Re: Tournoi des 6 Nations féminin 2022

**Scalp** Ven 29 Avr 2022 - 12:51

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Pour-la-finale-du-tournoi-face-aux-anglaises-les-bleues-misent-sur-l-impact-de-leur-pack/1330302

Pour la finale du Tournoi face aux Anglaises, les Bleues misent sur l'impact de leur pack

Pour faire face à la puissance des Anglaises (samedi, 15h 15) et les perturber en touche, l'encadrement de l'équipe de France a fait le choix d'un pack à la fois dense et aérien.

Yann Sternis

Les entraîneurs de l'équipe de France avaient prévenu de longue date qu'un minimum de changements seraient opérés entre les deux derniers matches du Tournoi des Six Nations. Ils ont joint l'acte à la parole jeudi. Le quinze tricolore qui défiera l'Angleterre samedi à Bayonne (15 h 15) sera en grande partie composé des joueuses qui ont maîtrisé le pays de Galles la semaine dernière à Cardiff (5-33). L'évolution principale vient du huit de devant avec la titularisation d'Audrey Forlani en deuxième ligne. Un choix qui provoque le déplacement de Céline Ferer en troisième ligne et qui pousse Julie Annery sur le banc des remplaçantes.

L'option prise par l'encadrement des Bleues est ainsi d'apporter plus de poids et de qualité aérienne à son pack. « Il y a une volonté de densifier, confirme Thomas Darracq, le responsable sportif des Bleues. On sait que la conquête anglaise est efficace, on souhaite la combattre dans tous les aspects du jeu et notamment dans les phases statiques, sur la mêlée et la touche, à terre ou dans les airs. L'expérience et les qualités d'Audrey (Forlani) nous permettent de faire ce choix-là. »

La reconduction d'une première ligne costaude composée d'Annaëlle Deshaye, Agathe Sochat et Clara Joyeux va également dans ce sens. « C'est un trio puissant et nous gardons nos feux follets sur le banc afin de nous équilibrer au mieux pendant le match et afin de maintenir une intensité tout au long de la partie, poursuit Darracq. Il va y avoir un duel entre deux paquets d'avants très efficaces. Ça promet un gros match défensif où il n'y aura sûrement pas beaucoup d'écart. »

« Il va y avoir de l'intensité, Caroline (Drouin) va être sous haute pression. »
Thomas Darracq

Les Anglaises ont en effet beau avoir perdu sur blessure leur troisième-ligne et capitaine Sarah Hunter (134 sélections), blessée aux côtes, elles affronteront les Bleues avec un quinze redoutablement puissant et expérimenté. Les avants des Red Roses alignées face aux Françaises comptent en effet 52 sélections de moyenne (contre 37 aux Tricolores). Leur capacité à avancer et marquer sur leurs ballons portés a déjà fait ses preuves et des dégâts durant ce Tournoi. « On a bossé ça à la vidéo, on a mis une stratégie en place, expliqué Céline Ferer. On estime qu'elles sont plus lourdes que nous, mais on a de quoi les contrer en touche, avec pas mal de filles aériennes dans notre équipe. »

L'autre fait marquant de la composition de l'équipe de France, dévoilée jeudi, est la confirmation du retour de Caroline Drouin. Touchée à un genou la semaine dernière, la Rennaise est bel et bien rétablie et tiendra sa place à l'ouverture, Jessy Trémoulière retournant sur le banc. « Même si on a été très satisfaits des performances de Jessy (contre l'Écosse et le pays de Galles), Caroline est notre numéro 1 au poste, avance Darracq. On prend le parti de la faire commencer, notamment pour sa dimension défensive et sa capacité à enchaîner, car il va y avoir de l'intensité, elle va être sous haute pression. »

Associée à Laure Sansus, Drouin aura donc un rôle primordial à tenir. La justesse de ses choix d'occupation et la précision de son jeu au pied, que l'on pourrait voir encore plus qu'habituellement, pourraient être cruciaux. Face à elle, l'ouvreuse anglaise Zoe Harrison, la centre Emily Scarratt et l'arrière Helena Rowland représenteront des poisons dans ce secteur. « Mais on est plutôt bien fournis nous aussi avec Caroline (Drouin), Laure (Sansus) et Chloé (Jacquet) », sourit l'entraîneur Samuel Cherouk. À Bayonne, la bataille risque donc d'être totale. Normal, entre deux équipes qui visent le Grand Chelem.

léopold Sam 30 Avr 2022 - 5:18

Espérons que notre 9 soit très collective car elle est super bonne mais très souvent joue pour elle, alors qu'elle a du beau monde à coté.
Sinon bon match à toutes elles le méritent :clap:

**Scalp** Sam 30 Avr 2022 - 9:06

**Scalp** Sam 30 Avr 2022 - 9:35

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Tournoi-des-six-nations-les-bleues-visent-le-grand-chelem-face-a-l-angleterre/1330484

Tournoi des Six Nations : les Bleues visent le Grand Chelem face à l'Angleterre

L'équipe de France a l'occasion de remporter cet après-midi son premier Tournoi des Six Nations depuis 2018. Il faudra pour cela vaincre des Anglaises numéros 1 mondiales.

Yann Sternis

Pour mesurer la différence qui a séparé les Bleues des Anglaises ces dernières années, et saisir par ricochet l'ampleur de la tâche qui attend les Françaises cet après-midi à Jean-Dauger, un petit regard fort peu plaisant sur les archives peut se révéler utile. On y trouve cette phrase prononcée par Annick Hayraud au soir d'une lourde défaite concédée contre les Red Roses (41-26), à Doncaster, le 10 février 2019. « À la limite, ça sera peut-être plus facile de rebondir étant donné la différence entre les deux équipes sur ce match, c'est un peu trop gros pour refléter la réalité », réagissait, sonnée, la manager de l'équipe de France.

Pouvait-on alors imaginer que trois ans et huit confrontations plus tard, son équipe n'aurait toujours pas fait chuter les Anglaises ? Ce genre de série auxquelles les autres nations du Tournoi sont - malheureusement pour l'attrait de la compétition - habituées, l'équipe de France ne l'avait pas encore pris dans les côtes. Mais les Bleues ont été contraintes de constater les dégâts et la marge d'avance acquise par leurs historiques rivales, qu'elles retrouveront dès les phases de poules de la Coupe du monde (8 octobre au 12 novembre).

Comment l'expliquer ? Déjà en rappelant que les Anglaises bénéficient d'un contrat à plein temps avec leur Fédération tandis que les Tricolores sont à 75 %, ce qui permet à Emily Scarratt et à ses partenaires de se retrouver plus souvent en sélection. Également en soulignant que le Championnat anglais est plus compétitif que l'Élite 1. Enfin, en notant que le groupe tricolore est plus jeune et globalement moins expérimenté (31 sélections de moyenne cet après-midi, contre 47 capes pour les Anglaises).

Ces dernières semaines, la lutte à distance entre ces deux équipes qui se disputent quasi exclusivement la victoire dans le Tournoi depuis sa création a aussi tourné en faveur des Red Roses, en témoigne la différence de points des deux équipes (+ 248 contre + 116). Ultime chiffre à caractère lestant : les joueuses de Simon Middleton restent sur une série de 22 victoires consécutives, toutes compétitions confondues. Vous voilà résigné ? En tout cas les Bleues, elles, ne le sont pas. Parce que le résultat d'un match aussi spécial que celui de cet après-midi ne peut pas seulement se prédire au regard des scores passés ou de l'austérité des chiffres, aussi implacables soient-ils.

Une furieuse envie de revanche

Il doit se lire aussi dans les yeux et dans l'engagement de ses actrices. Et force est de constater que ces Bleues ont une furieuse envie de revanche. D'autant qu'elles gardent sur l'estomac le scénario de leur dernière rencontre face aux Anglaises (15-17), qui n'avaient pas souhaité revenir sur le terrain pour disputer le dernier quart d'heure de jeu après un problème d'éclairage au Stadium de Villeneuve-d'Ascq, il y a un an. « On a cette fin de match en tête, on n'en démord pas, je pense qu'on avait l'ascendant, on aurait gagné si leur manager avait décidé de revenir », lance la Bayonnaise Céline Ferer.

Depuis, les Bleues ont redressé la tête, battu à deux reprises la Nouvelle-Zélande et se sont imposées comme les plus grandes rivales des Anglaises sur l'échiquier mondial. Forte sur ses bases, s'appuyant sur sa conquête au pourcentage de réussite supérieur que les Red Roses durant le Tournoi, l'équipe de France a bâti un plan pour faire déjouer son adversaire.
Bataille dans les airs, recours au jeu au pied, pressing défensif, les Tricolores pensent avoir les armes pour remporter leur premier Grand Chelem depuis 2018. « Les Anglaises ont un plan de jeu hyper huilé mais à partir du moment où on met un grain de sable dedans, ça peut dérailler », veut se convaincre Caroline Drouin.

À Bayonne, les Tricolores comptent enfin sur une ambiance brûlante pour se sublimer. « En France, dans ce genre de stade, on a l'impression que la foule est au-dessus de nous, le bruit est incroyable, a prévenu cette semaine la pilier droit Vickii Cornborough sur la BBC. Il s'agira pour nous de rester en contrôle. » Et, pour les Bleues, de le reprendre.

**Scalp** Sam 30 Avr 2022 - 14:05

Les Anglaises trop fortes devant, plus puissante, meilleur en conquête, particulièrement en touche, à chaque ballon porté, essai, dur pour les Françaises sans solutions Rolling Eyes

**Scalp** Sam 30 Avr 2022 - 16:21

Les Bleues échouent face à l'Angleterre, vainqueur du Grand Chelem

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Les-bleues-echouent-face-a-l-angleterre-vainqueur-du-grand-chelem/1330617

**Scalp** Sam 30 Avr 2022 - 16:28

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Les-tops-et-les-flops-de-france-angleterre-bern-et-fall-en-puissance-sochat-en-souffrance/1330626

Les tops et les flops de France - Angleterre : Bern et Fall en puissance, Sochat en souffrance

Les Bleues ont été dominées (12-24) par la puissance physique de l'Angleterre lors du match décisif pour le Grand Chelem, ce samedi à Bayonne. La pilière Sarah Bern en a profité, alors que la talonneuse Agathe Sochat a vécu un après-midi cauchemardesque. Une rencontre où la Française Madoussou Fall s'est illustrée.

Les Tops

Sarah Bern (Angleterre)

La pilière de l'équipe d'Angleterre a profité au maximum de son après-midi ensoleillé à Bayonne ce samedi. Plus habituée à la férocité des rucks, Sarah Bern s'est permis de visiter l'en-but de Jean-Dauger par deux fois. Efficace en mêlée fermée, elle a symbolisé la domination physique des Red Roses.

Emily Scarratt (Angleterre)

Désignée capitaine de l'Angleterre, Emily Scarratt a agrémenté son armoire à trophées d'une nouvelle coupe en assumant pleinement son rôle de patronne. Impeccable face aux poteaux (9 points, 4/4), elle a causé de gros soucis dans l'organisation défensive des Bleues grâce à son jeu au pied long qui a fait cavaler l'arrière-garde française.

Madoussou Fall (France)

Dans une équipe dominée physiquement, Madoussou Fall a été l'une des rares Bleues à surnager. Comme depuis le début du Tournoi, la deuxième-ligne a imposé sa puissance au contact et crée des brèches dans la défense anglaise, tout en assurant la continuité du jeu grâce à sa qualité technique. Hélas, ses offloads ont rarement trouvé un soutien adéquat.

Les Flops

Agathe Sochat (France)

Il est difficile de faire après-midi plus désagréable pour une talonneuse. Agathe Sochat a vu un nombre incalculable de ses lancers en touche se transformer en en-avant, ou être contré par l'alignement anglais. La Française n'a pu compenser ce déchet par son investissement dans la zone de combat, à cause de l'agressivité supérieure de l'adversaire.

Laure Sansus (France)

Exceptionnelle depuis le début du Tournoi, Laure Sansus n'a pas réalisé un mauvais match à Bayonne. Mais elle n'a pas su crée les différences habituelles, produire cette étincelle qui a cruellement manqué aux Bleues face aux Anglaises. Face à cette impuissance, la numéro 9 s'est souvent agacée, sans parvenir à trouver la clé.

Zoe Harrison (Angleterre)

Si l'Angleterre s'est imposée sans problème, elle n'a pas produit le jeu attrayant qui lui avait en partie permis d'écrabouiller ses adversaires jusque-là. Peu inspirée, la chef d'orchestre des Red Roses Zoe Harrison n'a pas réussi son meilleur match, que ce soit au pied ou à la main. Elle a aussi écopé d'un carton jaune mérité pour un en-avant volontaire, doublé d'un hors-jeu, qui aurait pu remettre les Bleues dans la partie. En vain.

**Scalp** Sam 30 Avr 2022 - 16:30

Tops/Flops France-Angleterre : Le plan parfait du XV de la Rose fait mal à Caroline Drouin et ses coéquipières

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/6-nations/tops-flops-france-angleterre-le-plan-parfait-du-xv-de-la-rose-fait-mal-a-caroline-drouin-et-ses-coequipieres-20220430

léopold Sam 30 Avr 2022 - 17:43

Il y a une taille d'écart face à ses demoiselles british, physiquement supérieure ce qui nous a valu des moments très éprouvants en touche, bien sur, même en mêlée et sur les groupés où nous n'avons pas existé.
Cet essai d'entrée crée une illusion,après dés que la marche avant fonctionne, on y va simplement, faute bleu, pénalité, touche, groupé et crabots enclenchés, direction en but.J'ai eu peur que nos filles prennent une grosse tôle, mais maladresses british, débauche de courage en défense, nos filles ont évité le pire.
Beau tournoi tout de même. :clap:

**Scalp** Dim 1 Mai 2022 - 8:29

léopold a écrit:Il y a une taille d'écart face à ses demoiselles british, physiquement supérieure ce qui nous a valu des moments très éprouvants en touche, bien sur, même en mêlée et sur les groupés où nous n'avons pas existé.
Cet essai d'entrée crée une illusion,après dés que la marche avant fonctionne, on y va simplement, faute bleu, pénalité, touche, groupé et crabots enclenchés, direction en but.J'ai eu peur que nos filles prennent une grosse tôle, mais maladresses british, débauche de courage en défense, nos filles ont évité le pire.
Beau tournoi tout de même.

Complètement d'accord avec toi Léopold, bravo à nos bleues pour leur tournoi !.

**Scalp** Dim 1 Mai 2022 - 9:28

**Scalp** Dim 1 Mai 2022 - 10:18

https://www.sudouest.fr/pyrenees-atlantiques/bayonne/rugby-apres-france-angleterre-les-bleues-ont-cinq-mois-pour-trouver-les-solutions-10783194.php

Rugby/Après France-Angleterre : les Bleues ont cinq mois pour « trouver les solutions »

Par Morgan Chari

En vue de la Coupe du monde, les Bleues devront absolument soigner leur conquête, tenir davantage le ballon et trouver une parade pour contrer la puissance et la technique anglaise sur ballons portés

À un peu plus de cinq mois du lancement de la Coupe du monde en Nouvelle-Zélande (8 octobre - 12 novembre), l’équipe de France rêvait de battre les Anglaises samedi, à Bayonne. Pour décrocher, à domicile, le sixième Grand Chelem de leur histoire. Pour stopper l’hégémonie des Britanniques, qu’elles retrouveront en phase de poules à l’automne.

Elles ont échoué dans leur quête. Battues (12-24) par le pragmatisme des n° 1 mondiales. Dominées physiquement par une formation qui a récité sa partition sur son point fort : les ballons portés, qui ont débouché sur trois essais. « Elles ont performé dans ce qu’elles savaient faire et nous, on a été défaillantes là-dessus », résumait l’arrière Jessy Trémoulière, à l’issue de la rencontre.

Les Bleues le savent : elles vont devoir travailler pour limiter l’influence de leurs rivales dans ce domaine. « Il va bien falloir qu’on finisse par trouver des solutions », reconnaissait la manager Annick Hayraud. « Peut-être les contrer dans un premier temps en l’air », estimait la troisième ligne Céline Ferer. Mais parce qu’elles ne combleront jamais leur déficit de poids et de puissance en l’espace de quelques mois, elles devront aussi - et surtout - être beaucoup plus incisives ballon en main. Et donc, pour cela, en avoir la maîtrise. Ce qui commence par une conquête propre.

Souviens-toi 2014…

Quand on égare huit ballons en touche, il est difficile de « les déplacer et de les asphyxier », comme le prévoyaient les partenaires de Céline Ferer. « À nous d’adapter notre jeu. D’être peut-être plus simple » dans les combinaisons annoncées. Les Bleues devront aussi commettre moins de fautes et faire preuve de réalisme. « Quand on est dans la zone de marque, il faut que l’on arrive à repartir avec des points. Tout simplement », ajoutait la Bayonnaise.

« Si on n’est pas à 110 % sur chaque action, c’est compliqué face à cette nation-là, concluait Jessy Trémoulière. Mais on croit en notre équipe, en notre projet de jeu ». Et le responsable sportif Thomas Darracq de rappeler qu’en 2014, les Bleues avaient réalisé le Grand Chelem, mais terminé, quelques mois plus tard, troisièmes d’une Coupe du monde remportée par… les Anglaises.

**Scalp** Lun 16 Mai 2022 - 10:22

Samuel Cherouk et Stéphane Eymard écartés du staff des Bleues

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Samuel-cherouk-et-stephane-eymard-ecartes-du-staff-des-bleues/1333320

léopold Mar 17 Mai 2022 - 10:29

Même si nos filles ont fait de bons résultats, j'avais trouvé cette saison que l'individualité forte l'emportait sur le collectif, sur le fond de jeu, surtout devant.
Laporte décide, il sanctionne, il a le droit pour lui c'est lui le chef.
Les deux virés vont être reclassé, pas de doute la dessus et puis cela donne une idée aux autres qui doivent un peu se bouger.
Les Anglaises sont pro et nos filles amateurs rire

C'est pas ça qui fait quelles ont un gabarit impressionnant.

tire-bouchon Mar 17 Mai 2022 - 11:08

léopold a écrit:Même si nos filles ont fait de bons résultats, j'avais trouvé cette saison que l'individualité forte l'emportait sur le collectif, sur le fond de jeu, surtout devant.
Laporte décide, il sanctionne, il a le droit pour lui c'est lui le chef.
Les deux virés vont être reclassé, pas de doute la dessus et puis cela donne une idée aux autres qui doivent un peu se bouger.
Les Anglaises sont pro et nos filles amateurs
C'est pas ça qui fait quelles ont un gabarit impressionnant.

Aller engueuler les filles dans les vestiaires alors qu'elles devaient être malheureuses comme les pierres est d' une élégance rare.
Un peu de téâtre avant de manier le hachoir, comme prévu certainement avant le match.
Du LaBinocle dans toute sa splendeur.

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