Re: Matthew Clarkin

Flow Mar 23 Avr 2013 - 12:20

J'ai trouvé ce papier sincère et touchant. Ce type transpire la sympathie et l'humanité, à l'image de ce groupe si attachant. Pour avoir eu deux ou trois modestes contacts avec lui (dont une interview en compagnie d'Olivier Brouzet que je vous ferai passer si vous êtes intéressés), ça confirme l'image positive que j'avais du monsieur.

**hurluberlu** Mar 23 Avr 2013 - 13:57

Flow a écrit:(dont une interview en compagnie d'Olivier Brouzet que je vous ferais passer si vous êtes intéressés)

Ça m'intéresse, Flow.

**patrick** Mar 23 Avr 2013 - 21:22

Flow a écrit:J'ai trouvé ce papier sincère et touchant. Ce type transpire la sympathie et l'humanité, à l'image de ce groupe si attachant. Pour avoir eu deux ou trois modestes contacts avec lui (dont une interview en compagnie d'Olivier Brouzet que je vous ferai passer si vous êtes intéressés), ça confirme l'image positive que j'avais du monsieur.

Bientôt sur Flow's TV ? Wink

Justice for all Mar 23 Avr 2013 - 21:23

Vraiment un homme formidable.

**patrick** Mar 23 Avr 2013 - 21:31

Justice for all a écrit:Vraiment un homme formidable.

... qui je crois a permis à Fort de partir faire un mois de rugby (dont 2 semaines de camps) en Nouvelle Zélande Yesss

et donc d'allier plaisir et obligation (internationale) scolaire :clap:

Justice for all Mar 23 Avr 2013 - 21:45

patrick a écrit:
Justice for all a écrit:Vraiment un homme formidable.

... qui je crois a permis à Fort de partir faire un mois de rugby (dont 2 semaines de camps) en Nouvelle Zélande et donc d'allier plaisir et obligation (internationale) scolaire

Ça je sais pas, mais par contre bravo à L Marti de l'avoir fait venir!

Flow Jeu 25 Avr 2013 - 11:03

https://www.youtube.com/watch?v=qTX2M4bbmr0&list=HL1366880412&feature=mh_lolz

Vous avez la partie consacrée à Olivier Brouzet et Matthew Clarkin à partir de 1,50'. Mais vous pouvez regarder la vidéo en entier, le sujet est intéressant.

Fait dans le cadre de l'association Prim@ pour l'équipement de matériel informatique dans les chambres d'enfants hospitalisés à Bordeaux.

**hurluberlu** Jeu 25 Avr 2013 - 15:28

Merci Flow.
(c'est moi ou le son est super faible ?)

Flow Jeu 25 Avr 2013 - 16:49

C'est le problème de l'informatique : la diversité des matériels. Sur le mien il n'y a aucun souci de compréhension avec le volume de moitié. Ça dépend aussi de la configuration du lecteur youtube de chaque utilisateur.

**patrick** Ven 3 Jan 2014 - 13:34

C fait u petit moment que Matthew n'avait pas fait parler de lui. A moment ou il est sur le banc et du RD manqué avec ses anciens coachs (montés à la capitale), l'Equipe lui rend un bel hommage :

Matthew Clarkin - Page 2 Sans_t75

**sudiste** Ven 3 Jan 2014 - 13:57

Si Matthew veut faire construire des maisons peut être aura-t-il besoin d'un partenaire pour les vendre :chambreur:

Pat Ven 3 Jan 2014 - 13:59

sudiste a écrit:Si Matthew veut faire construire des maisons peut être aura-t-il besoin d'un partenaire pour les vendre

Aie.... encore une société mort-née alors....!! rire

**patrick** Sam 25 Jan 2014 - 10:52

Matthew dans SO

Matthew Clarkin, côté joueur

nicolas le gardien

Le capitaine est souvent mis en avant. Mais c’est aussi le joueur qui a prolongé jusqu’en 2016 après un dernier trimestre remarqué.

Matthew Clarkin - Page 2 1440732_4016136_800x400

Matthew Clarkin - Page 2 1440732_4016136_800x400

Flanker contre Brive, Matthew Clarkin revient en numéro 8 ce soir. © Photo
photo thierry david

Au milieu de l'annonce des recrues, la nouvelle est passée plus inaperçue. Sans doute parce que ce n'est pas une surprise, et que le Néo-Zélandais avait une option jusqu'en 2015. Mais la prolongation de contrat de Matthew Clarkin jusqu'en 2016 n'est pas rien, ni pour l'Union Bordeaux-Bègles, ni pour lui. « Avec la problématique des non-JIFF, ça va devenir très compliqué, et je voulais fixer mon avenir à Bordeaux, explique le capitaine girondin. Je suis optimiste pour ce groupe, et moralement, c'était important d'être sûr de pouvoir poursuivre ici jusqu'à ce qui sera peut-être la fin de ma carrière. » « Prolonger Matthew, c'est un tout, répond de son côté le président Laurent Marti. Il y a le capitaine, qui est exemplaire, l'homme, qui est très intelligent, l'affectif. Mais à 32 ans et étant non-JIFF, s'il n'avait pas été ce très bon joueur de rugby, on aurait été embarrassé. »

Car à force de souligner son rôle de rassembleur, on en oublierait aussi la base : Clarkin est un élément précieux (1) du collectif girondin, duquel sa tête est même ressortie ses dernières semaines à l'image de ses matchs d'hyperactif à Toulouse (6 duels provoqués, 9 soutiens, 12 placages dont 5 offensifs et aucun man qué, un essai) ou contre Brive (10 duels provoqués, 18 soutiens). « Je l'ai chambré en lui demandant si c'est parce qu'on devait rediscuter, sourit Laurent Marti. Il m'a répondu : un peu, mais il n'y pas que ça. »

En haut des tests des 3e ligne

Il y a aussi que le Sadiracais d'adoption a retrouvé de la fraîcheur. Mentale autant que physique. « Il a beaucoup agi en interne dans la deuxième partie de la saison 2011-2012, puis les 4-5 premiers mois difficiles après notre arrivée, souligne l'entraîneur des avants Régis Sonnes. Cela l'a fatigué et avec le collectif qui va mieux, il a retrouvé de l'énergie. » « J'ai pris cette baisse de confiance comme une alerte, reprend l'intéressé. J'ai pris conscience aussi que j'étais peut-être trop fixé sur ce qu'il se passait autour et qu'il fallait me recentrer d'abord sur mon propre jeu, le reste venant naturellement ensuite. »

L'usure physique ? « L'âge, quand on connaît Bruce Reihana, on en revient, avance Ludovic Loustau, le préparateur bordelais. Il se connaît parfaitement, on connaît désormais mieux ses points douloureux et cela permet de mettre en place un protocole où il s'entraîne encore plus fort qu'avant. Il a de grosses qualités naturelles et lors des tests lactiques la semaine dernière, il était en haut des troisième ligne, ce qui fait d'ailleurs râler Hugh (Chalmers) qui bosse énormément pour le rattraper. Et sur la musculation, il n'explose pas tout mais c'est très correct. »

Car le joueur Matthew Clarkin, c'est aussi ce profil atypique de numéro 8, à une époque où la puissance brute (2) est devenue (quasiment) la règle. « Il faut un équilibre dans une 3e ligne, mais je suis convaincu que des joueurs comme lui vont revenir, avance Régis Sonnes. Il amène sa science du jeu, cette liaison avants-trois-quarts qui impulse le mouvement offensif : sur cela, il est important dans notre système ». Anachronique ? « Non, répond Laurent Marti. Pour exister à ce niveau, il suffit pas d'être costaud mais savoir prendre le bon intervalle. Il sait, et il a en plus la qualité technique de l'école néo-zélandaise. »

Libéré par les recrues

Le capitaine girondin, dixième saison en France avec une rare régularité (lire ci-contre), dit avoir évolué : « à Montauban, c'était la guerre en permanence, j'étais uniquement dans le défi physique. J'ai gardé cela ici, mais en étant plus porté sur l'offensive. » Ce n'est pas un hasard si son retour en forme la saison dernière a correspondu au jeu retrouvé de son équipe (et vice-versa).

Et ce n'est pas un hasard non plus si l'émergence de Taiasina Tuifua, premier concurrent à venir le titiller - mais aussi le soulager sur les 80 minutes - lui permet de ressortir du lot. « Avec Aliki (Fakaté) et Jandre (Marais), on a aussi deux joueurs qui portent plus le ballon : ils me soulagent dans l'avancée. C'est pareil quand je suis à côté de Tai qui ouvre des espaces. Et avant, quand je rentrais, j'étais en mode panique avec une seule chose en tête : sortir le ballon. Maintenant, j'y avais en sachant qu'on va faire quelque chose derrière » ajoute le Néo-Zélandais, qui retrouve ce soir (18 h 30) à Montpellier le centre de la troisième ligne après trois titularisations en flanker.

« J'aime bien jouer 8 car être en troisième rideau me permet de mieux étudier le jeu. Mais si on y perd en lucidité, me retrouver près des points de contact m'a fait du bien. » La faim retrouvée. « J'ai mis une clause Brennus dans mon contrat, s'amuse-t-il. Et si jamais en 2016, je sens qu'on n'en est pas loin… »

(1) 5,6 défis ; 10,5 soutiens, 7,1 placages (84 % réussis) en moyenne cette saison. (2) Parmi les numéros 8 jouant régulièrement, seuls le Perpignanais Luke Narraway et le Clermontois Damien Chouly sont plus légers que ses 103 kg (données LNR).

**sudiste** Sam 8 Fév 2014 - 23:48

http://www.sudouest.fr/2014/02/06/top-14-et-pro-d2-matthew-clarkin-et-kevin-gourdon-meilleurs-joueurs-de-janvier-1453891-5189.php

Et disons qu'il n'a pas trop mal commencé févier non plus :chambreur:

**patrick** Mer 12 Fév 2014 - 19:28

Midol : Matthew nous parle technique ... et esprit de l'Union :chambreur:

**hurluberlu** Mar 7 Oct 2014 - 16:50

http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2014-2015/robins-tchale-watchou-elu-president-de-provale_sto4429453/story.shtml

"Le nouveau comité directeur est composé de 12 membres: Antoine Battut (premier vice-président), Pierre Rabadan (trésorier), Gaëlle Mignot (trésorière adjointe), Safi N’Diaye (sécrétaire générale), Matthew Clarkin (secrétaire générale adjoint), Olivier Caisso, Laurent Baluc Rittener, Julien Candelon, Tom Ecochard, Alexandre Ricaud, David Attoub. "

"Oh mon Dieu, Georgette ! Ces odieux syndicalistes sanguinaires avec leur couteau entre les dents et leurs yeux injectés de sang à coups de vodka et de haine de classe sont à nos portes !
Et on a même plus assez de beluga blanc iranien pour tenir trois jours !"
:chambreur:

**sudiste** Mar 25 Nov 2014 - 22:44

http://www.20minutes.fr/bordeaux/1487923-20141125-bordeaux-tout-savoir-matthew-clarkin-capitaine-union-bordeaux-begles

**patrick** Jeu 8 Jan 2015 - 19:10

SO :

UBB : Clarkin, la voix des joueurs étrangers

nicolas le gardien
Le capitaine de l’Union Bordeaux-Bègles a intégré le syndicat des joueurs pour défendre les intérêts des joueurs non-Jiff. Il explique sa position et l'objectif de la nouvelle équipe de peser plus

Ce n'est pas une grande gueule, mais une voix qu'on écoute. Matthew Clarkin est le capitaine de l'Union Bordeaux-Bègles après avoir été celui de Montauban. Il a disputé 23 matches de Coupe d'Europe, 154 de Top 14, plus de 80 en Pro D2 et a vu évoluer le rugby français en même temps que lui évoluait. Le Néo-Zélandais, arrivé en France à 22 ans - il en a 33 -, est avec son nouveau président, le Camerounais Robins Tchale-Watchou, le premier non-Jiff (1) à entrer au bureau de Provale. Élu secrétaire général adjoint du syndicat des joueurs professionnels, il explique son implication.

« Sud Ouest ». Pourquoi avoir décidé d'intégrer Provale ?
« Jamais eu de soupçons »

Matthew Clarkin a suivi le débat né des accusations portées par Laurent Bénézech.

« Cette histoire m’a choqué, répond-il. Avec 12 ans de rugby en France, je n’ai jamais vu un incident dans les vestiaires, ou croisé un coéquipier que je soupçonnais. On est contrôlé au moins quatre fois par an. Peut-être que je suis naïf… Le seul incident que j’ai connu, lorsque j’étais à Montauban, c’est Yogane Correa, avec Albi (contrôlé positif et finalement blanchi, en 2009), qui avait commandé un produit aux États-Unis et peut-être mal compris sa constitution. »

Et de poursuivre, concernant l’utilisation des compléments alimentaires. « On est mieux éduqué par rapport à ce qui est autorisé. On ne peut pas recevoir un produit sans certificat de conformité, contrôle du staff médical. On se protège au maximum. »

Matthew Clarkin. Je râlais depuis quelques années auprès du syndicat. J'avais arrêté d'adhérer car je trouvais qu'il ne travaillait pas forcément dans mes intérêts, c'est-à-dire ceux des joueurs non-Jiff. Robins Tchale-Watchou m'a contacté pour me dire qu'au lieu de râler, on pouvait essayer de trouver des solutions. Je l'avais croisé souvent sur le terrain, mais on ne se connaissait pas. Il trouvait qu'il y avait un manque de joueurs étrangers à Provale alors que sur le terrain, nous sommes nombreux. Bon, j'espère qu'il ne m'a pas choisi juste parce que je suis un étranger (sourire).

Vous vivez à Bordeaux comme Serge Simon, l'ancien président. Vous en aviez parlé avec lui ?

Oui. Il y a un an, nous avions mangé ensemble car j'étais en colère contre la position prise par Provale concernant le règlement sur les non-Jiff. Il m'a expliqué que, comme il y avait peu de joueurs étrangers à adhérer, on était un peu oubliés au moment de voter ou valider certaines décisions. Et tant qu'il n'y avait pas de porte-parole, ça n'évoluerait pas. Il avait raison. Seul à râler, je ne pouvais rien faire. Et je reconnais aussi qu'avec Serge, Provale a fait beaucoup d'efforts sur la reconversion, le soutien des blessés ou des joueurs en difficulté.

Vous sentiez qu'il y avait une demande ?

On est tous touché ou gêné par la problématique. Mais ce n'est pas dans notre culture de l'ouvrir. On est loin de chez nous, certains ne parlent pas bien français alors on s'occupe d'abord de nous. Moi, je n'ai plus beaucoup d'années de joueur devant moi, et je veux penser à ceux qui ont la chance de suivre le même parcours. Qu'ils soient mieux protégés.

Que reprochez-vous à la réglementation des Jiff ?

Je comprends pourquoi elle a été mise en place : on a tous intérêt à ce que l'équipe de France soit la plus forte possible. Tout le monde a son avis sur les raisons des mauvais résultats, moi le premier. On a pointé du doigt les étrangers. Ce n'est pas nous qui avons décidé de nous faire venir en masse il y a dix ans. On est venu car c'était une belle expérience, on a des familles à faire vivre aussi. Aujourd'hui, les dirigeants se disent que c'était une connerie, c'est à nous d'en payer les conséquences. Pour certains qui, comme moi, sont là depuis 12 ans, ça peut devenir difficile de trouver un contrat. La première chose regardée, c'est si tu es Jiff ou pas.

Le but est de protéger le temps de jeu des jeunes Français…

La loi actuelle n'a fait que déplacer le problème ! Je ne vois pas l'intérêt pour l'équipe nationale. Les étrangers arrivent plus tôt au centre de formation pour sortir Jiff. Deux ans plus tard, ils vont jouer pour les Fidji… Un autre exemple : la Pro D2 est selon moi la meilleure école ici. De plus en plus de joueurs français y ont moins de temps de jeu car des étrangers rejetés du Top 14 s'y retrouvent. Et l'effet domino se poursuit dans les divisions suivantes où on se trouve face à un autre problème pour les étrangers : dès qu'on sort du professionnalisme, il n'y a plus les mêmes garanties. Prendre en compte les sélectionnables serait déjà plus logique.

Vous en avez parlé à Paul Goze, président de la LNR, lors de l'Assemblée générale. Quelle a été sa réponse ?

J'ai l'impression qu'il danse autour du problème. Je comprends le fond : ils sont contraints par les réglementations européennes en droit du travail.

Que comptez-vous faire ?

Avec le comité directeur de Provale, on peut discuter, imaginer des solutions, tant qu'on n'a pas de pouvoir, ça ne sert à rien. Notre premier défi est de retrouver un sens collectif à Provale : c'est tous ensemble, ou pas du tout. Tant qu'il n'y a pas 100 % d'adhérents dans tous les clubs, on n'a pas assez de poids. Il y a peu, il n'y avait que six adhérents à Toulouse, par exemple.

Dans une interview au JDD, Serge Simon pointait qu'une majorité de joueurs n'osait pas, se sentant déjà bien loti…

J'étais pareil. On est dans un sport collectif mais les contrats se négocient individuellement. Tout le monde réfléchit pour lui-même. C'est normal. Mais pour être mieux protégé, soutenu, suivi, il faut des moyens. Tant que la Ligue ne veut pas reverser une part des revenus… Ses revenus, elle les tire des joueurs. On veut s'inspirer du système nord-américain où il y a la même relation, mais inversée. Je pense qu'on peut avoir une relation égale et saine : on partage les mêmes intérêts.

Quelles sont les autres priorités ?

La santé. La Ligue a fait beaucoup d'efforts avec le protocole commotion cérébrale. Il ne faut pas que cela s'arrête là. Il serait intéressant de faire des études sur l'évolution du nombre de blessures, leur nature, les causes, les conséquences sur les carrières.

Y a-t-il trop de matches ?

C'est compliqué. On pointe du doigt les étrangers, mais les internationaux jouent 35 matchs par saison contre 25 dans les autres pays. Des choses se mettent en place, à l'image de la liste des joueurs protégés. Dans la configuration actuelle, ça a des effets pervers : si 30 mecs jouent moins, les autres doivent compenser…

Avoir vécu les soucis financiers et la liquidation judiciaire à Montauban en 2009 a joué aussi dans votre engagement ?

Oui. Pendant une période très difficile, quand on entend des choses du club, de son agent, de son voisin. Provale est la seule voie que j'ai trouvée qui ne travaillait que pour l'intérêt des joueurs. C'est un outil génial. Notre cadre rêvé, c'est qu'il soit là pour aider le joueur durant tout son cursus. Mais il faut des moyens.

(1) Le dispositif des Jiff, acronyme de « joueurs issus des filières de formation », a pour but de limiter le nombre de joueurs non formés en France (non-Jiff) dans les clubs pros, afin d'assurer le plus large réservoir possible au XV de France.

« La loi actuelle ne fait que déplacer le problème »

Vince33 Ven 9 Jan 2015 - 7:44

Excellente interview, avec des passages très justes sur Goze, les jiffs, la santé des joueurs, la dérive individualiste liée à la négociation des contrats, le manque de cohérence du discours des instances. :clap:

Nous avons un capitaine intelligent.

DODO974 Ven 9 Jan 2015 - 11:25

ce qui est dingue dans cette regle , c'est que des Français , parce qu'ils n'ont pas commencés au rugby , ne sont pas jiffs , et donc pénalisent leurs clubs ; comme FAKATE entre autres

Cavenagoal Jeu 3 Mar 2016 - 8:36

Le Sur l équipe papier du jour : "Matthew clarkin dit stop".

**patrick** Jeu 3 Mar 2016 - 12:01

L'Equipe :

Matthew Clarkin - Page 2 Sans_t19

**le radis** Jeu 3 Mar 2016 - 12:06

Si Adams et lui pouvaient intégrer le club... :clap:

**hurluberlu** Jeu 3 Mar 2016 - 15:45

le radis a écrit:Si Adams et lui pouvaient intégrer le club...

+1

On fait une pétition ? yesbx

Gahet Jeu 3 Mar 2016 - 15:56

mon jambon star a écrit:
le radis a écrit:Si Adams et lui pouvaient intégrer le club...

+1

On fait une pétition ?

Et après on fait la Fête comme Dimanche

Matthew Clarkin - Page 2 Captur10

**le radis** Jeu 3 Mar 2016 - 16:54

SUD OUEST Publié le 03/03/2016 . par Yoan Leshauriès

"Avec l'arrêt de Matthew Clarkin, on va perdre un grand bonhomme", juge le président de l'UBB Laurent Marti

Comme il l'avait laissé entendre à "Sud Ouest" le 11 février, Matthew Clarkin, le capitaine de l'Union Bordeaux-Bègles, a confirmé à nos confrères de « L'Equipe » qu'il mettrait un terme à sa carrière à la fin de la saison. "Ma décision est prise à 99%, j'arrête à la fin de la saison. J'ai prévenu mes dirigeants, c'est le moment de dire stop", déclare le troisième ligne néo-zélandais de 34 ans.

"On va perdre un grand bonhomme, un grand capitaine et un grand joueur, a réagi Laurent Marti, le président de l'UBB. Avec Heini (Adams), Matthew fait partie des types qui ont toujours éclairé notre jeu sans qu'on s'en rende forcément compte. Quand il touche un ballon, il y a forcément une avancée ou un décalage. Il y a de la qualité derrière avec des joueurs comme Loann Goujon et Marco Tauleigne. Il faudra qu'ils aient Matthew comme modèle".

Arrivé en Gironde en 2010 en provenance de Montauban (2005-2010), Matthew Clarkin aura été une figure historique de l'UBB et un homme fort de la montée en Top 14. Il prendra une année sabbatique avant de se diriger probablement vers une carrière de manager, entraîneur ou directeur sportif. "Vu son intelligence de jeu, il a une carrière à faire", juge Laurent Marti. Du côté de l'UBB ? "Pour l'instant on a Raphaël Ibanez qui a resigné 3 ans et nous en sommes très contents. Matthew ira faire ses preuves ailleurs et on verra bien après comment tout évoluera".

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