Louis-Benoît Madaule

Titulaire chez lui à Narbonne à 19 ans en Pro D2, capitaine à 21, le troisième ligne accepte de repasser par l'ombre pour découvrir l'élite. Et s'y imposer ?.


Louis-Benoît Madaule va connaître sa troisième titularisation de la saison en Top 14. (photo claude petit)

«Il n'y a pas eu beaucoup à me forcer la main. J'avais envie de découvrir l'élite. Et on s'était mis d'accord avec mon président (Joël Carrère, NDLR) pour que, si l'opportunité se présentait, je puisse la saisir. » Elle est arrivée début juin dernier. L'Union Bordeaux-Bègles venait d'obtenir son billet pour le Top 14 et le club girondin, à la recherche d'un troisième ligne, a porté son dévolue sur le Narbonnais, connu par Marc Delpoux depuis ses débuts sur les terrains ou presque. Louis-Benoît Madaule, 22 ans à l'époque, mais déjà une expérience rare à cet âge : 73 matchs de Pro D2 en quatre saisons. « Le genre de jeune talent que l'on ne peut attirer qu'en étant dans l'élite », présentait le manager girondin. En 2010, le Stade Toulousain l'avait d'ailleurs approché avant de préférer Sylvain Nicolas (Bourgoin). « C'est quelqu'un de complet, capable de faire le lien avant trois quarts, de sauter en touche, qui gratte, plaque beaucoup », poursuit aujourd'hui le technicien.

« Ne pas être pressé »

Sept mois plus tard, Louis-Benoît Madaule sera titularisé, demain à Toulon, pour la neuvième fois de la saison. La troisième en Top 14 - il devait l'être aussi à Toulouse mais s'était blessé juste avant. Peu ? « Il ne faut pas être trop pressé, dit Marc Delpoux. C'est déjà conséquent à son âge et à ce poste en Top 14 où il y a une rude concurrence. Il vit une année d'apprentissage du niveau. Et il a déjà fait de gros progrès. » « Avoir du temps de jeu est ce pourquoi on travaille, répond l'intéressé. Mais je savais que j'avais du boulot. Je voulais justement aller en Top 14 pour toucher du doigt les éléments nécessaires pour réussir à s'y imposer. »

Sans regret donc, d'avoir fait le grand saut depuis l'Aude. 400 km mais surtout toute une vie. « À un moment donné, cela fait partie de la progression », poursuit l'ancien international jeunes. « Quand il est parti, j'ai été déçu pour le Racing car le club avait besoin de lui, pointe Henri Ferrero, qui l'a entraîné durant trois ans. Mais c'est dans la logique. J'ai toujours dit à mes jeunes que, quand on est prêt, il est toujours bénéfique de se frotter au niveau au-dessus. »

Et si son départ a laissé des regrets, à Narbonne, on soutient d'abord l'enfant du pays. Qui n'est pas n'importe qui. Son arrière-grand-père a été maire ; son grand-père (joueur au Racing) directeur de la caisse d'épargne régionale ; son père, à la tête du groupe d'électricité familial devenu national, est désormais président du conseil de surveillance du RCNM. Et lui, débutant sur les terrains à 8 ans, a franchi toutes les étapes au club. Atteignant la finale du championnat de France Reichel, intégrant le centre de formation, explosant en bleu aux côtés des Bastareaud, Lakafia, Jaulhac ou Chollon lors d'une Coupe du monde moins de 20 ans, terminée en demi-finale face à l'Australie de… Blair Connor. Et surtout débutant en Pro D2 à 19 ans et se voyant confier le brassard à 21.

Responsabilités

« En 2008-2009, il a fallu reconstruire avec les jeunes, raconte Henri Ferrero. Et ils sont assumés pour maintenir le club. Lui se mettait en valeur à chaque match. Il est intelligent, lit le jeu très vite, est sérieux sur comme en dehors du terrain. Ça nous a semblé naturel d'en faire un capitaine. Ce n'était pas un cadeau vu son âge : au début, il s'est un peu dispersé. On lui a proposé de le soulager du brassard. Mais il a tenu à le garder et il s'est affirmé. » Demain à Mayol, c'est aussi lui qui fera les annonces de l'UBB en touche. « Je ne cherche pas les responsabilités, c'est venu par les coachs, petit à petit », reprend le jeune homme, « calme et parlant à bon escient » (Henri Ferrero).

Redevenu simple soldat et presque anonyme à Bordeaux, il n'en prend pas ombrage. « J'ai été super bien accueilli par un groupe qui était sur la lancée de la montée. Il y a beaucoup de joueurs d'expérience, de très haut niveau et ça fait progresser au quotidien. » Sur le terrain, ce flanker « qui ne rate jamais un intervalle » (Ferrero) et « sait faire le geste juste et à grande vitesse » (Jean-François Beltran, ex-entraîneur narbaonnais) a dû « s'adapter défensivement », glisse Marc Delpoux. « Il a toujours été le plus gros plaqueur dans les statistiques. Mais il était un électron libre. Je n'étais pas satisfait de son placement. » « La grosse différence avec la Pro D2 est la vitesse de sortie de balles, le rythme », pointe Louis-Benoît Madaule, qui dit aussi « avoir beaucoup travaillé la touche. »

Saisir sa chance

« Il va prendre de l'expérience, de la densité physique. Il a les qualités pour devenir un troisième ligne important dans un projet de Top 14, pointe le manager bordelais, élogieux sur son compatriote après le match aux Wasps. Un exemple qu'il doit suivre, c'est Hugh Chalmers. La saison dernière, comme celle-ci, il ne partait pas en tête à son poste mais a su grappiller beaucoup de temps de jeu. » Henri Ferrero, lui, est convaincu que « après avoir digéré le changement de niveau, de méthode, de jeu, il va postuler pour être titulaire la saison prochaine. Même si Marc (Delpoux) s'en va. » « C'est en enchaînant les matchs et en faisant de bonnes prestations que je gagnerai ma place », répond seulement le jeune homme. Dès demain.

http://www.sudouest.fr/2012/02/10/madaule-redevenu-soldat-629580-773.php

http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2012-2013/top-revelations-2013-louis-benoit-madaule-la-bonne-surprise_sto3823269/story.shtml?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

1 seul article sur le forum avant d'être mis en avant par RR
 LBM pour cette belle évolution ... même si Gautier Gibouin a du peu apprécier  

http://www.lindependant.fr/2013/07/30/le-rugbyman-louis-benoit-madaule-sauve-un-un-homme-de-la-noyade-a-narbonne-plage,1779436.php

Bravo Louis-Benoît !

      

école de rugby , école de la vie

Voila encore une action qui est à porter au crédit de Louis Benoit, sans y toucher dans la vie comme sur le terrain il conduit une vie d'Homme irréprochable.
Discrétion, courage,intelligence dans le jeu sont les marques de fabrique de ce jeune Audois expatrié en Gironde ( et ça il fallait le faire compte tenu à la part familiale dans le Rugby d_u midi),il est pour moi le joueur qui a le plus évolué depuis son intégration à l'Union.
Dans le style d'un Purll, infatigable, joueur à grand rayon d'action et se situe sur le terrain là ou il convient d'être le plus profitable pour le groupe.
De la ligné des Monribot,il donne tort à tout les gourous qui prétendent qu'un que le poste ne peut âtre tenu avec des mensurations d'aussi peut d'envergure.
Le gars me plait bien et je me souvient de Marc Delpoux qui l'englobait avec d'autres dans le jugement humain suivant " ils pourraient tous faire de très bons gendres", ce qui du côté du pays de Trenet est une référence.    

Effectivement, Trenet appréciait bp les gendres.  

le radis a écrit:Effectivement, Trenet appréciait bp les gendres.  

Alors là celle-là....  

Autrement pour Louis-Benoit   

Midol :



SO :

Avant Union Bordeaux-Bègles - Castres : Madaule, le patron de la touche

Yoan Leshauriès
Arrivé de Narbonne (Pro D2) en 2011, le troisième ligne aile Louis-Benoît Madaule fait aujourd’hui partie des cadres de l’UBB et dirige l’alignement. Il aura fort à faire face au CO samedi (14h35)


Ici entouré de Matthew Clarkin et Bertrand Guiry, Louis-Benoît Madaule est chargé d’annoncer les combinaisons de l’UBB en touche. © Photo thierry david

Il ne fuit pas les responsabilités, on peut même dire qu'il les apprécie. À 21 ans, il était déjà capitaine de Narbonne en Pro D2. Arrivé sur la pointe des pieds à l'Union Bordeaux-Bègles en 2011, Louis-Benoît Madaule (26 ans) s'est depuis installé comme un des cadres du club girondin (7 matchs dont 6 titulaire cette saison, 22 matchs dont 22 titulaire la précédente) où il a le statut de vice-capitaine. Grand travailleur de l'ombre, le troisième ligne est le patron de l'alignement de l'UBB. Un secteur qu'il affectionne. Décryptage.

« Sud Ouest ». Trois ans après votre arrivée à l'UBB, vous êtes aujourd'hui solidement installé en Top 14. Cela a-t-il été difficile ?

Louis-Benoît Madaule. J'ai eu du mal la première année où je n'ai joué que 10 matchs. La transition Pro D2-Top 14 a été difficile sur pas mal de points clés : le physique, les impacts, les phases de rucks. J'enchaînais les matchs de Pro D2 en étant capitaine à Narbonne et je me suis retrouvé sur le bord du terrain à regarder mes coéquipiers jouer. Il y a eu des moments compliqués mais j'ai travaillé, je me suis remis en question. C'est ce que je fais aujourd'hui encore. Il ne faut jamais se dire que l'on est installé.

Vous faites pourtant partie des cadres de l'UBB où vous êtes le patron de la touche…

Je me suis adapté aux systèmes de jeu que j'apprécie. Quand on a une bonne conquête, il y a des mouvements intéressants. C'est une phase de jeu où j'ai beaucoup appris et dans laquelle je m'implique au maximum. Je fais les annonces en touche, j'analyse l'adversaire… J'adore cette communion qu'il peut y avoir dans ce pack de huit joueurs et trouver les mots pour faire en sorte que l'on parte tous ensemble au combat et qu'on se surpasse. Matthew (Clarkin) m'a beaucoup appris dans ce domaine ces deux dernières années car c'est un meneur d'hommes exceptionnel. J'essaie de m'en inspirer mais dans l'ombre… Ça me va très bien.

Comment vous répartissez-vous les rôles ?

Des groupes de touche sont constitués durant la semaine. Derrière, on prend des décisions collectives avec le coach (Régis Sonnes) qui a le dernier mot. Moi, j'ai la responsabilité d'annoncer les combinaisons sur le terrain. Là, elle va être mise à rude épreuve puique Castres possède un des meilleurs alignements (lire ci-dessous).

« Tonga », « Fonfon »… C'est vous qui donnez ces noms surprenants aux combinaisons ?

Non (rires)… Ça vient au fur et à mesure, en fonction des expériences personnelles, ça peut être par rapport aux naissances par exemple. Quand je suis arrivé à l'UBB, il y avait déjà pas mal de noms. Dans ce domaine, chacun amène son empreinte. L'important est que tous les joueurs connaissent le lexique de la touche. Après, c'est vrai que ces noms peuvent amener des situations assez cocasses mais c'est ce qu'ils sont censés amener sur le terrain qui est surtout intéressant.

Tenir un discours aux séances d'entraînements, ça se travaille ?

Non, ça vient naturellement. Je mets un point d'honneur à ce que tout le monde reçoive et comprenne l'information que l'on veut faire passer. Dans une équipe, si quelqu'un est mis sur le bord, généralement, ça se retrouve ensuite sur le terrain et les résultats peuvent en pâtir. Sur la touche, les informations à partager sont hyper précises, il y a beaucoup de détails… À la fin de chaque séance, c'est bien de faire un petit point de rappel auprès de tous les membres du groupe.

La touche n'est-elle pas devenue la phase de conquête la plus importante ?

Ça fait partie des moments clés qui permettent de lancer le jeu. On l'a vu contre Clermont, on a fait 100 % de réussite dans ce secteur. Ça nous a permis d'avancer sur les groupés pénétrants, on a fait une sortie terrain sur une touche à 5 mètres où on a obtenu une pénalité pour remettre la pression sur l'adversaire. La touche doit être notre force. Mais c'est toujours pareil, quand on parle trop de la touche pendant la semaine, en général, ça ne se passe pas bien sur le match suivant. Alors il faudra être vigilant face à Castres.

patrick a écrit:Midol :



SO :

Avant Union Bordeaux-Bègles - Castres : Madaule, le patron de la touche

Yoan Leshauriès
Arrivé de Narbonne (Pro D2) en 2011, le troisième ligne aile Louis-Benoît Madaule fait aujourd’hui partie des cadres de l’UBB et dirige l’alignement. Il aura fort à faire face au CO samedi (14h35)


Ici entouré de Matthew Clarkin et Bertrand Guiry, Louis-Benoît Madaule est chargé d’annoncer les combinaisons de l’UBB en touche. © Photo thierry david

Il ne fuit pas les responsabilités, on peut même dire qu'il les apprécie. À 21 ans, il était déjà capitaine de Narbonne en Pro D2. Arrivé sur la pointe des pieds à l'Union Bordeaux-Bègles en 2011, Louis-Benoît Madaule (26 ans) s'est depuis installé comme un des cadres du club girondin (7 matchs dont 6 titulaire cette saison, 22 matchs dont 22 titulaire la précédente) où il a le statut de vice-capitaine. Grand travailleur de l'ombre, le troisième ligne est le patron de l'alignement de l'UBB. Un secteur qu'il affectionne. Décryptage.

« Sud Ouest ». Trois ans après votre arrivée à l'UBB, vous êtes aujourd'hui solidement installé en Top 14. Cela a-t-il été difficile ?

Louis-Benoît Madaule. J'ai eu du mal la première année où je n'ai joué que 10 matchs. La transition Pro D2-Top 14 a été difficile sur pas mal de points clés : le physique, les impacts, les phases de rucks. J'enchaînais les matchs de Pro D2 en étant capitaine à Narbonne et je me suis retrouvé sur le bord du terrain à regarder mes coéquipiers jouer. Il y a eu des moments compliqués mais j'ai travaillé, je me suis remis en question. C'est ce que je fais aujourd'hui encore. Il ne faut jamais se dire que l'on est installé.

Vous faites pourtant partie des cadres de l'UBB où vous êtes le patron de la touche…

Je me suis adapté aux systèmes de jeu que j'apprécie. Quand on a une bonne conquête, il y a des mouvements intéressants. C'est une phase de jeu où j'ai beaucoup appris et dans laquelle je m'implique au maximum. Je fais les annonces en touche, j'analyse l'adversaire… J'adore cette communion qu'il peut y avoir dans ce pack de huit joueurs et trouver les mots pour faire en sorte que l'on parte tous ensemble au combat et qu'on se surpasse. Matthew (Clarkin) m'a beaucoup appris dans ce domaine ces deux dernières années car c'est un meneur d'hommes exceptionnel. J'essaie de m'en inspirer mais dans l'ombre… Ça me va très bien.

Comment vous répartissez-vous les rôles ?

Des groupes de touche sont constitués durant la semaine. Derrière, on prend des décisions collectives avec le coach (Régis Sonnes) qui a le dernier mot. Moi, j'ai la responsabilité d'annoncer les combinaisons sur le terrain. Là, elle va être mise à rude épreuve puique Castres possède un des meilleurs alignements (lire ci-dessous).

« Tonga », « Fonfon »… C'est vous qui donnez ces noms surprenants aux combinaisons ?

Non (rires)… Ça vient au fur et à mesure, en fonction des expériences personnelles, ça peut être par rapport aux naissances par exemple. Quand je suis arrivé à l'UBB, il y avait déjà pas mal de noms. Dans ce domaine, chacun amène son empreinte. L'important est que tous les joueurs connaissent le lexique de la touche. Après, c'est vrai que ces noms peuvent amener des situations assez cocasses mais c'est ce qu'ils sont censés amener sur le terrain qui est surtout intéressant.

Tenir un discours aux séances d'entraînements, ça se travaille ?

Non, ça vient naturellement. Je mets un point d'honneur à ce que tout le monde reçoive et comprenne l'information que l'on veut faire passer. Dans une équipe, si quelqu'un est mis sur le bord, généralement, ça se retrouve ensuite sur le terrain et les résultats peuvent en pâtir. Sur la touche, les informations à partager sont hyper précises, il y a beaucoup de détails… À la fin de chaque séance, c'est bien de faire un petit point de rappel auprès de tous les membres du groupe.

La touche n'est-elle pas devenue la phase de conquête la plus importante ?

Ça fait partie des moments clés qui permettent de lancer le jeu. On l'a vu contre Clermont, on a fait 100 % de réussite dans ce secteur. Ça nous a permis d'avancer sur les groupés pénétrants, on a fait une sortie terrain sur une touche à 5 mètres où on a obtenu une pénalité pour remettre la pression sur l'adversaire. La touche doit être notre force. Mais c'est toujours pareil, quand on parle trop de la touche pendant la semaine, en général, ça ne se passe pas bien sur le match suivant. Alors il faudra être vigilant face à Castres.

Ses nombreux détracteurs comprennent mieux pourquoi il est indispensable au jeux de l'UBB, madaule c'est comme un iceberg, les néophytes ne voient que la partie qui dépasse de l'eau, les connaisseurs reconnaissent la partie immergé!!! Le leadership ne se mesure pas a la sympathie avec les journalistes et supporter... Le leadership se gagne à la guerre...
Bravo LBM!!!

comme d'hab, BD la voix de la sagesse !! bravo les petits !

Black diamon a écrit:

Ses nombreux détracteurs ...

Tu dois sans doute connaître plein de gens qu'on ne connait pas...

sudiste a écrit:

Black diamon a écrit:

Ses nombreux détracteurs ...

Tu dois sans doute connaître plein de gens qu'on ne connait pas...

Arrêtes de faire le naïf.. Je ne vais pas passer ma soirée à rechercher les nombreux messages "anti Madaulle" de ce forum!

Black diamon a écrit:

sudiste a écrit:

Black diamon a écrit:

Ses nombreux détracteurs ...

Tu dois sans doute connaître plein de gens qu'on ne connait pas...

Arrêtes de faire le naïf.. Je ne vais pas passer ma soirée à rechercher les nombreux  messages "anti Madaulle" de ce forum!

Peut être existent-ils mais je m'en fous ...ce qui est pénible c'est ta façon de te comporter sans cesse comme le "justicier blanc" ... savoure l'instant présent bordel

sudiste a écrit:

Black diamon a écrit:

sudiste a écrit:

Black diamon a écrit:

Ses nombreux détracteurs ...

Tu dois sans doute connaître plein de gens qu'on ne connait pas...

Arrêtes de faire le naïf.. Je ne vais pas passer ma soirée à rechercher les nombreux  messages "anti Madaulle" de ce forum!

Peut être existent-ils mais je m'en fous ...ce qui est pénible c'est ta façon de te comporter sans cesse comme le "justicier blanc" ... savoure l'instant présent bordel

T'as raison c'est pénible mais c'est aussi tellement prévisible de sa part.........

Black diamon a écrit: Le leadership ne se mesure pas a la sympathie avec les journalistes et supporter... Le leadership se gagne à la guerre...
Bravo LBM!!!

Je constate que tu n'as toujours rien compris.... ou bien que tu ne veux rien comprendre!

Vive la mauvaise fois!!!

matbar33 a écrit:Vive la mauvaise fois!!!

C'est pour qui ?

Pat a écrit:

matbar33 a écrit:Vive la mauvaise fois!!!

C'est pour qui ?

Ben pour Black Diamon!

jebni a écrit:

Pat a écrit:

matbar33 a écrit:Vive la mauvaise fois!!!

C'est pour qui ?

Ben pour Black Diamon!

Il faut citer... ça évite les doutes !

jebni a écrit:

Pat a écrit:

matbar33 a écrit:Vive la mauvaise fois!!!

C'est pour qui ?

Ben pour Black Diamon!

https://www.allezunion.com/t1851p15-top-14-4eme-journee-toulon-ubb#60540

Tu disais quoi jebni?

Personne n'est le détracteur de LBM mais juste on se pose des questions sur le fait qu'il soit capitaine. A cause de qui ont prend 10M de plus pour contestation à Toulon alors qu'il est capitaine?

sudiste a écrit:

Black diamon a écrit:

sudiste a écrit:

Black diamon a écrit:

Ses nombreux détracteurs ...

Tu dois sans doute connaître plein de gens qu'on ne connait pas...

Arrêtes de faire le naïf.. Je ne vais pas passer ma soirée à rechercher les nombreux  messages "anti Madaulle" de ce forum!

Peut être existent-ils mais je m'en fous ...ce qui est pénible c'est ta façon de te comporter sans cesse comme le "justicier blanc" ... savoure l'instant présent bordel

Je ne suis pas le "justicier blanc"
Mais plutôt, https://www.dailymotion.com/video/x3rfi9_le-chevalier-blanc-gerard-lanvin-19_shortfilms

matbar33 a écrit:Personne n'est le détracteur de LBM mais juste ont se pose des question sur le fait qu'il soit capitaine .

Pour les personnes qui ne lui trouvaient pas les qualités requises, ces 2 articles les éclaires!
CQFD!

matbar33 a écrit:Personne n'est le détracteur de LBM mais juste ont se pose des question sur le fait qu'il soit capitaine . à cause de qui ont prend 10M de plus pour contestation à Toulon alors qu'il est capitaine?

Soignes ton orthographe " Mon jambon becherel star" n'aime pas les fautes!!!!