Jefferson Poirot

**patrick** Ven 6 Juil 2012 - 18:49

En cette inter-saison, Jefferson est classé par le Midol parmi les espoirs du rugby français au poste de pilier gauche.

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Sur certains matchs, une 1ere ligne 100% française Poirot/Rofes/Descamps ne serait pas étonnante ... bon c'est vrai avec un seul sélectionnable.

**patrick** Ven 31 Aoû 2012 - 21:05

SO du jour :

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Bobby Sam 1 Sep 2012 - 21:37

Ce fut très dur aujourd'hui pour lui, comme pour l'ensemble du paquet d'avants. Souhaitons-lui des lendemains plus joyeux.

**patrick** Sam 1 Sep 2012 - 23:48

Ce soir, Jefferson est tombé sur du bien roublard et on a vu qu'il était encore jeune. Pas étonnant qu'il ait les épaules douloureuses demain matin Rolling Eyes

**patrick** Ven 8 Mar 2013 - 18:14

http://www.sudouest.fr/2013/03/08/ca-forge-mentalement-988560-773.php

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Qu'il grandisse encore un peu et Jefferson pourrait nous manquer les jours de doublon :siffle:

**patrick** Ven 8 Mar 2013 - 21:15

Midol

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**patrick** Sam 29 Mar 2014 - 7:22

SO :

Jefferson Poirot, le grand soir
N. L. G.

Le staff de l’UBB a misé sur le jeune pilier pour débuter ce soir. Une première à domicile en Top 14.

Il aura donc attendu vingt mois et 30 matchs de Top 14 avec l'Union Bordeaux-Bègles. Ce soir, le jeune pilier gauche, Jefferson Poirot, 22 ans, débutera pour la première fois à domicile dans la compétition. Enfin ? « Ça fait plaisir, répond-il. Je vais essayer de prendre du plaisir, et de ne pas me mettre la pression. »

C'est évidemment la petite surprise de la composition d'équipe. Pour la première fois depuis l'ouverture contre Toulouse, où le staff avait préféré Laurent Delboulbès, le manager Raphaël Ibanez et ses entraîneurs ont décidé de se passer au coup d'envoi d'un match décisif de l'incontournable Jean-Baptiste Poux. Un choix à plusieurs bandes : la perspective du voyage à Oyonnax et de la venue de Toulon, bénéficier de l'ancien Toulousain pour la fin de match, prendre date pour l'avenir. Et un pari ? « Pas vraiment, répond Raphaël Ibanez. Cela fait un moment que j'observe son comportement à l'entraînement et lors de ses entrées. Il a gagné en maturité, en contrôle de soi. On veut bénéficier d'entrée de son dynamisme, et c'est un test en mêlée face à un axe droit de l'Usap très fort. On est sur la continuité de ce qu'on lui avait dit en début de saison : le faire monter progressivement et lui donner un jour une grande opportunité. »

« J'ai surtout peur de moi »

Le grand soir est donc arrivé. « De nature, j'ai tendance à cogiter, avance l'ancien Briviste. C'est ce qu'il s'est passé en début de saison à Brive où je suis passé à côté et j'essaie de m'en servir. J'essaie de me fixer sur mes dernières entrées qui ont été positives, sur les bases. » « J'échange beaucoup avec lui mais je n'ai pas trop insisté cette semaine, reprend Raphaël Ibanez. Il a traversé une épreuve la saison dernière lorsqu'il a dû dépanner en pilier droit et le replacer à son poste lui a redonné confiance. Et il s'est mis dans la tête d'être constant. »

De loin le plus expérimenté pilier français de son âge (34 matchs de Top 14 au total dont 8 titularisations ; 14 matchs de Challenge Européen dont 9 d'entrée), l'ex-international moins de 20 ans, placé par le staff depuis début février en numéro 2 devant Laurent Delboulbès, n'est plus non plus un néophyte. « J'ai longuement discuté avec Jean-Ba (Poux) de Jgenti, sur la technique. Toute l'année, je m'entraîne face à Patrick Toetu, Silviu Florea, des références à droite, et ça m'a fait progresser. Ma plus grosse peur, c'est moi : jouer le match avant. »

Son statut de grand espoir du club et même au-delà ? « Il est dans les temps » assure Raphaël Ibanez. « Sur le plan physique, Ludo (Loustau) m'a dit qu'il était content ; rugbystiquement, les coachs m'ont conforté. Je me sens bien. Je suis heureux d'avoir la chance de pouvoir le confirmer plus de 20 minutes. C'est à moi de montrer. »

N. L. G.

Allez Jefferson, comme une balle Twisted Evil

**krahknardz** Mer 20 Aoû 2014 - 14:30

Très intéressante interview-article sur notre espoir de Bleu dans RR:
http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2014-2015/prepa-musclee-guide-spirituel-but-supreme.-voici-jefferson-poirot_sto4365188/story.shtml

J'aime bien le côté mentor spirituel de Poux. Rien à dire la meilleure recrue de l'année dernière.

**patrick** Sam 12 Déc 2015 - 23:30

Jeff Poirot 1ère partie : l'interview décalée par ubbrugby

Jeff Poirot 2ème partie : l'interview rugby par ubbrugby

jaja69 Lun 21 Déc 2015 - 16:45

Encore une fois, Jefferson Poirot parmi le XV de la semaine.
Attention, la sélection n'est plus si loin avec autant de belles performances.

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**kaze33** Lun 21 Déc 2015 - 17:30

Il le mérite vraiment. Au delà de ses qualités naturelles, c'est un gros travailleur qui bosse comme un malade pour avoir la chance de réussir. Ayant peur de souffrir sur les prépas physiques de début de saison de Ludo, il s'astreint à une avant préparation physique personnalisée pendant les vacances pour mieux digérer la reprise et je vous garantie que c'est pas un petit footing de temps en temps.

Comme quoi, rien n'arrive sans rien, le travail paye toujours. Il ne commence qu'à récolter les fruits qu'il a planté. :clap:

Pat Lun 21 Déc 2015 - 18:05

Il devient tout bon Jefferson...!!! :clap:

**patrick** Mer 30 Déc 2015 - 9:13

SO :

XV de France : « Ce n’est qu’une étape » pour Jefferson Poirot
Yoan Leshauriès
XV de France : « Ce n’est qu’une étape » pour Jefferson Poirot
Jefferson Poirot : « Quand on est appelé pour la toute première fois chez les Bleus, c’est toujours une surprise ». ©

« Sud Ouest ». Comment avez-vous appris votre convocation à Marcoussis ?

Jefferson Poirot. J'ai appris ça par mes potes de l'UBB, Marco Tauleigne, Darly Domvo et Baptiste Serin qui étaient plus aux aguets que moi là-dessus. Au moment où j'ai voulu regarder la liste, j'avais déjà les messages des copains. Depuis quelques semaines, les médias en parlaient un peu, je sentais que quelque chose montait autour de ça, mais quand on est appelé pour la toute première fois, c'est toujours une surprise.

Que ressentez-vous ?

Je suis fier, content… Mais une fois l'annonce passée, il faut aussi se dire que ce n'est qu'un groupe élargi, la liste n'est pas définitive. J'ai envie de m'accrocher à ce groupe pour jouer le Tournoi.

Cela vient récompenser votre travail depuis plusieurs saisons à l'UBB…

Oui mais aussi le travail des autres car on est quinze sur le terrain, une trentaine dans la vie de tous les jours. On travaille tous pour que le club grandisse et c'est aussi pour ça qu'il y a des joueurs comme Loann (NDLR : Goujon, le troisième ligne fait également partie de la liste) et moi qui sont mis en avant. Des joueurs nous tirent vers le haut. La concurrence est saine, on travaille plus dur à l'entraînement. Le fait que l'UBB tourne bien fait aussi que les regards se portent un peu plus sur notre équipe.

Jean-Baptiste Poux, votre mentor, vous a montré la voie ?

À son arrivée au club, je me souviens que dans l'avion qui nous emmenait à Grenoble, il m'avait dit : « Tu es un très bon joueur de ballon mais il faut que tu progresses sur les bases du poste ». Il ne doit pas s'en souvenir mais c'est quelque chose que j'ai retenu. Il m'a beaucoup aidé pour travailler sur la mêlée, le soutien, les placages, des choses plus simples que celles que j'essayais de faire avant. On peut effectivement dire qu'il m'a montré la voie.

Dans quel état d'esprit allez-vous vous rendre à ce stage ?

J'ai compris qu'il n'y aura pas de rugby. J'irai dans un état d'esprit de découverte, pour voir ce qu'ils attendent de moi. J'espère que les entretiens individuels donneront des axes de travail pour être le plus performant au haut niveau. Je me préparerai en conséquence. Ce n'est qu'une étape pour arriver à la première sélection. Aller à ce stage est loin d'être une fin en soi. Je ferai tout pour faire partie de la liste du 19 janvier et de celle du 28.

Que représente l'équipe de France pour vous ?

Pour tout joueur français qui a de l'ambition et qui commence une carrière en Top 14, l'équipe de France est un rêve et un objectif. Avant la Coupe du monde 2015, c'était peut-être plus un rêve et maintenant, ça devient davantage un objectif en vue du prochain Mondial. Alors intégrer cette équipe le plus vite possible sera le mieux pour être mis dans de bonnes conditions.

Cette convocation va-t-elle vous ajouter une pression sur les épaules lors de vos prochaines sorties avec l'UBB ?

Je ne pense pas, au contraire, ça ajoute encore plus de motivation. Ça donne envie de montrer aux personnes qui ont choisi de mettre mon nom sur cette liste qu'elles ne se sont pas trompées.

**patrick** Dim 3 Jan 2016 - 23:20

Canal Rugby Club - Poirot, l'avenir devant lui ? - RM92/UBB

Évidemment Hugh que cette sélection tu peux la prendre pour toi ... personnellement :chambreur:

**krahknardz** Dim 3 Jan 2016 - 23:35

Mortel AAC dans la scène finale, il était mort de rire à entendre les joueurs entonner la Marseillaise pour Poirot!! C'est clair qu'avec ses 114 sélections ça fait loin l'émotion du premier appel!! rire

**patrick** Jeu 4 Fév 2016 - 8:40

SO :

Rugby : Jefferson Poirot, à la recherche du mieux
Arnaud David

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A 23 ans, Jefferson Poirot (1,81 m, 100 kg) a déjà disputé 62 matches de Top 14. ©

La conversation a pris d'emblée un tour inattendu. Parler de programmation neurolinguistique (PNL) lorsqu'on entame une interview avec un pilier, cela vous entraîne immédiatement hors des sentiers battus. Mais Jefferson Poirot sort de l'ordinaire. Autant par son parcours qui l'a conduit, à 23 ans, aux portes de l'équipe de France à un poste qui requiert de l'expérience, que par sa manière à la fois impatiente et méticuleuse d'avancer.

« Si je dois choisir deux mots pour décrire Jeff, c'est volonté et ambition », affirme Raphaël Ibanez, le manager de l'UBB. « Cela se sent dans son attitude, son comportement. Dès qu'il est arrivé dans ce club, il a voulu y devenir une force. J'ai le sentiment aussi qu'il a vite écarté l'insouciance, celle de son âge. Sa progression est réfléchie, structurée. »

Raconter l'émergence d'un talent au plus haut niveau, c'est d'abord évoquer un chemin de vie. Celui de Jefferson Poirot a été moins rectiligne que d'autres. Il est né à L'Isle-Adam (Val-d'Oise), d'un père nigérian et d'une mère française. Il a grandi à Franconville en banlieue parisienne. Ses parents se sont séparés quand il avait trois ans, et sa mère Patricia, infirmière, a choisi cinq ans plus tard de venir s'installer à Lalinde en Dordogne où résidait une partie de sa famille, pour offrir à Noor, sa fille aînée, et à Jefferson un quotidien plus agréable.
« J'étais le Parisien... »

Son intégration y a été… « compliquée », sourit-il. « J'étais le Parisien, il y avait ma mère seule avec deux enfants, et la couleur de ma peau. J'ai été confronté au jugement des gens. J'ai été vite catalogué comme le petit délinquant. J'ai vécu des choses un peu blessantes. Des parents ne voulaient pas que leur enfant me côtoie. »

Mais à Lalinde, il a aussi découvert le rugby. Et pas seulement comme un exutoire. « J'ai rencontré des gens géniaux, ceux qui m'ont amené au rugby justement, raconte-t-il. Ils m'ont épaulé. En fait, le monde du rugby m'a toujours bien accueilli. J'ai trouvé des gens de valeur, une vraie deuxième famille. »

Approché par Brive alors qu'il joue troisième ligne, il rejoint le centre de formation du club corrézien à l'âge de 15 ans. La séparation ne se fait pas sans difficulté. « J'avais pris le rôle de l'homme de la maison. Même vis-à-vis de ma grande sœur. Le fait de les laisser m'angoissait. Mais ma mère ne m'a pas donné le choix. Elle m'a dit que c'était une chance en or. »

Si l'adolescent effectue régulièrement des allers-retours entre Brive et Lalinde avec Noor pour chauffeur - « On a une relation fusionnelle » -, il trouve sa place dans ce club familial où Nicolas Godignon, l'actuel manager du CAB, le fixe en première ligne. Il joue des deux côtés de la mêlée, intègre l'équipe de France des moins de 18 ans.

La suite visible, elle se découvre aujourd'hui sur sa fiche de joueur. Brive, Marcoussis, équipe de France des moins de 20 ans, Union Bordeaux-Bègles, équipe de France. Ce que ne disent pas ces repères, c'est la somme d'efforts et de sacrifices, les doutes et les remises en question pour en arriver là en bouclant parallèlement une licence de commerce et de marketing.
« Il savait tout faire »

Il a bouffé de l'énergie à mener ces combats de front. Mais on comprend que l'obtention de ce diplôme était une étape importante dans sa construction. Il y a ajouté un autre, en Anglais. Toujours en mouvement, allant chercher ici et là tout ce qui lui permet d'être plus fort.

Dans son apprentissage de pilier, il a d'abord sollicité les conseils de Peïo Capdevielle à Brive puis de Jean-Baptiste Poux à l'UBB. « C'est lui qui est venu vers moi, mais je suis allé aussi vers lui car je suis intéressé par la façon dont fonctionnent les jeunes piliers, raconte l'ancien Toulousain. Dès que je l'ai rencontré, je sentais qu'il avait tout pour réussir. Il savait tout faire. C'est quelqu'un de très sérieux. Il va chercher les infos mais il a su faire aussi sa propre analyse. »

« Je suis à la recherche du mieux, explique Poirot. Souvent on n'ose pas demander des conseils par orgueil. C'est une erreur. » Il a aussi élargi son champ de prospection, s'engageant sur un territoire que les jeunes joueurs répugnent souvent à explorer, celui de la préparation mentale.

À Marcoussis, il avait commencé à travailler avec Christian Ramos. Il l'a recontacté pour mieux aborder sa deuxième saison bordelaise. « Il m'a beaucoup aidé. On a structuré mes objectifs à court, moyen et long terme. Je me suis concentré sur de petites choses, des mots clés dans des situations de stress ».

Au printemps dernier, il a découvert, auprès d'un psychothérapeute bordelais, les bénéfices de la PNL et de l'hypnose. Il envisage de les ajouter à son cursus. « Depuis, estime-t-il, je suis monté en puissance. Sur des situations concrètes, il m'a amené à de la performance quasi immédiate. »

Dimanche soir, Poirot a rejoint le groupe France à Marcoussis pour préparer l'ouverture du tournoi des Six-Nations. Aujourd'hui, il devrait être parmi les 23 joueurs choisis pour affronter l'Italie. « Avant la Coupe du monde, je rêvais de l'équipe de France, après, c'est devenu un objectif, explique-t-il. Si j'y suis, ce n'est pas pour faire un aller-retour et dire que j'ai été une fois international. J'ai envie de vivre des choses exceptionnelles. Voir plus haut. »

C'est affirmé sans esbroufe. Mais ce discours là est habité par une motivation qui vient de loin : celle de repousser ses limites.

Poirot, ce qu'ils en disent...

Raphaël Ibanez (manager de l’UBB) : « Jefferson a beaucoup progressé dans la maîtrise de ses émotions. Avant, il lui arrivait d’être « no limit ». Il a su canaliser son énergie. Ce qui est capital à son poste, c’est l’expérience sur les fondamentaux. Ce qui lui permettra de devenir un grand pilier, c’est la multiplication des confrontations face aux meilleurs ».

Régis Sonnes (entraîneur des avants de l’UBB) : « Il possède des qualités physiques exceptionnelles, un mental très intéressant et c’est surtout un gros travailleur. Il est dans l’analyse, la recherche par rapport à son poste comme le prouve la façon dont il est allé poser des questions à Jean-Ba (Poux) ».

Jean-Baptiste Poux (pilier de l’UBB) : « Mon conseil est d’être le moins pénalisé possible. Les fautes, c’est ce que détestent les sélectionneurs. Jeff est quelqu’un d’impulsif, l’environnement peut pomper de l’énergie. Je pense qu’il possède maintenant la maturité pour rester dans son match. J’ai hâte de le voir devant ma télé ».

doubleD Jeu 4 Fév 2016 - 11:09

maintenant il lui reste à apprendre les roublardises de ce poste .... :siffle:

matbar33 Ven 5 Fév 2016 - 10:43

doubleD a écrit:maintenant il lui reste à apprendre les roublardises de ce poste ....

Il aura un bon test justement contre Martin Castrogiovatriche.

**krahknardz** Dim 7 Fév 2016 - 11:46

N'ayant pas vu le match hier il a fait quoi le Poirot?

Solegrad Dim 7 Fév 2016 - 11:50

krahknardz a écrit:N'ayant pas vu le match hier il a fait quoi le Poirot?

Bonne rentrée, très bonne tenue en mêlée notamment sur la dernière où les Italiens (avec Castro) donnaient tout pour récupérer une pénalité.
Quelques bonnes percussions aussi, malheureusement sur sa meilleure charge il perd le ballon au contact.

doubleD Dim 7 Fév 2016 - 12:24

Solegrad a écrit:
krahknardz a écrit:N'ayant pas vu le match hier il a fait quoi le Poirot?
Bonne rentrée, très bonne tenue en mêlée notamment sur la dernière où les Italiens (avec Castro) donnaient tout pour récupérer une pénalité.
Quelques bonnes percussions aussi, malheureusement sur sa meilleure charge il perd le ballon au contact.

oui tout à fait , pour une première cape bravo !!!!! :clap:

**krahknardz** Dim 7 Fév 2016 - 15:54

Super pour lui merci

Pat Dim 7 Fév 2016 - 16:18

doubleD a écrit:
Solegrad a écrit:
krahknardz a écrit:N'ayant pas vu le match hier il a fait quoi le Poirot?
Bonne rentrée, très bonne tenue en mêlée notamment sur la dernière où les Italiens (avec Castro) donnaient tout pour récupérer une pénalité.
Quelques bonnes percussions aussi, malheureusement sur sa meilleure charge il perd le ballon au contact.

oui tout à fait , pour une première cape bravo !!!!!

On peut y ajouter un super placage offensif sur un seconde latte (je crois), dommage que nous n'ayons pas récupéré la gonfle derrière, c'eût été un bonus !
Il a été sobre, pour une première c'est le mieux !
J'aime ce joueur, discret mais pas effacé, qui ne demande qu'à apprendre...
Si les petits cochons...... :chambreur:

**krahknardz** Dim 7 Fév 2016 - 16:29

En tout cas le Irlande-Wales de cet après-midi est un pur régal... Ça va être un test de feu pour Guy Novès la semaine prochaine!

**krahknardz** Dim 7 Fév 2016 - 17:28

Quand on voit le niveau de l'équipe de Galles cet après-midi, que la moitié de l'équipe joue pour les Ospreys et qu'on a fait plus que jeu égal avec eux en Champions... ça fait plaisir! :chambreur:

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