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C'est beau, c'est Bordeaux !
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C'est beau, c'est Bordeaux !
Superbe vidéo trouvée sur la page Facebook du club. A regarder en plein écran et avec le son bien poussé. 10' de grand plaisir
En référence à la sortie de Vincent, les "gros cons" qui viennent nous piller ont en effet intérêt à avoir beaucoup d'argent pour réussir dans leurs entreprises
Allez Noël, chiche, tu fais la même sur Bègles
En référence à la sortie de Vincent, les "gros cons" qui viennent nous piller ont en effet intérêt à avoir beaucoup d'argent pour réussir dans leurs entreprises
Allez Noël, chiche, tu fais la même sur Bègles
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
je viens également de la découvrir...c'est effectivement assez top!
Duracuir- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 24/04/2012
Humeur : UNION, quand tu me prends...!!!!
Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
L'histoire de la vidéo http://www.sudouest.fr/2013/09/17/time-lapse-a-bordeaux-la-video-qui-a-comptabilise-40-000-vues-en-une-semaine-1171652-2780.php
Si la Mairie de Bordeaux, le Port Autonome, la CCI, etc. ne finançaient pas les futurs projets d'Eric Briand on n'y comprendrait rien.
Si la Mairie de Bordeaux, le Port Autonome, la CCI, etc. ne finançaient pas les futurs projets d'Eric Briand on n'y comprendrait rien.
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
Après la (belle) vidéo promotionnelle orientée loisir et qualité de vie, en voici un nouvelle destinée aux milieux économiques :
https://www.youtube.com/watch?v=ANkoe76nBS4
Si avec ça, nous n'arrivons pas à attirer de nouveaux partenaires
https://www.youtube.com/watch?v=ANkoe76nBS4
Si avec ça, nous n'arrivons pas à attirer de nouveaux partenaires
Dernière édition par patrick le Jeu 27 Fév 2014 - 18:33, édité 1 fois
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
http://www.sudouest.fr/2013/10/17/la-video-glamour-de-bordeaux-pour-seduire-les-touristes-etrangers-1202549-3.php
Bon stop maintenant, on va finir par être vraiment trop nombreux
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
Et une vidéo de plus qui explique un peu (beaucoup, passionnément, à la folie) pourquoi notre équipe s'éclate :
http://www.ubbrugby.com/actualites/3945-happy-bordeaux-avec-lubb-.html
http://www.sudouest.fr/2014/02/10/pharrell-williams-fait-danser-les-happy-bordelais-1457680-2780.php
http://www.ubbrugby.com/actualites/3945-happy-bordeaux-avec-lubb-.html
http://www.sudouest.fr/2014/02/10/pharrell-williams-fait-danser-les-happy-bordelais-1457680-2780.php
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
Et maintenant on a les bouilles des joueurs de l'UBB dans le spécial Happy fait par Williams pour l'ONU:
http://www.ubbrugby.com/actualites/4091-lubb-apparat-dans-le-montage-de-12-min-happyday-ralis-avec-pharell-williams-243-iloveubb.html
http://www.ubbrugby.com/actualites/4091-lubb-apparat-dans-le-montage-de-12-min-happyday-ralis-avec-pharell-williams-243-iloveubb.html
krahknardz- Team modo
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Localisation : Bègles
Date d'inscription : 07/07/2013
Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
Leurs trognes à 2'40"
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
Ca devient maintenant un classique, mais c'est toujours aussi beau ... et c'est peut-être en partie grâce à ça qu'on attirera les très grands joueurs qui nous ferons encore progresser.
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
Amis du sud amoureux des vagues, c'est pas tout à fait Bordeaux mais c'est juste à côté
Flying in the Waves from glorybox on Vimeo.
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
https://www.greatplacetowork.fr/evenements/en-2019-cest-a-bordeaux-que-les-francais-aimeraient-le-plus-travailler-les-millenials-eux-preferent-paris/
En 2019, c’est à Bordeaux que les Français aimeraient le plus travailler... mais les millenials préfèrent Paris
Great Place to Work dévoile son Palmarès des villes où les Français aimeraient le plus travailler en 2019 !
Cette sixième édition du Palmarès Great Place To Work marque un tournant pour les millenials qui plébiscitent Paris et Lyon, détrônant ainsi Bordeaux qui passe en troisième position pour les moins de 34 ans. Plébiscitée par les Français pour la 6e année consécutive, la capitale girondine conserve sa place de leader auprès de la population française en général, devant Toulouse et Paris.
Millenials vs. l’ensemble des salariés français : les préférences divergent
Du côté des moins de 34 ans, le classement varie, Paris et Lyon devancent désormais Bordeaux avec respectivement 34 et 32% des résultats. Ainsi, la capitale gagne 3 places depuis 2017 et retrouve son attractivité auprès des jeunes.
Si les préférences des moins de 34 ans diffèrent de celles de l’ensemble des salariés français, c’est qu’ils n’accordent pas la même importance aux différents atouts que proposent les villes. Les villes du Sud dominant largement le classement, les millenials semblent accorder plus d’importance que le reste de la population active au dynamisme économique et aux opportunités d’emplois, ainsi qu’aux infrastructures de transport et à l’accessibilité de la capitale. Le dynamisme culturel, l’environnement, le climat, entre autres, demeurent les premiers facteurs d’attractivité des villes dans lesquelles il fait bon travailler.
Pour la 6e année, les Français plébiscitent Bordeaux comme la ville où ils aimeraient le plus travailler
Pour la 6e année consécutive, Bordeaux arrive en tête du classement des villes où il fait bon travailler d’après l’ensemble des Français interrogés. Toulouse tient également sa deuxième position depuis trois ans. Grande nouveauté, Paris gagne deux places et devance Montpellier et Lyon. La capitale vient remplacer Aix-en-Provence, qui disparaît du top 5.
30% de l’ensemble des personnes interrogées et 32 % des jeunes, ont déclaré que Bordeaux est une ville dans laquelle ils aimeraient travailler, plaçant la métropole girondine en haut du podium. C’est deux points de moins que l’année dernière pour l’ensemble des Français.
Au-delà de la qualité du cadre offert par la métropole bordelaise, classée au patrimoine mondial de l’Unesco, de la proximité avec la mer et la montagne et du patrimoine viticole et des nombreux efforts des pouvoirs publics pour favoriser la filière numérique depuis l’obtention du label FrenchTech en 2014, les opportunités professionnelles foisonnent et entretiennent le dynamisme de la ville.
Avec, respectivement, 24% et 23% des votes, les salariés français placent Toulouse puis Paris juste après Bordeaux, tandis que Montpellier maintient sa 4e place avec 22% des votes et que Lyon se hisse de nouveau dans le Top 5 après une année d’absence.
A propos de l’enquête de Great Place To Work
L’étude, réalisée chaque année depuis 2013 par Great Place To Work, a été menée de janvier à février 2019 auprès d’un échantillon représentatif de la population active française de 2 450 personnes dont 789 salariés de moins de 35 ans.
Parmi les critères de sélections des Français, parmi une liste proposée par le questionnaire, la qualité de vie arrive en premier critère pour 73% des interrogés et 70% des jeunes, largement devant le dynamisme économique de la ville (35 et 37%), la proximité avec les familles ou les amis (pour 27% des deux catégories) ou encore le coût du loyer (23% des interrogés).
Parmi les autres critères qui expliquent leur envie de travailler dans une ville en particulier, on retrouve principalement les infrastructures et l’accessibilité de la ville pour 20% salariés français ; une tranche de vie liée à leur âge ou celui de leurs enfants pour 13 % et la qualité de l’enseignement pour 8% des personnes interrogées.
Le Palmarès complet des villes où les Français aimeraient le plus travailler
1 · Bordeaux
2 · Toulouse
3 · Paris
4 · Montpellier
5 · Lyon
6 · Aix-en-Provence
7 · Nantes
8 · Nice
9 · Strasbourg
10 · Perpignan
11 · Marseille
12 · Lille
13 · Rennes
14 · Nîmes
15 · Toulon
16 · Grenoble
17 · Tours
18 · Angers
19 · Brest
20 · Clermont-Ferrand
21 · Dijon
22 · Orléans
23 · Reims
24 · Rouen
25 · Caen
26 · Nancy
27 · Saint-Etienne
28 · Besançon
29 · Le Mans
30 · Metz
31 · Limoges
32 · Amiens
33 · Le Havre
34 · Villeurbanne
35 · Mulhouse
Un championnat où on bat Toulouse, entre autres
En 2019, c’est à Bordeaux que les Français aimeraient le plus travailler... mais les millenials préfèrent Paris
Great Place to Work dévoile son Palmarès des villes où les Français aimeraient le plus travailler en 2019 !
Cette sixième édition du Palmarès Great Place To Work marque un tournant pour les millenials qui plébiscitent Paris et Lyon, détrônant ainsi Bordeaux qui passe en troisième position pour les moins de 34 ans. Plébiscitée par les Français pour la 6e année consécutive, la capitale girondine conserve sa place de leader auprès de la population française en général, devant Toulouse et Paris.
Millenials vs. l’ensemble des salariés français : les préférences divergent
Du côté des moins de 34 ans, le classement varie, Paris et Lyon devancent désormais Bordeaux avec respectivement 34 et 32% des résultats. Ainsi, la capitale gagne 3 places depuis 2017 et retrouve son attractivité auprès des jeunes.
Si les préférences des moins de 34 ans diffèrent de celles de l’ensemble des salariés français, c’est qu’ils n’accordent pas la même importance aux différents atouts que proposent les villes. Les villes du Sud dominant largement le classement, les millenials semblent accorder plus d’importance que le reste de la population active au dynamisme économique et aux opportunités d’emplois, ainsi qu’aux infrastructures de transport et à l’accessibilité de la capitale. Le dynamisme culturel, l’environnement, le climat, entre autres, demeurent les premiers facteurs d’attractivité des villes dans lesquelles il fait bon travailler.
Pour la 6e année, les Français plébiscitent Bordeaux comme la ville où ils aimeraient le plus travailler
Pour la 6e année consécutive, Bordeaux arrive en tête du classement des villes où il fait bon travailler d’après l’ensemble des Français interrogés. Toulouse tient également sa deuxième position depuis trois ans. Grande nouveauté, Paris gagne deux places et devance Montpellier et Lyon. La capitale vient remplacer Aix-en-Provence, qui disparaît du top 5.
30% de l’ensemble des personnes interrogées et 32 % des jeunes, ont déclaré que Bordeaux est une ville dans laquelle ils aimeraient travailler, plaçant la métropole girondine en haut du podium. C’est deux points de moins que l’année dernière pour l’ensemble des Français.
Au-delà de la qualité du cadre offert par la métropole bordelaise, classée au patrimoine mondial de l’Unesco, de la proximité avec la mer et la montagne et du patrimoine viticole et des nombreux efforts des pouvoirs publics pour favoriser la filière numérique depuis l’obtention du label FrenchTech en 2014, les opportunités professionnelles foisonnent et entretiennent le dynamisme de la ville.
Avec, respectivement, 24% et 23% des votes, les salariés français placent Toulouse puis Paris juste après Bordeaux, tandis que Montpellier maintient sa 4e place avec 22% des votes et que Lyon se hisse de nouveau dans le Top 5 après une année d’absence.
A propos de l’enquête de Great Place To Work
L’étude, réalisée chaque année depuis 2013 par Great Place To Work, a été menée de janvier à février 2019 auprès d’un échantillon représentatif de la population active française de 2 450 personnes dont 789 salariés de moins de 35 ans.
Parmi les critères de sélections des Français, parmi une liste proposée par le questionnaire, la qualité de vie arrive en premier critère pour 73% des interrogés et 70% des jeunes, largement devant le dynamisme économique de la ville (35 et 37%), la proximité avec les familles ou les amis (pour 27% des deux catégories) ou encore le coût du loyer (23% des interrogés).
Parmi les autres critères qui expliquent leur envie de travailler dans une ville en particulier, on retrouve principalement les infrastructures et l’accessibilité de la ville pour 20% salariés français ; une tranche de vie liée à leur âge ou celui de leurs enfants pour 13 % et la qualité de l’enseignement pour 8% des personnes interrogées.
Le Palmarès complet des villes où les Français aimeraient le plus travailler
1 · Bordeaux
2 · Toulouse
3 · Paris
4 · Montpellier
5 · Lyon
6 · Aix-en-Provence
7 · Nantes
8 · Nice
9 · Strasbourg
10 · Perpignan
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12 · Lille
13 · Rennes
14 · Nîmes
15 · Toulon
16 · Grenoble
17 · Tours
18 · Angers
19 · Brest
20 · Clermont-Ferrand
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Un championnat où on bat Toulouse, entre autres
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
https://www.francebleu.fr/infos/societe/bordeaux-la-toque-cuivree-a-t-elle-remporte-la-guerre-du-canele-1569247119
Bordeaux : La Toque Cuivrée a-t-elle remporté la guerre du cannelé ?
Après des débuts timides à la fin des années 90, La Toque Cuivrée a désormais investi le centre ville de Bordeaux et connaît depuis une forte croissance. Elle arrive même en tête de plusieurs classements du meilleur cannelé à Bordeaux.
Depuis plus de 30 ans à Bordeaux, la célèbre marque Baillardran régnait sans partage sur le marché du cannelé. Mais l'arrivée de son concurrent La Toque Cuivrée a la fin des années 90 et surtout depuis 2015, a sérieusement rebattu les cartes.
Un changement d'image radical
Alors que la marque Baillardran avait pris dès le départ le parti de positionner le cannelé comme un produit haut de gamme, en l'emballant dans du carton doré, avec un packaging lui aussi très élaboré, le patron de La Toque Cuivrée Bernard Lussaut, se dit lui à la fin des années 90, que le marché pour un produit identique, mais moins cher existe. Il ouvre donc sa première boutique à Artigues-Près-Bordeaux, sous la forme d'un magasin d'usine. Le succès n'est pas immédiat, mais Bernard Lussaut reste persuadé de la pertinence de son concept: la volonté de démocratiser le cannelé.
Un prix défiant toute concurrence
Grâce à un prix très attractif de 70 centimes pour le cannelé classique - contre 2,60 euros pour celui de Baillardran - les ventes finissent par décoller, et la Toque Cuivrée ouvre de nouvelles boutiques tout autour de Bordeaux et en Gironde. Parallèlement, l'enseigne se développe également dans d'autres villes comme La Rochelle, Toulouse ou Clermont-Ferrand. Mais la notoriété de la marque sur la place bordelaise connait un véritable tournant entre 2012 et 2015, quand l'enseigne ouvre coup sur coup ses 5 boutiques dans le centre ville et sur la rive gauche de Bordeaux. Les files d'attente sont immédiates, comme dans la boutique de la rue Sainte Catherine, qui se trouve à 2 pas de porte de la boutique Baillardran, signe de la guerre acharnée que se livrent les 2 enseignes. La marque, qui refuse de communiquer son chiffre d'affaire, affirme néanmoins avoir de belles perspectives de développement avec d'autres ouvertures en ligne de mire. Plusieurs classements ces derniers moins ont placé le cannelé de la Toque Cuivrée devant son concurrent de chez Baillardran*.
* Ces derniers n'ont pas souhaité répondre à notre sollicitation.
Bordeaux : La Toque Cuivrée a-t-elle remporté la guerre du cannelé ?
Après des débuts timides à la fin des années 90, La Toque Cuivrée a désormais investi le centre ville de Bordeaux et connaît depuis une forte croissance. Elle arrive même en tête de plusieurs classements du meilleur cannelé à Bordeaux.
Depuis plus de 30 ans à Bordeaux, la célèbre marque Baillardran régnait sans partage sur le marché du cannelé. Mais l'arrivée de son concurrent La Toque Cuivrée a la fin des années 90 et surtout depuis 2015, a sérieusement rebattu les cartes.
Un changement d'image radical
Alors que la marque Baillardran avait pris dès le départ le parti de positionner le cannelé comme un produit haut de gamme, en l'emballant dans du carton doré, avec un packaging lui aussi très élaboré, le patron de La Toque Cuivrée Bernard Lussaut, se dit lui à la fin des années 90, que le marché pour un produit identique, mais moins cher existe. Il ouvre donc sa première boutique à Artigues-Près-Bordeaux, sous la forme d'un magasin d'usine. Le succès n'est pas immédiat, mais Bernard Lussaut reste persuadé de la pertinence de son concept: la volonté de démocratiser le cannelé.
Un prix défiant toute concurrence
Grâce à un prix très attractif de 70 centimes pour le cannelé classique - contre 2,60 euros pour celui de Baillardran - les ventes finissent par décoller, et la Toque Cuivrée ouvre de nouvelles boutiques tout autour de Bordeaux et en Gironde. Parallèlement, l'enseigne se développe également dans d'autres villes comme La Rochelle, Toulouse ou Clermont-Ferrand. Mais la notoriété de la marque sur la place bordelaise connait un véritable tournant entre 2012 et 2015, quand l'enseigne ouvre coup sur coup ses 5 boutiques dans le centre ville et sur la rive gauche de Bordeaux. Les files d'attente sont immédiates, comme dans la boutique de la rue Sainte Catherine, qui se trouve à 2 pas de porte de la boutique Baillardran, signe de la guerre acharnée que se livrent les 2 enseignes. La marque, qui refuse de communiquer son chiffre d'affaire, affirme néanmoins avoir de belles perspectives de développement avec d'autres ouvertures en ligne de mire. Plusieurs classements ces derniers moins ont placé le cannelé de la Toque Cuivrée devant son concurrent de chez Baillardran*.
* Ces derniers n'ont pas souhaité répondre à notre sollicitation.
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
https://www.sudouest.fr/sport/formule1/bordeaux-il-y-a-70-ans-un-grand-prix-de-formule-1-en-pleine-ville-2118225.php
Bordeaux : il y a 70 ans, un Grand Prix de Formule 1 en pleine ville
Giuseppe Farina dans sa Maserati ; Frederick Llorens dans le virage de Los-Angeles aujourd’hui dévolu aux trams ; les bolides devant les Quinconces Crédit photo : Archives SO et Guillaume Bonnaud
Par Daniel Bozec - d.bozec@sudouest.fr
Autre temps, autres mœurs : le 29 avril 1951, 60 000 personnes assistaient au Grand Prix de Formule 1 de Bordeaux, premier d’une courte série
Des moteurs pétaradant dans les volutes d’huile de ricin et fonçant en pleine ville sous les yeux de 60 000 personnes. Souvenirs du Grand Prix de Formule 1 (F1) de Bordeaux, le dimanche 29 avril 1951, il y a soixante-dix ans. Point de célébrations en vue, si ce n’est une discrète exposition photo dans les bureaux de l’Automobile Club du Sud-Ouest (ACSO), place des Quinconces. Car, à l’heure où s’annonce une zone à faibles émissions dans la Métropole, l’époque est révolue. Et pourtant, ces Grands Prix de F1 urbains – il y en eut cinq à Bordeaux de 1951 à 1955 – disent beaucoup de l’aventure automobile du siècle dernier.
1 La folle idée d’une course aux Quinconces
Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, les Grands Prix essaiment dans de nombreuses villes, parallèlement au tout jeune championnat du monde de Formule 1. Perpignan, Les Sables-d’Olonne, Aix-les-Bains ou encore, plus proche, Angoulême et Pau.
Un aperçu, durant la course, des quais, alors dévolus aux activités portuaires. Crédit photo : Archives « Sud Ouest »
En la matière, Bordeaux a quelques antécédents à faire valoir, notamment l’épreuve Paris-Bordeaux-Paris, en 1895, considérée comme la première course automobile au monde. « L’idée, c’est de renouer avec cette grande histoire », raconte Frederick Llorens, coauteur des « Grands Prix de Bordeaux », sorti en 2013.
Frederick Llorens, sur l’allée de Los-Angeles aujourd’hui dévolue aux trams, mais tracée tout exprès pour le premier Grand Prix de F1. Crédit photo : Guillaume Bonnaud/« Sud Ouest »
Président de l’ACSO, l’œnologue Louis Baillot-d’Estivaux pousse à l’organisation d’un Grand Prix de Formule 1 et, « quitte à faire les choses en grand », le projette autour des Quinconces et sur les quais, déjà parés de grilles pour cause d’installations portuaires.
2 Des allées tracées pour la F1
Au départ du Grand Prix de 1951, place des Quinconces. Crédit photo : Archives « Sud Ouest »
On s’attelle à tracer le circuit autour de la place. La mairie valide : les contre-allées sont élargies, goudronnées, et, mieux, au pied du monument aux Girondins, une voie est tout spécialement aménagée, rappelle Frederick Llorens, pour éviter le passage des monoplaces sous les fenêtres des immeubles en demi-cercle autour des Quinconces. Un virage de 232 mètres qui constitue le « morceau de bravoure » du circuit. « Un virage à entourloupettes ! On rentre dedans à 110, on croit sortir à 100 et on débouche sur la ligne droite à 130 », témoignera le champion moto Georges Monneret en 1953.
Les Grands Prix de Bordeaux ne survivront pas aux années 1950, mais la courbe traverse les décennies et leur cortège d’automobilistes. Baptisée allée de Los-Angeles, elle est, ironie de l’histoire, dédiée depuis 2006 à la ligne C du tram.
3 Un monde fou, 123 tours
Le tour des Quinconces est complété par les quais, avec deux virages en épingle à négocier, l’un à hauteur du Grand Bar Castan (près de la porte Cailhau, place du Palais), l’autre au niveau de la place Lainé (dont l’entrepôt du même nom accueille aujourd’hui le CAPC). Au total, un circuit de 2,457 kilomètres à parcourir 123 fois.
Le premier vainqueur, Louis Rosier, dans sa Talbot Lago. Il périra en 1956 dans un accident de course en région parisienne. Crédit photo : Archives « Sud Ouest »
Le succès est au rendez-vous : 60 000 spectateurs assistent à la victoire du Français Louis Rosier sur Talbot Lago, qui signe au passage le meilleur tour en course (100,4 km/h de moyenne). Au volant d’une Maserati, l’Italien Giuseppe Farina, champion du monde de F1 en titre, « parti en fond de grille, assure le spectacle », raconte Frederick Llorens.
Si le Grand Prix de 1952 est une édition de transition, sur fond de luttes de pouvoirs au sein des instances nationales de la F1, celui de 1953 restera « le Grand Prix des champions du monde », avec Farina, Ascari et Fangio.
Au volant de sa Maserati, le champion du monde en titre Giuseppe Farina, qui assure le spectacle lors de la première édition mais devra abandonner. Crédit photo : Archives « Sud Ouest »
4 La tragédie du Mans
À mi-chemin entre la compétition et le gala, car non inscrit au championnat du monde de F1, le Grand Prix de Bordeaux continue à attirer des milliers de spectateurs chaque printemps. « C’était quelque chose d’ancré par les grandes festivités bordelaises », poursuit Frederick Llorens.
Mais l’épreuve sera emportée par la tragédie qui frappe les 24 Heures du Mans le 11 juin 1955, avec la sortie de route d’une voiture devant la tribune : 84 morts, 120 blessés, l’accident le plus grave du sport automobile. Fini le simple cordon de bottes de paille : impossible pour les organisateurs bordelais de répondre aux nouvelles normes de sécurité imposées, a fortiori en milieu urbain.
Le pilote Maurice Trintignant, sur Gordini, était aussi du premier Grand Prix de Bordeaux. Crédit photo : Archives « Sud Ouest »
5 Pas de plan B
Ce n’est pas faute d’avoir cherché des solutions de repli. « Il y avait des pistes pour trouver un circuit, à Saint-Médard-en-Jalles, au Pian-Médoc, ou encore à Sainte-Hélène, énumère Frederick Llorens. Ça ne s’est jamais concrétisé. »
En 1987, pour les 90 ans de l’Automobile Club, les grands noms, y compris Fangio « qui retrouve sa Gordini », sont de retour aux Quinconces, sur le circuit reconstitué pour l’occasion « avec fermeture de la circulation durant une journée ! » Une autre époque. L’idée d’un événement récurrent, un temps avancée avec la mairie de Bordeaux, sera elle aussi abandonnée.
Bordeaux : il y a 70 ans, un Grand Prix de Formule 1 en pleine ville
Giuseppe Farina dans sa Maserati ; Frederick Llorens dans le virage de Los-Angeles aujourd’hui dévolu aux trams ; les bolides devant les Quinconces Crédit photo : Archives SO et Guillaume Bonnaud
Par Daniel Bozec - d.bozec@sudouest.fr
Autre temps, autres mœurs : le 29 avril 1951, 60 000 personnes assistaient au Grand Prix de Formule 1 de Bordeaux, premier d’une courte série
Des moteurs pétaradant dans les volutes d’huile de ricin et fonçant en pleine ville sous les yeux de 60 000 personnes. Souvenirs du Grand Prix de Formule 1 (F1) de Bordeaux, le dimanche 29 avril 1951, il y a soixante-dix ans. Point de célébrations en vue, si ce n’est une discrète exposition photo dans les bureaux de l’Automobile Club du Sud-Ouest (ACSO), place des Quinconces. Car, à l’heure où s’annonce une zone à faibles émissions dans la Métropole, l’époque est révolue. Et pourtant, ces Grands Prix de F1 urbains – il y en eut cinq à Bordeaux de 1951 à 1955 – disent beaucoup de l’aventure automobile du siècle dernier.
1 La folle idée d’une course aux Quinconces
Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, les Grands Prix essaiment dans de nombreuses villes, parallèlement au tout jeune championnat du monde de Formule 1. Perpignan, Les Sables-d’Olonne, Aix-les-Bains ou encore, plus proche, Angoulême et Pau.
Un aperçu, durant la course, des quais, alors dévolus aux activités portuaires. Crédit photo : Archives « Sud Ouest »
En la matière, Bordeaux a quelques antécédents à faire valoir, notamment l’épreuve Paris-Bordeaux-Paris, en 1895, considérée comme la première course automobile au monde. « L’idée, c’est de renouer avec cette grande histoire », raconte Frederick Llorens, coauteur des « Grands Prix de Bordeaux », sorti en 2013.
Frederick Llorens, sur l’allée de Los-Angeles aujourd’hui dévolue aux trams, mais tracée tout exprès pour le premier Grand Prix de F1. Crédit photo : Guillaume Bonnaud/« Sud Ouest »
Président de l’ACSO, l’œnologue Louis Baillot-d’Estivaux pousse à l’organisation d’un Grand Prix de Formule 1 et, « quitte à faire les choses en grand », le projette autour des Quinconces et sur les quais, déjà parés de grilles pour cause d’installations portuaires.
2 Des allées tracées pour la F1
Au départ du Grand Prix de 1951, place des Quinconces. Crédit photo : Archives « Sud Ouest »
On s’attelle à tracer le circuit autour de la place. La mairie valide : les contre-allées sont élargies, goudronnées, et, mieux, au pied du monument aux Girondins, une voie est tout spécialement aménagée, rappelle Frederick Llorens, pour éviter le passage des monoplaces sous les fenêtres des immeubles en demi-cercle autour des Quinconces. Un virage de 232 mètres qui constitue le « morceau de bravoure » du circuit. « Un virage à entourloupettes ! On rentre dedans à 110, on croit sortir à 100 et on débouche sur la ligne droite à 130 », témoignera le champion moto Georges Monneret en 1953.
Les Grands Prix de Bordeaux ne survivront pas aux années 1950, mais la courbe traverse les décennies et leur cortège d’automobilistes. Baptisée allée de Los-Angeles, elle est, ironie de l’histoire, dédiée depuis 2006 à la ligne C du tram.
3 Un monde fou, 123 tours
Le tour des Quinconces est complété par les quais, avec deux virages en épingle à négocier, l’un à hauteur du Grand Bar Castan (près de la porte Cailhau, place du Palais), l’autre au niveau de la place Lainé (dont l’entrepôt du même nom accueille aujourd’hui le CAPC). Au total, un circuit de 2,457 kilomètres à parcourir 123 fois.
Le premier vainqueur, Louis Rosier, dans sa Talbot Lago. Il périra en 1956 dans un accident de course en région parisienne. Crédit photo : Archives « Sud Ouest »
Le succès est au rendez-vous : 60 000 spectateurs assistent à la victoire du Français Louis Rosier sur Talbot Lago, qui signe au passage le meilleur tour en course (100,4 km/h de moyenne). Au volant d’une Maserati, l’Italien Giuseppe Farina, champion du monde de F1 en titre, « parti en fond de grille, assure le spectacle », raconte Frederick Llorens.
Si le Grand Prix de 1952 est une édition de transition, sur fond de luttes de pouvoirs au sein des instances nationales de la F1, celui de 1953 restera « le Grand Prix des champions du monde », avec Farina, Ascari et Fangio.
Au volant de sa Maserati, le champion du monde en titre Giuseppe Farina, qui assure le spectacle lors de la première édition mais devra abandonner. Crédit photo : Archives « Sud Ouest »
4 La tragédie du Mans
À mi-chemin entre la compétition et le gala, car non inscrit au championnat du monde de F1, le Grand Prix de Bordeaux continue à attirer des milliers de spectateurs chaque printemps. « C’était quelque chose d’ancré par les grandes festivités bordelaises », poursuit Frederick Llorens.
Mais l’épreuve sera emportée par la tragédie qui frappe les 24 Heures du Mans le 11 juin 1955, avec la sortie de route d’une voiture devant la tribune : 84 morts, 120 blessés, l’accident le plus grave du sport automobile. Fini le simple cordon de bottes de paille : impossible pour les organisateurs bordelais de répondre aux nouvelles normes de sécurité imposées, a fortiori en milieu urbain.
Le pilote Maurice Trintignant, sur Gordini, était aussi du premier Grand Prix de Bordeaux. Crédit photo : Archives « Sud Ouest »
5 Pas de plan B
Ce n’est pas faute d’avoir cherché des solutions de repli. « Il y avait des pistes pour trouver un circuit, à Saint-Médard-en-Jalles, au Pian-Médoc, ou encore à Sainte-Hélène, énumère Frederick Llorens. Ça ne s’est jamais concrétisé. »
En 1987, pour les 90 ans de l’Automobile Club, les grands noms, y compris Fangio « qui retrouve sa Gordini », sont de retour aux Quinconces, sur le circuit reconstitué pour l’occasion « avec fermeture de la circulation durant une journée ! » Une autre époque. L’idée d’un événement récurrent, un temps avancée avec la mairie de Bordeaux, sera elle aussi abandonnée.
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
Je suis passé devant ces grilles et ses grues, matin et soir pendant plus de 20ans,les cargos et cargos mixte parfois à couple, un fourmillement permanent et de l'autre cotè rangés comme à la parade ces bars "montants", aux comptoirs profonds avec ces filles couleurs platine,ces quais aseptisés me font peine,je n'y passe plus,quitte à prendre la rocade de l'autre côté.
Sur l'annexe de la feuille de choux Toulousaine, on nous ressert ce match à Mayol où le Rugby perdit peut être son âme et encore, finalement tous en eurent pour leur argent.
Rien sur le retours à Musard, plein comme un oeuf en 7 ou 8ième rang de la main courante et sur le prè, des Toulonnais marqués, Champ blême comme un cierge de carême, Louvet, "l'indien" versant des larmes sous ses perches,de nervosité bien sur.Et le public en folie,il y eut plus de rugby,quelques dix de der pour conclure le match aller.
Le bougnat mit en perce des montagnes de fût de jaune,pour un apéro qui finit au petit matin, bref pas de couvre feu et de Covid.
Un moment de liberté.
Les Varois sont pudique sur cette journée
Sur l'annexe de la feuille de choux Toulousaine, on nous ressert ce match à Mayol où le Rugby perdit peut être son âme et encore, finalement tous en eurent pour leur argent.
Rien sur le retours à Musard, plein comme un oeuf en 7 ou 8ième rang de la main courante et sur le prè, des Toulonnais marqués, Champ blême comme un cierge de carême, Louvet, "l'indien" versant des larmes sous ses perches,de nervosité bien sur.Et le public en folie,il y eut plus de rugby,quelques dix de der pour conclure le match aller.
Le bougnat mit en perce des montagnes de fût de jaune,pour un apéro qui finit au petit matin, bref pas de couvre feu et de Covid.
Un moment de liberté.
Les Varois sont pudique sur cette journée
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
Même nostalgie quand j'en parle avec mon père (il était dans la marine marchande), et tu ne parles pas des mélanges d'odeurs, le parfum des grumes surtout me revient, c'était vivant jusqu'aux années 80. Après c'était quand même tristounet ces quais vides.
LaRuine33- J'aime l'Union à la folie
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
LaRuine33 a écrit:Même nostalgie quand j'en parle avec mon père (il était dans la marine marchande), et tu ne parles pas des mélanges d'odeurs, le parfum des grumes surtout me revient, c'était vivant jusqu'aux années 80. Après c'était quand même tristounet ces quais vides.
Tristounet t'es gentil, moi j'aurais dit glauque
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Tombé tout jaune dans le rugby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
Allez UBB
Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
Et bien moi je pense exactement l’inverse. Y a 30 ans je trouvais ca horrible et glauque et super agréable maintenant. Comme quoi hein ...
Charles_ubb- J'aime l'Union à la folie
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Humeur : Sus a l'arbitre
Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
Il y a 30 ans je ne dis pas le contraire ! Note bien que je parle d'avant les années 80, donc il y a plus de 40 ans !
Après faut aimer les ambiances portuaires, mais pour moi c'était le parfum de mon enfance, dans les années 60/70 quand je retrouvais mon père après des mois d'absence.
Tout est relatif et subjectif !
Après faut aimer les ambiances portuaires, mais pour moi c'était le parfum de mon enfance, dans les années 60/70 quand je retrouvais mon père après des mois d'absence.
Tout est relatif et subjectif !
LaRuine33- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : Gradignan
Date d'inscription : 20/03/2021
Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
LaRuine33 a écrit:Il y a 30 ans je ne dis pas le contraire ! Note bien que je parle d'avant les années 80, donc il y a plus de 40 ans !
Après faut aimer les ambiances portuaires, mais pour moi c'était le parfum de mon enfance, dans les années 60/70 quand je retrouvais mon père après des mois d'absence.
Tout est relatif et subjectif !
Tout à fait. Je pense que ce à quoi fait référence Charles_ubb c'est à la période années 80 et 90 où les quais étaient sans activité portuaire, du coup, il y avait un côté effectivement triste. Ce qui n'a rien à voir pour celles et surtout ceux qui ont connu l'activité portuaire qui a été une caractéristique fondamentale de la ville.
On est passé d'une ville vivante à une ville aseptisée dans laquelle les enseignes,les revêtements sont identiques à Hambourg, Valence ou une ville danoise, il n' y a guère que les façades qui permettent de savoir à peu près où on se situe; bref une ville pour les touristes dans laquelle les logements sont devenus inaccessibles au + grand nombre.
Qui ne regrette pas les rues parsemées de fiantes qui faisaient de Bordeaux sa renommée ?
Ah subjectivité !
le radis- Team modo
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
https://www.sudouest.fr/economie/transports/circulation-en-gironde/en-images-pont-veil-a-bordeaux-le-mecano-du-plus-grand-pont-de-france-en-construction-2386106.php
En images. Pont Veil à Bordeaux : le mécano du plus grand pont de France en construction
Les deux têtes du pont doivent accueillir en tout 1 100 arbres et végétaux, dont le programme de plantation a déjà commencé. Crédit photo : DAVID Thierry
Par Denis Lherm - d.lherm@sudouest.fr
La construction du futur pont Simone-Veil vient de commencer sur la base de chantier de la rive droite. Un mécano aux proportions impressionnantes
Ouvert depuis un mois, le chantier du futur pont Veil est sorti de sa phase d’installation, qui a occupé les ouvriers de Bouygues pendant les premières semaines. Ces derniers s’attaquent maintenant à la réalisation de la « P8 », la première pile, côté rive droite, entre Bordeaux et Floirac. Voici ce qu’il faut retenir de ce chantier.
Le plus grand pont de France
Le pont Veil une fois terminé ne sera pas le plus grand pont de France, mais c’est actuellement le plus gros chantier de construction d’un pont dans le pays. Environ 500 mètres de long, c’est 100 mètres de plus que le pont Chaban-Delmas (inauguré en 2013) car la Garonne est ici plus large. « C’est un pont atypique en raison de sa largeur, 44 mètres, et parce qu’il y aura toute la circulation d’un côté du pont, et une large plateforme piétonne de l’autre côté », ajoute Olivier Hauquin, responsable de la conduite du chantier pour Bordeaux Métropole.
Sur cette vue prise le 10 avril, on distingue en travers de la Garonne l’estacade qui permettra de construire le futur pont Veil.Guillaume Bonnaud / SUD OUEST
Un mécano géant venu de Turquie
D’énormes tubes d’acier sont entreposés sur la base de chantier, côté rive droite. Ils arrivent par bateau de chez l’industriel turc Erciyas, un géant de l’acier, marqués « Simone Veil Bridge » à la peinture blanche.
Les tubes d’acier entreposés sur la base de chantier avant d’être immergés dans la Garonne.guillaume bonnaud / SUD OUEST
Les tubes d’acier qui seront plantés dans le sol par vibration, à 25 mètres de profondeur, font 2,50 m de diamètre. Ils seront remplis de béton et porteront les piles. Ce sont en fait les futures fondations du pont Veil. Il y a 32 tubes à planter : le pont compte huit piles, chaque pile repose sur quatre pieds.
Chaque tube d’acier porte la marque du constructeur turc Erciyas et, à la bombe de peinture, le numéro de la pile qu’il devra soutenir.guillaume bonnaud / SUD OUEST
Premier « lançage » en janvier 2022
En langage technique, le fait de faire glisser horizontalement la charpente (ou le tablier) sur les piles d’un pont depuis la rive s’appelle le « lançage ». Cette opération spectaculaire aura lieu la première fois en janvier 2022. Le lançage (il s’agira en fait un « tirage » avec un câble et une poulie de renvoi) commencera sur les premières piles côté rive droite, alors que celles de la rive gauche seront en cours de construction. La réalisation de la première pile, la P8 côté Floirac, doit commencer dans quelques jours pour une livraison en juillet. Les éléments de la charpente, eux, sont déjà construits et stockés à Châteauneuf-sur-Loire (45), chez une filiale de Fayat, qui avait commencé le chantier avant de renoncer, en 2018.
La semelle en béton (à gauche) est la culée déjà réalisée du futur pont : c’est là que l’ouvrage reposera sur la terre ferme, côté rive droite.guillaume bonnaud / SUD OUEST
1 100 arbres à planter
Parallèlement à la construction du pont, un programme de plantation d’arbres est en cours, de part et d’autre. La seule tête de l’ouvrage côté rive droite doit accueillir environ 600 arbres. Sur la rive gauche, les plantations ont déjà commencé, elles sont visibles sur l’échangeur d’accès au pont. En revanche, il n’y aura pas d’arbres sur l’ouvrage lui-même.
Les gaines en acier des piles ont des dimensions hors normes : 2,50 m de diamètre, 25 mètres de long, 32 tonnes…guillaume bonnaud / SUD OUEST
Veil sera le huitième pont de Bordeaux
Si les délais sont tenus, le pont Simone-Veil sera mis en service début 2024, soit 202 ans après le pont de pierre (inauguré en 1822). Il sera le huitième pont de la ville. Dans l’ordre chronologique : pont de pierre (1822), passerelle Eiffel (1860), pont Saint-Jean (1965), pont d’Aquitaine (1967), pont François-Mitterrand (1993), pont ferroviaire Garonne (2008), pont Chaban-Delmas (2013).
Le chantier en cours sur les éléments métalliques du pont, sur la base de chantier de la rive droite, à Floirac, devant l’Arena.guillaume bonnaud / SUD OUEST
En images. Pont Veil à Bordeaux : le mécano du plus grand pont de France en construction
Les deux têtes du pont doivent accueillir en tout 1 100 arbres et végétaux, dont le programme de plantation a déjà commencé. Crédit photo : DAVID Thierry
Par Denis Lherm - d.lherm@sudouest.fr
La construction du futur pont Simone-Veil vient de commencer sur la base de chantier de la rive droite. Un mécano aux proportions impressionnantes
Ouvert depuis un mois, le chantier du futur pont Veil est sorti de sa phase d’installation, qui a occupé les ouvriers de Bouygues pendant les premières semaines. Ces derniers s’attaquent maintenant à la réalisation de la « P8 », la première pile, côté rive droite, entre Bordeaux et Floirac. Voici ce qu’il faut retenir de ce chantier.
Le plus grand pont de France
Le pont Veil une fois terminé ne sera pas le plus grand pont de France, mais c’est actuellement le plus gros chantier de construction d’un pont dans le pays. Environ 500 mètres de long, c’est 100 mètres de plus que le pont Chaban-Delmas (inauguré en 2013) car la Garonne est ici plus large. « C’est un pont atypique en raison de sa largeur, 44 mètres, et parce qu’il y aura toute la circulation d’un côté du pont, et une large plateforme piétonne de l’autre côté », ajoute Olivier Hauquin, responsable de la conduite du chantier pour Bordeaux Métropole.
Sur cette vue prise le 10 avril, on distingue en travers de la Garonne l’estacade qui permettra de construire le futur pont Veil.Guillaume Bonnaud / SUD OUEST
Un mécano géant venu de Turquie
D’énormes tubes d’acier sont entreposés sur la base de chantier, côté rive droite. Ils arrivent par bateau de chez l’industriel turc Erciyas, un géant de l’acier, marqués « Simone Veil Bridge » à la peinture blanche.
Les tubes d’acier entreposés sur la base de chantier avant d’être immergés dans la Garonne.guillaume bonnaud / SUD OUEST
Les tubes d’acier qui seront plantés dans le sol par vibration, à 25 mètres de profondeur, font 2,50 m de diamètre. Ils seront remplis de béton et porteront les piles. Ce sont en fait les futures fondations du pont Veil. Il y a 32 tubes à planter : le pont compte huit piles, chaque pile repose sur quatre pieds.
Chaque tube d’acier porte la marque du constructeur turc Erciyas et, à la bombe de peinture, le numéro de la pile qu’il devra soutenir.guillaume bonnaud / SUD OUEST
Premier « lançage » en janvier 2022
En langage technique, le fait de faire glisser horizontalement la charpente (ou le tablier) sur les piles d’un pont depuis la rive s’appelle le « lançage ». Cette opération spectaculaire aura lieu la première fois en janvier 2022. Le lançage (il s’agira en fait un « tirage » avec un câble et une poulie de renvoi) commencera sur les premières piles côté rive droite, alors que celles de la rive gauche seront en cours de construction. La réalisation de la première pile, la P8 côté Floirac, doit commencer dans quelques jours pour une livraison en juillet. Les éléments de la charpente, eux, sont déjà construits et stockés à Châteauneuf-sur-Loire (45), chez une filiale de Fayat, qui avait commencé le chantier avant de renoncer, en 2018.
La semelle en béton (à gauche) est la culée déjà réalisée du futur pont : c’est là que l’ouvrage reposera sur la terre ferme, côté rive droite.guillaume bonnaud / SUD OUEST
1 100 arbres à planter
Parallèlement à la construction du pont, un programme de plantation d’arbres est en cours, de part et d’autre. La seule tête de l’ouvrage côté rive droite doit accueillir environ 600 arbres. Sur la rive gauche, les plantations ont déjà commencé, elles sont visibles sur l’échangeur d’accès au pont. En revanche, il n’y aura pas d’arbres sur l’ouvrage lui-même.
Les gaines en acier des piles ont des dimensions hors normes : 2,50 m de diamètre, 25 mètres de long, 32 tonnes…guillaume bonnaud / SUD OUEST
Veil sera le huitième pont de Bordeaux
Si les délais sont tenus, le pont Simone-Veil sera mis en service début 2024, soit 202 ans après le pont de pierre (inauguré en 1822). Il sera le huitième pont de la ville. Dans l’ordre chronologique : pont de pierre (1822), passerelle Eiffel (1860), pont Saint-Jean (1965), pont d’Aquitaine (1967), pont François-Mitterrand (1993), pont ferroviaire Garonne (2008), pont Chaban-Delmas (2013).
Le chantier en cours sur les éléments métalliques du pont, sur la base de chantier de la rive droite, à Floirac, devant l’Arena.guillaume bonnaud / SUD OUEST
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
On avait une boite comme Ponticelli qui était capable de réaliser des gros ouvrages métallique,notamment des plateformes de forage en mer , aujourd'hui on fait travailler les turcs.J'ai noté que déjà avec le peu d'industrie qui nous reste on recherche 400 soudeur dans l'hexagone qui nous font défaut, soudeur c'est un métier, fondeur d'électrodes c'est n'importe quoi.
Il y a un gros problème récurrent de formation dans ce pays.
Il y a un gros problème récurrent de formation dans ce pays.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
https://www.sudouest.fr/economie/transports/bordeaux-en-2022-des-voitures-flasheuses-pour-controler-automatiquement-le-stationnement-payant-2665059.php
Bordeaux : en 2022, des voitures « flasheuses » pour contrôler automatiquement le stationnement payant ?
Par Denis Lherm - d.lherm@sudouest.fr
La mairie étudie la possibilité de faire contrôler le stationnement payant par des voitures équipées de caméras de lecture automatique des plaques d’immatriculation (Lapi)
On verra sans doute dès 2022 des voitures sillonner les rues de Bordeaux avec de drôles de caméras fixées sur le toit. Rien à voir avec la voiture de Google Maps qui filme les rues pour mettre les images en ligne. Ces voitures-là seront exclusivement chargées du contrôle du stationnement payant.
Ce devrait être l’une des nouveautés du marché du stationnement, exploité par une société privée depuis 2018. Dans le cadre de la loi Maptam (Modernisation de l’action publique territoriale et affirmation des métropoles), la plupart des communes ont confié la gestion du stationnement payant à des entreprises spécialisées. À Bordeaux, c’est Moovia, une filiale du géant des transports en commun Transdev, qui s’en charge.
Un contrôle entièrement automatisé
Le marché confié à Moovia prend fin le 31 décembre 2021. La mairie vient de lancer un appel d’offres pour désigner un nouvel opérateur. Moovia est d’ores et déjà candidat, mais Indigo (ex-Vinci Park) serait aussi intéressé, tout comme un opérateur espagnol.
Dans le cadre de ce nouveau marché, les candidats sont censés proposer un service de « Lapi » : lecture automatique de plaque d’immatriculation. La voiture Lapi présente bien des avantages. Les employés qui contrôlent le stationnement sont à l’abri, y compris des agressions. Et elle permet de contrôler plus de voitures. À Montpellier, qui vient d’opter pour ce système, le Lapi permet de faire des tournées de 100 km de rues par jour et de scanner 10 000 plaques, dans une commune qui compte 14 000 places payantes en surface (30 000 à Bordeaux).
Il ne sera pas demandé au prestataire privé de faire plus de contrôles. C’est la façon de contrôler qui va changer avec le Lapi
C’est un système entièrement automatisé : la caméra lit la plaque, l’information est aussitôt transmise à un serveur capable de faire le tri entre l’abonné, l’occasionnel qui a payé son stationnement, celui qui a dépassé son temps et celui qui n’a pas payé. Ces deux derniers reçoivent directement leur « FPS » (depuis 2018, il ne s’agit plus d’amendes mais de forfaits post-stationnement ou FPS) chez eux, pour règlement.
Le payant rapporte gros
Depuis que le contrôle du stationnement payant est passé des mains d’ASVP (agents de surveillance de la voie publique, liés à la police municipale) à celles d’un opérateur privé, les recettes du stationnement ont explosé (voir l’infographie ci-dessous) : 16,5 millions d’euros en 2019 contre 2,7 en 2010. L’explication est simple : les employés de Moovia contrôlent tout le temps et partout, donc les automobilistes payent.
Les recettes des FPS (les anciennes amendes), elles, représentent un peu moins de 10 % du total : 1,4 million d’euros. À quoi sert cet argent ? Il faut distinguer deux flux. Les recettes des horodateurs vont dans les caisses de la municipalité, dans le budget général. Celles des FPS prennent la direction de la Métropole, qui les reverse à l’État, qui lui en redistribue une partie pour financer les transports en commun.
Élu chargé de ce dossier à la mairie, Patrick Papadato affirme que, dans le futur marché, il ne sera pas demandé au prestataire privé de faire plus de contrôles. C’est la façon de contrôler qui va changer avec le Lapi.
Concertation sur le payant
Comme elle l’a déjà annoncé, la nouvelle majorité n’a pas l’intention d’étendre le stationnement payant sans distinction. Cela se fera sur demande des riverains. Toujours selon Patrick Papadato, il y a « une discordance entre le discours de certaines associations, qui sont contre le stationnement payant, et les demandes qui nous arrivent directement des habitants. Certaines mairies de quartier sont assaillies de demandes en faveur du stationnement payant ».
Pour en avoir le cœur net, la municipalité va donc lancer une campagne de concertation ciblée sur des secteurs précis : les boulevards, Caudéran, Saint-Augustin, La Bastide. Là où les demandes d’habitants seraient les plus nombreuses.
Bordeaux : en 2022, des voitures « flasheuses » pour contrôler automatiquement le stationnement payant ?
Par Denis Lherm - d.lherm@sudouest.fr
La mairie étudie la possibilité de faire contrôler le stationnement payant par des voitures équipées de caméras de lecture automatique des plaques d’immatriculation (Lapi)
On verra sans doute dès 2022 des voitures sillonner les rues de Bordeaux avec de drôles de caméras fixées sur le toit. Rien à voir avec la voiture de Google Maps qui filme les rues pour mettre les images en ligne. Ces voitures-là seront exclusivement chargées du contrôle du stationnement payant.
Ce devrait être l’une des nouveautés du marché du stationnement, exploité par une société privée depuis 2018. Dans le cadre de la loi Maptam (Modernisation de l’action publique territoriale et affirmation des métropoles), la plupart des communes ont confié la gestion du stationnement payant à des entreprises spécialisées. À Bordeaux, c’est Moovia, une filiale du géant des transports en commun Transdev, qui s’en charge.
Un contrôle entièrement automatisé
Le marché confié à Moovia prend fin le 31 décembre 2021. La mairie vient de lancer un appel d’offres pour désigner un nouvel opérateur. Moovia est d’ores et déjà candidat, mais Indigo (ex-Vinci Park) serait aussi intéressé, tout comme un opérateur espagnol.
Dans le cadre de ce nouveau marché, les candidats sont censés proposer un service de « Lapi » : lecture automatique de plaque d’immatriculation. La voiture Lapi présente bien des avantages. Les employés qui contrôlent le stationnement sont à l’abri, y compris des agressions. Et elle permet de contrôler plus de voitures. À Montpellier, qui vient d’opter pour ce système, le Lapi permet de faire des tournées de 100 km de rues par jour et de scanner 10 000 plaques, dans une commune qui compte 14 000 places payantes en surface (30 000 à Bordeaux).
Il ne sera pas demandé au prestataire privé de faire plus de contrôles. C’est la façon de contrôler qui va changer avec le Lapi
C’est un système entièrement automatisé : la caméra lit la plaque, l’information est aussitôt transmise à un serveur capable de faire le tri entre l’abonné, l’occasionnel qui a payé son stationnement, celui qui a dépassé son temps et celui qui n’a pas payé. Ces deux derniers reçoivent directement leur « FPS » (depuis 2018, il ne s’agit plus d’amendes mais de forfaits post-stationnement ou FPS) chez eux, pour règlement.
Le payant rapporte gros
Depuis que le contrôle du stationnement payant est passé des mains d’ASVP (agents de surveillance de la voie publique, liés à la police municipale) à celles d’un opérateur privé, les recettes du stationnement ont explosé (voir l’infographie ci-dessous) : 16,5 millions d’euros en 2019 contre 2,7 en 2010. L’explication est simple : les employés de Moovia contrôlent tout le temps et partout, donc les automobilistes payent.
Les recettes des FPS (les anciennes amendes), elles, représentent un peu moins de 10 % du total : 1,4 million d’euros. À quoi sert cet argent ? Il faut distinguer deux flux. Les recettes des horodateurs vont dans les caisses de la municipalité, dans le budget général. Celles des FPS prennent la direction de la Métropole, qui les reverse à l’État, qui lui en redistribue une partie pour financer les transports en commun.
Élu chargé de ce dossier à la mairie, Patrick Papadato affirme que, dans le futur marché, il ne sera pas demandé au prestataire privé de faire plus de contrôles. C’est la façon de contrôler qui va changer avec le Lapi.
Concertation sur le payant
Comme elle l’a déjà annoncé, la nouvelle majorité n’a pas l’intention d’étendre le stationnement payant sans distinction. Cela se fera sur demande des riverains. Toujours selon Patrick Papadato, il y a « une discordance entre le discours de certaines associations, qui sont contre le stationnement payant, et les demandes qui nous arrivent directement des habitants. Certaines mairies de quartier sont assaillies de demandes en faveur du stationnement payant ».
Pour en avoir le cœur net, la municipalité va donc lancer une campagne de concertation ciblée sur des secteurs précis : les boulevards, Caudéran, Saint-Augustin, La Bastide. Là où les demandes d’habitants seraient les plus nombreuses.
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Scalp- Team modo
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
C'est bien comme ça on engraissera comme pour les parkings une société privée et les gugusses qui passent à pieds contrôler on en fera des chômeurs longue durée
J'ai connu ça à Casablanca, des familles qui faisaient concierge de rue, remplacées par des parcmètres et des sabots de Denver. Ils gardaient pour une somme modique nuit et jour, veillant à la sécurité des véhicules et du quartier.Te proposant même de te laver ta bagnole pour des nèfles.
Pas trop tôt qu'on supprime l'ENA.
J'ai connu ça à Casablanca, des familles qui faisaient concierge de rue, remplacées par des parcmètres et des sabots de Denver. Ils gardaient pour une somme modique nuit et jour, veillant à la sécurité des véhicules et du quartier.Te proposant même de te laver ta bagnole pour des nèfles.
Pas trop tôt qu'on supprime l'ENA.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: C'est beau, c'est Bordeaux !
léopold a écrit:C'est bien comme ça on engraissera comme pour les parkings une société privée et les gugusses qui passent à pieds contrôler on en fera des chômeurs longue durée
J'ai connu ça à Casablanca, des familles qui faisaient concierge de rue, remplacées par des parcmètres et des sabots de Denver. Ils gardaient pour une somme modique nuit et jour, veillant à la sécurité des véhicules et du quartier.Te proposant même de te laver ta bagnole pour des nèfles.
Pas trop tôt qu'on supprime l'ENA.
pas vraiment, on va juste lui refaire une beauté en changeant les sigles...
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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