Préparation de la saison 2021-2022

C’est cool de revoir Kitwanga et les autres jeunes. C’est peut etre sous la contrainte des nombreux absents mais ca peut etre un signal fort envoyé par CU et le staff pour leur faire comprendre que cette annee il compte bcp sur eux et qu’ils doivent saisir leur chance

grospaquet31 a écrit:C’est cool de revoir Kitwanga et les autres jeunes. C’est peut etre sous la contrainte des nombreux absents mais ca peut etre un signal fort envoyé par CU et le staff pour leur faire comprendre que cette annee il compte bcp sur eux et qu’ils doivent saisir leur chance

De toutes façons, il n'y a pas de mystère, l'avenir des clubs et surtout de clubs comme l'UBB (qui n'ont pas des moyens quasi-illimités pour recruter des JIFF confirmés) c'est la formation et les jeunes. Or pour avoir des jeunes capable de prendre la suite de leurs aînés, il faut qu'ils se fassent la main et qu'ils prennent de l'expérience, c'est à dire qu'ils jouent. Pas le choix, donc ! Pour une fois on peut regarder du côté de clubs comme Toulouse qui ont fait confiance à de (très) jeunes joueurs qui petit à petit ont intégré les pros pour finir par devenir des cadres ou l'être peut-être bientôt, à l'instar des Castets, Baille, Aldegheri, Marchand, Neti, RNT, Lebel, Ramos...etc.

Chez nous, on a beaucoup tenté ces dernières années avec des jeunes mais je trouve que le "taux de transformation", c'est à dire le nombre de jeunes, formés ou recrutés (très) jeunes, qui sont devenus pros et jouent régulièrement avec les pros, n'est pas encore assez élevé. On a eu quelques belles réussites, comme Serin, Paiva, Woki, Jalibert ou Cros, mais aussi des échecs avec des joueurs qui soit ont éclos mais ailleurs soit n'ont pas réussi à éclore (Germain, Kamikamica, Labouteley, Lespinasse, El Fakir, Saubusse, Doubrère, Lainault, L. Blanc, Riva, Dulon...).
Nous avons été champions de France Espoirs en 2016, et cela n'a quasiment eu aucun effet derrière. Que reste t-il de cette génération ? A part Paiva et Tauleigne, qui ont fini par percer en pro, auquel on peut ajouter Kamikamica (mais à Brive désormais), il semble que bien peu ait fini par éclore eu haut-niveau. Est-ce que tous ces jeunes n'avaient pas le niveau et le potentiel pour jouer en Top14 ? Ou que l'UBB n'a pas su les amener à ce niveau ?

Peut-être que les exemples d'Uberti et Lamothe amènent une part de solution : identifier (très) tôt les jeunes qui ont du potentiel mais qui n'ont pas de place immédiate chez les pros, les prêter 2 ou 3 saison à un club de bas de Top14 ou de ProD2, les laisser prendre de l'expérience, et les "récupérer" ensuite. Un deal gagnant-gagnant, car le club qui a formé le joueur garde la "main mise" dessus et récupère à terme un joueur avec un peu d'expérience qui est prêt à jouer en Top14, le club qui se voit prêter un joueur peut profiter pendant 2 ou 3 saisons d'un potentiel talent qui peut éclore et aider le club, et le joueur, lui, peut profiter d'un bon temps de jeu pour gagner en expérience et évoluer.

Switch a écrit:

grospaquet31 a écrit:C’est cool de revoir Kitwanga et les autres jeunes. C’est peut etre sous la contrainte des nombreux absents mais ca peut etre un signal fort envoyé par CU et le staff pour leur faire comprendre que cette annee il compte bcp sur eux et qu’ils doivent saisir leur chance

De toutes façons, il n'y a pas de mystère, l'avenir des clubs et surtout de clubs comme l'UBB (qui n'ont pas des moyens quasi-illimités pour recruter des JIFF confirmés) c'est la formation et les jeunes. Or pour avoir des jeunes capable de prendre la suite de leurs aînés, il faut qu'ils se fassent la main et qu'ils prennent de l'expérience, c'est à dire qu'ils jouent. Pas le choix, donc ! Pour une fois on peut regarder du côté de clubs comme Toulouse qui ont fait confiance à de (très) jeunes joueurs qui petit à petit ont intégré les pros pour finir par devenir des cadres ou l'être peut-être bientôt, à l'instar des Castets, Baille, Aldegheri, Marchand, Neti, RNT, Lebel, Ramos...etc.

Chez nous, on a beaucoup tenté ces dernières années avec des jeunes mais je trouve que le "taux de transformation", c'est à dire le nombre de jeunes, formés ou recrutés (très) jeunes, qui sont devenus pros et jouent régulièrement avec les pros, n'est pas encore assez élevé. On a eu quelques belles réussites, comme Serin, Paiva, Woki, Jalibert ou Cros, mais aussi des échecs avec des joueurs qui soit ont éclos mais ailleurs soit n'ont pas réussi à éclore (Germain, Kamikamica, Labouteley, Lespinasse, El Fakir, Saubusse, Doubrère, Lainault, L. Blanc, Riva, Dulon...).
Nous avons été champions de France Espoirs en 2016, et cela n'a quasiment eu aucun effet derrière. Que reste t-il de cette génération ? A part Paiva et Tauleigne, qui ont fini par percer en pro, auquel on peut ajouter Kamikamica (mais à Brive désormais), il semble que bien peu ait fini par éclore eu haut-niveau. Est-ce que tous ces jeunes n'avaient pas le niveau et le potentiel pour jouer en Top14 ? Ou que l'UBB n'a pas su les amener à ce niveau ?

Peut-être que les exemples d'Uberti et Lamothe amènent une part de solution : identifier (très) tôt les jeunes qui ont du potentiel mais qui n'ont pas de place immédiate chez les pros, les prêter 2 ou 3 saison à un club de bas de Top14 ou de ProD2, les laisser prendre de l'expérience, et les "récupérer" ensuite. Un deal gagnant-gagnant, car le club qui a formé le joueur garde la "main mise" dessus et récupère à terme un joueur avec un peu d'expérience qui est prêt à jouer en Top14, le club qui se voit prêter un joueur peut profiter pendant 2 ou 3 saisons d'un potentiel talent qui peut éclore et aider le club, et le joueur, lui, peut profiter d'un bon temps de jeu pour gagner en expérience et évoluer.

En 2016 il avait surtout un beau collectif bien emmené par Ortiz avec des individualités qui ont finis pro (plus pro d2 que top 14) : Thierry Paiva, Thomas Lainault, Marco Tauleigne, Gauthier Doubrère, Lucas Lebraud, Paulin Riva, Lucas Blanc, Kitione Kamikamica, Erwan Nicolas.

Pour moi ils n'avaient pas le niveau le top 14 ou la mentalité pour être pro, l'exemple le plus frappant c'est l'évolution entre lespinasse et tauleigne. Lespi quand il est arrivé en espoir il était en avance sur marco (notamment physiquement),il avait énormément de qualité pour être un grand numéro 7. Marco lui était en surpoids. Sauf que lespi n'a jamais voulu se mettre en mode haut niveau tandis que marco après un temps d'adaptation s'y est filé très fort et a percé.

Je trouve quand même qu'on se trompe moins quand on recrute des bons u20 : woki, hulleu, cros, buros, moefana,

Après les prêts je suis d'accord par contre il ne faut pas en abuser, en effet autant je n'ai pas compris pourquoi on a pas reprêté Kamikamica, par contre je trouve que uberti a "perdu" une année et qu'il était apte à jouer en top 14.

nadoloubb a écrit:

Switch a écrit:

grospaquet31 a écrit:C’est cool de revoir Kitwanga et les autres jeunes. C’est peut etre sous la contrainte des nombreux absents mais ca peut etre un signal fort envoyé par CU et le staff pour leur faire comprendre que cette annee il compte bcp sur eux et qu’ils doivent saisir leur chance

De toutes façons, il n'y a pas de mystère, l'avenir des clubs et surtout de clubs comme l'UBB (qui n'ont pas des moyens quasi-illimités pour recruter des JIFF confirmés) c'est la formation et les jeunes. Or pour avoir des jeunes capable de prendre la suite de leurs aînés, il faut qu'ils se fassent la main et qu'ils prennent de l'expérience, c'est à dire qu'ils jouent. Pas le choix, donc ! Pour une fois on peut regarder du côté de clubs comme Toulouse qui ont fait confiance à de (très) jeunes joueurs qui petit à petit ont intégré les pros pour finir par devenir des cadres ou l'être peut-être bientôt, à l'instar des Castets, Baille, Aldegheri, Marchand, Neti, RNT, Lebel, Ramos...etc.

Chez nous, on a beaucoup tenté ces dernières années avec des jeunes mais je trouve que le "taux de transformation", c'est à dire le nombre de jeunes, formés ou recrutés (très) jeunes, qui sont devenus pros et jouent régulièrement avec les pros, n'est pas encore assez élevé. On a eu quelques belles réussites, comme Serin, Paiva, Woki, Jalibert ou Cros, mais aussi des échecs avec des joueurs qui soit ont éclos mais ailleurs soit n'ont pas réussi à éclore (Germain, Kamikamica, Labouteley, Lespinasse, El Fakir, Saubusse, Doubrère, Lainault, L. Blanc, Riva, Dulon...).
Nous avons été champions de France Espoirs en 2016, et cela n'a quasiment eu aucun effet derrière. Que reste t-il de cette génération ? A part Paiva et Tauleigne, qui ont fini par percer en pro, auquel on peut ajouter Kamikamica (mais à Brive désormais), il semble que bien peu ait fini par éclore eu haut-niveau. Est-ce que tous ces jeunes n'avaient pas le niveau et le potentiel pour jouer en Top14 ? Ou que l'UBB n'a pas su les amener à ce niveau ?

Peut-être que les exemples d'Uberti et Lamothe amènent une part de solution : identifier (très) tôt les jeunes qui ont du potentiel mais qui n'ont pas de place immédiate chez les pros, les prêter 2 ou 3 saison à un club de bas de Top14 ou de ProD2, les laisser prendre de l'expérience, et les "récupérer" ensuite. Un deal gagnant-gagnant, car le club qui a formé le joueur garde la "main mise" dessus et récupère à terme un joueur avec un peu d'expérience qui est prêt à jouer en Top14, le club qui se voit prêter un joueur peut profiter pendant 2 ou 3 saisons d'un potentiel talent qui peut éclore et aider le club, et le joueur, lui, peut profiter d'un bon temps de jeu pour gagner en expérience et évoluer.

En 2016 il avait surtout un beau collectif bien emmené par Ortiz avec des individualités qui ont finis pro (plus pro d2 que top 14) : Thierry Paiva, Thomas Lainault, Marco Tauleigne, Gauthier Doubrère, Lucas Lebraud, Paulin Riva, Lucas Blanc, Kitione Kamikamica, Erwan Nicolas.

Pour moi ils n'avaient pas le niveau le top 14 ou la mentalité pour être pro, l'exemple le plus frappant c'est l'évolution entre lespinasse et tauleigne. Lespi quand il est arrivé en espoir il était en avance sur marco (notamment physiquement),il avait énormément de qualité pour être un grand numéro 7. Marco lui était en surpoids. Sauf que lespi n'a jamais voulu se mettre en mode haut niveau tandis que marco après un temps d'adaptation s'y est filé très fort et a percé.

Je trouve quand même qu'on se trompe moins quand on recrute des bons u20 : woki, hulleu, cros, buros, moefana,

Après les prêts je suis d'accord par contre il ne faut pas en abuser, en effet autant je n'ai pas compris pourquoi on a pas reprêté Kamikamica, par contre je trouve que uberti a "perdu" une année et qu'il était apte à jouer en top 14.

C'est pas qu'une question de "prêt à jouer en Top14" ou pas. C'est aussi une question de "avait-on une vraie place à lui offre dans l'effectif ?". Une vraie place, et pas un bout de match de temps en temps, sous peine de quoi le jeune finit par se barrer ailleurs où on pourra lui offrir mieux. Il faut donc à minima 2 facteurs pour que ça marche pour un jeune : qu'il soit au niveau pour jouer en Top14 et qu'il y ait une place pour lui dans l'effectif.

Switch a écrit:

nadoloubb a écrit:

Switch a écrit:

grospaquet31 a écrit:C’est cool de revoir Kitwanga et les autres jeunes. C’est peut etre sous la contrainte des nombreux absents mais ca peut etre un signal fort envoyé par CU et le staff pour leur faire comprendre que cette annee il compte bcp sur eux et qu’ils doivent saisir leur chance

De toutes façons, il n'y a pas de mystère, l'avenir des clubs et surtout de clubs comme l'UBB (qui n'ont pas des moyens quasi-illimités pour recruter des JIFF confirmés) c'est la formation et les jeunes. Or pour avoir des jeunes capable de prendre la suite de leurs aînés, il faut qu'ils se fassent la main et qu'ils prennent de l'expérience, c'est à dire qu'ils jouent. Pas le choix, donc ! Pour une fois on peut regarder du côté de clubs comme Toulouse qui ont fait confiance à de (très) jeunes joueurs qui petit à petit ont intégré les pros pour finir par devenir des cadres ou l'être peut-être bientôt, à l'instar des Castets, Baille, Aldegheri, Marchand, Neti, RNT, Lebel, Ramos...etc.

Chez nous, on a beaucoup tenté ces dernières années avec des jeunes mais je trouve que le "taux de transformation", c'est à dire le nombre de jeunes, formés ou recrutés (très) jeunes, qui sont devenus pros et jouent régulièrement avec les pros, n'est pas encore assez élevé. On a eu quelques belles réussites, comme Serin, Paiva, Woki, Jalibert ou Cros, mais aussi des échecs avec des joueurs qui soit ont éclos mais ailleurs soit n'ont pas réussi à éclore (Germain, Kamikamica, Labouteley, Lespinasse, El Fakir, Saubusse, Doubrère, Lainault, L. Blanc, Riva, Dulon...).
Nous avons été champions de France Espoirs en 2016, et cela n'a quasiment eu aucun effet derrière. Que reste t-il de cette génération ? A part Paiva et Tauleigne, qui ont fini par percer en pro, auquel on peut ajouter Kamikamica (mais à Brive désormais), il semble que bien peu ait fini par éclore eu haut-niveau. Est-ce que tous ces jeunes n'avaient pas le niveau et le potentiel pour jouer en Top14 ? Ou que l'UBB n'a pas su les amener à ce niveau ?

Peut-être que les exemples d'Uberti et Lamothe amènent une part de solution : identifier (très) tôt les jeunes qui ont du potentiel mais qui n'ont pas de place immédiate chez les pros, les prêter 2 ou 3 saison à un club de bas de Top14 ou de ProD2, les laisser prendre de l'expérience, et les "récupérer" ensuite. Un deal gagnant-gagnant, car le club qui a formé le joueur garde la "main mise" dessus et récupère à terme un joueur avec un peu d'expérience qui est prêt à jouer en Top14, le club qui se voit prêter un joueur peut profiter pendant 2 ou 3 saisons d'un potentiel talent qui peut éclore et aider le club, et le joueur, lui, peut profiter d'un bon temps de jeu pour gagner en expérience et évoluer.

En 2016 il avait surtout un beau collectif bien emmené par Ortiz avec des individualités qui ont finis pro (plus pro d2 que top 14) : Thierry Paiva, Thomas Lainault, Marco Tauleigne, Gauthier Doubrère, Lucas Lebraud, Paulin Riva, Lucas Blanc, Kitione Kamikamica, Erwan Nicolas.

Pour moi ils n'avaient pas le niveau le top 14 ou la mentalité pour être pro, l'exemple le plus frappant c'est l'évolution entre lespinasse et tauleigne. Lespi quand il est arrivé en espoir il était en avance sur marco (notamment physiquement),il avait énormément de qualité pour être un grand numéro 7. Marco lui était en surpoids. Sauf que lespi n'a jamais voulu se mettre en mode haut niveau tandis que marco après un temps d'adaptation s'y est filé très fort et a percé.

Je trouve quand même qu'on se trompe moins quand on recrute des bons u20 : woki, hulleu, cros, buros, moefana,

Après les prêts je suis d'accord par contre il ne faut pas en abuser, en effet autant je n'ai pas compris pourquoi on a pas reprêté Kamikamica, par contre je trouve que uberti a "perdu" une année et qu'il était apte à jouer en top 14.

C'est pas qu'une question de "prêt à jouer en Top14" ou pas. C'est aussi une question de "avait-on une vraie place à lui offre dans l'effectif ?". Une vraie place, et pas un bout de match de temps en temps, sous peine de quoi le jeune finit par se barrer ailleurs où on pourra lui offrir mieux. Il faut donc à minima 2 facteurs pour que ça marche pour un jeune : qu'il soit au niveau pour jouer en Top14 et qu'il y ait une place pour lui dans l'effectif.

Je suis d'accord pour certains postes spécifiques où il y a très peu de rotation comme 9 ect...

Néanmoins avec ton raisonnement de "il faut une place " les joueurs ne peuvent pas éclore rapidement, uberti aurait largement pu jouer la saison 2019/2020. Et il y a plein d'exemple de joueurs qui n'avait pas "de place dans l'effectif" mais qui ont explosé : Moefana, hulleu, jalibert chez nous, ou des tauzin, lebel au stade

nadoloubb a écrit:

Switch a écrit:

grospaquet31 a écrit:C’est cool de revoir Kitwanga et les autres jeunes. C’est peut etre sous la contrainte des nombreux absents mais ca peut etre un signal fort envoyé par CU et le staff pour leur faire comprendre que cette annee il compte bcp sur eux et qu’ils doivent saisir leur chance

De toutes façons, il n'y a pas de mystère, l'avenir des clubs et surtout de clubs comme l'UBB (qui n'ont pas des moyens quasi-illimités pour recruter des JIFF confirmés) c'est la formation et les jeunes. Or pour avoir des jeunes capable de prendre la suite de leurs aînés, il faut qu'ils se fassent la main et qu'ils prennent de l'expérience, c'est à dire qu'ils jouent. Pas le choix, donc ! Pour une fois on peut regarder du côté de clubs comme Toulouse qui ont fait confiance à de (très) jeunes joueurs qui petit à petit ont intégré les pros pour finir par devenir des cadres ou l'être peut-être bientôt, à l'instar des Castets, Baille, Aldegheri, Marchand, Neti, RNT, Lebel, Ramos...etc.

Chez nous, on a beaucoup tenté ces dernières années avec des jeunes mais je trouve que le "taux de transformation", c'est à dire le nombre de jeunes, formés ou recrutés (très) jeunes, qui sont devenus pros et jouent régulièrement avec les pros, n'est pas encore assez élevé. On a eu quelques belles réussites, comme Serin, Paiva, Woki, Jalibert ou Cros, mais aussi des échecs avec des joueurs qui soit ont éclos mais ailleurs soit n'ont pas réussi à éclore (Germain, Kamikamica, Labouteley, Lespinasse, El Fakir, Saubusse, Doubrère, Lainault, L. Blanc, Riva, Dulon...).
Nous avons été champions de France Espoirs en 2016, et cela n'a quasiment eu aucun effet derrière. Que reste t-il de cette génération ? A part Paiva et Tauleigne, qui ont fini par percer en pro, auquel on peut ajouter Kamikamica (mais à Brive désormais), il semble que bien peu ait fini par éclore eu haut-niveau. Est-ce que tous ces jeunes n'avaient pas le niveau et le potentiel pour jouer en Top14 ? Ou que l'UBB n'a pas su les amener à ce niveau ?

Peut-être que les exemples d'Uberti et Lamothe amènent une part de solution : identifier (très) tôt les jeunes qui ont du potentiel mais qui n'ont pas de place immédiate chez les pros, les prêter 2 ou 3 saison à un club de bas de Top14 ou de ProD2, les laisser prendre de l'expérience, et les "récupérer" ensuite. Un deal gagnant-gagnant, car le club qui a formé le joueur garde la "main mise" dessus et récupère à terme un joueur avec un peu d'expérience qui est prêt à jouer en Top14, le club qui se voit prêter un joueur peut profiter pendant 2 ou 3 saisons d'un potentiel talent qui peut éclore et aider le club, et le joueur, lui, peut profiter d'un bon temps de jeu pour gagner en expérience et évoluer.

En 2016 il avait surtout un beau collectif bien emmené par Ortiz avec des individualités qui ont finis pro (plus pro d2 que top 14) : Thierry Paiva, Thomas Lainault, Marco Tauleigne, Gauthier Doubrère, Lucas Lebraud, Paulin Riva, Lucas Blanc, Kitione Kamikamica, Erwan Nicolas.

Pour moi ils n'avaient pas le niveau le top 14 ou la mentalité pour être pro, l'exemple le plus frappant c'est l'évolution entre lespinasse et tauleigne. Lespi quand il est arrivé en espoir il était en avance sur marco (notamment physiquement),il avait énormément de qualité pour être un grand numéro 7. Marco lui était en surpoids. Sauf que lespi n'a jamais voulu se mettre en mode haut niveau tandis que marco après un temps d'adaptation s'y est filé très fort et a percé.

Je trouve quand même qu'on se trompe moins quand on recrute des bons u20 : woki, hulleu, cros, buros, moefana,

Après les prêts je suis d'accord par contre il ne faut pas en abuser, en effet autant je n'ai pas compris pourquoi on a pas reprêté Kamikamica, par contre je trouve que uberti a "perdu" une année et qu'il était apte à jouer en top 14.

Pour Kitwanga, indépendamment de son niveau, son statut de non jiff la saison passée l'a clairement empêché d'avoir des feuilles de match. A voir si cette saison, qui sera sa dernière en tant que Non Jiff, lui permettra d'avoir plus de temps de jeu. Je pense aussi que son statut de non jiff ne lui a pas permis (et ne lui permet pas encore) d'être prêté en prod2 pour gagner de l'expérience.

le radis a écrit:

nadoloubb a écrit:

Switch a écrit:

grospaquet31 a écrit:C’est cool de revoir Kitwanga et les autres jeunes. C’est peut etre sous la contrainte des nombreux absents mais ca peut etre un signal fort envoyé par CU et le staff pour leur faire comprendre que cette annee il compte bcp sur eux et qu’ils doivent saisir leur chance

De toutes façons, il n'y a pas de mystère, l'avenir des clubs et surtout de clubs comme l'UBB (qui n'ont pas des moyens quasi-illimités pour recruter des JIFF confirmés) c'est la formation et les jeunes. Or pour avoir des jeunes capable de prendre la suite de leurs aînés, il faut qu'ils se fassent la main et qu'ils prennent de l'expérience, c'est à dire qu'ils jouent. Pas le choix, donc ! Pour une fois on peut regarder du côté de clubs comme Toulouse qui ont fait confiance à de (très) jeunes joueurs qui petit à petit ont intégré les pros pour finir par devenir des cadres ou l'être peut-être bientôt, à l'instar des Castets, Baille, Aldegheri, Marchand, Neti, RNT, Lebel, Ramos...etc.

Chez nous, on a beaucoup tenté ces dernières années avec des jeunes mais je trouve que le "taux de transformation", c'est à dire le nombre de jeunes, formés ou recrutés (très) jeunes, qui sont devenus pros et jouent régulièrement avec les pros, n'est pas encore assez élevé. On a eu quelques belles réussites, comme Serin, Paiva, Woki, Jalibert ou Cros, mais aussi des échecs avec des joueurs qui soit ont éclos mais ailleurs soit n'ont pas réussi à éclore (Germain, Kamikamica, Labouteley, Lespinasse, El Fakir, Saubusse, Doubrère, Lainault, L. Blanc, Riva, Dulon...).
Nous avons été champions de France Espoirs en 2016, et cela n'a quasiment eu aucun effet derrière. Que reste t-il de cette génération ? A part Paiva et Tauleigne, qui ont fini par percer en pro, auquel on peut ajouter Kamikamica (mais à Brive désormais), il semble que bien peu ait fini par éclore eu haut-niveau. Est-ce que tous ces jeunes n'avaient pas le niveau et le potentiel pour jouer en Top14 ? Ou que l'UBB n'a pas su les amener à ce niveau ?

Peut-être que les exemples d'Uberti et Lamothe amènent une part de solution : identifier (très) tôt les jeunes qui ont du potentiel mais qui n'ont pas de place immédiate chez les pros, les prêter 2 ou 3 saison à un club de bas de Top14 ou de ProD2, les laisser prendre de l'expérience, et les "récupérer" ensuite. Un deal gagnant-gagnant, car le club qui a formé le joueur garde la "main mise" dessus et récupère à terme un joueur avec un peu d'expérience qui est prêt à jouer en Top14, le club qui se voit prêter un joueur peut profiter pendant 2 ou 3 saisons d'un potentiel talent qui peut éclore et aider le club, et le joueur, lui, peut profiter d'un bon temps de jeu pour gagner en expérience et évoluer.

En 2016 il avait surtout un beau collectif bien emmené par Ortiz avec des individualités qui ont finis pro (plus pro d2 que top 14) : Thierry Paiva, Thomas Lainault, Marco Tauleigne, Gauthier Doubrère, Lucas Lebraud, Paulin Riva, Lucas Blanc, Kitione Kamikamica, Erwan Nicolas.

Pour moi ils n'avaient pas le niveau le top 14 ou la mentalité pour être pro, l'exemple le plus frappant c'est l'évolution entre lespinasse et tauleigne. Lespi quand il est arrivé en espoir il était en avance sur marco (notamment physiquement),il avait énormément de qualité pour être un grand numéro 7. Marco lui était en surpoids. Sauf que lespi n'a jamais voulu se mettre en mode haut niveau tandis que marco après un temps d'adaptation s'y est filé très fort et a percé.

Je trouve quand même qu'on se trompe moins quand on recrute des bons u20 : woki, hulleu, cros, buros, moefana,

Après les prêts je suis d'accord par contre il ne faut pas en abuser, en effet autant je n'ai pas compris pourquoi on a pas reprêté Kamikamica, par contre je trouve que uberti a "perdu" une année et qu'il était apte à jouer en top 14.

Pour Kitwanga, indépendamment de son niveau, son statut de non jiff la saison passée l'a clairement empêché d'avoir des feuilles de match. A voir si cette saison, qui sera sa dernière en tant que Non Jiff, lui permettra d'avoir plus de temps de jeu. Je pense aussi que son statut de non jiff  ne lui a pas permis (et ne lui permet pas encore) d'être prêté en prod2 pour gagner de l'expérience.

Je me suis aussi laissé dire qu'il avait fait preuve, par moments, d'une certaine nonchalance et d'un manque de volonté. De ces avis, il a un énorme potentiel physique mais ne l'exploite pas toujours à fond car il pêche parfois mentalement. A voir si cela va changer cette année sachant qu'il sera JIFF l'été prochain et aura dès lors une vraie carte à jouer.

https://www.lerugbynistere.fr/news/top-14-la-preparation-est-elle-plombee-par-les-indisponibilites-2008211355.php



La préparation est-elle plombée par les indisponibilités ?

Chez les écuries de Top 14, de nombreux joueurs sont indisponibles durant la pré-saison. De quoi faire bondir certains entraîneurs, obligés de piocher chez les espoirs.

Depuis la reprise, les jours filent et les absences s’empilent. Dans cette situation, Gonzalo Quesada confiait au Midol qu’il avait déjà l’impression de “faire des rustines avec du chewing-gum”. Une métaphore qui montre certaines absurdités de cette préparation qui s'ajoute à un début de championnat incertain d’un point de vue numérique chez certaines formations. La cause principale étant l’absence de nombreux internationaux. Dans un premier temps, le groupe tricolore a fait appel à un grand nombre de joueurs cet été. Cependant, certains des convoqués n’ayant pas joué, ils pourront être alignés en début de saison dans leurs clubs respectifs selon une décision récente de la LNR. Mais cela n’enlève rien à l’absence des internationaux étrangers (Sud-Africains, Lions, Argentins, Fidjien, etc.). Le Supersevens n’aide pas non plus, plusieurs joueurs de l’effectif professionnel étant convoqués dans chaque équipe.

Dans ce marasme, le RCT semble être l’écurie la plus touchée. Avec 33 absents, suite au retour de Sonatane Takulua, le club varois n’a même pas pu affronter le LOU en match amical. Il voit le prochain, face au champion de France toulousain, également bien mal embarqué. Dans les clubs du Top 6 de la saison dernière, on retrouve également Clermont et le Stade Français avec respectivement 13 et 10 absents. Les derniers barragistes du Top 14 souffrent notamment de l’absence de leurs internationaux. Une situation voué à évoluer pour la première journée de championnat. Plusieurs joueurs comme Segonds, Raka et Fourcade pourront être avec leurs formations pour le début de cette saison. Les demi-finalistes sont également impactés avec de nombreuses indisponibilités surtout pour le Racing 92 avec une douzaine d’absences. L’UBB, elle, en compte moins mais Cordero, Petti et Dweba disputent actuellement le Rugby Championship. L’arrière Romain Buros sera disponible pour la première journée.

Les derniers finalistes du Top 14 sont un peu plus épargnés par ces absences. Les Toulousains et Rochelais n’ayant pas été appelés avec le XV de France, l’addition est moins lourde pour ces derniers. Cependant, chez les internationaux étrangers certaines absences sont de tailles comme celle de Facundo Bosch ou Cheslin Kolbe. Si les finalistes sont partiellement épargnés, ce n’est pas forcément le cas chez les promus. Perpignan devra faire sans plusieurs joueurs majeurs de son XV, quatre internationaux seront indisponibles notamment. D’autres clubs comme le CO devront faire sans quelques internationaux, notamment la recrue Quentin Walcker, ou le champion olympique fidjien Vilimoni Botitu. Ils gardent tout de même un solide groupe, renforcé par le meilleur joueur du Top 14 2017/2018 : Benjamin Botica. Montpellier compte également quelques absents. Que cela soit en rapport à ces internationaux, Reinach ayant été l’auteur d’une très belle partie face à l’Argentine, ou de ces appelés en Supersevens.

De nombreuses équipes de Top 14 accusent le coup des rencontres internationales. A voir si la situation permettra de révéler des jeunes joueurs et de faire briller les habituels remplaçants ou si elle pénalisera les équipes particulièrement sollicitées. Pour avoir les réponses définitives à ces questions, il faudra sans doute attendre la fin des rencontres internationales de cet automne. Ce qui devrait sembler une éternité pour certaines écuries qui semblent déjà bien mal en point...

La photo est la vraie photo de l'article sur le site. Je n'ai pas résisté à la mettre tellement elle est parlante

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/l-ubb-de-retour-a-lille-en-match-amical-face-a-biarritz-5289251.php

L’UBB de retour à Lille en match amical face à Biarritz

Par Yoan Leshauriès - y.leshauries@sudouest.fr

L’Union Bordeaux-Bègles revient dans le Nord pour affronter le BO ce vendredi (20 heures) lors du premier match de préparation. La saison dernière a donné encore plus d’appétit aux Girondins

Deux mois après sa demi-finale de Top 14, l’Union Bordeaux-Bègles est déjà de retour à Lille pour affronter Biarritz, le promu, ce vendredi soir (20 heures), lors du premier match de préparation de la saison 2021-2022. Ce ne sera pas au stade Pierre-Mauroy mais au Stadium. Il n’empêche que les souvenirs de juin face à Toulouse restent vivaces et donnent encore plus de motivation aux Girondins à l’aube du nouvel exercice.

« On a l’expérience en plus, souligne le manager Christophe Urios. L’année dernière, on a crevé ce plafond de verre et je trouve les joueurs différents. On a envie d’y revenir mais on sait aussi le prix à payer. Je sens de l’appétit bien plus fort que les autres années. On a mis la barre haut mais on a beaucoup d’ambition ».

« Vite en place »

Après cinq semaines de vacances bien méritées, les Girondins ont débuté leur préparation le 26 juillet, rythmée par un travail acharné, ponctuée par les désormais fameuses Bacchus (olympiades) pour favoriser la cohésion du groupe, ainsi que certains entraînements délocalisés (Cadaujac, Libourne) pour repartir à la rencontre du public. Cette semaine, ils ont pris leur quartier à Soustons pour un stage avant ce premier test face au BO.

« On va remettre le bleu de chauffe, sourit le capitaine Jefferson Poirot. Du fait qu’il y ait de la stabilité dans l’effectif, que ça n’ait pas trop bougé, on a la sensation d’avoir un peu d’avance par rapport à la saison dernière ». Le manager est du même avis : « On a été vite en place, on a abordé des nouveautés qui ont été vite intégrées. L’état d’esprit est splendide. On est bien. Mais le juge de paix, ce sont les matchs ».

Si les premières sorties d’avant-saison donnent toujours lieu à de larges revues d’effectifs, Christophe Urios n’aura que 27 joueurs à sa disposition pour ce premier rendez-vous. L’UBB doit se passer de ses internationaux (Woki, Cazeaux, Buros, Dweba, Petti, Cordero), de trois joueurs retenus pour le Supersevens (Lam, Roumat, Maynadier), ainsi que de joueurs laissés au repos (Lamerat, Lucu, Cros, Paiva). Mais le club girondin pourra compter sur le retours de blessure de Diaby, ainsi que sur plusieurs recrues (Vergnes, Mori, Dimcheff, Roussel, Bochaton, Trinh-Duc).

Prise de conscience

À quinze jours de la reprise du championnat sur le terrain de Biarritz (le 4 septembre à 14 heures à Aguiléra), l’UBB va pouvoir voir où elle en est vraiment face à ce même BO. « Ce sont les hasards du calendrier mais il ne fait pas trop se prendre la tête avec ça, assure Jefferson Poirot. On ne va pas cacher notre jeu, on va jouer de la façon dont on a besoin pour se préparer. Après, c’est une équipe promue, qui aura forcément faim, qui a un peu plus de préparation que nous… On a hâte de pouvoir valider le travail, voir ce qu’on a dans les jambes sur un match réel car pour l’instant, on n’a que 10 minutes d’opposition à Soustons ».

La saison dernière, l’UBB a tracé son chemin. « Maintenant, il faut terminer le travail, lance le capitaine. On revient sur la ligne de départ avec 14 équipes. On a surtout en tête tous les efforts qu’on a dû faire durant la saison pour en arriver là. Il faut être capable de reproduire la même chose, tout en réglant les petits détails qui ne nous ont pas permis d’accéder à la finale et potentiellement à un titre. » L’histoire continue.

J’avais vu quelqu’un poser la question, mais ps de réponse. Le match sera bien retransmis sur la chaîne twitch du club

Le maillot extérieur dénommé le maillot "Atlantique" est dévoilé !

Le match devrait être diffusé ici : https://www.twitch.tv/ubbrugby

Mori a du gaz. Il va faire du bien au centre de l'attaque

Essai de Lamothe à la mode woki

Lamothe très bon. Mori a du gaz. À part ça, on ne voit pas assez nos trois-quarts. À chaque fois qu'on essaye d'envoyer vers les trois-quarts, t'as un avant qui commet un en-avant. Bon c'est un match de préparation, mais il faut faire attention.

Pas mal d en avants dans les zones d attaque. Avec un peu plus de maîtrise, on devrait avoir 2 ou 3 essais d'avance.

On défend bien, pour le reste bien brouillon et bien souvent maladroit.
En touche en 2ième MT va falloir apprendre à lancer.

Oui effectivement 238 en avant/turnovers concédés. Ok c’est un match de reprise mais on retrouve les memes maux que la saison précédente. On verra les prochains matchs.

J’ai trouvé quon etait mieux en 2ieme mi-temps. J’ai bien aimé Bochaton, il etait partout, FTD qui a joué simple et juste. Mori a fait une belle percée également et Bielle a marqué un essai opportuniste sur un turnover en fin de match.

Dimcheff est possédé par Dweba

Globalement, assez brouillons. Nos principaux défauts de l'année dernière ne sont pas corrigés. Trop d'en-avants ; nos trois-quarts n'ont pas pu toucher beaucoup de ballons intéressants. Je crois même qu'Uberti n'a pas touché une seule fois. Sinon, en mêlée on est bons. Mori tout en puissance. J'ai bien aimé Trinh-Duc, ce n'est qu'un match de préparation mais il me rassure déjà. J'ai pas vraiment fait gaffe à Roussel et BVT. Bochaton a fait le taff. Ça m'a fait plaisir de revoir Diaby. Il avançait sur chaque prise de balle. Il va nous faire du bien.

On a joué sans nos blessés et internationaux ; c'est dire à quel point on a un super effectif.

Globalement sur un premier match amical, c'est pas si mal que ça. On a vu pire en premier match OFFICIEL...
On sent qu'il y a des intentions, de la communication entre avants et 3/4, mais ça pêche encore sur les détails, ce qui se traduit par les en-avants.
Par contre trop de charge isolées partant directement au sol qui ont offert sur un plateau des contests trop faciles aux biarrots. Avaient-ils peur de jouer debout? C'est comme ça en plus qu'on les a mis en difficulté (quand on ne commettait pas d'en-avant)

28-7, match pour le moins brouillon mais qui aura permis de travailler notre rythme, notre placement défensif, nos mêlées et touches ... et de constater que ça n'est pas encore totalement huilé en attaque. Sans avoir montré toutes nos forces avec pas mal de monde au repos ou à 7, on aura quand même réussi à marquer l'adversaire.

Au passage, le maillot est très beau. J’étais pas convaincu par la vidéo de présentation, mais sur les joueurs ça passe très bien.

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/rugby-amical-a-lille-l-ubb-un-cran-au-dessus-du-bo-5300111.php

Rugby/amical : à Lille, l’UBB un cran au-dessus du BO

Par Louise Le Borgne

L’Union Bordeaux Bègles s’est imposée face au Biarritz Olympique ce vendredi soir (7-28) en match amical au Stadium de Villeneuve-d’Ascq, dans le Nord. Les Bordelais ont inscrit quatre essais face aux promus biarrots qui devront quant à eux monter en puissance d’ici la reprise du Top 14

Au pays des corons et du Maroilles, les Biarrots et Bordelais ont fait leur rentrée sous les applaudissements de 3 000 supporters nordistes. Un match test, à deux semaines de la reprise du Top 14. Si les effectifs étaient incomplets et les jeunes recrues en recherche de marques, ce fut pour les deux clubs l’occasion de répéter leurs gammes.

Installés depuis une semaine dans la capitale des Flandres, les joueurs du BO ont eu le temps de s’acclimater « staffs et joueurs sont enchantés de ce stage à Villeneuve-d’Ascq et ont pu prendre leurs marques, découvrir la ville et le territoire », expliquait Jean-Baptiste Aldigé, président du BO. Une déclaration tout sauf anodine quand on sait que les présidents des rouges et blancs, engagés dans un bras de fer avec la mairie de Biarritz, envisagent une délocalisation pérenne dans la région lilloise pour la saison prochaine. L’UBB, en stage à Soustons, se déplaçait quant à elle dans le Nord sur 24 heures pour affronter le BO.

Un aller-retour express pour le demi-finaliste du dernier championnat qui n’en a pas perdu son mordant, menant la rencontre dès les premières minutes avant que le pilier bordelais Lesko Kaulashvili n’ouvre le score à la 16e. En face des poteaux, la transformation de Matthieu Jalibert n’était plus qu’une formalité.

Superbe essai de Stark

Moins de deux minutes plus tard, le BO recollait au score avec un très bel essai du néo-zélandais Gavin Stark filant à toute allure depuis le milieu de terrain (18e) sous le nez des Bordelais, par la suite transformé par Brett Herron. Le demi d’ouverture britannique, nouvelle recrue du BO, réalise un match intéressant.

Les Bordelais ont mené aisément la première mi-temps, malgré quelques tâtonnements sur les réceptions. À la 31e, Lesgourgues a créé la panique parmi les rangs du BO. Parti du milieu de terrain, il est plaqué à quelques centimètres de l’en-but. La force de frappe des premières lignes bordelais concluant l’affaire, sur un essai du talonneur Maxime Lamothe (33e), transformé par Jalibert. L’UBB menait donc 7-14 à la mi-temps.

Difficile de comparer la deuxième période tant les équipes étaient remaniées, faisant entrer les remplaçants tant du côté du BO que de l’UBB. Les nouvelles recrues Vincent Martin, Elliot Dixon, Josh Tyrell et James Cronin ont fait leurs armes dans l’effectif aux côtés des expérimentés Speight, Saili, Bosch, O’Callaghan et Armitage. Le résultat est satisfaisant, avec de belles opportunités, vite contrées par l’implacable défense bordelaise. Il fallait attendre la 66e minute pour que ça s’anime un peu, sur une touche bordelaise à quelques mètres de l’en-but. Côté Bordelais, on a fait entrer les remplaçants Trinh-Duc, Bochaton ou Baggiani. Bref, chacun a pris ses marques dans une seconde mi-temps plutôt calme, animée par les supporters nordistes, heureux de retrouver le Stadium, frites et bières en renfort.

L’UBB alourdit la note

C’était sans compter la fin du match. A la 73e, le Bordelais Gatien Massé trouve la parade et inscrit un essai sur l’aile gauche de la défense biarrote, transformé par le nouvel ouvreur bordelais François Trinh-Duc, avant que Bielle-Biarrey ne s’envole pour un essai à la 82e, juste avant le coup de sifflet final.

De bon augure pour le groupe de Christophe Urios, fort de ses recrues, qui devait pourtant se passer de ses internationaux (Woki, Cazeaux, Buros, Dweba, Petti, Cordero) et de trois joueurs retenus pour le Supersevens (Lam, Roumat, Maynadier).

Un avant-goût du championnat puisque les deux clubs se rencontreront à nouveau le 4 septembre, cette fois à Biarritz au stade Aguilera, pour la première journée de Top 14. L’UBB complète quant à lui sa préparation avec un match amical contre Pau jeudi 26 août à 19 heures.

Pour François Trinh-Duc (UBB), la victoire face à Biarritz est « une bonne répétition »

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Pour-francois-trinh-duc-ubb-la-victoire-face-a-biarritz-est-une-bonne-repetition/1279508