[5ème journée] Tarbes - Union

Comment , comment comment avec des avants si dominateurs, si souverains nos 3/4 sont-ils aussi stériles ?

De ce que j'ai lu du match c'est le type de scénario où on aurait du faire feu de tout bois derrière, un régal pour un type comme Jagr !!! au lieu de quoi du pipi de chat avec 4 pénalités

Faut vraiment débrider nos animateurs de jeu et en cela j'attends avec impatience le retour de nos jeunes Lagarde et Machenaud qui sont peut être un peu moins compassés par des années de petits calculs contre productifs.

Attention !!! à ce petit jeu des entraineurs-cadenasseurs polarisés sur le défense on en oublie que l'aboutissement du rugby est quand même d'atteindre la "terre promise".... et à voir le pathétique "classico" accouchant d'un 9-9 devant 30.000 spectateurs c'est à se demander si le rugby n'est pas en train de se faire hara kiri

Quant à l'Union attention à ce que nos avants ne se lassent pas de faire plus que leur boulot en pietinant l'adversaire pour un résultét quasi nul . 4 essais en 5 matchs ça ne me semble pas refléter le discours de Vincent Etcheto en début de saison. C'est maigre, maigrichon et ça tombe d'autant plus mal à l'heure ou les footeux réapprenent à marquer des buts.

Espérons qu'il y aura foule à Chaban dans quinze jour mais disons nous aussi que ce sera un quitte ou double pour convertir de nouveaux supporters ou finir de dégouter ceux qui en ont assez de compter les scores du rugby sur les doigts des 2 mais.

ALORS REFAITES NOUS LE MATCH DE L'AN DERNIER et vous serez pardonnés

Le coup de la pénalité sur la sirène, c'est un grand classique du rugby. L'arbitre a peut-être été un peu rapide à lever le bras mais le vrai souci est ailleurs.
Ce genre de mésaventure nous pend au nez si on n'est pas capables de prendre le large en cours de match.
Un essai, voilà ce qui a manqué. Nos lignes arrières doivent mettre le feu. Sinon, c'est pour nous que ça sentira le roussi.
Pour Agen, on sait ce qu'il faut faire. Faisons-le !
:musard:

SO du jour http://www.sudouest.com/gironde/sports/autres/article/719511/mil/5156989.html

APRÈS TARBES - UNION. Bordeaux-Bègles a terminé son bloc de cinq matches par une défaite très frustrante (12-15)
Franchement râlant

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Comme à Lyon, l'Union a laissé échapper une victoire à l'extérieur à sa portée. (photo laurent dard)

Ce sont des Girondins remontés qui ont adressé un carton envers l'arbitrage à l'issue de la rencontre à Tarbes (12-15). L'Union avait mis le TPR comme objectif à leur tableau de chasse. Et c'est autour de la mêlée qu'ils avaient décidé de faire conquête. Ils ont bien réussi dans leur entreprise, se créant même quelques occasions de franchir la ligne bigourdane. Ces bonnes intentions tomberont en route.

« Devant, nous avons réalisé un gros match parce que nous savions qu'il fallait d'entrée les mettre au combat, commentait le pilier Franck Labbé. Mais nous ne sommes pas payés. Aussi j'invite l'arbitre à venir faire une séance d'entraînement en mêlée avec nous, pour lui expliquer quelques règles. Quand tu as une mêlée qui se relève ou qui explose à chaque fois, la moindre des choses, c'est de la sanctionner. Tarbes a toujours pu sortir ses ballons...

Après, on aurait dû scorer en première mi-temps On sait que l'on joue à l'extérieur, qu'il y a en face un très bon buteur à cause duquel il ne faut pas faire des fautes dans notre camp. Alors on joue avec un peu trop de retenue. C'est ce qui peut expliquer ces ballons tombés. Si l'on veut passer un cap, à nous de rester lucides à l'extérieur, continuer à mettre un gros défit physique devant comme on le met depuis quelques week-ends, après ça viendra tout seul. Sur ce match, il y avait vraiment la place de prendre quatre points. »

« On va y arriver »

Une impression confirmée par Laurent Ferrères : « Il faut regretter l'arbitrage maison et ces erreurs commises sur la fin. Mais on aurait dû remporter ce match beaucoup plus tôt : en tout début de rencontre, on passe vingt minutes dans le camp des Tarbais, menés 3-0, qui ne font rien. Mais on ne met pas au fond une occasion d'essai. Le point positif ? Nous avons mis du coeur et fait des choses pas encore vues auparavant. Désormais, il faut plus de réalisme, moins tomber de ballons et rater de placages, ne pas hésiter à se faire jouer les uns les autres parce qu'il y a des joueurs sur les bouts qui sont craints. On va y arriver mais il faut que cela vienne vite.

Notre fébrilité sur les ballons hauts ne peut s'expliquer si ce n'est que par la qualité de leurs botteurs, un mauvais timing au saut, de la pression. Ce n'est pas sur ces faits que l'on perd. Bordeaux avait les munitions pour mettre au fond. On ne les a pas mises. »

« De la timidité »

Hier, Vincent Etcheto a donc décrypté la vidéo pour comprendre pourquoi.

« Sans parler d'arbitrage, ce match est à l'image de notre début de saison : il y a de bonnes choses mais nous n'arrivons pas à concrétiser. Parfois, il s'agit d'une certaine timidité, d'autres où on est à deux mètres de la ligne, on n'a pas l'instinct de finition. J'ai regardé Agen-Grenoble : il n'y a pas eu beaucoup d'occasions d'essais, mais ils en ont marqué deux. Avec, aussi, un peu de la chance qui nous fuit jusqu'ici. Mais on ne peut pas se cacher derrière cela : il faut travailler. »

Agen, qui sera aussi le prochain adversaire de l'Union, le 11 octobre au stade Chaban-Delmas. « Si nous jouons comme la dernière fois contre eux, il n'y aura pas de soucis, commente Laurent Ferrères. Mais il faut élever notre actuel niveau de jeu. »
Auteur : Francis Abadie (avec N. L.G.)

Le Midol proposé par Ardwen

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Et pour finir 20'

http://www.20minutes.fr/article/350673/Bordeaux-Pour-l-UBB-dominer-n-est-pas-gagner.php

Pour l'UBB, dominer n'est pas gagner

Comment la victoire a-t-elle pu leur échapper à Tarbes, samedi soir ? Dans un match fermé, où les coups de pied ont fait la différence, les Girondins, alors qu'ils avaient réussi à prendre la mesure de leurs adversaires, se sont inclinés (15-12). Grâce à quatre pénalités de Vermis et de Ferrères, les Bordelais mènent pourtant 9-12 à trois minutes de la fin de la rencontre. Pas cher payé tant leur domination est forte. Avec l'énergie du désespoir, les locaux obtiennent une pénalité, puis deux, dans le money-time, et basculent en tête (12-15). L'Union empoche un bonus défensif mais regrette les trois pénalités manquées qui auraient pu mettre l'équipe à l'abri. Après cinq rencontres, les Girondins sont scotchés à la dixième place du classement de Pro D2. Une obligation de résultat pèse désormais sur leurs épaules pour la prochaine journée qui se déroulera le 11 octobre. Ils recevront Agen au stade Chaban-Delmas. W

S.B.