Prolongations, Signatures, Départs pour 2015/2016 ???

:)

Il est vrai que même pris de cours par les journalistes, le silence du clubs est juste assourdissant

calamar33 a écrit:

mon jambon star a écrit:Et des effets spéciaux pareils, ça vient forcément des States.
On peut pas rivaliser.

Pour faire une analogie avec le rugby, c'est en se professionnalisant à outrance que l'UBB doit tendre vers cet objectif d'excellence que nos amis d'outre atlantique ont déjà depuis longtemps intégré.

Absolument.
Même si, il faut aussi en convenir, nous avons nous-même quelques pionniers encourageants de-ci de-là (attention, j'ai cru comprendre que c'était pas trop "jeune public" et je conçois volontiers que l'on puisse douter que ce type de coaching nous conduise à davantage de professionnalisme)  :



j'écoute ça en boucle à fond depuis le lourdage de Vincent hier soir en attendant sereinement le GIGN avec mon couteau à beurre plein de lou Gascoun.
Mais d'un mal peut naître un bien, je n'en disconviens pas. Loin de là.

Cobraaaaââââââaâ !!!

kaze33 a écrit:Le beau jeu à la bordelaise ce n'est pas que Vincent    Il y a contribué fortement avec le soutien du président, des différents managers qu'il a accompagné et l'implication des joueurs. D'ailleurs, Marti lui même se plaignait de pas retrouver ce "beau jeu" depuis quelques mois  

D'accord avec toi, et d'ailleurs j'avais déjà avancé à la sortie des premières rumeurs que l'ADN du jeu de l'UBB c'est plutôt Marti. En effet c'est lui qui est allé dénicher Connor, Rey, Le Bourhis, Talebula, qui reste en charge des recrutements. Ses déclarations ces derniers mois montrent bien qu'il n'est pas satisfait du jeu d'attaque. On peut donc espérer qu'il ait sous la main un remplaçant à Etcheto qui soit dans la lignée de cette philosophie.
Je regrette par contre le côté humain de l'histoire, qui nous rapproche un peu trop des comportements méditerrannéens observés à Toulon ou Montpellier...

bon , moi cela seras avec un bon rhum arrangé , et par chance j'en ais plus de 50 litres devant moi .....
merci ETCHETO , et bonjours au nouveau , qui devras etre meilleur que lui pour que l'on progresse encore
vaut mieux cela que des problèmes entre entres les tetes dirigeantes et pensantes en interne , ce qui risquait de laminer le club

:)

Si galthie vien il faut qui dise a ibanez de prendre nagusa libéré par le mhr

Je suis surpris et déçus, j'attend les arguments de cette éviction patiemment.

Personnellement je suis déçu mais pas trop surpris par le départ de Vincent
Il y avait depuis longtemps des soucis en coulisse
Je mettrais une pièce sur Darricarrère pour le remplacer

si ETCHETO part au STADE FRANCAIS , alors là , je serais déçu , pas par ETCHETO , mais par l'UBB , car un club qui joue la finale du championnat et qui prends un gars limogé par nous .....
Galthié , pas possible , il ne voudras jamais etre le sbire d'un manager , et aux deux autres Français , NONNNNNNNN ! on ne pourra pas dire que l'on cherche a se renforcer .
UN SUDISTE (SUPER12) OUIIIIIIIII !

Je vois quand même mal Fabien Galthié accepter d'être simple entraineur des 3/4 sous les ordres d'Ibanez à l'UBB.
Qu'il accepte ça en équipe de france à la rigueur mais au niveau d'un club c'est une sacrée régression dans son parcours

Christophe Deylaud vu les résultats avec Bayonne au niveau du jeu des arrières, ça parle de lui même pour sa non venue

Quant à David Darricarrère si on veux jouer la rélégation l'année prochaine c'est le choix idéal

Vous savez A Juppé et L Fabius sont bien redevenus ministres après avoir été 1er ministre...

(Si on m'avait dit que j'allais pouvoir placer-pas Vincent-ces 2 noms à la suite, dans cette conversation.... )

Y a un gars comme Pieter Rossouw qui est libre

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:)

Sinon mon doux rêve

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Sur le site internet du Midol, il semble y avoir une interview d'Etcheto concernant son limogeage. Si quelqu'un  peu la poster  

Etcheto limogé : «C’est injuste et injustifié»
Pierre-Laurent Gou 12 juin 2015 - 15:43

À peine limogé par son président, l’entraîneur de l’Union Bordeaux-Bègles, Vincent Etcheto a accepté de livrer à chaud ses impressions et ses vérités. Un entretien sans langue de bois, mais aussi sans aigreur et tout en bonne humeur.

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Article de L'équipe

Vincent Etcheto: «Un sentiment d'injustice»

Après six saisons passées à l'UBB, Vincent Etcheto a été licencié jeudi après-midi par son président, Laurent Marti. L'entraîneur des lignes arrière de Bordeaux-Bègles raconte les conditions de son licenciement, ses effets, et évoque son avenir.

«Est-ce que vous vous attendiez à être licencié de l’UBB, jeudi?
Je m’y étais préparé. Ça faisait plusieurs fois qu’il y avait des petites piques lancées par le président. Rien de très concret. Le climat n’était pas complètement sain. Mais je me disais que le bilan sportif (l’UBB a décroché en barrage contre Gloucester sa place en Coupe d’Europe) et l’ambiance dans l’équipe pouvaient faire réfléchir le président Marti concernant ma mise à l’écart.

Votre licenciement, il couvait depuis longtemps?
Je suis incapable de vous donner une date précise. Ça c’est délité sur des choses qui m’échappent et des critères complètement subjectifs. Visiblement, le président avait décidé de se séparer de moi. J’étais à des années-lumière de voir l’ampleur que cela avait pris. Et rompre un contrat (il lui reste une année) à l’issue d’une saison plutôt réussie, ça me dépasse. D’autant que les remises en question sont permanentes, durant la saison... Il n’y a pas eu de clash, ni avec le staff, ni avec le président.

Comment s’est déroulé votre entretien préalable au licenciement?
Simplement. C’était unilatéral. Il m’a annoncé qu’il se séparait de moi, jeudi à 16h50 précisément, au Grand Hôtel, à Bordeaux, dans un endroit très chic. C’est toujours plus agréable. L’annonce s’est faite au bout de cinq minutes et nous sommes restés ensuite plus d’une heure à discuter.

Vous en retirez quoi, de cette discussion?
Pas le gâchis, parce qu’il y a six saisons plus que positives. Plutôt l’incompréhension et l’injustice, en ce qui me concerne.

Il vous reste un an de contrat, néanmoins...
Ça se négocie. Une chose est sûre, nous ne sommes pas en conflit, donc nous allons éviter les Prud’hommes. Après, il y aura une compensation financière mais je laisserai les gens compétents s’en occuper. Je ne suis pas très doué pour parler d’argent.

Comment comptez-vous rebondir, professionnellement?
J’avais droit à un peu de vacances après onze mois bien remplis. Maintenant, j’ai la vie devant moi puisque je suis un chômeur du rugby. Je vais me poser. Ma fille passe le brevet des collèges et ma priorité, c’est de l’accompagner. Ensuite, il y a la saison des fêtes sur Bayonne. Et puis, avec mon agent, on va travailler sur mon possible retour à la compétition le plus rapidement. Il y a des opportunités mais je vous avoue n’y avoir pas encore réfléchi.

Vous, petit-fils de Jean Dauger, est-ce que l’opportunité d’entraîner la province basque née de la fusion Bayonne-Biarritz peut vous intéresser?
Ce n’est pas encore d’actualité. Attendons que cette fusion soit effective. Par ailleurs, je suis aussi le fils de Roger, demi d’ouverture puis entraîneur de l’Aviron Bayonnais, qui a été dans les années 70 et 80 le garant du jeu à la bayonnaise. Il a marqué son époque et il m’a marqué. Il disait: "On ne peut pas mettre en place du jeu de mouvement avec des idées arrêtées." C’est un précepte que je garde toujours présent à l’esprit. J’ai dû m’expatrier de Bayonne pour prouver que je pouvais entraîner. Boucler la boucle et suivre les traces de mon père, ce serait génial.

Avez-vous évoqué votre départ auprès des membres du staff girondin et des joueurs?
J’ai simplement envoyé un mail à tout le groupe, staff compris, et à l’administratif du club, avec qui j’ai passé six ans magnifiques. Je ne voulais pas qu’ils apprennent mon départ à travers les médias. (Silence) Et j’ai reçu des témoignages très forts. Mais j’ai l’impression d’assister à mon propre enterrement. Il y a de l’affectif, de la tristesse. Je veux dire à tout le monde que la vie continue...

Certains témoignages vous ont touché?
Oui. Des joueurs m’ont appelé de très loin, alors qu’ils sont en vacances. Je n’imaginais pas que je représentais autant à leurs yeux. Certains m’ont ému jusqu’aux larmes. Quand des gens vous disent qu’ils vous aiment, alors qu’ils n’ont plus aucun intérêt vu que je ne suis plus leur entraîneur, ça brasse. Il y en a un qui m’a avoué que j’étais à la fois son frère et son père... Ça prouve que la dimension humaine dans le rugby, ça existe.

Visiblement, après six ans, votre travail au sein de l’UBB n’est pas récompensé. Vous en voulez au président Laurent Marti?
Non. C’est un avantage pour l’UBB d’avoir un homme d’affaires à sa tête qui, en plus, connaît le rugby. Lui pense qu’en m’écartant, il va permettre au club de grandir. S’il le pense, il a raison de le faire. Je ne veux pas aller contre sa volonté.

Quelles étaient vos limites techniques, pour qu’il décide de vous virer aussi soudainement?
Le président Marti vous le dira s’il a envie de vous le dire. Ce qu’on s’est dit reste entre nous. La seule chose que je peux vous dire, c’est que ses arguments ne m’ont pas convaincu.»

kaze33 a écrit:Y a un gars comme Pieter Rossouw qui est libre

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Avec un aussi joli chapeau, ce serait carrément grotesque de ne pas nous positionner sur son éventuelle venue.

kaze33 a écrit:Article de L'équipe

Vincent Etcheto: «Un sentiment d'injustice»

Après six saisons passées à l'UBB, Vincent Etcheto a été licencié jeudi après-midi par son président, Laurent Marti. L'entraîneur des lignes arrière de Bordeaux-Bègles raconte les conditions de son licenciement, ses effets, et évoque son avenir.

«Est-ce que vous vous attendiez à être licencié de l’UBB, jeudi?
Je m’y étais préparé. Ça faisait plusieurs fois qu’il y avait des petites piques lancées par le président. Rien de très concret. Le climat n’était pas complètement sain. Mais je me disais que le bilan sportif (l’UBB a décroché en barrage contre Gloucester sa place en Coupe d’Europe) et l’ambiance dans l’équipe pouvaient faire réfléchir le président Marti concernant ma mise à l’écart.

Votre licenciement, il couvait depuis longtemps?
Je suis incapable de vous donner une date précise. Ça c’est délité sur des choses qui m’échappent et des critères complètement subjectifs. Visiblement, le président avait décidé de se séparer de moi. J’étais à des années-lumière de voir l’ampleur que cela avait pris. Et rompre un contrat (il lui reste une année) à l’issue d’une saison plutôt réussie, ça me dépasse. D’autant que les remises en question sont permanentes, durant la saison... Il n’y a pas eu de clash, ni avec le staff, ni avec le président.

Comment s’est déroulé votre entretien préalable au licenciement?
Simplement. C’était unilatéral. Il m’a annoncé qu’il se séparait de moi, jeudi à 16h50 précisément, au Grand Hôtel, à Bordeaux, dans un endroit très chic. C’est toujours plus agréable. L’annonce s’est faite au bout de cinq minutes et nous sommes restés ensuite plus d’une heure à discuter.

Vous en retirez quoi, de cette discussion?
Pas le gâchis, parce qu’il y a six saisons plus que positives. Plutôt l’incompréhension et l’injustice, en ce qui me concerne.

Il vous reste un an de contrat, néanmoins...
Ça se négocie. Une chose est sûre, nous ne sommes pas en conflit, donc nous allons éviter les Prud’hommes. Après, il y aura une compensation financière mais je laisserai les gens compétents s’en occuper. Je ne suis pas très doué pour parler d’argent.

Comment comptez-vous rebondir, professionnellement?
J’avais droit à un peu de vacances après onze mois bien remplis. Maintenant, j’ai la vie devant moi puisque je suis un chômeur du rugby. Je vais me poser. Ma fille passe le brevet des collèges et ma priorité, c’est de l’accompagner. Ensuite, il y a la saison des fêtes sur Bayonne. Et puis, avec mon agent, on va travailler sur mon possible retour à la compétition le plus rapidement. Il y a des opportunités mais je vous avoue n’y avoir pas encore réfléchi.

Vous, petit-fils de Jean Dauger, est-ce que l’opportunité d’entraîner la province basque née de la fusion Bayonne-Biarritz peut vous intéresser?
Ce n’est pas encore d’actualité. Attendons que cette fusion soit effective. Par ailleurs, je suis aussi le fils de Roger, demi d’ouverture puis entraîneur de l’Aviron Bayonnais, qui a été dans les années 70 et 80 le garant du jeu à la bayonnaise. Il a marqué son époque et il m’a marqué. Il disait: "On ne peut pas mettre en place du jeu de mouvement avec des idées arrêtées." C’est un précepte que je garde toujours présent à l’esprit. J’ai dû m’expatrier de Bayonne pour prouver que je pouvais entraîner. Boucler la boucle et suivre les traces de mon père, ce serait génial.

Avez-vous évoqué votre départ auprès des membres du staff girondin et des joueurs?
J’ai simplement envoyé un mail à tout le groupe, staff compris, et à l’administratif du club, avec qui j’ai passé six ans magnifiques. Je ne voulais pas qu’ils apprennent mon départ à travers les médias. (Silence) Et j’ai reçu des témoignages très forts. Mais j’ai l’impression d’assister à mon propre enterrement. Il y a de l’affectif, de la tristesse. Je veux dire à tout le monde que la vie continue...

Certains témoignages vous ont touché?
Oui. Des joueurs m’ont appelé de très loin, alors qu’ils sont en vacances. Je n’imaginais pas que je représentais autant à leurs yeux. Certains m’ont ému jusqu’aux larmes. Quand des gens vous disent qu’ils vous aiment, alors qu’ils n’ont plus aucun intérêt vu que je ne suis plus leur entraîneur, ça brasse. Il y en a un qui m’a avoué que j’étais à la fois son frère et son père... Ça prouve que la dimension humaine dans le rugby, ça existe.

Visiblement, après six ans, votre travail au sein de l’UBB n’est pas récompensé. Vous en voulez au président Laurent Marti?
Non. C’est un avantage pour l’UBB d’avoir un homme d’affaires à sa tête qui, en plus, connaît le rugby. Lui pense qu’en m’écartant, il va permettre au club de grandir. S’il le pense, il a raison de le faire. Je ne veux pas aller contre sa volonté.

Quelles étaient vos limites techniques, pour qu’il décide de vous virer aussi soudainement?
Le président Marti vous le dira s’il a envie de vous le dire. Ce qu’on s’est dit reste entre nous. La seule chose que je peux vous dire, c’est que ses arguments ne m’ont pas convaincu.»

Putain que ça m'énerve...

(merci Kaze)

Je vais pas me faire des potes sur le forum mais je trouve qu'Etcheto ne perd pas de temps pour donner "sa" version de l'histoire aux médias mais peut être cette fois des "vrais" médias selon lui

http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/2015/06/12/vincent-etcheto-demis-de-ses-fonctions-l-union-bordeaux-begles-745459.html

Top 14 - UBB | Vincent Etcheto : "C'est une décision injuste"
Vendredi 12 juin 2015 à 16h41
Vincent Etcheto, l'ex-entraineur des arrières de l'UBB est amer après son débarquement. Il se livre à France Bleu Gironde.


Vincent Etcheto, l'ex-entraîneur des arrières de l'UBB. Pierre Breteau © Radio France
Vincent Etcheto n'est plus l'entraîneur des arrières de l'Union Bordeaux-Bègles depuis ce jeudi. Il se dit "triste et déçu".

France Bleu Gironde : Quel est votre première réaction ?

Vincent Etcheto : Je savais que ça trottait dans la tête du président depuis un petit moment de se séparer de moi. Je vous avoue que j'ai été déçu, surpris un peu mais surtout déçu parce je pense que c'est une décision injuste. Je suis quelqu'un de convictions, je voulais aller au bout de mon contrat et découvrir la Champions Cup avec ce club. Je pense avoir tout fait pour le mériter. On m'enlève la part du gâteau alors que le gâteau est devant. Il y a de la frustration et de la tristesse car je lâche un groupe de joueurs extraordinaire. La vie continue mais une page se tourne et un peu trop brutalement à mon goût.

Le président Laurent Marti vous a-t-il donné des explications ?

Moi je voulais rester, c'est lui qui a voulu que je parte donc c'est à lui de donner ses explications. Moi j'adore ce club, je m'y éclate. Après j'ai du respect pour Laurent Marti, pour l'homme et je respecte sa décision. En revanche, je ne comprend pas sa décision. Pour moi, son choix est incompréhensible.

Est-ce vous êtes touché par toutes les réaction de soutien à votre égard ?

Je disais à un ami que j'ai l'impresssion d'assister à mon enterrement. C'est très agréable d'avoir des gens qui témoignent d'autant d'affection. Mais ce qui me touche le plus, c'est le respect que les joueurs me témoignent. J'ai l'impression de les lâcher alors que je n'y peux rien. Malgré tous mes défauts, j'ai toujours été fidèle à moi-même et honnête, peut-être trop par moment. C'est pour ça que ma déception est encore plus grande car je pensais avoir fait ce qu'il fallait pour continuer l'aventure.

Quel va être votre avenir maitenant ?

Je ne souhaites rien car je souhaitais avant tout rester à Bordeaux. C'est là que je trouve la décision du président injuste et aussi cruelle car il m'annonce ça 15 jours avant le dépbut de la saison. Moi, je me retrouve dans la panade, sans rien puisque tous les clubs ont déjà leur staff. Je me retrouve avec des longues vacances mais je sais que je vais très vite m'ennuyer. On verra après j'ai connu quelque chose de magnifique à l'UBB donc je ne veux pas me lancer dans un truc médiocre.

Propos recueillis par Clément Carpentier.

kaze33 a écrit:Je vais pas me faire des potes sur le forum mais je trouve qu'Etcheto ne perd pas de temps pour donner "sa" version de l'histoire aux médias mais peut être cette fois des "vrais" médias selon lui

En même temps c'est lui qui se fait virer, et c'est bien le club qui se ridiculise en ne communiquant pas sur le sujet. Marti sur ce coup là est très mauvais médiatiquement. S'il a de bonnes raisons, il ne devrait pas avoir peur de les donner.

krahknardz a écrit:

kaze33 a écrit:Je vais pas me faire des potes sur le forum mais je trouve qu'Etcheto ne perd pas de temps pour donner "sa" version de l'histoire aux médias mais peut être cette fois des "vrais" médias selon lui

En même temps c'est lui qui se fait virer, et c'est bien le club qui se ridiculise en ne communiquant pas sur le sujet. Marti sur ce coup là est très mauvais médiatiquement. S'il a de bonnes raisons, il ne devrait pas avoir peur de les donner.

Les raisons de Marti (justes ou fausses) ne sont surement pas très valorisantes pour Vincent, et ne pas les étaler (comme Altrad l'a fait avec FG) n'est pas forcément un manque de savoir vivre.

patrick a écrit:

krahknardz a écrit:

kaze33 a écrit:Je vais pas me faire des potes sur le forum mais je trouve qu'Etcheto ne perd pas de temps pour donner "sa" version de l'histoire aux médias mais peut être cette fois des "vrais" médias selon lui

En même temps c'est lui qui se fait virer, et c'est bien le club qui se ridiculise en ne communiquant pas sur le sujet. Marti sur ce coup là est très mauvais médiatiquement. S'il a de bonnes raisons, il ne devrait pas avoir peur de les donner.

Les raisons de Marti (justes ou fausses) ne sont surement pas très valorisantes pour Vincent, et ne pas les étaler (comme Altrad l'a fait avec FG) n'est pas forcément un manque de savoir vivre.

Peut-être, peut-être pas (pour ce qu'on en sait).
Mais à défaut de nous mettre intégralement dans le secret des dieux (ça leur appartient), un petit communiqué (avec écrit "merci et bon vent" dedans) n'aurait pas été du luxe en l'état.