Raphaël Ibanez et le staff

Jour de match

SO :

UBB, XV de France, Ibanez veut garder "les nerfs solides »

nicolas le gardien
Sa situation par rapport à l’équipe de France, les rumeurs autour de son nom : le manager de l’UBB clarifie les choses, alors que son club n’a plus de joker pour la qualification.

« Sud Ouest. » Comment vivez-vous la situation actuelle ?

Raphaël Ibanez. C'est une période intéressante. Il y a l'aspect sportif qui occupe tout mon esprit : le comportement de l'équipe, le contenu d'entraînement, la dynamique à retrouver. Mais je ne peux pas rester indifférent aux rumeurs. L'équipe de France, c'est 10 ans de ma vie, elle est ancrée en moi. Mais je ne considère pas ça comme un poids. Je reste sur ma ligne de conduite : se concentrer sur ce qu'on peut maîtriser. On ne force pas le destin par ce jeu de petites phrases, des candidatures spontanées, du lobbying.

Quelle est votre position par rapport à l'équipe de France ?

Tous les managers du Top 14, voire même plus si vous étendez à l'étranger, espèrent un jour entraîner l'équipe de France. Depuis deux ans et demi que Laurent Marti m'a donné ma chance, j'en fais partie. Ni plus, ni moins.

Vous avez suivi tout le Tournoi pour France Télévisions. Vous avez croisé Pierre Camou et Serge Blanco ?

Oui. Rapidement. Chacun dans son rôle. Ce qui ne m'empêche pas de parler de rugby comme cela a été le cas avec Philippe Saint-André pour Stade 2 dimanche dernier.

Vous avez vraiment pu discuter avec eux sans aborder ce sujet ?

Mais oui ! Ça vous surprend peut-être mais c'est lié à ma personnalité : je ne vais pas chercher les gens. Je trace avec des préoccupations concrètes et aujourd'hui, c'est l'UBB. Le reste, c'est de l'agitation inutile. La déstabilisation autour, je la regrette mais il faut l'accepter. Je l'ai dit à Laurent (Marti, son président) dans notre échange à ce sujet. Il faut rester serein, avoir les nerfs solides.

Avez-vous un projet déjà en tête pour les Bleus ?

Quand, il y a trois ans, Laurent Marti m'a sollicité, j'étais loin d'imaginer l'énergie que le rôle de manager demandait, ce que je devrais apporter pour l'efficacité au sein de l'équipe. Je pense avoir la capacité à apprendre vite. Un projet, ce n'est pas une ou quelques idées, c'est savoir construire, savoir s'entourer. J'ai une idée du management, celle que j'applique à l'UBB.

Et sur un staff ?

Là, c'est aller encore plus loin. Réfléchir aux personnes qui pourraient porter le projet en cas de nomination, ce serait bâtir sur quelque chose qui n'existe pas à ce jour.

C'est dur de ne pas savoir où vous serez la saison prochaine ?

Jusqu'à preuve du contraire, je suis à l'UBB ! Aujourd'hui, l'intersaison est planifiée, j'ai eu mon mot à dire dans le recrutement, je suis au courant des évolutions nécessaires au développement du club. Je suis sous contrat jusqu'en 2016. J'y suis à fond. C'est du respect. Le danger, il est pour les joueurs, qu'ils soient dans une situation d'incertitude. Mais j'espère, et je crois, qu'ils pensent d'abord à eux, à ce qu'ils ont l'occasion de vivre.

Et pour votre staff, ce danger existe-t-il ?

Non, car on est costaud, on se dit les choses. L'unité n'a jamais été mise à mal. Que Vincent (Etcheto) ait été approché par d'autres clubs, ça ne me choque pas. Le seul message que j'ai fait passer c'est : « Au boulot, concentrons-nous. » Et dès que les rumeurs sont sorties, Vincent m'a confirmé qu'il n'avait pas l'intention de quitter le club.

Les déclarations virulentes de Laurent Marti sur la qualité du jeu ont-elles déstabilisé le staff ?

Je suis partagé. Qui d'autre que le président est habilité à porter un jugement ? C'est normal. Je le prends comme un avertissement. Mais je n'ai pas attendu ses mots pour savoir qu'on était moins précis dans nos transmissions, dans le lien avants - trois-quarts. Si tu commences à trembler parce que ton boss te fait des réflexions, parce que l'adversaire a une réputation, tu es mort. La pression est maximale, il faut l'utiliser et la retourner.

C'est votre année la plus difficile ?

Ce n'est pas un long fleuve tranquille. Mais c'est logique : l'UBB avance à grande vitesse. À l'image de son président. Ça me correspond parce que je suis pareil. La difficulté est qu'on avance partout : l'équipe a beaucoup changé depuis trois ans, les structures sont en développement. C'est excitant mais dangereux. Et ça pose une question de fond : est-ce qu'on est prêt à franchir le cap ?

Votre équipe plafonne-t-elle ?

Non. On n'a pas de marge de manœuvre mais on a des joueurs qui n'exploitent pas encore tout leur potentiel. La saison dernière, on a terminé 8e car on a tiré le maximum de leur énergie. Cette saison, on a essayé de mettre de l'émulation. Mais on n'a jamais eu l'occasion d'aligner un XV type. Avec les blessures, on est en permanence sur des paris. Mais on cherche, on avance. Il reste six matches pour montrer que notre travail porte ses fruits.

Comment peut-on passer d'un match plein et accompli et ne rien maîtriser comme en deuxième mi-temps à Montpellier ?

Après Montpellier, j'étais en colère. J'ai l'impression que notre équipe doit passer par des moments durs pour apprendre. Mais on ne s'est jamais bercé d'illusions. Il faut aller encore plus loin dans la justesse. C'est ce qui fait la différence pour finir dans le Top 6.

Êtes-vous plus intervenu sur le jeu ?

Non ni plus ni moins qu'avant. Vincent a une idée à la minute. C'est à la fois sa force et sa faiblesse, mais cette créativité, c'est ce qui crée l'identité de notre équipe. Pour surprendre dans le Top 14, il le faut. Moi je suis là pour le canaliser, faire le lien entre cette innovation permanente et ce que peuvent intégrer les joueurs.

Vous dites avoir beaucoup d'espoirs pour la fin de saison. Qu'est-ce qui vous le fait dire ?

On a des joueurs qui, malgré cette saison très animée, ont envie de vivre quelque chose ensemble. Et on travaille dur. On n'a pas de garanties, mais au moins autant d'atouts que d'autres équipes.

Ce serait un échec de ne pas se qualifier ?

Ce serait fantastique d'y arriver, plutôt. Il n'y a plus de questions à se poser. Aujourd'hui, la forme de tension autour de l'équipe, c'est du pain béni pour les adversaires. On doit sortir de cela et gagner. Il n'y a que là-dessus qu'on est jugé.

Toujours d'une grande propreté dans le discours .
Étonné cependant du contenu de sa réponse à la question "Êtes vous plus intervenu sur le jeu?" dans laquelle il mentionne Etcheto en forme de jugement.

le radis a écrit:Toujours d'une grande propreté dans le discours .
Étonné cependant du contenu de sa réponse à la question "Êtes vous plus intervenu sur le jeu?" dans laquelle il mentionne Etcheto en forme de jugement.

Jugement je ne sais pas, mais en tout cas avis qui met du plomb dans l'aile à l'idée d'un Vincent manager, le gamin (quadragénaire) est encore un peu chien fou

Au fait une idée que je mets là comme ça : et si on repartait avec 100% le même staff (d'ailleurs sous contrat) l'an prochain

Switch a écrit:Ouais enfin, gagner 6-12 avec un effectif comme celui du Racing, c'est pas reluisant. Moi j'en veux pas à l'UBB...

C'est restrictif, primitif, ennuyant, chiant...bref, c'est merdique. C'est pas comme cà qu'on va sortir le rugby français de la dans laquelle il s'enfonce.

c'est pour cela que tatalorenzeti as mis un écrant géant dans son nouveau stade , ..............pour que les spectateurs parisiens puisent y voir un bon film pendant le match

Moi avec notre effectif, j'aurai aimé que l'on gagne de un point.
Le Metro sera dans les 6 et nous pas.

léopold a écrit:Moi avec notre effectif, j'aurai aimé que l'on gagne de un point.
Le Metro sera dans les 6 et nous pas.

Nous avons très certainement un très bon staff ... mais 3 défaites à la maison et à chaque fois de 1 points ... ça peut inciter à la réflexion
Comme Léo, 3 victoires volées m'auraient tout aussi convenu

On va jouer le maintien maintenant

SO :

XV de France : désormais, l’UBB devra « attendre »

N.L.G.

C'est l'autre sujet du moment à l'Union Bordeaux-Bègles : l'avenir de Raphaël Ibanez, dans la short-list pour succéder à Philippe Saint-André à la tête du XV de France. L'annonce du calendrier de désignation de l'heureux élu, dévoilé vendredi soir, a « soulagé » le président Laurent Marti qui, comme il le souhaitait, sera fixé au plus tard mi-mai.

« Je le suis au même titre que les autres présidents de clubs concernés, assure-t-il. L'équipe de France est prioritaire. Tout le monde voudra bien libérer ses managers à condition de pouvoir se retourner. »À court terme, la donnée reste toutefois la même : une incertitude à gérer, pour les principaux intéressés mais aussi le reste du staff (notre édition de lundi).

« Je n'ai pas de commentaires particuliers. Ce sont eux les décideurs», répond Raphaël Ibanez qui doit être contacté par Serge Blanco ainsi que l'a indiqué vendredi le vice-président de la FFR.

« Maintenant, je vais attendre », affirme de son côté le président Laurent Marti, avec une possible succession à préparer. « Je vais écouter ce que me disent les agents, je vais noter et on verra si ça se présente. »

IL y a donc deux options : soit l'ancien capitaine des Bleusest pris et l'UBB devra se trouver un manager qui souhaitera ou pas travailler avec le staff actuel (et vice-versa).

Soit, il n'est pas choisi et l'ensemble du staff, sous contrat jusqu'en 2016, poursuivra sa mission « sauf fin de saison catastrophique » dit le président.

Reste à connaître les conséquences dans une période sportivement difficile. « Si une personne devait être perturbée, ce serait moi, ajoute Raphaël Ibanez. Est-ce que je donne l'image de l'être ? Non. Je maintiens le cap. Si les joueurs sont perturbés par ça, c'est qu'ils ne sont pas vraiment concentrés sur ce qui nous attend. »

« On s'en est expliqué tranquillement avec les joueurs, reprend Laurent Marti. Ce serait de fausses excuses. »

:/

je suis pas sur que les dirigeants de l'EDF ont pour 1er choix IBANEZ , vus le match et surtout le classement du club , comment prendre un manager qui joue le maintient pour diriger l'EQUIPE NATIONNALE ?

On est peut-être à la fin d'un cycle. Peut-être est-il temps qu'Ibanez s'en aille, pour laisser place à quelque chose de nouveau. En tout cas, les gros porcs (Goze, Blanco, Camou...) de la FFLNR nous aurons bien fait ! Quelle ingérence, quel amateurisme et quelle nullité...

Il serait temps que l'UBB, par son président, se fasse respecter et tape du poing sur la table. Pour le moment, on subit, et on se fait marcher dessus...et pas que sur le terrain.

:)

patrick a écrit:SO :

XV de France : désormais, l’UBB devra « attendre »

N.L.G.

C'est l'autre sujet du moment à l'Union Bordeaux-Bègles : l'avenir de Raphaël Ibanez, dans la short-list pour succéder à Philippe Saint-André à la tête du XV de France. L'annonce du calendrier de désignation de l'heureux élu, dévoilé vendredi soir, a « soulagé » le président Laurent Marti qui, comme il le souhaitait, sera fixé au plus tard mi-mai.

« Je le suis au même titre que les autres présidents de clubs concernés, assure-t-il. L'équipe de France est prioritaire. Tout le monde voudra bien libérer ses managers à condition de pouvoir se retourner. »À court terme, la donnée reste toutefois la même : une incertitude à gérer, pour les principaux intéressés mais aussi le reste du staff (notre édition de lundi).

« Je n'ai pas de commentaires particuliers. Ce sont eux les décideurs», répond Raphaël Ibanez qui doit être contacté par Serge Blanco ainsi que l'a indiqué vendredi le vice-président de la FFR.

« Maintenant, je vais attendre », affirme de son côté le président Laurent Marti, avec une possible succession à préparer. « Je vais écouter ce que me disent les agents, je vais noter et on verra si ça se présente. »

IL y a donc deux options : soit l'ancien capitaine des Bleusest pris et l'UBB devra se trouver un manager qui souhaitera ou pas travailler avec le staff actuel (et vice-versa).

Soit, il n'est pas choisi et l'ensemble du staff, sous contrat jusqu'en 2016, poursuivra sa mission « sauf fin de saison catastrophique » dit le président.

Reste à connaître les conséquences dans une période sportivement difficile. « Si une personne devait être perturbée, ce serait moi, ajoute Raphaël Ibanez. Est-ce que je donne l'image de l'être ? Non. Je maintiens le cap. Si les joueurs sont perturbés par ça, c'est qu'ils ne sont pas vraiment concentrés sur ce qui nous attend. »

« On s'en est expliqué tranquillement avec les joueurs, reprend Laurent Marti. Ce serait de fausses excuses. »

Franchement, il abuse Ibanez :  « Si une personne devait être perturbée, ce serait moi, ajoute Raphaël Ibanez. Est-ce que je donne l'image de l'être ? Non. Je maintiens le cap. Si les joueurs sont perturbés par ça, c'est qu'ils ne sont pas vraiment concentrés sur ce qui nous attend. »...
Et ben avec ça, ils vont se sentir soutenus les joueurs : non seulement il veux se barrer pour trouver mieux que nous, mais en plus on doit le plaindre... S'il était mon boss, ça m'énerverait ce comportement...

Je comprends ta colère latine, quoique......

D'un côté Ibanez leur dit de se débrouiller avec l'actu du moment c'est-à-dire de l'incertitude, pas très encadrant ni rassurant comme consigne.
Mais d'un autre côté, il leur demande de prendre leur destin en mains, ce qui n'est pas faux, non plus.
Je plains les joueurs. Mais tout de même ce sont des pro.

Je pense que les joueurs qui sont de grands garçons, ont effectivement leur destin en mains car ils n'ont pas le choix, il n'y aura pas de réponse sur la succesion de PSA avant mai donc.....au boulot !

Il y a probablement un autre problème mais comme je n'aime pas les supputations dans le vide, je ne me déclarerai pas.
L Marti doit en savoir bien plus que nous , à lui de jouer.

Penny33 a écrit:Je comprends ta colère latine, quoique......

D'un côté Ibanez leur dit de se débrouiller avec l'actu du moment c'est-à-dire de l'incertitude, pas très encadrant ni rassurant comme consigne.
Mais d'un autre côté, il leur demande de prendre leur destin en mains, ce qui n'est pas faux, non plus.
Je plains les joueurs. Mais tout de même ce sont des pro.

Je pense que les joueurs qui sont de grands garçons, ont effectivement leur destin en mains car ils n'ont pas le choix, il n'y aura pas de réponse sur la succesion de PSA avant mai donc.....au boulot !

Il y a probablement un autre problème mais comme je n'aime pas les supputations dans le vide, je ne me déclarerai pas.
L Marti doit en savoir bien plus que nous , à lui de jouer.

Tu penses à quoi comme autre problème ? J'insiste... je suis curieuse...
Effectivement ce sont de grands garçons, je dois être trop maternante...

Même si on peut comprendre que les femmes de joueurs les réclament, ces vacances incessantes m'énervent sérieusement depuis pas mal de temps.
Un truc qui m'énervent aussi (et c'est peut-être lié) ce sont les entraineurs qui courent dès le moindre temps-mort rejoindre leur famille qui habitent à quelques centaines de kilomètres. Combien en a t'on au club dans cette catégorie ? Dans mon boulot, on appelle ça des turbo-profs qui viennent faire leur cours dans leur établissement d'affectation et s'empressent de repartir chez eux par le premier TGV. Il est clair que ça n'incite pas à un engagement maximum ... mais plutôt à apprécier les phases de vacances
Si, malgré un match tous les 15 jours, les joueurs ont vraiment besoin de repos, vidéo, vélo, piscine ... et tout ça sous les yeux "bienveillants" du staff dans son ensemble qui le premier doit donner l'exemple.

Je me trompe surement, mais voilà, c'est dit.

Peur de la pro d2 pour l ubb

latine a écrit:

Penny33 a écrit:Je comprends ta colère latine, quoique......

D'un côté Ibanez leur dit de se débrouiller avec l'actu du moment c'est-à-dire de l'incertitude, pas très encadrant ni rassurant comme consigne.
Mais d'un autre côté, il leur demande de prendre leur destin en mains, ce qui n'est pas faux, non plus.
Je plains les joueurs. Mais tout de même ce sont des pro.

Je pense que les joueurs qui sont de grands garçons, ont effectivement leur destin en mains car ils n'ont pas le choix, il n'y aura pas de réponse sur la succesion de PSA avant mai donc.....au boulot !

Il y a probablement un autre problème mais comme je n'aime pas les supputations dans le vide, je ne me déclarerai pas.
L Marti doit en savoir bien plus que nous , à lui de jouer.

Tu penses à quoi comme autre problème ? J'insiste... je suis curieuse...
Effectivement ce sont de grands garçons, je dois être trop maternante...

Aaaah oui ......mais non     
J'dirais rien car je ne sais rien en fait ....juste des impressions, et je n'ai surtout pas envie de créer une rumeur infondée car ça c'est pas bien   

Ce sont des grands garçons qui doivent être mis devant leurs responsabilités mais, comme dit Patrick, il y a aussi des erreurs de décisions de la part du staff.

Je ne suis pas sûre qu'ils apprécieraient d'être maternés, des grands gaillards pareils ! 

patrick a écrit:Même si on peut comprendre que les femmes de joueurs les réclament, ces vacances incessantes m'énervent sérieusement depuis pas mal de temps.
Un truc qui m'énervent aussi (et c'est peut-être lié) ce sont les entraineurs qui courent dès le moindre temps-mort rejoindre leur famille qui habitent à quelques centaines de kilomètres. Combien en a t'on au club dans cette catégorie ? Dans mon boulot, on appelle ça des turbo-profs qui viennent faire leur cours dans leur établissement d'affectation et s'empressent de repartir chez eux par le premier TGV. Il est clair que ça n'incite pas à un engagement maximum ... mais plutôt à apprécier les phases de vacances
Si, malgré un match tous les 15 jours, les joueurs ont vraiment besoin de repos, vidéo, vélo, piscine ... et tout ça sous les yeux "bienveillants" du staff dans son ensemble qui le premier doit donner l'exemple.

Je me trompe surement, mais voilà, c'est dit.

Je suis d'accord sur tout. J'ai même envie de rajouter un truc : le professionnalisme, ce serait pas mal de le cultiver un peu plus... Quand on est moins fort que les autres et qu'on aspire à faire aussi bien voire mieux, on fait plus de sacrifices que les autres. Suivez mon regard vers la nuit bordelaise. Les mecs ont beau être adorables la plupart du temps, j'en vois certains qui se blessent de façon régulière ou débutent les matchs cramés, et ça ne m'étonne pas... Je ne vais pas citer les noms hein . Plus sérieusement, c'est aussi là-dessus que le staff devrait être plus costaud, en demandant plus dans tous les domaines aux joueurs. Un jeune sportif de haut niveau ne peut pas faire dans tous les domaines ce qu'un jeune de son âge peut faire notamment en termes de sorties. Ou alors il faut arrêter de mentir aux gens et de faire croire qu'on veut réussir, parce que je suis désolé mais se taper des soirées en boite, et des cuites dans les pubs, quand on voit l'intensité impressionnante que demande un match de TOP 14... À un moment donné, là aussi, il faut dire les choses : on vit bien à Bordeaux et certains le savent.

Penny33 a écrit:

latine a écrit:

Penny33 a écrit:Je comprends ta colère latine, quoique......

D'un côté Ibanez leur dit de se débrouiller avec l'actu du moment c'est-à-dire de l'incertitude, pas très encadrant ni rassurant comme consigne.
Mais d'un autre côté, il leur demande de prendre leur destin en mains, ce qui n'est pas faux, non plus.
Je plains les joueurs. Mais tout de même ce sont des pro.

Je pense que les joueurs qui sont de grands garçons, ont effectivement leur destin en mains car ils n'ont pas le choix, il n'y aura pas de réponse sur la succesion de PSA avant mai donc.....au boulot !

Il y a probablement un autre problème mais comme je n'aime pas les supputations dans le vide, je ne me déclarerai pas.
L Marti doit en savoir bien plus que nous , à lui de jouer.

Tu penses à quoi comme autre problème ? J'insiste... je suis curieuse...
Effectivement ce sont de grands garçons, je dois être trop maternante...

Aaaah oui ......mais non     
J'dirais rien car je ne sais rien en fait ....juste des impressions, et je n'ai surtout pas envie de créer une rumeur infondée car ça c'est pas bien   

Ce sont des grands garçons qui doivent être mis devant leurs responsabilités mais, comme dit Patrick, il y a aussi des erreurs de décisions de la part du staff.

Je ne suis pas sûre qu'ils apprécieraient d'être maternés, des grands gaillards pareils ! 

Mon expérience m'a montré que les grands gaillards sont plus faciles à materner que les petites teignes
Sinon, c'est tu as raison Penny, si c'est juste des impressions, pas la peine de prendre le risque de lancer des rumeurs infondées.

:)

Raison gardée et ne pas perdre les pédales, même si être dans les 6 semble aujourd'hui tiendrait du miracle, il reste à finir proprement cette saison dans laquelle nous avions fondé beaucoup d'ambition.
Nous devons à Laurent Marti qui ne nous a jamais déçu et qui a beaucoup donné de le soutenir dans ce moment difficile que nous vivons.
Pour ceux qui ont vu nos Espoirs cet Après midi, c'est clair, le Rugby c'est du combat, de l'engagement, du jeu d'équipe de la vitesse, de l'adresse et de l'ENVIE.
Passez la Vidéo à nos Cadors président, sans commentaire,ils comprendont tout ce que nous attendons d'eux, pas besoin de discours.
Allez Union

:/

Midi Olympique de ce lundi annonce que Robbie Deans souhaiterait entrainer en France, et serait candidat à l'UBB.
Robbie Deans, c'est un NZ ancien black (5 sel), entraineur le plus titré en Super 12/14 (3 victoires en Super 12 et 2 en super 14) entre 2000 et 2008 avec les Crusaders.
Selectionneur de l'Australie de 2007 à 2013 avec 1 victoire en Tri Nations 2011.
Il a passé la dernière saison aux Panasonic Wildknights au Japon.

A suivre.

Il doit coûter cher le bonhomme je pense...