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Un (vrai) Moga, un !
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Un (vrai) Moga, un !
http://www.sudouest.fr/2011/04/27/alban-moga-le-trait-d-union-381695-773.php
27 avril 2011 06h00 | Par NICOLAS LE GARDIEN
Alban Moga, le trait d'union
Aujourd'hui responsable partenariats de l'Union, il se bat pour le retour au plus haut niveau du rugby bordelais.
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Alban Moga (à droite) lors de la conférence de presse à la Chambre de Commerce et d'Industries de Bordeaux, le 2 mars 2010. PHOTO ÉRIC DESPUJOLS
A Musard, il connaît tout le monde. Et dans le cas contraire, ce sont les nouveaux venus le connaissent. Normal, quand on y a vécu toute sa vie. Samedi, Alban Moga, l'un des artisans de l'organisation de la fête du titre béglais (lire ci-contre), en marge du décisif Union Bordeaux-Bègles - Tarbes, va (en même temps que beaucoup d'autres) rajeunir de 20 ans. « 1991 ? J'avais essayé de mettre en place avec un autre dirigeant une commission de partenariats. Évidemment, sans comparaison avec ce qui peut exister maintenant, les chiffres étant alors très différents ». Hasard (enfin, pas tant que ça) de l'histoire, c'est justement dans les habits de responsable partenariats de l'Union qu'il va souffler avec les présents les bougies. « Je ne suis pas chargé du démarchage mais du relationnel, d'entretenir le réseau et, bien sûr, d'aider à le développer ».
Alban Moga fait partie des rares acteurs - dirigeant, en ce qui le concerne - de l'aventure de 1991 aujourd'hui dans l'organigramme du club professionnel bordelais. Il est aussi le dernier de la fratrie qui a tenu le CABBG sur ses épaules - et longtemps son portefeuille -, à la suite du décès de leur père André (en 1992) à y garder un rôle prépondérant au quotidien. Soutien affirmé, Michel, coprésident de l'association UBB (chargée notamment du centre de formation) et actionnaire de la SASP, est toutefois un peu plus en retrait après avoir été l'un des moteurs du rapprochement avec le Stade Bordelais, se consacrant à son activité professionnelle (architecte). Spectateur fidèle des matches, Alain s'est lui complètement retiré. Mais le « benjamin » des trois perpétue l'investissement de la famille incontournable dans le rugby de haut niveau local depuis un demi-siècle. « De la lassitude, j'en ai eue. Et il y a des choses qui ne me manquent pas : la gestion de tous les jours, les agents, les contrats de joueurs… Mais on a envie de faire perdurer les valeurs, de continuer à se battre pour elles, d'entretenir la formation (1). Et on veut soutenir Laurent Marti, un président qui s'investit énormément et qu'il faut tout faire pour aider et garder pour emmener le club en Top 14 ».
Engouement populaire
Avec l'espoir de revivre des émotions semblables à celles de 1991 ? « Forcément », répond-il. « Un moment exceptionnel » qu'il classe au deuxième rang des bons souvenirs de son engagement. « Le meilleur c'est notre premier match de Coupe d'Europe, ici, contre Cardiff à l'automne 2005, devant 9 000 spectateurs, alors qu'en même temps se déroulait un Bordeaux - Séville avec Zidane et Lizarazu ». Le Bouclier de Brennus, alors : « C'est la récompense de l'action de mon père (2) qui s'est battu pour y arriver et qui avait pu compter sur le soutien actif de Jacques Chaban-Delmas (NDLR : alors maire de Bordeaux et ami de la famille) qui lui avait donné les moyens pour réussir ».
Ce qu'il retient : « L'engouement populaire que cela a créé, le mur blanc et bleu, les 15 jours de folie qui ont suivi. C'était une époque où le rugby n'avait pas la même aura que maintenant, et je crois que c'est le premier titre qui a été autant médiatisé : par la personnalité des joueurs, par la fameuse tortue. Paradoxalement, les affluences durant la saison étaient semblables à celles d'aujourd'hui en Pro D2, c'est lors de la phase finale et de la saison d'après que ça s'est envolé. C'est ce qui nous fait dire aujourd'hui que les gens aiment le rugby à Bordeaux et qu'il y a un gros potentiel ».
« Ce n'est pas simple »
Le discours du passé ramène toujours un peu au présent et le fond de son combat reste, lui, toujours le même : réussir à mobiliser le partenariat privé, qui n'a à ce jour pas augmenté depuis la « crise » de la saison passée malgré les résultats. « À notre époque, même si nous avons commis des erreurs, nous ne sommes pas arrivés à réunir les moyens ; le Stade Bordelais, de son côté, s'est rendu compte aussi que ce serait difficile ; maintenant que l'on est ensemble, ça reste compliqué : ça veut dire quelque chose. Dans la région bordelaise, il y a beaucoup de PME mais les gros groupes ont leur siège à Paris. Le milieu du vin n'est, à de rares exceptions, pas intéressé par le sport. Il n'y a pas l'interventionnisme politique de certaines villes. Tout cela fait que ce n'est pas simple. Que seraient les Girondins sans M6 ? On a besoin de sponsors nationaux, mais c'est le Top 14 qui les intéresse ».
Artisan également de la création de l'Union, il se veut en tout cas rassembleur. « Aujourd'hui, on travaille ensemble, qu'on vienne à l'origine de Bègles ou du Stade Bordelais. On regrette que certains se soient sentis exclus lorsque le président choisi de jouer tous les matches à Bègles. Ce qu'on veut réussir, est que, par exemple, le gars de Lormont continue à suivre son club, mais, lorsqu'il s'agit de haut niveau, vienne voir et soit derrière l'Union ».
(1) Les deux équipes cadets et les deux équipes juniors du CABBG sont qualifiées pour les phases finales. (2) André Moga, président du rugby béglais de 1958 jusqu'à son décès en 1992.
Pro D2 · rugby · Union Bordeaux-Bègles · Top14
c'est comme ça qu'on aime le Moga.
27 avril 2011 06h00 | Par NICOLAS LE GARDIEN
Alban Moga, le trait d'union
Aujourd'hui responsable partenariats de l'Union, il se bat pour le retour au plus haut niveau du rugby bordelais.
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Alban Moga (à droite) lors de la conférence de presse à la Chambre de Commerce et d'Industries de Bordeaux, le 2 mars 2010. PHOTO ÉRIC DESPUJOLS
A Musard, il connaît tout le monde. Et dans le cas contraire, ce sont les nouveaux venus le connaissent. Normal, quand on y a vécu toute sa vie. Samedi, Alban Moga, l'un des artisans de l'organisation de la fête du titre béglais (lire ci-contre), en marge du décisif Union Bordeaux-Bègles - Tarbes, va (en même temps que beaucoup d'autres) rajeunir de 20 ans. « 1991 ? J'avais essayé de mettre en place avec un autre dirigeant une commission de partenariats. Évidemment, sans comparaison avec ce qui peut exister maintenant, les chiffres étant alors très différents ». Hasard (enfin, pas tant que ça) de l'histoire, c'est justement dans les habits de responsable partenariats de l'Union qu'il va souffler avec les présents les bougies. « Je ne suis pas chargé du démarchage mais du relationnel, d'entretenir le réseau et, bien sûr, d'aider à le développer ».
Alban Moga fait partie des rares acteurs - dirigeant, en ce qui le concerne - de l'aventure de 1991 aujourd'hui dans l'organigramme du club professionnel bordelais. Il est aussi le dernier de la fratrie qui a tenu le CABBG sur ses épaules - et longtemps son portefeuille -, à la suite du décès de leur père André (en 1992) à y garder un rôle prépondérant au quotidien. Soutien affirmé, Michel, coprésident de l'association UBB (chargée notamment du centre de formation) et actionnaire de la SASP, est toutefois un peu plus en retrait après avoir été l'un des moteurs du rapprochement avec le Stade Bordelais, se consacrant à son activité professionnelle (architecte). Spectateur fidèle des matches, Alain s'est lui complètement retiré. Mais le « benjamin » des trois perpétue l'investissement de la famille incontournable dans le rugby de haut niveau local depuis un demi-siècle. « De la lassitude, j'en ai eue. Et il y a des choses qui ne me manquent pas : la gestion de tous les jours, les agents, les contrats de joueurs… Mais on a envie de faire perdurer les valeurs, de continuer à se battre pour elles, d'entretenir la formation (1). Et on veut soutenir Laurent Marti, un président qui s'investit énormément et qu'il faut tout faire pour aider et garder pour emmener le club en Top 14 ».
Engouement populaire
Avec l'espoir de revivre des émotions semblables à celles de 1991 ? « Forcément », répond-il. « Un moment exceptionnel » qu'il classe au deuxième rang des bons souvenirs de son engagement. « Le meilleur c'est notre premier match de Coupe d'Europe, ici, contre Cardiff à l'automne 2005, devant 9 000 spectateurs, alors qu'en même temps se déroulait un Bordeaux - Séville avec Zidane et Lizarazu ». Le Bouclier de Brennus, alors : « C'est la récompense de l'action de mon père (2) qui s'est battu pour y arriver et qui avait pu compter sur le soutien actif de Jacques Chaban-Delmas (NDLR : alors maire de Bordeaux et ami de la famille) qui lui avait donné les moyens pour réussir ».
Ce qu'il retient : « L'engouement populaire que cela a créé, le mur blanc et bleu, les 15 jours de folie qui ont suivi. C'était une époque où le rugby n'avait pas la même aura que maintenant, et je crois que c'est le premier titre qui a été autant médiatisé : par la personnalité des joueurs, par la fameuse tortue. Paradoxalement, les affluences durant la saison étaient semblables à celles d'aujourd'hui en Pro D2, c'est lors de la phase finale et de la saison d'après que ça s'est envolé. C'est ce qui nous fait dire aujourd'hui que les gens aiment le rugby à Bordeaux et qu'il y a un gros potentiel ».
« Ce n'est pas simple »
Le discours du passé ramène toujours un peu au présent et le fond de son combat reste, lui, toujours le même : réussir à mobiliser le partenariat privé, qui n'a à ce jour pas augmenté depuis la « crise » de la saison passée malgré les résultats. « À notre époque, même si nous avons commis des erreurs, nous ne sommes pas arrivés à réunir les moyens ; le Stade Bordelais, de son côté, s'est rendu compte aussi que ce serait difficile ; maintenant que l'on est ensemble, ça reste compliqué : ça veut dire quelque chose. Dans la région bordelaise, il y a beaucoup de PME mais les gros groupes ont leur siège à Paris. Le milieu du vin n'est, à de rares exceptions, pas intéressé par le sport. Il n'y a pas l'interventionnisme politique de certaines villes. Tout cela fait que ce n'est pas simple. Que seraient les Girondins sans M6 ? On a besoin de sponsors nationaux, mais c'est le Top 14 qui les intéresse ».
Artisan également de la création de l'Union, il se veut en tout cas rassembleur. « Aujourd'hui, on travaille ensemble, qu'on vienne à l'origine de Bègles ou du Stade Bordelais. On regrette que certains se soient sentis exclus lorsque le président choisi de jouer tous les matches à Bègles. Ce qu'on veut réussir, est que, par exemple, le gars de Lormont continue à suivre son club, mais, lorsqu'il s'agit de haut niveau, vienne voir et soit derrière l'Union ».
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