Re: Barrage Top14 : Racing 92 / Stade Français

**Scalp** Ven 11 Juin 2021 - 20:27

densnewzealand a écrit:
Scalp a écrit:Je pense que Le Racing va gagner ce soir et je l'espère vivement, le SF de Wild me tape vraiment sur le système...

l'affaire du stage covid friendly de début de saison, le jettage à la poubelle en challenge cup, la morgue de Lombard, la liste est longue pour ce club qui ne m'inspire rien.

Même Quesada qui m'était plutôt sympathique avant, me sort par les yeux, rien à sauver, je suis bien d'accord avec toi :chambreur:

**guillaume ubb** Ven 11 Juin 2021 - 21:06

Racing propre, efficace et fluide : impressionnant!

Tant mieux, et tant pis pour la future meilleure équipe au monde lol

3 essais en 19 min...

**Big'Ben** Ven 11 Juin 2021 - 21:36

28 à 0... Je ne crois pas avoir déjà vu un spectacle aussi navrant d'une des deux équipes en phases finales de top 14.

**Scalp** Ven 11 Juin 2021 - 21:36

Quelle tôle Shocked

le Racing impressionnant, le SF à son niveau des dernières saisons :chambreur:

**sudiste** Ven 11 Juin 2021 - 21:40

La place du SF en barrage est largement usurpée .... Twisted Evil

**guillaume ubb** Ven 11 Juin 2021 - 21:51

sudiste a écrit:La place du SF en barrage est largement usurpée ....

Il est vrai qu'entre Castre, Toulon et le stade Français, c'est le stade Français que j'aime le moins. Tout comme Montpellier

**patrick** Sam 12 Juin 2021 - 7:40

Je vois le Stade Français comme un club de touristes venus à Paris pour profiter de ses plaisirs ... Ils sont capables du meilleur un jour d'euphorie, comme du pire. Hier les Jacky boys les ont ramenés sur terre en 30'.

léopold Sam 12 Juin 2021 - 8:14

Pas grand chose à en tirer, il est vrai qu'avec la pluie de fautes attribuées en 1er mi-temps ce brave Charabas à facilité la chose, à 13 contre 15 parfois, il faut d'ailleurs attendre la nième pénalité des bleus pour qu'il sorte une biscotte, cette série de fautes à proximité de leur ligne aurait du valoir un essai de pénalité assorti d'un carton.
Bien sur Leroux, Lauret font ce qu'ils veulent, des plaquages hauts plus coupable que celui de Marais ou de Cazeau il y en eut plusieurs, ainsi que des plaquages en l'air.
La victoire est logique mais je penses que le Racing n'a rien à voir avec le niveau du ST ou de LR.
Je trouve ces "parisiens" bien puants.

**Scalp** Sam 12 Juin 2021 - 8:26

Le Racing 92 se qualifie en demi-finale en battant le Stade Français

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Le-racing-92-se-qualifie-en-demi-finale-en-battant-le-stade-francais/1261497

**Scalp** Sam 12 Juin 2021 - 8:27

Gonzalo Quesada (Stade Français) : « On s'est sortis du match » face au Racing

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Gonzalo-quesada-stade-francais-on-s-est-sortis-du-match-face-au-racing/1261521

**Scalp** Sam 12 Juin 2021 - 8:27

Laurent Travers (Racing 92) : « Nous avons été très réalistes » face au Stade Français

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Laurent-travers-racing-92-nous-avons-ete-tres-realistes-face-au-stade-francais/1261525

**Scalp** Sam 12 Juin 2021 - 8:29

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Les-tops-flops-de-racing-92-stade-francais-machenaud-radieux-nayacalevu-depasse/1261531

Les tops-flops de Racing 92-Stade Français : Machenaud radieux, Nayacalevu dépassé

Les Racingmen ont joué plus juste, dans le sillage d'un excellent Maxime Machenaud, alors que les Parisiens, à l'image d'un Waisea Nayacalevu qui a certes cherché à se rebeller en seconde période, sont totalement passés au travers de leur début de match.

P. P. 12 juin 2021

Les tops

Ibrahim Diallo

Dix-huit plaquages, le meilleur total du match pour ce combattant infatigable, très précieux en touche à l'image de ce ballon volé sur un lancer adverse (37e) lors de l'un des rares temps forts parisiens de la première période. Très solide à l'impact, très propre, sobre, il a été un poison permanent, notamment dans la zone de Joris Segonds, et a régné sur ce match, à l'image de toute la troisième ligne du Racing qui a pris le dessus sur celle des Parisiens.

Maxime Machenaud

Il y a bien sûr sa réussite au pied (5/5), son essai en bout de course, également, après un service parfait de Yoan Tanga (18e). Mais Maxime Machenaud n'a pas fait qu'alimenter la marque et ses 15 points ne sont qu'une partie infime de la mainmise du demi de mêlée a eu sur ce barrage pendant trois gros quarts d'heure. Très juste dans son animation, impeccable dans son rôle de meneur d'hommes, il a bonifié tous les ballons qu'il a touchés. Sa sortie à la 49e minute, remplacé par Nolann Le Garrec, a d'ailleurs coïncidé avec la mauvaise période des Ciel et Blanc.

Gaël Fickou

Ce n'était pas un match aisé à aborder et à jouer pour celui qui jouait au Stade Français il y a encore trois mois, et dont le « transfert » a beaucoup fait causer, surtout négativement. Gaël Fickou l'a attaqué de la meilleure des manières, s'engouffrant à pleine vitesse dans l'intervalle ouvert par Nayacalevu (5e) pour ouvrir le score, puis décalant d'une passe sur un pas son pote Teddy Thomas sur le deuxième essai (11e). Ensuite, il a fait sobre et a beaucoup contribué à gêner l'attaque parisienne par ses montées rapides.

Les flops

Waisea Nayacalevu

Une première mi-temps cauchemardesque pour le centre fidjien coupable, dès la 5e minute, d'une montée anticipée en défense qui ouvre l'intervalle sur l'essai de Gaël Fickou. Pénalisé pour une faute en l'air sur Dominic Bird (9e) puis à deux reprises dans des rucks (10e, 25e), il est apparu fébrile, agacé par les décisions de l'arbitre. Pas exempt de reproches en défense sur Fickou (29e) à l'origine de l'essai de Simon Zebo, il a essayé de se racheter en deuxième mi-temps et même inscrit un essai dans son style caractéristique (66e), tout en puissance. Il a allumé plusieurs autres mèches, sans pouvoir faire basculer la rencontre.

Sefanaia Naivalu

Il a cafouillé son premier ballon, dès la première minute, alors que la pression de Donovan Taofifenua ne représentait pas une menace immédiate. Il a ensuite plaqué en l'air Kurtley Beale, ce qui lui a valu un carton jaune (22e). Sefanaia Naivalu, comme tous les Parisiens, est passé à côté de sa première période et a largement participé à la fébrilité ambiante. Avec son essai de la 48e minute, il s'est bien sûr un peu racheté. Mais il avait trop gâché pendant 40 minutes pour ne pas être montré du doigt lors de ce barrage.

Marcos Kremer

Il n'était pas titulaire au coup d'envoi, et l'Argentin, entré au relais de son compatriote Pablo Matera dès la 22e minute, a eu du mal à trouver ses marques. Quatre plaquages manqués (pour seulement deux réussis), une activité souvent brouillonne, il n'a pas pesé autant qu'à son habitude, et n'a jamais provoqué de véritables différences, quand Sekou Macalou lui, a par exemple trouvé la force de se rebeller en seconde période.

**Scalp** Sam 12 Juin 2021 - 8:35

Boris Palu (Racing, qualifié pour les demi-finales) : « On avait besoin de se sentir forts »

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Boris-palu-racing-qualifie-pour-les-demi-finales-on-avait-besoin-de-se-sentir-forts/1261538

**Scalp** Sam 12 Juin 2021 - 8:36

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/barrages-top-14-le-racing-se-defait-du-stade-francais-rejoint-la-rochelle-en-demi-finale-3713389.php

Barrages Top 14 : le Racing se défait du Stade Français rejoint La Rochelle en demi-finale

Par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial

Auteurs de quatre essais dans le seul premier acte, les Franciliens ont jugulé la réaction parisienne pour assurer leur présence en demi-finale à Lille

Petit message à l’attention des Basques de l’Aviron et du BO qui en découdront ce samedi à Aguilera pour une place en Top 14. Si l’adage veut qu’un derby nivelle les valeurs, cela n’a rien d’une science exacte. Dernier qualifié pour les phases finales, par la grâce d’une victoire à Bayonne, le Stade Français en a fait l’amère expérience face à une équipe qui n’était jamais sortie du Top 6. Il a été tout simplement dispersé façon puzzle en l’espace d’une mi-temps par un Racing qui s’est ouvert les portes des demi-finales à Lille.

Dans le Nord, les Franciliens affronteront le Stade Rochelais vendredi soir. Probablement installés devant leur télé, Jono Gibbes et Ronan O’Gara n’ont pas loupé une miette du cavalier seul de leur futur adversaire. Mais les techniciens maritimes n’ont pas appris grand chose pour autant. Si on lui offre l’opportunité de jouer avec de la vitesse, le Racing, porté par le talent de Finn Russell, se transforme en candidat crédible au Brennus. Mais ils auront peut-être aperçu des pistes de travail au cours d’un second acte décousu.

Le Stade Français, lui, n’a pas trouvé la force de s’opposer à son rival. Ou bien trop tard… Alors bien sûr, la petite rivalité opposant les deux clubs de la Capitale est tout juste balbutiante comparée à celle qui a consumé les esprits tout au long de la semaine au sud de l’Adour. Mais peu à peu, Parisiens et Franciliens forgent à leur tour des anecdotes qui attiseront sarcasmes et aigreur. Et on ne prend pas beaucoup de risques en affirmant que Gaël Fickou est le personnage central de la dernière en date.

Coucou, c’est Fickou

Le centre international s’était soigneusement tenu à distance des micros cette semaine. Mais cette discrétion s’est limitée au périmètre des salles de presse. Il ne lui a fallu que 4 petites minutes (et 24 secondes) pour allumer les premiers « Fickou, Fickou, Fickou ».

Une réponse aux sifflements parisiens qui avaient accompagné l’énonciation de son nom lors de l’annonce des compositions d’équipes. Mais surtout une réaction à la prise d’intervalle autoritaire, derrière une mêlée à cinq mètres, qui lui a permis de marquer le premier essai de cette soirée (7-0, 5e).

Un gros plan de la réalisation TV a permis de figer le visage dépité de Gonzalo Quesada. Il a dû le rester tout au long de ce premier acte. Son équipe, dont les chances dépendaient de sa capacité à imposer son tempo, a été reléguée au rang de simple spectatrice de son propre barrage.

Après 28 minutes de jeu, le Racing avait déjà inscrit autant de points grâce aux essais de Teddy Thomas (14-0, 11e), Maxime Machenaud (21-0, 17e) et Simon Zebo (28-0, 28e). Une claque relevée par l’indiscipline de Parisiens qui ont écopé de deux cartons jaunes en l’espace de quatre minutes (Naivalu, 21e ; Latu, 25e).

À la pause, l’idée d’un retour du suspense relevait de l’illusion. Elle s’est dissipée après seulement trois minutes lorsque Hassane Kolingar a jailli d’un ballon porté pour aplatir sous le nez de parisiens apathiques (33-0, 43e). Sur le terrain, les Franciliens ont certainement tiré les mêmes conclusions. Car leur relâchement a donné au Stade Français l’occasion de relever le menton dans ce second acte.

Une réaction d’orgueil récompensée par trois essais de Naivalu (35-7, 47e), Macalou (38-12, 62e) et Waisea (38-12, 65e) face à des Racingmen à leur tour handicapés par une double infériorité numérique suite aux exclusions de Dominic Bird (58e) et Teddy Thomas (65e). Mais ce final n’aura finalement servi qu’à alimenter les histoires que se raconteront les supporteurs avant les prochains épisodes des duels entre le Racing et le Stade Français. Ainsi perdurent les derbys…

**Scalp** Sam 12 Juin 2021 - 8:46

L’antisèche : la guerre-éclair du Racing

https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2020-2021/top-14-lantiseche-la-guerre-eclair-du-racing_sto8369975/story.shtml

**Scalp** Sam 12 Juin 2021 - 8:54

VIDEO. Top 14. Comme un symbole, c'est Gaël Fickou qui marque en raffutant Danty

https://www.lerugbynistere.fr/videos/video-top-14-comme-un-symbole-cest-gael-fickou-qui-marque-en-raffutant-danty-1106212102.php

**Scalp** Sam 12 Juin 2021 - 8:58

**Scalp** Sam 12 Juin 2021 - 10:02

Fickou et Gomes-Sa au rendez-vous… Les notes du Racing 92

https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2020-2021/top-14-gael-fickou-et-cedate-gomes-sa-au-rendez-vous.-les-notes-du-racing-92_sto8369970/story.shtml

**Scalp** Sam 12 Juin 2021 - 10:20

https://www.midi-olympique.fr/2021/06/11/le-racing-etait-trop-fort-9601178.php

Le Racing était trop fort

Dominateur devant, irrésistible derrière, le Racing a réalisé un match convaincant face à des Soldats roses globalement dépassés, pour s'imposer comme le nouvel épouvantail de cette fin de saison...

Le postulat de départ était hautement défavorable au Stade français : pour respecter le quota de Jiff imposé par la Ligue (16 joueurs issus de la formation française en moyenne par feuille de match) et éviter de débuter la saison prochaine avec des points en moins et des pénalités financières, les Parisiens avaient dû se passer des services de plusieurs de leurs stars et, si Adrien Lapègue débutait vendredi soir en lieu et place de Telusa Veainu, ce choix n'était évidemment pas dicté par des raisons sportives. Aussi absurde soit-il, si Yoann Maestri n'avait pas déclaré forfait sur blessure, Marcos Kremer, international argentin et révélation du début de saison, n'aurait même pas été remplaçant.

Dans ces conditions, qui aurait misé un kopeck sur les coéquipiers de Paul Alo-Emile ? Sûrement pas les bookmakers du vieux continent, qui avaient tous coté les Parisiens à 4,20, soit un quotient indéniablement ridicule pour qui connaît un peu le monde du pari sportif. Alors ? Il est des fois où la rationalité s'applique évidemment au sport et, comme on pouvait s'y attendre, les Soldats roses ont pris l'eau de toutes parts face à l'un des trois plus beaux collectifs de l'Hexagone.

Le Racing, sainte mère ? Il réalisa un tel début de match (trente points en trente minutes !) qu'on n'eut d'autre choix que de reconnaître que lorsque le paquet d'avants francilien est dominateur comme ce fut le cas vendredi soir, se met alors en place une irrépressible machine à broyer, servie par l'une des plus belles lignes de trois-quarts de la planète. Quel pied, nom de Dieu ! Et quel spectacle de fin gourmet, lorsque Finn Russell, Teddy Thomas, Gaël Fickou et consorts se mettent à jouer sur un même tempo ! Vendredi soir, dans une arène bruyante comme on avait oublié qu'elle pouvait l'être, les Racingmen ont donc levé les quelques doutes que l'on avait à leur propos, après la défaite en quarts de finale de Champions Cup : oui, le Racing a la densité suffisante pour rivaliser avec les cinq de devant les mieux équipés du championnat ; non, les Franciliens ne souffriront pas de la comparaison face aux colosses rochelais, en terres lilloises.

« Je veux être champion de France ! », disait d'ailleurs Laurent Travers avant ce derby. Et, même si les dernières vingt minutes de cette rencontre où des Ciel et Blanc en roue libre ont permis à Waisea de prendre des intervalles et aux Soldats roses d'aplatir trois essais, le Racing a vendredi soir hurlé à la gueule de ses concurrents qu'il incarnait, avec Ibou Diallo, Bernard Le Roux ou Eddy Ben Arous dans son fourreau, Gaël Fickou, Virimi Vakatawa et Finn Russell dans son carquois, l'ogre aux bottes de sept lieues qu'il n'aurait jamais dû cesser d'être...

Marc DUZAN

**sudiste** Sam 12 Juin 2021 - 10:35

Dans les "flops" côté ST je mettrais en priorité Danty qui a semblé absent tout le match ...enrhumé par Fickou, pénalisé à plusieurs reprises (multiplication de fautes qui entrainera le 1er CJ) il n'a jamais franchi

**Scalp** Sam 12 Juin 2021 - 11:12

Macalou a surnagé, la charnière a coulé... Les notes du Stade français

https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2020-2021/top-14-macalou-a-surnage-la-charniere-a-coule.-les-notes-du-stade-francais_sto8370021/story.shtml

**Scalp** Sam 12 Juin 2021 - 11:14

Racing 92. Même maul ? Écran ? L'essai de Kolingar était-il valable ? [VIDÉO]

https://www.lerugbynistere.fr/regles/racing-92-meme-maul-ecran-lessai-de-kolingar-etait-il-valable-video-1206211035.php

Contenu sponsorisé