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Tournoi des 6 Nations 2022
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Scalp- Team modo
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Ramos s’entraîne à l’ouverture, Moefana en 13... Ce qu’il faut retenir de la journée des Bleus
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2022/tournoi-des-6-nations-ramos-sentraine-a-louverture-moefana-en-13.-ce-quil-faut-retenir-de-la-journee_sto8745015/story.shtml
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
sudiste a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:sudiste a écrit:« Si c’est pour jouer toutes les pénalités rapidement et faire n’importe quoi, ça ne sert à rien »....justement parfois
Bref super jouer, lucide, exigeant et que je vois mal poser en peignoir jaune poussin Balenciaga
Tu le verrais plus en marinière signée Jean-Paul Gaultier ?
https://www.gqmagazine.fr/lifestyle/article/antoine-dupont-le-nouveau-super-heros-du-sport-francais
A toi de juger .... le lien m'a été soufflé sur le WhatsApp des Fanes
Ce sont des fakes ??
Dupont en Balmain, je rêve !! ce non-sens...
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Bleus : Matthieu Jalibert apte pour le premier match du Tournoi des Six Nations face à l'Italie
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Bleus-matthieu-jalibert-apte-pour-le-premier-match-du-tournoi-des-six-nations-face-a-l-italie/1313927
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Vanverberghe, touché au genou, ne rejoindra pas les Bleus ce dimanche
https://www.rugbyrama.fr/rugby/xv-de-france/2021/xv-de-france-florent-vanverberghe-castres-touche-au-genou-ne-rejoindra-pas-les-bleus-ce-dimanche_sto8745195/story.shtml
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Antoine Dupont, Romain Ntamack et Matthieu Jalibert parmi les joueurs appelés à rejoindre l'équipe de France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Antoine-dupont-romain-ntamack-et-matthieu-jalibert-parmi-les-joueurs-appeles-a-rejoindre-l-equipe-de-france/1314100
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Certains choix sont surprenants meme sil y a une forme de continuité
Actuellement pas trop convaincu par le niveau de certains toulousains, Barlot semble etre en difficulté dans l’exercice du lancer, Tao manque de confiance..bof
Actuellement pas trop convaincu par le niveau de certains toulousains, Barlot semble etre en difficulté dans l’exercice du lancer, Tao manque de confiance..bof
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
XV de France: les Bleus en mode légionnaires pour préparer le Tournoi
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/xv-de-france/xv-de-france-les-bleus-en-mode-legionnaires-pour-preparer-le-tournoi_AV-202201300210.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/xv-de-france/xv-de-france-les-bleus-en-mode-legionnaires-pour-preparer-le-tournoi_AV-202201300210.html
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Avec-antoine-dupont-romain-ntamack-ou-mathieu-jalibert-les-patrons-du-xv-de-france-sont-de-retour/1314220
Avec Antoine Dupont, Romain Ntamack ou Mathieu Jalibert, les patrons du XV de France sont de retour
Antoine Dupont, Romain Ntamack et leurs camarades toulousains, « covidés » la semaine passée, sont de retour en bleu pour préparer le Tournoi. Tout comme Matthieu Jalibert.
Adrien Corée
Il n'y avait aucun suspense, et il n'y eut aucune surprise. Hier, le staff des Bleus a rappelé les nombreux cadres qui manquaient à l'appel lors de la première semaine du rassemblement du quinze de France sur le camp militaire de Carpiagne, la plupart en raison du Covid. La cohorte de Toulousains (Baille, Cros, Jelonch, Dupont, Ntamack, Lebel) a ainsi pu rejoindre le groupe pour la fin du stage dans les Bouches-du-Rhône et le premier match du Tournoi des Six Nations contre l'Italie, dimanche (16 heures).
Quatre d'entre eux étaient titulaires samedi soir lors de la défaite face au Racing (15-20), dont les deux maîtres à jouer du Stade Toulousain et du quinze de France, Antoine Dupont et Romain Ntamack. S'ils n'ont pas réalisé le meilleur match de leur carrière, les compères de la charnière tricolore ont au moins repris le rythme avant les échéances internationales, notamment le demi de mêlée, qui n'avait plus joué depuis le 11 décembre.
Autre retour de marque, celui de Matthieu Jalibert. Touché à la cuisse droite mi-janvier face aux Scarlets en Coupe d'Europe (45-10), l'ouvreur bordelais est désormais sur pied après plusieurs jours de repos. Le Rochelais Uini Atonio, gêné par un genou la semaine dernière, a également été convoqué au poste de pilier droit, à la place de Mohamed Haouas, qui avait pourtant participé au début du stage.
Haouas présent à son procès
Non convoqué dans le groupe France dévoilé dimanche, Mohamed Haouas est à disposition de Montpellier et... de la justice. En effet, son procès pour des cambriolages remontant à 2014 (il était âgé de 19 ans), reporté à plusieurs reprises en 2020 et 2021, va enfin avoir lieu vendredi 4 février au Tribunal correctionnel de Montpellier. Le pilier droit du MHR (27 ans, 13 sél.) devra se présenter au côté de son avocat, Marc Gallix.
Cependant, la non-convocation d'Haouas n'est pas lié à la tenue du procès. Le sélectionneur Fabien Galthié n'en a pas tenu compte. Selon nos informations, le pilier droit s'est blessé à l'entraînement la semaine passée lors du stage des Bleus à Carpiagne (Bouches-du-Rhône). Touché à une cheville et donc remis à la disposition de son club, il a néanmoins tenu sa place lors de la victoire héraultaise à La Rochelle (23-29), durant laquelle il a joué 59 minutes. Au MHR, on estime d'ailleurs qu'il est apte pour la réception de Pau, samedi (17 h).
Le staff du quinze de France va pouvoir s'appuyer sur un groupe quasiment au complet, composé d'une majorité de ses forces vives. Durant le Tournoi, Fabien Galthié et ses adjoints devraient reconduire une bonne partie des vainqueurs des All Blacks en novembre (40-25), puisque 22 des 23 héros de Saint-Denis sont désormais rassemblés (seul manque Thibaud Flament, positif au Covid). La semaine dernière, l'entraîneur en charge de l'attaque, Laurent Labit, expliquait en tout cas que les innovations allaient se raréfier. « Sur un Tournoi, avec un titre à aller chercher, il y aura moins d'expérimentations et plus de certitudes emmagasinées, assurait-il. Il y aura moins de surprises sur les compositions d'équipe et les façons de jouer. »
Des interrogations à certains postes
Exit donc l'association Jalibert-Ntamack, qui n'avait pas donné pleinement satisfaction cet automne. En revanche, quelques interrogations subsistent. Quid de la position de Cameron Woki ? Épatant en deuxième ligne il y a deux mois, le Bordelais conservera-t-il ses prérogatives dans la cage ou redescendra-t-il à son poste de formation, en troisième ligne ? « Dans notre système, il est au centre du terrain donc ça ne change pas grand-chose, il apporte sa puissance et son explosivité, développait le coach de la conquête, Karim Ghezal, jeudi. Maintenant, on l'a sélectionné en troisième ligne. Deuxième-ligne, c'est une option de fin de match qu'on a sous la main. »
Et au centre, les dernières performances en club de Virimi Vakatawa n'ont pas été des plus convaincantes. Si le Racingman est un cadre de l'équipe depuis le début du mandat de Galthié, il a vu Jonathan Danty, voire Yoram Moefana s'inviter dans la course pour accompagner Gaël Fickou. « Gaël et Jonathan ont un temps d'avance sur lui, et Yoram fait aussi des grosses performances avec Bordeaux et chaque fois qu'il est avec nous, reconnaissait Labit. C'est la règle du jeu et Virimi le sait. Il faisait partie des valeurs sûres du début de notre mandat, on ne l'oublie pas, on sait ce qu'il est capable de faire. On espère le remettre sur les rails et on verra au fur et à mesure des semaines quel est son niveau. »
Avec Antoine Dupont, Romain Ntamack ou Mathieu Jalibert, les patrons du XV de France sont de retour
Antoine Dupont, Romain Ntamack et leurs camarades toulousains, « covidés » la semaine passée, sont de retour en bleu pour préparer le Tournoi. Tout comme Matthieu Jalibert.
Adrien Corée
Il n'y avait aucun suspense, et il n'y eut aucune surprise. Hier, le staff des Bleus a rappelé les nombreux cadres qui manquaient à l'appel lors de la première semaine du rassemblement du quinze de France sur le camp militaire de Carpiagne, la plupart en raison du Covid. La cohorte de Toulousains (Baille, Cros, Jelonch, Dupont, Ntamack, Lebel) a ainsi pu rejoindre le groupe pour la fin du stage dans les Bouches-du-Rhône et le premier match du Tournoi des Six Nations contre l'Italie, dimanche (16 heures).
Quatre d'entre eux étaient titulaires samedi soir lors de la défaite face au Racing (15-20), dont les deux maîtres à jouer du Stade Toulousain et du quinze de France, Antoine Dupont et Romain Ntamack. S'ils n'ont pas réalisé le meilleur match de leur carrière, les compères de la charnière tricolore ont au moins repris le rythme avant les échéances internationales, notamment le demi de mêlée, qui n'avait plus joué depuis le 11 décembre.
Autre retour de marque, celui de Matthieu Jalibert. Touché à la cuisse droite mi-janvier face aux Scarlets en Coupe d'Europe (45-10), l'ouvreur bordelais est désormais sur pied après plusieurs jours de repos. Le Rochelais Uini Atonio, gêné par un genou la semaine dernière, a également été convoqué au poste de pilier droit, à la place de Mohamed Haouas, qui avait pourtant participé au début du stage.
Haouas présent à son procès
Non convoqué dans le groupe France dévoilé dimanche, Mohamed Haouas est à disposition de Montpellier et... de la justice. En effet, son procès pour des cambriolages remontant à 2014 (il était âgé de 19 ans), reporté à plusieurs reprises en 2020 et 2021, va enfin avoir lieu vendredi 4 février au Tribunal correctionnel de Montpellier. Le pilier droit du MHR (27 ans, 13 sél.) devra se présenter au côté de son avocat, Marc Gallix.
Cependant, la non-convocation d'Haouas n'est pas lié à la tenue du procès. Le sélectionneur Fabien Galthié n'en a pas tenu compte. Selon nos informations, le pilier droit s'est blessé à l'entraînement la semaine passée lors du stage des Bleus à Carpiagne (Bouches-du-Rhône). Touché à une cheville et donc remis à la disposition de son club, il a néanmoins tenu sa place lors de la victoire héraultaise à La Rochelle (23-29), durant laquelle il a joué 59 minutes. Au MHR, on estime d'ailleurs qu'il est apte pour la réception de Pau, samedi (17 h).
Le staff du quinze de France va pouvoir s'appuyer sur un groupe quasiment au complet, composé d'une majorité de ses forces vives. Durant le Tournoi, Fabien Galthié et ses adjoints devraient reconduire une bonne partie des vainqueurs des All Blacks en novembre (40-25), puisque 22 des 23 héros de Saint-Denis sont désormais rassemblés (seul manque Thibaud Flament, positif au Covid). La semaine dernière, l'entraîneur en charge de l'attaque, Laurent Labit, expliquait en tout cas que les innovations allaient se raréfier. « Sur un Tournoi, avec un titre à aller chercher, il y aura moins d'expérimentations et plus de certitudes emmagasinées, assurait-il. Il y aura moins de surprises sur les compositions d'équipe et les façons de jouer. »
Des interrogations à certains postes
Exit donc l'association Jalibert-Ntamack, qui n'avait pas donné pleinement satisfaction cet automne. En revanche, quelques interrogations subsistent. Quid de la position de Cameron Woki ? Épatant en deuxième ligne il y a deux mois, le Bordelais conservera-t-il ses prérogatives dans la cage ou redescendra-t-il à son poste de formation, en troisième ligne ? « Dans notre système, il est au centre du terrain donc ça ne change pas grand-chose, il apporte sa puissance et son explosivité, développait le coach de la conquête, Karim Ghezal, jeudi. Maintenant, on l'a sélectionné en troisième ligne. Deuxième-ligne, c'est une option de fin de match qu'on a sous la main. »
Et au centre, les dernières performances en club de Virimi Vakatawa n'ont pas été des plus convaincantes. Si le Racingman est un cadre de l'équipe depuis le début du mandat de Galthié, il a vu Jonathan Danty, voire Yoram Moefana s'inviter dans la course pour accompagner Gaël Fickou. « Gaël et Jonathan ont un temps d'avance sur lui, et Yoram fait aussi des grosses performances avec Bordeaux et chaque fois qu'il est avec nous, reconnaissait Labit. C'est la règle du jeu et Virimi le sait. Il faisait partie des valeurs sûres du début de notre mandat, on ne l'oublie pas, on sait ce qu'il est capable de faire. On espère le remettre sur les rails et on verra au fur et à mesure des semaines quel est son niveau. »
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/tournoi-des-six-nations-2022-le-xv-de-france-doit-assumer-son-statut-de-favori-8144960.php
Tournoi des Six-Nations 2022 : le XV de France doit assumer son statut de favori
Par Arnaud David - a.david@sudouest.fr
Après leur victoire sur les All Blacks en novembre, les Bleus abordent en position de favoris le tournoi des Six-Nations qu’ils n’ont pas gagné depuis 2010. C’est un rôle qui leur a rarement réussi.
Impossible de se cacher. À l’heure des pronostics, le Quinze de France aborde le tournoi des Six-Nations en position de favori. Ce sont les bookmakers qui l’assurent, ce sont ses adversaires qui l’affirment. La pancarte est énorme : 6/4 pour une victoire des Bleus, 7/2 pour un 10e Grand Chelem français. Ce sont des cotes qui ne feront pas rêver ceux qui espèrent faire fortune mais qui en disent long sur l’estime dont jouit désormais l’équipe de Fabien Galthié.
« Le monde du rugby est toujours meilleur quand la France effraie ses rivaux », écrivait la semaine passée Sir Ian McGeechan dans sa chronique pour le Sunday Telegraph. Le vieux sage écossais est un amoureux de longue date des Bleus. Il a entraîné Raphaël Ibanez aux Wasps et il est resté très proche de Shaun Edwards, l’entraîneur de la défense française avec lequel il dirigeait le club londonien durant ses meilleures années. Cela peut expliquer cette empathie énamourée.
Peau de banane
Mais McGeechan n’est pas le seul à être tombé sous le charme de la génération Dupont. « Le rugby offensif est de retour et la France mène la charge au niveau international. Elle gagnera le prochain tournoi des Six-Nations et probablement la Coupe du monde », prédisait en fin d’année Austin Healey, l’ancien ailier anglais dans le Daily Telegraph. Un avis partagé par Sam Warburton, l’ex-capitaine du Quinze de Galles dans le Times.
Mais il n’y a pas que les médias britanniques qui ont couvert d’éloges les derniers vainqueurs des All Blacks. Mercredi, lors du lancement officiel de la compétition, tous les sélectionneurs et les capitaines étrangers y sont allés de leurs compliments : « Les Français sont forts et en forme depuis l’automne. Ils sont costauds en attaque, dans le jeu au pied et brillants dans les transitions », a affirmé l’Écossais Greg Townsend. « Il n’y a pas de doute, ce sont les favoris du tournoi. Ils ont beaucoup de joueurs de classe mondiale et une importante profondeur d’effectif », a renchéri Dan Biggar, le demi d’ouverture gallois.
« Le monde du rugby est toujours meilleur quand la France effraie ses rivaux. » Ian McGeechan
N’en jetez plus. En fait, c’est un peu comme si les autres prétendants à la couronne européenne s’étaient débarrassés du fardeau d’une étiquette gênante et tentaient de déposer une peau de banane sur le chemin des Bleus. À l’image d’Eddie Jones, toujours grinçant et ironique, glissant à ses interlocuteurs français : « Votre développement et vos résultats sont formidables. Si vous ne gagnez pas, le public sera déçu, non ? ! »
L’Australien n’a pas tort. Il y a douze ans que le Quinze de France n’a plus inscrit son nom en haut du palmarès de la compétition. Et l’attente n’a jamais été aussi forte et aussi légitime. Elle se nourrit de données objectives. Depuis que Fabien Galthié en a pris les commandes la progression de ce groupe a été linéaire. Bien sûr, il y a eu des rendez-vous manqués comme à Twickenham l’hiver dernier où les Bleus ont laissé échapper un succès (23-20) qui aurait pu leur ouvrir la route du Grand Chelem. Mais on reste sur le souvenir de cette victoire enthousiasmante face aux All Blacks (40-25) venue conclure une tournée de novembre parfaitement maîtrisée. Ce succès-là, tout comme le calendrier favorable des années paires, justifie un optimisme qu’il convient de nuancer.
La première réserve à apporter tient à la dimension aléatoire que la pandémie de Covid-19 a introduite dans l’épreuve. Aucune formation n’est à l’abri de l’intrusion d’un variant. Les Bleus en ont fait l’expérience l’hiver dernier.
Trois bémols
La deuxième réserve tient à la qualité de l’opposition. Hormis, l’Italie, toutes les équipes ont de sérieux arguments à faire valoir. À commencer par l’Irlande qui se présentera au Stade de France lors de la 2e journée. En novembre, les joueurs d’Andy Farrell ont réalisé face aux All Blacks une performance aussi bluffante que celle des Bleus. Impossible d’écarter les Gallois qui l’hiver dernier étaient en position de réussir le Grand Chelem jusque dans les arrêts de jeu de leur match face aux Français. On n’a pas oublié que les Écossais avaient fait trébucher Antoine Dupont and co au Stade de France. Quant aux Anglais, rajeunis, ils restent sur une victoire contre les Sud Africains.
C’est l’histoire qui nous souffle le troisième bémol. À l’exception de celui de 1987, c’est toujours en outsiders que les Bleus ont réussi leurs Grands Chelems. Mais depuis deux ans, l’une des forces de ce Quinze de France aura été de bousculer les idées reçues.
Tournoi des Six-Nations 2022 : le XV de France doit assumer son statut de favori
Par Arnaud David - a.david@sudouest.fr
Après leur victoire sur les All Blacks en novembre, les Bleus abordent en position de favoris le tournoi des Six-Nations qu’ils n’ont pas gagné depuis 2010. C’est un rôle qui leur a rarement réussi.
Impossible de se cacher. À l’heure des pronostics, le Quinze de France aborde le tournoi des Six-Nations en position de favori. Ce sont les bookmakers qui l’assurent, ce sont ses adversaires qui l’affirment. La pancarte est énorme : 6/4 pour une victoire des Bleus, 7/2 pour un 10e Grand Chelem français. Ce sont des cotes qui ne feront pas rêver ceux qui espèrent faire fortune mais qui en disent long sur l’estime dont jouit désormais l’équipe de Fabien Galthié.
« Le monde du rugby est toujours meilleur quand la France effraie ses rivaux », écrivait la semaine passée Sir Ian McGeechan dans sa chronique pour le Sunday Telegraph. Le vieux sage écossais est un amoureux de longue date des Bleus. Il a entraîné Raphaël Ibanez aux Wasps et il est resté très proche de Shaun Edwards, l’entraîneur de la défense française avec lequel il dirigeait le club londonien durant ses meilleures années. Cela peut expliquer cette empathie énamourée.
Peau de banane
Mais McGeechan n’est pas le seul à être tombé sous le charme de la génération Dupont. « Le rugby offensif est de retour et la France mène la charge au niveau international. Elle gagnera le prochain tournoi des Six-Nations et probablement la Coupe du monde », prédisait en fin d’année Austin Healey, l’ancien ailier anglais dans le Daily Telegraph. Un avis partagé par Sam Warburton, l’ex-capitaine du Quinze de Galles dans le Times.
Mais il n’y a pas que les médias britanniques qui ont couvert d’éloges les derniers vainqueurs des All Blacks. Mercredi, lors du lancement officiel de la compétition, tous les sélectionneurs et les capitaines étrangers y sont allés de leurs compliments : « Les Français sont forts et en forme depuis l’automne. Ils sont costauds en attaque, dans le jeu au pied et brillants dans les transitions », a affirmé l’Écossais Greg Townsend. « Il n’y a pas de doute, ce sont les favoris du tournoi. Ils ont beaucoup de joueurs de classe mondiale et une importante profondeur d’effectif », a renchéri Dan Biggar, le demi d’ouverture gallois.
« Le monde du rugby est toujours meilleur quand la France effraie ses rivaux. » Ian McGeechan
N’en jetez plus. En fait, c’est un peu comme si les autres prétendants à la couronne européenne s’étaient débarrassés du fardeau d’une étiquette gênante et tentaient de déposer une peau de banane sur le chemin des Bleus. À l’image d’Eddie Jones, toujours grinçant et ironique, glissant à ses interlocuteurs français : « Votre développement et vos résultats sont formidables. Si vous ne gagnez pas, le public sera déçu, non ? ! »
L’Australien n’a pas tort. Il y a douze ans que le Quinze de France n’a plus inscrit son nom en haut du palmarès de la compétition. Et l’attente n’a jamais été aussi forte et aussi légitime. Elle se nourrit de données objectives. Depuis que Fabien Galthié en a pris les commandes la progression de ce groupe a été linéaire. Bien sûr, il y a eu des rendez-vous manqués comme à Twickenham l’hiver dernier où les Bleus ont laissé échapper un succès (23-20) qui aurait pu leur ouvrir la route du Grand Chelem. Mais on reste sur le souvenir de cette victoire enthousiasmante face aux All Blacks (40-25) venue conclure une tournée de novembre parfaitement maîtrisée. Ce succès-là, tout comme le calendrier favorable des années paires, justifie un optimisme qu’il convient de nuancer.
La première réserve à apporter tient à la dimension aléatoire que la pandémie de Covid-19 a introduite dans l’épreuve. Aucune formation n’est à l’abri de l’intrusion d’un variant. Les Bleus en ont fait l’expérience l’hiver dernier.
Trois bémols
La deuxième réserve tient à la qualité de l’opposition. Hormis, l’Italie, toutes les équipes ont de sérieux arguments à faire valoir. À commencer par l’Irlande qui se présentera au Stade de France lors de la 2e journée. En novembre, les joueurs d’Andy Farrell ont réalisé face aux All Blacks une performance aussi bluffante que celle des Bleus. Impossible d’écarter les Gallois qui l’hiver dernier étaient en position de réussir le Grand Chelem jusque dans les arrêts de jeu de leur match face aux Français. On n’a pas oublié que les Écossais avaient fait trébucher Antoine Dupont and co au Stade de France. Quant aux Anglais, rajeunis, ils restent sur une victoire contre les Sud Africains.
C’est l’histoire qui nous souffle le troisième bémol. À l’exception de celui de 1987, c’est toujours en outsiders que les Bleus ont réussi leurs Grands Chelems. Mais depuis deux ans, l’une des forces de ce Quinze de France aura été de bousculer les idées reçues.
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
EN IMAGES. Le XV de France en mode commando s'éclate avec la Légion étrangère
https://actu.fr/sports/rugby/pro/en-images-le-xv-de-france-en-mode-commando-s-eclate-avec-la-legion-etrangere_48327168.html
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france/xv-de-france-favori-des-six-nations-l-avis-des-specialistes-8170292.php
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
grospaquet31 a écrit:https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france/xv-de-france-favori-des-six-nations-l-avis-des-specialistes-8170292.php
XV de France favori des Six-Nations : l’avis des spécialistes
Par Arnaud David et Denys Kappès-Grangé
Pierre Berbizier, Imanol Harinordoquy, Guy Novès, Guy Accoceberry et Cédric Heymans donnent leur sentiment sur le statut de favori des Bleus au Tournoi des Six-Nations
Pierre Berbizier (Sélectionneur de 1991 à 1995) : « La France, est-elle meilleure quand elle est outsider ? En tant que joueur, j’ai vécu cela en 1981. Notre Grand Chelem a été une surprise. Jacques Fouroux venait de prendre les commandes. En 1987 en revanche, notre Grand Chelem a été l’aboutissement d’une génération. En tant qu’entraîneur, j’ai été confronté à une distorsion entre l’attente du public et nos moyens. En 1994, nous gagnons nos deux tests en Nouvelle-Zélande. Nous étions partis un mois et demi et il y avait eu une montée en puissance au fil de la tournée. Mais entre la tournée et le tournoi 1995, il s’est passé six mois où nous n’avons eu qu’un rassemblement pour préparer un match contre le Canada. Nous avions perdu nos acquis. Nous nous retrouvions le mercredi précédant les matches. »
Imanol Harinordoquy (Grand Chelem (2002, 04, 10) /Victoires (2006, 07) « On a toujours du mal à appréhender le statut de favori. Ce n’est pas dans notre ADN alors que les Anglais, eux, sont capables de dire qu’ils sont les meilleurs et de gagner. Être favori, c’est être soumis à la pression médiatique avec le risque d’écouter tout le monde. Il faut pourtant rester dans le cadre : en 2010, même si on s’emballait à faire des lancements dans la semaine, si on devait gagner « petit », on le faisait (sourire). »
« Même s’il est plus facile les années paires, le Tournoi est une compétition très difficile. Il faut monter les marches les unes après les autres. Il faut passer les deux premiers matchs, c’est le troisième peut vraiment faire basculer dans une victoire ou plus si affinité.
Guy Novès (Sélectionneur de 2016 à 2018) : « Est-ce que le statut de favori peut peser ? Oui. À Toulouse, j’essayais de dégonfler la tête des gens du club, des dirigeants qui pouvaient avoir une influence sur les joueurs. Il faut que les joueurs soient conscients qu’ils sont capables de faire des choses fantastiques mais ils doivent être concentrés sur le travail, sur la performance et le moyen d’y accéder. Le rôle du manager, c’est de dégonfler la baudruche, de mettre en valeur les capacités de l’adversaire. Dans le management au quotidien, il y a un équilibre à trouver. Il faut que l’équipe ait confiance mais pas trop. Il faut entretenir une peur positive, une peur qui n’inhibe pas. Dans la relation avec les joueurs, il faut que les trois mots que tu échanges avec un joueur soient ciblés. »
Guy Accoceberry (Grand Chelem en 1997) : « Chaque fois que l’équipe de France a été favorite dans le Tournoi, c’est parce qu’elle avait fait une grosse tournée avant. Mais notre problème, c’est qu’on n’avait que deux jours de préparation ! C’était un statut sur le papier mais difficile à assumer sportivement. Le poids médiatique n’était pas important. Les fois où on a réalisé les Grands Chelems, c’est d’ailleurs souvent quand personne n’en parlait. En 1997, on gagne chez les Anglais (20-23) après avoir été menés 20 à 3 à la pause. On aurait pu en prendre 40 (sourire) ! À l’inverse, les joueurs sont aujourd’hui mis à disposition de nombreuses semaines : ils peuvent se préparer en fonction et l’emporter comme tout le monde l’espère. L’équipe de France a désormais tous les éléments pour l’assumer. »
Cédric Heymans (Grand Chelem (2004) /Victoires (2006, 07)) : « Pour éviter de subir les pièges du statut de favori, je pense déjà qu’il faut vivre cacher. C’est peut-être la différence entre le Grand Chelem qu’on a réalisé en 2004, alors qu’on n’était pas attendu, et le fait qu’on l’ait remporté en 2007 mais sans remporter tous les matchs : on n’était pas attendu. La France doit gagner ce Tournoi, c’est bien de l’annoncer, mais je suis plus guidé par mon éducation toulousaine : on ne dit pas, on fait. Je pense d’ailleurs que c’est la presse britannique qui nous met dans cette position : on subit leur jeu. Les Bleus ont réalisé une magnifique tournée, ils se sont mis tout seuls dans cette situation : c’est une bonne chose, mais le reste, ce n’est qu’une histoire de communication. »
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france/xv-de-france-les-bleus-sont-ils-prets-a-endosser-le-premier-role-8167708.php
XV de France : les Bleus sont-ils prêts à endosser le premier rôle ?
Par Arnaud David - a.david@sudouest.fr
Le Quinze de France aborde le tournoi des Six Nations avec un statut de favori qui lui a rarement réussi. Le rôle d’outsider est-il plus confortable ? Les conditions ne sont-elles pas réunies pour qu’il brise cette barrière ?
Le défi est de taille. Pour la première fois de sa jeune histoire, le Quinze de France de Fabien Galthié va aborder le tournoi des Six Nations en position de favori. Ce statut n’est pas illégitime. Depuis deux ans, le parcours d’Antoine Dupont et ses équipiers a été jalonné de coups d’éclat spectaculaires mais aussi d’une forme de constance dans la qualité du jeu produit. Leur succès sur les All Blacks (40-25) cet automne en est le résumé.
Même s’ils ont chuté à Murrayfield, à Twickenham et même au Stade de France l’an passé, les Bleus n’ont jamais été hors sujet. Et l’on peut considérer ces défaites comme les étapes d’un apprentissage.
Mais le temps de la confirmation est arrivé. Après avoir terminé deux fois à la deuxième place, Fabien Galthié et ses joueurs ont clairement affiché leur objectif : remporter cette édition et donner du crédit à leur ambition de remporter la Coupe du monde.
Si les conditions semblent réunies, avec un calendrier favorable et la réception des Irlandais et des Anglais, les Français vont devoir surmonter une forme de handicap culturel. Le statut de favori a rarement réussi à l’équipe de France.
À l’exception du Grand Chelem 1987 qui était celui de l’épanouissement pour une génération exceptionnelle celle des Blanco, Sella, Lagisquet, Berbizier, Rodriguez, les sans-faute des Bleus dans le tournoi ont été le plus souvent l’aventure d’un seul hiver.
Jamais simple
En 1977, ce sont les Gallois qui partaient avec la faveur des pronostics avant de se faire cueillir d’entrée par les grognards de Jacques Fouroux. Le Grand Chelem de 1997 s’est dessiné lors d’un improbable retournement de situation à Twickenham. Et celui de 1998, avec une équipe rajeunie, ressemble à celui 1977 avec les Anglais en premières victimes, pour lancer la dynamique. En 2002 et 2004, c’est encore le Quinze de la Rose qui portait le poids des espérances alors que les Bleus se tenaient en embuscade dans une posture plus confortable.
Le rôle de favoris n’est jamais simple à assumer. Historiquement il y a eu parfois un écart immense entre l’attente du public et les moyens mis à la disposition des Bleus comme Pierre Berbizier peut en témoigner. Et puis, il y a des choses moins quantifiables : la baisse de vigilance d’un groupe grisé par le succès ou par ce que la vox populi lui renvoie, la peur de ne pas être à la hauteur des attentes.
Comment Fabien Galthié et son staff géreront-ils l’approche de ces deux mois de compétition ? Sauront-ils protéger les Bleus de ces éléments qui parasitent la performance ? S’ils ont fait le choix d’effectuer leur préparation dans un camp de la Légion étrangère, c’est sans doute pour que leur groupe construise le récit de cette édition, à l’écart des influences, focalisé sur sa mission.
XV de France : les Bleus sont-ils prêts à endosser le premier rôle ?
Par Arnaud David - a.david@sudouest.fr
Le Quinze de France aborde le tournoi des Six Nations avec un statut de favori qui lui a rarement réussi. Le rôle d’outsider est-il plus confortable ? Les conditions ne sont-elles pas réunies pour qu’il brise cette barrière ?
Le défi est de taille. Pour la première fois de sa jeune histoire, le Quinze de France de Fabien Galthié va aborder le tournoi des Six Nations en position de favori. Ce statut n’est pas illégitime. Depuis deux ans, le parcours d’Antoine Dupont et ses équipiers a été jalonné de coups d’éclat spectaculaires mais aussi d’une forme de constance dans la qualité du jeu produit. Leur succès sur les All Blacks (40-25) cet automne en est le résumé.
Même s’ils ont chuté à Murrayfield, à Twickenham et même au Stade de France l’an passé, les Bleus n’ont jamais été hors sujet. Et l’on peut considérer ces défaites comme les étapes d’un apprentissage.
Mais le temps de la confirmation est arrivé. Après avoir terminé deux fois à la deuxième place, Fabien Galthié et ses joueurs ont clairement affiché leur objectif : remporter cette édition et donner du crédit à leur ambition de remporter la Coupe du monde.
Si les conditions semblent réunies, avec un calendrier favorable et la réception des Irlandais et des Anglais, les Français vont devoir surmonter une forme de handicap culturel. Le statut de favori a rarement réussi à l’équipe de France.
À l’exception du Grand Chelem 1987 qui était celui de l’épanouissement pour une génération exceptionnelle celle des Blanco, Sella, Lagisquet, Berbizier, Rodriguez, les sans-faute des Bleus dans le tournoi ont été le plus souvent l’aventure d’un seul hiver.
Jamais simple
En 1977, ce sont les Gallois qui partaient avec la faveur des pronostics avant de se faire cueillir d’entrée par les grognards de Jacques Fouroux. Le Grand Chelem de 1997 s’est dessiné lors d’un improbable retournement de situation à Twickenham. Et celui de 1998, avec une équipe rajeunie, ressemble à celui 1977 avec les Anglais en premières victimes, pour lancer la dynamique. En 2002 et 2004, c’est encore le Quinze de la Rose qui portait le poids des espérances alors que les Bleus se tenaient en embuscade dans une posture plus confortable.
Le rôle de favoris n’est jamais simple à assumer. Historiquement il y a eu parfois un écart immense entre l’attente du public et les moyens mis à la disposition des Bleus comme Pierre Berbizier peut en témoigner. Et puis, il y a des choses moins quantifiables : la baisse de vigilance d’un groupe grisé par le succès ou par ce que la vox populi lui renvoie, la peur de ne pas être à la hauteur des attentes.
Comment Fabien Galthié et son staff géreront-ils l’approche de ces deux mois de compétition ? Sauront-ils protéger les Bleus de ces éléments qui parasitent la performance ? S’ils ont fait le choix d’effectuer leur préparation dans un camp de la Légion étrangère, c’est sans doute pour que leur groupe construise le récit de cette édition, à l’écart des influences, focalisé sur sa mission.
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-equipe-de-france-veut-prolonger-l-euphorie-nee-de-la-victoire-de-novembre-sur-la-nouvelle-zelande/1314338
L'équipe de France veut prolonger l'euphorie née de la victoire sur la Nouvelle-Zélande
Il y a deux mois et demi, les Bleus faisaient valser les All Blacks et chavirer le Stade de France (40-25). Que reste-t-il de ce match et de cette soirée pour écrire la suite dans le Tournoi 2022 ?
Frédéric Bernès
Que reste-t-il après une victoire contre les Blacks ? C'est une question qui ne se posait plus dans l'environnement de l'équipe de France. Ces dernières années, on ne savait que trop bien la couleur de la réponse : noire. Les lendemains des France - Nouvelle-Zélande, il subsistait en vrac de l'amour-propre en brunoise, une équipe désolée ou désolante, des joueurs délavés ou dépassés et l'espoir que ça aille mieux demain pour dernière bouée dégonflée.
En renversant les All Blacks (40-25) le 20 novembre à Saint-Denis, du jamais revu depuis l'exploit des Bleus de Marc Lièvremont à Dunedin en juin 2009 (voir par ailleurs), l'équipe d'Antoine Dupont n'a pas seulement rafraîchi une page poussiéreuse. Elle autorise à se poser la question de l'élan généré par une victoire contre les Blacks, de tout ce qu'une équipe peut retirer d'une prouesse pareille et, plus prosaïquement, de ce que donne le Tournoi qui suit une victoire en automne contre les Tout-Noirs.
En 2001, quatre mois après avoir fracassé les Blacks à Marseille (42-33), le quinze de France de Bernard Laporte terminait cinquième du Tournoi. L'équipe des sélectionneurs Jean-Claude Skréla et Pierre Villepreux, tombeuse des « Néozèdes » à Toulouse en novembre 1995 (22-15), se débrouilla un peu mieux en achevant le Tournoi d'après à la troisième place.
L'exemple le plus recommandable vient de la génération Dubroca-Berbizier-Sella-Blanco, commandée par le petit caporal-chef Jacques Fouroux, capable de déglinguer les Blacks à Nantes en novembre 1986 (16-3) avant de réussir le Grand Chelem dans le Tournoi suivant.
« Cette victoire face aux Blacks, c'est un point d'appui pour notre projet, notre aventure, pour avancer. Même si, au final, il n'y a pas de trophée à la clé »
Gabin Villière, ailier de l'équipe de France
En attendant de savoir si la France peut enfin remporter à nouveau le Tournoi, la douce soirée du 20 novembre a obligatoirement apporté tout un tas de choses à ce groupe, petites ou grandes. À commencer par le droit de pouvoir dire « On l'a fait » qui vaut toujours un peu plus à la bourse des phrases toutes faites que l'indécis « On peut le faire ».
« Cette victoire nous a apporté de la confiance, confirme l'ailier Gabin Villière. Parce que l'objectif, c'est de battre toutes les nations majeures. Il reste l'Afrique du Sud qu'on n'a pas battue, parce qu'on n'a pas rencontré les Boks depuis un bout de temps (ils seront au programme de la prochaine tournée d'automne). »
Les calendriers Nord-Sud étant ce qu'ils sont, pour battre les Blacks avant la Coupe du monde, il ne fallait pas louper la seule fenêtre de tir. « Le groupe et les supporters attendaient de voir ce qu'on était capable de faire contre une grosse équipe, dit un cadre du groupe. Il y avait une attente énorme autour de ce match, une émotion particulière. L'ambiance au Stade de France est bonne d'habitude, mais là c'était "chaudron". Je n'avais jamais vu ce stade comme ça. On s'est rapproché du public et on a pris conscience qu'on était capable de battre les meilleures équipes au monde. Cette soirée sera constructive pour ce qui va arriver. »
En se repenchant sur ce match, tous tournent autour de cette même idée : se savoir attendus et répondre présent. « Les Blacks, c'est la rencontre qui ouvrira la Coupe du monde 2023, ici en France, poursuit Villière. Les battre nous a permis de constater que le travail paie. On en est capable. Nous sommes sortis de cette spirale négative dans laquelle l'équipe de France était face aux Néo-Zélandais. En plus, on a pris beaucoup de plaisir à jouer ensemble. On a donné et reçu avec ce Stade de France comble. Cette victoire face aux Blacks, c'est un point d'appui pour notre projet, notre aventure, pour avancer. Même si, au final, il n'y a pas de trophée à la clé. »
L'épilogue de la dernière tournée d'automne renferme d'autres enseignements, individuels et collectifs : le staff avait particulièrement bien préparé son affaire contre les Blacks, il avait prévu un scénario qui a collé à la réalité ; alors que ce secteur laissait à désirer les mois précédents, la performance défensive des Bleus a frôlé l'excellence pendant les quarante-cinq premières minutes ; Cameron Woki a rayonné en deuxième-ligne, tout comme Peato Mauvaka en tant que talonneur titulaire et Melvyn Jaminet pour son premier bain de foule en France ; la charnière Dupont-Ntamack a fait de l'ombre à la doublette A. Smith-Mo'unga ; cette équipe de France a su toucher ses deux plus grosses victoires (Angleterre en 2020 - 24-17 - au début de l'ère Galthié, Nouvelle-Zélande, dernier match à ce jour) avec deux quinze de départ très distincts (*)
« On a aussi prouvé qu'on savait cogner fort et faire mal alors qu'on nous croit tout beaux et tout gentils, disait Romain Ntamack quelques heures après sa formidable relance du fin fond de son en-but. On a enfin montré à la planète rugby qu'on produisait du beau jeu. »
Tout cela a beau être inoubliable, il a fallu se séparer là-dessus, et pendant deux mois et demi. Les surfeurs n'ont pas pu profiter de cette vague. « On a quand même pu débriefer les joueurs entre les rassemblements, signalait Karim Ghezal, entraîneur de la conquête. On fait comme si on se retrouvait alors que le match contre les Blacks avait eu lieu samedi dernier. Le but, c'est de redémarrer très vite. »
Dès sa conférence de presse de rentrée, début janvier, Fabien Galthié avait à la fois avoué une pointe de nostalgie contemplative attachée à cette victoire de prestige (« Ce n'est pas sans émotion que j'y repense parce que c'était comme un moment suspendu dans le temps, un moment merveilleux ») tout en refermant la parenthèse (« Nous avions dit avant le match contre les Blacks, qu'il ne faudrait pas prendre le "boulard" si nous venions à gagner. Il est clair que nous avons encore besoin de gagner. Il est clair que l'équipe de France doit gagner. »)
En commençant par le Tournoi qui vient. Jusqu'ici, les Bleus de Galthié ont toujours terminé deuxièmes et, comme le disait lui-même l'ancien sélectionneur Bernard Laporte, « deuxième en Europe, ça ne veut rien dire ».
Au classement mondial, la France est d'ailleurs troisième nation européenne, derrière l'Angleterre et l'Irlande. Tout simplement parce que les Anglais ont eu la peau des champions du monde sud-africains en novembre et que si, en France, on se pose la question des retombées d'une victoire contre la Nouvelle-Zélande, on se pose la même à Cork, Dublin ou Kilkenny avec une semaine d'ancienneté en plus, l'Irlande de Farrell ayant devancé le quinze de France dans l'art de faire choir les Blacks à la morte-saison.
(*) Sept titulaires sont communs à ces deux matches : Baille, Willemse, Cros, Alldritt, Dupont, Ntamack, Fickou.
L'équipe de France veut prolonger l'euphorie née de la victoire sur la Nouvelle-Zélande
Il y a deux mois et demi, les Bleus faisaient valser les All Blacks et chavirer le Stade de France (40-25). Que reste-t-il de ce match et de cette soirée pour écrire la suite dans le Tournoi 2022 ?
Frédéric Bernès
Que reste-t-il après une victoire contre les Blacks ? C'est une question qui ne se posait plus dans l'environnement de l'équipe de France. Ces dernières années, on ne savait que trop bien la couleur de la réponse : noire. Les lendemains des France - Nouvelle-Zélande, il subsistait en vrac de l'amour-propre en brunoise, une équipe désolée ou désolante, des joueurs délavés ou dépassés et l'espoir que ça aille mieux demain pour dernière bouée dégonflée.
En renversant les All Blacks (40-25) le 20 novembre à Saint-Denis, du jamais revu depuis l'exploit des Bleus de Marc Lièvremont à Dunedin en juin 2009 (voir par ailleurs), l'équipe d'Antoine Dupont n'a pas seulement rafraîchi une page poussiéreuse. Elle autorise à se poser la question de l'élan généré par une victoire contre les Blacks, de tout ce qu'une équipe peut retirer d'une prouesse pareille et, plus prosaïquement, de ce que donne le Tournoi qui suit une victoire en automne contre les Tout-Noirs.
En 2001, quatre mois après avoir fracassé les Blacks à Marseille (42-33), le quinze de France de Bernard Laporte terminait cinquième du Tournoi. L'équipe des sélectionneurs Jean-Claude Skréla et Pierre Villepreux, tombeuse des « Néozèdes » à Toulouse en novembre 1995 (22-15), se débrouilla un peu mieux en achevant le Tournoi d'après à la troisième place.
L'exemple le plus recommandable vient de la génération Dubroca-Berbizier-Sella-Blanco, commandée par le petit caporal-chef Jacques Fouroux, capable de déglinguer les Blacks à Nantes en novembre 1986 (16-3) avant de réussir le Grand Chelem dans le Tournoi suivant.
« Cette victoire face aux Blacks, c'est un point d'appui pour notre projet, notre aventure, pour avancer. Même si, au final, il n'y a pas de trophée à la clé »
Gabin Villière, ailier de l'équipe de France
En attendant de savoir si la France peut enfin remporter à nouveau le Tournoi, la douce soirée du 20 novembre a obligatoirement apporté tout un tas de choses à ce groupe, petites ou grandes. À commencer par le droit de pouvoir dire « On l'a fait » qui vaut toujours un peu plus à la bourse des phrases toutes faites que l'indécis « On peut le faire ».
« Cette victoire nous a apporté de la confiance, confirme l'ailier Gabin Villière. Parce que l'objectif, c'est de battre toutes les nations majeures. Il reste l'Afrique du Sud qu'on n'a pas battue, parce qu'on n'a pas rencontré les Boks depuis un bout de temps (ils seront au programme de la prochaine tournée d'automne). »
Les calendriers Nord-Sud étant ce qu'ils sont, pour battre les Blacks avant la Coupe du monde, il ne fallait pas louper la seule fenêtre de tir. « Le groupe et les supporters attendaient de voir ce qu'on était capable de faire contre une grosse équipe, dit un cadre du groupe. Il y avait une attente énorme autour de ce match, une émotion particulière. L'ambiance au Stade de France est bonne d'habitude, mais là c'était "chaudron". Je n'avais jamais vu ce stade comme ça. On s'est rapproché du public et on a pris conscience qu'on était capable de battre les meilleures équipes au monde. Cette soirée sera constructive pour ce qui va arriver. »
En se repenchant sur ce match, tous tournent autour de cette même idée : se savoir attendus et répondre présent. « Les Blacks, c'est la rencontre qui ouvrira la Coupe du monde 2023, ici en France, poursuit Villière. Les battre nous a permis de constater que le travail paie. On en est capable. Nous sommes sortis de cette spirale négative dans laquelle l'équipe de France était face aux Néo-Zélandais. En plus, on a pris beaucoup de plaisir à jouer ensemble. On a donné et reçu avec ce Stade de France comble. Cette victoire face aux Blacks, c'est un point d'appui pour notre projet, notre aventure, pour avancer. Même si, au final, il n'y a pas de trophée à la clé. »
L'épilogue de la dernière tournée d'automne renferme d'autres enseignements, individuels et collectifs : le staff avait particulièrement bien préparé son affaire contre les Blacks, il avait prévu un scénario qui a collé à la réalité ; alors que ce secteur laissait à désirer les mois précédents, la performance défensive des Bleus a frôlé l'excellence pendant les quarante-cinq premières minutes ; Cameron Woki a rayonné en deuxième-ligne, tout comme Peato Mauvaka en tant que talonneur titulaire et Melvyn Jaminet pour son premier bain de foule en France ; la charnière Dupont-Ntamack a fait de l'ombre à la doublette A. Smith-Mo'unga ; cette équipe de France a su toucher ses deux plus grosses victoires (Angleterre en 2020 - 24-17 - au début de l'ère Galthié, Nouvelle-Zélande, dernier match à ce jour) avec deux quinze de départ très distincts (*)
« On a aussi prouvé qu'on savait cogner fort et faire mal alors qu'on nous croit tout beaux et tout gentils, disait Romain Ntamack quelques heures après sa formidable relance du fin fond de son en-but. On a enfin montré à la planète rugby qu'on produisait du beau jeu. »
Tout cela a beau être inoubliable, il a fallu se séparer là-dessus, et pendant deux mois et demi. Les surfeurs n'ont pas pu profiter de cette vague. « On a quand même pu débriefer les joueurs entre les rassemblements, signalait Karim Ghezal, entraîneur de la conquête. On fait comme si on se retrouvait alors que le match contre les Blacks avait eu lieu samedi dernier. Le but, c'est de redémarrer très vite. »
Dès sa conférence de presse de rentrée, début janvier, Fabien Galthié avait à la fois avoué une pointe de nostalgie contemplative attachée à cette victoire de prestige (« Ce n'est pas sans émotion que j'y repense parce que c'était comme un moment suspendu dans le temps, un moment merveilleux ») tout en refermant la parenthèse (« Nous avions dit avant le match contre les Blacks, qu'il ne faudrait pas prendre le "boulard" si nous venions à gagner. Il est clair que nous avons encore besoin de gagner. Il est clair que l'équipe de France doit gagner. »)
En commençant par le Tournoi qui vient. Jusqu'ici, les Bleus de Galthié ont toujours terminé deuxièmes et, comme le disait lui-même l'ancien sélectionneur Bernard Laporte, « deuxième en Europe, ça ne veut rien dire ».
Au classement mondial, la France est d'ailleurs troisième nation européenne, derrière l'Angleterre et l'Irlande. Tout simplement parce que les Anglais ont eu la peau des champions du monde sud-africains en novembre et que si, en France, on se pose la question des retombées d'une victoire contre la Nouvelle-Zélande, on se pose la même à Cork, Dublin ou Kilkenny avec une semaine d'ancienneté en plus, l'Irlande de Farrell ayant devancé le quinze de France dans l'art de faire choir les Blacks à la morte-saison.
(*) Sept titulaires sont communs à ces deux matches : Baille, Willemse, Cros, Alldritt, Dupont, Ntamack, Fickou.
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Dans l'équipe de France de Galthié, il reste encore quelques places à saisir
Laurent Campistron
Fini les revues d'effectif à grande échelle. Terminé les expérimentations et autres reconversions. L'entraîneur de l'attaque tricolore Laurent Labit l'a confirmé la semaine passée sur le camp militaire de Carpiagne, à Aubagne (Bouches-du-Rhône), où les Bleus sont en stage : « Il y aura moins de surprises sur les compositions d'équipe et les façons de jouer. » C'est que l'équipe de France a besoin de certitudes et de repères collectifs éprouvés à l'aube d'entrer dans un Tournoi des Six Nations qu'elle s'est mis en tête de remporter pour bien marquer les esprits à moins de deux ans de la Coupe du monde. Des certitudes, elle en a justement engrangé un maximum à l'automne dernier en terrassant avec la manière les redoutables All Blacks. Il y a donc fort à parier que l'équipe qui défiera l'Italie, dimanche, au Stade de France (16 h), ressemblera beaucoup à celle de novembre. Quelques interrogations subsistent néanmoins sur au moins quatre postes.
Pilier droit - Atonio en ballottage favorable
C'est une combinaison qui avait parfaitement fonctionné à l'automne : le puissant Uini Atonio pour commencer les matches et user l'adversaire, notamment en mêlée, et l'explosif Demba Bamba pour finir le boulot aux alentours de la 50e. Les deux piliers droits devraient se retrouver sur la feuille de match, dimanche, face à l'Italie. D'abord parce que Mohamed Haouas n'a pas été repris dans le groupe des 42 (il devra donc se présenter le 4 février à son procès au tribunal correctionnel de Montpellier pour des cambriolages remontant à 2014), et ensuite parce qu'ils conservent une longueur d'avance sur le Toulousain Dorian Aldegheri. Mais dans quel ordre ? L'absence d'Atonio à la première semaine du stage d'Aubagne pour un léger pépin physique a semé un léger doute. Mais le Rochelais a rejoué en Top 14 ce dernier samedi face à Montpellier (23-29).
Il a même disputé toute la seconde période, plutôt avantageusement. C'est lui qui devrait débuter.
Deuxième-ligne - Vers un retour de Le Roux ?
Rappelez-vous Cameron Woki. De son match face aux All Blacks, en novembre. L'histoire était belle. Celle d'un troisième-ligne reconverti deuxième-ligne qui assure comme une bête à son nouveau poste. Alors, pour ce Tournoi, l'affaire semblait réglée. C'est forcément le Bordelais qui accompagnerait Paul Willemse (à droite) dans la cage. Sauf que Karim Ghezal, le coresponsable de la conquête tricolore, a sérieusement brouillé les pistes d'entrée : « On l'a sélectionné en troisième-ligne. Deuxième-ligne, c'est une option de fin de match qu'on a sous la main. » Mais qui mettre à sa place, alors ? Fastoche. Tout indique Bernard Le Roux (à gauche). C'était d'ailleurs le taulier en n° 4 avant les piges de Woki. Déclassé en novembre, puis blessé (cuisse), l'insatiable guerrier du Racing 92 revient en forme au bon moment. Samedi, il a été l'un des grands artisans du succès de son équipe à Toulouse (15-20). Il n'a donc jamais semblé aussi proche d'un retour aux affaires.
Troisième-ligne - Woki plutôt que Cros ou Jelonch
Si le cas Cameron Woki fait encore débat au sein du staff tricolore, ce n'est pas pour savoir s'il devrait jouer ou pas contre l'Italie mais plutôt à quel poste il faudrait l'aligner. Car il serait surprenant, au regard de ses performances de novembre, que le joueur de l'UBB ne soit pas sur le terrain dimanche. Ghezal, on l'a dit, le préférerait troisième-ligne aile, où sa détente et sa taille donneraient à l'alignement tricolore une plus-value indéniable. Et c'est l'option qui tiendrait la corde. Mais replacer le Bordelais à son poste de prédilection obligerait Fabien Galthié et ses adjoints à taper dans le robuste trio de troisième-ligne alignés cet automne. Ôter du muscle et de la puissance face à l'Italie ne devrait pas ruiner les chances françaises. Mais qui sortir de Grégory Alldritt, Anthony Jelonch et François Cros ? Si l'on se fie à la forme du moment, le Rochelais Alldritt, revenu à son meilleur niveau après un début de saison poussif, est indiscutable en n° 8. Les deux Toulousains, en revanche, sont à l'image de leur club : en manque de rythme. Récemment testés positifs au Covid-19, ils ont d'ailleurs loupé la première semaine du stage des Bleus. Cros, qui a un profil plus proche de Woki que Jelonch, pourrait en faire les frais.
Centre - Un match Danty-Moefana
Absent des tests de novembre, Virimi Vakatawa est de retour dans le groupe France. Mais ses dernières sorties avec le Racing 92, pour la plupart peu convaincantes, ne l'ont pas rendu aussi intouchable à son poste en équipe de France que lors du précédent Tournoi. Laurent Labit ne s'en est pas caché à Aubagne. Pour lui, Gaël Fickou, Jonathan Danty (à gauche) et même Yoram Moefana ont aujourd'hui un temps d'avance sur lui : « On verra au fur et à mesure des semaines quel est son niveau. » Pour l'Italie, Vakatawa semble donc trop juste. Ce qui libère une place de second centre au côté de Gaël Fickou, inamovible en 12 de par son talent et son statut de capitaine de la défense. Ils sont deux à postuler : le Rochelais Danty, impeccable face aux All Blacks en novembre, et le Bordelais Moefana, étincelant avec l'UBB depuis des semaines. Les images des entraînements de la semaine dernière à Aubagne ont souvent montré Moefana avec le n° 13 dans le dos. Peut-être un signe...
Dans l'équipe de France de Galthié, il reste encore quelques places à saisir
Laurent Campistron
Fini les revues d'effectif à grande échelle. Terminé les expérimentations et autres reconversions. L'entraîneur de l'attaque tricolore Laurent Labit l'a confirmé la semaine passée sur le camp militaire de Carpiagne, à Aubagne (Bouches-du-Rhône), où les Bleus sont en stage : « Il y aura moins de surprises sur les compositions d'équipe et les façons de jouer. » C'est que l'équipe de France a besoin de certitudes et de repères collectifs éprouvés à l'aube d'entrer dans un Tournoi des Six Nations qu'elle s'est mis en tête de remporter pour bien marquer les esprits à moins de deux ans de la Coupe du monde. Des certitudes, elle en a justement engrangé un maximum à l'automne dernier en terrassant avec la manière les redoutables All Blacks. Il y a donc fort à parier que l'équipe qui défiera l'Italie, dimanche, au Stade de France (16 h), ressemblera beaucoup à celle de novembre. Quelques interrogations subsistent néanmoins sur au moins quatre postes.
Pilier droit - Atonio en ballottage favorable
C'est une combinaison qui avait parfaitement fonctionné à l'automne : le puissant Uini Atonio pour commencer les matches et user l'adversaire, notamment en mêlée, et l'explosif Demba Bamba pour finir le boulot aux alentours de la 50e. Les deux piliers droits devraient se retrouver sur la feuille de match, dimanche, face à l'Italie. D'abord parce que Mohamed Haouas n'a pas été repris dans le groupe des 42 (il devra donc se présenter le 4 février à son procès au tribunal correctionnel de Montpellier pour des cambriolages remontant à 2014), et ensuite parce qu'ils conservent une longueur d'avance sur le Toulousain Dorian Aldegheri. Mais dans quel ordre ? L'absence d'Atonio à la première semaine du stage d'Aubagne pour un léger pépin physique a semé un léger doute. Mais le Rochelais a rejoué en Top 14 ce dernier samedi face à Montpellier (23-29).
Il a même disputé toute la seconde période, plutôt avantageusement. C'est lui qui devrait débuter.
Deuxième-ligne - Vers un retour de Le Roux ?
Rappelez-vous Cameron Woki. De son match face aux All Blacks, en novembre. L'histoire était belle. Celle d'un troisième-ligne reconverti deuxième-ligne qui assure comme une bête à son nouveau poste. Alors, pour ce Tournoi, l'affaire semblait réglée. C'est forcément le Bordelais qui accompagnerait Paul Willemse (à droite) dans la cage. Sauf que Karim Ghezal, le coresponsable de la conquête tricolore, a sérieusement brouillé les pistes d'entrée : « On l'a sélectionné en troisième-ligne. Deuxième-ligne, c'est une option de fin de match qu'on a sous la main. » Mais qui mettre à sa place, alors ? Fastoche. Tout indique Bernard Le Roux (à gauche). C'était d'ailleurs le taulier en n° 4 avant les piges de Woki. Déclassé en novembre, puis blessé (cuisse), l'insatiable guerrier du Racing 92 revient en forme au bon moment. Samedi, il a été l'un des grands artisans du succès de son équipe à Toulouse (15-20). Il n'a donc jamais semblé aussi proche d'un retour aux affaires.
Troisième-ligne - Woki plutôt que Cros ou Jelonch
Si le cas Cameron Woki fait encore débat au sein du staff tricolore, ce n'est pas pour savoir s'il devrait jouer ou pas contre l'Italie mais plutôt à quel poste il faudrait l'aligner. Car il serait surprenant, au regard de ses performances de novembre, que le joueur de l'UBB ne soit pas sur le terrain dimanche. Ghezal, on l'a dit, le préférerait troisième-ligne aile, où sa détente et sa taille donneraient à l'alignement tricolore une plus-value indéniable. Et c'est l'option qui tiendrait la corde. Mais replacer le Bordelais à son poste de prédilection obligerait Fabien Galthié et ses adjoints à taper dans le robuste trio de troisième-ligne alignés cet automne. Ôter du muscle et de la puissance face à l'Italie ne devrait pas ruiner les chances françaises. Mais qui sortir de Grégory Alldritt, Anthony Jelonch et François Cros ? Si l'on se fie à la forme du moment, le Rochelais Alldritt, revenu à son meilleur niveau après un début de saison poussif, est indiscutable en n° 8. Les deux Toulousains, en revanche, sont à l'image de leur club : en manque de rythme. Récemment testés positifs au Covid-19, ils ont d'ailleurs loupé la première semaine du stage des Bleus. Cros, qui a un profil plus proche de Woki que Jelonch, pourrait en faire les frais.
Centre - Un match Danty-Moefana
Absent des tests de novembre, Virimi Vakatawa est de retour dans le groupe France. Mais ses dernières sorties avec le Racing 92, pour la plupart peu convaincantes, ne l'ont pas rendu aussi intouchable à son poste en équipe de France que lors du précédent Tournoi. Laurent Labit ne s'en est pas caché à Aubagne. Pour lui, Gaël Fickou, Jonathan Danty (à gauche) et même Yoram Moefana ont aujourd'hui un temps d'avance sur lui : « On verra au fur et à mesure des semaines quel est son niveau. » Pour l'Italie, Vakatawa semble donc trop juste. Ce qui libère une place de second centre au côté de Gaël Fickou, inamovible en 12 de par son talent et son statut de capitaine de la défense. Ils sont deux à postuler : le Rochelais Danty, impeccable face aux All Blacks en novembre, et le Bordelais Moefana, étincelant avec l'UBB depuis des semaines. Les images des entraînements de la semaine dernière à Aubagne ont souvent montré Moefana avec le n° 13 dans le dos. Peut-être un signe...
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Il est enfin l'heure de donner une place de titulaire à Moefana, avant cette coupe du monde, il est plus que logique de lui donner l'opportunité de prouver sa valeur.
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https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Ecosse-angleterre-des-fleurs-des-roses-et-des-epines/1313269
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Scalp a écrit:Il est enfin l'heure de donner une place de titulaire à Moefana, avant cette coupe du monde, il est plus que logique de lui donner l'opportunité de prouver sa valeur.
Je crois effectivement qu'il a une vraie opportunité. S'il joue plus souvent en 12 chez nous qu'en 13, le staff des bleus le voit plus comme un second centre. Et du coup, c'est sa chance.
J'ai l'impression que le staff veut faire jouer Fickou au poste où il leur semble le meilleur à savoir 12. Comme Danty est un 12 exclusif, ça ouvre clairement la porte à Moefana pour une titu en 13.
S'il fait un bon match (en plus des entraînements) ça va rebattre les cartes avec les blessés, absents ou en méforme (Vincent, Barassi et Vakatawa).
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Scalp a écrit:Il est enfin l'heure de donner une place de titulaire à Moefana, avant cette coupe du monde, il est plus que logique de lui donner l'opportunité de prouver sa valeur.
Carrément il est plus complet que danty et il peut jouer sur le poste de 12 et 13.
Je vois biens moefana titu et danty sur le banc comme impact player au centre. Wakatawa comme je l'ais déjà signalé il est à des années lumières de son niveau d'il y a 2 ans
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Roberto Miopalmo a écrit:Scalp a écrit:Il est enfin l'heure de donner une place de titulaire à Moefana, avant cette coupe du monde, il est plus que logique de lui donner l'opportunité de prouver sa valeur.
Je crois effectivement qu'il a une vraie opportunité. S'il joue plus souvent en 12 chez nous qu'en 13, le staff des bleus le voit plus comme un second centre. Et du coup, c'est sa chance.
J'ai l'impression que le staff veut faire jouer Fickou au poste où il leur semble le meilleur à savoir 12. Comme Danty est un 12 exclusif, ça ouvre clairement la porte à Moefana pour une titu en 13.
S'il fait un bon match (en plus des entraînements) ça va rebattre les cartes avec les blessés, absents ou en méforme (Vincent, Barassi et Vakatawa).
Le paradoxe je trouve, c'est que l'équipe de France avait un peu cassé sa dynamique, en l'appelant et en ne le faisant pas jouer, alors qu'il était en pleine bourre et qu'il avait besoin d'enchainer les matchs, ça et évidement aussi les blessures. Depuis, je trouve que tout en gardant ses qualités, il a beaucoup progressé dans sa capacité à donner de la continuité au jeu derrière lui, il a gagné en maturité, il lui faut maintenant être mis à l'épreuve de matchs internationaux en position de titulaire, pour valider cette progression et monter qu'il peut être mieux qu'une alternative.
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Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Complètement d'accord, Danty a un très bon profil d'impact player, Moefana tout en étant quand même costaud est plus technique et plus intelligent dans son jeu.nadoloubb a écrit:Scalp a écrit:Il est enfin l'heure de donner une place de titulaire à Moefana, avant cette coupe du monde, il est plus que logique de lui donner l'opportunité de prouver sa valeur.
Carrément il est plus complet que danty et il peut jouer sur le poste de 12 et 13.
Je vois biens moefana titu et danty sur le banc comme impact player au centre. Wakatawa comme je l'ais déjà signalé il est à des années lumières de son niveau d'il y a 2 ans
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