Re: Champions Cup - 1/4 de finale UBB/Harlequins

**Scalp** Ven 12 Avr 2024 - 20:22

Champions Cup - 1/4 de finale UBB/Harlequins - Page 13 Capt7079

https://www.francebleu.fr/emissions/la-melee-du-lundi/gironde

**Scalp** Ven 12 Avr 2024 - 20:23

Champions Cup : entre l'UBB et les Harlequins, ça va fuser

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/coupe-d-europe/champions-cup-entre-l-ubb-et-les-harlequins-ca-va-fuser-20240412

**Switch** Ven 12 Avr 2024 - 20:38

Moi ce qui m'inquiète c'est la mêlée et les rucks. Les Quins sont là meilleure équipe anglaise du moment dans ces secteurs, et même en CE, ils ont été excellents. Evans est un véritable teigne très efficace dans les rucks pour gratter ou pourrir. On a été très performants dans ce secteur face aux Sarries, mais il faudra réussir à reproduire cela.

Si l'on a l'ascendant en mêlée et dans les rucks, pour moi c'est presque gagné car Smith n'aura pas de ballons propres à exploiter. Faut que notre 3ème ligne le chasse comme jamais. D'autant que Smith peut être friable mentalement, et se mettre à faire n'importe quoi.

Hâte d'être au stade demain !

Yatangaki Ven 12 Avr 2024 - 20:41

Scalp a écrit:
https://www.francebleu.fr/emissions/la-melee-du-lundi/gironde

J ai écouté, intéressant d entendre parler un supporter des Harlequins.
Après ils font un peu les "petits" contre le "grand" UBB. Trop humble :chambreur:

Par contre il reconnaît que les Harlequins sont irrégulier capable de très bon matchs comme de passer à côté.

Ca va envoyer demain d après moi.

**Switch** Ven 12 Avr 2024 - 20:50

Yatangaki a écrit:
Scalp a écrit:
https://www.francebleu.fr/emissions/la-melee-du-lundi/gironde

J ai écouté, intéressant d entendre parler un supporter des Harlequins.
Après ils font un peu les "petits" contre le "grand" UBB. Trop humble
Par contre il reconnaît que les Harlequins sont irrégulier capable de très bon matchs comme de passer à côté.

Ca va envoyer demain d après moi.

Bah moi j'espère qu'ils feront le même match que celui qu'ils ont fait aux Saracens il y a 15 jours :chambreur:

Parce que ce jour là, c'était clairement un jour sans, et pourtant l'équipe qu'ils alignaient étaient la même que celle de demain, à 1 ou 2 mec(s) près.

**Switch** Ven 12 Avr 2024 - 21:27

Switch a écrit:On a deux matchs desquels s'inspirer : la victoire de Toulouse là-bas en CE cet hiver, et la victoire des Saracens contre les Quins en championnat il y a 15 jours.

Sur ces 2 matchs récents, contre des équipes que nous avons affronté et battu tout aussi récemment, les Quins ont encaissés 99pts pour n'en marquer que 26. A nous de s'en inspirer !

Pour info, sur la débâcle d'il y a 15 jours aux Saracens, c'était quasiment les mêmes 23 Quins que demain qui étaient alignés, face aux mêmes 23 Sarries qu'on a mangé

Je suis à l'aéroport et mon vol a 1h30 de retard, alors j'ai eu le temps de regarder un peu plus ces 2 matchs. Le constat est assez simple, c'est une équipe forte que les fondamentaux devant (mêlées, rucks et mauls), mais qui est vite débordée et surtout qui perd pied dès qu'elle est confrontée à de la vitesse. Ils défendent bien, grattent bien (Evans mais aussi Dombrandt...grosse 3ème ligne !), mais dès qu'ils sont transpercés en défense, c'est vite la panique, et ils prennent souvent un essai. Si on arrive à franchir ou à ouvrir des portes, çà peut fuser ! C'est là qu'un Penaud va nous manquer, car il créé énormément d'incertitude et d'ouvertures.

Et au passage, Smith c'est loin d'être l'assurance tous risques en défense ! On est pas sur du gros défenseur, ce qui me fait bien rire :chambreur:

SCOTTISH15 Ven 12 Avr 2024 - 22:42

Dr. Gregory Bouse a écrit:
Scalp a écrit:
Switch a écrit:
FrenchKick a écrit:Bon c'est confirmé, absence de Jalibert et Penaud pour ce match aussi important + Maynadier sur le banc... Ça fait mal

Celle-là elle fait mal. Penaud amène énormément d'incertitude en attaque, et son absence va peser fort. Uberti va devoir assurer. Quant à Jalibert, bon, j'espère que ça vaudra le coup. Garcia a montré qu'il pouvait prendre le relai. Maynadier, bon, rien à dire, on a déjà tout dit...

Ce double forfait qu'on avait pas vu venir nous fragilise quand même et réduit quand même les certitudes qu'on pouvait avoir

Uberti n'est peut-être pas Penaud, mais on a bien vu qu'il faisait parfaitement bien le taf. Maynadier, on lui demande juste d'assurer ses lancers, et de ne pas commettre de fautes, c'est jouable pour lui sur un match aussi important.

Je ne dirais pas qu'on est fragilisé, mais on est moins forts, ça n'hypothèque cependant pas nos chances de gagner ce match…

Pour Maynadier, c'est jouable si on le laisse sur le terrain que 10 minutes...et encore.
Je commen ce à en avoir plein du sacro-saint devoir de mémoire. ..

**sudiste** Ven 12 Avr 2024 - 22:44

La Depêche cherche à saborder notre diffusion pour éviter un audimat record

Union Bordeaux Bègles – Harlequins (Angleterre), à 18h30, à suivre sur BeIN Sport, France 2, ainsi qu’en live commenté sur ladépêche.fr. Evil or Very Mad

**Switch** Ven 12 Avr 2024 - 22:46

sudiste a écrit:La Depêche cherche à saborder notre diffusion pour éviter un audimat record

Union Bordeaux Bègles – Harlequins (Angleterre), à 18h30, à suivre sur BeIN Sport, France 2, ainsi qu’en live commenté sur ladépêche.fr.

Ils ne veulent pas voir notre succès :chambreur:

**Scalp** Ven 12 Avr 2024 - 23:48

Switch a écrit:
sudiste a écrit:La Depêche cherche à saborder notre diffusion pour éviter un audimat record

Union Bordeaux Bègles – Harlequins (Angleterre), à 18h30, à suivre sur BeIN Sport, France 2, ainsi qu’en live commenté sur ladépêche.fr.

Ils ne veulent pas voir notre succès

**Scalp** Sam 13 Avr 2024 - 9:55

https://www.rugbyrama.fr/2024/04/13/sans-jalibert-et-peut-etre-sans-penaud-les-bordelais-craignent-des-harlequins-particulierement-offensifs-11887435.php

Sans Jalibert et peut-être sans Penaud, les Bordelais craignent des Harlequins particulièrement offensifs

Par Jérôme Prévôt

Mathieu Jalibert ne sera finalement pas sur la feuille de match, par précaution, Damian Penaud se testera ce samedi matin. Les Bordelais sont confiants, mais pas si sereins avant de croiser la route des Harlequins, une équipe qui n’a pas peur de faire courir le ballon.

L’UBB s’apprête donc à disputer un second match de phase finale à domicile contre un club anglais. Après les Saracens étrillés dans les grandes largeurs, voici les Harlequins. Les deux équipes comptent le même nombre de points après quatorze journées de championnat, 42. Ce qui est une bonne nouvelle a priori pour les Bordelais. Mais le contexte ne sera pas le même. Vendredi matin, Damian Penaud ne s’est pas entraîné avec le groupe et Matthieu Jalibert portait la chasuble des « réservistes » et faisait opposition à l’escouade des titulaires. Le trois-quarts aile se plaignait toujours d’une béquille. Quant à l’ouvreur, gêné par son genou gauche, il semblait pourtant au meilleur de sa forme dans chacun de ses gestes et dans chacune de ses courses. Mais le staff médical avait averti le staff technique.

Si Matthieu Jalibert n’était pas encore à 100% de ses possibilités, il n’en était pas loin. Mais Yannick Bru et ses adjoints n’ont voulu prendre aucun risque avant le sprint final du printemps au sujet de leur leader offensif qui ne sera pas sur la feuille samedi. Thibaud Giroud, directeur de la performance du club a d’ailleurs confié : « Pour une finale de Top 14 ou de Coupe d’Europe, Matthieu aurait été titulaire sans aucun doute, mais il reste beaucoup de gros matchs. On ne veut pas se tromper : pas question de le voir se reblesser et vivre une nouvelle absence. Pour Damian Penaud, nous prendrons une décision samedi. La béquille reçue face aux Saracens met du temps à se résorber. Mais ce sera la même politique, on ne prendra aucun risque avec lui… Nous sommes sur deux projets et quand on assume deux compétitions, il ne faut pas se tromper dans le management. Après les Harlequins, on va recevoir Clermont et on ira à Bayonne, pour enchaîner avec une possible demi-finale européenne. » On a noté que Damian Penaud n’apparaissait pas sur la composition officielle fournie par le club.

Garcia encore titularisé

Évidemment, ces deux informations sont venues un peu ternir l’optimisme des fans de l’UBB, mais contre les Saracens, le jeune ouvreur Matéo Garcia a fait un excellent match, unanimement souligné. Quant à Pablo Uberti, vu au départ comme un centre, il connaît désormais bien le poste d’ailier qu’il a occupé à onze reprises en Top 14 cette saison plus une fois en Coupe d’Europe.

Les Bordelais seront aussi privés de Jefferson Poirot, un autre taulier, qui souffre, lui, des cervicales. Le match face aux Harlequins ne s’annonce donc pas tout à fait comme un fleuve tranquille pour les Bordelais qui joueront sous un soleil éclatant. C’est un paramètre important que de savoir s’adapter aux premières chaleurs du printemps.

Nous avons évidemment posé la question à Thibault Giroud : « La chaleur ne nous a pas impactés pendant la semaine. Nous y penserons surtout samedi, nous ferons un protocole spécifique durant la journée. C’est vrai, il fera 28 degrés et on jouera en fin de journée. Ça ne changera pas au final beaucoup de choses. Mais sur un plan plus général, on a fait une semaine très courte avec deux jours seulement d’entraînement pour permettre aux joueurs de récupérer. On ne voulait blesser personne en semaine. Désormais, nous ne sommes plus dans une phase de développement, notre objectif c’est que tout le monde soit sur le terrain. »

Des séquences longues à redouter sous la chaleur

La semaine passée, Yannick Bru avait rappelé que son équipe avait pas mal pratiqué le yoyo cette saison, avec des matchs brillants suivis de sorties plus que médiocres, comme à Lyon… Thibault Giroud a été titillé sur ce sujet : « Après si les gars ne sont pas remontés comme des coucous avant un match de phase finale de Coupe d’Europe, c’est vraiment compliqué. Mais à mon avis, si on perd ce match, ce ne sera pas une question d’envie. Oui, parfois inconsciemment les joueurs peuvent avoir moins d’envie sur tel ou tel match vu la longueur du Top 14, certains ont trois projets en même temps, Top 14, Coupe d’Europe et équipe nationale. Peut-être en effet qu’au mois de janvier, un dimanche soir avec moins deux degrés, certains donnent l’impression de « choisir » leur match. Mais la Coupe d’Europe nous amène des rendez-vous différents, avec des matchs couperets, où il faut être à 150%. »

Les Bordelais se sont préparés à affronter une équipe des Harlequins très différente de celle des Saracens. Ils aiment déplacer le ballon le plus vite possible avec évidemment Marcus Smith à la baguette, mais aussi le numéro 8 Alex Dombrandt, une référence du championnat anglais ou le centre André Esterhuizen, champion du monde 2023 avec les Springboks. Chandler Cunningham-South est également un troisième ligne qui monte dans le paysage anglais, sans parler du vétéran Danny Care à la mêlée. « Avec eux, ce n’est jamais fini, ils sont capables de revenir à tout moment, ils ont vraiment un gros volume de jeu. Dans cette rencontre, je pense qu’on verra pas mal d’essais, poursuivit Giroud. Ce qui va faire la différence, ce sera la capacité des joueurs à supporter les séquences longues malgré la chaleur. Il y aura une alternance entre des séquences courtes, mais très explosives, et des actions beaucoup plus longues mais avec moins d’intensité. Il faudra trouver le bon ratio. » Le talonneur Maxime Lamothe, qui est en train de devenir un cadre de l’UBB, nous a assuré de son côté qu’il y avait des choses à redire après le huitième de finale si spectaculaire de la semaine dernière : « On nous a refusé cinq essais. Nous nous sommes penchés sur la question de l’efficacité car sur un match de phase finale, tout ne pourra pas toujours tourner en notre faveur. Et puis, il y a le changement de style, ce sera une approche totalement différente demain samedi avec un adversaire aussi joueur. »

**Scalp** Sam 13 Avr 2024 - 9:57

Champions Cup - 1/4 de finale UBB/Harlequins - Page 13 Capt7080

https://www.lachainemeteo.com/meteo-france/ville-6560/previsions-meteo-bordeaux-heure-par-heure

**Scalp** Sam 13 Avr 2024 - 10:00

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/champions-cup-l-ubb-est-dans-l-obligation-d-enchainer-face-aux-harlequins-19308169.php

Champions Cup. L’UBB est dans l’obligation d’enchaîner face aux Harlequins

Par Yoan Leshauriès

Sur courant alternatif depuis le début de l’année, l’UBB se doit de gagner en régularité. Après sa victoire face aux Saracens en 8e de finale de Champions Cup, interdit de lever le pied en quarts face aux Harlequins pour atteindre le dernier carré

La petite phrase n’est pas passée inaperçue après la victoire de l’Union Bordeaux-Bègles face aux Saracens (45-12) en 8e de finale de Champions Cup. Lorsque Yannick Bru a été interrogé sur le quart face aux Harlequins (ce samedi à 16 heures à Chaban-Delmas), la réponse du manager bordelais a claqué aussi sec : « Si on est la même équipe que depuis le début de l’année, on devrait faire un match de merde. » Une manière de garder ses troupes mobilisées.

« C’était pour nous piquer, sourit le talonneur Maxime Lamothe. Mais on le sait, cette saison, on a eu une très bonne période en décembre-janvier où on a enchaîné huit victoires. Mais pour le reste, on enchaîne les bonnes performances avec des performances moyennes, voire mauvaises. En phases finales, on doit éviter ça. »

L’UBB n’est pas du genre à s’échapper sur les grands rendez-vous. En témoigne sa victoire face au Stade Toulousain (31-28) il y a trois semaines en Top 14, dans un stade Matmut Atlantique à guichets fermés. Mais le week-end suivant, elle a baissé pavillon et s’est inclinée à Lyon (27-10) sans vraiment combattre. « C’est peut-être un relâchement inconscient, tente d’expliquer Maxime Lamothe. Sur les grosses affiches comme face à Toulouse, avec beaucoup de pression émotionnelle, on laisse beaucoup d’énergie. On arrive peut-être un peu moins frais sur le week-end d’après. Mais là, je sais que tout le monde est frais pour ce quart de finale. »

« Si les mecs ne sont pas remontés comme des coucous sur des matchs de phases finales… Là, c’est l’envie qui prime »

Après son succès retentissant face aux Saracens, l’UBB va donc mesurer sa capacité à enchaîner sur un match couperet face aux Harlequins, le 4e de Premiership anglaise, emmené par l’international anglais Marcus Smith. « Si les mecs ne sont pas remontés comme des coucous sur des matchs de phases finales… Là, c’est l’envie qui prime, souligne Thibault Giroud, le Directeur de la performance du club girondin. Sur des saisons qui sont très longues comme celle-là, quand on est sur deux projets, Top 14 et Coupe d’Europe, quand on a moins envie, la décision est vite piquante. Mais je ne me fais pas de souci au sujet de l’envie et de l’engagement du groupe ce week-end. »

« Entretenir la dynamique »

Au regard de ses ambitions, l’UBB doit maintenir ses standards d’un match à l’autre, à l’image d’un Matéo Garcia reconduit à l’ouverture après une belle prestation face aux Sarries, et d’un pack dominateur dans les collisions. « Il faut continuer à prendre confiance dans notre jeu, déclare Maxime Lamothe. Tous les matchs s’enchaînent mais ne se ressemblent pas. Il faut continuer à entretenir la dynamique. »

« Le Top 14 est un marathon, alors cette Coupe d’Europe, c’est quand même une bouffée de fraîcheur pour les mecs, explique Thibault Giroud. Les matchs sont à élimination directe, l’enjeu est vraiment différent. Ce n’est pas juste un match de plus. On sait que si on perd, ça s’arrête. » Et les Bordelais n’ont vraiment pas l’intention de gâcher tous les efforts fournis sur cette compétition, de Galway face au Connacht (5-41), à Pretoria face aux Bulls (46-40), en passant par Chaban face aux Saracens (55-15) et Bristol (36-17). « On a fait une super campagne européenne, alors on veut se payer, appuie l’international français Louis Bielle-Biarrey. L’UBB a de grandes ambitions. Vu notre parcours, le dernier carré ne serait pas n’importe quoi. On veut gagner des titres donc ça passe par gagner des quarts ». Pour s’inviter en demi-finales, comme en 2021. Et tenter de voir plus haut.

**Scalp** Sam 13 Avr 2024 - 10:19

The art of the perfect jackal – by Europe’s best

https://www.thetimes.co.uk/article/eb85d366-62a0-4319-8648-595825944b75?shareToken=bce3a62903dacb23bb10a001f5243aaa

Traduction Deepl :

Will Evans, joueur des Harlequins, est probablement la meilleure option de déblayage disponible pour l'Angleterre, mais il dit qu'il ne pense pas à ses ambitions en matière de tests et qu'il se concentre sur le succès de son club.

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BOB BRADFORD - CAMERASPORT VIA GETTY IMAGES

Will Kelleher

Si les Harlequins veulent avoir une chance de se qualifier pour leur première demi-finale de l'Investec Champions Cup en battant Bordeaux Bègles en France, ils auront besoin que leur joueur de fond, Will Evans, fasse ce qu'il fait le mieux - en fait, ce qu'il fait mieux que n'importe qui d'autre.

Le flanker de 27 ans a été le roi incontesté de la rupture à domicile et en Europe au cours des quatre dernières saisons. Depuis le début de la saison 2020-21, il a remporté 74 turnovers en Gallagher Premiership et en Champions Cup, soit neuf de plus que le deuxième meilleur joueur des trois meilleurs championnats européens, Tommy Reffell des Leicester Tigers.

Il a récupéré le ballon plus souvent que Levani Botia et Grégory Alldritt de La Rochelle, ou Julien Marchand et Jack Willis de Toulouse. En réalité, Evans possède un talent particulièrement dévastateur.

Du haut de son mètre quatre-vingt-dix et de son mètre quatre-vingt-dix, il n'est pas petit, mais il attribue cette prouesse à sa stature - des bras courts et de "toutes petites jambes", comme il dit - ainsi qu'à une formation éprouvante à Leicester, où il a passé les premières années de sa carrière avant d'être transféré dans la capitale en 2019.

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"Je suis près du sol et je n'ai pas trop de mal à m'y enfoncer et à gratter", dit-il. "Merci à maman d'être si petite !

"Je n'ai pas de facteur X, alors si vous voulez rester dans une équipe, vous devez probablement avoir un facteur X qui vous permet d'y rester.

Quand j'avais entre 18 et 21 ans chez les Tigers, Richard Cockerill me disait : "Will, mets ta combinaison rembourrée, tu vas jouer en défense aujourd'hui".

"Je faisais des centaines de répétitions en l'espace d'un mois - je donnais à Will les plaquettes et je l'obligeais à le faire. J'ai été soumis à un stress énorme pour affiner cet ensemble de compétences, ce qui m'a bien servi".

Cette formation intensive n'est pas durable, si bien qu'aujourd'hui, Evans ne se lance à fond dans la casse que pendant les matches. Il lui a fallu des années pour affiner son art, beaucoup de travail technique et de gymnastique.

Quelles sont donc les clés d'une rotation parfaite ?

"Lorsque nous pratiquons le jackalling à faible intensité, je dis aux garçons qui me posent la question : premièrement, n'écartez pas trop les pieds, écartez-les à la largeur des épaules, et deuxièmement, placez votre avant-bras le plus fort sous le ballon", explique-t-il.

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"Pour moi, c'est le bras droit. Dès que le ballon touche votre avant-bras, que vous êtes sous le ballon et que vous avez une partie forte de votre corps comme levier pour le soulever et le tirer vers l'arrière, vous êtes dans le coup".

Evans n'est pas un numéro 7 qui veut nécessairement s'accrocher et attendre que l'arbitre donne un penalty. Il préfère libérer les arrières des Quins, Marcus Smith, Tyrone Green, Cadan Murley et Louis Lynagh, sur la contre-attaque.

"Si nous pouvons récupérer le ballon sans avoir à donner de pénalité et que je peux l'arracher, j'ai l'impression que nous sommes beaucoup plus dangereux", explique-t-il.

"Quand mon avant-bras est sous le ballon, je tire et j'essaie de tomber sur le dos avec le ballon, ce qui nous permet de passer à l'attaque et de marquer, avec un peu de chance, en l'espace de trois phases.

Evans est si bon dans ce domaine, alors pourquoi n'a-t-il pas joué pour l'Angleterre ? C'est une question qui a déconcerté ses entraîneurs.

"Il y a de très bons numéros 7 en Angleterre, mais je pense qu'il n'a rien à envier aux autres", a déclaré Danny Wilson, l'entraîneur des Harlequins, après qu'Evans a surclassé la ligne arrière des Glasgow Warriors, composée de Rory Darge, Jack Dempsey et Matt Fagerson, lors de la victoire 28-24 en huitième de finale, vendredi dernier.

Evans a participé à un camp d'entraînement d'Eddie Jones en 2016, après avoir remporté la Coupe du monde des moins de 20 ans avec Willis, Max Malins, Joe Marchant et Harry Mallinder, mais a été négligé depuis.

"De 19 à 24 ans, je n'arrêtais pas d'y penser. Cela me grillait mentalement de voir tous les gars avec qui j'avais joué chez les moins de 20 ans jouer pour l'Angleterre. J'étais laissé pour compte", raconte Evans.

"C'était horrible et cela me rendait assez malheureux. À partir de 25 ans, j'ai adoré jouer pour les Quins et je n'ai jamais pensé à l'Angleterre.

"Mentalement, cela m'a rendu beaucoup plus heureux. Mon objectif a toujours été de jouer pour mon pays, mais si cela n'arrive jamais, cela ne me dérange pas".

Deux blessures - une jambe cassée, six matches avant la fin de la saison 2021, au cours de laquelle les Quins ont remporté de manière inattendue le titre de Premiership, puis une déchirure des ischio-jambiers qui a mis près d'un an à guérir - ont mis Evans en difficulté.

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Il a maintenant un poteau en titane d'un mètre de long dans le tibia droit - "Je n'ai jamais eu de problème avec ça, à part pour passer la sécurité à l'aéroport" - mais heureusement, il n'a jamais été blessé au jackalling, comme Willis l'a été lorsqu'il s'est blessé au genou en jouant pour l'Angleterre contre l'Italie lors des Six Nations de 2021.

Evans pense qu'une bonne technique peut éviter aux joueurs de graves douleurs et que les avantages de gagner des turnovers l'emportent sur les blessures occasionnelles et brutales.

"Si vous pouvez vous faire frapper sur une course d'élan de dix mètres et que vous pouvez à nouveau bouger vos pieds, c'est une bonne chose", explique-t-il.

"Assurez-vous que vos pieds ne sont pas trop collés au sol et qu'ils n'ont nulle part où aller. Les blessures articulaires seront considérablement réduites si votre position est légèrement plus étroite.

"Il ne faut pas regarder en l'air car on peut voir ce qui va arriver. Baissez la tête, tirez le ballon et vous pourriez le récupérer avant de recevoir une gifle.

"Il ne faut pas que les équipes offensives aient le ballon pendant 30 phases et ne soient pas capables de le retourner. Ce qui est passionnant dans le rugby, c'est la transition quand les équipes défendent".

Evans explique qu'il est essentiel de renforcer ses ischio-jambiers. Il fait des curls, des deadlifts roumains - soulever des poids du sol jusqu'aux genoux en se penchant et en gardant le dos droit - et des nordiques, qui consistent à s'agenouiller, à fixer les pieds derrière soi, à abaisser le torse jusqu'au sol et à rebondir.

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Evans faisait partie de l'équipe d'Angleterre des moins de 20 ans qui a remporté le championnat du monde en 2016, mais il n'a jamais été sélectionné en équipe nationale. MALCOLM COUZENS/GETTY IMAGES

"C'est bien d'être un peu vaniteux et d'avoir de gros biceps et triceps, mais vous devez travailler vos ischio-jambiers pour être un jackaler efficace", dit-il.

Bordeaux a mis 100 points aux Saracens en deux matches de Champions Cup cette saison, mais Evans pense qu'ils peuvent être battus.

"Nous avons pensé que les Sarries étaient un bon match pour eux car ils aiment garder le jeu ordonné. En revanche, si nous parvenons à les faire courir, à créer un peu de chaos, cela pourrait nous convenir", explique Evans."Nous irons marquer des essais, c'est certain. Nous irons là-bas en tant qu'outsiders, mais c'est une étiquette qui ne nous dérange pas".

Après avoir failli perdre 40-3 contre Bath il y a quinze jours, avant de perdre 14 points d'avance contre Glasgow, les Harlequins ont l'impression que toute victoire passe par les montagnes russes.

"C'est ennuyeux, mais c'est comme ça depuis que je suis ici", déclare Evans. "Nous nous laissons entraîner dans cette folie qui nous entoure. Sous la douche, les gens regardent autour d'eux et se demandent pourquoi ils n'ont pas gagné ce match avec une bonne vingtaine de points d'avance.

"C'est grâce aux joueurs clés que nous avons - les joueurs à tempérament vif - qui peuvent débloquer un match et apparemment l'allumer quand ils en ont envie".

Evans est plus constant que cela, et il est essentiel si les Harlequins veulent l'emporter. Il prévoit de se rendre dans un vignoble bordelais pendant son jour de repos lundi, dans l'espoir de porter un toast à une autre grande journée du chacal.

**Scalp** Sam 13 Avr 2024 - 10:25

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Face-aux-harlequins-bordeaux-begles-veut-s-affirmer-comme-un-pretendant-a-la-coupe-des-champions/1460784

Face aux Harlequins, Bordeaux-Bègles veut s'affirmer comme un prétendant à la Coupe des champions

Face à une équipe des Harlequins ultra-offensive qui lui ressemble beaucoup, l'UBB doit affirmer ses ambitions de prétendante au titre. En répétant les performances telles celles de la semaine passée face aux Saracens.

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Adrien Corée

À première vue, il y a moins de différences entre les voisins londoniens des Saracens et des Harlequins qu'entre ces derniers et les Bordelais. Mais cette observation ne repose que sur des critères géographiques qui sont bien peu de chose quand on parle la langue du rugby. Car vous trouverez peu de points communs entre le « kicking game » des Sarries et le rythme « fast and furious » des Quins, qui relaient leurs compatriotes aujourd'hui sur la pelouse gorgée de soleil de Chaban.

« C'est clairement une équipe qui nous ressemble », résume l'arrière bordelais Romain Buros. « Les Harlequins veulent tout jouer vite, ils essaient d'étouffer leurs adversaires, complète le directeur de la performance de l'UBB, Thibault Giroud. Ce n'est jamais fini avec eux. Ils ont cette capacité physiologique, physique et rugbystique de pouvoir revenir dans les matches avec 20 ou 30 points d'écart. Il ne faut pas qu'on se trompe. Même si on fait une bonne entame, avec eux il faut batailler pendant 80 minutes. »

Encensée depuis le début de la saison pour son attaque tout feu tout flamme encore observée samedi dernier contre les Saracens (45-12), l'UBB trouvera donc à qui parler samedi après-midi. Si elle demeure en tête des tableaux Excel dans de nombreux domaines (217 points, 32 essais, 67 franchissements), l'équipe de Yannick Bru est suivie de près par son adversaire de quart, troisième meilleure attaque de la Coupe des champions (26 essais). La gémellité se poursuit au classement individuel des meilleurs marqueurs avec le colosse Andre Esterhuizen qui partage la plus haute marche du podium avec Louis Bielle-Biarrey (5 essais, à égalité avec le Lyonnais Thaakir Abrahams).

« On a fait une super campagne européenne, mais on veut se payer maintenant, l'UBB a des grandes ambitions »
Louis Bielle-Biarrey

« Il va y avoir deux équipes très offensives sur le terrain, prévenait le jeune ailier casqué en conférence de presse vendredi. On aura envie de déballer notre palette offensive. Il fera beau, Chaban devrait être rempli. Mais il va falloir être très serré en défense, ne pas laisser trop d'espace, parce qu'ils ont les mêmes envies de jeu. Ce qui va faire la différence, c'est notre défense, notre discipline. C'est ça qui fait gagner les matches en phase finale. »

Les équipes les plus efficaces le savent, c'est avec des ballons de contre récupérés par la défense que l'on fait le plus mal à un adversaire. Et en la matière, les Harlequins présentent une menace majeure avec leur pénible en chef, Will Evans, meilleur plaqueur (78) et meilleur gratteur (9) de la compétition. « Ils ont des gros avants, qui tapent fort », rappelait Giroud. De la capacité des Bordelais à répondre à ce défi pour exploiter au mieux leurs immenses atouts de vitesse dépendra le sort de ce quart.

Les absences de plusieurs cadres de vestiaire (Poirot, Diaby) et de jeu (Jalibert, Penaud), ne les aideront pas dans cette quête. Mais l'UBB, à la recherche de la constance qui l'avait guidée vers une série de huit victoires cet hiver, veut prouver qu'elle n'est plus cette équipe que tout le monde aime regarder mais qui se prend le mur de ses ambitions en plein visage une fois venus les beaux jours. À bas les loser magnifiques, place aux vainqueurs flamboyants.

« On a fait une super campagne européenne, mais on veut se payer maintenant, scande Bielle-Biarrey. L'UBB a des grandes ambitions. » Comme le Stade Rochelais avant lui, Bordeaux pourrait faire de la Coupe des champions un tremplin vers la catégorie supérieure, celle des équipes qu'on peut placer chaque année dans la liste des favoris au titre. Encore faut-il en remporter un, et comme le rappelait Buros cette semaine, « l'UBB n'a jamais rien gagné, et aujourd'hui, c'est ce qu'on veut ».

**Scalp** Sam 13 Avr 2024 - 10:34

RUGBY. CHAMPIONS CUP. Le Clash des ouvreurs de talent annulé : Jalibert vs. Smith, une attente prolongée

https://www.lerugbynistere.fr/news/rugby-champions-cup-le-clash-des-numero-10-annule-jalibert-vs-smith-une-attente-prolongee-1304241012.php

**Scalp** Sam 13 Avr 2024 - 10:37

https://x.com/YannBru/status/1779066002052968828

**Scalp** Sam 13 Avr 2024 - 11:04

https://x.com/UBBrugby/status/1779072039380570604

**Scalp** Sam 13 Avr 2024 - 11:10

Investec Champions Cup: Joe Launchbury says Harlequins can be driven by a 'little fear' in Bordeaux

https://www.bbc.com/sport/rugby-union/68788796

Traduction Deepl :

Investec Champions Cup : Les Harlequins peuvent être poussés par une "petite peur" à Bordeaux, selon Joe Launchbury

Champions Cup - 1/4 de finale UBB/Harlequins - Page 13 Capt7089

Par Chris JonesCorrespondant de la BBC pour le rugby

Les Harlequins peuvent être animés par "un peu de peur" lors de leur déplacement à Bordeaux en quarts de finale de l'Investec Champions Cup, selon Joe Launchbury.

Les Français partent largement favoris au Stade Chaban-Delmas, où ils ont battu deux fois les Saracens cette année.

"Dans le sport, la peur peut être très puissante et utile", a déclaré Joe Launchbury à la BBC Radio 5 Live.

"Si elle est utilisée à bon escient, elle peut aiguiser l'esprit.

Bordeaux n'a perdu qu'une seule fois lors de la phase de poule, une courte défaite en Afrique du Sud contre les Bulls, et s'est annoncé comme un véritable prétendant au titre en écrasant 45-12 les Saracens, triples champions, en huitième de finale.

"Nous sommes bien conscients que si nous sommes un peu moins bons ce week-end, ce sera une journée difficile", a déclaré Launchbury.

"Mais si nous sommes aussi bons que nous l'avons été cette saison, aussi excitants que nous l'avons été avec le ballon, mais aussi intelligents, alors nous pourrons leur poser quelques problèmes.

Vétéran de l'équipe d'Angleterre (70 sélections), qui a connu les dernières phases des tournois européens dans son ancien club des Wasps, Launchbury exhorte les jeunes joueurs des Quins à se délecter du défi que représente le fait de jouer loin de chez soi dans une atmosphère hostile.

"Je pense que c'est ce qui est si extraordinaire avec l'Europe", a-t-il déclaré.

"Nous pourrions jouer contre une équipe anglaise ce week-end, faire ce que nous avons toujours fait dans un championnat que nous connaissons.

"Ou bien nous avons l'occasion d'aller à Bordeaux et de vivre quelque chose que ces gars-là ne peuvent pas vivre chaque semaine.

"Nous avons certainement parlé de cela cette semaine ; la chance d'aller et de se mesurer à une équipe de haut niveau.

"Le fan de rugby moyen ne nous donne pas beaucoup d'espoir, ce qui rend la situation excitante. Un peu de peur est plutôt excitante, parce que cela montre que c'est un grand match.

"Ce genre de match n'arrive pas souvent et c'est le message que j'ai fait passer cette semaine : Jouer les quarts de finale en Europe est quelque chose de très spécial et vous n'y parviendrez peut-être pas tous les ans.

"Il faut donc faire en sorte que cela compte.

Launchbury "en paix" avec l'avenir de l'Angleterre

De son côté, Launchbury, qui fêtera ses 33 ans vendredi, affirme qu'il n'a rien d'inachevé avec l'Angleterre et qu'il est en paix avec la fin de sa carrière internationale.

L'un des meilleurs verrous anglais de sa génération, Launchbury a fait ses débuts à 21 ans en 2012 avant de remporter 70 sélections et trois titres des Six Nations, mais il n'a pas joué depuis une brève apparition lors des Six Nations de 2022.

"J'ai absolument adoré mon séjour là-bas et certains de mes souvenirs les plus heureux et les plus fiers sont ceux que j'ai vécus en portant ce maillot blanc. Mais aujourd'hui, je suis totalement un fan de l'équipe", a-t-il déclaré.

"J'ai énormément de respect pour Steve [Borthwick], le sélectionneur de l'Angleterre, et il est pratiquement le meilleur entraîneur avec lequel j'ai jamais travaillé.

"J'ai adoré mon temps, mais j'apprécie l'équilibre [de la vie] ici, j'offre ce que je peux [aux Harlequins], puis je retourne auprès de ma famille et je passe du temps avec elle.

"Je n'ai pas pris ma retraite [de l'Angleterre] pour ainsi dire, mais je suis en paix avec ce qui se passe.

"On peut souhaiter beaucoup de choses [différentes]. Mais je suis très fier de cette étape de ma carrière. On grandit en voulant gagner une seule sélection, alors être 'coincé' à 70 - pour ainsi dire - c'est quelque chose dont je suis très fier.

nadoloubb Sam 13 Avr 2024 - 12:01

Ce qui est bien c'est qu'avec Evans on va vite voir nos progrès dans le secteur des rucks ou je nous trouve hyper performant

Yatangaki Sam 13 Avr 2024 - 12:27

nadoloubb a écrit:Ce qui est bien c'est qu'avec Evans on va vite voir nos progrès dans le secteur des rucks ou je nous trouve hyper performant

C est un match où on aura un gros test devant même si pas que mais essentiellement devant, la conquête, les groupés, le jeu au sol, l engagement, l'envie et la motivation.

**Scalp** Sam 13 Avr 2024 - 12:50

Désolé Bordelais exilé, je crois que ton message a sauté Rolling Eyes

pas de news de Penaud, sur le site de l'EPCR à 3 h du match, c'est toujours la même compo qu'hier…

**Scalp** Sam 13 Avr 2024 - 12:51

Yatangaki a écrit:
nadoloubb a écrit:Ce qui est bien c'est qu'avec Evans on va vite voir nos progrès dans le secteur des rucks ou je nous trouve hyper performant

C est un match où on aura un gros test devant même si pas que mais essentiellement devant, la conquête, les groupés, le jeu au sol, l engagement, l'envie et la motivation.

La défense aussi Wink

Yatangaki Sam 13 Avr 2024 - 12:52

Scalp a écrit:
Yatangaki a écrit:
nadoloubb a écrit:Ce qui est bien c'est qu'avec Evans on va vite voir nos progrès dans le secteur des rucks ou je nous trouve hyper performant

C est un match où on aura un gros test devant même si pas que mais essentiellement devant, la conquête, les groupés, le jeu au sol, l engagement, l'envie et la motivation.
La défense aussi

Oui c est certain, ils ont une tendance à beaucoup marquer :chambreur:

Vivement 16h.

**Scalp** Sam 13 Avr 2024 - 12:54

Yatangaki a écrit:
Scalp a écrit:
Yatangaki a écrit:
nadoloubb a écrit:Ce qui est bien c'est qu'avec Evans on va vite voir nos progrès dans le secteur des rucks ou je nous trouve hyper performant

C est un match où on aura un gros test devant même si pas que mais essentiellement devant, la conquête, les groupés, le jeu au sol, l engagement, l'envie et la motivation.
La défense aussi

Oui c est certain, ils ont une tendance à beaucoup marquer

Vivement 16h.

yesssssss

**Switch** Sam 13 Avr 2024 - 13:09

Oui, nous allons passer au révélateur des Quins devant. Si nous rivaliser voire prenons l'ascendant contre eux devant, on aura passer un gros test européen qui nous donnera confiance. La clé sera là : mêlées, rucks et mauls + museler Smith. Si on arrive à franchir, c'est bon. Le reste suivra. La météo est au RDV, espérons que le public le soit aussi. On va avoir notre rôle à jouer pour pousser les mecs comme jamais.

Allez, direction le stade. Hâte d'y être ! fan1

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