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Affluence au stade et popularité du Top14
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Affluence au stade et popularité du Top14
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Affluence-au-stade-pourquoi-le-top-14-cartonne/1383336
Affluence au stade : pourquoi le Top 14 cartonne
Le Top 14 n'a jamais semblé aussi attractif qu'aujourd'hui. Une popularité qu'il doit autant à la proximité du Mondial en France et aux résultats des Bleus qu'au suspense qu'il génère et aux bonnes conditions d'accueil du public.
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Le stade Chaban-Delmas de Bordeaux affiche régulièrement ses matches à guichets fermés, comme c'était le cas le 30 octobre dernier face à Toulon (27-26). (N. Luttiau/L'Équipe)
Laurent Campistron
Le Top 14 a bonne mine. Les chiffres des affluences dans les stades l'attestent. Au soir de la 18e journée, 1 772 224 spectateurs s'étaient déjà rendu au stade cette saison, soit 20 % de plus que la saison dernière à la même période, ce qui représente une moyenne de 14 065 fans par match. Un record a même été établi ce week-end-là avec une moyenne de 18 782 spectateurs. Une fréquentation significative, qui a certes profité de la délocalisation du Toulon-Toulouse au Stade-Vélodrome de Marseille (un choc suivi par 43 804 personnes !), mais pas que.
Top 3 des affluences moyennes du Top 14
1. Union Bordeaux-Bègles : 27 037
2. Stade Toulousain : 20 235
3. Stade Rochelais et RC Toulonnais : 16 000
À Canal +, le diffuseur du Championnat, les audiences sont aussi à la hausse depuis la mise en place il y a deux ans d'une programmation proposant notamment deux matches en prime time le samedi soir et le dimanche soir, un match le samedi à 15 heures, un multiplex le même jour à 17 heures et deux émissions en clair (le Canal Rugby Club) le samedi et le dimanche. « Cette saison, entre la J1 et la J11, puisque l'étude s'est arrêtée fin novembre, on est à + 6 % par rapport à la saison dernière, qui était elle-même à + 10 % par rapport à la précédente, révèle Éric Bayle, le directeur du rugby de la chaîne cryptée. Et chaque week-end, entre nos directs et nos émissions, on touche plus de deux millions de téléspectateurs en moyenne. »
La case qui carbure le plus est celle du dimanche soir, avec une moyenne de 630 000 téléspectateurs, soit une augmentation de 8 % par rapport à la saison dernière et de 23 % par rapport à la saison 2020-2021. Le dimanche 1er janvier dernier, le match Clermont-Toulouse de 21 h 05 a ainsi scotché 786 000 personnes devant leur écran, un record depuis cinq ans pour un match de phase régulière. Alors pourquoi un tel engouement aujourd'hui, alors que partout ailleurs, et notamment en Angleterre, les clubs peinent à remplir les stades ?
Parce que le contexte est porteur
Avec une équipe de France qui performe et une Coupe du monde qui devrait enflammer le pays dans quelques mois (8 septembre-28 octobre), l'Hexagone est en train de virer ovale. « Ce contexte met le rugby au centre des attentes et des attentions », reconnaît Emmanuel Eschalier, le directeur général de la LNR. Et donc le Top 14, qui semble hermétique aux affaires qui secouent la Fédé et assez peu affecté par les doublons en période internationale qui parasitent sa lecture.
« Il y a un léger fléchissement, admet Bayle, surtout pendant le Six Nations, qui étale ses trois matches tout au long du week-end. Donc, forcément que l'abonné de Canal doit se partager entre le multiplex et Galles-Angleterre, pour prendre exemple de samedi dernier. Mais on a quand même attiré 650 000 téléspectateurs sur Bordeaux-Clermont la semaine dernière, et je suis sûr que le Racing-Toulouse de dimanche à 21 h 05 marchera aussi, notamment parce que Jaminet et Mauvaka devraient jouer côté toulousain. Comme nos Bleus jouent tous dans ce Championnat, la sélection et le Top 14 sont complètement imbriqués. »
Même constat dans les stades, où l'effritement des affluences ne se fait pas tellement ressentir lors des doublons. « On l'a vu ce dernier week-end avec des guichets fermés à Toulouse, La Rochelle et Bayonne, et de très bonnes affluences à Lyon et Bordeaux », note Eschalier.
Parce que le Top 14 est bien exposé et rempli d'incertitude
« Un feuilleton qui se suit comme une série. » C'est ainsi, comme le dit Éric Bayle, que Canal+ a imaginé son exposition du Top 14. « La chaîne en a fait un des piliers de sa programmation sportive avec la Ligue des champions, la Ligue 1 et la Formule 1 », ajoute-t-il. Mais pour que ça marche, encore faut-il que le Championnat ait tout ce qui fait le charme d'une série à succès, à savoir des histoires, des héros et du suspense. Ce qui est le cas.
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Les supporters bayonnais étaient venus en nombre à Bordeaux. (N. Luttiau/L'Équipe)
« On a des joueurs très identifiés, des stars, des managers à forte personnalité, et puis surtout beaucoup d'incertitude, poursuit le commentateur vedette de Canal+. À chaque début de saison, tu ne sais jamais qui va gagner. Aujourd'hui, on en est à sept champions différents en neuf ans. On a une densité tellement incroyable que la plupart des matches se jouent dans les dernières minutes, que les deux finalistes de la saison dernière (Montpellier et Castres) sont loin d'être qualifiés, et qu'un promu (Bayonne) réussit à se hisser à la 5e place. » « Les prétendants au titre augmentent chaque année, ajoute Eschalier. Aux historiques se sont ajoutés ces dernières années des clubs comme La Rochelle, l'UBB, Lyon ou Montpellier. Chaque journée donne donc lieu à plusieurs affiches. »
Parce qu'il fait bon aller au stade
Avez-vous déjà assisté à une rencontre de Top 14 au stade Ernest-Wallon de Toulouse ? Il y a ce qui se passe sur le terrain, bien sûr, avec ce jeu la plupart du temps spectaculaire, mais aussi tout ce qui se passe avant, avec notamment ces groupes musicaux qui animent l'avant-match aux abords de l'enceinte, et tout ce qui se passe après, quand l'afflux de nombreux fans à la Bodega, collée au stade, transforme presque l'endroit en boîte de nuit géante. Ce cocktail attractif n'est évidemment pas étranger à ces 17 matches d'affilée à guichets fermés que le club enchaîne depuis la saison dernière.
Toulouse n'est pas un cas isolé. C'est la même chose à La Rochelle, à Bayonne, à Perpignan, partout où le rugby donne souvent le pouls de la ville. « Les clubs ont beaucoup travaillé à l'amélioration de l'accueil et de l'expérience proposés aux spectateurs, remarque Eschalier. Les stades se transforment et la qualité de l'offre s'enrichit constamment en mettant en avant ce que le rugby suggère, c'est-à-dire un esprit de fête, de convivialité et de partage. » Les affluences grimpent aussi en Pro D2, mais dans une moindre mesure. Peut-être parce que Bayonne, qui tirait les chiffres vers le haut la saison passée, est aujourd'hui dans l'élite, où elle booste de la même manière la fréquentation du Top 14
Affluence au stade : pourquoi le Top 14 cartonne
Le Top 14 n'a jamais semblé aussi attractif qu'aujourd'hui. Une popularité qu'il doit autant à la proximité du Mondial en France et aux résultats des Bleus qu'au suspense qu'il génère et aux bonnes conditions d'accueil du public.
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Le stade Chaban-Delmas de Bordeaux affiche régulièrement ses matches à guichets fermés, comme c'était le cas le 30 octobre dernier face à Toulon (27-26). (N. Luttiau/L'Équipe)
Laurent Campistron
Le Top 14 a bonne mine. Les chiffres des affluences dans les stades l'attestent. Au soir de la 18e journée, 1 772 224 spectateurs s'étaient déjà rendu au stade cette saison, soit 20 % de plus que la saison dernière à la même période, ce qui représente une moyenne de 14 065 fans par match. Un record a même été établi ce week-end-là avec une moyenne de 18 782 spectateurs. Une fréquentation significative, qui a certes profité de la délocalisation du Toulon-Toulouse au Stade-Vélodrome de Marseille (un choc suivi par 43 804 personnes !), mais pas que.
Top 3 des affluences moyennes du Top 14
1. Union Bordeaux-Bègles : 27 037
2. Stade Toulousain : 20 235
3. Stade Rochelais et RC Toulonnais : 16 000
À Canal +, le diffuseur du Championnat, les audiences sont aussi à la hausse depuis la mise en place il y a deux ans d'une programmation proposant notamment deux matches en prime time le samedi soir et le dimanche soir, un match le samedi à 15 heures, un multiplex le même jour à 17 heures et deux émissions en clair (le Canal Rugby Club) le samedi et le dimanche. « Cette saison, entre la J1 et la J11, puisque l'étude s'est arrêtée fin novembre, on est à + 6 % par rapport à la saison dernière, qui était elle-même à + 10 % par rapport à la précédente, révèle Éric Bayle, le directeur du rugby de la chaîne cryptée. Et chaque week-end, entre nos directs et nos émissions, on touche plus de deux millions de téléspectateurs en moyenne. »
La case qui carbure le plus est celle du dimanche soir, avec une moyenne de 630 000 téléspectateurs, soit une augmentation de 8 % par rapport à la saison dernière et de 23 % par rapport à la saison 2020-2021. Le dimanche 1er janvier dernier, le match Clermont-Toulouse de 21 h 05 a ainsi scotché 786 000 personnes devant leur écran, un record depuis cinq ans pour un match de phase régulière. Alors pourquoi un tel engouement aujourd'hui, alors que partout ailleurs, et notamment en Angleterre, les clubs peinent à remplir les stades ?
Parce que le contexte est porteur
Avec une équipe de France qui performe et une Coupe du monde qui devrait enflammer le pays dans quelques mois (8 septembre-28 octobre), l'Hexagone est en train de virer ovale. « Ce contexte met le rugby au centre des attentes et des attentions », reconnaît Emmanuel Eschalier, le directeur général de la LNR. Et donc le Top 14, qui semble hermétique aux affaires qui secouent la Fédé et assez peu affecté par les doublons en période internationale qui parasitent sa lecture.
« Il y a un léger fléchissement, admet Bayle, surtout pendant le Six Nations, qui étale ses trois matches tout au long du week-end. Donc, forcément que l'abonné de Canal doit se partager entre le multiplex et Galles-Angleterre, pour prendre exemple de samedi dernier. Mais on a quand même attiré 650 000 téléspectateurs sur Bordeaux-Clermont la semaine dernière, et je suis sûr que le Racing-Toulouse de dimanche à 21 h 05 marchera aussi, notamment parce que Jaminet et Mauvaka devraient jouer côté toulousain. Comme nos Bleus jouent tous dans ce Championnat, la sélection et le Top 14 sont complètement imbriqués. »
Même constat dans les stades, où l'effritement des affluences ne se fait pas tellement ressentir lors des doublons. « On l'a vu ce dernier week-end avec des guichets fermés à Toulouse, La Rochelle et Bayonne, et de très bonnes affluences à Lyon et Bordeaux », note Eschalier.
Parce que le Top 14 est bien exposé et rempli d'incertitude
« Un feuilleton qui se suit comme une série. » C'est ainsi, comme le dit Éric Bayle, que Canal+ a imaginé son exposition du Top 14. « La chaîne en a fait un des piliers de sa programmation sportive avec la Ligue des champions, la Ligue 1 et la Formule 1 », ajoute-t-il. Mais pour que ça marche, encore faut-il que le Championnat ait tout ce qui fait le charme d'une série à succès, à savoir des histoires, des héros et du suspense. Ce qui est le cas.
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Les supporters bayonnais étaient venus en nombre à Bordeaux. (N. Luttiau/L'Équipe)
« On a des joueurs très identifiés, des stars, des managers à forte personnalité, et puis surtout beaucoup d'incertitude, poursuit le commentateur vedette de Canal+. À chaque début de saison, tu ne sais jamais qui va gagner. Aujourd'hui, on en est à sept champions différents en neuf ans. On a une densité tellement incroyable que la plupart des matches se jouent dans les dernières minutes, que les deux finalistes de la saison dernière (Montpellier et Castres) sont loin d'être qualifiés, et qu'un promu (Bayonne) réussit à se hisser à la 5e place. » « Les prétendants au titre augmentent chaque année, ajoute Eschalier. Aux historiques se sont ajoutés ces dernières années des clubs comme La Rochelle, l'UBB, Lyon ou Montpellier. Chaque journée donne donc lieu à plusieurs affiches. »
Parce qu'il fait bon aller au stade
Avez-vous déjà assisté à une rencontre de Top 14 au stade Ernest-Wallon de Toulouse ? Il y a ce qui se passe sur le terrain, bien sûr, avec ce jeu la plupart du temps spectaculaire, mais aussi tout ce qui se passe avant, avec notamment ces groupes musicaux qui animent l'avant-match aux abords de l'enceinte, et tout ce qui se passe après, quand l'afflux de nombreux fans à la Bodega, collée au stade, transforme presque l'endroit en boîte de nuit géante. Ce cocktail attractif n'est évidemment pas étranger à ces 17 matches d'affilée à guichets fermés que le club enchaîne depuis la saison dernière.
Toulouse n'est pas un cas isolé. C'est la même chose à La Rochelle, à Bayonne, à Perpignan, partout où le rugby donne souvent le pouls de la ville. « Les clubs ont beaucoup travaillé à l'amélioration de l'accueil et de l'expérience proposés aux spectateurs, remarque Eschalier. Les stades se transforment et la qualité de l'offre s'enrichit constamment en mettant en avant ce que le rugby suggère, c'est-à-dire un esprit de fête, de convivialité et de partage. » Les affluences grimpent aussi en Pro D2, mais dans une moindre mesure. Peut-être parce que Bayonne, qui tirait les chiffres vers le haut la saison passée, est aujourd'hui dans l'élite, où elle booste de la même manière la fréquentation du Top 14
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Affluence-au-stade-pourquoi-le-top-14-cartonne/1383336
Affluence au stade : pourquoi le Top 14 cartonne
Le Top 14 n'a jamais semblé aussi attractif qu'aujourd'hui. Une popularité qu'il doit autant à la proximité du Mondial en France et aux résultats des Bleus qu'au suspense qu'il génère et aux bonnes conditions d'accueil du public.
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Le stade Chaban-Delmas de Bordeaux affiche régulièrement ses matches à guichets fermés, comme c'était le cas le 30 octobre dernier face à Toulon (27-26). (N. Luttiau/L'Équipe)
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Le Top 14 a bonne mine. Les chiffres des affluences dans les stades l'attestent. Au soir de la 18e journée, 1 772 224 spectateurs s'étaient déjà rendu au stade cette saison, soit 20 % de plus que la saison dernière à la même période, ce qui représente une moyenne de 14 065 fans par match. Un record a même été établi ce week-end-là avec une moyenne de 18 782 spectateurs. Une fréquentation significative, qui a certes profité de la délocalisation du Toulon-Toulouse au Stade-Vélodrome de Marseille (un choc suivi par 43 804 personnes !), mais pas que.
Top 3 des affluences moyennes du Top 14
1. Union Bordeaux-Bègles : 27 037
2. Stade Toulousain : 20 235
3. Stade Rochelais et RC Toulonnais : 16 000
À Canal +, le diffuseur du Championnat, les audiences sont aussi à la hausse depuis la mise en place il y a deux ans d'une programmation proposant notamment deux matches en prime time le samedi soir et le dimanche soir, un match le samedi à 15 heures, un multiplex le même jour à 17 heures et deux émissions en clair (le Canal Rugby Club) le samedi et le dimanche. « Cette saison, entre la J1 et la J11, puisque l'étude s'est arrêtée fin novembre, on est à + 6 % par rapport à la saison dernière, qui était elle-même à + 10 % par rapport à la précédente, révèle Éric Bayle, le directeur du rugby de la chaîne cryptée. Et chaque week-end, entre nos directs et nos émissions, on touche plus de deux millions de téléspectateurs en moyenne. »
La case qui carbure le plus est celle du dimanche soir, avec une moyenne de 630 000 téléspectateurs, soit une augmentation de 8 % par rapport à la saison dernière et de 23 % par rapport à la saison 2020-2021. Le dimanche 1er janvier dernier, le match Clermont-Toulouse de 21 h 05 a ainsi scotché 786 000 personnes devant leur écran, un record depuis cinq ans pour un match de phase régulière. Alors pourquoi un tel engouement aujourd'hui, alors que partout ailleurs, et notamment en Angleterre, les clubs peinent à remplir les stades ?
Parce que le contexte est porteur
Avec une équipe de France qui performe et une Coupe du monde qui devrait enflammer le pays dans quelques mois (8 septembre-28 octobre), l'Hexagone est en train de virer ovale. « Ce contexte met le rugby au centre des attentes et des attentions », reconnaît Emmanuel Eschalier, le directeur général de la LNR. Et donc le Top 14, qui semble hermétique aux affaires qui secouent la Fédé et assez peu affecté par les doublons en période internationale qui parasitent sa lecture.
« Il y a un léger fléchissement, admet Bayle, surtout pendant le Six Nations, qui étale ses trois matches tout au long du week-end. Donc, forcément que l'abonné de Canal doit se partager entre le multiplex et Galles-Angleterre, pour prendre exemple de samedi dernier. Mais on a quand même attiré 650 000 téléspectateurs sur Bordeaux-Clermont la semaine dernière, et je suis sûr que le Racing-Toulouse de dimanche à 21 h 05 marchera aussi, notamment parce que Jaminet et Mauvaka devraient jouer côté toulousain. Comme nos Bleus jouent tous dans ce Championnat, la sélection et le Top 14 sont complètement imbriqués. »
Même constat dans les stades, où l'effritement des affluences ne se fait pas tellement ressentir lors des doublons. « On l'a vu ce dernier week-end avec des guichets fermés à Toulouse, La Rochelle et Bayonne, et de très bonnes affluences à Lyon et Bordeaux », note Eschalier.
Parce que le Top 14 est bien exposé et rempli d'incertitude
« Un feuilleton qui se suit comme une série. » C'est ainsi, comme le dit Éric Bayle, que Canal+ a imaginé son exposition du Top 14. « La chaîne en a fait un des piliers de sa programmation sportive avec la Ligue des champions, la Ligue 1 et la Formule 1 », ajoute-t-il. Mais pour que ça marche, encore faut-il que le Championnat ait tout ce qui fait le charme d'une série à succès, à savoir des histoires, des héros et du suspense. Ce qui est le cas.
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Les supporters bayonnais étaient venus en nombre à Bordeaux. (N. Luttiau/L'Équipe)
« On a des joueurs très identifiés, des stars, des managers à forte personnalité, et puis surtout beaucoup d'incertitude, poursuit le commentateur vedette de Canal+. À chaque début de saison, tu ne sais jamais qui va gagner. Aujourd'hui, on en est à sept champions différents en neuf ans. On a une densité tellement incroyable que la plupart des matches se jouent dans les dernières minutes, que les deux finalistes de la saison dernière (Montpellier et Castres) sont loin d'être qualifiés, et qu'un promu (Bayonne) réussit à se hisser à la 5e place. » « Les prétendants au titre augmentent chaque année, ajoute Eschalier. Aux historiques se sont ajoutés ces dernières années des clubs comme La Rochelle, l'UBB, Lyon ou Montpellier. Chaque journée donne donc lieu à plusieurs affiches. »
Parce qu'il fait bon aller au stade
Avez-vous déjà assisté à une rencontre de Top 14 au stade Ernest-Wallon de Toulouse ? Il y a ce qui se passe sur le terrain, bien sûr, avec ce jeu la plupart du temps spectaculaire, mais aussi tout ce qui se passe avant, avec notamment ces groupes musicaux qui animent l'avant-match aux abords de l'enceinte, et tout ce qui se passe après, quand l'afflux de nombreux fans à la Bodega, collée au stade, transforme presque l'endroit en boîte de nuit géante. Ce cocktail attractif n'est évidemment pas étranger à ces 17 matches d'affilée à guichets fermés que le club enchaîne depuis la saison dernière.
Toulouse n'est pas un cas isolé. C'est la même chose à La Rochelle, à Bayonne, à Perpignan, partout où le rugby donne souvent le pouls de la ville. « Les clubs ont beaucoup travaillé à l'amélioration de l'accueil et de l'expérience proposés aux spectateurs, remarque Eschalier. Les stades se transforment et la qualité de l'offre s'enrichit constamment en mettant en avant ce que le rugby suggère, c'est-à-dire un esprit de fête, de convivialité et de partage. » Les affluences grimpent aussi en Pro D2, mais dans une moindre mesure. Peut-être parce que Bayonne, qui tirait les chiffres vers le haut la saison passée, est aujourd'hui dans l'élite, où elle booste de la même manière la fréquentation du Top 14
Je me demande quelle autre club ou équipe de Province dans le monde rassemble 27 000 spectateurs de moyenne ?
UBB ne serait-il pas le club n°1 au monde en termes de fréquentation moyenne par match ?
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Affluence-au-stade-pourquoi-le-top-14-cartonne/1383336
Affluence au stade : pourquoi le Top 14 cartonne
Le Top 14 n'a jamais semblé aussi attractif qu'aujourd'hui. Une popularité qu'il doit autant à la proximité du Mondial en France et aux résultats des Bleus qu'au suspense qu'il génère et aux bonnes conditions d'accueil du public.
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Le stade Chaban-Delmas de Bordeaux affiche régulièrement ses matches à guichets fermés, comme c'était le cas le 30 octobre dernier face à Toulon (27-26). (N. Luttiau/L'Équipe)
Laurent Campistron
Le Top 14 a bonne mine. Les chiffres des affluences dans les stades l'attestent. Au soir de la 18e journée, 1 772 224 spectateurs s'étaient déjà rendu au stade cette saison, soit 20 % de plus que la saison dernière à la même période, ce qui représente une moyenne de 14 065 fans par match. Un record a même été établi ce week-end-là avec une moyenne de 18 782 spectateurs. Une fréquentation significative, qui a certes profité de la délocalisation du Toulon-Toulouse au Stade-Vélodrome de Marseille (un choc suivi par 43 804 personnes !), mais pas que.
Top 3 des affluences moyennes du Top 14
1. Union Bordeaux-Bègles : 27 037
2. Stade Toulousain : 20 235
3. Stade Rochelais et RC Toulonnais : 16 000
À Canal +, le diffuseur du Championnat, les audiences sont aussi à la hausse depuis la mise en place il y a deux ans d'une programmation proposant notamment deux matches en prime time le samedi soir et le dimanche soir, un match le samedi à 15 heures, un multiplex le même jour à 17 heures et deux émissions en clair (le Canal Rugby Club) le samedi et le dimanche. « Cette saison, entre la J1 et la J11, puisque l'étude s'est arrêtée fin novembre, on est à + 6 % par rapport à la saison dernière, qui était elle-même à + 10 % par rapport à la précédente, révèle Éric Bayle, le directeur du rugby de la chaîne cryptée. Et chaque week-end, entre nos directs et nos émissions, on touche plus de deux millions de téléspectateurs en moyenne. »
La case qui carbure le plus est celle du dimanche soir, avec une moyenne de 630 000 téléspectateurs, soit une augmentation de 8 % par rapport à la saison dernière et de 23 % par rapport à la saison 2020-2021. Le dimanche 1er janvier dernier, le match Clermont-Toulouse de 21 h 05 a ainsi scotché 786 000 personnes devant leur écran, un record depuis cinq ans pour un match de phase régulière. Alors pourquoi un tel engouement aujourd'hui, alors que partout ailleurs, et notamment en Angleterre, les clubs peinent à remplir les stades ?
Parce que le contexte est porteur
Avec une équipe de France qui performe et une Coupe du monde qui devrait enflammer le pays dans quelques mois (8 septembre-28 octobre), l'Hexagone est en train de virer ovale. « Ce contexte met le rugby au centre des attentes et des attentions », reconnaît Emmanuel Eschalier, le directeur général de la LNR. Et donc le Top 14, qui semble hermétique aux affaires qui secouent la Fédé et assez peu affecté par les doublons en période internationale qui parasitent sa lecture.
« Il y a un léger fléchissement, admet Bayle, surtout pendant le Six Nations, qui étale ses trois matches tout au long du week-end. Donc, forcément que l'abonné de Canal doit se partager entre le multiplex et Galles-Angleterre, pour prendre exemple de samedi dernier. Mais on a quand même attiré 650 000 téléspectateurs sur Bordeaux-Clermont la semaine dernière, et je suis sûr que le Racing-Toulouse de dimanche à 21 h 05 marchera aussi, notamment parce que Jaminet et Mauvaka devraient jouer côté toulousain. Comme nos Bleus jouent tous dans ce Championnat, la sélection et le Top 14 sont complètement imbriqués. »
Même constat dans les stades, où l'effritement des affluences ne se fait pas tellement ressentir lors des doublons. « On l'a vu ce dernier week-end avec des guichets fermés à Toulouse, La Rochelle et Bayonne, et de très bonnes affluences à Lyon et Bordeaux », note Eschalier.
Parce que le Top 14 est bien exposé et rempli d'incertitude
« Un feuilleton qui se suit comme une série. » C'est ainsi, comme le dit Éric Bayle, que Canal+ a imaginé son exposition du Top 14. « La chaîne en a fait un des piliers de sa programmation sportive avec la Ligue des champions, la Ligue 1 et la Formule 1 », ajoute-t-il. Mais pour que ça marche, encore faut-il que le Championnat ait tout ce qui fait le charme d'une série à succès, à savoir des histoires, des héros et du suspense. Ce qui est le cas.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Les supporters bayonnais étaient venus en nombre à Bordeaux. (N. Luttiau/L'Équipe)
« On a des joueurs très identifiés, des stars, des managers à forte personnalité, et puis surtout beaucoup d'incertitude, poursuit le commentateur vedette de Canal+. À chaque début de saison, tu ne sais jamais qui va gagner. Aujourd'hui, on en est à sept champions différents en neuf ans. On a une densité tellement incroyable que la plupart des matches se jouent dans les dernières minutes, que les deux finalistes de la saison dernière (Montpellier et Castres) sont loin d'être qualifiés, et qu'un promu (Bayonne) réussit à se hisser à la 5e place. » « Les prétendants au titre augmentent chaque année, ajoute Eschalier. Aux historiques se sont ajoutés ces dernières années des clubs comme La Rochelle, l'UBB, Lyon ou Montpellier. Chaque journée donne donc lieu à plusieurs affiches. »
Parce qu'il fait bon aller au stade
Avez-vous déjà assisté à une rencontre de Top 14 au stade Ernest-Wallon de Toulouse ? Il y a ce qui se passe sur le terrain, bien sûr, avec ce jeu la plupart du temps spectaculaire, mais aussi tout ce qui se passe avant, avec notamment ces groupes musicaux qui animent l'avant-match aux abords de l'enceinte, et tout ce qui se passe après, quand l'afflux de nombreux fans à la Bodega, collée au stade, transforme presque l'endroit en boîte de nuit géante. Ce cocktail attractif n'est évidemment pas étranger à ces 17 matches d'affilée à guichets fermés que le club enchaîne depuis la saison dernière.
Toulouse n'est pas un cas isolé. C'est la même chose à La Rochelle, à Bayonne, à Perpignan, partout où le rugby donne souvent le pouls de la ville. « Les clubs ont beaucoup travaillé à l'amélioration de l'accueil et de l'expérience proposés aux spectateurs, remarque Eschalier. Les stades se transforment et la qualité de l'offre s'enrichit constamment en mettant en avant ce que le rugby suggère, c'est-à-dire un esprit de fête, de convivialité et de partage. » Les affluences grimpent aussi en Pro D2, mais dans une moindre mesure. Peut-être parce que Bayonne, qui tirait les chiffres vers le haut la saison passée, est aujourd'hui dans l'élite, où elle booste de la même manière la fréquentation du Top 14
Je me demande quelle autre club ou équipe de Province dans le monde rassemble 27 000 spectateurs de moyenne ?
UBB ne serait-il pas le club n°1 au monde en termes de fréquentation moyenne par match ?
Pour ça, il faudrait que tous les clubs aient un stade de même capacité pour voir.
Si vous étiez restés à Moga !!! Vous feriez guichets fermés, certes, comme La Rochelle, Bayonne, Toulouse etc ...
Le tout est de savoir si tous les clubs rempliraient un stade de 33.000 places.
Et puis la dimension des agglos y est pour quelque chose aussi.
https://www.lequotidiendusport.fr/les-stades-de-top-14-sont-ils-a-la-hauteur-de-leur-championnat/
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
tire-bouchon a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Affluence-au-stade-pourquoi-le-top-14-cartonne/1383336
Affluence au stade : pourquoi le Top 14 cartonne
Le Top 14 n'a jamais semblé aussi attractif qu'aujourd'hui. Une popularité qu'il doit autant à la proximité du Mondial en France et aux résultats des Bleus qu'au suspense qu'il génère et aux bonnes conditions d'accueil du public.
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Le stade Chaban-Delmas de Bordeaux affiche régulièrement ses matches à guichets fermés, comme c'était le cas le 30 octobre dernier face à Toulon (27-26). (N. Luttiau/L'Équipe)
Laurent Campistron
Le Top 14 a bonne mine. Les chiffres des affluences dans les stades l'attestent. Au soir de la 18e journée, 1 772 224 spectateurs s'étaient déjà rendu au stade cette saison, soit 20 % de plus que la saison dernière à la même période, ce qui représente une moyenne de 14 065 fans par match. Un record a même été établi ce week-end-là avec une moyenne de 18 782 spectateurs. Une fréquentation significative, qui a certes profité de la délocalisation du Toulon-Toulouse au Stade-Vélodrome de Marseille (un choc suivi par 43 804 personnes !), mais pas que.
Top 3 des affluences moyennes du Top 14
1. Union Bordeaux-Bègles : 27 037
2. Stade Toulousain : 20 235
3. Stade Rochelais et RC Toulonnais : 16 000
À Canal +, le diffuseur du Championnat, les audiences sont aussi à la hausse depuis la mise en place il y a deux ans d'une programmation proposant notamment deux matches en prime time le samedi soir et le dimanche soir, un match le samedi à 15 heures, un multiplex le même jour à 17 heures et deux émissions en clair (le Canal Rugby Club) le samedi et le dimanche. « Cette saison, entre la J1 et la J11, puisque l'étude s'est arrêtée fin novembre, on est à + 6 % par rapport à la saison dernière, qui était elle-même à + 10 % par rapport à la précédente, révèle Éric Bayle, le directeur du rugby de la chaîne cryptée. Et chaque week-end, entre nos directs et nos émissions, on touche plus de deux millions de téléspectateurs en moyenne. »
La case qui carbure le plus est celle du dimanche soir, avec une moyenne de 630 000 téléspectateurs, soit une augmentation de 8 % par rapport à la saison dernière et de 23 % par rapport à la saison 2020-2021. Le dimanche 1er janvier dernier, le match Clermont-Toulouse de 21 h 05 a ainsi scotché 786 000 personnes devant leur écran, un record depuis cinq ans pour un match de phase régulière. Alors pourquoi un tel engouement aujourd'hui, alors que partout ailleurs, et notamment en Angleterre, les clubs peinent à remplir les stades ?
Parce que le contexte est porteur
Avec une équipe de France qui performe et une Coupe du monde qui devrait enflammer le pays dans quelques mois (8 septembre-28 octobre), l'Hexagone est en train de virer ovale. « Ce contexte met le rugby au centre des attentes et des attentions », reconnaît Emmanuel Eschalier, le directeur général de la LNR. Et donc le Top 14, qui semble hermétique aux affaires qui secouent la Fédé et assez peu affecté par les doublons en période internationale qui parasitent sa lecture.
« Il y a un léger fléchissement, admet Bayle, surtout pendant le Six Nations, qui étale ses trois matches tout au long du week-end. Donc, forcément que l'abonné de Canal doit se partager entre le multiplex et Galles-Angleterre, pour prendre exemple de samedi dernier. Mais on a quand même attiré 650 000 téléspectateurs sur Bordeaux-Clermont la semaine dernière, et je suis sûr que le Racing-Toulouse de dimanche à 21 h 05 marchera aussi, notamment parce que Jaminet et Mauvaka devraient jouer côté toulousain. Comme nos Bleus jouent tous dans ce Championnat, la sélection et le Top 14 sont complètement imbriqués. »
Même constat dans les stades, où l'effritement des affluences ne se fait pas tellement ressentir lors des doublons. « On l'a vu ce dernier week-end avec des guichets fermés à Toulouse, La Rochelle et Bayonne, et de très bonnes affluences à Lyon et Bordeaux », note Eschalier.
Parce que le Top 14 est bien exposé et rempli d'incertitude
« Un feuilleton qui se suit comme une série. » C'est ainsi, comme le dit Éric Bayle, que Canal+ a imaginé son exposition du Top 14. « La chaîne en a fait un des piliers de sa programmation sportive avec la Ligue des champions, la Ligue 1 et la Formule 1 », ajoute-t-il. Mais pour que ça marche, encore faut-il que le Championnat ait tout ce qui fait le charme d'une série à succès, à savoir des histoires, des héros et du suspense. Ce qui est le cas.
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Les supporters bayonnais étaient venus en nombre à Bordeaux. (N. Luttiau/L'Équipe)
« On a des joueurs très identifiés, des stars, des managers à forte personnalité, et puis surtout beaucoup d'incertitude, poursuit le commentateur vedette de Canal+. À chaque début de saison, tu ne sais jamais qui va gagner. Aujourd'hui, on en est à sept champions différents en neuf ans. On a une densité tellement incroyable que la plupart des matches se jouent dans les dernières minutes, que les deux finalistes de la saison dernière (Montpellier et Castres) sont loin d'être qualifiés, et qu'un promu (Bayonne) réussit à se hisser à la 5e place. » « Les prétendants au titre augmentent chaque année, ajoute Eschalier. Aux historiques se sont ajoutés ces dernières années des clubs comme La Rochelle, l'UBB, Lyon ou Montpellier. Chaque journée donne donc lieu à plusieurs affiches. »
Parce qu'il fait bon aller au stade
Avez-vous déjà assisté à une rencontre de Top 14 au stade Ernest-Wallon de Toulouse ? Il y a ce qui se passe sur le terrain, bien sûr, avec ce jeu la plupart du temps spectaculaire, mais aussi tout ce qui se passe avant, avec notamment ces groupes musicaux qui animent l'avant-match aux abords de l'enceinte, et tout ce qui se passe après, quand l'afflux de nombreux fans à la Bodega, collée au stade, transforme presque l'endroit en boîte de nuit géante. Ce cocktail attractif n'est évidemment pas étranger à ces 17 matches d'affilée à guichets fermés que le club enchaîne depuis la saison dernière.
Toulouse n'est pas un cas isolé. C'est la même chose à La Rochelle, à Bayonne, à Perpignan, partout où le rugby donne souvent le pouls de la ville. « Les clubs ont beaucoup travaillé à l'amélioration de l'accueil et de l'expérience proposés aux spectateurs, remarque Eschalier. Les stades se transforment et la qualité de l'offre s'enrichit constamment en mettant en avant ce que le rugby suggère, c'est-à-dire un esprit de fête, de convivialité et de partage. » Les affluences grimpent aussi en Pro D2, mais dans une moindre mesure. Peut-être parce que Bayonne, qui tirait les chiffres vers le haut la saison passée, est aujourd'hui dans l'élite, où elle booste de la même manière la fréquentation du Top 14
Je me demande quelle autre club ou équipe de Province dans le monde rassemble 27 000 spectateurs de moyenne ?
UBB ne serait-il pas le club n°1 au monde en termes de fréquentation moyenne par match ?
Pour ça, il faudrait que tous les clubs aient un stade de même capacité pour voir.
Si vous étiez restés à Moga !!! Vous feriez guichets fermés, certes, comme La Rochelle, Bayonne, Toulouse etc ...
Le tout est de savoir si tous les clubs rempliraient un stade de 33.000 places.
Et puis la dimension des agglos y est pour quelque chose aussi.
https://www.lequotidiendusport.fr/les-stades-de-top-14-sont-ils-a-la-hauteur-de-leur-championnat/
Oui et? Au prétexte que l’UBB a un grand stade et un bassin de population conséquent, ça remet en cause cette réalité. Oui, LR qui est une ville plus petite avec un stade plus petit fait guichet fermé, Bayonne aussi, Brive pas loin (même quand ça gagne pas) Et ???
Tu veux calculer un ratio nombre d’habitants/ spectateurs au stade? La population on l’a compte jusqu’où. Il se trouve qu’il y a des mecs de Charente qui vont voir LR et d’autres l’UBB. On fait comment? On pourrait comparer les grandes villes entre elles? Quelle taille? Combien de sports concurrents pouvant capter le public?
Dans les villes moyennes, il n’y a souvent qu’un sport qui soit en élite. Ce sport devient vite vecteur d’identification, de fierté locale. On s’aperçoit aussi, que ça se remplit plus quand ça gaze que le contraire…
Donc l’UBB est le premier public d’Europe (en fréquentation) et puis c’est tout.
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
tire-bouchon a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Affluence-au-stade-pourquoi-le-top-14-cartonne/1383336
Affluence au stade : pourquoi le Top 14 cartonne
Le Top 14 n'a jamais semblé aussi attractif qu'aujourd'hui. Une popularité qu'il doit autant à la proximité du Mondial en France et aux résultats des Bleus qu'au suspense qu'il génère et aux bonnes conditions d'accueil du public.
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Le stade Chaban-Delmas de Bordeaux affiche régulièrement ses matches à guichets fermés, comme c'était le cas le 30 octobre dernier face à Toulon (27-26). (N. Luttiau/L'Équipe)
Laurent Campistron
Le Top 14 a bonne mine. Les chiffres des affluences dans les stades l'attestent. Au soir de la 18e journée, 1 772 224 spectateurs s'étaient déjà rendu au stade cette saison, soit 20 % de plus que la saison dernière à la même période, ce qui représente une moyenne de 14 065 fans par match. Un record a même été établi ce week-end-là avec une moyenne de 18 782 spectateurs. Une fréquentation significative, qui a certes profité de la délocalisation du Toulon-Toulouse au Stade-Vélodrome de Marseille (un choc suivi par 43 804 personnes !), mais pas que.
Top 3 des affluences moyennes du Top 14
1. Union Bordeaux-Bègles : 27 037
2. Stade Toulousain : 20 235
3. Stade Rochelais et RC Toulonnais : 16 000
À Canal +, le diffuseur du Championnat, les audiences sont aussi à la hausse depuis la mise en place il y a deux ans d'une programmation proposant notamment deux matches en prime time le samedi soir et le dimanche soir, un match le samedi à 15 heures, un multiplex le même jour à 17 heures et deux émissions en clair (le Canal Rugby Club) le samedi et le dimanche. « Cette saison, entre la J1 et la J11, puisque l'étude s'est arrêtée fin novembre, on est à + 6 % par rapport à la saison dernière, qui était elle-même à + 10 % par rapport à la précédente, révèle Éric Bayle, le directeur du rugby de la chaîne cryptée. Et chaque week-end, entre nos directs et nos émissions, on touche plus de deux millions de téléspectateurs en moyenne. »
La case qui carbure le plus est celle du dimanche soir, avec une moyenne de 630 000 téléspectateurs, soit une augmentation de 8 % par rapport à la saison dernière et de 23 % par rapport à la saison 2020-2021. Le dimanche 1er janvier dernier, le match Clermont-Toulouse de 21 h 05 a ainsi scotché 786 000 personnes devant leur écran, un record depuis cinq ans pour un match de phase régulière. Alors pourquoi un tel engouement aujourd'hui, alors que partout ailleurs, et notamment en Angleterre, les clubs peinent à remplir les stades ?
Parce que le contexte est porteur
Avec une équipe de France qui performe et une Coupe du monde qui devrait enflammer le pays dans quelques mois (8 septembre-28 octobre), l'Hexagone est en train de virer ovale. « Ce contexte met le rugby au centre des attentes et des attentions », reconnaît Emmanuel Eschalier, le directeur général de la LNR. Et donc le Top 14, qui semble hermétique aux affaires qui secouent la Fédé et assez peu affecté par les doublons en période internationale qui parasitent sa lecture.
« Il y a un léger fléchissement, admet Bayle, surtout pendant le Six Nations, qui étale ses trois matches tout au long du week-end. Donc, forcément que l'abonné de Canal doit se partager entre le multiplex et Galles-Angleterre, pour prendre exemple de samedi dernier. Mais on a quand même attiré 650 000 téléspectateurs sur Bordeaux-Clermont la semaine dernière, et je suis sûr que le Racing-Toulouse de dimanche à 21 h 05 marchera aussi, notamment parce que Jaminet et Mauvaka devraient jouer côté toulousain. Comme nos Bleus jouent tous dans ce Championnat, la sélection et le Top 14 sont complètement imbriqués. »
Même constat dans les stades, où l'effritement des affluences ne se fait pas tellement ressentir lors des doublons. « On l'a vu ce dernier week-end avec des guichets fermés à Toulouse, La Rochelle et Bayonne, et de très bonnes affluences à Lyon et Bordeaux », note Eschalier.
Parce que le Top 14 est bien exposé et rempli d'incertitude
« Un feuilleton qui se suit comme une série. » C'est ainsi, comme le dit Éric Bayle, que Canal+ a imaginé son exposition du Top 14. « La chaîne en a fait un des piliers de sa programmation sportive avec la Ligue des champions, la Ligue 1 et la Formule 1 », ajoute-t-il. Mais pour que ça marche, encore faut-il que le Championnat ait tout ce qui fait le charme d'une série à succès, à savoir des histoires, des héros et du suspense. Ce qui est le cas.
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Les supporters bayonnais étaient venus en nombre à Bordeaux. (N. Luttiau/L'Équipe)
« On a des joueurs très identifiés, des stars, des managers à forte personnalité, et puis surtout beaucoup d'incertitude, poursuit le commentateur vedette de Canal+. À chaque début de saison, tu ne sais jamais qui va gagner. Aujourd'hui, on en est à sept champions différents en neuf ans. On a une densité tellement incroyable que la plupart des matches se jouent dans les dernières minutes, que les deux finalistes de la saison dernière (Montpellier et Castres) sont loin d'être qualifiés, et qu'un promu (Bayonne) réussit à se hisser à la 5e place. » « Les prétendants au titre augmentent chaque année, ajoute Eschalier. Aux historiques se sont ajoutés ces dernières années des clubs comme La Rochelle, l'UBB, Lyon ou Montpellier. Chaque journée donne donc lieu à plusieurs affiches. »
Parce qu'il fait bon aller au stade
Avez-vous déjà assisté à une rencontre de Top 14 au stade Ernest-Wallon de Toulouse ? Il y a ce qui se passe sur le terrain, bien sûr, avec ce jeu la plupart du temps spectaculaire, mais aussi tout ce qui se passe avant, avec notamment ces groupes musicaux qui animent l'avant-match aux abords de l'enceinte, et tout ce qui se passe après, quand l'afflux de nombreux fans à la Bodega, collée au stade, transforme presque l'endroit en boîte de nuit géante. Ce cocktail attractif n'est évidemment pas étranger à ces 17 matches d'affilée à guichets fermés que le club enchaîne depuis la saison dernière.
Toulouse n'est pas un cas isolé. C'est la même chose à La Rochelle, à Bayonne, à Perpignan, partout où le rugby donne souvent le pouls de la ville. « Les clubs ont beaucoup travaillé à l'amélioration de l'accueil et de l'expérience proposés aux spectateurs, remarque Eschalier. Les stades se transforment et la qualité de l'offre s'enrichit constamment en mettant en avant ce que le rugby suggère, c'est-à-dire un esprit de fête, de convivialité et de partage. » Les affluences grimpent aussi en Pro D2, mais dans une moindre mesure. Peut-être parce que Bayonne, qui tirait les chiffres vers le haut la saison passée, est aujourd'hui dans l'élite, où elle booste de la même manière la fréquentation du Top 14
Je me demande quelle autre club ou équipe de Province dans le monde rassemble 27 000 spectateurs de moyenne ?
UBB ne serait-il pas le club n°1 au monde en termes de fréquentation moyenne par match ?
Pour ça, il faudrait que tous les clubs aient un stade de même capacité pour voir.
Si vous étiez restés à Moga !!! Vous feriez guichets fermés, certes, comme La Rochelle, Bayonne, Toulouse etc ...
Le tout est de savoir si tous les clubs rempliraient un stade de 33.000 places.
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les bons vieux contre-arguments des insupporters toulousains...
On te parle de valeurs absolues, ça devrait être facile à comprendre pour toi, non ?
Explique pourquoi le ST ne fait jamais le plein dans son stade avec une agglo à 800 000 habitants, la même que Bordeaux ?
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
Un Top 14 en pleine forme, l'UBB toujours en tête des affluences
https://www.ubbrugby.com/actualites/8672-un-top-14-en-pleine-forme-l-ubb-toujours-en-tete-des-affluences.html
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
Dr. Gregory Bouse a écrit:tire-bouchon a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Affluence-au-stade-pourquoi-le-top-14-cartonne/1383336
Affluence au stade : pourquoi le Top 14 cartonne
Le Top 14 n'a jamais semblé aussi attractif qu'aujourd'hui. Une popularité qu'il doit autant à la proximité du Mondial en France et aux résultats des Bleus qu'au suspense qu'il génère et aux bonnes conditions d'accueil du public.
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Le stade Chaban-Delmas de Bordeaux affiche régulièrement ses matches à guichets fermés, comme c'était le cas le 30 octobre dernier face à Toulon (27-26). (N. Luttiau/L'Équipe)
Laurent Campistron
Le Top 14 a bonne mine. Les chiffres des affluences dans les stades l'attestent. Au soir de la 18e journée, 1 772 224 spectateurs s'étaient déjà rendu au stade cette saison, soit 20 % de plus que la saison dernière à la même période, ce qui représente une moyenne de 14 065 fans par match. Un record a même été établi ce week-end-là avec une moyenne de 18 782 spectateurs. Une fréquentation significative, qui a certes profité de la délocalisation du Toulon-Toulouse au Stade-Vélodrome de Marseille (un choc suivi par 43 804 personnes !), mais pas que.
Top 3 des affluences moyennes du Top 14
1. Union Bordeaux-Bègles : 27 037
2. Stade Toulousain : 20 235
3. Stade Rochelais et RC Toulonnais : 16 000
À Canal +, le diffuseur du Championnat, les audiences sont aussi à la hausse depuis la mise en place il y a deux ans d'une programmation proposant notamment deux matches en prime time le samedi soir et le dimanche soir, un match le samedi à 15 heures, un multiplex le même jour à 17 heures et deux émissions en clair (le Canal Rugby Club) le samedi et le dimanche. « Cette saison, entre la J1 et la J11, puisque l'étude s'est arrêtée fin novembre, on est à + 6 % par rapport à la saison dernière, qui était elle-même à + 10 % par rapport à la précédente, révèle Éric Bayle, le directeur du rugby de la chaîne cryptée. Et chaque week-end, entre nos directs et nos émissions, on touche plus de deux millions de téléspectateurs en moyenne. »
La case qui carbure le plus est celle du dimanche soir, avec une moyenne de 630 000 téléspectateurs, soit une augmentation de 8 % par rapport à la saison dernière et de 23 % par rapport à la saison 2020-2021. Le dimanche 1er janvier dernier, le match Clermont-Toulouse de 21 h 05 a ainsi scotché 786 000 personnes devant leur écran, un record depuis cinq ans pour un match de phase régulière. Alors pourquoi un tel engouement aujourd'hui, alors que partout ailleurs, et notamment en Angleterre, les clubs peinent à remplir les stades ?
Parce que le contexte est porteur
Avec une équipe de France qui performe et une Coupe du monde qui devrait enflammer le pays dans quelques mois (8 septembre-28 octobre), l'Hexagone est en train de virer ovale. « Ce contexte met le rugby au centre des attentes et des attentions », reconnaît Emmanuel Eschalier, le directeur général de la LNR. Et donc le Top 14, qui semble hermétique aux affaires qui secouent la Fédé et assez peu affecté par les doublons en période internationale qui parasitent sa lecture.
« Il y a un léger fléchissement, admet Bayle, surtout pendant le Six Nations, qui étale ses trois matches tout au long du week-end. Donc, forcément que l'abonné de Canal doit se partager entre le multiplex et Galles-Angleterre, pour prendre exemple de samedi dernier. Mais on a quand même attiré 650 000 téléspectateurs sur Bordeaux-Clermont la semaine dernière, et je suis sûr que le Racing-Toulouse de dimanche à 21 h 05 marchera aussi, notamment parce que Jaminet et Mauvaka devraient jouer côté toulousain. Comme nos Bleus jouent tous dans ce Championnat, la sélection et le Top 14 sont complètement imbriqués. »
Même constat dans les stades, où l'effritement des affluences ne se fait pas tellement ressentir lors des doublons. « On l'a vu ce dernier week-end avec des guichets fermés à Toulouse, La Rochelle et Bayonne, et de très bonnes affluences à Lyon et Bordeaux », note Eschalier.
Parce que le Top 14 est bien exposé et rempli d'incertitude
« Un feuilleton qui se suit comme une série. » C'est ainsi, comme le dit Éric Bayle, que Canal+ a imaginé son exposition du Top 14. « La chaîne en a fait un des piliers de sa programmation sportive avec la Ligue des champions, la Ligue 1 et la Formule 1 », ajoute-t-il. Mais pour que ça marche, encore faut-il que le Championnat ait tout ce qui fait le charme d'une série à succès, à savoir des histoires, des héros et du suspense. Ce qui est le cas.
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Les supporters bayonnais étaient venus en nombre à Bordeaux. (N. Luttiau/L'Équipe)
« On a des joueurs très identifiés, des stars, des managers à forte personnalité, et puis surtout beaucoup d'incertitude, poursuit le commentateur vedette de Canal+. À chaque début de saison, tu ne sais jamais qui va gagner. Aujourd'hui, on en est à sept champions différents en neuf ans. On a une densité tellement incroyable que la plupart des matches se jouent dans les dernières minutes, que les deux finalistes de la saison dernière (Montpellier et Castres) sont loin d'être qualifiés, et qu'un promu (Bayonne) réussit à se hisser à la 5e place. » « Les prétendants au titre augmentent chaque année, ajoute Eschalier. Aux historiques se sont ajoutés ces dernières années des clubs comme La Rochelle, l'UBB, Lyon ou Montpellier. Chaque journée donne donc lieu à plusieurs affiches. »
Parce qu'il fait bon aller au stade
Avez-vous déjà assisté à une rencontre de Top 14 au stade Ernest-Wallon de Toulouse ? Il y a ce qui se passe sur le terrain, bien sûr, avec ce jeu la plupart du temps spectaculaire, mais aussi tout ce qui se passe avant, avec notamment ces groupes musicaux qui animent l'avant-match aux abords de l'enceinte, et tout ce qui se passe après, quand l'afflux de nombreux fans à la Bodega, collée au stade, transforme presque l'endroit en boîte de nuit géante. Ce cocktail attractif n'est évidemment pas étranger à ces 17 matches d'affilée à guichets fermés que le club enchaîne depuis la saison dernière.
Toulouse n'est pas un cas isolé. C'est la même chose à La Rochelle, à Bayonne, à Perpignan, partout où le rugby donne souvent le pouls de la ville. « Les clubs ont beaucoup travaillé à l'amélioration de l'accueil et de l'expérience proposés aux spectateurs, remarque Eschalier. Les stades se transforment et la qualité de l'offre s'enrichit constamment en mettant en avant ce que le rugby suggère, c'est-à-dire un esprit de fête, de convivialité et de partage. » Les affluences grimpent aussi en Pro D2, mais dans une moindre mesure. Peut-être parce que Bayonne, qui tirait les chiffres vers le haut la saison passée, est aujourd'hui dans l'élite, où elle booste de la même manière la fréquentation du Top 14
Je me demande quelle autre club ou équipe de Province dans le monde rassemble 27 000 spectateurs de moyenne ?
UBB ne serait-il pas le club n°1 au monde en termes de fréquentation moyenne par match ?
Pour ça, il faudrait que tous les clubs aient un stade de même capacité pour voir.
Si vous étiez restés à Moga !!! Vous feriez guichets fermés, certes, comme La Rochelle, Bayonne, Toulouse etc ...
Le tout est de savoir si tous les clubs rempliraient un stade de 33.000 places.
Et puis la dimension des agglos y est pour quelque chose aussi.
https://www.lequotidiendusport.fr/les-stades-de-top-14-sont-ils-a-la-hauteur-de-leur-championnat/
les bons vieux contre-arguments des insupporters toulousains...
On te parle de valeurs absolues, ça devrait être facile à comprendre pour toi, non ?
Explique pourquoi le ST ne fait jamais le plein dans son stade avec une agglo à 800 000 habitants, la même que Bordeaux ?
Ben il semblerait que tous les gros fassent guichets fermés depuis le début.
EZt si je parle de valeur relative, c' est facile à comprendre pour toi!
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
tire-bouchon a écrit:
Ben il semblerait que tous les gros fassent guichets fermés depuis le début.
EZt si je parle de valeur relative, c' est facile à comprendre pour toi!
C’est bien connu, R92 joue a guichet fermé ( a la limite pour Rihanna je veux bien te croire), SF pareil, Lou itou…
Sinon ceux qui sont à guichets fermés….ben qu’ils construisent un stade plus grand.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
Ce chiffre montre la chance qu'on les joueurs d'avoir un tel public quand même, malgré le jeu peu emballant et une année + une moitié de saison assez pauvre en terme de victoire et de "beau jeu", personnellement je parlerai surtout d'intelligence de jeu et d'adaptation à son adversaire qui est pauvre. Il y a bien des fois où on retrouve des couleurs mais ce n'est pas constant.
Malgré tout ça, il y a un public fidèle qui vient voir cette équipe chaque soir et ça c'est une force.
Malgré tout ça, il y a un public fidèle qui vient voir cette équipe chaque soir et ça c'est une force.
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
C'est sûr qu'en ratio affluence/ qualité du spectacle on peut affirmer que les supporters de l'UBB sont d'une fidélité à toutes épreuves !!!
sudiste- Unioniste de la première heure
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Affluence au stade et popularité du Top14
Roberto Miopalmo a écrit:tire-bouchon a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Affluence-au-stade-pourquoi-le-top-14-cartonne/1383336
Affluence au stade : pourquoi le Top 14 cartonne
Le Top 14 n'a jamais semblé aussi attractif qu'aujourd'hui. Une popularité qu'il doit autant à la proximité du Mondial en France et aux résultats des Bleus qu'au suspense qu'il génère et aux bonnes conditions d'accueil du public.
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Le stade Chaban-Delmas de Bordeaux affiche régulièrement ses matches à guichets fermés, comme c'était le cas le 30 octobre dernier face à Toulon (27-26). (N. Luttiau/L'Équipe)
Laurent Campistron
Le Top 14 a bonne mine. Les chiffres des affluences dans les stades l'attestent. Au soir de la 18e journée, 1 772 224 spectateurs s'étaient déjà rendu au stade cette saison, soit 20 % de plus que la saison dernière à la même période, ce qui représente une moyenne de 14 065 fans par match. Un record a même été établi ce week-end-là avec une moyenne de 18 782 spectateurs. Une fréquentation significative, qui a certes profité de la délocalisation du Toulon-Toulouse au Stade-Vélodrome de Marseille (un choc suivi par 43 804 personnes !), mais pas que.
Top 3 des affluences moyennes du Top 14
1. Union Bordeaux-Bègles : 27 037
2. Stade Toulousain : 20 235
3. Stade Rochelais et RC Toulonnais : 16 000
À Canal +, le diffuseur du Championnat, les audiences sont aussi à la hausse depuis la mise en place il y a deux ans d'une programmation proposant notamment deux matches en prime time le samedi soir et le dimanche soir, un match le samedi à 15 heures, un multiplex le même jour à 17 heures et deux émissions en clair (le Canal Rugby Club) le samedi et le dimanche. « Cette saison, entre la J1 et la J11, puisque l'étude s'est arrêtée fin novembre, on est à + 6 % par rapport à la saison dernière, qui était elle-même à + 10 % par rapport à la précédente, révèle Éric Bayle, le directeur du rugby de la chaîne cryptée. Et chaque week-end, entre nos directs et nos émissions, on touche plus de deux millions de téléspectateurs en moyenne. »
La case qui carbure le plus est celle du dimanche soir, avec une moyenne de 630 000 téléspectateurs, soit une augmentation de 8 % par rapport à la saison dernière et de 23 % par rapport à la saison 2020-2021. Le dimanche 1er janvier dernier, le match Clermont-Toulouse de 21 h 05 a ainsi scotché 786 000 personnes devant leur écran, un record depuis cinq ans pour un match de phase régulière. Alors pourquoi un tel engouement aujourd'hui, alors que partout ailleurs, et notamment en Angleterre, les clubs peinent à remplir les stades ?
Parce que le contexte est porteur
Avec une équipe de France qui performe et une Coupe du monde qui devrait enflammer le pays dans quelques mois (8 septembre-28 octobre), l'Hexagone est en train de virer ovale. « Ce contexte met le rugby au centre des attentes et des attentions », reconnaît Emmanuel Eschalier, le directeur général de la LNR. Et donc le Top 14, qui semble hermétique aux affaires qui secouent la Fédé et assez peu affecté par les doublons en période internationale qui parasitent sa lecture.
« Il y a un léger fléchissement, admet Bayle, surtout pendant le Six Nations, qui étale ses trois matches tout au long du week-end. Donc, forcément que l'abonné de Canal doit se partager entre le multiplex et Galles-Angleterre, pour prendre exemple de samedi dernier. Mais on a quand même attiré 650 000 téléspectateurs sur Bordeaux-Clermont la semaine dernière, et je suis sûr que le Racing-Toulouse de dimanche à 21 h 05 marchera aussi, notamment parce que Jaminet et Mauvaka devraient jouer côté toulousain. Comme nos Bleus jouent tous dans ce Championnat, la sélection et le Top 14 sont complètement imbriqués. »
Même constat dans les stades, où l'effritement des affluences ne se fait pas tellement ressentir lors des doublons. « On l'a vu ce dernier week-end avec des guichets fermés à Toulouse, La Rochelle et Bayonne, et de très bonnes affluences à Lyon et Bordeaux », note Eschalier.
Parce que le Top 14 est bien exposé et rempli d'incertitude
« Un feuilleton qui se suit comme une série. » C'est ainsi, comme le dit Éric Bayle, que Canal+ a imaginé son exposition du Top 14. « La chaîne en a fait un des piliers de sa programmation sportive avec la Ligue des champions, la Ligue 1 et la Formule 1 », ajoute-t-il. Mais pour que ça marche, encore faut-il que le Championnat ait tout ce qui fait le charme d'une série à succès, à savoir des histoires, des héros et du suspense. Ce qui est le cas.
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Les supporters bayonnais étaient venus en nombre à Bordeaux. (N. Luttiau/L'Équipe)
« On a des joueurs très identifiés, des stars, des managers à forte personnalité, et puis surtout beaucoup d'incertitude, poursuit le commentateur vedette de Canal+. À chaque début de saison, tu ne sais jamais qui va gagner. Aujourd'hui, on en est à sept champions différents en neuf ans. On a une densité tellement incroyable que la plupart des matches se jouent dans les dernières minutes, que les deux finalistes de la saison dernière (Montpellier et Castres) sont loin d'être qualifiés, et qu'un promu (Bayonne) réussit à se hisser à la 5e place. » « Les prétendants au titre augmentent chaque année, ajoute Eschalier. Aux historiques se sont ajoutés ces dernières années des clubs comme La Rochelle, l'UBB, Lyon ou Montpellier. Chaque journée donne donc lieu à plusieurs affiches. »
Parce qu'il fait bon aller au stade
Avez-vous déjà assisté à une rencontre de Top 14 au stade Ernest-Wallon de Toulouse ? Il y a ce qui se passe sur le terrain, bien sûr, avec ce jeu la plupart du temps spectaculaire, mais aussi tout ce qui se passe avant, avec notamment ces groupes musicaux qui animent l'avant-match aux abords de l'enceinte, et tout ce qui se passe après, quand l'afflux de nombreux fans à la Bodega, collée au stade, transforme presque l'endroit en boîte de nuit géante. Ce cocktail attractif n'est évidemment pas étranger à ces 17 matches d'affilée à guichets fermés que le club enchaîne depuis la saison dernière.
Toulouse n'est pas un cas isolé. C'est la même chose à La Rochelle, à Bayonne, à Perpignan, partout où le rugby donne souvent le pouls de la ville. « Les clubs ont beaucoup travaillé à l'amélioration de l'accueil et de l'expérience proposés aux spectateurs, remarque Eschalier. Les stades se transforment et la qualité de l'offre s'enrichit constamment en mettant en avant ce que le rugby suggère, c'est-à-dire un esprit de fête, de convivialité et de partage. » Les affluences grimpent aussi en Pro D2, mais dans une moindre mesure. Peut-être parce que Bayonne, qui tirait les chiffres vers le haut la saison passée, est aujourd'hui dans l'élite, où elle booste de la même manière la fréquentation du Top 14
Je me demande quelle autre club ou équipe de Province dans le monde rassemble 27 000 spectateurs de moyenne ?
UBB ne serait-il pas le club n°1 au monde en termes de fréquentation moyenne par match ?
Pour ça, il faudrait que tous les clubs aient un stade de même capacité pour voir.
Si vous étiez restés à Moga !!! Vous feriez guichets fermés, certes, comme La Rochelle, Bayonne, Toulouse etc ...
Le tout est de savoir si tous les clubs rempliraient un stade de 33.000 places.
Et puis la dimension des agglos y est pour quelque chose aussi.
https://www.lequotidiendusport.fr/les-stades-de-top-14-sont-ils-a-la-hauteur-de-leur-championnat/
Oui et? Au prétexte que l’UBB a un grand stade et un bassin de population conséquent, ça remet en cause cette réalité. Oui, LR qui est une ville plus petite avec un stade plus petit fait guichet fermé, Bayonne aussi, Brive pas loin (même quand ça gagne pas) Et ???
Tu veux calculer un ratio nombre d’habitants/ spectateurs au stade? La population on l’a compte jusqu’où. Il se trouve qu’il y a des mecs de Charente qui vont voir LR et d’autres l’UBB. On fait comment? On pourrait comparer les grandes villes entre elles? Quelle taille? Combien de sports concurrents pouvant capter le public?
Dans les villes moyennes, il n’y a souvent qu’un sport qui soit en élite. Ce sport devient vite vecteur d’identification, de fierté locale. On s’aperçoit aussi, que ça se remplit plus quand ça gaze que le contraire…
Donc l’UBB est le premier public d’Europe (en fréquentation) et puis c’est tout.
Dr. Gregory Bouse a écrit:tire-bouchon a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Affluence-au-stade-pourquoi-le-top-14-cartonne/1383336
Affluence au stade : pourquoi le Top 14 cartonne
Le Top 14 n'a jamais semblé aussi attractif qu'aujourd'hui. Une popularité qu'il doit autant à la proximité du Mondial en France et aux résultats des Bleus qu'au suspense qu'il génère et aux bonnes conditions d'accueil du public.
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Le stade Chaban-Delmas de Bordeaux affiche régulièrement ses matches à guichets fermés, comme c'était le cas le 30 octobre dernier face à Toulon (27-26). (N. Luttiau/L'Équipe)
Laurent Campistron
Le Top 14 a bonne mine. Les chiffres des affluences dans les stades l'attestent. Au soir de la 18e journée, 1 772 224 spectateurs s'étaient déjà rendu au stade cette saison, soit 20 % de plus que la saison dernière à la même période, ce qui représente une moyenne de 14 065 fans par match. Un record a même été établi ce week-end-là avec une moyenne de 18 782 spectateurs. Une fréquentation significative, qui a certes profité de la délocalisation du Toulon-Toulouse au Stade-Vélodrome de Marseille (un choc suivi par 43 804 personnes !), mais pas que.
Top 3 des affluences moyennes du Top 14
1. Union Bordeaux-Bègles : 27 037
2. Stade Toulousain : 20 235
3. Stade Rochelais et RC Toulonnais : 16 000
À Canal +, le diffuseur du Championnat, les audiences sont aussi à la hausse depuis la mise en place il y a deux ans d'une programmation proposant notamment deux matches en prime time le samedi soir et le dimanche soir, un match le samedi à 15 heures, un multiplex le même jour à 17 heures et deux émissions en clair (le Canal Rugby Club) le samedi et le dimanche. « Cette saison, entre la J1 et la J11, puisque l'étude s'est arrêtée fin novembre, on est à + 6 % par rapport à la saison dernière, qui était elle-même à + 10 % par rapport à la précédente, révèle Éric Bayle, le directeur du rugby de la chaîne cryptée. Et chaque week-end, entre nos directs et nos émissions, on touche plus de deux millions de téléspectateurs en moyenne. »
La case qui carbure le plus est celle du dimanche soir, avec une moyenne de 630 000 téléspectateurs, soit une augmentation de 8 % par rapport à la saison dernière et de 23 % par rapport à la saison 2020-2021. Le dimanche 1er janvier dernier, le match Clermont-Toulouse de 21 h 05 a ainsi scotché 786 000 personnes devant leur écran, un record depuis cinq ans pour un match de phase régulière. Alors pourquoi un tel engouement aujourd'hui, alors que partout ailleurs, et notamment en Angleterre, les clubs peinent à remplir les stades ?
Parce que le contexte est porteur
Avec une équipe de France qui performe et une Coupe du monde qui devrait enflammer le pays dans quelques mois (8 septembre-28 octobre), l'Hexagone est en train de virer ovale. « Ce contexte met le rugby au centre des attentes et des attentions », reconnaît Emmanuel Eschalier, le directeur général de la LNR. Et donc le Top 14, qui semble hermétique aux affaires qui secouent la Fédé et assez peu affecté par les doublons en période internationale qui parasitent sa lecture.
« Il y a un léger fléchissement, admet Bayle, surtout pendant le Six Nations, qui étale ses trois matches tout au long du week-end. Donc, forcément que l'abonné de Canal doit se partager entre le multiplex et Galles-Angleterre, pour prendre exemple de samedi dernier. Mais on a quand même attiré 650 000 téléspectateurs sur Bordeaux-Clermont la semaine dernière, et je suis sûr que le Racing-Toulouse de dimanche à 21 h 05 marchera aussi, notamment parce que Jaminet et Mauvaka devraient jouer côté toulousain. Comme nos Bleus jouent tous dans ce Championnat, la sélection et le Top 14 sont complètement imbriqués. »
Même constat dans les stades, où l'effritement des affluences ne se fait pas tellement ressentir lors des doublons. « On l'a vu ce dernier week-end avec des guichets fermés à Toulouse, La Rochelle et Bayonne, et de très bonnes affluences à Lyon et Bordeaux », note Eschalier.
Parce que le Top 14 est bien exposé et rempli d'incertitude
« Un feuilleton qui se suit comme une série. » C'est ainsi, comme le dit Éric Bayle, que Canal+ a imaginé son exposition du Top 14. « La chaîne en a fait un des piliers de sa programmation sportive avec la Ligue des champions, la Ligue 1 et la Formule 1 », ajoute-t-il. Mais pour que ça marche, encore faut-il que le Championnat ait tout ce qui fait le charme d'une série à succès, à savoir des histoires, des héros et du suspense. Ce qui est le cas.
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Les supporters bayonnais étaient venus en nombre à Bordeaux. (N. Luttiau/L'Équipe)
« On a des joueurs très identifiés, des stars, des managers à forte personnalité, et puis surtout beaucoup d'incertitude, poursuit le commentateur vedette de Canal+. À chaque début de saison, tu ne sais jamais qui va gagner. Aujourd'hui, on en est à sept champions différents en neuf ans. On a une densité tellement incroyable que la plupart des matches se jouent dans les dernières minutes, que les deux finalistes de la saison dernière (Montpellier et Castres) sont loin d'être qualifiés, et qu'un promu (Bayonne) réussit à se hisser à la 5e place. » « Les prétendants au titre augmentent chaque année, ajoute Eschalier. Aux historiques se sont ajoutés ces dernières années des clubs comme La Rochelle, l'UBB, Lyon ou Montpellier. Chaque journée donne donc lieu à plusieurs affiches. »
Parce qu'il fait bon aller au stade
Avez-vous déjà assisté à une rencontre de Top 14 au stade Ernest-Wallon de Toulouse ? Il y a ce qui se passe sur le terrain, bien sûr, avec ce jeu la plupart du temps spectaculaire, mais aussi tout ce qui se passe avant, avec notamment ces groupes musicaux qui animent l'avant-match aux abords de l'enceinte, et tout ce qui se passe après, quand l'afflux de nombreux fans à la Bodega, collée au stade, transforme presque l'endroit en boîte de nuit géante. Ce cocktail attractif n'est évidemment pas étranger à ces 17 matches d'affilée à guichets fermés que le club enchaîne depuis la saison dernière.
Toulouse n'est pas un cas isolé. C'est la même chose à La Rochelle, à Bayonne, à Perpignan, partout où le rugby donne souvent le pouls de la ville. « Les clubs ont beaucoup travaillé à l'amélioration de l'accueil et de l'expérience proposés aux spectateurs, remarque Eschalier. Les stades se transforment et la qualité de l'offre s'enrichit constamment en mettant en avant ce que le rugby suggère, c'est-à-dire un esprit de fête, de convivialité et de partage. » Les affluences grimpent aussi en Pro D2, mais dans une moindre mesure. Peut-être parce que Bayonne, qui tirait les chiffres vers le haut la saison passée, est aujourd'hui dans l'élite, où elle booste de la même manière la fréquentation du Top 14
Je me demande quelle autre club ou équipe de Province dans le monde rassemble 27 000 spectateurs de moyenne ?
UBB ne serait-il pas le club n°1 au monde en termes de fréquentation moyenne par match ?
Pour ça, il faudrait que tous les clubs aient un stade de même capacité pour voir.
Si vous étiez restés à Moga !!! Vous feriez guichets fermés, certes, comme La Rochelle, Bayonne, Toulouse etc ...
Le tout est de savoir si tous les clubs rempliraient un stade de 33.000 places.
Et puis la dimension des agglos y est pour quelque chose aussi.
https://www.lequotidiendusport.fr/les-stades-de-top-14-sont-ils-a-la-hauteur-de-leur-championnat/
les bons vieux contre-arguments des insupporters toulousains...
On te parle de valeurs absolues, ça devrait être facile à comprendre pour toi, non ?
Explique pourquoi le ST ne fait jamais le plein dans son stade avec une agglo à 800 000 habitants, la même que Bordeaux ?
Ce qu'il faudrait, c'est surtout coupler le nombre total de spectateurs au taux de remplissage et à l'environnement (population locale, aire agglo...). L'un ne va pas sans l'autre. Il est facile de remplir un stade de 10.000 places et donc d'afficher un taux de remplissage de 100%, comme il est facile pour une agglo de 500.000 ou 1M de personnes de remplir un stade de 25 ou 30.000 places. Ces indicateurs n'ont de valeur et d'enseignements que s'ils sont corrélés.
C'est plus facile à comparer en foot car ce sont globalement des "gros" stades (> 20.000 places) et des grosses agglos. En rugby, plus compliqué de comparer entre le SF, le Racing, Lyon ou Bordeaux d'un côté, et Castres, LR Bayonne ou Perpi de l'autre.
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
grospaquet31 a écrit:tire-bouchon a écrit:
Ben il semblerait que tous les gros fassent guichets fermés depuis le début.
EZt si je parle de valeur relative, c' est facile à comprendre pour toi!
C’est bien connu, R92 joue a guichet fermé ( a la limite pour Rihanna je veux bien te croire), SF pareil, Lou itou…
Sinon ceux qui sont à guichets fermés….ben qu’ils construisent un stade plus grand.
Ben à part Toulouse et Montferrand, je ne vois pas quel club a fait construire son stade. Il est vrai qu'il y a quelques clubs qui profitent de logements sociaux.
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
tire-bouchon a écrit:grospaquet31 a écrit:tire-bouchon a écrit:
Ben il semblerait que tous les gros fassent guichets fermés depuis le début.
EZt si je parle de valeur relative, c' est facile à comprendre pour toi!
C’est bien connu, R92 joue a guichet fermé ( a la limite pour Rihanna je veux bien te croire), SF pareil, Lou itou…
Sinon ceux qui sont à guichets fermés….ben qu’ils construisent un stade plus grand.
Ben à part Toulouse et Montferrand, je ne vois pas quel club a fait construire son stade. Il est vrai qu'il y a quelques clubs qui profitent de logements sociaux.
Et oui, on est un club d'assistés, utilisant un équipement municipal avec un loyer modéré.
Tout le monde n'est pas comme les toulousains ayant construit leur stade de leurs mains à l'instar de Guy Novès batissant seul sa maison de Pibrac!!
c'est beau, j'en chialerais presque
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
Moi aussi ! Pour Novès evidemment.Roberto Miopalmo a écrit:tire-bouchon a écrit:grospaquet31 a écrit:tire-bouchon a écrit:
Ben il semblerait que tous les gros fassent guichets fermés depuis le début.
EZt si je parle de valeur relative, c' est facile à comprendre pour toi!
C’est bien connu, R92 joue a guichet fermé ( a la limite pour Rihanna je veux bien te croire), SF pareil, Lou itou…
Sinon ceux qui sont à guichets fermés….ben qu’ils construisent un stade plus grand.
Ben à part Toulouse et Montferrand, je ne vois pas quel club a fait construire son stade. Il est vrai qu'il y a quelques clubs qui profitent de logements sociaux.
Et oui, on est un club d'assistés, utilisant un équipement municipal avec un loyer modéré.
Tout le monde n'est pas comme les toulousains ayant construit leur stade de leurs mains à l'instar de Guy Novès batissant seul sa maison de Pibrac!!
c'est beau, j'en chialerais presque
Ceci dit, il y a des clubs qui ne soucient guère des loyers. Loyers rétrocédés sous forme de subventions diverses. Bayonne par exemple et le summum atteint par Toulon, où H.Falco a déclaré publiquement que le RCT ne sortirai pas un sou pour les équipement tant qu'il serait Maire.
Donc, si vos affluences augmentent encore, je vous suggère d' échanger Chaban contre le Grand stade.
A vous de voir. En plus vous pourrez tout modifier, ce n' est pas un monument historique.
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
tire-bouchon a écrit:Moi aussi ! Pour Novès evidemment.Roberto Miopalmo a écrit:tire-bouchon a écrit:grospaquet31 a écrit:tire-bouchon a écrit:
Ben il semblerait que tous les gros fassent guichets fermés depuis le début.
EZt si je parle de valeur relative, c' est facile à comprendre pour toi!
C’est bien connu, R92 joue a guichet fermé ( a la limite pour Rihanna je veux bien te croire), SF pareil, Lou itou…
Sinon ceux qui sont à guichets fermés….ben qu’ils construisent un stade plus grand.
Ben à part Toulouse et Montferrand, je ne vois pas quel club a fait construire son stade. Il est vrai qu'il y a quelques clubs qui profitent de logements sociaux.
Et oui, on est un club d'assistés, utilisant un équipement municipal avec un loyer modéré.
Tout le monde n'est pas comme les toulousains ayant construit leur stade de leurs mains à l'instar de Guy Novès batissant seul sa maison de Pibrac!!
c'est beau, j'en chialerais presque
Ceci dit, il y a des clubs qui ne soucient guère des loyers. Loyers rétrocédés sous forme de subventions diverses. Bayonne par exemple et le summum atteint par Toulon, où H.Falco a déclaré publiquement que le RCT ne sortirai pas un sou pour les équipement tant qu'il serait Maire.
Donc, si vos affluences augmentent encore, je vous suggère d' échanger Chaban contre le Grand stade.
A vous de voir. En plus vous pourrez tout modifier, ce n' est pas un monument historique.
C'est clair que ça arrangerait du monde si on récupérait le Matmut! Mais pas l'UBB !
Chaban me convient parfaitement bien comme il est. J'imagine que maintenant comme venir au stade doit être une "expérience", le club souhaiterait pouvoir faire quelques modifs (lesquelles???). Pour ma part un stade en ville, à 15 mn de vélo de la maison et où je peux prendre une bière quand il fait chaud (ou pas). Ca me suffit.
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
Tout le monde sait très bien (sauf les fouilles merde compulsifs) que la situation idéale de Chaban participe grandement à l'attractivité de l'UBB. (le match UBB-SUA de pro D2 en fût la première preuve éclatante)
Et quelle chance avons nous d'évoluer au sein d'un "monument historique" qui enracine ce terrain au coeur de sa ville.
Cela implique certaines contraintes mais rien à côté de ce que ce stade nous apporte
Et quelle chance avons nous d'évoluer au sein d'un "monument historique" qui enracine ce terrain au coeur de sa ville.
Cela implique certaines contraintes mais rien à côté de ce que ce stade nous apporte
sudiste- Unioniste de la première heure
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Affluence au stade et popularité du Top14
Switch a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:tire-bouchon a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Affluence-au-stade-pourquoi-le-top-14-cartonne/1383336
Affluence au stade : pourquoi le Top 14 cartonne
Le Top 14 n'a jamais semblé aussi attractif qu'aujourd'hui. Une popularité qu'il doit autant à la proximité du Mondial en France et aux résultats des Bleus qu'au suspense qu'il génère et aux bonnes conditions d'accueil du public.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le stade Chaban-Delmas de Bordeaux affiche régulièrement ses matches à guichets fermés, comme c'était le cas le 30 octobre dernier face à Toulon (27-26). (N. Luttiau/L'Équipe)
Laurent Campistron
Le Top 14 a bonne mine. Les chiffres des affluences dans les stades l'attestent. Au soir de la 18e journée, 1 772 224 spectateurs s'étaient déjà rendu au stade cette saison, soit 20 % de plus que la saison dernière à la même période, ce qui représente une moyenne de 14 065 fans par match. Un record a même été établi ce week-end-là avec une moyenne de 18 782 spectateurs. Une fréquentation significative, qui a certes profité de la délocalisation du Toulon-Toulouse au Stade-Vélodrome de Marseille (un choc suivi par 43 804 personnes !), mais pas que.
Top 3 des affluences moyennes du Top 14
1. Union Bordeaux-Bègles : 27 037
2. Stade Toulousain : 20 235
3. Stade Rochelais et RC Toulonnais : 16 000
À Canal +, le diffuseur du Championnat, les audiences sont aussi à la hausse depuis la mise en place il y a deux ans d'une programmation proposant notamment deux matches en prime time le samedi soir et le dimanche soir, un match le samedi à 15 heures, un multiplex le même jour à 17 heures et deux émissions en clair (le Canal Rugby Club) le samedi et le dimanche. « Cette saison, entre la J1 et la J11, puisque l'étude s'est arrêtée fin novembre, on est à + 6 % par rapport à la saison dernière, qui était elle-même à + 10 % par rapport à la précédente, révèle Éric Bayle, le directeur du rugby de la chaîne cryptée. Et chaque week-end, entre nos directs et nos émissions, on touche plus de deux millions de téléspectateurs en moyenne. »
La case qui carbure le plus est celle du dimanche soir, avec une moyenne de 630 000 téléspectateurs, soit une augmentation de 8 % par rapport à la saison dernière et de 23 % par rapport à la saison 2020-2021. Le dimanche 1er janvier dernier, le match Clermont-Toulouse de 21 h 05 a ainsi scotché 786 000 personnes devant leur écran, un record depuis cinq ans pour un match de phase régulière. Alors pourquoi un tel engouement aujourd'hui, alors que partout ailleurs, et notamment en Angleterre, les clubs peinent à remplir les stades ?
Parce que le contexte est porteur
Avec une équipe de France qui performe et une Coupe du monde qui devrait enflammer le pays dans quelques mois (8 septembre-28 octobre), l'Hexagone est en train de virer ovale. « Ce contexte met le rugby au centre des attentes et des attentions », reconnaît Emmanuel Eschalier, le directeur général de la LNR. Et donc le Top 14, qui semble hermétique aux affaires qui secouent la Fédé et assez peu affecté par les doublons en période internationale qui parasitent sa lecture.
« Il y a un léger fléchissement, admet Bayle, surtout pendant le Six Nations, qui étale ses trois matches tout au long du week-end. Donc, forcément que l'abonné de Canal doit se partager entre le multiplex et Galles-Angleterre, pour prendre exemple de samedi dernier. Mais on a quand même attiré 650 000 téléspectateurs sur Bordeaux-Clermont la semaine dernière, et je suis sûr que le Racing-Toulouse de dimanche à 21 h 05 marchera aussi, notamment parce que Jaminet et Mauvaka devraient jouer côté toulousain. Comme nos Bleus jouent tous dans ce Championnat, la sélection et le Top 14 sont complètement imbriqués. »
Même constat dans les stades, où l'effritement des affluences ne se fait pas tellement ressentir lors des doublons. « On l'a vu ce dernier week-end avec des guichets fermés à Toulouse, La Rochelle et Bayonne, et de très bonnes affluences à Lyon et Bordeaux », note Eschalier.
Parce que le Top 14 est bien exposé et rempli d'incertitude
« Un feuilleton qui se suit comme une série. » C'est ainsi, comme le dit Éric Bayle, que Canal+ a imaginé son exposition du Top 14. « La chaîne en a fait un des piliers de sa programmation sportive avec la Ligue des champions, la Ligue 1 et la Formule 1 », ajoute-t-il. Mais pour que ça marche, encore faut-il que le Championnat ait tout ce qui fait le charme d'une série à succès, à savoir des histoires, des héros et du suspense. Ce qui est le cas.
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Les supporters bayonnais étaient venus en nombre à Bordeaux. (N. Luttiau/L'Équipe)
« On a des joueurs très identifiés, des stars, des managers à forte personnalité, et puis surtout beaucoup d'incertitude, poursuit le commentateur vedette de Canal+. À chaque début de saison, tu ne sais jamais qui va gagner. Aujourd'hui, on en est à sept champions différents en neuf ans. On a une densité tellement incroyable que la plupart des matches se jouent dans les dernières minutes, que les deux finalistes de la saison dernière (Montpellier et Castres) sont loin d'être qualifiés, et qu'un promu (Bayonne) réussit à se hisser à la 5e place. » « Les prétendants au titre augmentent chaque année, ajoute Eschalier. Aux historiques se sont ajoutés ces dernières années des clubs comme La Rochelle, l'UBB, Lyon ou Montpellier. Chaque journée donne donc lieu à plusieurs affiches. »
Parce qu'il fait bon aller au stade
Avez-vous déjà assisté à une rencontre de Top 14 au stade Ernest-Wallon de Toulouse ? Il y a ce qui se passe sur le terrain, bien sûr, avec ce jeu la plupart du temps spectaculaire, mais aussi tout ce qui se passe avant, avec notamment ces groupes musicaux qui animent l'avant-match aux abords de l'enceinte, et tout ce qui se passe après, quand l'afflux de nombreux fans à la Bodega, collée au stade, transforme presque l'endroit en boîte de nuit géante. Ce cocktail attractif n'est évidemment pas étranger à ces 17 matches d'affilée à guichets fermés que le club enchaîne depuis la saison dernière.
Toulouse n'est pas un cas isolé. C'est la même chose à La Rochelle, à Bayonne, à Perpignan, partout où le rugby donne souvent le pouls de la ville. « Les clubs ont beaucoup travaillé à l'amélioration de l'accueil et de l'expérience proposés aux spectateurs, remarque Eschalier. Les stades se transforment et la qualité de l'offre s'enrichit constamment en mettant en avant ce que le rugby suggère, c'est-à-dire un esprit de fête, de convivialité et de partage. » Les affluences grimpent aussi en Pro D2, mais dans une moindre mesure. Peut-être parce que Bayonne, qui tirait les chiffres vers le haut la saison passée, est aujourd'hui dans l'élite, où elle booste de la même manière la fréquentation du Top 14
Je me demande quelle autre club ou équipe de Province dans le monde rassemble 27 000 spectateurs de moyenne ?
UBB ne serait-il pas le club n°1 au monde en termes de fréquentation moyenne par match ?
Pour ça, il faudrait que tous les clubs aient un stade de même capacité pour voir.
Si vous étiez restés à Moga !!! Vous feriez guichets fermés, certes, comme La Rochelle, Bayonne, Toulouse etc ...
Le tout est de savoir si tous les clubs rempliraient un stade de 33.000 places.
Et puis la dimension des agglos y est pour quelque chose aussi.
https://www.lequotidiendusport.fr/les-stades-de-top-14-sont-ils-a-la-hauteur-de-leur-championnat/
Oui et? Au prétexte que l’UBB a un grand stade et un bassin de population conséquent, ça remet en cause cette réalité. Oui, LR qui est une ville plus petite avec un stade plus petit fait guichet fermé, Bayonne aussi, Brive pas loin (même quand ça gagne pas) Et ???
Tu veux calculer un ratio nombre d’habitants/ spectateurs au stade? La population on l’a compte jusqu’où. Il se trouve qu’il y a des mecs de Charente qui vont voir LR et d’autres l’UBB. On fait comment? On pourrait comparer les grandes villes entre elles? Quelle taille? Combien de sports concurrents pouvant capter le public?
Dans les villes moyennes, il n’y a souvent qu’un sport qui soit en élite. Ce sport devient vite vecteur d’identification, de fierté locale. On s’aperçoit aussi, que ça se remplit plus quand ça gaze que le contraire…
Donc l’UBB est le premier public d’Europe (en fréquentation) et puis c’est tout.Dr. Gregory Bouse a écrit:tire-bouchon a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Affluence-au-stade-pourquoi-le-top-14-cartonne/1383336
Affluence au stade : pourquoi le Top 14 cartonne
Le Top 14 n'a jamais semblé aussi attractif qu'aujourd'hui. Une popularité qu'il doit autant à la proximité du Mondial en France et aux résultats des Bleus qu'au suspense qu'il génère et aux bonnes conditions d'accueil du public.
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Le stade Chaban-Delmas de Bordeaux affiche régulièrement ses matches à guichets fermés, comme c'était le cas le 30 octobre dernier face à Toulon (27-26). (N. Luttiau/L'Équipe)
Laurent Campistron
Le Top 14 a bonne mine. Les chiffres des affluences dans les stades l'attestent. Au soir de la 18e journée, 1 772 224 spectateurs s'étaient déjà rendu au stade cette saison, soit 20 % de plus que la saison dernière à la même période, ce qui représente une moyenne de 14 065 fans par match. Un record a même été établi ce week-end-là avec une moyenne de 18 782 spectateurs. Une fréquentation significative, qui a certes profité de la délocalisation du Toulon-Toulouse au Stade-Vélodrome de Marseille (un choc suivi par 43 804 personnes !), mais pas que.
Top 3 des affluences moyennes du Top 14
1. Union Bordeaux-Bègles : 27 037
2. Stade Toulousain : 20 235
3. Stade Rochelais et RC Toulonnais : 16 000
À Canal +, le diffuseur du Championnat, les audiences sont aussi à la hausse depuis la mise en place il y a deux ans d'une programmation proposant notamment deux matches en prime time le samedi soir et le dimanche soir, un match le samedi à 15 heures, un multiplex le même jour à 17 heures et deux émissions en clair (le Canal Rugby Club) le samedi et le dimanche. « Cette saison, entre la J1 et la J11, puisque l'étude s'est arrêtée fin novembre, on est à + 6 % par rapport à la saison dernière, qui était elle-même à + 10 % par rapport à la précédente, révèle Éric Bayle, le directeur du rugby de la chaîne cryptée. Et chaque week-end, entre nos directs et nos émissions, on touche plus de deux millions de téléspectateurs en moyenne. »
La case qui carbure le plus est celle du dimanche soir, avec une moyenne de 630 000 téléspectateurs, soit une augmentation de 8 % par rapport à la saison dernière et de 23 % par rapport à la saison 2020-2021. Le dimanche 1er janvier dernier, le match Clermont-Toulouse de 21 h 05 a ainsi scotché 786 000 personnes devant leur écran, un record depuis cinq ans pour un match de phase régulière. Alors pourquoi un tel engouement aujourd'hui, alors que partout ailleurs, et notamment en Angleterre, les clubs peinent à remplir les stades ?
Parce que le contexte est porteur
Avec une équipe de France qui performe et une Coupe du monde qui devrait enflammer le pays dans quelques mois (8 septembre-28 octobre), l'Hexagone est en train de virer ovale. « Ce contexte met le rugby au centre des attentes et des attentions », reconnaît Emmanuel Eschalier, le directeur général de la LNR. Et donc le Top 14, qui semble hermétique aux affaires qui secouent la Fédé et assez peu affecté par les doublons en période internationale qui parasitent sa lecture.
« Il y a un léger fléchissement, admet Bayle, surtout pendant le Six Nations, qui étale ses trois matches tout au long du week-end. Donc, forcément que l'abonné de Canal doit se partager entre le multiplex et Galles-Angleterre, pour prendre exemple de samedi dernier. Mais on a quand même attiré 650 000 téléspectateurs sur Bordeaux-Clermont la semaine dernière, et je suis sûr que le Racing-Toulouse de dimanche à 21 h 05 marchera aussi, notamment parce que Jaminet et Mauvaka devraient jouer côté toulousain. Comme nos Bleus jouent tous dans ce Championnat, la sélection et le Top 14 sont complètement imbriqués. »
Même constat dans les stades, où l'effritement des affluences ne se fait pas tellement ressentir lors des doublons. « On l'a vu ce dernier week-end avec des guichets fermés à Toulouse, La Rochelle et Bayonne, et de très bonnes affluences à Lyon et Bordeaux », note Eschalier.
Parce que le Top 14 est bien exposé et rempli d'incertitude
« Un feuilleton qui se suit comme une série. » C'est ainsi, comme le dit Éric Bayle, que Canal+ a imaginé son exposition du Top 14. « La chaîne en a fait un des piliers de sa programmation sportive avec la Ligue des champions, la Ligue 1 et la Formule 1 », ajoute-t-il. Mais pour que ça marche, encore faut-il que le Championnat ait tout ce qui fait le charme d'une série à succès, à savoir des histoires, des héros et du suspense. Ce qui est le cas.
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Les supporters bayonnais étaient venus en nombre à Bordeaux. (N. Luttiau/L'Équipe)
« On a des joueurs très identifiés, des stars, des managers à forte personnalité, et puis surtout beaucoup d'incertitude, poursuit le commentateur vedette de Canal+. À chaque début de saison, tu ne sais jamais qui va gagner. Aujourd'hui, on en est à sept champions différents en neuf ans. On a une densité tellement incroyable que la plupart des matches se jouent dans les dernières minutes, que les deux finalistes de la saison dernière (Montpellier et Castres) sont loin d'être qualifiés, et qu'un promu (Bayonne) réussit à se hisser à la 5e place. » « Les prétendants au titre augmentent chaque année, ajoute Eschalier. Aux historiques se sont ajoutés ces dernières années des clubs comme La Rochelle, l'UBB, Lyon ou Montpellier. Chaque journée donne donc lieu à plusieurs affiches. »
Parce qu'il fait bon aller au stade
Avez-vous déjà assisté à une rencontre de Top 14 au stade Ernest-Wallon de Toulouse ? Il y a ce qui se passe sur le terrain, bien sûr, avec ce jeu la plupart du temps spectaculaire, mais aussi tout ce qui se passe avant, avec notamment ces groupes musicaux qui animent l'avant-match aux abords de l'enceinte, et tout ce qui se passe après, quand l'afflux de nombreux fans à la Bodega, collée au stade, transforme presque l'endroit en boîte de nuit géante. Ce cocktail attractif n'est évidemment pas étranger à ces 17 matches d'affilée à guichets fermés que le club enchaîne depuis la saison dernière.
Toulouse n'est pas un cas isolé. C'est la même chose à La Rochelle, à Bayonne, à Perpignan, partout où le rugby donne souvent le pouls de la ville. « Les clubs ont beaucoup travaillé à l'amélioration de l'accueil et de l'expérience proposés aux spectateurs, remarque Eschalier. Les stades se transforment et la qualité de l'offre s'enrichit constamment en mettant en avant ce que le rugby suggère, c'est-à-dire un esprit de fête, de convivialité et de partage. » Les affluences grimpent aussi en Pro D2, mais dans une moindre mesure. Peut-être parce que Bayonne, qui tirait les chiffres vers le haut la saison passée, est aujourd'hui dans l'élite, où elle booste de la même manière la fréquentation du Top 14
Je me demande quelle autre club ou équipe de Province dans le monde rassemble 27 000 spectateurs de moyenne ?
UBB ne serait-il pas le club n°1 au monde en termes de fréquentation moyenne par match ?
Pour ça, il faudrait que tous les clubs aient un stade de même capacité pour voir.
Si vous étiez restés à Moga !!! Vous feriez guichets fermés, certes, comme La Rochelle, Bayonne, Toulouse etc ...
Le tout est de savoir si tous les clubs rempliraient un stade de 33.000 places.
Et puis la dimension des agglos y est pour quelque chose aussi.
https://www.lequotidiendusport.fr/les-stades-de-top-14-sont-ils-a-la-hauteur-de-leur-championnat/
les bons vieux contre-arguments des insupporters toulousains...
On te parle de valeurs absolues, ça devrait être facile à comprendre pour toi, non ?
Explique pourquoi le ST ne fait jamais le plein dans son stade avec une agglo à 800 000 habitants, la même que Bordeaux ?
Ce qu'il faudrait, c'est surtout coupler le nombre total de spectateurs au taux de remplissage et à l'environnement (population locale, aire agglo...). L'un ne va pas sans l'autre. Il est facile de remplir un stade de 10.000 places et donc d'afficher un taux de remplissage de 100%, comme il est facile pour une agglo de 500.000 ou 1M de personnes de remplir un stade de 25 ou 30.000 places. Ces indicateurs n'ont de valeur et d'enseignements que s'ils sont corrélés.
C'est plus facile à comparer en foot car ce sont globalement des "gros" stades (> 20.000 places) et des grosses agglos. En rugby, plus compliqué de comparer entre le SF, le Racing, Lyon ou Bordeaux d'un côté, et Castres, LR Bayonne ou Perpi de l'autre.
et encore... cela dépend aussi de la présence d'autres sports pros sur une ville et/ou métropole. A La Rochelle et à Bayonne, à part le rugby, je ne vois pas...
A Bordeaux, Toulouse, Montpellier, existences cumulées de multiples équipes pro (foot, hand pour Toulouse et Montpellier). D'où le constat que faire 26 000 de moyenne à Bordeaux avec la concurrence des Girondins, ce n'est pas rien.
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
Je crois tout simplement qu'il y a des terres de rugby historiques et d'autres qui le sont moins...Bordeaux fait partie des premières après une trop longue léthargie ce qui n'est pas le cas de Montpellier et pas vraiment de Lyon qui peine à rameuter malgré des ambitions affichées.
Pour en rester aux grandes agglomérations Paris est encore une énigme avec un énorme vivier (certes largement alimenté par des exilés) mais pas de public (que ce soit pour les zèbres ou les flamants)
Pour en rester aux grandes agglomérations Paris est encore une énigme avec un énorme vivier (certes largement alimenté par des exilés) mais pas de public (que ce soit pour les zèbres ou les flamants)
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
sudiste a écrit:Je crois tout simplement qu'il y a des terres de rugby historiques et d'autres qui le sont moins...Bordeaux fait partie des premières après une trop longue léthargie ce qui n'est pas le cas de Montpellier et pas vraiment de Lyon qui peine à rameuter malgré des ambitions affichées.
Pour en rester aux grandes agglomérations Paris est encore une énigme avec un énorme vivier (certes largement alimenté par des exilés) mais pas de public (que ce soit pour les zèbres ou les flamants)
C' est un cas un peu à part.
Il y a des clubs historiques autour de Lyon.
Seulement en plus de la concurrence du foot, il faut aussi ajouter celle des Alpes beaucoup plus présente que celle des Pyrénées pour Bordeaux.
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
Gerland est le plus gros stade du Top14. L'agglomération est plus grande que Bordeaux, la concurrence d'autres sports équivalente. Et pourtant leur affluence est largement inférieure. Et je ne parle même pas des clubs franciliens... Minimiser le fait qu'on ait la meilleure affluence européenne et la deuxième mondiale est juste d'une stupidité abyssale (quoique pas surprenante).
krahknardz- Team modo
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Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
krahknardz a écrit:Gerland est le plus gros stade du Top14. L'agglomération est plus grande que Bordeaux, la concurrence d'autres sports équivalente. Et pourtant leur affluence est largement inférieure. Et je ne parle même pas des clubs franciliens... Minimiser le fait qu'on ait la meilleure affluence européenne et la deuxième mondiale est juste d'une stupidité abyssale (quoique pas surprenante).
Le stade de Gerland affichait une capacité de 51860 places (officielles) quand l' OL l' occupait.
Quand le LOU a investit les lieux, suite à des travaux, la capacité a été ramenée à 35029 places (officielles).
A noter qu'il n' y a que 2 stades de rugby qui dépassent la capacité de 20000 spectateurs. Bordeaux et Lyon.
https://www.arcgis.com/apps/dashboards/1b7c0452800f456daf25742b52439d5e
On cite souvent la Défense Aréna ou évolue le Racing, mais en fait c' est une salle de spectacle couverte qui accueille des matchs de rugby mais pas que. Les spectacles sont prioritaires sur le rugby, le Racing ayant déja été obligé de délocaliser deux matchs pour cause de concerts.
Et tout ça n' empêche pas l' UBB de caracoler en tête des affluences mondiales.
Dire le contraire serait, en restant mesuré, (je cite) d' une stupidité abyssale.
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Affluence au stade et popularité du Top14
https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/top-14-les-affluences-moyennes-en-hausse-de-2-en-top-14-et-de-13-en-pro-d2-20231128
marchal- Centre de presse
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