Baptiste Serin

Dr. Gregory Bouse a écrit:

biscouette a écrit:Pour Doc  

Masterclass pendant 60 minutes de Baptiste sur la conduite du jeu et l'animation offensive.

Comme Biscouette, je ne suis pas surpris du niveau du Serin, c'est pour ça qu'on l'adore...

Bon reste plus qu'à lancer une pétition pour que FG le prenne à la CdM !

Actuellement, y a bcp de 9 au dessus de Max. Son jeu est devenu hyper lisible, il joue exclusivement pour MJ. Dommage quil ne prenne aucune initiative offensive.
Dupont, Serin, Couilloud, Le Garrec c’est au dessus a mon avis. Graou aussi j’aime bcp ce profil…on pourrait lui offrir la place de n°1, trop compliqué pour faire un Le Garrec

grospaquet31 a écrit:Actuellement, y a bcp de 9 au dessus de Max. Son jeu est devenu hyper lisible, il joue exclusivement pour MJ. Dommage quil ne prenne aucune initiative offensive.
Dupont, Serin, Couilloud, Le Garrec c’est au dessus a mon avis. Graou aussi j’aime bcp ce profil…on pourrait lui offrir la place de n°1, trop compliqué pour faire un Le Garrec

L'avantage de Max c'est qu'il a un coup de pied de mammouth.
Quand tu es sous pression dans tes 22 il trouve des touches vraiment intéressante et quand il est dans un grand match il est incontournable.
Sinon Serin gère mieux son pack je pense, il a un très bon jeu au pied et c'est un grand meneur d'hommes, en plus d'être opportuniste, en forme c'est un métronome.
Mais Max s'entend tellement bien avec Matthieu, et Matthieu a beaucoup d'impact dans notre jeu.

Sinon je miserai bien une tite pièce sur Paul Abadie, la bonne surprise et la bonne pioche n'est pas à exclure, j'ai pu voir un profil intéressant maintenant il faudra qu'il soit constant dans ses performances mais c'est un bon joueur au pied, rapide et précis dans les exécutions, rapide dans ses courses, il faudra qu'il prenne ses marques, de la confiance. Mais les Brivistes ont l'air de dire que c'est une pompe à vélo non ? En tout cas c'est ce que j'ai vu sur Twitter mais Twitter on connait c'est bizarre c'est pas ce que j'ai vu je peux me tromper...

Carbonneau de Brive, le 9 de 18 piges, gros potentiel aussi. Il rigole pas le gars. Très très fort.

Serin revient bien et Toulon aussi, tant mieux qu'il y ait des opposants au ST et LR.

"Quand on a Serin à ce niveau-là...": Aubin Hueber décrypte les forces en présence avant la finale de Challenge Cup du RCT


https://www.varmatin.com/rugby/-quand-on-a-serin-a-ce-niveau-la-aubin-hueber-decrypte-les-forces-en-presence-de-la-finale-glasgow-toulon-848449

Il est métamorphosé Baptiste, je ne le reconnais presque plus..., sur cette photo en tout cas je lui souhaite le meilleur pour cette finale et puis ça nous arrange un peu aussi...

Scalp a écrit:"Quand on a Serin à ce niveau-là...": Aubin Hueber décrypte les forces en présence avant la finale de Challenge Cup du RCT


https://www.varmatin.com/rugby/-quand-on-a-serin-a-ce-niveau-la-aubin-hueber-decrypte-les-forces-en-presence-de-la-finale-glasgow-toulon-848449

Il est métamorphosé Baptiste, je ne le reconnais presque plus..., sur cette photo en tout cas je lui souhaite le meilleur pour cette finale    et puis ça nous arrange un peu aussi...

Il a faim de trophées et d'EDF pour la coupe du monde aussi surtout

Je lui souhaite également de la réussite en Challenge Cup. J'aime bien ce joueur personnellement, mais le fait que c'est un enfant de l'UBB aide pas mal.

https://www.blog-rct.com/les-verites-de-baptiste-serin-sur-sa-non-participation-a-la-coupe-du-monde

Au cas où qqn soit abonné à Var-Matin… ?  
https://www.varmatin.com/sport/le-xv-de-france-tant-que-j-aurai-le-corps-et-la-foi-je-ne-lacherai-pas-assure-baptiste-serin-919078

Baptiste est né par hasard à la teste, lui même et toute sa famille son de Parentis en Born,son passage à Bègles est une opportunuité , il n'est pas Girondin et encore moins Bèglais, il est Landais avant tout.

Qu'il retourne dans ses Landes !!

léopold a écrit:Baptiste est né par hasard à la teste, lui même et toute sa famille son de Parentis en Born,son passage à Bègles est une opportunuité , il n'est pas Girondin et encore moins Bèglais, il est Landais avant tout.

En tout cas il n'est pas vraiment toulonnais ni du sud-est.

Baptiste comme Heini, Blair, Hugh, Ole, Jeff, Jandré, Clément, Yann, Nans, JBD, Cyril, Mamad, MJ, Bubu… ne sont pas girondins de naissance mais ils sont UBBéglais à jamais. Ainsi que des Darly, Marco… qui n'ont pas eu le parcours qu'ils auraient dû avoir à cause des blessures.
Et sinon à Bègles et à l'UBB, de tout temps il y a eu des Landais, Basques, Périgourdins, Agenais…

biscouette a écrit:Baptiste comme Heini, Blair, Hugh, Ole, Jeff, Jandré, Clément, Yann, Nans, JBD, Cyril, Mamad, MJ, Bubu… ne sont pas girondins de naissance mais ils sont UBBéglais à jamais. Ainsi que des Darly, Marco… qui n'ont pas eu le parcours qu'ils auraient dû avoir à cause des blessures.
Et sinon à Bègles et à l'UBB, de tout temps il y a eu des Landais, Basques, Périgourdins, Agenais…

On a même du avoir des toulousains

Switch a écrit:

biscouette a écrit:Baptiste comme Heini, Blair, Hugh, Ole, Jeff, Jandré, Clément, Yann, Nans, JBD, Cyril, Mamad, MJ, Bubu… ne sont pas girondins de naissance mais ils sont UBBéglais à jamais. Ainsi que des Darly, Marco… qui n'ont pas eu le parcours qu'ils auraient dû avoir à cause des blessures.
Et sinon à Bègles et à l'UBB, de tout temps il y a eu des Landais, Basques, Périgourdins, Agenais…

On a même du avoir des toulousains

Sans doute, et on en a même un (pas de naissance mais de club) qui est resté !

pour biscouette


varmatin.com
Le XV de France? "Tant que j’aurai le corps et la foi, je ne lâcherai pas", assure Baptiste Serin
propos Recueillis par F. DA.
3–4 minutes

Rappelé par Fabien Galthié plus de deux ans après sa dernière sélection avec les Bleus, Baptiste Serin a participé à toute la préparation du Mondial 2023. Malheureusement, la suite, tout le monde la connaît. Non retenu dans la liste finale, le demi de mêlée aux 44sélections a raté l’événement. Un coup dur pour le natif de La Teste-de-Buch.

Comment avez-vous vécu cette période? Vous y avez forcément cru et au final, tout s’effondre…

Assez difficilement, j’avoue. Quand tu ne fais pas partie d’une aventure, alors que tu as tout donné pour y être, c’est dur. Après, il faut simplement arriver à accepter les choix du staff.

Avez-vous eu l’occasion d’échanger avec Fabien Galthié sur votre non-sélection?

Oui, oui. On a eu une discussion et il m’a expliqué pourquoi je n’étais pas pris. Il a ses idées, j’ai les miennes. Quand tu n’es pas retenu, quelque part, tu n’es jamais forcément trop d’accord mais il faut réussir à le comprendre. Cela n’a pas dû être facile pour lui non plus. Composer un groupe, ce n’est pas évident et ça fait forcément des déçus. J’en faisais partie.

Avez-vous réussi à regarder les matches du Mondial?

Au début, j’avoue que je suis parti en vacances parce que c’était difficile de m’imaginer comme spectateur. Mais après, il faut faire le deuil. C’est comme ça. Dans une carrière, il n’y a pas que des bons moments. Là, c’était un très mauvais. Mais je ne pouvais pas lâcher. Derrière, il y avait le club.

Vous retrouvez le RCT face à Bayonne, pour la 2e journée. En sortie de banc, vous marquez, plein de rage. L’idée, c’était de crever l’écran?

Clairement. C’est exactement ça. Je rentre et directement, je me dis: "Il faut que tu fasses quelque chose". J’ai essayé de rester assez calme dans la préparation, de ne pas le montrer. Mais j’avais tellement la dalle!

Pour le Tournoi, en l’absence d’Antoine Dupont, tout le monde attendait que ça soit votre moment et finalement, cette blessure à l’épaule est venue contrarier vos plans…

Cela aurait pu être mon moment, c’est vrai. Mais ça ne l’a pas été. Personne ne le saura jamais. Le staff des Bleus a pris des nouvelles de ma blessure, ça m’a fait plaisir, mais ça n’a pas été plus loin.

À 29 ans, quel est votre rapport avec les Bleus? Avez-vous l’impression d’avoir bousculé la hiérarchie du staff?

C’est difficile à dire. C’est aux coaches de répondre à ça. Il y a eu des changements d’entraîneurs et je ne les connais pas. Je veux simplement être le meilleur possible pour y revenir. J’ai 29 ans, j’ai encore l’âge. Tant que j’aurai le corps et la foi, je ne lâcherai pas. Tu ne peux pas dire non à l’équipe de France. Je m’y accrocherai toujours.

varmatin.com
RCT: Baptiste Serin, un leader en mission
Florian Dalmasso
5–6 minutes

Débarqué sur les bords de rade à l’été 2019, Baptiste Serin a, en presque cinq saisons à Toulon, acquis un statut particulier. Celui de chouchou du public, d’abord. Sa sortie de l’entraînement, hier sur les coups de 14h30, en témoigne. Les skills terminés, le Girondin est le dernier à quitter la pelouse. Il discute, prend le temps, pose pour les photos, signe des ballons, des posters, des maillots. Toujours avec le sourire.

Les crampons posés au vestiaire, le demi de mêlée aux 44sélections avec le XV de France s’asseoit avec nous, à la cafétéria du Campus. Enfin, juste avant, c’était à son tour de poser, cette fois-ci seul, devant l’objectif de notre photographe. Et sous le regard chambreur d’un Gabin Villière: "Ah, quelle star ce Baptiste. Sur le joug, en plus (appareil pour travailler la mêlée, Ndlr)... t’es vraiment beau, là!" C’est au tour d’Enzo Hervé, ensuite, de lui mettre une pièce: "Le sauveur de Toulon! La Serin dépendance!" Le malicieux N° 9 se marre.
« On naît avec une âme de leader »

Mais dans les faits, l’ancien briviste n’a pas vraiment tort. Cette année – encore plus –, il y a vraiment un Toulon avec et sans Baptiste Serin. C’est indéniable. Sa blessure à l’épaule face à Exeter a coïncidé avec la crise traversée par le RCT pendant près de trois mois. Son retour, avec celui du renouveau face à Montpellier. Comment vit-il ce statut, d’ailleurs? "J’essaye de ne pas trop y faire attention, pour ne pas me mettre de pression."

Vraiment? "Oui j’ai conscience que les gens attendent beaucoup. Mais c’est aussi lié au contexte. Je suis revenu dans une période où on n’avait pas gagné depuis un moment, où il y a une certaine dynamique négative. Mais il n’y a pas que moi. Je pense surtout qu’on a pris conscience, en interne, qu’il fallait qu’on arrête d’attendre que tout nous tombe dans les bras." Et effectivement, depuis quelques semaines, le comportement collectif a changé.

Pierre Mignoni nous l’avait confié, pour lui, "être un leader, ça ne s’invente pas". Son maître à jouer confirme, en nuançant quelque peu: "Je pense que c’est assez inné. On naît avec une âme de leader même si ça se travaille. Notamment sur la parole qui peut être la bonne, le comportement qui peut être le bon. a s’entretient et ça s’amplifie, je dirais." Les joueurs du groupe toulonnais en attestent, Baptiste Serin fait partie de cette trempe de joueurs. Sur le terrain, il est capable de transcender un groupe. Par sa gouaille, par son discours, par son comportement. Mais a-t-il toujours été comme ça? Il rigole: "J’ai toujours aimé ça, depuis petit. On va dire que j’ai un peu de gueule, donc forcément, on m’entend souvent. De par mon poste, j’aime aussi avoir un peu de contrôle sur pas mal de secteurs. Je ne veux pas simplement essayer d’être un leader par la parole, il faut agir aussi. Et ça passe par le terrain."
Le besoin de se ressourcer

Le terrain, justement, Baptiste Serin en a été éloigné pendant près de quatre mois, cette saison. Blessé à l’épaule le 18 décembre face à Exeter, le natif de La Teste-de-Buch a dû ronger son frein de longs mois.

Comment a-t-il vécu cette période? "Mentalement, c’était très, très dur. Je me suis blessé à un moment qui était ultra-important pour moi. Mon objectif, c’était de revenir en équipe de France (lire page suivante). Je ne l’ai jamais caché. Je sais que quand je me blesse, j’ai quelque chose de grave. J’imagine le pire." Pour faire face, le compétiteur a eu besoin de se recentrer sur lui-même et de puiser, auprès de ses proches, l’énergie nécessaire. Il détaille: "Je suis parti avec ma compagne au Cap Ferret, dans ma famille, pour me ressourcer. J’étais un peu cloisonné pour être avec les miens. J’essayais de ne pas ressasser, mais ce n’était pas toujours évident."
"Il me tardait de revenir pour proposer mes idées"

Pendant toute sa convalescence, Baptiste Serin a eu l’impression, avec la franchise qui le caractérise, "de ne servir à rien". Il l’avait confié à Var-matin lors de son retour face à Montpellier. Hier après-midi au Campus, l’homme est revenu sur ce sentiment, pas forcément facile à gérer… et à encaisser. "C’est dur à entendre mais c’est la vérité. Quand tu es blessé, tu ne sers à rien. C’est difficile d’apporter quelque chose au groupe quand tu ne joues pas. Surtout, le club basculait dans une période sportive compliquée. Alors, j’ai essayé de rassurer les mecs comme je pouvais. Il me tardait de revenir pour proposer mes idées sur ce qui, pour moi, n’allait pas sur le terrain." Le résultat, tout le monde le connaît. De retour à la compétition, Baptiste Serin fait partie des leaders qui ont reboosté ce RCT-là. Un Toulon qui, depuis ce fameux match face à Montpellier, montre un tout autre visage. En mission, l’ancien Béglais sait qu’il pratique, aujourd’hui, peut-être le meilleur rugby de sa vie. Et on ne va pas se mentir, si la bande à Mignoni veut, à terme, se glisser tout en haut de l’affiche du Top 14, il faudra un grand Baptiste Serin. En guide, comme à son habitude.

varmatin.com
Pour la qualification du RCT en phase finale de Top 14, Baptiste Serin fait "confiance au destin"
Florian Dalmasso
3–4 minutes

Aussi vif sur le terrain qu’en interview, Baptiste Serin s’est confié à Var-matin. Quelques extraits, pêle-mêle.
Le rugby à la télé, pendant la blessure

"J’étais très, très stressé. Regarder les matches, c’était compliqué pour moi. Surtout parce que je n’avais pas du tout le contrôle. Sur rien. Je voyais des choses qui me paraissaient évidentes et je ne pouvais pas agir. Se retrouver dans le canapé, c’est très brutal. Tu deviens passif et j’avoue que pour moi, ça n’a pas été évident à encaisser."
Des critiques aux banderoles

"Je lis sans lire. Des fois, tu tombes dessus sans vraiment le vouloir. Ce qui me déplaît, c’est d’avoir des banderoles devant le Campus. a, ce sont des choses qui me saoulent. Ces personnes, je les invite à venir nous le dire. Je préfère qu’un mec vienne me dire: “Vous êtes nuls" et en plus, il n’aurait pas eu tort parce qu’on n’était pas très bons, plutôt que de faire ça de manière anonyme. Ce n’est pas du tout constructif. Je suis plutôt pour l’échange avec les gens. C’est bien mieux. »
Enfin une phase finale pour lui?

"Je ne suis pas obnubilé par ça. Forcément que ça m’embête de ne pas la jouer [il n’a jamais disputé la moindre phase finale de Top 14 de sa carrière Ndlr]. L’année dernière, j’y croyais. Mais je ne démarre pas ma saison en me disant: “Il faut vraiment que je sois qualifié". Je fais confiance au destin et à notre travail. Cette année, on a gagné en stabilité. Le club en avait besoin. On sent que tout le monde est un peu apaisé. Il faut passer par des moments difficiles pour construire de belles choses. Ça a été dur la saison dernière et on a quand même gagné une coupe d’Europe (la Challenge Cup), au passage jamais gagnée par le club. C’est peut-être dérisoire pour certains mais pour moi, ça fait partie de l’évolution d’un groupe. Cette année, on fera tout pour être qualifié, c’est évident. Si on y est, c’est bien. Sinon, il faudra continuer de bosser. Je sais qu’il y a de l’attente de la part des supporters mais les premiers déçus, c’est nous. On travaille d’arrache-pied pour ça… et plus. La phase finale, c’est un passage obligatoire pour arriver à notre vrai objectif. »
Son avenir… du côté de Parentis?

"Il me reste deux ans de contrat à Toulon alors je ne me pose pas trop de questions. Bon, il y a le Parentis sports rugby qui se remonte, tous mes potes y re-signent donc peut-être que je vais aller faire quelques mois là-bas. Je suis en train de batailler avec Bernard Lemaitre, j’espère qu’il va me laisser partir (rires). Plus sérieusement, à part si on me dit “Tu es nul, tu t’en vas", je suis un homme de parole. J’ai un contrat et je le respecterai. J’ai toujours fonctionné comme ça. »