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Tournoi des 6 Nations féminin 2022
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Re: Tournoi des 6 Nations féminin 2022
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Les-bleues-enchainent-dans-le-tournoi-des-six-nations-mais-manquent-de-constance/1327122
Les Bleues enchaînent dans le Tournoi des Six Nations mais manquent de constance
L'équipe de France a conclu dimanche en Écosse le premier bloc de son Tournoi par une troisième victoire bonifiée ( 28-8 ). Son bilan comptable est positif, mais elle a aussi affiché quelques carences.
Yann Sternis
Dimanche soir, après avoir maîtrisé tant bien que mal la fougue des Écossaises ( victoire 28-8 ), les Bleues ont sereinement pu regagner Marcoussis. Puis elles pourront cet après-midi retrouver leur domicile pour quatre jours de repos avant de revenir dans l'Essonne en fin de semaine afin de préparer les deux derniers matches du Tournoi (contre le pays de Galles le 22 avril et l'Angleterre le 30 avril). « On a quelques jours pour retrouver nos familles, nos amis, souffler avant de se concentrer sur la suite », sourit Safi N'Diaye, remise de sa blessure à un genou et revenue dimanche sur les terrains. Le staff pourra de son côté établir un bilan de ce premier bloc de trois matches, comptablement parfait mais au contenu contrasté.
De larges succès : « L'objectif est validé »
Tombeuses à deux reprises des Black Ferns en novembre, les Bleues étaient attendues en ce début de Tournoi. Les voir remporter trois succès bonifiés contre l'Italie (39-6), l'Irlande (40-5) et l'Écosse (8-28), des adversaires de moindre niveau, n'a donc rien d'une surprise. Après chacun de ces succès, joueurs et entraîneurs ont insisté sur l'importance de conserver une dynamique de victoires (six consécutives).
« Notre objectif est validé sur ce premier bloc, on garde en tête ces victoires en rappelant qu'il y a deux ans on avait par exemple fait match nul à Glasgow », a rappelé la capitaine Gaëlle Hermet. Au rayon des satisfactions, les Françaises peuvent évoquer leur défense imperméable (19 points et deux essais encaissés en trois matches). Les Écossaises, qui ont eu la possession du ballon pendant 63 % de la rencontre, s'y sont violemment cassé les dents.
Chahutée face à l'Italie, la conquête bleue a par ailleurs corrigé le tir, les avants françaises affichant souvent leur supériorité, dans le jeu comme sur les phases statiques. Enfin, les joueuses d'Annick Hayraud, tractées par la locomotive Laure Sansus, ont confirmé leurs progrès dans l'alternance et la maîtrise de leurs temps forts. Les Écossaises en ont également fait les frais, encaissant quatre essais en première période sans avoir l'impression d'être surclassées.
Un manque de précision : « Il faut être plus propre »
Si les Bleues réussissent à scorer (35 points de moyenne dans ce Tournoi), elles ont peiné contre l'Italie et l'Écosse à développer leur jeu et enchaîner les séquences offensives. Face aux Transalpines, leurs nombreuses fautes de mains les avaient freinées. Dimanche, c'est leur indiscipline, notamment près des rucks, qui leur a coûté cher (16 pénalités concédées contre 7 aux Écossaises). « On connaît les quotas du nombre de fautes à ne pas commettre, on l'a dépassé, c'est ce qui nous a mis en difficulté, regrette Hermet. Il faut être plus propres dans le jeu au sol, mais ce sont des choses que l'on peut corriger. »
Par ailleurs, les Françaises ont manqué de constance lors de chacun de leurs trois premiers matches du Tournoi, s'essoufflant notamment en seconde période contre l'Irlande et l'Écosse.
Dans le même temps, leurs grandes rivales anglaises réalisent carton sur carton (63 points marqués en moyenne). « Ce qui fait peut-être la différence entre nous et elles, c'est la capacité à maintenir une pression sur l'adversaire sur la durée, reconnaît Thomas Darracq, l'entraîneur des Bleues. Aujourd'hui (dimanche), on a marqué rapidement, on avait fait le job en première période, après on a du mal à maintenir cette intensité et cette maîtrise. »
Un groupe toujours plus élargi : « On se projette sur les prochains mois »
L'un des facteurs pouvant expliquer ces difficultés réside probablement dans la rotation d'envergure appliquée dans le quinze français. Au total, 27 joueuses différentes ont eu l'occasion d'être titulaires depuis le début du Tournoi. À six mois de la Coupe du monde (8 octobre-12 novembre) en Nouvelle-Zélande, le staff a cherché à élargir un groupe rajeuni depuis l'automne dernier, à tester de nouvelles associations, à donner du temps de jeu et des repères collectifs. « Ça nous a permis de voir certaines joueuses, de renforcer le groupe tout en remportant des matches, et c'est plutôt positif, apprécie Hayraud. On se projette sur les prochains mois, on n'est pas tout à fait dans la même logique que les Anglaises qui, il faut le dire, sont très fortes. Nous prenons un peu plus notre temps. » Sans laisser de points en route.
Les Bleues enchaînent dans le Tournoi des Six Nations mais manquent de constance
L'équipe de France a conclu dimanche en Écosse le premier bloc de son Tournoi par une troisième victoire bonifiée ( 28-8 ). Son bilan comptable est positif, mais elle a aussi affiché quelques carences.
Yann Sternis
Dimanche soir, après avoir maîtrisé tant bien que mal la fougue des Écossaises ( victoire 28-8 ), les Bleues ont sereinement pu regagner Marcoussis. Puis elles pourront cet après-midi retrouver leur domicile pour quatre jours de repos avant de revenir dans l'Essonne en fin de semaine afin de préparer les deux derniers matches du Tournoi (contre le pays de Galles le 22 avril et l'Angleterre le 30 avril). « On a quelques jours pour retrouver nos familles, nos amis, souffler avant de se concentrer sur la suite », sourit Safi N'Diaye, remise de sa blessure à un genou et revenue dimanche sur les terrains. Le staff pourra de son côté établir un bilan de ce premier bloc de trois matches, comptablement parfait mais au contenu contrasté.
De larges succès : « L'objectif est validé »
Tombeuses à deux reprises des Black Ferns en novembre, les Bleues étaient attendues en ce début de Tournoi. Les voir remporter trois succès bonifiés contre l'Italie (39-6), l'Irlande (40-5) et l'Écosse (8-28), des adversaires de moindre niveau, n'a donc rien d'une surprise. Après chacun de ces succès, joueurs et entraîneurs ont insisté sur l'importance de conserver une dynamique de victoires (six consécutives).
« Notre objectif est validé sur ce premier bloc, on garde en tête ces victoires en rappelant qu'il y a deux ans on avait par exemple fait match nul à Glasgow », a rappelé la capitaine Gaëlle Hermet. Au rayon des satisfactions, les Françaises peuvent évoquer leur défense imperméable (19 points et deux essais encaissés en trois matches). Les Écossaises, qui ont eu la possession du ballon pendant 63 % de la rencontre, s'y sont violemment cassé les dents.
Chahutée face à l'Italie, la conquête bleue a par ailleurs corrigé le tir, les avants françaises affichant souvent leur supériorité, dans le jeu comme sur les phases statiques. Enfin, les joueuses d'Annick Hayraud, tractées par la locomotive Laure Sansus, ont confirmé leurs progrès dans l'alternance et la maîtrise de leurs temps forts. Les Écossaises en ont également fait les frais, encaissant quatre essais en première période sans avoir l'impression d'être surclassées.
Un manque de précision : « Il faut être plus propre »
Si les Bleues réussissent à scorer (35 points de moyenne dans ce Tournoi), elles ont peiné contre l'Italie et l'Écosse à développer leur jeu et enchaîner les séquences offensives. Face aux Transalpines, leurs nombreuses fautes de mains les avaient freinées. Dimanche, c'est leur indiscipline, notamment près des rucks, qui leur a coûté cher (16 pénalités concédées contre 7 aux Écossaises). « On connaît les quotas du nombre de fautes à ne pas commettre, on l'a dépassé, c'est ce qui nous a mis en difficulté, regrette Hermet. Il faut être plus propres dans le jeu au sol, mais ce sont des choses que l'on peut corriger. »
Par ailleurs, les Françaises ont manqué de constance lors de chacun de leurs trois premiers matches du Tournoi, s'essoufflant notamment en seconde période contre l'Irlande et l'Écosse.
Dans le même temps, leurs grandes rivales anglaises réalisent carton sur carton (63 points marqués en moyenne). « Ce qui fait peut-être la différence entre nous et elles, c'est la capacité à maintenir une pression sur l'adversaire sur la durée, reconnaît Thomas Darracq, l'entraîneur des Bleues. Aujourd'hui (dimanche), on a marqué rapidement, on avait fait le job en première période, après on a du mal à maintenir cette intensité et cette maîtrise. »
Un groupe toujours plus élargi : « On se projette sur les prochains mois »
L'un des facteurs pouvant expliquer ces difficultés réside probablement dans la rotation d'envergure appliquée dans le quinze français. Au total, 27 joueuses différentes ont eu l'occasion d'être titulaires depuis le début du Tournoi. À six mois de la Coupe du monde (8 octobre-12 novembre) en Nouvelle-Zélande, le staff a cherché à élargir un groupe rajeuni depuis l'automne dernier, à tester de nouvelles associations, à donner du temps de jeu et des repères collectifs. « Ça nous a permis de voir certaines joueuses, de renforcer le groupe tout en remportant des matches, et c'est plutôt positif, apprécie Hayraud. On se projette sur les prochains mois, on n'est pas tout à fait dans la même logique que les Anglaises qui, il faut le dire, sont très fortes. Nous prenons un peu plus notre temps. » Sans laisser de points en route.
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Tournoi des 6 Nations féminin 2022
Agathe Sochat et Caroline Boujard de retour dans le groupe des Bleues pour la fin du Tournoi des Six Nations
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Agathe-sochat-et-caroline-boujard-de-retour-dans-le-groupe-des-bleues-pour-la-fin-du-tournoi-des-six-nations/1327590
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Les Bleues sont trop fortes sur cette première mi-temps…
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Le XV de France féminin a pris rendez-vous avec l'Angleterre
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/le-xv-de-france-feminin-a-pris-rendez-vous-avec-l-angleterre-1650696580
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Les Bleues écrasent le pays de Galles et s'offrent une finale pour le Grand Chelem
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Les-bleues-ecrasent-le-pays-de-galles-et-s-offrent-une-finale-pour-le-grand-chelem/1329269
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runch, le podcast rugby de L'Équipe : les Bleues vers le Grand Chelem
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Crunch-le-podcast-rugby-de-l-equipe-les-bleues-vers-le-grand-chelem/1329798
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https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Agathe-sochat-infatigable-jeune-maman-et-vice-capitaine-des-bleues/1329921
Agathe Sochat, infatigable jeune maman et vice-capitaine des Bleues
Après avoir mis sur pause son Tournoi des Six Nations pour assister à la naissance de sa fille, la talonneuse, vice-capitaine de l'équipe de France de rugby en quête de Grand Chelem, est revenue en sélection pleine d'énergie et d'ambition.
Yann Sternis
Alors qu'elle arpente d'un pas pressé les chemins proprets du CNR de Marcoussis, Agathe Sochat croise un employé de la Fédération française de rugby (FFR) qui lui lance un « félicitations » enjoué. Elle le remercie, puis glisse, espiègle : « J'ai l'impression d'être en janvier quand tout le monde te souhaite bonne année. Sauf que là, tout le monde me félicite pour la naissance de ma fille. »
La talonneuse a beau avoir quitté depuis quelques jours le Lot-et-Garonne, où se trouvent sa femme et sa fille, elle est quelque part restée sur son petit nuage. Et qu'importe la fatigue. « Ça va aussi de ce côté-là, nuance-t-elle tendrement. Ma fille dort de 22 heures jusqu'à 6 ou 7 heures, c'est très bien. J'ai pu recharger les batteries à fond à leurs côtés, j'en ai profité. Mais si je suis ici, c'est pour tout donner pour le maillot bleu et je sais que quelque chose de formidable m'attend à la maison. »
La Limougeaude de 26 ans a donc réenfilé son costume de combattante, vendredi dernier à Cardiff. Titulaire, elle a signé un match solide face aux Galloises (33-5). Ainsi est Agathe Sochat, à la fois douce et dure, amicale et compétitrice, bienveillante et déterminée, limite « bornée », dixit son grand frère, Antoine.
Toute jeune, elle impose sa présence chez les garçons
Des traits de caractère tout en contrastes qui se lisent sur son visage. Impassible, l'internationale, regard perçant, pommettes saillantes et menton fier, porte sur elle sa pugnacité. Mais quand elle sourit, sa mine s'illumine, ses yeux plissés et sa bouche toute en rondeur, surmontée de fossettes rieuses, lui rendant une allure avenante, presque enfantine.
Depuis toute petite, Agathe Sochat, cadette d'une fratrie de quatre enfants, déborde aussi de cette énergie qui lui permettra de mener de front plusieurs défis. Et de s'engager dans la voie du rugby dès 4 ans. « A priori, j'avais un côté un peu hyperactif, admet-elle. Mon papa avait été rugbyman à Limoges. Mon frère, qui a deux ans de plus que moi, voulait jouer en club, j'ai dit que c'était aussi mon cas. » Elle ne lâchera plus le morceau. Menue, la petite fille, demi de mêlée ou d'ouverture à l'époque, imposera sa présence dans des équipes de garçons par sa témérité.
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Le nombre de ses sélections en équipe de France depuis 2016. Elle fut aussi l'une des 24 premières joueuses à signer un contrat fédéral à mi-temps avec la FFR, fin 2018.
Jean Barrenechea, son entraîneur à l'USAL, à Limoges, se souvient : « Dès que je pense à elle, je revois cette action pendant un match à Saint-Junien, elle devait avoir 11 ans. Le plus balèze de l'équipe d'en face arrivait avec le ballon sur elle, la plus petite. Je me suis dit : houlà, il va l'aplatir ! Plein de garçons se seraient échappés. Elle s'est mise en face. Et boum ! Il s'est farci Agathe. Elle était à terre mais elle l'avait arrêté. Elle était toute gentille, mais elle ne se laissait pas faire. C'était la meneuse de l'équipe, avec son grand short, ses chaussettes baissées et son paquet de cheveux qu'elle ne savait pas où mettre. Elle bougeait les garçons et eux la protégeaient. »
Son frère souligne « qu'à l'époque, quand on était une fille et qu'on jouait au rugby, il fallait de toute façon en vouloir. Il y a certaines barrières, tu n'as pas le même physique. Mais le rugby s'est imposé comme la chose qu'elle voulait faire ». Adolescente, elle a pourtant un temps hésité à poursuivre l'aventure. « En cadette, on ne pouvait jouer qu'à 7 à Limoges, j'avais la sensation de régresser, se remémore l'intéressée. Je me disais : soit je joue juste pour m'amuser, soit je me mets un vrai challenge pour accéder au plus haut niveau. »
Son ambition prend forme à 18 ans lorsqu'elle rejoint le Stade Bordelais. Repérée par un entraîneur, elle goûte à l'Élite 1 mais est déplacée au talon, un poste où elle s'épanouit très vite. En parallèle, elle poursuit des études qui la mèneront à un diplôme d'ergothérapeute. Devenue internationale en 2016, elle prend, un an plus tard, le chemin de Montpellier et son armada de joueuses de l'équipe de France. Elle y remportera trois titres de championne de France et deviendra, chemin faisant, une cadre des Bleues, dont elle est aujourd'hui l'indiscutable talonneuse et la vice-capitaine.
« Elle est arrivée discrètement puis s'est installée à son poste et a commencé à prendre plus de place, estime la manager, Annick Hayraud. Alerte, elle prend soin des autres et est appréciée dans le groupe. Et elle dégage de l'énergie. Petit gabarit, elle a dû se battre pour jouer à ce niveau. »
« D'habitude, je suis réservée sur ma vie privée. Mais là, il fallait expliquer mon départ en plein Tournoi. Et, surtout, j'étais hyper fière. La FFR m'a demandé si elle pouvait communiquer sur la naissance. Après réflexion, je me suis dit que c'était une bonne idée. »
Agathe Sochat
Agathe Sochat s'enrichit de toutes ces expériences et de sa double vie professionnelle, joueuse et ergothérapeute. Pendant le confinement, alors employée au CHU de Montpellier, elle travaille dans une unité de rééducation post-réanimation. Mais l'été dernier, en choisissant de retourner jouer et vivre à Bordeaux, accompagnée de son épouse rencontrée dans l'Hérault, elle prend aussi la décision de mettre entre parenthèses sa carrière paramédicale. « Étant à 75 % sous contrat fédéral, il ne me semblait pas opportun de retrouver un boulot à 25 %, explique-t-elle. J'avais envie de me mettre à 100 % en mode préparation de la Coupe du monde. En plus, je savais qu'un bébé allait arriver... »
Une petite fille prénommée Nina née en plein Tournoi, « sous l'arc du rugby », image son frère. « Le terme était le 8 avril, je devais rejoindre mon épouse après le match contre l'Irlande (programmé le 2 avril), dévoile la jeune femme. Je suis partie plus tôt que prévu. Dans la nuit du 29 au 30 mars, je n'arrivais pas à dormir... J'ai eu mon épouse par message vers 5 heures, elle m'a dit qu'elle partait à la maternité. J'ai averti ma coloc à Marcoussis, Céline Ferer, et je suis partie. Nina est arrivée le soir même. »
Le lendemain, la joueuse puis la Fédération annonçaient sur les réseaux sociaux l'heureux événement. « D'habitude, je suis réservée sur ma vie privée, avance Sochat. Mais là, il fallait expliquer mon départ en plein Tournoi. Et, surtout, j'étais hyper fière. La FFR m'a demandé si elle pouvait communiquer sur la naissance. Après réflexion, je me suis dit que c'était une bonne idée. Je voulais montrer que tout n'est pas secret. Depuis l'été dernier, la PMA (procréation médicalement assistée) est légale en France. Je ne veux pas avoir un rôle de porte-parole, mais c'était une manière indirecte de le signaler. Et le message est chouette parce qu'il y a plein de femmes en questionnement ou qui n'osent rien dire. Eh oui, il y a des homosexuelles dans le sport, il y a aussi beaucoup d'hétérosexuelles, c'est comme partout. C'est la vie, quoi ! »
Les réactions à l'annonce de cette naissance ont été extrêmement positives. « Je n'avais pas peur des commentaires qui auraient été négatifs. Ça ne m'aurait pas atteint, mais je savais qu'il pourrait y en avoir, reprend la joueuse. Au final, il y en a eu des centaines, certains étaient sûrement haineux, mais ils étaient tellement noyés qu'on ne les voyait pas. Je ne m'attendais pas à ça. »
Jeune maman, Agathe Sochat a donc regagné Marcoussis il y a deux semaines. Son objectif : ramener le Grand Chelem à la maison samedi prochain après le match contre l'Angleterre, et la Coupe du monde dans six mois. Le temps des messages de félicitations à son égard pourrait bien s'étirer.
En bref
26 ans.
1999 : elle commence à jouer au rugby à l'USA Limoges.
2017 : elle quitte Bordeaux pour rejoindre Montpellier.
2018 : deux ans après avoir gagné le Tournoi, elle remporte le Grand Chelem avec l'équipe de France.
Agathe Sochat, infatigable jeune maman et vice-capitaine des Bleues
Après avoir mis sur pause son Tournoi des Six Nations pour assister à la naissance de sa fille, la talonneuse, vice-capitaine de l'équipe de France de rugby en quête de Grand Chelem, est revenue en sélection pleine d'énergie et d'ambition.
Yann Sternis
Alors qu'elle arpente d'un pas pressé les chemins proprets du CNR de Marcoussis, Agathe Sochat croise un employé de la Fédération française de rugby (FFR) qui lui lance un « félicitations » enjoué. Elle le remercie, puis glisse, espiègle : « J'ai l'impression d'être en janvier quand tout le monde te souhaite bonne année. Sauf que là, tout le monde me félicite pour la naissance de ma fille. »
La talonneuse a beau avoir quitté depuis quelques jours le Lot-et-Garonne, où se trouvent sa femme et sa fille, elle est quelque part restée sur son petit nuage. Et qu'importe la fatigue. « Ça va aussi de ce côté-là, nuance-t-elle tendrement. Ma fille dort de 22 heures jusqu'à 6 ou 7 heures, c'est très bien. J'ai pu recharger les batteries à fond à leurs côtés, j'en ai profité. Mais si je suis ici, c'est pour tout donner pour le maillot bleu et je sais que quelque chose de formidable m'attend à la maison. »
La Limougeaude de 26 ans a donc réenfilé son costume de combattante, vendredi dernier à Cardiff. Titulaire, elle a signé un match solide face aux Galloises (33-5). Ainsi est Agathe Sochat, à la fois douce et dure, amicale et compétitrice, bienveillante et déterminée, limite « bornée », dixit son grand frère, Antoine.
Toute jeune, elle impose sa présence chez les garçons
Des traits de caractère tout en contrastes qui se lisent sur son visage. Impassible, l'internationale, regard perçant, pommettes saillantes et menton fier, porte sur elle sa pugnacité. Mais quand elle sourit, sa mine s'illumine, ses yeux plissés et sa bouche toute en rondeur, surmontée de fossettes rieuses, lui rendant une allure avenante, presque enfantine.
Depuis toute petite, Agathe Sochat, cadette d'une fratrie de quatre enfants, déborde aussi de cette énergie qui lui permettra de mener de front plusieurs défis. Et de s'engager dans la voie du rugby dès 4 ans. « A priori, j'avais un côté un peu hyperactif, admet-elle. Mon papa avait été rugbyman à Limoges. Mon frère, qui a deux ans de plus que moi, voulait jouer en club, j'ai dit que c'était aussi mon cas. » Elle ne lâchera plus le morceau. Menue, la petite fille, demi de mêlée ou d'ouverture à l'époque, imposera sa présence dans des équipes de garçons par sa témérité.
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Le nombre de ses sélections en équipe de France depuis 2016. Elle fut aussi l'une des 24 premières joueuses à signer un contrat fédéral à mi-temps avec la FFR, fin 2018.
Jean Barrenechea, son entraîneur à l'USAL, à Limoges, se souvient : « Dès que je pense à elle, je revois cette action pendant un match à Saint-Junien, elle devait avoir 11 ans. Le plus balèze de l'équipe d'en face arrivait avec le ballon sur elle, la plus petite. Je me suis dit : houlà, il va l'aplatir ! Plein de garçons se seraient échappés. Elle s'est mise en face. Et boum ! Il s'est farci Agathe. Elle était à terre mais elle l'avait arrêté. Elle était toute gentille, mais elle ne se laissait pas faire. C'était la meneuse de l'équipe, avec son grand short, ses chaussettes baissées et son paquet de cheveux qu'elle ne savait pas où mettre. Elle bougeait les garçons et eux la protégeaient. »
Son frère souligne « qu'à l'époque, quand on était une fille et qu'on jouait au rugby, il fallait de toute façon en vouloir. Il y a certaines barrières, tu n'as pas le même physique. Mais le rugby s'est imposé comme la chose qu'elle voulait faire ». Adolescente, elle a pourtant un temps hésité à poursuivre l'aventure. « En cadette, on ne pouvait jouer qu'à 7 à Limoges, j'avais la sensation de régresser, se remémore l'intéressée. Je me disais : soit je joue juste pour m'amuser, soit je me mets un vrai challenge pour accéder au plus haut niveau. »
Son ambition prend forme à 18 ans lorsqu'elle rejoint le Stade Bordelais. Repérée par un entraîneur, elle goûte à l'Élite 1 mais est déplacée au talon, un poste où elle s'épanouit très vite. En parallèle, elle poursuit des études qui la mèneront à un diplôme d'ergothérapeute. Devenue internationale en 2016, elle prend, un an plus tard, le chemin de Montpellier et son armada de joueuses de l'équipe de France. Elle y remportera trois titres de championne de France et deviendra, chemin faisant, une cadre des Bleues, dont elle est aujourd'hui l'indiscutable talonneuse et la vice-capitaine.
« Elle est arrivée discrètement puis s'est installée à son poste et a commencé à prendre plus de place, estime la manager, Annick Hayraud. Alerte, elle prend soin des autres et est appréciée dans le groupe. Et elle dégage de l'énergie. Petit gabarit, elle a dû se battre pour jouer à ce niveau. »
« D'habitude, je suis réservée sur ma vie privée. Mais là, il fallait expliquer mon départ en plein Tournoi. Et, surtout, j'étais hyper fière. La FFR m'a demandé si elle pouvait communiquer sur la naissance. Après réflexion, je me suis dit que c'était une bonne idée. »
Agathe Sochat
Agathe Sochat s'enrichit de toutes ces expériences et de sa double vie professionnelle, joueuse et ergothérapeute. Pendant le confinement, alors employée au CHU de Montpellier, elle travaille dans une unité de rééducation post-réanimation. Mais l'été dernier, en choisissant de retourner jouer et vivre à Bordeaux, accompagnée de son épouse rencontrée dans l'Hérault, elle prend aussi la décision de mettre entre parenthèses sa carrière paramédicale. « Étant à 75 % sous contrat fédéral, il ne me semblait pas opportun de retrouver un boulot à 25 %, explique-t-elle. J'avais envie de me mettre à 100 % en mode préparation de la Coupe du monde. En plus, je savais qu'un bébé allait arriver... »
Une petite fille prénommée Nina née en plein Tournoi, « sous l'arc du rugby », image son frère. « Le terme était le 8 avril, je devais rejoindre mon épouse après le match contre l'Irlande (programmé le 2 avril), dévoile la jeune femme. Je suis partie plus tôt que prévu. Dans la nuit du 29 au 30 mars, je n'arrivais pas à dormir... J'ai eu mon épouse par message vers 5 heures, elle m'a dit qu'elle partait à la maternité. J'ai averti ma coloc à Marcoussis, Céline Ferer, et je suis partie. Nina est arrivée le soir même. »
Le lendemain, la joueuse puis la Fédération annonçaient sur les réseaux sociaux l'heureux événement. « D'habitude, je suis réservée sur ma vie privée, avance Sochat. Mais là, il fallait expliquer mon départ en plein Tournoi. Et, surtout, j'étais hyper fière. La FFR m'a demandé si elle pouvait communiquer sur la naissance. Après réflexion, je me suis dit que c'était une bonne idée. Je voulais montrer que tout n'est pas secret. Depuis l'été dernier, la PMA (procréation médicalement assistée) est légale en France. Je ne veux pas avoir un rôle de porte-parole, mais c'était une manière indirecte de le signaler. Et le message est chouette parce qu'il y a plein de femmes en questionnement ou qui n'osent rien dire. Eh oui, il y a des homosexuelles dans le sport, il y a aussi beaucoup d'hétérosexuelles, c'est comme partout. C'est la vie, quoi ! »
Les réactions à l'annonce de cette naissance ont été extrêmement positives. « Je n'avais pas peur des commentaires qui auraient été négatifs. Ça ne m'aurait pas atteint, mais je savais qu'il pourrait y en avoir, reprend la joueuse. Au final, il y en a eu des centaines, certains étaient sûrement haineux, mais ils étaient tellement noyés qu'on ne les voyait pas. Je ne m'attendais pas à ça. »
Jeune maman, Agathe Sochat a donc regagné Marcoussis il y a deux semaines. Son objectif : ramener le Grand Chelem à la maison samedi prochain après le match contre l'Angleterre, et la Coupe du monde dans six mois. Le temps des messages de félicitations à son égard pourrait bien s'étirer.
En bref
26 ans.
1999 : elle commence à jouer au rugby à l'USA Limoges.
2017 : elle quitte Bordeaux pour rejoindre Montpellier.
2018 : deux ans après avoir gagné le Tournoi, elle remporte le Grand Chelem avec l'équipe de France.
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Tournoi 6 Nations Féminin : La capitaine de l’Angleterre forfait face aux Bleues
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