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tire-bouchon a écrit:

nadoloubb a écrit:

le radis a écrit:https://www.leprogres.fr/sport/2023/05/11/xavier-garbajosa-sur-la-sellette-au-lou

Il va avoir du mal à retrouver un poste de manager car ca fait deux expériences compliqués

Urios like this !

nadoloubb a écrit:

tire-bouchon a écrit:

nadoloubb a écrit:

le radis a écrit:https://www.leprogres.fr/sport/2023/05/11/xavier-garbajosa-sur-la-sellette-au-lou

Il va avoir du mal à retrouver un poste de manager car ca fait deux expériences compliqués

Urios like this !

Urios a gagné avec oyonnax, castres et a réussi chez nous, du moins au début.

Scalp a écrit:Top 14 : Brive officiellement rétrogradé en Pro D2

https://www.rugby365.fr/top-14-brive-officiellement-retrograde-pro-d2-10449465.html

Scalp a écrit:

https://twitter.com/Sf_actu/status/1657766803236429826?s=20

https://twitter.com/Sf_actu/status/1657766803236429826?s=20

Switch a écrit:

Scalp a écrit:

https://twitter.com/Sf_actu/status/1657766803236429826?s=20

https://twitter.com/Sf_actu/status/1657766803236429826?s=20

Ils se consoleront en recrutant à prix d'or des stars étrangères qui nous éblouiront (Matera, Laumape...).

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Switch a écrit:

Scalp a écrit:

https://twitter.com/Sf_actu/status/1657766803236429826?s=20

https://twitter.com/Sf_actu/status/1657766803236429826?s=20

Ils se consoleront en recrutant à prix d'or des stars étrangères qui nous éblouiront (Matera, Laumape...).

  j'ignorais que le SF avait un projet "formation"...

Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Au-lou-une-fin-de-championnat-sous-tension/1396823

Au LOU, une fin de championnat sous tension

Le match nul arraché sur le terrain du Stade Français (31-31), dimanche, a permis à Lyon, sixième, de retrouver davantage de sérénité après une semaine tendue. Même si les joueurs aimeraient que Xavier Garbajosa adoucisse son management.

Jean-François Paturaud et Maxime Raulin

À Lyon, « la semaine a été difficile pour tout le monde », nous dit-on, dans une forme de litote. Elle a vraiment débuté, mercredi, par une réunion entre plusieurs cadres et leur président Yann Roubert avant de s'achever, dimanche, par un match nul (31-31) renversant contre le Stade Français à Paris.

Durant les quarante premières minutes de néant conclues sur un cinglant 28-0, on a même cru que Baptiste Couilloud et ses partenaires avaient lâché Xavier Garbajosa. « Personne n'était serein à la mi-temps, expliquait Yann Roubert, lundi, qui n'a souhaité parler que du match et pas des à-côtés. La manière était affligeante et indigne. C'est d'autant plus remarquable d'avoir su réagir comme les joueurs l'ont fait. »

Ils étaient de toute façon attendus au tournant. Et pour cause, certains d'entre eux avaient, quelques jours plus tôt, exprimé plusieurs revendications dans le bureau de leur président sans aller jusqu'à demander la tête de leur manager comme nous l'ont confirmé plusieurs sources. De cette entrevue, il est ressorti qu'une grosse partie du groupe souhaitait que « Garba » ouvre davantage son management mais aussi qu'il tienne mieux compte des caractères des uns et des autres. Qu'il détaille davantage ses choix et qu'il y ait plus de dialogue. « Ils ont surtout voulu voir la direction pour dire ce qui n'allait pas », résume un proche du club.

Le malaise, déjà perceptible cet hiver avant un déplacement victorieux à Pau (21-12), s'est en revanche amplifié après la victoire miraculeuse contre Perpignan (41-31) voilà dix jours. Le contenu technique de la rencontre, il est vrai assez pauvre, n'avait pas plu au manager qui l'a vigoureusement fait savoir à son groupe. Et c'est justement cette communication du technicien de 46 ans qui poserait problème au LOU.

Lui veut casser les codes et façonner l'effectif selon ses convictions. Biberonné à l'école Guy Novès, l'ex-international est exigeant. Pas toujours très souple c'est vrai. C'était sa façon d'être en carrière. Et il n'a pas changé comme entraîneur. Ce qui peut crisper et agacer. Notamment les éléments qui ne jouent pas ou qui ne seront pas conservés cet été, ou encore quelques figures historiques de l'encadrement et de l'effectif. En interne, on le prend comme un passage obligé pour continuer à rénover.

« Tout reste possible, y compris le plus beau scénario »
Yann Roubert, président de Lyon

Sans surprise, personne n'a souhaité publiquement raconter la teneur des réunions ni des points de discorde. « Le linge sale doit se laver en famille et c'est ce qui a été fait cette semaine, résumait Couilloud sur Canal + après le match contre Stade Français. On a énormément parlé, on a remis en question beaucoup de choses au club. » De ce que l'on sait, les dirigeants rhodaniens ne sont pas prêts aujourd'hui à se séparer d'un manager qu'ils ont choisi pour pallier le départ de Pierre Mignoni pour le RCT après sept saisons du côté de Gerland. Ce serait à la fois un désaveu et un signe de faiblesse.

Le LOU n'aurait d'ailleurs pas sondé le marché pour trouver un nouvel homme fort. Comme révélé par L'Équipe le 5 avril dernier, ses adjoints Julien Puricelli, spécialiste de la touche, et Didier Bès, monsieur mêlée, ont déjà prolongé leur contrat jusqu'en 2025 pour coller à celui de leur manager. Quant à Garbajosa, il ne se sentirait pas menacé.

Évidemment, tout est possible dans le rugby d'aujourd'hui, surtout en cas d'accident sportif de fin de saison, mais l'idée serait bien de continuer avec l'encadrement actuel tout en assouplissant malgré tout un peu sa manière de manager. Suffisant aux yeux des mécontents ? Face à la situation sportive et comptable satisfaisante, cela s'entend. Sixième avant la dernière journée de Top 14 et la réception de Bayonne, concurrent direct à la qualification en barrages, le LOU a un pied en phase finale qu'il n'a plus disputée depuis 2019.

Les mots « durs et crus » prononcés dans les vestiaires de Jean-Bouin puis le caractère et la prestation réalisée en seconde mi-temps, sont autant de motifs d'espoir. « C'est bien de parler à la pause et il fallait des actes sur le terrain, souligne Roubert. C'est ce que les joueurs et le staff ont fait après une première mi-temps nulle. Ils voulaient montrer le vrai visage du LOU et c'est ce qui a été fait. On est capables du meilleur comme du pire, et on espère voir le meilleur. Tout reste possible, y compris le plus beau scénario. » Le LOU a retrouvé de l'appétit, de la sérénité. Et Garbajosa un peu de tranquillité.

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Au-lou-une-fin-de-championnat-sous-tension/1396823

Au LOU, une fin de championnat sous tension

Le match nul arraché sur le terrain du Stade Français (31-31), dimanche, a permis à Lyon, sixième, de retrouver davantage de sérénité après une semaine tendue. Même si les joueurs aimeraient que Xavier Garbajosa adoucisse son management.

Jean-François Paturaud et Maxime Raulin

À Lyon, « la semaine a été difficile pour tout le monde », nous dit-on, dans une forme de litote. Elle a vraiment débuté, mercredi, par une réunion entre plusieurs cadres et leur président Yann Roubert avant de s'achever, dimanche, par un match nul (31-31) renversant contre le Stade Français à Paris.

Durant les quarante premières minutes de néant conclues sur un cinglant 28-0, on a même cru que Baptiste Couilloud et ses partenaires avaient lâché Xavier Garbajosa. « Personne n'était serein à la mi-temps, expliquait Yann Roubert, lundi, qui n'a souhaité parler que du match et pas des à-côtés. La manière était affligeante et indigne. C'est d'autant plus remarquable d'avoir su réagir comme les joueurs l'ont fait. »

Ils étaient de toute façon attendus au tournant. Et pour cause, certains d'entre eux avaient, quelques jours plus tôt, exprimé plusieurs revendications dans le bureau de leur président sans aller jusqu'à demander la tête de leur manager comme nous l'ont confirmé plusieurs sources. De cette entrevue, il est ressorti qu'une grosse partie du groupe souhaitait que « Garba » ouvre davantage son management mais aussi qu'il tienne mieux compte des caractères des uns et des autres. Qu'il détaille davantage ses choix et qu'il y ait plus de dialogue. « Ils ont surtout voulu voir la direction pour dire ce qui n'allait pas », résume un proche du club.

Le malaise, déjà perceptible cet hiver avant un déplacement victorieux à Pau (21-12), s'est en revanche amplifié après la victoire miraculeuse contre Perpignan (41-31) voilà dix jours. Le contenu technique de la rencontre, il est vrai assez pauvre, n'avait pas plu au manager qui l'a vigoureusement fait savoir à son groupe. Et c'est justement cette communication du technicien de 46 ans qui poserait problème au LOU.

Lui veut casser les codes et façonner l'effectif selon ses convictions. Biberonné à l'école Guy Novès, l'ex-international est exigeant. Pas toujours très souple c'est vrai. C'était sa façon d'être en carrière. Et il n'a pas changé comme entraîneur. Ce qui peut crisper et agacer. Notamment les éléments qui ne jouent pas ou qui ne seront pas conservés cet été, ou encore quelques figures historiques de l'encadrement et de l'effectif. En interne, on le prend comme un passage obligé pour continuer à rénover.

« Tout reste possible, y compris le plus beau scénario »
Yann Roubert, président de Lyon

Sans surprise, personne n'a souhaité publiquement raconter la teneur des réunions ni des points de discorde. « Le linge sale doit se laver en famille et c'est ce qui a été fait cette semaine, résumait Couilloud sur Canal + après le match contre Stade Français. On a énormément parlé, on a remis en question beaucoup de choses au club. » De ce que l'on sait, les dirigeants rhodaniens ne sont pas prêts aujourd'hui à se séparer d'un manager qu'ils ont choisi pour pallier le départ de Pierre Mignoni pour le RCT après sept saisons du côté de Gerland. Ce serait à la fois un désaveu et un signe de faiblesse.

Le LOU n'aurait d'ailleurs pas sondé le marché pour trouver un nouvel homme fort. Comme révélé par L'Équipe le 5 avril dernier, ses adjoints Julien Puricelli, spécialiste de la touche, et Didier Bès, monsieur mêlée, ont déjà prolongé leur contrat jusqu'en 2025 pour coller à celui de leur manager. Quant à Garbajosa, il ne se sentirait pas menacé.

Évidemment, tout est possible dans le rugby d'aujourd'hui, surtout en cas d'accident sportif de fin de saison, mais l'idée serait bien de continuer avec l'encadrement actuel tout en assouplissant malgré tout un peu sa manière de manager. Suffisant aux yeux des mécontents ? Face à la situation sportive et comptable satisfaisante, cela s'entend. Sixième avant la dernière journée de Top 14 et la réception de Bayonne, concurrent direct à la qualification en barrages, le LOU a un pied en phase finale qu'il n'a plus disputée depuis 2019.

Les mots « durs et crus » prononcés dans les vestiaires de Jean-Bouin puis le caractère et la prestation réalisée en seconde mi-temps, sont autant de motifs d'espoir. « C'est bien de parler à la pause et il fallait des actes sur le terrain, souligne Roubert. C'est ce que les joueurs et le staff ont fait après une première mi-temps nulle. Ils voulaient montrer le vrai visage du LOU et c'est ce qui a été fait. On est capables du meilleur comme du pire, et on espère voir le meilleur. Tout reste possible, y compris le plus beau scénario. » Le LOU a retrouvé de l'appétit, de la sérénité. Et Garbajosa un peu de tranquillité.

Contexte un peu drama-queen, isn'it ?  

densnewzealand a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Au-lou-une-fin-de-championnat-sous-tension/1396823

Au LOU, une fin de championnat sous tension

Le match nul arraché sur le terrain du Stade Français (31-31), dimanche, a permis à Lyon, sixième, de retrouver davantage de sérénité après une semaine tendue. Même si les joueurs aimeraient que Xavier Garbajosa adoucisse son management.

Jean-François Paturaud et Maxime Raulin

À Lyon, « la semaine a été difficile pour tout le monde », nous dit-on, dans une forme de litote. Elle a vraiment débuté, mercredi, par une réunion entre plusieurs cadres et leur président Yann Roubert avant de s'achever, dimanche, par un match nul (31-31) renversant contre le Stade Français à Paris.

Durant les quarante premières minutes de néant conclues sur un cinglant 28-0, on a même cru que Baptiste Couilloud et ses partenaires avaient lâché Xavier Garbajosa. « Personne n'était serein à la mi-temps, expliquait Yann Roubert, lundi, qui n'a souhaité parler que du match et pas des à-côtés. La manière était affligeante et indigne. C'est d'autant plus remarquable d'avoir su réagir comme les joueurs l'ont fait. »

Ils étaient de toute façon attendus au tournant. Et pour cause, certains d'entre eux avaient, quelques jours plus tôt, exprimé plusieurs revendications dans le bureau de leur président sans aller jusqu'à demander la tête de leur manager comme nous l'ont confirmé plusieurs sources. De cette entrevue, il est ressorti qu'une grosse partie du groupe souhaitait que « Garba » ouvre davantage son management mais aussi qu'il tienne mieux compte des caractères des uns et des autres. Qu'il détaille davantage ses choix et qu'il y ait plus de dialogue. « Ils ont surtout voulu voir la direction pour dire ce qui n'allait pas », résume un proche du club.

Le malaise, déjà perceptible cet hiver avant un déplacement victorieux à Pau (21-12), s'est en revanche amplifié après la victoire miraculeuse contre Perpignan (41-31) voilà dix jours. Le contenu technique de la rencontre, il est vrai assez pauvre, n'avait pas plu au manager qui l'a vigoureusement fait savoir à son groupe. Et c'est justement cette communication du technicien de 46 ans qui poserait problème au LOU.

Lui veut casser les codes et façonner l'effectif selon ses convictions. Biberonné à l'école Guy Novès, l'ex-international est exigeant. Pas toujours très souple c'est vrai. C'était sa façon d'être en carrière. Et il n'a pas changé comme entraîneur. Ce qui peut crisper et agacer. Notamment les éléments qui ne jouent pas ou qui ne seront pas conservés cet été, ou encore quelques figures historiques de l'encadrement et de l'effectif. En interne, on le prend comme un passage obligé pour continuer à rénover.

« Tout reste possible, y compris le plus beau scénario »
Yann Roubert, président de Lyon

Sans surprise, personne n'a souhaité publiquement raconter la teneur des réunions ni des points de discorde. « Le linge sale doit se laver en famille et c'est ce qui a été fait cette semaine, résumait Couilloud sur Canal + après le match contre Stade Français. On a énormément parlé, on a remis en question beaucoup de choses au club. » De ce que l'on sait, les dirigeants rhodaniens ne sont pas prêts aujourd'hui à se séparer d'un manager qu'ils ont choisi pour pallier le départ de Pierre Mignoni pour le RCT après sept saisons du côté de Gerland. Ce serait à la fois un désaveu et un signe de faiblesse.

Le LOU n'aurait d'ailleurs pas sondé le marché pour trouver un nouvel homme fort. Comme révélé par L'Équipe le 5 avril dernier, ses adjoints Julien Puricelli, spécialiste de la touche, et Didier Bès, monsieur mêlée, ont déjà prolongé leur contrat jusqu'en 2025 pour coller à celui de leur manager. Quant à Garbajosa, il ne se sentirait pas menacé.

Évidemment, tout est possible dans le rugby d'aujourd'hui, surtout en cas d'accident sportif de fin de saison, mais l'idée serait bien de continuer avec l'encadrement actuel tout en assouplissant malgré tout un peu sa manière de manager. Suffisant aux yeux des mécontents ? Face à la situation sportive et comptable satisfaisante, cela s'entend. Sixième avant la dernière journée de Top 14 et la réception de Bayonne, concurrent direct à la qualification en barrages, le LOU a un pied en phase finale qu'il n'a plus disputée depuis 2019.

Les mots « durs et crus » prononcés dans les vestiaires de Jean-Bouin puis le caractère et la prestation réalisée en seconde mi-temps, sont autant de motifs d'espoir. « C'est bien de parler à la pause et il fallait des actes sur le terrain, souligne Roubert. C'est ce que les joueurs et le staff ont fait après une première mi-temps nulle. Ils voulaient montrer le vrai visage du LOU et c'est ce qui a été fait. On est capables du meilleur comme du pire, et on espère voir le meilleur. Tout reste possible, y compris le plus beau scénario. » Le LOU a retrouvé de l'appétit, de la sérénité. Et Garbajosa un peu de tranquillité.

Contexte un peu drama-queen, isn'it ?  

Oui, mais 3 essais en contre , le contenu ne reflétait pas le score.

Switch a écrit:

densnewzealand a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Au-lou-une-fin-de-championnat-sous-tension/1396823

Au LOU, une fin de championnat sous tension

Le match nul arraché sur le terrain du Stade Français (31-31), dimanche, a permis à Lyon, sixième, de retrouver davantage de sérénité après une semaine tendue. Même si les joueurs aimeraient que Xavier Garbajosa adoucisse son management.

Jean-François Paturaud et Maxime Raulin

À Lyon, « la semaine a été difficile pour tout le monde », nous dit-on, dans une forme de litote. Elle a vraiment débuté, mercredi, par une réunion entre plusieurs cadres et leur président Yann Roubert avant de s'achever, dimanche, par un match nul (31-31) renversant contre le Stade Français à Paris.

Durant les quarante premières minutes de néant conclues sur un cinglant 28-0, on a même cru que Baptiste Couilloud et ses partenaires avaient lâché Xavier Garbajosa. « Personne n'était serein à la mi-temps, expliquait Yann Roubert, lundi, qui n'a souhaité parler que du match et pas des à-côtés. La manière était affligeante et indigne. C'est d'autant plus remarquable d'avoir su réagir comme les joueurs l'ont fait. »

Ils étaient de toute façon attendus au tournant. Et pour cause, certains d'entre eux avaient, quelques jours plus tôt, exprimé plusieurs revendications dans le bureau de leur président sans aller jusqu'à demander la tête de leur manager comme nous l'ont confirmé plusieurs sources. De cette entrevue, il est ressorti qu'une grosse partie du groupe souhaitait que « Garba » ouvre davantage son management mais aussi qu'il tienne mieux compte des caractères des uns et des autres. Qu'il détaille davantage ses choix et qu'il y ait plus de dialogue. « Ils ont surtout voulu voir la direction pour dire ce qui n'allait pas », résume un proche du club.

Le malaise, déjà perceptible cet hiver avant un déplacement victorieux à Pau (21-12), s'est en revanche amplifié après la victoire miraculeuse contre Perpignan (41-31) voilà dix jours. Le contenu technique de la rencontre, il est vrai assez pauvre, n'avait pas plu au manager qui l'a vigoureusement fait savoir à son groupe. Et c'est justement cette communication du technicien de 46 ans qui poserait problème au LOU.

Lui veut casser les codes et façonner l'effectif selon ses convictions. Biberonné à l'école Guy Novès, l'ex-international est exigeant. Pas toujours très souple c'est vrai. C'était sa façon d'être en carrière. Et il n'a pas changé comme entraîneur. Ce qui peut crisper et agacer. Notamment les éléments qui ne jouent pas ou qui ne seront pas conservés cet été, ou encore quelques figures historiques de l'encadrement et de l'effectif. En interne, on le prend comme un passage obligé pour continuer à rénover.

« Tout reste possible, y compris le plus beau scénario »
Yann Roubert, président de Lyon

Sans surprise, personne n'a souhaité publiquement raconter la teneur des réunions ni des points de discorde. « Le linge sale doit se laver en famille et c'est ce qui a été fait cette semaine, résumait Couilloud sur Canal + après le match contre Stade Français. On a énormément parlé, on a remis en question beaucoup de choses au club. » De ce que l'on sait, les dirigeants rhodaniens ne sont pas prêts aujourd'hui à se séparer d'un manager qu'ils ont choisi pour pallier le départ de Pierre Mignoni pour le RCT après sept saisons du côté de Gerland. Ce serait à la fois un désaveu et un signe de faiblesse.

Le LOU n'aurait d'ailleurs pas sondé le marché pour trouver un nouvel homme fort. Comme révélé par L'Équipe le 5 avril dernier, ses adjoints Julien Puricelli, spécialiste de la touche, et Didier Bès, monsieur mêlée, ont déjà prolongé leur contrat jusqu'en 2025 pour coller à celui de leur manager. Quant à Garbajosa, il ne se sentirait pas menacé.

Évidemment, tout est possible dans le rugby d'aujourd'hui, surtout en cas d'accident sportif de fin de saison, mais l'idée serait bien de continuer avec l'encadrement actuel tout en assouplissant malgré tout un peu sa manière de manager. Suffisant aux yeux des mécontents ? Face à la situation sportive et comptable satisfaisante, cela s'entend. Sixième avant la dernière journée de Top 14 et la réception de Bayonne, concurrent direct à la qualification en barrages, le LOU a un pied en phase finale qu'il n'a plus disputée depuis 2019.

Les mots « durs et crus » prononcés dans les vestiaires de Jean-Bouin puis le caractère et la prestation réalisée en seconde mi-temps, sont autant de motifs d'espoir. « C'est bien de parler à la pause et il fallait des actes sur le terrain, souligne Roubert. C'est ce que les joueurs et le staff ont fait après une première mi-temps nulle. Ils voulaient montrer le vrai visage du LOU et c'est ce qui a été fait. On est capables du meilleur comme du pire, et on espère voir le meilleur. Tout reste possible, y compris le plus beau scénario. » Le LOU a retrouvé de l'appétit, de la sérénité. Et Garbajosa un peu de tranquillité.

Contexte un peu drama-queen, isn'it ?  

Oui, mais 3 essais en contre , le contenu ne reflétait pas le score.

On l'a vu chez nous et on le voit au MHR aussi, quand le ver est dans le fruit (comme disait P. Salviac), tôt ou tard la pomme pourrie finira pas tomber.

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Switch a écrit:

densnewzealand a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Au-lou-une-fin-de-championnat-sous-tension/1396823

Au LOU, une fin de championnat sous tension

Le match nul arraché sur le terrain du Stade Français (31-31), dimanche, a permis à Lyon, sixième, de retrouver davantage de sérénité après une semaine tendue. Même si les joueurs aimeraient que Xavier Garbajosa adoucisse son management.

Jean-François Paturaud et Maxime Raulin

À Lyon, « la semaine a été difficile pour tout le monde », nous dit-on, dans une forme de litote. Elle a vraiment débuté, mercredi, par une réunion entre plusieurs cadres et leur président Yann Roubert avant de s'achever, dimanche, par un match nul (31-31) renversant contre le Stade Français à Paris.

Durant les quarante premières minutes de néant conclues sur un cinglant 28-0, on a même cru que Baptiste Couilloud et ses partenaires avaient lâché Xavier Garbajosa. « Personne n'était serein à la mi-temps, expliquait Yann Roubert, lundi, qui n'a souhaité parler que du match et pas des à-côtés. La manière était affligeante et indigne. C'est d'autant plus remarquable d'avoir su réagir comme les joueurs l'ont fait. »

Ils étaient de toute façon attendus au tournant. Et pour cause, certains d'entre eux avaient, quelques jours plus tôt, exprimé plusieurs revendications dans le bureau de leur président sans aller jusqu'à demander la tête de leur manager comme nous l'ont confirmé plusieurs sources. De cette entrevue, il est ressorti qu'une grosse partie du groupe souhaitait que « Garba » ouvre davantage son management mais aussi qu'il tienne mieux compte des caractères des uns et des autres. Qu'il détaille davantage ses choix et qu'il y ait plus de dialogue. « Ils ont surtout voulu voir la direction pour dire ce qui n'allait pas », résume un proche du club.

Le malaise, déjà perceptible cet hiver avant un déplacement victorieux à Pau (21-12), s'est en revanche amplifié après la victoire miraculeuse contre Perpignan (41-31) voilà dix jours. Le contenu technique de la rencontre, il est vrai assez pauvre, n'avait pas plu au manager qui l'a vigoureusement fait savoir à son groupe. Et c'est justement cette communication du technicien de 46 ans qui poserait problème au LOU.

Lui veut casser les codes et façonner l'effectif selon ses convictions. Biberonné à l'école Guy Novès, l'ex-international est exigeant. Pas toujours très souple c'est vrai. C'était sa façon d'être en carrière. Et il n'a pas changé comme entraîneur. Ce qui peut crisper et agacer. Notamment les éléments qui ne jouent pas ou qui ne seront pas conservés cet été, ou encore quelques figures historiques de l'encadrement et de l'effectif. En interne, on le prend comme un passage obligé pour continuer à rénover.

« Tout reste possible, y compris le plus beau scénario »
Yann Roubert, président de Lyon

Sans surprise, personne n'a souhaité publiquement raconter la teneur des réunions ni des points de discorde. « Le linge sale doit se laver en famille et c'est ce qui a été fait cette semaine, résumait Couilloud sur Canal + après le match contre Stade Français. On a énormément parlé, on a remis en question beaucoup de choses au club. » De ce que l'on sait, les dirigeants rhodaniens ne sont pas prêts aujourd'hui à se séparer d'un manager qu'ils ont choisi pour pallier le départ de Pierre Mignoni pour le RCT après sept saisons du côté de Gerland. Ce serait à la fois un désaveu et un signe de faiblesse.

Le LOU n'aurait d'ailleurs pas sondé le marché pour trouver un nouvel homme fort. Comme révélé par L'Équipe le 5 avril dernier, ses adjoints Julien Puricelli, spécialiste de la touche, et Didier Bès, monsieur mêlée, ont déjà prolongé leur contrat jusqu'en 2025 pour coller à celui de leur manager. Quant à Garbajosa, il ne se sentirait pas menacé.

Évidemment, tout est possible dans le rugby d'aujourd'hui, surtout en cas d'accident sportif de fin de saison, mais l'idée serait bien de continuer avec l'encadrement actuel tout en assouplissant malgré tout un peu sa manière de manager. Suffisant aux yeux des mécontents ? Face à la situation sportive et comptable satisfaisante, cela s'entend. Sixième avant la dernière journée de Top 14 et la réception de Bayonne, concurrent direct à la qualification en barrages, le LOU a un pied en phase finale qu'il n'a plus disputée depuis 2019.

Les mots « durs et crus » prononcés dans les vestiaires de Jean-Bouin puis le caractère et la prestation réalisée en seconde mi-temps, sont autant de motifs d'espoir. « C'est bien de parler à la pause et il fallait des actes sur le terrain, souligne Roubert. C'est ce que les joueurs et le staff ont fait après une première mi-temps nulle. Ils voulaient montrer le vrai visage du LOU et c'est ce qui a été fait. On est capables du meilleur comme du pire, et on espère voir le meilleur. Tout reste possible, y compris le plus beau scénario. » Le LOU a retrouvé de l'appétit, de la sérénité. Et Garbajosa un peu de tranquillité.

Contexte un peu drama-queen, isn'it ?  

Oui, mais 3 essais en contre , le contenu ne reflétait pas le score.

On l'a vu chez nous et on le voit au MHR aussi, quand le ver est dans le fruit (comme disait P. Salviac), tôt ou tard la pomme pourrie finira pas tomber.

il me semblait que Salviac parlait plus de cabane et de chien comme il parlait aussi de cochon et de maïs...

Quant à Albaladéjo, son adage favori était :" lou gat est magre"

Switch a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Switch a écrit:

densnewzealand a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Au-lou-une-fin-de-championnat-sous-tension/1396823

Au LOU, une fin de championnat sous tension

Le match nul arraché sur le terrain du Stade Français (31-31), dimanche, a permis à Lyon, sixième, de retrouver davantage de sérénité après une semaine tendue. Même si les joueurs aimeraient que Xavier Garbajosa adoucisse son management.

Jean-François Paturaud et Maxime Raulin

À Lyon, « la semaine a été difficile pour tout le monde », nous dit-on, dans une forme de litote. Elle a vraiment débuté, mercredi, par une réunion entre plusieurs cadres et leur président Yann Roubert avant de s'achever, dimanche, par un match nul (31-31) renversant contre le Stade Français à Paris.

Durant les quarante premières minutes de néant conclues sur un cinglant 28-0, on a même cru que Baptiste Couilloud et ses partenaires avaient lâché Xavier Garbajosa. « Personne n'était serein à la mi-temps, expliquait Yann Roubert, lundi, qui n'a souhaité parler que du match et pas des à-côtés. La manière était affligeante et indigne. C'est d'autant plus remarquable d'avoir su réagir comme les joueurs l'ont fait. »

Ils étaient de toute façon attendus au tournant. Et pour cause, certains d'entre eux avaient, quelques jours plus tôt, exprimé plusieurs revendications dans le bureau de leur président sans aller jusqu'à demander la tête de leur manager comme nous l'ont confirmé plusieurs sources. De cette entrevue, il est ressorti qu'une grosse partie du groupe souhaitait que « Garba » ouvre davantage son management mais aussi qu'il tienne mieux compte des caractères des uns et des autres. Qu'il détaille davantage ses choix et qu'il y ait plus de dialogue. « Ils ont surtout voulu voir la direction pour dire ce qui n'allait pas », résume un proche du club.

Le malaise, déjà perceptible cet hiver avant un déplacement victorieux à Pau (21-12), s'est en revanche amplifié après la victoire miraculeuse contre Perpignan (41-31) voilà dix jours. Le contenu technique de la rencontre, il est vrai assez pauvre, n'avait pas plu au manager qui l'a vigoureusement fait savoir à son groupe. Et c'est justement cette communication du technicien de 46 ans qui poserait problème au LOU.

Lui veut casser les codes et façonner l'effectif selon ses convictions. Biberonné à l'école Guy Novès, l'ex-international est exigeant. Pas toujours très souple c'est vrai. C'était sa façon d'être en carrière. Et il n'a pas changé comme entraîneur. Ce qui peut crisper et agacer. Notamment les éléments qui ne jouent pas ou qui ne seront pas conservés cet été, ou encore quelques figures historiques de l'encadrement et de l'effectif. En interne, on le prend comme un passage obligé pour continuer à rénover.

« Tout reste possible, y compris le plus beau scénario »
Yann Roubert, président de Lyon

Sans surprise, personne n'a souhaité publiquement raconter la teneur des réunions ni des points de discorde. « Le linge sale doit se laver en famille et c'est ce qui a été fait cette semaine, résumait Couilloud sur Canal + après le match contre Stade Français. On a énormément parlé, on a remis en question beaucoup de choses au club. » De ce que l'on sait, les dirigeants rhodaniens ne sont pas prêts aujourd'hui à se séparer d'un manager qu'ils ont choisi pour pallier le départ de Pierre Mignoni pour le RCT après sept saisons du côté de Gerland. Ce serait à la fois un désaveu et un signe de faiblesse.

Le LOU n'aurait d'ailleurs pas sondé le marché pour trouver un nouvel homme fort. Comme révélé par L'Équipe le 5 avril dernier, ses adjoints Julien Puricelli, spécialiste de la touche, et Didier Bès, monsieur mêlée, ont déjà prolongé leur contrat jusqu'en 2025 pour coller à celui de leur manager. Quant à Garbajosa, il ne se sentirait pas menacé.

Évidemment, tout est possible dans le rugby d'aujourd'hui, surtout en cas d'accident sportif de fin de saison, mais l'idée serait bien de continuer avec l'encadrement actuel tout en assouplissant malgré tout un peu sa manière de manager. Suffisant aux yeux des mécontents ? Face à la situation sportive et comptable satisfaisante, cela s'entend. Sixième avant la dernière journée de Top 14 et la réception de Bayonne, concurrent direct à la qualification en barrages, le LOU a un pied en phase finale qu'il n'a plus disputée depuis 2019.

Les mots « durs et crus » prononcés dans les vestiaires de Jean-Bouin puis le caractère et la prestation réalisée en seconde mi-temps, sont autant de motifs d'espoir. « C'est bien de parler à la pause et il fallait des actes sur le terrain, souligne Roubert. C'est ce que les joueurs et le staff ont fait après une première mi-temps nulle. Ils voulaient montrer le vrai visage du LOU et c'est ce qui a été fait. On est capables du meilleur comme du pire, et on espère voir le meilleur. Tout reste possible, y compris le plus beau scénario. » Le LOU a retrouvé de l'appétit, de la sérénité. Et Garbajosa un peu de tranquillité.

Contexte un peu drama-queen, isn'it ?  

Oui, mais 3 essais en contre , le contenu ne reflétait pas le score.

On l'a vu chez nous et on le voit au MHR aussi, quand le ver est dans le fruit (comme disait P. Salviac), tôt ou tard la pomme pourrie finira pas tomber.

il me semblait que Salviac parlait plus de cabane et de chien comme il parlait aussi de cochon et de maïs...

Quant à Albaladéjo, son adage favori était :" lou gat est magre"

Le cochon est dans le maïs, la cabane est tombée sur le chien, le ver est dans le fruit...y en a eu pas mal !

densnewzealand a écrit:

Switch a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Switch a écrit:

densnewzealand a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Au-lou-une-fin-de-championnat-sous-tension/1396823

Au LOU, une fin de championnat sous tension

Le match nul arraché sur le terrain du Stade Français (31-31), dimanche, a permis à Lyon, sixième, de retrouver davantage de sérénité après une semaine tendue. Même si les joueurs aimeraient que Xavier Garbajosa adoucisse son management.

Jean-François Paturaud et Maxime Raulin

À Lyon, « la semaine a été difficile pour tout le monde », nous dit-on, dans une forme de litote. Elle a vraiment débuté, mercredi, par une réunion entre plusieurs cadres et leur président Yann Roubert avant de s'achever, dimanche, par un match nul (31-31) renversant contre le Stade Français à Paris.

Durant les quarante premières minutes de néant conclues sur un cinglant 28-0, on a même cru que Baptiste Couilloud et ses partenaires avaient lâché Xavier Garbajosa. « Personne n'était serein à la mi-temps, expliquait Yann Roubert, lundi, qui n'a souhaité parler que du match et pas des à-côtés. La manière était affligeante et indigne. C'est d'autant plus remarquable d'avoir su réagir comme les joueurs l'ont fait. »

Ils étaient de toute façon attendus au tournant. Et pour cause, certains d'entre eux avaient, quelques jours plus tôt, exprimé plusieurs revendications dans le bureau de leur président sans aller jusqu'à demander la tête de leur manager comme nous l'ont confirmé plusieurs sources. De cette entrevue, il est ressorti qu'une grosse partie du groupe souhaitait que « Garba » ouvre davantage son management mais aussi qu'il tienne mieux compte des caractères des uns et des autres. Qu'il détaille davantage ses choix et qu'il y ait plus de dialogue. « Ils ont surtout voulu voir la direction pour dire ce qui n'allait pas », résume un proche du club.

Le malaise, déjà perceptible cet hiver avant un déplacement victorieux à Pau (21-12), s'est en revanche amplifié après la victoire miraculeuse contre Perpignan (41-31) voilà dix jours. Le contenu technique de la rencontre, il est vrai assez pauvre, n'avait pas plu au manager qui l'a vigoureusement fait savoir à son groupe. Et c'est justement cette communication du technicien de 46 ans qui poserait problème au LOU.

Lui veut casser les codes et façonner l'effectif selon ses convictions. Biberonné à l'école Guy Novès, l'ex-international est exigeant. Pas toujours très souple c'est vrai. C'était sa façon d'être en carrière. Et il n'a pas changé comme entraîneur. Ce qui peut crisper et agacer. Notamment les éléments qui ne jouent pas ou qui ne seront pas conservés cet été, ou encore quelques figures historiques de l'encadrement et de l'effectif. En interne, on le prend comme un passage obligé pour continuer à rénover.

« Tout reste possible, y compris le plus beau scénario »
Yann Roubert, président de Lyon

Sans surprise, personne n'a souhaité publiquement raconter la teneur des réunions ni des points de discorde. « Le linge sale doit se laver en famille et c'est ce qui a été fait cette semaine, résumait Couilloud sur Canal + après le match contre Stade Français. On a énormément parlé, on a remis en question beaucoup de choses au club. » De ce que l'on sait, les dirigeants rhodaniens ne sont pas prêts aujourd'hui à se séparer d'un manager qu'ils ont choisi pour pallier le départ de Pierre Mignoni pour le RCT après sept saisons du côté de Gerland. Ce serait à la fois un désaveu et un signe de faiblesse.

Le LOU n'aurait d'ailleurs pas sondé le marché pour trouver un nouvel homme fort. Comme révélé par L'Équipe le 5 avril dernier, ses adjoints Julien Puricelli, spécialiste de la touche, et Didier Bès, monsieur mêlée, ont déjà prolongé leur contrat jusqu'en 2025 pour coller à celui de leur manager. Quant à Garbajosa, il ne se sentirait pas menacé.

Évidemment, tout est possible dans le rugby d'aujourd'hui, surtout en cas d'accident sportif de fin de saison, mais l'idée serait bien de continuer avec l'encadrement actuel tout en assouplissant malgré tout un peu sa manière de manager. Suffisant aux yeux des mécontents ? Face à la situation sportive et comptable satisfaisante, cela s'entend. Sixième avant la dernière journée de Top 14 et la réception de Bayonne, concurrent direct à la qualification en barrages, le LOU a un pied en phase finale qu'il n'a plus disputée depuis 2019.

Les mots « durs et crus » prononcés dans les vestiaires de Jean-Bouin puis le caractère et la prestation réalisée en seconde mi-temps, sont autant de motifs d'espoir. « C'est bien de parler à la pause et il fallait des actes sur le terrain, souligne Roubert. C'est ce que les joueurs et le staff ont fait après une première mi-temps nulle. Ils voulaient montrer le vrai visage du LOU et c'est ce qui a été fait. On est capables du meilleur comme du pire, et on espère voir le meilleur. Tout reste possible, y compris le plus beau scénario. » Le LOU a retrouvé de l'appétit, de la sérénité. Et Garbajosa un peu de tranquillité.

Contexte un peu drama-queen, isn'it ?  

Oui, mais 3 essais en contre , le contenu ne reflétait pas le score.

On l'a vu chez nous et on le voit au MHR aussi, quand le ver est dans le fruit (comme disait P. Salviac), tôt ou tard la pomme pourrie finira pas tomber.

il me semblait que Salviac parlait plus de cabane et de chien comme il parlait aussi de cochon et de maïs...

Quant à Albaladéjo, son adage favori était :" lou gat est magre"

Le cochon est dans le maïs, la cabane est tombée sur le chien, le ver est dans le fruit...y en a eu pas mal !

Lou Petti es en la Pampa

Big'Ben a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/05/18/pro-d2-mont-de-marsan-condamne-a-une-amende-de-10-000-euros-apres-la-haie-dhonneur-pour-julien-cabannes-11203989.php

Une énorme honte qu'est cette commission de discipline...

Switch a écrit:

Big'Ben a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/05/18/pro-d2-mont-de-marsan-condamne-a-une-amende-de-10-000-euros-apres-la-haie-dhonneur-pour-julien-cabannes-11203989.php

Une énorme honte qu'est cette commission de discipline...

Putain mais quelle honte. C'est minable.

marchal a écrit:honteux quand on pense qu'il a passé 25 ans dans un club, C'est tellement rare à notre epoque.
En plus rouen a aussi fait la haie d'honneur.
félicitations en tous cas au 2 clubs d'avoir fêté comme il se doit la fidélité à un club de cabannes

densnewzealand a écrit:

marchal a écrit:honteux quand on pense qu'il a passé 25 ans dans un club, C'est tellement rare à notre epoque.
En plus rouen a aussi fait la haie d'honneur.
félicitations en tous cas au 2 clubs d'avoir fêté comme il se doit la fidélité à un club de cabannes

C’est pas la première et la dernière fois que ce type de commission a les fils qui se touchent .Pourtant elle composée aussi d’anciens joueurs pour partie. Zont pas l’air cons ce matin, ces guignols.