4ᵉ journée : Stade Toulousain / UBB

Scalp a écrit:Top 14 – Audiences : La victoire de l’UBB à Toulouse suivie par 772 000 téléspectateurs en moyenne

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Cet article est intéressant de part la vision que le public extérieur à l'UBB a de notre club.
J'ai aussi pleinement apprécié les commentaires plutôt élogieux d'Eric Bayle hier sur la confrontation entre les 2 clubs qui symbolise ces derniers mois l'affiche de notre championnat.

L'ubb grandit et grandit bien.

J'ajouterai aussi avec un peu de recul qu'elle s'est structurée, professionnalisée depuis le passage de CU.
Qu'on le veuille ou non je pense qu'il nous a fait passer un cap.
Un cap dans l'ambition et la rigueur.
Malgré les derniers mois complexes il ne faut pas oublier ce genre de personnage dans la construction vers une potentielle réussite.
J'aime l'idée de savoir aussi être reconnaissant envers des Hommes.

Parenthèse fermée.

Nous avons de beaux jours devant nous avec l'éclosion de talents incroyables tels que ND, LBB, Gazzotti, Matiu....
et des joueurs qui arrivent à maturité comme MJ, Moefana, Cazeaux, Lamothe...

Y'aura encore des déceptions tant l'attente et l'exigence (Je parle aussi pour moi) est élevé.
Mais l'avenir semble être plus que réjouissant.

Dernier point, si on fait un léger comparatif avec d'autres clubs qui paraissent ambitieux comme le SF, le Racing, Lyon.
On peut voir que l'Ubb est légèrement devant dans l'attrait, le confort de vie, l'ambition et la réalisation, le jeu pratiqué etc

A suivre....

les stats du match :
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celles des joueurs :
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Scalp a écrit:Top 14 – L’Union Bordeaux-Bègles met fin à l’invincibilité toulousaine et s’offre une retentissante revanche

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Pas toujours lucide et un peu de mauvaise fois par moment, Mola lors de sa conf'...

Malgré cette magnifique victoire, je nous ai trouvés un peu faibles (et c'est une euphémisme) à gauche en mêlée.

On n'est toujours pas assez tueurs dans leurs 22 sur des séquences longues, mais toujours aussi efficaces sur turn over et relances...Incroyables.

Comme quoi, il y a encore du boulot. J'espère qu'on ne va pas se relâcher contre l'Aviron. A constater aussi notre progression dans nos attitudes et engagement d'un match à l'autre.

Befa a écrit:

Scalp a écrit:Top 14 – Audiences : La victoire de l’UBB à Toulouse suivie par 772 000 téléspectateurs en moyenne

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Cet article est intéressant de part la vision que le public extérieur à l'UBB a de notre club.
J'ai aussi pleinement apprécié les commentaires plutôt élogieux d'Eric Bayle hier sur la confrontation entre les 2 clubs qui symbolise ces derniers mois l'affiche de notre championnat.

L'ubb grandit et grandit bien.

J'ajouterai aussi avec un peu de recul qu'elle s'est structurée, professionnalisée depuis le passage de CU.
Qu'on le veuille ou non je pense qu'il nous a fait passer un cap.
Un cap dans l'ambition et la rigueur.
Malgré les derniers mois complexes il ne faut pas oublier ce genre de personnage dans la construction vers une potentielle réussite.
J'aime l'idée de savoir aussi être reconnaissant envers des Hommes.

Parenthèse fermée.

Nous avons de beaux jours devant nous avec l'éclosion de talents incroyables tels que ND, LBB, Gazzotti, Matiu....
et des joueurs qui arrivent à maturité comme MJ, Moefana, Cazeaux, Lamothe...

Y'aura encore des déceptions tant l'attente et l'exigence (Je parle aussi pour moi) est élevé.  
Mais l'avenir semble être plus que réjouissant.

Dernier point, si on fait un léger comparatif avec d'autres clubs qui paraissent ambitieux comme le SF, le Racing, Lyon.
On peut voir que l'Ubb est légèrement devant dans l'attrait, le confort de vie, l'ambition et la réalisation, le jeu pratiqué etc

A suivre....

Une des forces de l'UBB c'est son public ...et ça fait plus de 15 ans que ça dure, il ne faut jamais cesser de le souligner
On a beau s'habituer, rassembler chaque match plus de 30.000 personnes c'est quand même énorme (ce serait d'ailleurs un beau challenge de faire un 100% de remplissage cette année à Chaban )
Quand on voit que le Racing jouant à Créteil n'a même pas attiré 4000 spectateurs contre l'ASM
Franchement le rugby à Paris repose tout entier sur 2 milliardaires ...sinon ...

Befa a écrit:

Scalp a écrit:Top 14 – Audiences : La victoire de l’UBB à Toulouse suivie par 772 000 téléspectateurs en moyenne

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Cet article est intéressant de part la vision que le public extérieur à l'UBB a de notre club.
J'ai aussi pleinement apprécié les commentaires plutôt élogieux d'Eric Bayle hier sur la confrontation entre les 2 clubs qui symbolise ces derniers mois l'affiche de notre championnat.

L'ubb grandit et grandit bien.

J'ajouterai aussi avec un peu de recul qu'elle s'est structurée, professionnalisée depuis le passage de CU.
Qu'on le veuille ou non je pense qu'il nous a fait passer un cap.
Un cap dans l'ambition et la rigueur.
Malgré les derniers mois complexes il ne faut pas oublier ce genre de personnage dans la construction vers une potentielle réussite.
J'aime l'idée de savoir aussi être reconnaissant envers des Hommes.

Parenthèse fermée.

Nous avons de beaux jours devant nous avec l'éclosion de talents incroyables tels que ND, LBB, Gazzotti, Matiu....
et des joueurs qui arrivent à maturité comme MJ, Moefana, Cazeaux, Lamothe...

Y'aura encore des déceptions tant l'attente et l'exigence (Je parle aussi pour moi) est élevé.  
Mais l'avenir semble être plus que réjouissant.

Dernier point, si on fait un léger comparatif avec d'autres clubs qui paraissent ambitieux comme le SF, le Racing, Lyon.
On peut voir que l'Ubb est légèrement devant dans l'attrait, le confort de vie, l'ambition et la réalisation, le jeu pratiqué etc

A suivre....

Franchement Befa, je vais remettre une pièce dans la machine, je ne peux pas m'en empêcher.

Urios a trouvé un effectif au top dès son arrivée, il a su faire ce qu'il sait faire, être un leader d'hommes, galvaniser son groupe, avec son aura de gourou qu'il avait encore à l'époque.

Ensuite…, c'est la lente chute vers de plus en plus de médiocrité dans notre jeu, dans le recrutement, on peut parler de la patte Urios . Puis des départs en cascades et un club au bord de l'implosion.

Bref, à part nous avoir apporté un peu de couilles, de couilles et puis de couilles…, le vide intersidéral. La différence avec le projet que bâti Bru et son staff est aussi abyssale que la comparaison entre le jeu proposé entre McNamara et Charrier, j'y avais été de ma petite métaphore, en disant que c'était ce que le boulier est à l'ordinateur quantique…

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Scalp a écrit:Top 14 – L’Union Bordeaux-Bègles met fin à l’invincibilité toulousaine et s’offre une retentissante revanche

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Pas toujours lucide et un peu de mauvaise fois par moment, Mola lors de sa conf'...

Malgré cette magnifique victoire, je nous ai trouvés un peu faibles (et c'est une euphémisme) à gauche en mêlée.

On n'est toujours pas assez tueurs dans leurs 22 sur des séquences longues, mais toujours aussi efficaces sur turn over et relances...Incroyables.

Comme quoi, il y a encore du boulot. J'espère qu'on ne va pas se relâcher contre l'Aviron. A constater aussi notre progression dans nos attitudes et engagement d'un match à l'autre.

Je crois que nos titulaires qui n'ont pas pu participer à cette victoire vont avoir faim, c'est le double effet kiss cool des turnovers effectués par Bru

les stats de la journée (je n'ai pas encore les stats complétes, surement demain, pour ce site) :

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les stats complétes de la lnr des clubs : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

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les stats du match :
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Quasiment 41 minutes de temps de jeu effectif, pas mal !

sudiste a écrit:Par contre Reybier il a des pattes de canard non ?
Je pense d'ailleurs que LBB aurait pu se le faire seul en mettant le Messie dans le vent qui aurait fini en tribune

je dis comme toi. J'étais persuadé qu'il aurait crocheté intérieur car RNT courrait vers la touche comme un tambour.

Trop altruiste LBB, mais on ne peut pas lui reprocher. Il arrive à bonifier tous les ballons qu'il touche.

sudouest.fr
Union Bordeaux-Bègles (UBB) : le jour de gloire de Matéo Garcia, auteur de la pénalité décisive à Toulouse
Yoan Leshauriès
4–5 minutes

Publié le 30/09/2024 à 14h28.

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Raffut 2024

Tout juste entré en jeu pour son premier match de la saison, le jeune demi d’ouverture de l’UBB a passé une pénalité de 55 mètres qui a donné la victoire à son équipe dimanche soir à Toulouse (12-16)

Une longue respiration, le regard fixé sur les poteaux…. À la 75e minute, Matéo Garcia s’est élancé et a passé une pénalité de 55 mètres qui s’est avérée décisive dans la victoire de l’Union Bordeaux-Bègles sur le terrain de Toulouse (12-16) dimanche soir. Questionné au sujet de son jeune demi d’ouverture, le manager Yannick Bru a choisi le ton de l’humour pour souligner ce geste : « Il est prêt à entrer en NFL ». Une petite allusion au séjour d’Antoine Dupont chez les Chargers de Los Angeles dans la semaine.

Bien moins habitué à être sous les feux des projecteurs, après une saison dernière où il a appris en passant par plus de bas que de hauts Matéo Garcia a enfin été propulsé sur le devant de la scène dimanche soir. Et quelle scène : le stade Ernest-Wallon, où les Rouge et noir restaient invaincus depuis février 2022. Il ne fallait pas trembler. Et le jeune ouvreur, entré en jeu à l’arrière seulement dix minutes plus tôt pour son tout premier match de la saison, a fait preuve de sang-froid et de précision, malgré la pression et la distance.

« Il a pris ses responsabilités alors qu’il n’avait pas joué une minute depuis le début de la saison »

Alors que Matthieu Jalibert et Maxime Lucu, les deux buteurs habituels de l’UBB, étaient toujours sur le terrain, Matéo Garcia a pris le tee. « Je me prends un petit coup sur le ruck, explique le demi de mêlée. Matthieu sait que c’est un peu compliqué de loin. Matéo venait de rentrer, on sait qu’il a un gros coup de pied de plus de 50 mètres. Il le sentait de la prendre. Ça nous permettait aussi de souffler si elle était courte et qu’elle ne passait pas. Ce n’était que du bonus. Mais il a pris ses responsabilités alors qu’il n’avait pas joué une minute depuis le début de la saison. C’est forcément gratifiant pour lui. »
Malgré la concurrence

Sur les trois premiers matchs de Top 14, Matéo Garcia s’était retrouvé hors groupe et a pris son mal en patience. À l’intersaison, l’UBB a recruté Joey Carbery, le demi d’ouverture international irlandais (38 sélections) du Munster, pour apporter toute son expérience et prendre le relais de Matthieu Jalibert sur les périodes internationales. « Matéo souffre un peu de ça mais on n’oublie pas qu’il a souvent porté l’équipe la saison passée, souligne Yannick Bru. Il sait qu’il va avoir des moments pour s’exprimer et amener son talent à l’équipe. »

Pour sa première apparition de la saison, Matéo Garcia a en tout cas su saisir sa chance et s’est montré décisif. « On est très contents de lui, il a rempli son rôle, se réjouit le manager. On avait fait un banc 6-2, il pouvait ouvrir les postes 10 et 15. On savait qu’il avait de la longueur dans son jeu au pied. C’est notre meilleur buteur en termes de réussite. On espérait secrètement que ça pouvait se jouer sur ça ». Le rêve de l’UBB est finalement devenu réalité.

sudouest.fr
Union Bordeaux-Bègles (UBB) : le jour de gloire de Matéo Garcia, auteur de la pénalité décisive à Toulouse
Yoan Leshauriès
4–5 minutes

Publié le 30/09/2024 à 14h28.

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Raffut 2024

Tout juste entré en jeu pour son premier match de la saison, le jeune demi d’ouverture de l’UBB a passé une pénalité de 55 mètres qui a donné la victoire à son équipe dimanche soir à Toulouse (12-16)

Une longue respiration, le regard fixé sur les poteaux…. À la 75e minute, Matéo Garcia s’est élancé et a passé une pénalité de 55 mètres qui s’est avérée décisive dans la victoire de l’Union Bordeaux-Bègles sur le terrain de Toulouse (12-16) dimanche soir. Questionné au sujet de son jeune demi d’ouverture, le manager Yannick Bru a choisi le ton de l’humour pour souligner ce geste : « Il est prêt à entrer en NFL ». Une petite allusion au séjour d’Antoine Dupont chez les Chargers de Los Angeles dans la semaine.

Bien moins habitué à être sous les feux des projecteurs, après une saison dernière où il a appris en passant par plus de bas que de hauts Matéo Garcia a enfin été propulsé sur le devant de la scène dimanche soir. Et quelle scène : le stade Ernest-Wallon, où les Rouge et noir restaient invaincus depuis février 2022. Il ne fallait pas trembler. Et le jeune ouvreur, entré en jeu à l’arrière seulement dix minutes plus tôt pour son tout premier match de la saison, a fait preuve de sang-froid et de précision, malgré la pression et la distance.

   « Il a pris ses responsabilités alors qu’il n’avait pas joué une minute depuis le début de la saison »

Alors que Matthieu Jalibert et Maxime Lucu, les deux buteurs habituels de l’UBB, étaient toujours sur le terrain, Matéo Garcia a pris le tee. « Je me prends un petit coup sur le ruck, explique le demi de mêlée. Matthieu sait que c’est un peu compliqué de loin. Matéo venait de rentrer, on sait qu’il a un gros coup de pied de plus de 50 mètres. Il le sentait de la prendre. Ça nous permettait aussi de souffler si elle était courte et qu’elle ne passait pas. Ce n’était que du bonus. Mais il a pris ses responsabilités alors qu’il n’avait pas joué une minute depuis le début de la saison. C’est forcément gratifiant pour lui. »
Malgré la concurrence

Sur les trois premiers matchs de Top 14, Matéo Garcia s’était retrouvé hors groupe et a pris son mal en patience. À l’intersaison, l’UBB a recruté Joey Carbery, le demi d’ouverture international irlandais (38 sélections) du Munster, pour apporter toute son expérience et prendre le relais de Matthieu Jalibert sur les périodes internationales. « Matéo souffre un peu de ça mais on n’oublie pas qu’il a souvent porté l’équipe la saison passée, souligne Yannick Bru. Il sait qu’il va avoir des moments pour s’exprimer et amener son talent à l’équipe. »

Pour sa première apparition de la saison, Matéo Garcia a en tout cas su saisir sa chance et s’est montré décisif. « On est très contents de lui, il a rempli son rôle, se réjouit le manager. On avait fait un banc 6-2, il pouvait ouvrir les postes 10 et 15. On savait qu’il avait de la longueur dans son jeu au pied. C’est notre meilleur buteur en termes de réussite. On espérait secrètement que ça pouvait se jouer sur ça ». Le rêve de l’UBB est finalement devenu réalité.

leparisien.fr
Top 14 : Bordeaux-Bègles s’offre l’ogre toulousain chez lui
Par Olivier François Le 29 septembre 2024 à 23h18
~4 minutes

Le statistiques ont été balayées d’un coup. Les bras levés des Bordelais, tombeurs du Stade toulousain sur sa pelouse d’Ernest-Wallon au terme d’un match haletant ce dimanche soir valent tous les chiffres. Les trente-trois rencontres sans défaite à domicile des Rouge et Noir, la raclée lors de leur dernière confrontation, la finale du championnat en juin dernier (59-3), n’ont pas pesé sur le moral d’une équipe truffée de talents et de ressources.

L’UBB s’est donc imposée (12-16) chez une équipe invaincue depuis le début de saison, qui paraissait hors catégorie. Antoine Dupont, qui finit ses vacances par une immersion à Los Angeles dans le football américain, aura pour mission d’éviter ce genre de déconvenues quand il réintègrera l’effectif début octobre.

C’est beau le rugby quand il est joué de cette façon-là. Ces chants du ballon volant de mains en mains, cette petite musique des gambettes cavalant dans les espaces après les bruits sourds de l’empoignade des montagnes. C’est beau cet accent du Sud-Ouest où se déclinent les plus belles partitions du moment. Toulouse et Bordeaux ne sont pas seulement les deux élèves les plus brillants du Top 14 actuellement. Les deux finalistes du dernier exercice semblent aussi s’amuser au sein d’un championnat tendu où leur rivaux paraissent besogneux et maladroits en comparaison.

Ce dimanche soir, il y en avait pour tous les goûts. Les Toulousains, chez eux, ont commencé fort. L’arrière Thomas Ramos s’est joué de son vis-à-vis Louis Bielle-Biarrey pour offrir à l’ailier écossais Blair Kinghorn un essai international tout en vitesse et en mouvement au bout de sept minutes seulement (7-0). Pas de cavalier seul cette fois cependant. La réponse est fulgurante. Bielle-Biarrey, 21 ans à peine et déjà beaucoup d’étincelles à son actif, enfume Ramos et Capuozzo d’une feinte de passe, navigue entre les deux et finit derrière la ligne (7-8, 19e).

A peine le temps de reprendre son souffle que l’arrière bordelais s’échappe le long de la ligne de touche et transmet au demi de mêlée Maxime Lucu pour un essai aux allures de tourbillon (7-13, 22e).

Dans ces jaillissements de haut niveau, les ouvreurs stars, dont le duel était tant attendu, se sont surtout attelés aux tâches obscures. Moins brillants qu’espéré, Romain Ntamack et Matthieu Jalibert ont beaucoup défendu mais leurs pieds ont tremblé. Le Toulousain a raté un renvoi et une pénaltouche, le Bordelais les deux transformations, le tout en première période. Les deux ouvreurs des Bleus ont attendu le retour des vestiaires pour se mettre en évidence, sur la même action.

Jalibert récupère un ballon dans les airs, perce, trouve Bielle-Biarrey qui envoie Reybier à l’essai en coin.... Sauvetage in-extremis de Ntamack revenu d’on ne sait où pour plaquer l’ailier bordelais et le contraindre à glisser un crampon sur la ligne de touche (61e). Le tournant du match ? L’essai de Mauvaka sur un ballon porté (12-13, 70e) ajoute un brin de suspense à un match qui n’en manquait pas. La pénalité de 55 mètres réussie par Matteo Garcia semble elle clore les débats à cinq minutes de la fin. Trop tôt. Dernière pénaltouche à la sirène pour Toulouse. Ultimes charges... Pour une fois, les Toulousains oublient le grand large. Ils sont punis. Et battus.

Les points

Stade toulousain : 2 essais de Kinghorn (7e), Mauvaka (70e), 1 transformation de Ramos (7e).

Bordeaux-Bègles : 2 essais de Bielle-Biarrey (19e), Lucu (22e), 2 pénalités de Jalibert (15e), Garcia (75e).

sudouest.fr
Top 14. L’UBB a cette fois serré les boulons à Toulouse
Yoan Leshauriès
2–3 minutes

Publié le 30/09/2024 à 15h39.

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Raffut 2024

Réputée pour son attaque de feu, l’UBB a su monter le curseur en défense, son point faible lors des trois premiers matchs, pour s’offrir le premier succès de son histoire sur le terrain du Stade Toulousain (12-16) dimanche soir

Acculée sur sa ligne d’en-but pendant une minute et trente secondes après la sirène, l’Union Bordeaux-Bègles a dû serrer les rangs face aux assauts répétés des Toulousains poussés par tout un stade, alors que les organismes étaient en surchauffe. Mais la défense girondine a tenu bon. Au coup de sifflet final, les Bordelais pouvaient exulter, ils venaient de préserver le score et s’offraient le tour premier succès de leur histoire chez les Rouge et noir (12-16).

Cette dernière séquence symbolisait à elle seule tous les efforts, l’engagement et la solidarité dont a fait preuve l’UBB dimanche soir à Ernest-Wallon. « Les joueurs peuvent être fiers d’eux car ils ont coché les cases qu’ils avaient annoncées dans la semaine, notamment sur le plan défensif », soulignait Yannick Bru après le match. Alors qu’ils s’étaient illustrés par...

Scalp a écrit:

igziabeher a écrit:On voit vraiment que le recrutement réalisé est très bon. En doublon on aura une équipe qui tient la route, et ça c est quand même quelque chose de nouveau et rassurant.
Les prestations de Retiere, van Rensburg, Uberti, Samu, Gray, Matiu, ça va vraiment nous permettre d être performant toute la saison. Bravo pour le recrutement, très intelligent et vraiment pour répondre aux problématiques rapidement identifiées la saison passée.

À fond la caisse ce match référence lance notre saison, il va falloir maintenant garder les ingrédients qu'on a su mettre face au ST, et monter le curseur en conquête. Si on continue sur cette lancée, le top 2 est atteignable !

Et je me projette un peu tôt sur la saison prochaine, mais le recrutement qui se profile ne devrait pas nous affaiblir    l'horizon à moyen terme pour l'UBB est complétement limpide, de quoi donner envie à beaucoup de nous rejoindre, et à certains de rester à l'UBB

face aux mêmes équipes de l'année dernière , on a pris 9 points de plus
+3 points face au stade francais , +1 contre le LOU , + 1 contre le racing (je crois ?) et +4 contre Toulouse

sudouest.fr
Vidéos. Top 14 : l’exploit de l’UBB, le bon coup pour La Rochelle, Bayonne sur le fil, Pau fait le spectacle… Tout ce qu’il faut retenir de la 4e journée
SudOuest.fr avec AFP
8–10 minutes

Le Stade Rochelais a signé la bonne opération de la 4e journée en allant chercher une précieuse victoire sur le terrain du Racing 92, pendant que Toulon a mis du temps pour disposer du promu vannetais. Bayonne et Lyon l’emportent de justesse à domicile et Pau s’impose avec le bonus

L’UBB lave l’affront et prend la tête

Bordeaux-Bègles, avec une équipe pourtant remaniée, a mis fin dimanche en clôture de la 4e journée de Top 14 à la série d’invincibilité de Toulouse à domicile (16-12) et prit sa revanche trois mois après son humiliation en finale. C’était le 11 février 2022, au Stadium, contre le Stade Français (29-28), avant de garder leur pelouse inviolée pendant 33 matches consécutifs (31 victoires, 2 nuls). La série a pris fin dimanche, au stade Ernest-Wallon, dont le public avait perdu l’habitude de voir son équipe perdre.

Le staff de Bordeaux-Bègles avait pourtant procédé à neuf changements dans son XV de départ par rapport à celui qui avait écrasé le Racing 92 (52-34) la semaine précédente, mais avait toutefois aligné Louis Bielle-Biarrey, au poste d’arrière, et le jeune international a parfaitement exploité, en l’espace de trois minutes, les espaces laissés par l’absence de Blair Kinghorn, sanctionné d’un carton jaune pour un plaquage haut sur Arthur Retière.

« LBB » a d’abord marqué le premier essai des siens grâce à une belle feinte de passe (19e) avant d’être à l’origine de celui de Maxime Lucu (22e). Trop brouillon et bien mesuré par la défense girondine, le Stade toulousain a passé plus d’une heure sans marquer un seul point entre l’essai de Kinghorn (7e), servi en bout de ligne par Thomas Ramos, et celui de Peato Mauvaka (70e) sur un ballon porté. Ramos a manqué la transformation alors que la pénalité longue distance de Matéo Garcia (75e) a suffi à l’UBB malgré le baroud d’honneur des Rouge et Noir après la sirène.
Pau tout bonus

Les Palois ont retourné une situation mal embarquée pour finalement s’imposer avec le bonus contre le Stade Français (30-16) grâce notamment à des essais de leurs jeunes internationaux Emilien Gailleton et Théo Attissogbe. Demi-finalistes la saison passée, les Parisiens, battus trois fois en quatre journées, tombent à la 13e et avant-dernière place, à hauteur de la nouvelle lanterne rouge, Vannes.

Le Stade Français venait de rompre l’équilibre victoire à domicile défaite à l’extérieur après son revers à Jean-Bouin face à Toulon (10-14). Soucieuse de s’éviter le même type de pépins, la Section Paloise cherchait quant à elle à endiguer sa porosité défensive et les faiblesses d’un pack amputé par dix absences. Bilan comptable identique (5 points en 3 journées), et mêmes ambitions dans le jeu. À l’issue d’un match d’abord cadenassé par la pression du résultat, où tout s’est recentré autour des bases, Pau s’est offert un beau bouquet final. De quoi permettre aux hommes de Piqueronies de s’offrir leur second bonus en autant de sorties à domicile. Ça valait le coup d’attendre.
La Rochelle sur le fil

Alors qu’il pensait avoir renversé la rencontre, le Racing 92 s’est incliné en toute fin de match à domicile contre la Rochelle 17 à 16, samedi à Créteil au stade Dominique-Duvauchelle pour la 4e journée de Top 14. Face à ses futurs coéquipiers rochelais, qu’il rejoindra l’été prochain, le demi de mêlée du Racing Nolann Le Garrec (22 ans, 5 sélections) auteur de tous les points de son équipe, a pourtant tout tenté, marquant le premier essai du match (54e) pour donner de l’espoir aux siens.

Abandonnant ses ambitions de grandes envolées pour un jeu en puissance qu’ils maîtrisent mieux, les Rochelais ont alors forcé le jeu en toute fin de match. Un essai de Wardi (75e), au ras après une charge monstrueuse de Georges-Henri Colombe, puis une pénalité d’Iribaren (80e), leur ont offert leur première victoire à l’extérieur cette saison.

Avec trois défaites en quatre matches, les Racingmen, déjà sévèrement battus à Bordeaux le week-end dernier (52-34), perdent de précieux points dans la course à la phase finale. De quoi fragiliser leur manager anglais Stuart Lancaster ?
Maqala offre la victoire à Bayonne

Il s’en est encore fallu d’un rien pour que l’Aviron Bayonnais ne connaisse sa première défaite à domicile et s’enfonce dans la crise. Au lieu de ça, les Basques pourront se satisfaire du caractère démontré en toute fin de rencontre pour arracher un succès crucial. Tout avait pourtant plutôt bien commencé. Avec des avants concernés et une conquête retrouvée, Bayonne prend le score et le match en main. D’abord sur un essai de Rouet (7-0, 6e). Puis grâce à un nouvel essai, superbe, sur une combinaison entre Rouet, Chouzenoux et Maqala, trouvé en bout de ligne.

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Après trois premiers matches décevants et le coup de gueule de leur manager, les « gros » de l’Aviron ont livré une partie convaincante, notamment en touche, ce samedi face à Montpellier (28-27). À rééditer

Devant au score (15-0, 37e), les ciel et blanc sont pourtant loin de dominer outrageusement. Et vont se faire punir en deuxième mi-temps. Nouchi permet d’abord aux Héraultais de recoller. Avant un nouvel essai d’Hounkpata après un 50-22 de l’ancien Montois Coly (21-21, 59e). Le jeune demi de mêlée, repositionné à l’ouverture, permet ensuite aux siens de passer devant pour la première fois de la partie grâce à 2 pénalités (27-21, 69e).

Il faudra un énorme effort collectif, un stade qui pousse et un geste de génie de Segonds pour sauver les Bayonnais. Aors que les siens poussent dans les 5 du MHR, l’ouvreur remplaçant volleye d’une main pour Maqala qui n’a plus qu’à se jeter dans l’en-but. Segonds transforme, Jean-Dauger exulte (28-27, 78e). Mais que ce fut laborieux.
Vannes a fini par s’effondrer à Toulon

L’ampleur de la victoire toulonnaise sur le promu vannetais (54-19) ne reflète pas totalement la physionomie de la rencontre, longtemps accrochée. Les Varois ont même été menés 14-19 sur leur pelouse de Mayol en début de deuxième mi-temps avant de passer la vitesse supérieure malgré l’expulsion de leur pilier international Jean-Baptiste Gros.

Le bonus offensif – huit essais au total, dont cinq dans les 20 dernières minutes – leur permet de s’installer dans le fauteuil de leader avant le choc dimanche (21h05) entre les deux derniers finalistes Toulouse et Bordeaux-Bègles.
Festival d’essai entre Lyon et Castres

Tombés la semaine dernière chez le promu vannetais (30-20), les Lyonnais sont repartis de l’avant à domicile en remportant un match très disputé contre Castres (40-38). Portés par les 25 points de leur ouvreur Léo Berdeu, un record cette saison, et un nouvel essai de l’incontournable Baptiste Couilloud, ils confirment leur bon début de saison, comme le CO, récompensé de sa combativité par le bonus défensif.

Après deux déplacements consécutifs et autant de défaites, Bayonne a retrouvé victorieusement son antre fétiche de Jean-Dauger face à Montpellier (28-27). Sauvés in extremis par un essai de leur centre fidjien Sireli Maqala, auteur d’un doublé, les Basques se donnent un peu d’air au classement, dont Pau occupe la dernière place avant de recevoir le Stade français en soirée (21h05).
Perpignan passe la première

Toutes les équipes ont désormais gagné au moins un match. La dernière à ne pas l’avoir encore fait jusque-là, l’Usap, a enfin lancé sa saison, avec la manière et le bonus offensif contre Clermont (33-3). Médaillé d’or olympique avec l’équipe de France de rugby à VII, l’ailier Jefferson-Lee Joseph s’est offert le premier essai de sa carrière en Top 14.

Grosse ombre au tableau : la grave blessure du deuxième ligne international français Posolo Tuilagi, victime d’une double fracture tibia-péroné selon le club. En face, le manager clermontois Christophe Urios n’a pas vraiment goûté le manque d’engagement de ses joueurs. « Je n’ai pas vu arriver ce comportement », a-t-il pesté. « Je ne suis pas d’accord quand on dit que Clermont fait un bon début de saison. Cette défaite montre qu’on n’est pas une grande équipe ».

désolée si je mets tous les articles que je peux trouver mais je me fais plaisir ....surtout venant de la presse toulousaine

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Au vu de la prestation depuis le début de saison et dans une certaine continuité de la saison dernière, je pense que des mecs comme Lamothe, Bochaton ou encore Gazzotti (en concurrence avec Matiu) pourraient légitimement un jour intégrer le XV de France, ils mériteraient de faire des feuilles de matchs pour se tester face à ce qui se fait de mieux.

marchal a écrit:désolée si je mets tous les articles que je peux trouver mais je me fais plaisir ....surtout venant de la presse toulousaine

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J'en ai mis parfois en double hier, la répétition ne peut pas nuire, surtout concernant ce match

DODO974 a écrit:

Scalp a écrit:

igziabeher a écrit:On voit vraiment que le recrutement réalisé est très bon. En doublon on aura une équipe qui tient la route, et ça c est quand même quelque chose de nouveau et rassurant.
Les prestations de Retiere, van Rensburg, Uberti, Samu, Gray, Matiu, ça va vraiment nous permettre d être performant toute la saison. Bravo pour le recrutement, très intelligent et vraiment pour répondre aux problématiques rapidement identifiées la saison passée.

À fond la caisse ce match référence lance notre saison, il va falloir maintenant garder les ingrédients qu'on a su mettre face au ST, et monter le curseur en conquête. Si on continue sur cette lancée, le top 2 est atteignable !

Et je me projette un peu tôt sur la saison prochaine, mais le recrutement qui se profile ne devrait pas nous affaiblir    l'horizon à moyen terme pour l'UBB est complétement limpide, de quoi donner envie à beaucoup de nous rejoindre, et à certains de rester à l'UBB

face aux mêmes équipes de l'année dernière , on a pris 9 points de plus
+3 points face au stade francais , +1 contre le LOU , + 1 contre le racing (je crois ?) et +4 contre Toulouse

Oui tes calculs semblent bons !

Par contre, comme le SF ne va pas faire la même saison que l'an passé, il va falloir être performant désormais face au SR pour être dans les 2 premiers.