Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir

Je n'ai pas pu écouter GoldFM, que s'est il dit ?

Pour être tout à fait honnête, rien que tu ne saches déjà même si l'on a entendu la déclaration de L. Marti et celle d'HP. Vermis. Il a été question du plan B, celui évoqué par la presse, le président ayant bien eu une conversation téléphonique avec Jeff Fonteneau. Un plan C semble aussi exister et il serait mis en place par.....mais il convient de parler au conditionnel......et toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire........

C'est malheureux à dire, mais on n'a jamais autant entendu parler de l'Union dans les médias.
Ils en parlent même sur TV7

Plan B, C, D, E......X.....si les joueurs ne sont pas rassurés très vite et si certains ont déjà envisagé leur départ c'est la fin des haricots ....quand on voit le temps qu'il faut pour construire un groupe de milieu de tableau

Parce que je ne crois pas à un successeur qui déboule avec quelques millions supplémentaires ...nous aurons sans doute droit à un président type Dubernet...un inconnu chargé d'expédier les affaires courantes jusqu'aux....obsèques devant les gros pardessus éplaurés

Il faudrait faire une collecte d'argent avec une tombola ou quelle chose comme ça

La solution n'est pas dans un Unionthlon (le club est sain grace au président) mais dans un groupe d'actionnaires/annonceurs de gros calibres suceptibles d'assurer la vie de l'Union sur le long terme et qui lui donneraient l'attractivité nécessaire à son succés. Une entente EADS/FAYAT/VINS de Bordeaux/Caisse d'Epargne/Decathlon/CDiscount/SAFT (pour faire plaisir à léo) voilà le type d'attelage qu'il nous faudrait ... mais c'est loin d'être fait

J'ai lu sur le groupe Facebook que quelqu'un annonçait le départ de 17 joueurs d'où vient cette info ?

Lundi 08 Février 2010

PROJET FOU. Un promoteur périgourdin cherche un site à Bordeaux pour implanter la plus grande roue du monde
Il veut la plus grande roue du monde à Bordeaux

Tom Gounou, président de JLG Promotion, est à la recherche d'un site pour sa roue monumentale. Il la verrait bien sur la rive droite ou à Bordeaux-Lac.

Bordeaux accueillera-t-il dans quelques années la plus grande roue panoramique du monde, un engin pouvant atteindre les 200 mètres de haut, d'où l'on verrait la mer et les Pyrénées ? C'est le souhait du promoteur périgourdin Jean-Louis Gounou et de son fils Tom, qui a repris les rênes de l'entreprise familiale, JLG Promotion. Un promoteur tout ce qu'il y a de sérieux, qui a déjà réalisé plusieurs chantiers, dont des parcs d'attraction (notamment le Kid Park de Gujan-Mestras), de Dunkerque à Toulouse en passant par Pau et, bien entendu, Bordeaux.

C'est d'ailleurs à l'occasion de la pose de la première pierre d'un immeuble de bureaux que JLG construit dans le quartier de la Bastide, que Gounou père et fils ont présenté leur idée de plus grande roue du monde à Alain Juppé, le maire de la ville. Des roues comme ça, il en existe à Londres, mais surtout à Fukuoka, une ville du Japon qui se trouve être jumelée avec Bordeaux.

C'est une attraction en soi, comme les grandes roues de la foire des Quinconces, mais taille XXL, avec des sortes d'oeufs de dix places en guise de nacelles. La rotation dure environ 30 minutes. La grande roue de Londres draine huit millions de visiteurs par an. « À Bordeaux, on peut tabler sur deux millions », indique Tom Gounou. Ce dernier cherche actuellement un site, à La Bastide mais pas seulement. JLG dispose déjà d'un partenaire technique, l'industriel des structures métalliques Eurotech, qui a dessiné les plans de la roue. Quant à Juppé, il n'a pour l'instant pas donné son avis sur le projet...
Auteur : denis lherm
d.lherm@sudouest.com

JOLIE ET IMMENSE ROUE, MAIS OU SONT LES GRANDS PROJETS DES SPORTS COLLECTIF, DONT LE RUGBY DE L'UBB (A PART LES GIRONDINS DE BORDEAUX), MONTPELLIER, TOULOUSE, PARIS, ETC SONT LOIN DEVANT EN INFRASTRUCTURE (GRANDS STADES, GRANDES SALLES MODERNES), DIFFICILE D'ENTENDRE QUE LANNEMEZAN ET AUCH (DE BONNE PERFORMENCE POUR CES VILLES DE 7000 ou 8000 HABITANTS) A PRESQUE AUTANT D'APPORT FINANCIER DES ENTREPRISES.

LAURENT MARTI A JOUE SON RÔLE DE PATRON (LE PATRIARCHE) , BON EN COMMUNICATION, HUMAINEMENT GENTIL, BON CONNAISSEUR DU RUGBY, IL VA NOUS MANQUER. CES EFFORTS NE SONT PAS ET DE LOIN RECOMPENSES. LE CLUB SE STRUCTURE POURTANT SPORTIVEMENT AVEC MARC DELPOUX ET SON STAFF ET JOUEURS, IL Y A DE LA PROGRESSION. LES JEUNES FONT DE BONS MATCHS,MERCI AUX JEUNES ET EDUCATEURS ET C'EST ENCOURAGEANT POUR L'AVENIR.
LE SITE INTERNET DE L'UNION FAIT DE COMMUNICATION POSITIVE (JEU, INFOS, INTERVIEW, ANNALYSES DE SEB CAILLY, JACQUES PIRON, ET DE LEOPOLD) EN COMPLEMENT AVEC LE SITE ALLEZ UNION, IL FAUT SALUER LES AUTRES MEMBRES DE L'UBB, OLIVIER BROUZET, ETC, ET LES FIDELES SUPPORTERS / TRICES DE MUSARD, ET LES BURDIGALAIS.
ALLEZ C.A.B, C.A.B.B.G, U.B.B, S.B.

sudiste a écrit:J'ai lu sur le groupe Facebook que quelqu'un annonçait le départ de 17 joueurs d'où vient cette info ?

Je pense que l'informateur est allé un peu vite. Suivant ma comptabilité, il doit y avoir une vingtaine de joueurs sous contrat jusqu'en 2010 (ou prêtés pour quelques un).

Pour relativiser, notons qu'il y a eu 16 départs l'an dernier.

Ca y est, la Ligue a réagi. Woaw, quel réconfort, quel soutient

http://www.sudouest.com/gironde/sports/rugby/article/861519/mil/5692558.html

RUGBY L'UNION BORDEAUX-BÈGLES DANS LE FLOU, LIGUE NATIONALE. Pointant son « souhait appuyé » de voir le rugby pro perdurer dans l'agglomération, le président Pierre-Yves Revol réagit à l'annonce du départ de Laurent Marti
« Je regrette et comprends »

Une fois l'annonce à la presse de son départ en fin de saison effectuée, c'est l'une des premières personnes que Laurent Marti, le président de l'Union Bordeaux-Bègles, a informé samedi. Pierre-Yves Revol, président de la Ligue Nationale, a accepté de réagir hier.

Quel est votre sentiment après cette annonce ?

C'est une décision regrettable car Laurent Marti, comme d'autres présidents, est quelqu'un de passionné, qui a beaucoup investi dans son club à tout point de vue. Je regrette vraiment son départ mais il en a expliqué les raisons et je le comprends bien.

Aviez-vous eu connaissance de l'imminence de son choix ?

On a eu l'occasion d'avoir un certain nombre d'échanges et j'ai senti derniers temps qu'il était dans l'expectative. La leçon, c'est que certains pensent que l'on pourra compenser les difficultés de quelques clubs de villes moyennes par l'avènement d'autres dans les grandes agglomérations. On s'aperçoit que la réalité est plus complexe et que les leviers de croissance du rugby pro ne sont pas toujours faciles à trouver, y compris dans les grosses villes.

Alors que le rugby souhaite s'installer dans les grandes métropoles, est-ce un coup dur ?

Déjà, ce n'est pas un discours que je tiens. Ce que je dis est que le rugby se développe formidablement dans certaines contrées mais est fragilisé dans certaines villes moyennes. On voit que la taille n'assure pas la présence à un niveau élevé. Dans le cas de l'Union, j'espère qu'il y aura une solution de substitution pour au moins dans un premier temps rester à ce niveau et envisager de se développer. La décision de Laurent montre que ce n'est pas une chose facile : cela demande un certain nombre de moyens et du temps.

Quelle est votre analyse du cas bordelais ?

De loin, on voit une prédominance du football. Est-ce un frein à l'accession d'un club de rugby en Top 14 ? Je ne sais pas. C'est certainement plus compliqué que ça. Pour réussir, il faut une envie collective, des pouvoirs publics mais pas seulement : les collectivités peuvent accompagner un projet Top 14 mais ne peuvent pas le pousser seules. Il faut une volonté convergente de dirigeants, du public, de partenaires et un catalyseur. Laurent a essayé d'être celui-ci, il a fait beaucoup et j'espère que quelqu'un prendra le relais.

Avez-vous eu l'occasion de discuter avec les politiques locaux ?

Non. Depuis mon passage à Bordeaux l'an passé, je n'ai pas eu d'entretiens particuliers. Mais, de toute façon, ce n'est pas le rôle de la Ligue : c'est aux collectivités de déterminer leur politique est de savoir ce qu'il convient.

Le fait que Bordeaux soit la capitale d'une des régions majeures du rugby change-t-il quelque chose ?

Bordeaux est, au même titre que d'autres, susceptible d'accueillir un club au plus haut niveau. Mais encore faut-il que toutes les volontés économiques et politiques soient réunies et convergent vers un objectif commun. Est ce que ce sera le cas un jour à Bordeaux, je ne sais pas.

Laurent Marti a laissé une porte ouverte si quelque chose se passait dans les trois semaines.

La Ligue est-elle tentée d'intervenir ?

Ce n'est pas à nous de nous immiscer dans des questions qui relèvent du club et de son environnement. Je peux juste affirmer mon souhait très appuyé de voir le rugby perdurer à Bordeaux. Mais, encore une fois, ce n'est pas la Ligue qui a les solutions.
Auteur : nicolas le gardien
n.legardien@sudouest.com

http://www.sudouest.com/gironde/sports/rugby/article/861260/mil/5691708.html

Les administrateurs en première ligne

Samedi, les administrateurs de l'Union ont longuement applaudi le discours de Laurent Marti devant la presse. Pour eux, comme pour l'ensemble de ses congénères, la position est claire : « nous sommes tous derrière Laurent ». « Nous gardons l'espoir que quelque chose se passe dans les trois semaines à venir » pointait ainsi Christian Bagate, président du CA Bègles omnisport et du Comité Côte d'Argent.

Frédéric Martini, PDG de Mérignac Auto, vice-président de l'Union après en avoir occupé sa tête lors de sa première saison d'existence, ne dit pas autre chose, partageant pourtant le même pessimisme que Laurent Marti sur la question : « Cela fait un moment que l'on envoie des signaux d'alarme sans réaction ». « Mais on ne veut pas perdre trois ans de travail, répond Christian Bagate. Chacun est en train d'essayer de voir ce qu'il peut faire personnellement et autour de lui pour soutenir Laurent. Cela peut passer par d'autres partenaires, par quelqu'un qui viendrait l'épauler. Il n'y a pas de plan B, de plan C, mais la volonté de ne pas le laisser tomber. » Si la rumeur Jean-François Fonteneau est désormais éteinte (lire ci-contre), certains partenaires potentiels réserveraient leur réponse alors que Laurent Marti a un dernier rendez-vous cette semaine. « On espère que son annonce va faire réagir : peut-être fallait-il toucher le fond de la piscine pour rebondir » pointe Christian Bagate.

Si, fin février...

Frédéric Martini étaye : « La question n'est celle des politiques individuellement mais de l'agglomération : il y a ici beaucoup d'entreprises d'envergure régionales qui n'investissent ni dans la culture, ni dans l'associatif, ni dans le sport. Laurent l'a bien dit : on a l'impression que Bordeaux est la ville la plus en crise de France. Les politiques doivent nous aider à les convaincre de tout ce que le sport peut leur apporter. »

En première ligne pour assurer la survie du club, les administrateurs, pour qui il serait impossible de monter seuls un budget suffisant pour la Pro D2, envisagent surtout la porte laissée ouverte par Laurent Marti.

« Si jamais rien ne s'est passé dans les trois semaines, alors on se reunira et on envisagera l'avenir sans lui, dit Frédéric Martini. On a tous envie que l'Union continue à vivre. Mais avec quels moyens, avec qui ? Laurent a pris sa décision et ça sera très, très compliqué de continuer. Et l'enjeu n'est pas que la Pro D2 : ce week-end, nous avions quatre jeunes en sélection... » « Quoi qu'il en soit, on ne lâchera pas le club, c'est notre devoir de formation et d'éducation » pointe Christian Bagate.
Auteur : N.L.G

Fédérale nous revoilà...

Collabo Nico

nico a écrit:Fédérale nous revoilà...

Je veux moi aussi continuer à croire à club Pro mais, très sérieusement, si il n'y pas de repreneur et / ou d'argent,
quelle sera la sentence ? Midol parle de disparition pure et dure.
Reste il une possibilité pour qu'une équipe de fédérale 1 vienne égayer nos week-end d'hiver 2010/2011 malgré tout ou tout le navire va couler ?

Salvador, avec un pseudo pareil tu n'as même pas le droit d'envisager une telle alternative. Tout le monde doit aider le soldat Union et si possible en le tirant vers le haut. Salvador, l'Union aussi compte sur toi

Les amis j’ai bien mal dormi et je ne m’en trouve pas très optimiste ce matin. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

En effet je ne vois pas comment ce qui n’a pas été possible en 10 ans, le deviendrait en 3 semaines, surtout qu’il y a bien longtemps que Mr Marti envoie des signaux, qui sont subliminaux seulement pour ceux qui ne veulent pas les voir

Et puis crée-t-on réellement quelque chose de solide dans l’urgence, dans un contexte de crise ?

Je pense donc que L’Union doit mourir jeune de sa triste mort avec rupture des fiançailles entre le Stade Bordelais et la CABBG…la solution n’est apparemment pas là, alors que chacun retrouve de son côté les joutes obscures des championnats amateurs s’y refasse les dents dans l’humilité et l’anonymat et attendons le jour où, peut être, apparaîtra un « prince charmant » [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] réellement motivé pour un projet solide sur le long terme …avec d’autres politiques (Madrelle ne sera pas éternel !!!), d’autres entrepreneurs ….


Je pense que cet état végétatif a trop duré, que trop de monde (dirigeants et supporters) s’y épuise en faux espoirs et désillusions.

J’espère simplement que les joueurs avant de se séparer voudrons offrir un bel hommage à leur président et finir la saison en beauté pour foutre une dernière claque dans la gueule de tous les pisse-froid qui attendent toujours « de voir » pour se lancer et se positionne ensuite en fonction du vent.

Aller battre Agen serait une bien belle lumière dans notre ciel assombri ….sorte de bouquet final avant extinction des feux [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Ca y est, Sudiste est parti sur l'ile de Ré

http://www.sudouest.com/gironde/sports/rugby/article/861534/mil.html

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Patrick Wolff (à gauche), vice-président de la ligue nationale de rugby (photo afp)

Après la réaction du président de la Ligue Nationale de rugby Pierre-Yves Revol dans les colonnes de "Sud Ouest" aujourd'hui, c'est le vice-président Patrick Wolff qui a souhaité ce matin monter au créneau suite à l'annonce de Laurent Marti de son très probable départ de l'Union en fin de saison.

"Quand on a la chance d'avoir un dirigeant de la qualité de Laurent Marti, je ne comprends pas que l'on ne fasse rien pour l'empêcher de partir, surtout quand cela met en plus un club en péril. J'espère que les pouvoirs publics vont prendre conscience qu'ils ne trouveront pas facilement un remplaçant de son envergure. J'espère surtout que cela restera une menace et que dans la période de trois semaines que se sont accordé les présidents, l'annonce va faire réagir."

Et l'Auvergnat, qui avait suivi le dossier de l'Union en 2006, d'étayer. "A Bordeaux, il y a tout pour réussir. Qu'on ne me dise pas qu'il n'y a pas les moyens, ils existent. Seulement, cela a été toujours pareil : quand une collectivité accélère, l'autre freine. Et quand l'une freine, l'autre accélère. Il est temps de prendre conscience qu'il faut accélérer ensemble."

Auteur : Nicolas Legardien

pour Monsieur Wolff. L'auvergnat a du mordant (je sais elle était facile).

La photo est elle d'archive ou actuelle ? La présence du monsieur à la gauche de Wolff n'est pas anodine

patrick a écrit:Collabo Nico

Non non non, pas question de Maréchal ici. Malheureux.

Sinon, je trouve que dans le ramdam de ces dernières jours, un acteur a été souvent oublié des discussions. Ce sont les supporters et il y en a sur ce site. OK on est sûrement moins nombreux que dans d'autres club mais quand même. En première ligne, je pense à Patrick qui a réussi le pari de faire revivre avec succès ce forum. Bien sûr je regrette cette situation pour les salariés de ce club. Mais une petite pensée pour les bozos qui vont au stade et/ou poussent derrière l'Union.

PS: à quand un club avec "socios" (membres supporteurs)?

http://www.sudouest.com/accueil/sports/rugby/article/861517/mil/5692660.html

« Il faut une politique sportive commune sur l'agglomération »

Hier matin, Noël Mamère, maire de Bègles, s'est longuement entretenu avec Franck Joandet, son deuxième adjoint, chargé du dossier rugby et habitué des matches au stade André-Moga. Le sujet, bien sûr : la nouvelle donne autour de l'Union et son futur on ne peut plus incertain.

Avec la volonté dans un premier temps, de répondre au fait que les collectivités soient pointées du doigt dans le dossier. « Si le club existe aujourd'hui au haut niveau, c'est grâce à des hommes comme Philippe Moulia, les frères Moga, Laurent Marti mais aussi, il ne faut pas l'oublier, les collectivités. Si Bègles et Bordeaux n'avaient pas été là, il n'aurait pas pu continuer » souhaitait réagir Franck Joandet.

Face au constat d'échec, l'élu communautaire pointe surtout « l'absence d'une politique globale sportive sur l'agglomération. » « Aujourd'hui, si l'on met seulement les mairies de Bègles et de Bordeaux autour d'une table, je crois que l'on risque de tourner en rond. Si aujourd'hui les partenaires ont du mal à se rallier à un projet, c'est parce qu'il n'y a pas de mouvement commun : départemental, communautaire, municipal et du monde économique. On parle d'équipements structurants type Grand Stade mais sans réfléchir avant à une dynamique sportive globale sur l'agglomération. On réagit ensemble au coup par coup quand il y a une crise et c'est tout. »

Avec en filigrane, une revendication de toujours de Franck Joandet mais aussi du monde sportif : la mise en place, « même progressive », de la compétence sportive pour la CUB, l'un des secrets de la réussite de Montpellier et Toulouse dans le sports de haut niveau et jusqu'ici toujours repoussé à Bordeaux à cause des clivages politiques. « Aujourd'hui, on est au pied du mur, pointe Franck Joandet, également chargé du dossier handball féminin. On pourrait se retrouver demain avec les Girondins, et derrière, le désert. »

Si l'objectif de Marti était de réveiller tout le monde, c'est en effet efficace. Est ce que ça portera des fruits ?

Confer le hand masculin (girondins), le basket féminin (chantecler), le volley masculin (jsa).... et j'en passe... tous ont côtoyé les sommets à un moment donné avant de repartir dans les abysses de l'oubli ou la disparition pure et simple.

Parmi les collectivités qui "freinent"...je crois qu'il est temps d'évoquer l'inertie du département avec le très "dynamique" et homme d'avenir Mr Madrelle.

Puisqu'il nous fait aujourd'hui pleurer sur la misère du monde et sur les finances de son institution une petite question : quel est le coût du batiment prévu pour l'extension du Conseil Général ?

Je n'ai pas trouvé la réponse dans les "chiffres clés" de ce projet ...sauf que l'amortissement est prévu sur 25 ans échéance à laquelle cet échelon administartif aura sans doute disparu.

Ras le bol de ces petits barons locaux qui assoient leur pouvoir sur "leur" territoire à coups de copinages, de réseaux et de basse manoeuvres politiques. A 73 ans n'est-il pas l'heure de passer la main [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le département qui joue contre sa ville principale c'est quand même le comble de l'aberration de notre système [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Je rumine ma prochaine cible [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Mais p...de b... de m.... à quand cette compétence sportive pour la CUB ??? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Tout le monde constate et reconstate que c'est en grande partie la raison de l'échec du sport de haut niveau dans l'aglomération mais personne ne va se bouger le cul !!!!

N'existe-t-il donc pas de clivages politiques à Toulouse et Montpellier qui y sont pourtant parvenu ?

Bon et bien vous risquez de me voir en photo pour les prochaines municipales [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] ....au pire je demanderai l'asile politique dans un autre département

sudiste a écrit:Bon et bien vous risquez de me voir en photo pour les prochaines municipales

Oh non pas ça, pense à l'effet sur les âmes sensibles