'on veut.
La contre-attaque toulousaine
Jettons un coup d'oeil rapide aux rédacteurs de cet article :
- Clément MAZELLA : diplômé d'une école de journalisme toulousaine, pigiste puis journaliste puis respo éditorialiste au Midol/RR
- Geoffroy JACQUESON : diplômé d'une école de journalisme toulousaine, pigiste au Midol/RR
Bon déjà, donc, on part sur un bon gros article orienté rédigé par 2 toulousains étant passé au Midol.
Ensuite, l'article compare l'ensemble des matchs de Top14, mais ce que dénonce beaucoup de gens, ce n'est pas tant l'arbitrage du ST en général que l'arbitrage du ST sur des matchs clés, à des moments importants, tant en Top14 qu'en coupe d'Europe, d'ailleurs. Et là, c'est un peu différent. Que Agen prenne un rouge contre Toulouse sur un match lambda, ca ne change rien. Là où ça change, et ce qui énerve, c'est cette impression que les décisions arbitrales en général sont souvent favorables au ST et notamment dans les moments où le ST est en difficulté. Et dernier point, pour avoir une vision pertinente et réalistes, il ne faut pas s'attarder que sur les cartons mais sur tous les faits de matchs :
- les faute sifflées contre les adversaires de Toulouse
- les fautes oubliées de Toulouse
- les cartons non-sortis contre Toulouse
- l'étonnante mansuétude de la Commission de discipline envers les toulousains
...etc.
L'adversaire peut ne prendre aucun carton, si l'arbitre siffle 50 pénalités contre eux dans le match et "oublie" 1 ou 2 carton(s) contre Toulouse, ca change le match. Et pourtant rien ne transparait dans le filtre et la grille de lecture choisie par cet article. Sûrement un hasard, hein
Il faudrait comparer les sanctions prises par la Commission, ou les décisions arbitrales prises pour des actions similaires pour des toulousains et des non-toulousains. Et là on se rendrait compte de la réalité. Rien que cette année, un rouge contre l'adversaire en finale de coupe d'Europe, un rouge contre l'adversaire en demi-finale de Top14, un rouge oublié (mais sanctionné après coup) contre Toulouse en demi-finale de coupe d'Europe, et tout ceci rien que sur 2 matchs de phases finales. Sans parler des blagues comme Tekori en Commission de discipline (1 semaine pour un coup de coude volontaire dans la tête).
Bref, cet article essaie de noyer le poisson en présentant les chiffres d'une façon floue et macro qui effectivement ne laisse rien transparaitre. C'est pas bête, mais ça ne trompe personne, surtout quand on voit l'identité des auteurs, à savoir deux toulousains passés au Midol Un peu comme si deux hauts fonctionnaires d'un ministère rédigeaient un rapport certifiant que non, telle ou telle entité qui dépend de leur ministère n'est pas avantagée, en comparant à l'échelle macro, de manière floue et avec d'autres pays. Les chiffres, on leur fait dire ce qu'on veut.
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
Switch a écrit:https://actu.fr/sports/rugby/top-14/top-14-plus-de-cartons-rouges-pour-les-adversaires-du-stade-toulousain-fausse-idee_42848400.html
La contre-attaque toulousaine
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- Clément MAZELLA : diplômé d'une école de journalisme toulousaine, pigiste puis journaliste puis respo éditorialiste au Midol/RR
- Geoffroy JACQUESON : diplômé d'une école de journalisme toulousaine, pigiste au Midol/RR
Bon déjà, donc, on part sur un bon gros article orienté rédigé par 2 toulousains étant passé au Midol.
Ensuite, l'article compare l'ensemble des matchs de Top14, mais ce que dénonce beaucoup de gens, ce n'est pas tant l'arbitrage du ST en général que l'arbitrage du ST sur des matchs clés, à des moments importants, tant en Top14 qu'en coupe d'Europe, d'ailleurs. Et là, c'est un peu différent. Que Agen prenne un rouge contre Toulouse sur un match lambda, ca ne change rien. Là où ça change, et ce qui énerve, c'est cette impression que les décisions arbitrales en général sont souvent favorables au ST et notamment dans les moments où le ST est en difficulté. Et dernier point, pour avoir une vision pertinente et réalistes, il ne faut pas s'attarder que sur les cartons mais sur tous les faits de matchs :
- les faute sifflées contre les adversaires de Toulouse
- les fautes oubliées de Toulouse
- les cartons non-sortis contre Toulouse
- l'étonnante mansuétude de la Commission de discipline envers les toulousains
...etc.
L'adversaire peut ne prendre aucun carton, si l'arbitre siffle 50 pénalités contre eux dans le match et "oublie" 1 ou 2 carton(s) contre Toulouse, ca change le match. Et pourtant rien ne transparait dans le filtre et la grille de lecture choisie par cet article. Sûrement un hasard, hein
Il faudrait comparer les sanctions prises par la Commission, ou les décisions arbitrales prises pour des actions similaires pour des toulousains et des non-toulousains. Et là on se rendrait compte de la réalité. Rien que cette année, un rouge contre l'adversaire en finale de coupe d'Europe, un rouge contre l'adversaire en demi-finale de Top14, un rouge oublié (mais sanctionné après coup) contre Toulouse en demi-finale de coupe d'Europe, et tout ceci rien que sur 2 matchs de phases finales. Sans parler des blagues comme Tekori en Commission de discipline (1 semaine pour un coup de coude volontaire dans la tête).
Bref, cet article essaie de noyer le poisson en présentant les chiffres d'une façon floue et macro qui effectivement ne laisse rien transparaitre. C'est pas bête, mais ça ne trompe personne, surtout quand on voit l'identité des auteurs, à savoir deux toulousains passés au Midol Un peu comme si deux hauts fonctionnaires d'un ministère rédigeaient un rapport certifiant que non, telle ou telle entité qui dépend de leur ministère n'est pas avantagée, en comparant à l'échelle macro, de manière floue et avec d'autres pays. Les chiffres, on leur fait dire ce qu'on veut.
Une démonstration cent fois plus carré, que celle de ces deux pseudo journalistes, ah cette mafia cassoulet , en tout cas, bravo Switch
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Re: Mafia Cassoulet - Publireportages
https://www.ladepeche.fr/2021/06/24/cest-une-consecration-pour-le-rugby-francais-9627765.php
Toulouse. Finale de Top 14 : "C’est une consécration pour le rugby français" assure René Bouscatel
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À 75 ans, René Bouscatel a vécu de nombreuses finales comme président du Stade Toulousain. Mais comme à Twickenham il y a un mois, le Toulousain vivra ce rendez-vous entre Stadistes de la Ville rose et des bords de l’Atlantique dans le costume de président de la Ligue nationale de rugby. Avec la neutralité imposée par sa nouvelle fonction, il se confie sur sa vision de l’événement et le bonheur qu’il ressent après une saison où les clubs français ont brillé et qui arrive à son terme malgré la pandémie.
Président, avant d’évoquer la finale, revenons sur vos premiers pas à la tête de la LNR : dans quel état d’esprit avez-vous débuté cette nouvelle aventure ?
(Il sourit) Mes premiers pas étaient quasiment improvisés car un mois avant l’élection, je n’avais sincèrement pas prévu d’y aller. Cela a été une surprise pour beaucoup mais d’abord pour moi-même car ce n’était pas un acte prémédité.
Quelles raisons vous ont finalement poussé à vous présenter ?
J’ai considéré que celui qui postule pour être président de la Ligue doit d’abord être pour la Ligue avant d’être contre la Fédération française de rugby. La Coupe du monde 2023 est un évènement majeur pour le rugby français, professionnel et amateur, et il doit être suffisamment fédérateur pour que nous ne partions pas les uns contre les autres mais plutôt les uns et les autres dans une relation constructive. Ensuite, et pour faire court, il m’a semblé qu’une gouvernance collégiale serait plus bénéfique pour tous et je souhaitais revenir à l’écriture même des statuts de la LNR où le pouvoir décisionnel appartient au comité directeur et non pas au bureau.
Avez-vous l’impression que cette nouvelle façon de gouverner soit bien accueillie ?
J’ai le sentiment que ces trois premiers mois sont plutôt positifs. J’en veux pour preuve les premières décisions qui ont été prises rapidement, et de manière très consensuelle, sur la mise à disposition des joueurs (42 au lieu de 35 mais sans les finalistes du Top 14, NDLR) pour la Tournée de l’équipe de France en Australie (3 matchs contre le pays hôte les 7, 13 et 17 juillet, NDLR).
Pour revenir à cette finale, dîtes-nous comment l’ancien président toulousain que vous êtes allez la vivre ?
Avec une sérénité absolue maintenant que je suis Suisse (il sourit). Les finales, j’en ai vécu beaucoup. On ne se lasse jamais de cette solennité, cette émotion. Une finale, c’est la cerise sur le gâteau d’une saison. Plus encore celle-là, qui a demandé tant d’efforts aux uns et aux autres. Il faut qu’elle soit belle et je vais la vivre comme une consécration pour le rugby français.
À quel genre d’opposition vous attendez-vous ?
Cela va être une finale acharnée qui va se jouer sur des détails, comme souvent à ce niveau-là. Le haut niveau, c’est toujours une histoire de détails, de travail et un peu de chance. Une des deux équipes l’emportera avec beaucoup de travail et un peu de chance tandis que l’autre devra s’incliner avec beaucoup de travail mais sans doute un peu moins de chance.
Sous votre présidence, le Stade Toulousain n’a jamais réalisé le doublé et Guy Noves estimait même que c’était impossible : y aurait-il une once de jalousie si cette cuvée 2020-2021 y parvenait enfin ?
(Il sourit) Ah non pas du tout ! Vous savez, quand Guy disait cela, c’était surtout pour conjurer le sort. Et il avait raison : c’est très très difficile à réaliser. Toulon l’a fait (en 2014, NDLR). Nous l’avons fait au début (en 1996, mais sans les clubs anglais, NDLR). C’est justement parce que cela paraît impossible qu’il faut tout faire pour y arriver et peut-être le réussir. Ou alors nous aurons un champion d’Europe et un champion de France différents. Mais deux grandes équipes, et deux grands clubs quoi qu’il se passe.
Cette affiche est la même que celle de la finale de la Coupe d’Europe : y voyez-vous un signe fort concernant la compétitivité du Top 14 ?
C’est un joli paradoxe, dans cette année très difficile pour les clubs, d’abord sur le plan économique, de voir le rugby français s’en sortir de manière absolument fabuleuse sur le plan sportif. Trois équipes en finale de Coupe d’Europe et deux champions (Toulouse en Coupe d’Europe et Montpellier en Challenge, NDLR), c’est extraordinaire. Le Top 14 est un championnat de plus en plus compétitif : à quelques journées de la fin, il y avait encore une dizaine d’équipes capables de se qualifier et donc de viser le titre. Après, cela peut paraître étonnant qu’avec une telle concurrence ce soient les deux premiers de la saison régulière et les deux finalistes européens qui se retrouvent en finale du Top 14. Bravo à La Rochelle et Toulouse mais bravo aux autres clubs aussi d’avoir si dignement représenté le rugby français. C’est une grande fierté.
En début de saison tout le monde n’était pas certain que le championnat puisse aller à son terme en raison du contexte sanitaire. Cette finale est-elle un soulagement pour vous ?
Oui, c’est un vrai soulagement. Vraiment. Nous avons la chance à la Ligue d’avoir des équipes très compétentes et je les remercie grandement. Avec l’aide des clubs, à qui nous avons demandé beaucoup d’effort et de contraintes, nous sommes arrivés à terminer ce championnat. Je n’oublie pas non plus les pouvoirs publics qui ont su accompagner le rugby professionnel, la Ligue et les clubs. C’est grâce à ces efforts que nous y sommes parvenus, tous ensemble. C’est un soulagement, oui, mais c’est aussi une grande satisfaction pour l’image du rugby français. Cette année cela a plutôt bien fonctionné dans la difficulté, je ne peux donc être qu’optimiste pour la suite quand tout sera redevenu normal.
Justement, et pour finir, cette finale se jouera finalement devant 14 000 spectateurs au lieu des 5 000 initialement prévus. Cette décision vous satisfait-elle ?
Nous en sommes particulièrement heureux car on s’est beaucoup démené pour essayer de faire participer le plus de monde possible à cette fête. Pour les supporters, les partenaires, les clubs et globalement pour tous ceux qui aiment ce sport, c’est une juste récompense des efforts que j’évoquais précédemment. Il y aura toujours des malheureux car tout le monde ne pourra pas y assister mais c’est un signe d’encouragement pour les mois à venir.
Julien Carrere
Toulouse. Finale de Top 14 : "C’est une consécration pour le rugby français" assure René Bouscatel
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À 75 ans, René Bouscatel a vécu de nombreuses finales comme président du Stade Toulousain. Mais comme à Twickenham il y a un mois, le Toulousain vivra ce rendez-vous entre Stadistes de la Ville rose et des bords de l’Atlantique dans le costume de président de la Ligue nationale de rugby. Avec la neutralité imposée par sa nouvelle fonction, il se confie sur sa vision de l’événement et le bonheur qu’il ressent après une saison où les clubs français ont brillé et qui arrive à son terme malgré la pandémie.
Président, avant d’évoquer la finale, revenons sur vos premiers pas à la tête de la LNR : dans quel état d’esprit avez-vous débuté cette nouvelle aventure ?
(Il sourit) Mes premiers pas étaient quasiment improvisés car un mois avant l’élection, je n’avais sincèrement pas prévu d’y aller. Cela a été une surprise pour beaucoup mais d’abord pour moi-même car ce n’était pas un acte prémédité.
Quelles raisons vous ont finalement poussé à vous présenter ?
J’ai considéré que celui qui postule pour être président de la Ligue doit d’abord être pour la Ligue avant d’être contre la Fédération française de rugby. La Coupe du monde 2023 est un évènement majeur pour le rugby français, professionnel et amateur, et il doit être suffisamment fédérateur pour que nous ne partions pas les uns contre les autres mais plutôt les uns et les autres dans une relation constructive. Ensuite, et pour faire court, il m’a semblé qu’une gouvernance collégiale serait plus bénéfique pour tous et je souhaitais revenir à l’écriture même des statuts de la LNR où le pouvoir décisionnel appartient au comité directeur et non pas au bureau.
Avez-vous l’impression que cette nouvelle façon de gouverner soit bien accueillie ?
J’ai le sentiment que ces trois premiers mois sont plutôt positifs. J’en veux pour preuve les premières décisions qui ont été prises rapidement, et de manière très consensuelle, sur la mise à disposition des joueurs (42 au lieu de 35 mais sans les finalistes du Top 14, NDLR) pour la Tournée de l’équipe de France en Australie (3 matchs contre le pays hôte les 7, 13 et 17 juillet, NDLR).
Pour revenir à cette finale, dîtes-nous comment l’ancien président toulousain que vous êtes allez la vivre ?
Avec une sérénité absolue maintenant que je suis Suisse (il sourit). Les finales, j’en ai vécu beaucoup. On ne se lasse jamais de cette solennité, cette émotion. Une finale, c’est la cerise sur le gâteau d’une saison. Plus encore celle-là, qui a demandé tant d’efforts aux uns et aux autres. Il faut qu’elle soit belle et je vais la vivre comme une consécration pour le rugby français.
À quel genre d’opposition vous attendez-vous ?
Cela va être une finale acharnée qui va se jouer sur des détails, comme souvent à ce niveau-là. Le haut niveau, c’est toujours une histoire de détails, de travail et un peu de chance. Une des deux équipes l’emportera avec beaucoup de travail et un peu de chance tandis que l’autre devra s’incliner avec beaucoup de travail mais sans doute un peu moins de chance.
Sous votre présidence, le Stade Toulousain n’a jamais réalisé le doublé et Guy Noves estimait même que c’était impossible : y aurait-il une once de jalousie si cette cuvée 2020-2021 y parvenait enfin ?
(Il sourit) Ah non pas du tout ! Vous savez, quand Guy disait cela, c’était surtout pour conjurer le sort. Et il avait raison : c’est très très difficile à réaliser. Toulon l’a fait (en 2014, NDLR). Nous l’avons fait au début (en 1996, mais sans les clubs anglais, NDLR). C’est justement parce que cela paraît impossible qu’il faut tout faire pour y arriver et peut-être le réussir. Ou alors nous aurons un champion d’Europe et un champion de France différents. Mais deux grandes équipes, et deux grands clubs quoi qu’il se passe.
Cette affiche est la même que celle de la finale de la Coupe d’Europe : y voyez-vous un signe fort concernant la compétitivité du Top 14 ?
C’est un joli paradoxe, dans cette année très difficile pour les clubs, d’abord sur le plan économique, de voir le rugby français s’en sortir de manière absolument fabuleuse sur le plan sportif. Trois équipes en finale de Coupe d’Europe et deux champions (Toulouse en Coupe d’Europe et Montpellier en Challenge, NDLR), c’est extraordinaire. Le Top 14 est un championnat de plus en plus compétitif : à quelques journées de la fin, il y avait encore une dizaine d’équipes capables de se qualifier et donc de viser le titre. Après, cela peut paraître étonnant qu’avec une telle concurrence ce soient les deux premiers de la saison régulière et les deux finalistes européens qui se retrouvent en finale du Top 14. Bravo à La Rochelle et Toulouse mais bravo aux autres clubs aussi d’avoir si dignement représenté le rugby français. C’est une grande fierté.
En début de saison tout le monde n’était pas certain que le championnat puisse aller à son terme en raison du contexte sanitaire. Cette finale est-elle un soulagement pour vous ?
Oui, c’est un vrai soulagement. Vraiment. Nous avons la chance à la Ligue d’avoir des équipes très compétentes et je les remercie grandement. Avec l’aide des clubs, à qui nous avons demandé beaucoup d’effort et de contraintes, nous sommes arrivés à terminer ce championnat. Je n’oublie pas non plus les pouvoirs publics qui ont su accompagner le rugby professionnel, la Ligue et les clubs. C’est grâce à ces efforts que nous y sommes parvenus, tous ensemble. C’est un soulagement, oui, mais c’est aussi une grande satisfaction pour l’image du rugby français. Cette année cela a plutôt bien fonctionné dans la difficulté, je ne peux donc être qu’optimiste pour la suite quand tout sera redevenu normal.
Justement, et pour finir, cette finale se jouera finalement devant 14 000 spectateurs au lieu des 5 000 initialement prévus. Cette décision vous satisfait-elle ?
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Vivement que Laporte et Bouscatel dégagent. On y est pas encore, mais je rêve déjà du jour où ces 2 mafias parigo-toulousaines auront été dégagées de nos instances dirigeantes
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Switch a écrit:Vivement que Laporte et Bouscatel dégagent. On y est pas encore, mais je rêve déjà du jour où ces 2 mafias parigo-toulousaines auront été dégagées de nos instances dirigeantes
Il reste pas des vieux stocks de cassoulet de Spanghero?
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De mémoire c'était des lasagnes ... mais tu penses bien que ce beau monde ne doit pas faire dans le surgelé ...
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Ca devient pire que l'Assemblée ou une primaire de LR, cette histoire. Bien piètre image... Espérons au moins que l'issue permette d'équilibrer les pouvoirs.
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T-shirt peut-être caduque dans quelques mois si le Leinster s'impose en CC. Ce qui est loin d'être impossible. C'est quand même c ** !
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Switch a écrit:T-shirt peut-être caduque dans quelques mois si le Leinster s'impose en CC. Ce qui est loin d'être impossible. C'est quand même c ** !
Ce qui est très incertain à cause de la nouvelle règle qui interdit au joueurs de se lier avant une percussion.
Grande spécialité du Leinstern.
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C'est là qu'on voit la différence entre les britanniques et nous. Même si ils ont largement leur part de défauts en tous genres, ces derniers sont quand même plus modestes et mesurés que nous. Je n'ai jamais ressenti une telle melonite chez les supporters du Leinster ou des Saracens, et pourtant, ils avaient/auraient de quoi. J'ai l'impression que même Toulon, l'année où ils réalisent le premier vrai doublé Coupe d'Europe/Championnat, s'est montré plus modeste et respectable.
Peut-être que cela tient aussi au fait que Dublin ou Londres sont de grandes villes qui existent sur bien des plans alors que Toulouse n'est qu'une ville française parmi d'autre qui n'existe que part le rugby et est quasiment inconnue pour la majorité des gens dans le monde. De fait, le toulousain aurait de base un complexe d'infériorité qu'il parviendrait à contrebalancer par un orgueil démesuré et une prétention sans limite afin de parvenir à exister et se faire reconnaître
Le jour où les médias seront purgés du lobby toulousain et retrouveront une certaine impartialité et honnêteté, et je pense que ca viendra, on devrait déjà mieux respirer
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