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Que deviennent nos anciens joueurs ?
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Scalp- Team modo
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Lam et darrelatour ont fait leur premier match en rugby à 13 et selon le midol l'essai est concluant avec 1 essai chacun.
Kitwanga notre ancien 2ème ligne espoir qui joue actuellement à Angoulême fait encore partie des meilleurs joueurs de cette équipe. Il avait fait une très bonne saison 2023-2024.
Kitwanga notre ancien 2ème ligne espoir qui joue actuellement à Angoulême fait encore partie des meilleurs joueurs de cette équipe. Il avait fait une très bonne saison 2023-2024.
marchal- Centre de presse
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
christophe reigt va superviser le rugby à XV et à VII féminin et laisse le poste de manager général de l'EDF VII à jerome daret, ex entraineur de l'edf VII qui lui meme va etre remplacé par benoit baby
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/rugby-a-7/rugby-a-sept-benoit-baby-nomme-entraineur-des-bleus-champions-olympiques-21550043.php
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marchal- Centre de presse
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
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Rugby : « Un leader dans le jeu et en dehors », Beka Gorgadze, le très grand 8 de la Section Paloise
Grégory Letort
4–5 minutes
Pourtant à ce moment-là, Pau menait (25-16). Et sur le coup, Gorgadze a été pénalisé. « Le tournant du match, insistait quand même Delhommel. Quand Beka le plaque, il le marque bien. On est chez eux, en plein bras de fer et on sent qu’on arrive à gagner. C’est un des moments clés. » « Une action qui a montré qu’on avait envie de remettre de l’avancée et de dominer l’adversaire », saluait Emilien Gailleton.
Capitaine au coup d’envoi, Gorgadze avait déjà signé l’essai qui avait permis à Pau de prendre enfin les commandes à 56e minute. Là, il parachevait le travail. Sébastien Piqueronies n’a pas oublié de lui rendre hommage : « Mention spéciale à notre capitaine mais vous n’avez pas besoin de moi pour vous en rendre compte. »
Le manager palois sait être bien espiègle. Demandez-lui de s’épancher sur les coups d’éclat de ses garçons, 9 fois sur 10, il vous dira qu’il n’est « pas surpris. » Là il ne l’a pas dit mais il aurait pu : ce n’est jamais plus vrai qu’avec Beka, modèle de constance et de consistance à chacun de ses 57 matches depuis sa signature en 2021.
« Quand Beka avance… »
Un classique qui méritait quand même d’être souligné. « C’est un garçon qui avance, on en a parlé 50 000 fois, radotait du coup Piqueronies Le rugby est un sport de territoire, la ligne adverse elle est 100 mètres devant toi et à un moment donné, il faut avancer. Beka est le symbole d’un joueur qui avance. Et quand Beka avance, l’équipe avance. C’est aussi simple que ça. »
Capitaine en l’absence de Whitelock, lider maximo maintenant que Lucas Rey est arrêté, le Géorgien a tenu le cap dans la tempête. En deux temps. « Il a eu un rôle de stabilisateur », éclairait Piqueronies. « Et il a enclenché la marche avant », développait Delhommel. Avec des actes évocateurs. « Beka, il ne parle pas beaucoup, dévoilait leur talonneur. Mais on sait que sur le terrain, on peut compter sur lui. C’est un exemple. On est tous d’accord que sur ses collisions il nous aide… C’est un leader dans le jeu et en dehors. »
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Rugby - Top 14 : la Section Paloise fait le coup de la remontada
Rugby - Top 14 : la Section Paloise fait le coup de la remontada
Deux ans après une défaite humiliante contre le Stade Français qui avait remonté 22 points en 24 minutes, la Section Paloise s’est vengée en remontant un écart de dix points à la mi-temps pour signer un 24-0 et un 2e succès bonifié à domicile cette saison qui lui donne de l’air.
« La Section sur les rails »
Naturellement homme du match pour La République des Pyrénées et Laurent Labit, sans aucune concertation (#expertise). « Beka a remis la Section sur les rails, s’inclinait le coach parisien. C’est un joueur brillant, quelqu’un qui - au même titre que Luke Whitelock -, est primordial dans l’équilibre de l’équipe : à la fois parce qu’il amène et par ce qu’il apporte à ceux qui l’entourent. Il a systématiquement avancé. Il a fait la différence sur ses appuis d’abord et puis sur l’intensité qu’il met dans ses contacts. Il donne confiance. »
Beka ne subit jamais. Alors que c’est un idéal de vie pour la Section Paloise, c’est une soirée qui n’a eu qu’un seul inconvénient, celui de rappeler en prime time à la France du rugby ce que l’environnement Section, savait déjà : à quel point l’international géorgien en fin de contrat est un homme précieux.
Rugby : « Un leader dans le jeu et en dehors », Beka Gorgadze, le très grand 8 de la Section Paloise
Grégory Letort
4–5 minutes
Pourtant à ce moment-là, Pau menait (25-16). Et sur le coup, Gorgadze a été pénalisé. « Le tournant du match, insistait quand même Delhommel. Quand Beka le plaque, il le marque bien. On est chez eux, en plein bras de fer et on sent qu’on arrive à gagner. C’est un des moments clés. » « Une action qui a montré qu’on avait envie de remettre de l’avancée et de dominer l’adversaire », saluait Emilien Gailleton.
Capitaine au coup d’envoi, Gorgadze avait déjà signé l’essai qui avait permis à Pau de prendre enfin les commandes à 56e minute. Là, il parachevait le travail. Sébastien Piqueronies n’a pas oublié de lui rendre hommage : « Mention spéciale à notre capitaine mais vous n’avez pas besoin de moi pour vous en rendre compte. »
Le manager palois sait être bien espiègle. Demandez-lui de s’épancher sur les coups d’éclat de ses garçons, 9 fois sur 10, il vous dira qu’il n’est « pas surpris. » Là il ne l’a pas dit mais il aurait pu : ce n’est jamais plus vrai qu’avec Beka, modèle de constance et de consistance à chacun de ses 57 matches depuis sa signature en 2021.
« Quand Beka avance… »
Un classique qui méritait quand même d’être souligné. « C’est un garçon qui avance, on en a parlé 50 000 fois, radotait du coup Piqueronies Le rugby est un sport de territoire, la ligne adverse elle est 100 mètres devant toi et à un moment donné, il faut avancer. Beka est le symbole d’un joueur qui avance. Et quand Beka avance, l’équipe avance. C’est aussi simple que ça. »
Capitaine en l’absence de Whitelock, lider maximo maintenant que Lucas Rey est arrêté, le Géorgien a tenu le cap dans la tempête. En deux temps. « Il a eu un rôle de stabilisateur », éclairait Piqueronies. « Et il a enclenché la marche avant », développait Delhommel. Avec des actes évocateurs. « Beka, il ne parle pas beaucoup, dévoilait leur talonneur. Mais on sait que sur le terrain, on peut compter sur lui. C’est un exemple. On est tous d’accord que sur ses collisions il nous aide… C’est un leader dans le jeu et en dehors. »
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« La Section sur les rails »
Naturellement homme du match pour La République des Pyrénées et Laurent Labit, sans aucune concertation (#expertise). « Beka a remis la Section sur les rails, s’inclinait le coach parisien. C’est un joueur brillant, quelqu’un qui - au même titre que Luke Whitelock -, est primordial dans l’équilibre de l’équipe : à la fois parce qu’il amène et par ce qu’il apporte à ceux qui l’entourent. Il a systématiquement avancé. Il a fait la différence sur ses appuis d’abord et puis sur l’intensité qu’il met dans ses contacts. Il donne confiance. »
Beka ne subit jamais. Alors que c’est un idéal de vie pour la Section Paloise, c’est une soirée qui n’a eu qu’un seul inconvénient, celui de rappeler en prime time à la France du rugby ce que l’environnement Section, savait déjà : à quel point l’international géorgien en fin de contrat est un homme précieux.
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
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Saubusse - Gibouin : les tontons fringants du SA XV
Eric FILLAUD - e.fillaud@charentelibre.fr
4–5 minutes
Relais de la flamme et du message, des consignes du staff. Un message porté haut vendredi dans les Landes par Gautier Gibouin et Manu Saubusse, tous deux 35 ans cette année et « frères » de rugby depuis le centre de formation de Bordeaux-Bègles.
Le premier, qui soignait son arthrose du genou et, surtout, se consacrait à son mariage fin août, honorait sa première titularisation de la saison en troisième-ligne après 35 minutes sur la pelouse de Chanzy la semaine passée face à Mont-de-Marsan. Appelé de dernière minute après la gêne ressentie par Enzo Morand-Bruyat à l’échauffement. Entré en jeu à la 55e pour tenter de remettre un peu d’ordre dans la maison, mais le mal était fait en première période.
Le second, lui, n’avait disputé que les 34 dernières minutes à Nice lors de la troisième journée, contribuant à sa façon à la fin de match victorieuse du SA XV.
Leaders de jeu et de combat
Lucas Zamora, Adrien Bau et Alexis Levron s’étaient jusqu’alors partagé l’essentiel du temps de jeu à la mêlée, l’ancien Montois s’appliquant surtout à soigner son intégration au sein du staff angoumoisin qu’il a rejoint à l’intersaison en tant que responsable des skills et du jeu au pied.
Vendredi soir, sur la pelouse gorgée d’eau du stade Maurice-Boyau, tous deux ont été décisifs. Tonton fringants d’un collectif de flingueurs. Leaders par l’exemple. Et l’efficacité. D’abord quelques stats.
Onze points et 100 % d’efficacité face aux poteaux pour Manu Saubusse, buteur en l’absence de Ben Botica. Mais, aussi et surtout, une mainmise décisive sur la conduite du jeu et donner ce « bon tempo » qu’appelait de ses vœux son manager Alexandre Ruiz. Avec une qualité de jeu au pied sur les sorties de camp qui reste la marque de fabrique du gaucher et une bénédiction pour ses avants. 377 mètres gagnés, ça fait du chemin.
Des avants dont le capitaine Gautier Gibouin a repris le commandement. Jeudi en conférence de presse, il avait répété de son ton posé mais décidé la nécessité de répondre présent dans « le combat ». Il a plus que montré l’exemple face aux Dacquois : 9 plaquages à 100 % de réussite, un précieux ballon gratté, et une omniprésence en touche avec sept gagnées sur ses propres lancers, et une volée à l’alignement adverse.
A 35 ans, tous deux disputent, sauf improbable retournement de situation, leur dernière saison en tant que joueur. Bien décidés à profiter de cette dernière ligne droite pour faire profiter leurs jeunes coéquipiers de leurs 15 ans de carrière pro. En assurant la transmission. Leaders par l’exemple.
20 Jiff et quatre champions espoirs 2022 sur la feuille à Dax
Si le SA XV a fait le buzz cet été en faisant signer Jonny May, sa vitrine ne se résume pas à l’international anglais aux 78 sélections. Vendredi soir à Dax, May n’était pas là ; Ben Botica non plus. Comme Nabou, Matu’u. Tilsley n’était que remplaçant, l’un des seuls trois joueurs « non-Jiff » (joueurs issus de la formation française) parmi les 23 alignés.
Soit 20 Jiff alignés, dont quatre champions de France espoirs « accession » avec le SA XV en 2022 titulaires : Léo et Enzo Morand-Bruyat, Seydou Diakité et Jules Dubecq.
Dernier chiffre de ce premier bloc : avec les premiers pas en Pro D2 cette saison du pilier Paul Tailhades et du troisième-ligne Adrian Mitu, le SA XV a utilisé 38 joueurs.
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Sébastien taofiffenua se dirige vers Provence rugby
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
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https://www.xvovalie.com/le-lou-rugby-prepare-la-succession-de-semi-radradra-avec-iosefo-masi/
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Ah tiens on des News de Moustin dans l’équipe ce matin….
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Autant Tambwe je comprends, autant Moustin mais qu'est-ce qu'il est allé faire dans ce merdier????
krahknardz- Team modo
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Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
No comprendo 🤬krahknardz a écrit:Autant Tambwe je comprends, autant Moustin mais qu'est-ce qu'il est allé faire dans ce merdier????
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
https://www.rugbyrama.fr/2024/10/09/transferts-pro-d2-exclu-midol-iban-etcheverry-et-arnaud-duputs-prolongent-au-su-agen-12249588.php
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
densnewzealand a écrit:No comprendo 🤬krahknardz a écrit:Autant Tambwe je comprends, autant Moustin mais qu'est-ce qu'il est allé faire dans ce merdier????
Prendre de la tune tout de suite !
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
https://www.rugbyrama.fr/2024/10/09/top-14-bautista-delguy-clermont-un-puma-affame-de-jeu-et-dessais-avant-de-defier-toulouse-12247690.php
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Erwan nicholas de retour d'Australie, a signé comme joueur supplémentaire à Narbonne. Il devrait jouer ce week-end
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
https://www.rugbyrama.fr/2024/10/11/top-14-interview-croisee-des-australiens-du-stade-rochelais-will-skelton-et-kane-douglas-cest-genial-de-jouer-a-nouveau-lun-avec-lautre-12250022.php
Top 14 - Interview croisée des Australiens du Stade rochelais Will Skelton et Kane Douglas : "C’est génial de jouer à nouveau l’un avec l’autre"
Vincent Bissonnet
Une quinzaine d’années après leur rencontre à Sydney, les deux Wallabys se sont retrouvés cet été en Charente-Maritime. Ensemble, ils ont à peu près tout connu : la consécration en Super Rugby avec les Waratahs, une Coupe du monde, quelques affrontements savoureux et une réunion inattendue il y a quelques mois. Les deux colosses se confient sur ces morceaux d’histoire à deux, à eux.
Leur première rencontre
Kane Douglas : Ce devait être lors de ma première année de Super Rugby. Lors d’un entraînement, l’équipe de l’école de Will est arrivée. Et là, waouh : si vous aviez additionné les poids des deux packs, le leur devait avoir trente ou cinquante kilos de plus que nous. Ils étaient tous…
Will Skelton : (il coupe) Nous étions de grands garçons, c’est clair.
K. D. : Tous les gars du pack devaient peser chacun plus de 100 kg à 17 ans. Et, au milieu, il y avait cet énorme gars. Tu avais encore les traits d’un bébé. Avec une petite moustache, il me semble.
W. S. : J’avais une toute petite moustache, beaucoup plus fine qu’aujourd’hui. J’aimais bien déjà (sourire). À l’époque, on préparait un tournoi au Japon. Je me souviens qu’il y avait eu un article dans un journal avec une photo où figuraient nos poids et ceux des avants des Waratahs. On pesait effectivement cinquante ou soixante kilos de plus qu’eux. La photo peut être retrouvée, je pense. Mais à l’époque, on s’était juste croisés. Nous nous sommes vraiment rencontrés trois ans plus tard, en 2013, lors de la présaison. J’étais tout nouveau, toi tu revenais des Wallabies.
K. D. : Will ne passait pas inaperçu. Son potentiel était évident. Et puis, c’était une éponge ! Il s’imprégnait de tout ce qu’il voyait. Je ne suis pas surpris de voir ce qu’il est devenu et tout ce qu’il a accompli.
Le titre de Super Rugby en 2014
K. D. : Quel beau souvenir. Il faut dire que c’est mon seul titre (sourire). Toi, tu en as eu plein. On avait une sacrée équipe à l’époque. Nous étions sacrément outillés en deuxième ligne, notamment : il y avait toi, moi, Jacque Potgieter, Mitch Chapman.
W. S. : Ça tournait beaucoup entre nous mais, dans tous les cas, ça faisait mal. On avait même été alignés ensemble quelques fois, il me semble.
K. D. : Nous avions l’habitude de nous encourager mutuellement. Jacques lançait des sortes de défi pour savoir qui pourrait faire le plus de plaquages ou autre. Et tu te souviens de notre petit rituel avant les mêlées ? "Take a breath"
W. S. : "Take a deep breath and we’re ready to go"* (éclats de rire).
K. D. : C’était une saison extra. Nous avions gagné les dix derniers matchs ou quelque chose comme ça. Quel sentiment génial.
W. S. : Et quelle finale face aux Crusaders ! On avait pris l’avantage à la dernière minute puis il y avait eu ce dernier renvoi avant la sirène. Ouah ! Ça fait revenir dix ans en arrière, c’est chaud mec (rire).
K. D. : Tout avait été trop vite, c’est dommage. Dans la foulée, plein de gars étaient partis en Angleterre, en France… J’aurais aimé que l’on reste plus longtemps ensemble. J’ai l’impression que deux jours après la finale, tout était fini.
W. S. : Nous avons revu quelques vidéos car il y a eu le rassemblement pour le dixième anniversaire du titre. Nous n’avons pas pu y aller malheureusement.
L’aventure de la Coupe du monde 2015
K. D. : Début août, nous ne savions pas qui serait dans le groupe. En 2014-2015, j’étais parti au Leinster et j’avais eu une blessure suivie d’une opération du dos au début de l’année. À mon retour, j’avais pris huit kilos. Je ne rentrais plus dans aucun de mes vêtements. J’avais beaucoup voyagé en Europe, il faut dire (rire). Du jour au lendemain, j’avais reçu un coup de fil pour me dire que j’étais convoqué. Le coach voulait que je revienne d’Irlande. C’était tout de même assez surprenant de débarquer comme ça. J’avais joué vingt minutes en sortie de banc contre les All Blacks en Nouvelle-Zélande. J’en avais bavé lors de cette préparation.
W. S. : Nous étions gonflés à bloc. C’est comme si tu n’étais pas parti, en fait. La sélection a eu de la chance de pouvoir te récupérer. Il faut dire que c’est Michael Cheika, notre coach aux Waratahs, qui avait pris les Wallabies en mains.
K. D. : C’était énorme d’être retenu. J’ai gagné le Super Rugby mais cette Coupe du monde, c’est au-dessus. C’est la seule que j’ai disputée.
W. S. : Tu n’avais pas fait celle d’avant ?
K. D. : Ils avaient pris Simmonds. J’étais trop jeune. Ou pas assez bon. En 2015, on avait passé des semaines géniales, à Sydney, aux États-Unis puis en Angleterre. Il y avait plein d’Australiens à Londres et Bath. Et puis, nous avions enchaîné les victoires… Jusqu’à la finale perdue.
W. S. : On avait été versé dans la poule de la mort avec l’Angleterre et le pays de Galles.
K. D. : Ça avait été sacrément serré. On avait dû battre les Gallois 9 à 3 ou quelque chose dans ce genre (15-6, N.D.L.R.). L’équipe avait défendu encore et encore.
W. S.: "Hoops" (Michael Hooper) avait été exclu, non ?
K. D. :Non, c’était Dean Mumm et Will Genia. On s’était retrouvé à treize, il y avait eu ces mêlées… J’en ai encore des fourmis dans les jambes rien que d’y penser. J’avais joué tout le match en plus. Toi, tu n’étais déjà plus là.
W. S. : Oui, je m’étais blessé lors du deuxième match.
K. D. : Qu’est-ce que tu t’étais fait, déjà ? C’était l’épaule ?
W. S. : Je m’étais déchiré un pectoral. Comme j’avais effectué toute la préparation, j’ai eu le sentiment de faire partie de l’aventure. Je me réveillais tôt le matin pour vous regarder. Ce match, je l’avais vu après mon opération, j’étais dans les vapes.
Leur "accrochage" en public
K. D. : (éclats de rire) Vous savez qu’il y a une photo de ça, n’est-ce pas ? Que dire ? C’était à l’entraînement, avant la Coupe du monde 2015, lors d’une séance de mauls. Will est particulièrement bon pour les casser, je ne vous apprends rien... Disons qu’il avait essayé de passer, j’avais essayé de l’arrêter. J’avais mon bras autour de ton cou, tu m’avais repoussé la tête avec ta main… ou quelque chose dans le genre.
W. S. : Ce sont des choses qui arrivent quand on veut monter le curseur. On avait l’air d’y aller fort mais ce n’était pas si méchant. On s’était bien attrapé, c’est tout.
K. D. : Vous savez, quand vous êtes bons partenaires, il y a un "gentleman agreement" (un accord de principe). Ça nous allait bien à tous les deux. Même si, sur les images, on avait l’air bien en colère (sourire).
W. S. : Cheika nous avait mis sur le côté mais c’est tout ce qu’il aimait. C’était la vieille école. Le meilleur moyen de se préparer à être agressif en match est de l’être à l’entraînement.
K. D. : A la fin, on s’est serré la main, on s’est fait un câlin et nous sommes passés à autre chose. C’était comme ça. Il faut dire que cette préparation avait été particulièrement rude.
W. S. : Je me souviens des oppositions entre l’équipe qui débutait et celle qui était sur le banc dont je faisais partie. C’était tellement acharné. Les séances de mêlée étaient encore pires. Il y avait Mario Ledesma qui faisait des trucs bizarres. Il grimpait au sommet de la mêlée puis passait en dessous (rire).
K. D. : Ces entraîneurs de mêlée argentins sont vraiment différents.
W. S. : Il y avait eu Patricio Noriega aussi…
K. D. : Oh ! Oui, il avait l’habitude de frapper les gens à la poitrine. Jusqu’à nous faire mal. C’était sa manière de nous motiver. Ça ne se fait plus trop, ce genre de choses...
Adversaires puis partenaires en Top 14
K. D. : Je me souviens que certains des gars de mon équipe disaient qu’ils détestaient Will Skelton : "Bloody Hell Skelton" qu’ils répétaient. C’est vrai que, de l’extérieur, on se dit qu’on préfère être dans son équipe qu’en face. J’étais tout de même content de te croiser. Tu te rappelles que je te souriais avant les mêlées (sourire) ?
W. S. : Je savais qu’il allait me chercher mais j’étais aussi prêt à saisir la moindre occasion de l’attraper (sourire). La première fois que l’on s’est joué à Bordeaux, je me souviens que l’on avait mis en place quelque chose de nouveau dans l’alignement. Son travail était de me sortir des mauls. Après le premier, je m’étais dit que la journée allait être difficile. Mais c’était tellement amusant.
K. D. : C’est vrai que j’adore ce genre de choses.
W. S. : Ça te ressemble bien, ça. Le sens du sacrifice. S’accrocher.
K. D. : Le problème avec Will, c’est qu’il n’est pas seulement grand et costaud. Il est aussi intelligent. Mais bon, maintenant, on est ensemble.
W. S. : Ça s’était fait vite. Il m’avait envoyé un texto à la fin de la saison dernière pour me dire qu’il allait peut-être signer ici. Quelle surprise ça avait été.
K. D. : Oui, c’était tard. Je n’ai signé que la semaine de la demi-finale.
W. S. : Je ne pensais même pas qu’on allait recruter de deuxième ligne. Au club, on m’a demandé quel genre de joueur était "Dougie" et ce qu’il pouvait apporter à l’équipe. Je ne lui ai fait que des éloges : "Un bon rugbyman et un super partenaire." C’est génial de jouer à nouveau l’un avec l’autre. Les cinq dernières semaines ont été supers. C’est tellement cool de jouer à nouveau ensemble, comme à l’époque. Et puis il y a eu Tolo (Latu) aussi. Tout le monde l’oublie mais il a joué avec nous, tous les grands matchs des Waratahs; et avec les Wallabies aussi.
K. D. : Personnellement, j’avais été assez surpris d’avoir cette opportunité à La Rochelle. Je ne me sentais pas fini mais bon, je n’avais pas de contrat (sourire). Et puis, c’est tombé comme ça… J’ai sauté sur l’occasion. Dès qu’il en a été question, j’ai envoyé un message à Will. C’était excitant. Et je ne suis pas déçu. J’aime la mentalité de ce club. À Bordeaux, l’équipe pensait qu’elle pouvait gagner ; ici, elle sait qu’elle peut gagner. C’est différent et j’apprécie.
W. S.: C’est cool, pour nous, de pouvoir compter sur lui. Égoïstement, j’adore jouer avec Kane et j’aurais voulu qu’il vienne de toute façon. Mais au-delà de notre amitié, son expérience et son abattage vont être précieux pour nous. Il a encore de belles années devant lui. Encore un an ou deux. Franchement, tu pourrais jouer jusqu’à tes 40 ans, mec (sourire).
Top 14 - Interview croisée des Australiens du Stade rochelais Will Skelton et Kane Douglas : "C’est génial de jouer à nouveau l’un avec l’autre"
Vincent Bissonnet
Une quinzaine d’années après leur rencontre à Sydney, les deux Wallabys se sont retrouvés cet été en Charente-Maritime. Ensemble, ils ont à peu près tout connu : la consécration en Super Rugby avec les Waratahs, une Coupe du monde, quelques affrontements savoureux et une réunion inattendue il y a quelques mois. Les deux colosses se confient sur ces morceaux d’histoire à deux, à eux.
Leur première rencontre
Kane Douglas : Ce devait être lors de ma première année de Super Rugby. Lors d’un entraînement, l’équipe de l’école de Will est arrivée. Et là, waouh : si vous aviez additionné les poids des deux packs, le leur devait avoir trente ou cinquante kilos de plus que nous. Ils étaient tous…
Will Skelton : (il coupe) Nous étions de grands garçons, c’est clair.
K. D. : Tous les gars du pack devaient peser chacun plus de 100 kg à 17 ans. Et, au milieu, il y avait cet énorme gars. Tu avais encore les traits d’un bébé. Avec une petite moustache, il me semble.
W. S. : J’avais une toute petite moustache, beaucoup plus fine qu’aujourd’hui. J’aimais bien déjà (sourire). À l’époque, on préparait un tournoi au Japon. Je me souviens qu’il y avait eu un article dans un journal avec une photo où figuraient nos poids et ceux des avants des Waratahs. On pesait effectivement cinquante ou soixante kilos de plus qu’eux. La photo peut être retrouvée, je pense. Mais à l’époque, on s’était juste croisés. Nous nous sommes vraiment rencontrés trois ans plus tard, en 2013, lors de la présaison. J’étais tout nouveau, toi tu revenais des Wallabies.
K. D. : Will ne passait pas inaperçu. Son potentiel était évident. Et puis, c’était une éponge ! Il s’imprégnait de tout ce qu’il voyait. Je ne suis pas surpris de voir ce qu’il est devenu et tout ce qu’il a accompli.
Le titre de Super Rugby en 2014
K. D. : Quel beau souvenir. Il faut dire que c’est mon seul titre (sourire). Toi, tu en as eu plein. On avait une sacrée équipe à l’époque. Nous étions sacrément outillés en deuxième ligne, notamment : il y avait toi, moi, Jacque Potgieter, Mitch Chapman.
W. S. : Ça tournait beaucoup entre nous mais, dans tous les cas, ça faisait mal. On avait même été alignés ensemble quelques fois, il me semble.
K. D. : Nous avions l’habitude de nous encourager mutuellement. Jacques lançait des sortes de défi pour savoir qui pourrait faire le plus de plaquages ou autre. Et tu te souviens de notre petit rituel avant les mêlées ? "Take a breath"
W. S. : "Take a deep breath and we’re ready to go"* (éclats de rire).
K. D. : C’était une saison extra. Nous avions gagné les dix derniers matchs ou quelque chose comme ça. Quel sentiment génial.
W. S. : Et quelle finale face aux Crusaders ! On avait pris l’avantage à la dernière minute puis il y avait eu ce dernier renvoi avant la sirène. Ouah ! Ça fait revenir dix ans en arrière, c’est chaud mec (rire).
K. D. : Tout avait été trop vite, c’est dommage. Dans la foulée, plein de gars étaient partis en Angleterre, en France… J’aurais aimé que l’on reste plus longtemps ensemble. J’ai l’impression que deux jours après la finale, tout était fini.
W. S. : Nous avons revu quelques vidéos car il y a eu le rassemblement pour le dixième anniversaire du titre. Nous n’avons pas pu y aller malheureusement.
L’aventure de la Coupe du monde 2015
K. D. : Début août, nous ne savions pas qui serait dans le groupe. En 2014-2015, j’étais parti au Leinster et j’avais eu une blessure suivie d’une opération du dos au début de l’année. À mon retour, j’avais pris huit kilos. Je ne rentrais plus dans aucun de mes vêtements. J’avais beaucoup voyagé en Europe, il faut dire (rire). Du jour au lendemain, j’avais reçu un coup de fil pour me dire que j’étais convoqué. Le coach voulait que je revienne d’Irlande. C’était tout de même assez surprenant de débarquer comme ça. J’avais joué vingt minutes en sortie de banc contre les All Blacks en Nouvelle-Zélande. J’en avais bavé lors de cette préparation.
W. S. : Nous étions gonflés à bloc. C’est comme si tu n’étais pas parti, en fait. La sélection a eu de la chance de pouvoir te récupérer. Il faut dire que c’est Michael Cheika, notre coach aux Waratahs, qui avait pris les Wallabies en mains.
K. D. : C’était énorme d’être retenu. J’ai gagné le Super Rugby mais cette Coupe du monde, c’est au-dessus. C’est la seule que j’ai disputée.
W. S. : Tu n’avais pas fait celle d’avant ?
K. D. : Ils avaient pris Simmonds. J’étais trop jeune. Ou pas assez bon. En 2015, on avait passé des semaines géniales, à Sydney, aux États-Unis puis en Angleterre. Il y avait plein d’Australiens à Londres et Bath. Et puis, nous avions enchaîné les victoires… Jusqu’à la finale perdue.
W. S. : On avait été versé dans la poule de la mort avec l’Angleterre et le pays de Galles.
K. D. : Ça avait été sacrément serré. On avait dû battre les Gallois 9 à 3 ou quelque chose dans ce genre (15-6, N.D.L.R.). L’équipe avait défendu encore et encore.
W. S.: "Hoops" (Michael Hooper) avait été exclu, non ?
K. D. :Non, c’était Dean Mumm et Will Genia. On s’était retrouvé à treize, il y avait eu ces mêlées… J’en ai encore des fourmis dans les jambes rien que d’y penser. J’avais joué tout le match en plus. Toi, tu n’étais déjà plus là.
W. S. : Oui, je m’étais blessé lors du deuxième match.
K. D. : Qu’est-ce que tu t’étais fait, déjà ? C’était l’épaule ?
W. S. : Je m’étais déchiré un pectoral. Comme j’avais effectué toute la préparation, j’ai eu le sentiment de faire partie de l’aventure. Je me réveillais tôt le matin pour vous regarder. Ce match, je l’avais vu après mon opération, j’étais dans les vapes.
Leur "accrochage" en public
K. D. : (éclats de rire) Vous savez qu’il y a une photo de ça, n’est-ce pas ? Que dire ? C’était à l’entraînement, avant la Coupe du monde 2015, lors d’une séance de mauls. Will est particulièrement bon pour les casser, je ne vous apprends rien... Disons qu’il avait essayé de passer, j’avais essayé de l’arrêter. J’avais mon bras autour de ton cou, tu m’avais repoussé la tête avec ta main… ou quelque chose dans le genre.
W. S. : Ce sont des choses qui arrivent quand on veut monter le curseur. On avait l’air d’y aller fort mais ce n’était pas si méchant. On s’était bien attrapé, c’est tout.
K. D. : Vous savez, quand vous êtes bons partenaires, il y a un "gentleman agreement" (un accord de principe). Ça nous allait bien à tous les deux. Même si, sur les images, on avait l’air bien en colère (sourire).
W. S. : Cheika nous avait mis sur le côté mais c’est tout ce qu’il aimait. C’était la vieille école. Le meilleur moyen de se préparer à être agressif en match est de l’être à l’entraînement.
K. D. : A la fin, on s’est serré la main, on s’est fait un câlin et nous sommes passés à autre chose. C’était comme ça. Il faut dire que cette préparation avait été particulièrement rude.
W. S. : Je me souviens des oppositions entre l’équipe qui débutait et celle qui était sur le banc dont je faisais partie. C’était tellement acharné. Les séances de mêlée étaient encore pires. Il y avait Mario Ledesma qui faisait des trucs bizarres. Il grimpait au sommet de la mêlée puis passait en dessous (rire).
K. D. : Ces entraîneurs de mêlée argentins sont vraiment différents.
W. S. : Il y avait eu Patricio Noriega aussi…
K. D. : Oh ! Oui, il avait l’habitude de frapper les gens à la poitrine. Jusqu’à nous faire mal. C’était sa manière de nous motiver. Ça ne se fait plus trop, ce genre de choses...
Adversaires puis partenaires en Top 14
K. D. : Je me souviens que certains des gars de mon équipe disaient qu’ils détestaient Will Skelton : "Bloody Hell Skelton" qu’ils répétaient. C’est vrai que, de l’extérieur, on se dit qu’on préfère être dans son équipe qu’en face. J’étais tout de même content de te croiser. Tu te rappelles que je te souriais avant les mêlées (sourire) ?
W. S. : Je savais qu’il allait me chercher mais j’étais aussi prêt à saisir la moindre occasion de l’attraper (sourire). La première fois que l’on s’est joué à Bordeaux, je me souviens que l’on avait mis en place quelque chose de nouveau dans l’alignement. Son travail était de me sortir des mauls. Après le premier, je m’étais dit que la journée allait être difficile. Mais c’était tellement amusant.
K. D. : C’est vrai que j’adore ce genre de choses.
W. S. : Ça te ressemble bien, ça. Le sens du sacrifice. S’accrocher.
K. D. : Le problème avec Will, c’est qu’il n’est pas seulement grand et costaud. Il est aussi intelligent. Mais bon, maintenant, on est ensemble.
W. S. : Ça s’était fait vite. Il m’avait envoyé un texto à la fin de la saison dernière pour me dire qu’il allait peut-être signer ici. Quelle surprise ça avait été.
K. D. : Oui, c’était tard. Je n’ai signé que la semaine de la demi-finale.
W. S. : Je ne pensais même pas qu’on allait recruter de deuxième ligne. Au club, on m’a demandé quel genre de joueur était "Dougie" et ce qu’il pouvait apporter à l’équipe. Je ne lui ai fait que des éloges : "Un bon rugbyman et un super partenaire." C’est génial de jouer à nouveau l’un avec l’autre. Les cinq dernières semaines ont été supers. C’est tellement cool de jouer à nouveau ensemble, comme à l’époque. Et puis il y a eu Tolo (Latu) aussi. Tout le monde l’oublie mais il a joué avec nous, tous les grands matchs des Waratahs; et avec les Wallabies aussi.
K. D. : Personnellement, j’avais été assez surpris d’avoir cette opportunité à La Rochelle. Je ne me sentais pas fini mais bon, je n’avais pas de contrat (sourire). Et puis, c’est tombé comme ça… J’ai sauté sur l’occasion. Dès qu’il en a été question, j’ai envoyé un message à Will. C’était excitant. Et je ne suis pas déçu. J’aime la mentalité de ce club. À Bordeaux, l’équipe pensait qu’elle pouvait gagner ; ici, elle sait qu’elle peut gagner. C’est différent et j’apprécie.
W. S.: C’est cool, pour nous, de pouvoir compter sur lui. Égoïstement, j’adore jouer avec Kane et j’aurais voulu qu’il vienne de toute façon. Mais au-delà de notre amitié, son expérience et son abattage vont être précieux pour nous. Il a encore de belles années devant lui. Encore un an ou deux. Franchement, tu pourrais jouer jusqu’à tes 40 ans, mec (sourire).
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
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marchal- Centre de presse
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?
Tevita ratuva vaquitter brivepour intégrer un club de top 14. Je ne sais pas dans quel club
marchal- Centre de presse
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Quelle plaie de le voir avec ce maillot dans un stade vide en plus....
krahknardz- Team modo
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