1/2 finale : UBB / Stade Français

OUIIIIIIIIIIII OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!

L’Union Bordeaux-Bègles en finale du Top 14 pour la première fois de sa jeune histoire

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Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Dourthe est vraiment anti UBB

Il a dit quoi encore ce guignol ? Alors que Brousset a largement avantage les soldats roses...

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/top14/stade-francais-ubb-a-paris-l-ambition-minimale-provoque-une-frustration-maximale-20251573.php

Stade Français – UBB : à Paris, l’ambition minimale provoque une frustration maximale

Par Benjamin Deudon

En s’accrochant à des principes de jeu restrictif, le Stade Français, en difficulté balle en main, n’a jamais pu véritablement croire en ses chances de rallier la finale face à Toulouse

Sur le banc ou à l’échauffement dans l’en-but, l’ancien demi de mêlée all black Brad Weber a parfois dû rester interdit. Pas tant en raison du niveau de la demie entre son équipe du Stade Français et l’UBB, ce samedi à Bordeaux, mais bien au regard de la prestation de ses coéquipiers. 14e attaque du Top 14, Paris ne s’est pas transformé, et son indigence l’a empêché d’être dangereux avant les arrêts de jeu, quand il a enfin marqué (20-22).

Avec une seule initiative ambitieuse dans le camp girondin, pour aucun point, la stratégie minimaliste du Stade Français (appuyer sur sa conquête et les ballons hauts) n’a rien donné, sinon une ribambelle d’en-avant. Entre les mauvais choix, l’incapacité de franchir et les ballons rendus au pied, les Soldats roses n’avaient que les ballons portés pour arme. Elle a failli leur offrir des prolongations brûlantes, mais le futur Bayonnais Joris Segonds a encore manqué la cible. La frustration est maximale, mais la défaite de Paris s’était jouée bien avant.

Vraiment heureux de cette victoire, on peut constater que notre chat noir s'est fait la malle pour l'occasion, comme un signe Je n'aurais pas cru que dès la première saison de Bru, on serait en finale. Alors oui, je sais, une finale ça se gagne et on part avec des handicaps, on sera moins frais physiquement, un jour de moins de récup, des joueurs clés au tapis, comme Matthieu. Espérons le retour de Big Ben, sur un match tout est possible, mais c'est clair, nous sommes les outsiders, une position qui nous convient !

Léo Barré, après la défaite du Stade Français face à l'UBB : « On paye cash nos erreurs »

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Leo-barre-apres-la-defaite-du-stade-francais-face-a-l-ubb-on-paye-cash-nos-erreurs/1476800

Top 14 – Les notes de Stade français – Bordeaux-Bègles : Lamothe percutant, Kockott trop nerveux

https://www.rugbyrama.fr/2024/06/22/top-14-les-notes-de-stade-francais-bordeaux-begles-lamothe-percutant-kockott-trop-nerveux-12034759.php

Une première historique pour l'UBB qui accède sa première finale du TOP 14

https://top14.lnr.fr/actualite/une-premiere-historique-pour-lubb-qui-accede-sa-premiere-finale-du-top-14

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/l-ubb-arrache-sa-premiere-finale-au-bout-du-suspense-20242337.php

Analyse. Demi-finale de Top 14 : l’UBB arrache sa première finale au bout du suspense

Par Yoan Leshauriès

Les Bordelais sont venus à bout du Stade Français dans un bras de fer aussi crispant qu’indécis. Les voilà qualifiés pour leur première finale de Top 14 où ils affronteront Toulouse vendredi à Marseille

La porte s’est enfin ouverte, au tout dernier moment. Et l’Union Bordeaux-Bègles s’y est engouffrée in extremis pour mettre le cap sur Marseille où elle jouera vendredi prochain la première finale de Top 14 de son histoire face au Stade Toulousain, le tenant du titre. Après trois échecs en demie, les Bordelais ont tremblé jusqu’au bout face au Stade Français (20-22), dans un Stade Matmut Atlantique qui rêvait lui aussi de Méditerranée. Et lorsque Segonds a manqué la transformation sur le dernier essai de Peryresblanques qui aurait pu être synonyme de prolongation, toute la tension accumulée s’est transformée en une explosion de joie intense, à l’image de Lucu et Penaud, courant comme des furies vers le Virage des supporters.

   Depuis Castres en 2018, aucun barragiste n’avait réussi ce coup de force à ce stade de la compétition

Rien n’a été donné à l’UBB mais elle a su forcer le destin. Depuis Castres en 2018, aucun barragiste n’avait réussi ce coup de force à ce stade de la compétition. Les scènes de liesse après le coup de sifflet final ne doivent pas faire oublier que l’armoire à trophée est toujours vide. Mais l’occasion de la remplir se présentera la semaine prochaine. Face à l’armada des Rouge et Noir emmenée par Antoine Dupont, l’UBB n’aura bien évidemment pas l’étiquette de favori. Qu’importe. Malgré une saison faite de hauts et de bas, elle a montré cette année qu’elle était capable de sauter par-dessus les barrières.

Un vrai coup de force

C’est ce qu’elle a fait ce samedi face aux Parisiens face à qui elle s’était inclinée par deux fois au cours de la saison régulière. Privés de Jalibert et Tameifuna, les Bordelais ont dû se coltiner un vrai bras de fer aussi indécis que crispant. Et à ce stade de la compétition, tant pis pour le spectacle. Malgré une touche directe qui aurait pu coûter cher en fin de match, Lucu a montré le chemin et a soulagé les siens dans les moments chauds. Les avants, eux, ont fait front dans le combat. Ils ont dû attaquer la porte de la finale au chalumeau pour brûler les souvenirs maudits de Lille (2021), Nice (2022) et Saint-Sébastien (2023).

La pression était palpable ce samedi et comme lors du barrage face au Racing 92, les Bordelais ont mis un peu de temps à entrer dans la partie. Ils ont ensuite pris les choses en mains dans ce qui allait être un vrai bras de fer, à base de combat, de chandelles, et d’occupation du terrain. Après l’égalisation de Lucu (3-3, 12e), les avants girondins entraient en scène. Sans doute usés d’avoir été pointés du doigt tout au long de la saison, ils marquaient le pack parisien sur deux groupés pénétrants qui envoyaient Lamothe à l’essai (3-10, 17e et 3-17, 21e).

Mais le Stade Français réagissait assez rapidement. Kockott se chargeait de maintenir de l’électricité dans les débats et dans le registre du combat collectif, les Parisiens se montraient tout aussi efficaces en travaillant la défense girondine sur un maul, et en pilonnant la ligne pour inscrire un essai signé Briatte (10-17, 30e).

Dans cette première période, l’UBB remportait le duel de l’occupation. Buros et Lucu dominaient Segonds dans ce secteur. Mais les Parisiens prenaient vite le dessus en mêlée. Dans les rangs girondins, l’absence de Tameifuna à droite se faisait ressentir. Juste avant la pause, Macalou franchissait la défense bordelaise mais Barré était rattrapé in extremis devant la ligne par Bielle-Biarrey. Les Bordelais multipliaient les fautes mais conservaient leur avantage à la mi-temps.

Suffocant

Freinés par leur alignement (4 ballons perdus) et quelques mauvais choix en début de seconde période, ils restaient sous la menace parisienne. Rongeant leur frein depuis le début du match, les trois-quarts girondins profitaient d’un turn-over dans leurs 22 mètres pour apporter un peu de folie dans ce rendez-vous. Moefana et Bielle-Biarrey mettaient les gaz, et quelque temps de jeu plus tard, Penaud servait Bochaton pour le troisième essai girondin (10-22, 56e). Mais les Soldats Roses revenaient vite dans le coup sur un nouveau groupé pénétrant conclu dans l’en-but par Peyresblanques (15-22, 62e).

Le suspense restait total en fin de match lorsque les Parisiens campaient devant la ligne d’en-but girondine. Mêlées, mauls… L’UBB tanguait et se retrouvait à 14 suite au carton jaune de Cazeaux (80e+3). Paris trouvait la faille sur un maul à nouveau conclu par Peryresblanques. Mais sur la transformation, Segonds trouvait son troisième poteau de la soirée. Les Bordelais pouvaient exulter… Les voilà en finale.

https://www.rugbyrama.fr/2024/06/22/top-14-stade-francais-bordeaux-begles-technique-paris-vingt-minutes-dindiscipline-coupable-en-demi-finale-12034779.php

Top 14 – Stade Français – Bordeaux-Bègles. Technique : Paris, vingt minutes d’indiscipline coupable en demi-finale

Nicolas Zanardi

Supérieurs en conquête et manifestement plus frais physiquement que l’UBB, les Parisiens ont toutefois cédé face aux Girondins en raison d’un trop gros retard pris sur l’entame de match, lié à une étonnante indiscipline.

Peut-on décemment, vis-à-vis du pauvre Joris Segonds qui doit déjà bien assez s’en vouloir, expliquer la défaite parisienne par la maladresse de son ouvreur face aux poteaux, finalement logique si l’on veut se souvenir que le Stade français présentait avant le coup d’envoi le pire taux de réussite au but du Top 14 ? On ne l’osera pas, au vrai, même s’il est indéniable que les deux poteaux touchés par le futur Bayonnais ont pesé très lourd. Parce que, pour tout dire, les raisons profondes et collectives de la défaite des Parisiens sont probablement à chercher ailleurs. Et très certainement dans cette terrible indiscipline durant les 20 premières minutes, qui virent les soldats roses enchaîner pas moins de six fautes, dont quatre consécutives. De quoi offrir aux Bordelo-Béglais les munitions pour occuper le camp adverse et placer deux bons ballons portés, qui creusèrent écart finalement irrémédiable… Étonnant ? Pas vraiment, sachant que notre consultant Xavier Garbajosa redoutait précisément cet écueil pour les hommes de Laurent Labit. « Le revers de la médaille, de la défense parisienne, c’est potentiellement son indiscipline, estimait l’ancien trois-quarts international. Leur jeu de défense présente une part de risque, dont celui de la mise à la faute. Quand on monte fort et qu’on joue les contre-rucks, on se met à la limite. Pour pouvoir faire fructifier leurs forces, les Parisiens devront tenir la discipline. La clé est aussi là, pour eux. En phase finale, on ne peut pas donner de points faciles. Il faut trouver le point d’équilibre, élever l’engagement tout en restant dans la limite, donc maîtriser ses émotions, et rester en contrôle pour éviter trop d’indiscipline. »

Avant la mi-temps, une série de mêlées décisive

Autant dire que, sur l’entame de match, les Parisiens n’ont pas su éviter ce piège, à l’image d’un Rory Kockott trop souvent pris par M. Brousset. D’autant plus râlant qu’à partir de la 30e minute, ces derniers avaient clairement apposé leur empreinte physique sur la partie, ainsi que le reconnaissait sportivement au micro de Canal + le manager vainqueur Yannick Bru. « C’est très dur d’affronter cette équipe, qui est passée maître dans l’art de faire déjouer l’adversaire. Elle tape dans le ballon, impose beaucoup d’intensité dans les courses de par ses chasses et son intensité dans le combat, tout en proposant un gros défi au niveau du pack où elle est une des équipes les mieux en place du championnat. Il y a à mon sens un vrai tournant dans ce match, c’est cette série de mêlées devant notre ligne juste avant la mi-temps, sur laquelle on remporte un bras de fer qui a compté. » Au point d’inciter Paul Gabrillagues à se raviser et choisir la touche plutôt que la mêlée à la 84e. Avec les conséquences que l’on sait puisque, si l’essai de l’espoir fut bel et bien inscrit par Peyresblanques, sa transformation était totalement en coin…

Top 14 - On débriefe la victoire de Bordeaux-Bègles dans la Troisième Mi-Temps et on se projette sur la finale du Top 14 !

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Bordeaux-Bègles maîtrise le Stade français en demi-finale de Top 14 : ce qui nous a plu et déplu

https://actu.fr/sports/rugby/top-14/bordeaux-begles-maitrise-le-stade-francais-en-demi-finale-de-top-14-ce-qui-nous-a-plu-et-deplu_61244398.html

On y est !!! Mais on ne retiendra que ça ce soir...
Comment on peut autant stresser et gagner grâce à un échec adverse contre ce genre d adversaire ?
On leur donne tout. Des détails à la con. Coup de pied direct en touche de Garcia ? 3 points. Une touche perdue sur nos 40 ? Essai. Un coup de pied direct en touche ? Essai.
On gagne mais on s est renié sur ce match. On ouvre une fois au large, ça fait essai. Pourquoi ne l'a t on pas fait plus souvent, alors qu on a passé la saison à le faire ?
Touche catastrophique. Dès que Lamothe rate une touche, il rate toutes les suivantes. Laterrade n'a pas été mieux.
La mêlée a pris un recul une fois de plus, après la semaine dernière.
Les sorties conjuguées de Tatafu, Coleman et Lamothe ont entraîné un manque de puissance criant.
Je ne comprenais pas pourquoi Garcia n'était pas sorti plus tôt (notamment après son jeu au pied qui ne s imposait pas si tout et que ses partenaires et son coach ont pointé du doigt), mais la rentrée de Lesgourgues est pas loin d être catastrophique.
On crée rien, eux non plus. On gagne sur un détail. C est frustrant et satisfaisant à la fois. Frustrant car on doit gagner beaucoup plus largement, satisfaisant car on gagne.
Mais bordel, va falloir lâcher la cavalerie en finale, on fera rien avec le même type de prestation.

RUGBY. TOP 14. Cette fois-ci c'est la bonne pour l'UBB qui retrouvera Toulouse en finale !

https://www.lerugbynistere.fr/news/rugby-top-14-cette-fois-ci-cest-la-bonne-pour-lubb-qui-retrouvera-toulouse-en-finale-2206242306.php

Big'Ben a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Dourthe est vraiment anti UBB

Il a dit quoi encore ce guignol ? Alors que Brousset a largement avantage les soldats roses...

je ne trouve pas. Brousset fait un bon match, je n'ai pas compris son arbitrage sur les mêlées en revanche.

Pour Dourthe, je n'ai rien entendu de particulier mais je n'ai pas fait vraiment gaffe.

Scalp a écrit:Vraiment heureux de cette victoire, on peut constater que notre chat noir s'est fait la malle pour l'occasion, comme un signe Je n'aurais pas cru que dès la première saison de Bru, on serait en finale. Alors oui, je sais, une finale ça se gagne et on part avec des handicaps, on sera moins frais physiquement, un jour de moins de récup, des joueurs clés au tapis, comme Matthieu. Espérons le retour de Big Ben, sur un match tout est possible, mais c'est clair, nous sommes les outsiders, une position qui nous convient !

exactement, laissons les se faire enjôler par la presse dite spécialisée, et croire que ce sera du tout cuit. Avançons masqués et servons nous de ces leviers pour nous transcender, en mode "ils ne savaient pas que c'était impossible alors ils l'ont fait" On est parvenu à passer sans Ben, sans Mathieu, sans Marko, sans Sipili, sans touche, sans mélée, il faut prendre la mesure de la performance et y aller en mode commando bordel.
J'ajoute que la sortie de Buros pour le préserver sans doute et le replaçement de Louis nous à quand même couté en terme de sérénité, vendredi on met toutes nos forces dans la bataille et on fera les comptes ensuite  

Scalp a écrit:

https://x.com/SudRadioRugby/status/1804627823417774560

Alors là, on s'en branle, d'abord, faire un beau match contre le SF, c'est impossible, et ensuite, il nous fallait juste gagner, on s'en cogne de la manière !

Le plus bel essai du match, parti depuis notre camp, magnifique et collectif !

Maxime Lucu (UBB), après la qualification en finale de Top 14 : « Rien que de passer ce cap, c'est déjà très beau »

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Maxime-lucu-ubb-apres-la-qualification-en-finale-de-top-14-rien-que-de-passer-ce-cap-c-est-deja-tres-beau/1476805

Stade Français-UBB: la détresse de Joris Segonds, en larmes après sa transformation manquée qui coûte la prolongation

https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/top-14/stade-francais-ubb-la-detresse-de-joris-segonds-en-larmes-apres-sa-transformation-manquee-qui-coute-la-prolongation_AV-202406220467.html