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Le XV de France (partie 1)
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Re: Le XV de France (partie 1)
tout à fait d'accord avec christian labit
https://actu.fr/sports/rugby/pro/christian-labit-on-forme-jeunes-des-entraineurs-etrangers-sen-branlent-la-formation-francaise_21583604.html?fbclid=IwAR0CisUCC5DIHCPaQjv_rIglSXm2y5oH8M7fw3uxVbO-6-x7SOTXDvQ2glI
https://actu.fr/sports/rugby/pro/christian-labit-on-forme-jeunes-des-entraineurs-etrangers-sen-branlent-la-formation-francaise_21583604.html?fbclid=IwAR0CisUCC5DIHCPaQjv_rIglSXm2y5oH8M7fw3uxVbO-6-x7SOTXDvQ2glI
marchal- Centre de presse
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Re: Le XV de France (partie 1)
marchal a écrit:tout à fait d'accord avec christian labit
https://actu.fr/sports/rugby/pro/christian-labit-on-forme-jeunes-des-entraineurs-etrangers-sen-branlent-la-formation-francaise_21583604.html?fbclid=IwAR0CisUCC5DIHCPaQjv_rIglSXm2y5oH8M7fw3uxVbO-6-x7SOTXDvQ2glI
Merci pour cet article où effectivement j’adhere En tout point à ce qu’il a dit...sauf sur un point: en 10, c’est Jalibert qu’on installe
J’aurais aimé également qu’il fasse des propositions sur comment redresser le rugby français.
Mais j’ai bien aimé le discours sans langue de bois et sans concession.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 1)
http://www.lerugbynistere.fr/news/xv-de-france-comment-la-victoire-du-xv-de-france-sur-lecosse-a-t-elle-ete-percue-par-la-presse-etrangere-2702191742.php
"En Angleterre, on se demande pourquoi la France, avec tellement de bons joueurs, continue d’avoir de si piètres performances au niveau international. Il y a clairement des problèmes de coaching, de sélection des joueurs, d’état physique et d’organisation. Toutes les nations sont en progrès, à part la France qui est dans l’ornière", déclare Robert Kitson du Guardian.
[...]
La presse britannique est unanime sur le sélectionneur français Jacques Brunel. Robert Kitson du Guardian poursuit pour Le Figaro : "La France en est arrivée à un point où elle a besoin d’un regard extérieur. Le rugby français n’a pas de soucis à faire appel à des joueurs d’origine étrangère, alors pourquoi ne pas faire pareil avec leur entraîneur ? Cela obligerait les joueurs à s’engager à fond pour l’équipe nationale et à changer leur état d’esprit."
Ce n'est pas sans rappeler le journal néo-zélandais Stuff qui titre cette semaine : « L'obsession de la France pour les joueurs de rugby étrangers sera leur perte ».
Il semble qu'au-delà de la France du rugby, c'est le Monde du rugby qui est unanime. Le Monde du rugby, sauf les principaux intéressés : les instances du rugby français
"En Angleterre, on se demande pourquoi la France, avec tellement de bons joueurs, continue d’avoir de si piètres performances au niveau international. Il y a clairement des problèmes de coaching, de sélection des joueurs, d’état physique et d’organisation. Toutes les nations sont en progrès, à part la France qui est dans l’ornière", déclare Robert Kitson du Guardian.
[...]
La presse britannique est unanime sur le sélectionneur français Jacques Brunel. Robert Kitson du Guardian poursuit pour Le Figaro : "La France en est arrivée à un point où elle a besoin d’un regard extérieur. Le rugby français n’a pas de soucis à faire appel à des joueurs d’origine étrangère, alors pourquoi ne pas faire pareil avec leur entraîneur ? Cela obligerait les joueurs à s’engager à fond pour l’équipe nationale et à changer leur état d’esprit."
Ce n'est pas sans rappeler le journal néo-zélandais Stuff qui titre cette semaine : « L'obsession de la France pour les joueurs de rugby étrangers sera leur perte ».
Il semble qu'au-delà de la France du rugby, c'est le Monde du rugby qui est unanime. Le Monde du rugby, sauf les principaux intéressés : les instances du rugby français
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Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
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Re: Le XV de France (partie 1)
https://www.rugbyrama.fr/rugby/xv-de-france/2018-2019/xv-de-france-laporte-ce-nest-pas-a-moi-de-dire-si-fabien-galthie-peut-entrainer-avec-brunel_sto7192212/story.shtml
Une nouvelle jolie partition de flûte de la part du PDG du rugby français. On en rigolerait si ce n'était pas aussi triste et énervant.
Morceaux choisis :
- "Je ne veux rien imposer à personne"...mais "Je veux que Jacques (Brunel) mais aussi ses adjoints partagent ce constat." puis "S’ils me disent non, ils prendront leur responsabilité."
- "si le XV de France arrive à se qualifier en quarts de finale sera une réussite."
- "Pourquoi n’avons-nous pas un arbitre présent dans le staff qui, chaque semaine, dispense des cours de règlement aux joueurs ? Cela nous aiderait à progresser."
Comme d'habitude, il dit "blanc" mais pense "noir", ce n'est pas sa faute mais celle des autres (qu'il a au passage nommé lui-même), mais petite nouveauté, il commence à reconnaître que passer les poules serait déjà un petit exploit et un objectif ambitieux.
Une nouvelle jolie partition de flûte de la part du PDG du rugby français. On en rigolerait si ce n'était pas aussi triste et énervant.
Morceaux choisis :
- "Je ne veux rien imposer à personne"...mais "Je veux que Jacques (Brunel) mais aussi ses adjoints partagent ce constat." puis "S’ils me disent non, ils prendront leur responsabilité."
- "si le XV de France arrive à se qualifier en quarts de finale sera une réussite."
- "Pourquoi n’avons-nous pas un arbitre présent dans le staff qui, chaque semaine, dispense des cours de règlement aux joueurs ? Cela nous aiderait à progresser."
Comme d'habitude, il dit "blanc" mais pense "noir", ce n'est pas sa faute mais celle des autres (qu'il a au passage nommé lui-même), mais petite nouveauté, il commence à reconnaître que passer les poules serait déjà un petit exploit et un objectif ambitieux.
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Re: Le XV de France (partie 1)
Moi je pense que le diffuseur est en grande parti responsable...Switch a écrit:http://www.lerugbynistere.fr/news/xv-de-france-comment-la-victoire-du-xv-de-france-sur-lecosse-a-t-elle-ete-percue-par-la-presse-etrangere-2702191742.php
« L'obsession de la France pour les joueurs de rugby étrangers sera leur perte ».[/color]
Quel battage médiatique pour le retour providentiel de Dan Carter au Racing92 qui ne reviendra pas ensuite....
Toujours plus d'informations sur les soit disant transferts.
Pourquoi je dis cela parce que ce diffuseur est prêt à mettre des centaines de millions d'euros pour un championnat médiatique, et redistribue des dizaines de millions d'euros aux clubs qui font venir de stars planétaires pour des centaines de milliers d'euros, etc...
Du coup des industriels milliardaires ont vu une façon bon marché de ce faire de la pub (en comparaison au foot, du vélo, de la voile, de la Formule 1, etc...) par exemple les Altrad, Lorrenzeti, Boudgellal, Hans-Peter Wild, etc...
Ils achètent à "tour de bras" et à coup de "petits" millions ces stars tant attendus par le diffuseur et la boucle est bouclée
"Le serpent qui se mort la queue"
Dernière édition par jaja69 le Lun 18 Mar 2019 - 14:07, édité 1 fois
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«On prend goût aux douleurs que le rugby provoque. Un match qui ne fait pas mal est un match raté.» (Walter Spanghero)
Re: Le XV de France (partie 1)
Je te rejoins à 100%.
https://www.lemonde.fr/sport/article/2019/03/18/sante-quand-assurer-la-federation-francaise-de-rugby-devient-trop-cher_5437678_3242.html
Santé : quand assurer la Fédération française de rugby devient trop cher
La GMF, assureur historique du rugby français, négocie une hausse de la prime de base, qui pourrait peser sur les comptes déjà déficitaires de la Fédération.
Alors que le rugby s’interroge sur ses règles après la mort de trois joueurs à la suite de chocs en 2018, le coût matériel de la santé des pratiquants pourrait augmenter dans les années à venir.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi L’impossible communication sur les risques du rugby
Car l’assureur et sponsor historique du rugby français, la GMF (Garantie mutuelle des fonctionnaires), se pose des questions. D’après nos informations, celle qui prend en charge les blessures de l’ensemble des licenciés depuis trente ans perd aujourd’hui de l’argent pour assurer la Fédération française de rugby (FFR) : plus de 4 millions d’euros sur un an. Un déficit que la GMF souhaite réduire, elle qui finance déjà le rugby français dans le cadre de partenariats d’image plus classiques, aussi bien avec la Fédération française qu’avec la Ligue nationale.
Elle a donc ouvert des négociations pour obtenir l’augmentation de la prime dite de base, le montant minimum que doit verser chaque année la fédération à l’assureur. Il y a un an, la GMF a déjà obtenu de la FFR que cette somme passe de 8,4 millions à 10,08 millions d’euros pour la saison en cours. Cette fois, selon les estimations faites au Monde, elle espère parvenir à un montant d’au moins 12 millions d’euros pour la saison prochaine, l’exercice 2019-2020.
Un coup dur pour les finances de la FFR ?
Si la GMF obtenait à nouveau gain de cause, elle augmenterait d’environ 50 % en deux saisons sa prime de base ; pas anodin pour les comptes de la Fédération, qui accusait un déficit de 7,35 millions d’euros au terme de l’exercice 2017-2018.
Lire aussi Les comptes déficitaires de la Fédération française de rugby approuvés
La prime de base avait déjà dépassé sensiblement les 10 millions d’euros au début des années 2000, mais avait ensuite décliné au fil des négociations. La perspective - trop optimiste - d’une diminution des blessures, peut-être.
L’évolution totale du nombre de blessés n’est pas rendue publique, pas plus que celle des contentieux. En décembre 2018, la FFR indiquait simplement le nombre de « grands blessés », qui paraît à son avantage : celui-ci a bien baissé depuis le pic de six joueurs déclarés en 2009-2010 avec un handicap très lourd, un « déficit fonctionnel permanent » de 60 % ou plus. Dans pareille situation, la fédération adresse alors à la GMF une somme complémentaire.
Pour faire baisser le coût des licences, la FFR a revu à la baisse l’appel à cotisation lancé chaque année aux joueurs et censé étoffer le fonds provisionné en cas de « grands blessés », actuellement d’un montant de 55 millions d’euros. L’appel pour la saison prochaine a été prévu en partant du principe qu’il n’y aurait aucun grand blessé de déclaré en 2019-2020, comme ce fut le cas en 2017-2018.
Un choix « peu responsable alors que nous avons un nuage noir sur les problèmes juridiques et d’assurance », selon Florian Grill, membre du comité directeur de la FFR et voix de l’opposition, qui alerte notamment sur les risques liés aux commotions cérébrales.
Par l’intermédiaire de son trésorier général, Alexandre Martinez, la FFR affirme au Monde avoir créé « une commission » consacrée à la question de l’assurance. Le groupe est, selon lui, « en cours de constitution » depuis novembre 2018.
Adrien Pécout
https://www.lemonde.fr/sport/article/2019/03/18/sante-quand-assurer-la-federation-francaise-de-rugby-devient-trop-cher_5437678_3242.html
Santé : quand assurer la Fédération française de rugby devient trop cher
La GMF, assureur historique du rugby français, négocie une hausse de la prime de base, qui pourrait peser sur les comptes déjà déficitaires de la Fédération.
Alors que le rugby s’interroge sur ses règles après la mort de trois joueurs à la suite de chocs en 2018, le coût matériel de la santé des pratiquants pourrait augmenter dans les années à venir.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi L’impossible communication sur les risques du rugby
Car l’assureur et sponsor historique du rugby français, la GMF (Garantie mutuelle des fonctionnaires), se pose des questions. D’après nos informations, celle qui prend en charge les blessures de l’ensemble des licenciés depuis trente ans perd aujourd’hui de l’argent pour assurer la Fédération française de rugby (FFR) : plus de 4 millions d’euros sur un an. Un déficit que la GMF souhaite réduire, elle qui finance déjà le rugby français dans le cadre de partenariats d’image plus classiques, aussi bien avec la Fédération française qu’avec la Ligue nationale.
Elle a donc ouvert des négociations pour obtenir l’augmentation de la prime dite de base, le montant minimum que doit verser chaque année la fédération à l’assureur. Il y a un an, la GMF a déjà obtenu de la FFR que cette somme passe de 8,4 millions à 10,08 millions d’euros pour la saison en cours. Cette fois, selon les estimations faites au Monde, elle espère parvenir à un montant d’au moins 12 millions d’euros pour la saison prochaine, l’exercice 2019-2020.
Un coup dur pour les finances de la FFR ?
Si la GMF obtenait à nouveau gain de cause, elle augmenterait d’environ 50 % en deux saisons sa prime de base ; pas anodin pour les comptes de la Fédération, qui accusait un déficit de 7,35 millions d’euros au terme de l’exercice 2017-2018.
Lire aussi Les comptes déficitaires de la Fédération française de rugby approuvés
La prime de base avait déjà dépassé sensiblement les 10 millions d’euros au début des années 2000, mais avait ensuite décliné au fil des négociations. La perspective - trop optimiste - d’une diminution des blessures, peut-être.
L’évolution totale du nombre de blessés n’est pas rendue publique, pas plus que celle des contentieux. En décembre 2018, la FFR indiquait simplement le nombre de « grands blessés », qui paraît à son avantage : celui-ci a bien baissé depuis le pic de six joueurs déclarés en 2009-2010 avec un handicap très lourd, un « déficit fonctionnel permanent » de 60 % ou plus. Dans pareille situation, la fédération adresse alors à la GMF une somme complémentaire.
Pour faire baisser le coût des licences, la FFR a revu à la baisse l’appel à cotisation lancé chaque année aux joueurs et censé étoffer le fonds provisionné en cas de « grands blessés », actuellement d’un montant de 55 millions d’euros. L’appel pour la saison prochaine a été prévu en partant du principe qu’il n’y aurait aucun grand blessé de déclaré en 2019-2020, comme ce fut le cas en 2017-2018.
Un choix « peu responsable alors que nous avons un nuage noir sur les problèmes juridiques et d’assurance », selon Florian Grill, membre du comité directeur de la FFR et voix de l’opposition, qui alerte notamment sur les risques liés aux commotions cérébrales.
Par l’intermédiaire de son trésorier général, Alexandre Martinez, la FFR affirme au Monde avoir créé « une commission » consacrée à la question de l’assurance. Le groupe est, selon lui, « en cours de constitution » depuis novembre 2018.
Adrien Pécout
le radis- Team modo
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Le XV de France (partie 1)
Je suis d'accord sur le nombre de blessures qui augmentent d'années en années.le radis a écrit:Je te rejoins à 100%.
https://www.lemonde.fr/sport/article/2019/03/18/sante-quand-assurer-la-federation-francaise-de-rugby-devient-trop-cher_5437678_3242.html
Santé : quand assurer la Fédération française de rugby devient trop cher
La GMF, assureur historique du rugby français, négocie une hausse de la prime de base, qui pourrait peser sur les comptes déjà déficitaires de la Fédération.
Alors que le rugby s’interroge sur ses règles après la mort de trois joueurs à la suite de chocs en 2018, le coût matériel de la santé des pratiquants pourrait augmenter dans les années à venir.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi L’impossible communication sur les risques du rugby
Car l’assureur et sponsor historique du rugby français, la GMF (Garantie mutuelle des fonctionnaires), se pose des questions. D’après nos informations, celle qui prend en charge les blessures de l’ensemble des licenciés depuis trente ans perd aujourd’hui de l’argent pour assurer la Fédération française de rugby (FFR) : plus de 4 millions d’euros sur un an. Un déficit que la GMF souhaite réduire, elle qui finance déjà le rugby français dans le cadre de partenariats d’image plus classiques, aussi bien avec la Fédération française qu’avec la Ligue nationale.
Elle a donc ouvert des négociations pour obtenir l’augmentation de la prime dite de base, le montant minimum que doit verser chaque année la fédération à l’assureur. Il y a un an, la GMF a déjà obtenu de la FFR que cette somme passe de 8,4 millions à 10,08 millions d’euros pour la saison en cours. Cette fois, selon les estimations faites au Monde, elle espère parvenir à un montant d’au moins 12 millions d’euros pour la saison prochaine, l’exercice 2019-2020.
Un coup dur pour les finances de la FFR ?
Si la GMF obtenait à nouveau gain de cause, elle augmenterait d’environ 50 % en deux saisons sa prime de base ; pas anodin pour les comptes de la Fédération, qui accusait un déficit de 7,35 millions d’euros au terme de l’exercice 2017-2018.
Lire aussi Les comptes déficitaires de la Fédération française de rugby approuvés
La prime de base avait déjà dépassé sensiblement les 10 millions d’euros au début des années 2000, mais avait ensuite décliné au fil des négociations. La perspective - trop optimiste - d’une diminution des blessures, peut-être.
L’évolution totale du nombre de blessés n’est pas rendue publique, pas plus que celle des contentieux. En décembre 2018, la FFR indiquait simplement le nombre de « grands blessés », qui paraît à son avantage : celui-ci a bien baissé depuis le pic de six joueurs déclarés en 2009-2010 avec un handicap très lourd, un « déficit fonctionnel permanent » de 60 % ou plus. Dans pareille situation, la fédération adresse alors à la GMF une somme complémentaire.
Pour faire baisser le coût des licences, la FFR a revu à la baisse l’appel à cotisation lancé chaque année aux joueurs et censé étoffer le fonds provisionné en cas de « grands blessés », actuellement d’un montant de 55 millions d’euros. L’appel pour la saison prochaine a été prévu en partant du principe qu’il n’y aurait aucun grand blessé de déclaré en 2019-2020, comme ce fut le cas en 2017-2018.
Un choix « peu responsable alors que nous avons un nuage noir sur les problèmes juridiques et d’assurance », selon Florian Grill, membre du comité directeur de la FFR et voix de l’opposition, qui alerte notamment sur les risques liés aux commotions cérébrales.
Par l’intermédiaire de son trésorier général, Alexandre Martinez, la FFR affirme au Monde avoir créé « une commission » consacrée à la question de l’assurance. Le groupe est, selon lui, « en cours de constitution » depuis novembre 2018.
Adrien Pécout
Mais les assureurs et complémentaires santé qu'ils arrêtent de nous faire pleurer, ils augmentent à chaque fois qu'ils peuvent leur contrat d'assurances et toujours au détriment des assurés. Je n'ai pas encore vu la baisse de leur frais de gestion (https://www.challenges.fr/entreprise/la-verite-sur-les-derapages-des-complementaires-sante_648350), je n'ai pas encore vu des assureurs vendre leur bien immobiliers acquis sur les bénéfices pharaoniques, Quid du versement de primes aux dirigeants et dividendes aux actionnaires toujours plus importants, le naming des stades c'est qui ???, les sponsors sportifs c'est qui ? et la liste est longue
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«On prend goût aux douleurs que le rugby provoque. Un match qui ne fait pas mal est un match raté.» (Walter Spanghero)
Re: Le XV de France (partie 1)
je remarque quand meme une chose plus on laisse longtemps nos joueurs à disposition de l'edf, moins on a l'impression qu'il joue en équipe et qu'ils ont un fond de jeu.
Avant, lorsque le rugby n'était pas encore professionnel, les joueurs se réunissaient 3 jours avant le match mais on avait l'impression qu'ils avaient toujours joué ensenble.
Maintenant, ils se réunissent pendant des mois et l'on se demande vraiment ce qu'ils foutent durant ces stages car vraiment c'est le néant.
Aprés, quand on nomme à des postes clés des débutants, faut pas vraiment s'étonner des résultats. Bonnaire n'avait jamais entrainé, bruno quelques mois quand à ellissalde... et à l'ubb on a vu les résultats.
je pense que l'on pourra mettre les meilleurs joueurs de la terre entre leurs mains, qu'ils les rendraient complétement indigent
Avant, lorsque le rugby n'était pas encore professionnel, les joueurs se réunissaient 3 jours avant le match mais on avait l'impression qu'ils avaient toujours joué ensenble.
Maintenant, ils se réunissent pendant des mois et l'on se demande vraiment ce qu'ils foutent durant ces stages car vraiment c'est le néant.
Aprés, quand on nomme à des postes clés des débutants, faut pas vraiment s'étonner des résultats. Bonnaire n'avait jamais entrainé, bruno quelques mois quand à ellissalde... et à l'ubb on a vu les résultats.
je pense que l'on pourra mettre les meilleurs joueurs de la terre entre leurs mains, qu'ils les rendraient complétement indigent
marchal- Centre de presse
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Re: Le XV de France (partie 1)
marchal a écrit:je remarque quand meme une chose plus on laisse longtemps nos joueurs à disposition de l'edf, moins on a l'impression qu'il joue en équipe et qu'ils ont un fond de jeu.
Avant, lorsque le rugby n'était pas encore professionnel, les joueurs se réunissaient 3 jours avant le match mais on avait l'impression qu'ils avaient toujours joué ensenble.
Maintenant, ils se réunissent pendant des mois et l'on se demande vraiment ce qu'ils foutent durant ces stages car vraiment c'est le néant.
Aprés, quand on nomme à des postes clés des débutants, faut pas vraiment s'étonner des résultats. Bonnaire n'avait jamais entrainé, bruno quelques mois quand à ellissalde... et à l'ubb on a vu les résultats.
je pense que l'on pourra mettre les meilleurs joueurs de la terre entre leurs mains, qu'ils les rendraient complétement indigent
Les deux activités principale sont de la MUSCUUU et de la communication. En gros, on soulève de la fonte et on apprend comment répondre aux journalistes. Le reste, c'est secondaire
J'en veux pour preuve les ITW après l'Irlande puis l'Italie. Le sélectionneur et 3 ou 4 joueurs sont interviewés, et à chaque fois, on retrouve quasiment les mêmes phrases préfabriquées : "j'ai aimé le caractère de cette équipe", "on a fait preuve de caractère", "il faut retenir le caractère", "le caractère affiché"...etc.
C'est tellement pitoyable que le Canal Rugby Club en a fait une mini-vidéo qui dure 1 minute et montre la même phrase ou presque prononcée tour à tour par chacun. Ridicule...
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Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
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Re: Le XV de France (partie 1)
Même réflexion que Marchal, nos internationaux dans le temps étaient des surhommes, comment faisaient ils pour gagner en créant du jeu reconnu dans le monde entier, sans pour autant avoir recours à autant d'"herbes de la saint jean".
Musculation, diététique voilà deux points forts du rugby du jour dont ils se moquaient comme de l'an 40.Ne parlons pas de communication,un outil qui vient avec la défaite, lorsque tu gagnes tu n'as pas grand chose à dire à justifier car ça se voit que tu es heureux.
Après bien sur créons une "commission", c'est dans le vent, c'est le plaisir des dieux et c'est toujours nécessaire pour noyer le poisson.Il y a des types dont c'est la responsabilités de traiter le problème,alors ils font et s'ils ne savent pas faire, font la place aux autres.
Musculation, diététique voilà deux points forts du rugby du jour dont ils se moquaient comme de l'an 40.Ne parlons pas de communication,un outil qui vient avec la défaite, lorsque tu gagnes tu n'as pas grand chose à dire à justifier car ça se voit que tu es heureux.
Après bien sur créons une "commission", c'est dans le vent, c'est le plaisir des dieux et c'est toujours nécessaire pour noyer le poisson.Il y a des types dont c'est la responsabilités de traiter le problème,alors ils font et s'ils ne savent pas faire, font la place aux autres.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 1)
http://www.lerugbynistere.fr/news/xv-de-france-poste-par-poste-qui-sont-les-97-joueurs-utilises-depuis-le-mondial-2015-1803192107.php
XV DE FRANCE : POSTE PAR POSTE, QUI SONT LES... 97 JOUEURS UTILISÉS DEPUIS LE MONDIAL 2015 ?
Le XV de France ne disputera plus de matchs d'ici la prochaine Coupe du monde. C'est l'heure du bilan, poste par poste.
97, c'est donc le nombre de joueurs utilisés depuis la dernière Coupe du monde. Depuis l'élimination en 1/4 de finale contre les Blacks, et jusqu'à ce week-end venu clôturer le Tournoi des 6 Nations 2019, les Bleus ont disputé... 37 rencontres officielles, pour un bilan peu flatteur : 12 victoires, 1 match nul, et 24 défaites ! L'équipe de France a également connu deux sélectionneurs, Jacques Brunel succédant à Guy Novès en janvier 2018.
Sous l'ère Brunel, les Tricolores ont disputé un total de 16 rencontres. Pour cinq victoires face à l'Italie (2 fois), l'Angleterre et l'Argentine (en 2018) et l'Ecosse il y a un mois. Sportivement, les Bleus ont peu de repères. Et alors que la France ne disputera plus de rencontres d'ici l'annonce de la liste pour la Coupe du monde au Japon, quels joueurs seront retenus pour prendre l'avion ? C'est l'heure du bilan :
Quelques points :
- Nombre de joueurs utilisés depuis la dernière Coupe du monde : 97
- Nombre de joueurs utilisés par Jacques Brunel : 61
- Top 5 des joueurs les plus utilisés depuis la dernière Coupe du monde : Guilhem Guirado (30), Rabah Slimani (29), Baptiste Serin (27), Louis Picamoles (26), Jefferson Poirot (26)
- Top 5 des joueurs les plus utilisés par Jacques Brunel : Dany Priso (13), Guilhem Guirado (12), Jefferson Poirot (12), Sébastien Vahaamahina (12), Mathieu Bastareaud (12)
- Le poste avec le plus de joueurs utilisés : 3ème-ligne aile (18)
- Le poste avec le moins de joueurs utilisés : Demi de mêlée (6)
Avant de voir le XV Type des joueurs les plus utilisés, notons que parmi les 97 joueurs utilisés, certains ont démarré un match à des postes différents :
- Arrière et ailier : Hugo Bonneval, Nans Ducuing, Benjamin Fall, Yoann Huget
- Ailier et centre : Wesley Fofana, Damian Penaud, Gaël Fickou
- Centre et Demi d'ouverture : Romain Ntamack
- N°8 et 3ème-ligne aile : Damien Chouly, Loann Goujon, Kevin Gourdon, Fabien Sanconnie, Grégory Alldritt, Mathieu Babillot (s'il n'a jamais débuté en n°8, le Castrais a été utilisé à ce poste lors de la tournée de novembre 2018)
- 3ème-ligne aile et 2ème-ligne : Bernard Le Roux, Arthur Iturria
Le XV Type depuis la dernière Coupe du monde :
(en se basant sur le nombre de matchs disputés)
Médard
Huget - Fickou - Bastareaud - Vakatawa
Trinh-Duc - Serin
Lauret - Picamoles - Gourdon
Maestri - Vahaamahina
Slimani - Guirado - Poirot
Remplaçants : Chat, Priso, Atonio, Gabrillagues, Y. Camara, Machenaud, Lopez, Doumayrou
Le XV Type depuis l'arrivée de Jacques Brunel :
(en se basant sur le nombre de matchs disputés - en gras, les joueurs qui changent)
Médard
Penaud ou Huget - Doumayrou - Bastareaud - Thomas
Belleau - Serin
Lauret - Picamoles - Iturria
Gabrillagues - Vahaamahina
Slimani - Guirado - Priso
Remplaçants : Chat, Poirot, Gomes Sa, Maestri, Y. Camara, Dupont, Lopez, Fickou
(Statistiques à retrouver en fin d'article, en cliquant sur le lien)
Tout est dit. Rien à ajouter.
XV DE FRANCE : POSTE PAR POSTE, QUI SONT LES... 97 JOUEURS UTILISÉS DEPUIS LE MONDIAL 2015 ?
Le XV de France ne disputera plus de matchs d'ici la prochaine Coupe du monde. C'est l'heure du bilan, poste par poste.
97, c'est donc le nombre de joueurs utilisés depuis la dernière Coupe du monde. Depuis l'élimination en 1/4 de finale contre les Blacks, et jusqu'à ce week-end venu clôturer le Tournoi des 6 Nations 2019, les Bleus ont disputé... 37 rencontres officielles, pour un bilan peu flatteur : 12 victoires, 1 match nul, et 24 défaites ! L'équipe de France a également connu deux sélectionneurs, Jacques Brunel succédant à Guy Novès en janvier 2018.
Sous l'ère Brunel, les Tricolores ont disputé un total de 16 rencontres. Pour cinq victoires face à l'Italie (2 fois), l'Angleterre et l'Argentine (en 2018) et l'Ecosse il y a un mois. Sportivement, les Bleus ont peu de repères. Et alors que la France ne disputera plus de rencontres d'ici l'annonce de la liste pour la Coupe du monde au Japon, quels joueurs seront retenus pour prendre l'avion ? C'est l'heure du bilan :
Quelques points :
- Nombre de joueurs utilisés depuis la dernière Coupe du monde : 97
- Nombre de joueurs utilisés par Jacques Brunel : 61
- Top 5 des joueurs les plus utilisés depuis la dernière Coupe du monde : Guilhem Guirado (30), Rabah Slimani (29), Baptiste Serin (27), Louis Picamoles (26), Jefferson Poirot (26)
- Top 5 des joueurs les plus utilisés par Jacques Brunel : Dany Priso (13), Guilhem Guirado (12), Jefferson Poirot (12), Sébastien Vahaamahina (12), Mathieu Bastareaud (12)
- Le poste avec le plus de joueurs utilisés : 3ème-ligne aile (18)
- Le poste avec le moins de joueurs utilisés : Demi de mêlée (6)
Avant de voir le XV Type des joueurs les plus utilisés, notons que parmi les 97 joueurs utilisés, certains ont démarré un match à des postes différents :
- Arrière et ailier : Hugo Bonneval, Nans Ducuing, Benjamin Fall, Yoann Huget
- Ailier et centre : Wesley Fofana, Damian Penaud, Gaël Fickou
- Centre et Demi d'ouverture : Romain Ntamack
- N°8 et 3ème-ligne aile : Damien Chouly, Loann Goujon, Kevin Gourdon, Fabien Sanconnie, Grégory Alldritt, Mathieu Babillot (s'il n'a jamais débuté en n°8, le Castrais a été utilisé à ce poste lors de la tournée de novembre 2018)
- 3ème-ligne aile et 2ème-ligne : Bernard Le Roux, Arthur Iturria
Le XV Type depuis la dernière Coupe du monde :
(en se basant sur le nombre de matchs disputés)
Médard
Huget - Fickou - Bastareaud - Vakatawa
Trinh-Duc - Serin
Lauret - Picamoles - Gourdon
Maestri - Vahaamahina
Slimani - Guirado - Poirot
Remplaçants : Chat, Priso, Atonio, Gabrillagues, Y. Camara, Machenaud, Lopez, Doumayrou
Le XV Type depuis l'arrivée de Jacques Brunel :
(en se basant sur le nombre de matchs disputés - en gras, les joueurs qui changent)
Médard
Penaud ou Huget - Doumayrou - Bastareaud - Thomas
Belleau - Serin
Lauret - Picamoles - Iturria
Gabrillagues - Vahaamahina
Slimani - Guirado - Priso
Remplaçants : Chat, Poirot, Gomes Sa, Maestri, Y. Camara, Dupont, Lopez, Fickou
(Statistiques à retrouver en fin d'article, en cliquant sur le lien)
Tout est dit. Rien à ajouter.
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Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
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Re: Le XV de France (partie 1)
Il y a une chose qui me gène sur ces listes c'est qu'elles ne mentionnent nullement les raisons de changements de joueurs. Un grand nombre de ces changements vient du fait que les joueurs sont blessés ce qui fait qu'il y a un turn-over important.
Ensuite il y a les joueurs qui ont été décevants pour ne pas dire mauvais et qui ne méritent pas leur place.
Donc quand on veut faire une démonstration, il faut mettre les raisons et ne pas s'arrêter aux stricts changements sans y donner plus d'explications.
Les autres nations ont aussi beaucoup de changement (blessures, méformes, joueurs à tester, etc...) mais le niveau reste le même !!!
Ensuite il y a les joueurs qui ont été décevants pour ne pas dire mauvais et qui ne méritent pas leur place.
Donc quand on veut faire une démonstration, il faut mettre les raisons et ne pas s'arrêter aux stricts changements sans y donner plus d'explications.
Les autres nations ont aussi beaucoup de changement (blessures, méformes, joueurs à tester, etc...) mais le niveau reste le même !!!
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«On prend goût aux douleurs que le rugby provoque. Un match qui ne fait pas mal est un match raté.» (Walter Spanghero)
Re: Le XV de France (partie 1)
jaja69 a écrit:Il y a une chose qui me gène sur ces listes c'est qu'elles ne mentionnent nullement les raisons de changements de joueurs. Un grand nombre de ces changements vient du fait que les joueurs sont blessés ce qui fait qu'il y a un turn-over important.
Ensuite il y a les joueurs qui ont été décevants pour ne pas dire mauvais et qui ne méritent pas leur place.
Donc quand on veut faire une démonstration, il faut mettre les raisons et ne pas s'arrêter aux stricts changements sans y donner plus d'explications.
Les autres nations ont aussi beaucoup de changement (blessures, méformes, joueurs à tester, etc...) mais le niveau reste le même !!!
et aussi le fait qu'il y a eu un changement staff....qui a le droit de choisir des joueurs différents par rapport à l'ancien sélectionneur.
Toutefois on voit bien quand meme que personne ne s'est vraiment imposé, sur aucun poste.
Bien entendu, on reconduit les cadres (Poirot, guirado, Vaha, Picamoles, Bastareaud, Huget, Fickou) mais très sincèrement ils sont tous en dessous du niveau international requis.
Poirot, meme s'il est bordelais, est loin de son meilleur niveau.
Pour moi Bamba a gagné sa place. Dupont, Ntamack, Penaud aussi, à voir les postes pour Ntamak et Penaud. Lambey est très actif, plaque bcp mais c'est pas avec lui qu'on va avancer, la densité physique est quand meme importante à son poste, y a qu'a voir les standards internationaux. Pour le reste, ça peut être des joueurs qui n'ont pas joué ce tournoi ou très très peu.
Des joueurs comme Raka, Grosso, Jedraziak, Cros, Tolofua, Guitoune (jamais je n'aurai pensé qu'il atteigne ce niveau de ce que j'ai vu chez nous), Macalou, Vakatawa, Ben Arrous, Thomas, Mathieu Jalibert, Carbonel, Jolmes, Tauleigne?, Bougarit sont des joueurs qui n'ont rien a envié à ceux qui ont joué le tournoi
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 1)
Il y a aussi un autre paramètre que j’ai oublié pour expliquer qu’on utilise bcp plus de joueurs en France et c’est le top 14. En effet quand l’edf Est en tournée d’ete Elle le fait sans les demi finalistes. Du coup on va piocher ailleurs.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 1)
On utilise aussi beaucoup de monde car même si on a pas mal d'étrangers dans nos équipes, on a quand même 14 équipes. Là, où les celtes et les sudistes piochent dans 3, 4 ou 5 équipes. Nous on pioche dans 14 ( même 15 quand on pense à Bamba). Comme personne ne s'impose, on est tenter d'aller prendre des gars qui font 5 bons matchs de rang. Même s'il n'a joué la grande coupe d'Europe et n'a donc aucune idée du niveau du niveau international. On a à la fois trop de choix ( il y'a par exemple au moins 15 ouvreurs français en top 14!!!!) et pas assez car aucun ne sort du lot.
Un resserrement de l'élite (top 12 ou 10) concentrerait les forces en présence, et on serait moins tenté par la nouveauté du petit nouveau qui réussit 2 feintes de passes quand le titulaire du poste en EDF connaît un coup de moins bien... travailler dans la durée est plus simple quand, comme les écossais, t'as le choix enytr 3 joueurs pour chaque poste.
Un resserrement de l'élite (top 12 ou 10) concentrerait les forces en présence, et on serait moins tenté par la nouveauté du petit nouveau qui réussit 2 feintes de passes quand le titulaire du poste en EDF connaît un coup de moins bien... travailler dans la durée est plus simple quand, comme les écossais, t'as le choix enytr 3 joueurs pour chaque poste.
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 1)
L'ÉQUIPE : https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Pelous-grill-lievremont-blanco-magne-skrela-l-opposition-a-laporte-s-active/1000437
Pelous, Grill, Lièvremont, Blanco, Magne, Skrela : l'opposition à Laporte s'active
Ils sont six, anciens joueurs et sélectionneurs, à avoir constitué un groupe de réflexion depuis un an. L'objectif ? Monter une liste pour les élections fédérales de décembre 2020.
Personne ne se souvient quand le projet a germé. « L'idée est venue à force de discussions, de partage d'idées, d'échanges. Je récuse le terme de liste d'opposition. Ce n'est pas de l'anti-laportisme ! Le rugby français a besoin de se ressouder ; il a besoin d'union », lance Florian Grill. Un de ses collaborateurs dit de lui : « Depuis que Laporte est président, c'est le seul de la liste Camou qui a participé à tous les comités directeurs de la FFR. En tant qu'élu, il y met un point d'honneur. Je pense que c'est là où il est devenu le visage de l'opposition. Il n'y a pas de virage particulier, de moment clé. Ou alors peut-être le début des "affaires", quand la brigade financière a débarqué à Marcoussis. » Soit en janvier 2018.
Comme Grill, Serge Blanco et Fabien Pelous étaient eux aussi en tête de la liste Camou. « Au départ, il y a trois opposants, confirme Blanco. Ça commence là. On a joué notre rôle, et pas pour faire chier le monde. De facto, je fais partie de l'opposition en tant qu'élu de la FFR. Tout comme Florian Grill et Fabien Pelous. Les autres ont changé leur fusil d'épaule. » Grill acquiesce : « Nous sommes dans l'opposition, puisque en face il y a un fonctionnement clanique. Il n'y a pas d'autre choix que de se taire ou être contre... »
S'agrégera rapidement l'ancien entraîneur national (2008-2011), Marc Lièvremont, qui ne souhaite pas s'exprimer pour l'instant. « J'appréciais ses prises de position, et je l'ai rencontré via l'association Culture rugby de mouvement témoignages », ajoute Florian Grill, président de la Ligue Île-de-France. Élu de cette Ligue, c'est tout naturellement que Jean-Claude Skrela - qui n'a pas voulu, lui non plus, faire de commentaires - constitue ce noyau dur. L'ancien entraîneur national (1995-1999) puis DTN « sillonne les départements à la rencontre des clubs. Il est sur le terrain et je travaille avec lui au quotidien », ajoute Grill.
Quant à Olivier Magne, il précise avoir « rencontré Florian Grill à sa demande, en novembre dernier. Nous échangeons sur ce que pourrait être l'avenir du rugby français. Sur une nouvelle gouvernance de la FFR, un nouveau projet et une éthique forte où il est question d'exemplarité. À titre personnel et sans vocation politique, je me suis engagé à apporter mes idées sur le jeu et la formation. »
«Il n'y a pas de liste. Liste, ça fait tronc commun, avec des gens qui tournent autour. Non, il y a juste des gars qui se retrouvent et échangent» Serge Blanco
Sur la base d'une rencontre mensuelle, dans une brasserie du XVe arrondissement de Paris, à Hendaye ou dans les locaux du comité d'Île-de-France, ce groupe des six se retrouve pour « travailler sur un projet », dit l'un d'eux. Même si ce think tank est plus connu sous le vocable « Liste Grill ». Ce que réfute un des participants : « Le mot liste est inapproprié. Il n'y en a pas. Et aucune tête n'émerge pour le moment. Nous ne sommes pas encore en ordre de bataille, et même loin d'y être. » Ce sera, d'ailleurs, l'enjeu des prochaines réunions. « Priorité au projet, assure cependant Florian Grill. Nous entrerons ensuite en campagne. Quant à la liste, elle sera formalisée à la fin. » Une prise de position qui trouve écho chez Olivier Magne : « Ce n'est pas une personne seule qui doit incarner notre projet mais un groupe d'hommes. Il faut envisager la présidence différemment. Quel sera le mode de direction ? Nous ne le savons pas encore. Mais ce qui est certain, c'est qu'il faut changer l'ancien schéma. »
Le problème de la tête de liste
Ce mercredi, Serge Blanco, Florian Grill, Marc Lièvremont, Jean-Claude Skrela et Fabien Pelous (que nous ne sommes pas parvenus à joindre) se retrouveront dans le XIe arrondissement de Paris. Absent pour raisons professionnelles, Olivier Magne participera aux échanges par conférence téléphonique. Comme souvent. D'après l'un des membres de ce think tank, il sera question, entre autres choses, d'évoquer le choix de la future tête de liste.
Même si les six membres de cet aréopage imaginent à l'heure actuelle une gouvernance fédérale tricéphale, partagée plutôt entre Blanco, Grill et Pelous, ils devront, au moment d'annoncer un programme pour les élections fédérales qui devraient se tenir a priori en décembre 2020, présenter les listiers, du numéro 1 au numéro 40. « Rien n'est arrêté », assure Florian Grill. « Il n'y a aucune distinction entre nous par rapport à qui sera tête de liste ou pas, confirme Serge Blanco. Il y aura aussi d'autres noms qui ressortiront officiellement. Quand ce sera le moment de présenter une liste d'opposition. » Soit en juin prochain, soit fin novembre, après la Coupe du monde. R.E.
Au-delà de six « fondateurs », une soixantaine de personnalités se sont spontanément proposées, depuis plusieurs semaines, pour composer la liste, « des noms qui ne sont pas de nature à être cités aujourd'hui », glisse Blanco. Le problème, à terme, ne sera pas de savoir qui inclure mais plutôt qui choisir. Serge Blanco insiste : « Il n'y a pas de liste. Liste, ça fait tronc commun, avec des gens qui tournent autour. Non, il y a juste des gars qui se retrouvent et échangent. » Pour l'instant.
S'il s'en défend, le nom de Florian Grill revient avec insistance pour être numéro un. « Il ne veut pas être président de la FFR, assure un proche du dossier. Même si tout le monde met son nom en avant. Si Pierre Camou avait été réélu, il aurait été vice-président, et ça lui allait bien. » Alors, qui ? Pelous, président de la FFR ? Ou bien Serge Blanco ? « Ça fait des années qu'il circule, mon nom, hein ? », finit par rire l'ancien patron de la LNR et du Biarritz Olympique.
Pelous, Grill, Lièvremont, Blanco, Magne, Skrela : l'opposition à Laporte s'active
Ils sont six, anciens joueurs et sélectionneurs, à avoir constitué un groupe de réflexion depuis un an. L'objectif ? Monter une liste pour les élections fédérales de décembre 2020.
Personne ne se souvient quand le projet a germé. « L'idée est venue à force de discussions, de partage d'idées, d'échanges. Je récuse le terme de liste d'opposition. Ce n'est pas de l'anti-laportisme ! Le rugby français a besoin de se ressouder ; il a besoin d'union », lance Florian Grill. Un de ses collaborateurs dit de lui : « Depuis que Laporte est président, c'est le seul de la liste Camou qui a participé à tous les comités directeurs de la FFR. En tant qu'élu, il y met un point d'honneur. Je pense que c'est là où il est devenu le visage de l'opposition. Il n'y a pas de virage particulier, de moment clé. Ou alors peut-être le début des "affaires", quand la brigade financière a débarqué à Marcoussis. » Soit en janvier 2018.
Comme Grill, Serge Blanco et Fabien Pelous étaient eux aussi en tête de la liste Camou. « Au départ, il y a trois opposants, confirme Blanco. Ça commence là. On a joué notre rôle, et pas pour faire chier le monde. De facto, je fais partie de l'opposition en tant qu'élu de la FFR. Tout comme Florian Grill et Fabien Pelous. Les autres ont changé leur fusil d'épaule. » Grill acquiesce : « Nous sommes dans l'opposition, puisque en face il y a un fonctionnement clanique. Il n'y a pas d'autre choix que de se taire ou être contre... »
S'agrégera rapidement l'ancien entraîneur national (2008-2011), Marc Lièvremont, qui ne souhaite pas s'exprimer pour l'instant. « J'appréciais ses prises de position, et je l'ai rencontré via l'association Culture rugby de mouvement témoignages », ajoute Florian Grill, président de la Ligue Île-de-France. Élu de cette Ligue, c'est tout naturellement que Jean-Claude Skrela - qui n'a pas voulu, lui non plus, faire de commentaires - constitue ce noyau dur. L'ancien entraîneur national (1995-1999) puis DTN « sillonne les départements à la rencontre des clubs. Il est sur le terrain et je travaille avec lui au quotidien », ajoute Grill.
Quant à Olivier Magne, il précise avoir « rencontré Florian Grill à sa demande, en novembre dernier. Nous échangeons sur ce que pourrait être l'avenir du rugby français. Sur une nouvelle gouvernance de la FFR, un nouveau projet et une éthique forte où il est question d'exemplarité. À titre personnel et sans vocation politique, je me suis engagé à apporter mes idées sur le jeu et la formation. »
«Il n'y a pas de liste. Liste, ça fait tronc commun, avec des gens qui tournent autour. Non, il y a juste des gars qui se retrouvent et échangent» Serge Blanco
Sur la base d'une rencontre mensuelle, dans une brasserie du XVe arrondissement de Paris, à Hendaye ou dans les locaux du comité d'Île-de-France, ce groupe des six se retrouve pour « travailler sur un projet », dit l'un d'eux. Même si ce think tank est plus connu sous le vocable « Liste Grill ». Ce que réfute un des participants : « Le mot liste est inapproprié. Il n'y en a pas. Et aucune tête n'émerge pour le moment. Nous ne sommes pas encore en ordre de bataille, et même loin d'y être. » Ce sera, d'ailleurs, l'enjeu des prochaines réunions. « Priorité au projet, assure cependant Florian Grill. Nous entrerons ensuite en campagne. Quant à la liste, elle sera formalisée à la fin. » Une prise de position qui trouve écho chez Olivier Magne : « Ce n'est pas une personne seule qui doit incarner notre projet mais un groupe d'hommes. Il faut envisager la présidence différemment. Quel sera le mode de direction ? Nous ne le savons pas encore. Mais ce qui est certain, c'est qu'il faut changer l'ancien schéma. »
Le problème de la tête de liste
Ce mercredi, Serge Blanco, Florian Grill, Marc Lièvremont, Jean-Claude Skrela et Fabien Pelous (que nous ne sommes pas parvenus à joindre) se retrouveront dans le XIe arrondissement de Paris. Absent pour raisons professionnelles, Olivier Magne participera aux échanges par conférence téléphonique. Comme souvent. D'après l'un des membres de ce think tank, il sera question, entre autres choses, d'évoquer le choix de la future tête de liste.
Même si les six membres de cet aréopage imaginent à l'heure actuelle une gouvernance fédérale tricéphale, partagée plutôt entre Blanco, Grill et Pelous, ils devront, au moment d'annoncer un programme pour les élections fédérales qui devraient se tenir a priori en décembre 2020, présenter les listiers, du numéro 1 au numéro 40. « Rien n'est arrêté », assure Florian Grill. « Il n'y a aucune distinction entre nous par rapport à qui sera tête de liste ou pas, confirme Serge Blanco. Il y aura aussi d'autres noms qui ressortiront officiellement. Quand ce sera le moment de présenter une liste d'opposition. » Soit en juin prochain, soit fin novembre, après la Coupe du monde. R.E.
Au-delà de six « fondateurs », une soixantaine de personnalités se sont spontanément proposées, depuis plusieurs semaines, pour composer la liste, « des noms qui ne sont pas de nature à être cités aujourd'hui », glisse Blanco. Le problème, à terme, ne sera pas de savoir qui inclure mais plutôt qui choisir. Serge Blanco insiste : « Il n'y a pas de liste. Liste, ça fait tronc commun, avec des gens qui tournent autour. Non, il y a juste des gars qui se retrouvent et échangent. » Pour l'instant.
S'il s'en défend, le nom de Florian Grill revient avec insistance pour être numéro un. « Il ne veut pas être président de la FFR, assure un proche du dossier. Même si tout le monde met son nom en avant. Si Pierre Camou avait été réélu, il aurait été vice-président, et ça lui allait bien. » Alors, qui ? Pelous, président de la FFR ? Ou bien Serge Blanco ? « Ça fait des années qu'il circule, mon nom, hein ? », finit par rire l'ancien patron de la LNR et du Biarritz Olympique.
Scalp- Team modo
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Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Le XV de France (partie 1)
Même si Blanco est loin d'être un saint, je souscris à la philosophie et aux idées affichées par ce groupe de personnes.
Laporte se comporte de plus en plus comme un parrain de la mafia, à la tête d'un clan qui comporte des bras droits, faisant office de "mains armées" (telles S. Simon, mandaté pour descendre Guirado), et des suiveurs, qui sont pour une plus ou moins grande partie contraints de suivre en silence les ordres et décisions du boss.
J'en veux notamment pour preuve ce genre d'article et d'enquête : https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Ffr-une-enquete-souligne-un-mal-etre-a-marcoussis/969505
On y apprenait qu'environ 50% des salariés de la FFR ne recommanderaient pas de travailler à la FFR, que le climat s'est fortement dégradé depuis la prise de fonction de Laporte & Co, qu'un "management par la peur" a été mis en place, que des gens sont "stigmatisés" et/ou "étiquettés", parfois ciblés, lorsqu'ils ne sont pas dans le moule, ne suivent pas les directives ou plus simplement ne sont pas dans les petits papiers ou dans le "clan" du boss.
Ce clan, qui s'étend au-delà de la FFR, parfois jusque dans les clubs ou les médias par l'intermédiaire des copinages de Laporte & Co (Moscato, Chabal...), a totalement mis la main sur le rugby français, et n'apporte strictement rien, voire pire, accélère sa chute. Ses seules préoccupations sont l'argent et le pouvoir, en se focalisant sur des fantasmes comme le mondial 2023, alors que l'urgence est dans le présent, dans le quotidien, dans le rugby pro mais aussi à l'échelle régionale et même locale, dans les clubs, dans les écoles de rugby.
Notre rugby aujourd'hui est pensé et géré comme un business, avec des clubs-entreprises et des présidents-businessmen, toujours à courir derrière l'argent, le clinquant et le marketing, mais et c'est paradoxal avec également un grand conservatisme sur certains points, comme le refus de recourir à un sélectionneur étranger, ou le maintien d'un jeu restrictif et dépassé, encouragé par une pression sportive et financière énorme d'un autoproclamé "meilleur championnat du monde" qui perd chaque année des spectateurs et entraîne notre rugby français vers les bas-fonds. Malgré tout, nos dirigeants restent dans le dénis, persuadés de détenir la vérité absolue, n'écoutant qu'eux quand tout le reste de la planète rugby écoute ce qui se fait ailleurs, tente des choses, apprend du passé et travaille sur lui-même en se remettant en question.
Bref, oui j'ai hâte de voir une vraie opposition se dessiner, et qu'en 2020 nous dégagions cette mafia qui tue notre sport à petit feu. Qu'on mette en place des gens plus ouverts, plus dynamiques, plus réfléchis et plus jeunes. Des gens qui écouteront, qui regarderont, qui analyseront, qui réfléchiront, qui feront preuve d'humilité et de respect, et qui n'auront pour seule motivation et seul objectif que d'améliorer notre rugby, le faire avancer, le faire évoluer, et le faire grandir. Bref, qui n'auront que pour seul intérêt ce sport, pas le fric qu'il brasse ou le pouvoir qu'il peut conférer.
Laporte se comporte de plus en plus comme un parrain de la mafia, à la tête d'un clan qui comporte des bras droits, faisant office de "mains armées" (telles S. Simon, mandaté pour descendre Guirado), et des suiveurs, qui sont pour une plus ou moins grande partie contraints de suivre en silence les ordres et décisions du boss.
J'en veux notamment pour preuve ce genre d'article et d'enquête : https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Ffr-une-enquete-souligne-un-mal-etre-a-marcoussis/969505
On y apprenait qu'environ 50% des salariés de la FFR ne recommanderaient pas de travailler à la FFR, que le climat s'est fortement dégradé depuis la prise de fonction de Laporte & Co, qu'un "management par la peur" a été mis en place, que des gens sont "stigmatisés" et/ou "étiquettés", parfois ciblés, lorsqu'ils ne sont pas dans le moule, ne suivent pas les directives ou plus simplement ne sont pas dans les petits papiers ou dans le "clan" du boss.
Ce clan, qui s'étend au-delà de la FFR, parfois jusque dans les clubs ou les médias par l'intermédiaire des copinages de Laporte & Co (Moscato, Chabal...), a totalement mis la main sur le rugby français, et n'apporte strictement rien, voire pire, accélère sa chute. Ses seules préoccupations sont l'argent et le pouvoir, en se focalisant sur des fantasmes comme le mondial 2023, alors que l'urgence est dans le présent, dans le quotidien, dans le rugby pro mais aussi à l'échelle régionale et même locale, dans les clubs, dans les écoles de rugby.
Notre rugby aujourd'hui est pensé et géré comme un business, avec des clubs-entreprises et des présidents-businessmen, toujours à courir derrière l'argent, le clinquant et le marketing, mais et c'est paradoxal avec également un grand conservatisme sur certains points, comme le refus de recourir à un sélectionneur étranger, ou le maintien d'un jeu restrictif et dépassé, encouragé par une pression sportive et financière énorme d'un autoproclamé "meilleur championnat du monde" qui perd chaque année des spectateurs et entraîne notre rugby français vers les bas-fonds. Malgré tout, nos dirigeants restent dans le dénis, persuadés de détenir la vérité absolue, n'écoutant qu'eux quand tout le reste de la planète rugby écoute ce qui se fait ailleurs, tente des choses, apprend du passé et travaille sur lui-même en se remettant en question.
Bref, oui j'ai hâte de voir une vraie opposition se dessiner, et qu'en 2020 nous dégagions cette mafia qui tue notre sport à petit feu. Qu'on mette en place des gens plus ouverts, plus dynamiques, plus réfléchis et plus jeunes. Des gens qui écouteront, qui regarderont, qui analyseront, qui réfléchiront, qui feront preuve d'humilité et de respect, et qui n'auront pour seule motivation et seul objectif que d'améliorer notre rugby, le faire avancer, le faire évoluer, et le faire grandir. Bref, qui n'auront que pour seul intérêt ce sport, pas le fric qu'il brasse ou le pouvoir qu'il peut conférer.
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Re: Le XV de France (partie 1)
On peut faire confiance à cette clique dite d'opposition pour elle aussi gratter le pognon surtout celui des autres.
Se séparer de Laporte pour tomber dans les bras de Blanco c'est du pareil au même,j'ajoute que la aussi comme ailleurs dans ce beau pays ces gens là ont été plus ou moins aux affaires et que notre Rugby n'est pas tombé en faillite du jour au lendemain ils y ont leur part.
Le Rugby amateur a servi de vecteur à Laporte et son équipe lors de l'affrontement avec Camou qui était un type usé,qui se présentait pour faire la place à d'autre au premier rang desquels le beau Serge,qui pouvait faire le beau avec le fric de "Cap Gémini", qui n'a jamais mis un radis dans le Rugby Basque qui aurait mêrité un autre avenir.Laporte met de l'ordre, son ordre, avec des manières et des gens qui ne plaisent pas, mais a t'il totalement tort,virer Guirado qui est cuit,pareil pour Novés un grand du Rugby mais dont la fin de règne à Toulouse ou en EDF n'avait plus lieu de lui confier quoi que ce soit.
Un type comme Barrière qui vient de disparaitre avait un pédigree aussi fourni que le sien, mais avec l'age il avait compris que la sagesse implique de prendre du recul, le monde et le Rugby ont changé,pour les joueurs comme pour le staff la nouvelle génération doit prendre ses responsabilités et trouver sa place.
Se séparer de Laporte pour tomber dans les bras de Blanco c'est du pareil au même,j'ajoute que la aussi comme ailleurs dans ce beau pays ces gens là ont été plus ou moins aux affaires et que notre Rugby n'est pas tombé en faillite du jour au lendemain ils y ont leur part.
Le Rugby amateur a servi de vecteur à Laporte et son équipe lors de l'affrontement avec Camou qui était un type usé,qui se présentait pour faire la place à d'autre au premier rang desquels le beau Serge,qui pouvait faire le beau avec le fric de "Cap Gémini", qui n'a jamais mis un radis dans le Rugby Basque qui aurait mêrité un autre avenir.Laporte met de l'ordre, son ordre, avec des manières et des gens qui ne plaisent pas, mais a t'il totalement tort,virer Guirado qui est cuit,pareil pour Novés un grand du Rugby mais dont la fin de règne à Toulouse ou en EDF n'avait plus lieu de lui confier quoi que ce soit.
Un type comme Barrière qui vient de disparaitre avait un pédigree aussi fourni que le sien, mais avec l'age il avait compris que la sagesse implique de prendre du recul, le monde et le Rugby ont changé,pour les joueurs comme pour le staff la nouvelle génération doit prendre ses responsabilités et trouver sa place.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 1)
Pour ma part, je suis étonné par toutes les nominations (et organisations d'évènements) qui s'avèrent avoir un rapport avec la région bordelaise voire directement le CABBG et l'UBB. Je me demande où il n'y a pas encore un "bordelais" à la FFR On a tressé des lauriers à Juppé mais l'économie Girondine doit aussi beaucoup à nos parrains Laporte et Simon
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Tombé tout jaune dans le rugby.
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Allez UBB
Re: Le XV de France (partie 1)
https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/gironde/bordeaux/rugby-xv-france-constat-accablant-guy-accoceberry-1643132.html#xtor=EPR-521-[france3regions]-20190325-[info-titre1]&pid=726375-1458119039-318fb08f
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Re: Le XV de France (partie 1)
L'ÉQUIPE : https://www.sudouest.fr/2019/03/27/xv-de-france-bernard-laporte-nommera-le-futur-selectionneur-avant-la-coupe-du-monde-2019-5935367-773.php
XV de France : Bernard Laporte nommera le futur sélectionneur avant la Coupe du monde 2019
Publié le 27/03/2019 à 10h53. Mis à jour à 10h56 par SudOuest.fr.
Le président de la FFR annonce qu’il choisira la successeur de Jacques Brunel avant même le début de la compétition qui débutera le 20 septembre
Jacques Brunel ne devrait pas aller au-delà de la Coupe du monde 2019 au Japon. À en croire le président de la FFR Bernard Laporte, dans une interview au Progrès, la page sera tournée sitôt la compétition achevée alors que le contrat de Brunel court pourtant jusqu’en juin 2020. "On a finalement convenu qu’il fallait basculer rapidement sur la Coupe du monde 2023 en France. Le prochain sélectionneur sera nommé avant la Coupe du monde 2019", affirme le patron du rugby français, qui ne veut se fermer aucune option.
"Les mecs que je souhaite, si ce n’est pas moi qui les fais signer, ce sont d’autres qui le feront. Alors, on va aller vite"
Bernard Laporte entend frapper fort, en offrant un grand nom du coaching au XV de France. Il affirme avoir "rencontré les cinq meilleurs entraîneurs au monde pour leur proposer le poste", ce qui laisse ainsi à penser que le successeur de Brunel sera étranger.
"Autant avant, on disait que ce n’était pas possible. Autant, aujourd’hui, c’est ouvert. Je ne suis pas nécessairement attaché à ce qu’il soit étranger. Mon seul objectif, c’est d’avoir le meilleur pour retrouver une équipe de France qui gagne."
Qui avec Brunel au Japon ?
En attendant, il y a le rendez-vous de l’automne (du 20 septembre au 2 novembre), pour lequel les Bleus seront, au mieux, à ranger parmi les outsiders. Jacques Brunel sera bien à la tête de l’équipe lors de cette Coupe du monde. Au sein d’un staff renforcé ? "C’est Jacques qui décidera ! Il a carte blanche", souligne Laporte qui n’imposera donc aucun nom à son sélectionneur. Si Fabien Galthié arrivait en renfort, ce ne serait donc que par la volonté de Jacques Brunel.
XV de France : Bernard Laporte nommera le futur sélectionneur avant la Coupe du monde 2019
Publié le 27/03/2019 à 10h53. Mis à jour à 10h56 par SudOuest.fr.
Le président de la FFR annonce qu’il choisira la successeur de Jacques Brunel avant même le début de la compétition qui débutera le 20 septembre
Jacques Brunel ne devrait pas aller au-delà de la Coupe du monde 2019 au Japon. À en croire le président de la FFR Bernard Laporte, dans une interview au Progrès, la page sera tournée sitôt la compétition achevée alors que le contrat de Brunel court pourtant jusqu’en juin 2020. "On a finalement convenu qu’il fallait basculer rapidement sur la Coupe du monde 2023 en France. Le prochain sélectionneur sera nommé avant la Coupe du monde 2019", affirme le patron du rugby français, qui ne veut se fermer aucune option.
"Les mecs que je souhaite, si ce n’est pas moi qui les fais signer, ce sont d’autres qui le feront. Alors, on va aller vite"
Bernard Laporte entend frapper fort, en offrant un grand nom du coaching au XV de France. Il affirme avoir "rencontré les cinq meilleurs entraîneurs au monde pour leur proposer le poste", ce qui laisse ainsi à penser que le successeur de Brunel sera étranger.
"Autant avant, on disait que ce n’était pas possible. Autant, aujourd’hui, c’est ouvert. Je ne suis pas nécessairement attaché à ce qu’il soit étranger. Mon seul objectif, c’est d’avoir le meilleur pour retrouver une équipe de France qui gagne."
Qui avec Brunel au Japon ?
En attendant, il y a le rendez-vous de l’automne (du 20 septembre au 2 novembre), pour lequel les Bleus seront, au mieux, à ranger parmi les outsiders. Jacques Brunel sera bien à la tête de l’équipe lors de cette Coupe du monde. Au sein d’un staff renforcé ? "C’est Jacques qui décidera ! Il a carte blanche", souligne Laporte qui n’imposera donc aucun nom à son sélectionneur. Si Fabien Galthié arrivait en renfort, ce ne serait donc que par la volonté de Jacques Brunel.
Scalp- Team modo
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Re: Le XV de France (partie 1)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Xv-de-france-bernard-laporte-annonce-que-le-prochain-selectionneur-sera-nomme-avant-la-coupe-du-monde/1002847
Scalp- Team modo
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Humeur : Positif avant tout
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Re: Le XV de France (partie 1)
Voilà encore une situation qui est confortable pour le staff actuel, je ne vois vraiment pas ce que Brunel fait dans ce traquenard, un mec normal aurait rendu son tablier, laissant ce brave Bernard se dépatouiller de son bâton merdeux.Finalement le plus heureux c'est bien Novés, tout ce qu'il risque c'est d'être plaint et de prendre beaucoup d'oseille au passage.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 1)
les conneries de laporte vont couter 1M d'euro à la fede. bien joué mec!!
https://www.sudouest.fr/2019/04/06/guy-noves-contre-ffr-verdict-lundi-pour-l-ancien-selectionneur-5966143-4697.php
https://www.sudouest.fr/2019/04/06/guy-noves-contre-ffr-verdict-lundi-pour-l-ancien-selectionneur-5966143-4697.php
marchal- Centre de presse
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Re: Le XV de France (partie 1)
Novés va faire appel bien sur,notoriété oblige.
Barrière qui vient de nous quitter,aussi grand que lui sur son palmarès,s'était fait oublier comme un grand qu'il était.Etre où avoir été,tel est la question.J'écoutais hier un ITW de Bala, Monsieur drop,sur sa vision du Rugby français actuel,il a des idées bien sur, dommage que lui et les grands anciens du Rugby Landais n'ai pas fait profité USD de leur expérience,ils auraient eu l'occasion là de rendre au Rugby et au club qui les a fait vivre tout ce qu'ils ont reçu.
Barrière qui vient de nous quitter,aussi grand que lui sur son palmarès,s'était fait oublier comme un grand qu'il était.Etre où avoir été,tel est la question.J'écoutais hier un ITW de Bala, Monsieur drop,sur sa vision du Rugby français actuel,il a des idées bien sur, dommage que lui et les grands anciens du Rugby Landais n'ai pas fait profité USD de leur expérience,ils auraient eu l'occasion là de rendre au Rugby et au club qui les a fait vivre tout ce qu'ils ont reçu.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 1)
"Les prud'hommes ont été très clairs : il n'y a pas de faute grave"… bé ouais, c'était clair dès le départ.marchal a écrit:les conneries de laporte vont couter 1M d'euro à la fede. bien joué mec!!
https://www.sudouest.fr/2019/04/06/guy-noves-contre-ffr-verdict-lundi-pour-l-ancien-selectionneur-5966143-4697.php
Bravo, l'art de faire perdre du temps à tout le monde, de perdre son temps, de perdre…
biscouette- Centre de presse
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Humeur : Consterné par le traitement réservé à MJ, la mentalité d'une partie des commentateurs (journalistes et supporters), etc.
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