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Le Pognon et le Rugby
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Re: Le Pognon et le Rugby
https://www.rugbyrama.fr/2024/04/30/international-un-milliard-deuros-sur-huit-ans-le-qatar-a-loffensive-pour-recevoir-les-finales-de-la-ligue-des-nations-11922632.php
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/rugby-930-millions-d-euros-le-qatar-voudrait-accueillir-la-coupe-des-nations-a-partir-de-2026-19527313.php
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Re: Le Pognon et le Rugby
marchal a écrit:
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/rugby-930-millions-d-euros-le-qatar-voudrait-accueillir-la-coupe-des-nations-a-partir-de-2026-19527313.php
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Re: Le Pognon et le Rugby
TOP 14 et PRO D2 : LES DROITS AUDIOVISUELS ATTRIBUÉS À CANAL+ POUR LES SAISONS 2027/2028 À 2031/2032 pour un montant total de 696,8 millions d’euros sur 5 saisons
https://top14.lnr.fr/actualite/top-14-et-pro-d2-les-droits-audiovisuels-attribues-a-canal-pour-les-saisons-20272028-a-20312032
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Re: Le Pognon et le Rugby
A quelque chose près : 2 fois 42 matchs de top 14 et pro d2, ça fait 1 600 000 € par an de droit tv par march.
Je ne connais pas les frais de retransmission et divers, et surtout ce qui revient aux clubs et comment
Mais il doit y avoir de quoi continuer à développer la filière française...
Je suis surtout plus que content de continuer à profiter encore de l'abonnement canal de mes parents via my canal
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guillaume ubb- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le Pognon et le Rugby
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Claude-atcher-reclame-1-8-million-d-euros-devant-le-conseil-des-prud-hommes/1479323
Claude Atcher réclame 1,8 million d'euros devant le conseil des prud'hommes
L'ancien DG de la Coupe du monde 2023 Claude Atcher conteste son licenciement pour faute grave mardi après-midi devant le conseil des prud'hommes de Paris. Il demande l'équivalent de huit années de salaire.
Frédéric Bernès
C'est une partie non négligeable de l'héritage de la Coupe du monde 2023 qui sera discutée mardi après-midi devant le conseil des prud'hommes de Paris. Vingt mois après son licenciement pour faute grave, Claude Atcher, ex-directeur général du GIP (comité d'organisation), réclame environ 1,8 million d'euros à son ancien employeur en réparation d'une rupture de contrat de travail - un CDD en l'espèce - qu'il juge abusive.
Rapporté à la rémunération mensuelle brute de l'ancien patron du GIP (19 429,75€), c'est grosso modo huit années de salaire qu'exige Atcher pour un double préjudice : d'abord, une mise à pied à titre conservatoire, décidée le 29 août 2022, qui, selon lui, n'avait de conservatoire que le nom alors qu'elle scellait déjà, toujours selon lui, son licenciement définitif ; ensuite, à titre subsidiaire, Atcher conteste la caractérisation de toute faute grave, en l'occurrence des faits directs de harcèlement managérial. En début d'audience, le conseil prud'homal devra se prononcer sur la demande du GIP de surseoir à statuer en raison des deux enquêtes pénales en cours sur les mêmes faits.
Sur la faute grave, Atcher et ses avocats récusent les rapports
Sur le fond du dossier, Claude Atcher prétend que sa mise à pied à titre conservatoire, signifiée deux mois après les premiers témoignages publiés par L'Équipe (22 juin), serait intervenue beaucoup trop tardivement. Ce à quoi, les avocats du GIP répondent que « cette mise à pied à titre conservatoire a été notifiée quasi immédiatement, cinq jours ouvrés après la restitution du rapport du Comité d'éthique. M. Atcher aurait certainement crié au scandale si le GIP s'était fié à un article de presse. »
Pour étayer sa thèse, Atcher et ses avocats se fient à la traduction française d'un courrier en anglais du directeur général de World Rugby, faisant dire au Britannique Alan Gilpin : « Nous pensons que le conseil d'administration du GIP n'a d'autre choix que de résilier le contrat de Claude Atcher » alors que dans la version originale de cette lettre du 26 août, Gilpin se borne à écrire « Nous pensons que le conseil d'administration du GIP n'a d'autre choix que de suspendre le contrat (...), le temps que l'enquête de l'Inspection du travail soit restituée. » La lecture complète du texte suffit à comprendre quel sens est le bon.
Problème de traduction, problème aussi de réécriture biographique puisque les avocats d'Atcher écrivent en préambule que leur client a « dirigé et géré l'organisation d'événements sportifs internationaux, au plus haut niveau, notamment : en 1986, la Coupe du monde de football au Mexique ; en 1990, la Coupe du monde de football en Italie ; en 1992, les Jeux Olympiques de Barcelone (...) en 1995, la Coupe du monde de rugby en Afrique du Sud », ce qui relève de la fabulation. Contactée, Me Voirin, avocate de M. Atcher, n'a pas donné suite.
Concernant la faute grave, Atcher et ses avocats récusent les rapports du Comité d'éthique du GIP, de l'inspection du travail et enfin du cabinet Addeo, au nom de leur absence patente d'impartialité. Ces rapports convergent tous trois vers une même description : un management brutal, un climat de peur, des burn-out, des arrêts maladie...
Pour sa défense, Atcher s'appuie sur ses excellents résultats financiers prévisionnels (+ 68 millions en juin 2022)
Comme dans son livre, Atcher reprend sa thèse d'une grande conspiration mêlant Florian Grill - rappelons qu'en juin 2022, le procès Laporte-Altrad n'a même pas eu lieu et l'éventualité d'élections anticipées à la FFR n'existe donc pas -, « une agence de communication parisienne qui a été à l'initiative des articles de presse » (nous sommes bien placés pour savoir que c'est faux), « une ministre des Sports qui s'est largement immiscée dans l'enquête des Inspecteurs du travail (une accusation lourde qui n'est soutenue que par un mail de Bernard Laporte - qui a lui-même voté le licenciement d'Atcher pour faute grave).
Claude Atcher et ses avocats assurent aussi qu'un témoignage non anonyme rédigé par un ancien directeur du GIP a été « acheté » par le GIP « comme condition à la transaction financière liée à son départ » Aucun élément n'est versé au soutien de cette nouvelle accusation lourde.
Comme dans son livre, Atcher s'appuie sur le fameux pré-rapport d'étonnement d'Ottman Zaïr alors que le sous-préfet, qui n'a passé que trois jours au GIP en présence de l'ancien DG, a indiqué depuis « qu'il ne peut nullement être la confirmation que tout allait bien (...) Je ne souhaite pas, par respect pour mes collègues qui se sont par la suite confiés à moi sur leur mal-être en raison de son style de management, que mon message soit utilisé à d'autres fins ».
Les avocats du GIP s'étonnent et même s'étouffent que le témoignage à décharge de Marie Houzot puisse avoir une quelconque valeur étant donné que l'ancienne chef de cabinet d'Atcher au GIP avait soutenu devant ce même conseil des prud'hommes qu'elle « avait été victime de harcèlement moral, spécialement de la part du directeur général (Atcher) », qu'elles étaient (elle et la DRH Sophie Coste) « sous l'emprise de ce dernier », « victimes de ses méthodes. » Et de rappeler que le conseil des prud'hommes de Paris a lui-même jugé, en novembre 2023, que le licenciement de Mme Houzot pour faute grave (comportements agressifs, violence verbale, propos dénigrants à l'encontre du personnel du GIP), était justifié.
Pour sa défense, Atcher s'appuie sur ses excellents résultats financiers prévisionnels (+ 68 millions en juin 2022) dont on sait aujourd'hui ce qu'ils sont devenus entre le désastre du GIE hospitalités et les lourdes pertes du programme Campus. Il produit également plusieurs témoignages en sa faveur. « Mais la plupart des gens, notent les avocats du GIP, ne travaillaient pas à son contact à la maison de la Mutualité (siège du GIP). » Atcher considère pour sa part que les nombreux témoignages recueillis dans les trois rapports le mettant en cause sont disqualifiés en raison de leur anonymisation et du fait que l'intégralité des verbatims des personnes auditionnées ne lui aient pas été transmis.
Les avocats du GIP soulignent ne pas comprendre sur quelles bases a été calculée l'indemnité de 900 000 euros réclamée pour rupture abusive de contrat
Sur cette question, le GIP fait valoir que le conseil des prud'hommes s'est déjà prononcé à deux reprises, en janvier 2023 puis en octobre 2023, déboutant Atcher de ses demandes de se voir communiquer les témoignages exhaustifs cités dans les rapports, au motif que « l'employeur n'est pas tenu de communiquer ses sources au salarié présumé auteur du harcèlement, afin de protéger l'identité des salariés procédant à des dénonciations d'actes de harcèlement ». Le tribunal considère qu'un verbatim complet permettrait de fait une identification.
Les avocats du GIP soulignent par ailleurs ne pas comprendre sur quelles bases a été calculée l'indemnité de 900 000 euros réclamée pour rupture abusive de contrat. « D'autant que sont inclus dans ce montant, le paiement d'une prime d'intervention (140 000 €), d'une prime de performance et de fidélisation (96 000 €), d'une prime variable (27 000 €) alors que ces primes sont réclamées individuellement par ailleurs. » Claude Atcher revendique enfin le paiement de congés payés non pris à hauteur de 19 000 euros. Ce à quoi le GIP répond que son solde de congés payés était au contraire négatif de quinze jours, et lui demande donc un remboursement du trop-perçu, soit environ 9 000 €.
Claude Atcher réclame 1,8 million d'euros devant le conseil des prud'hommes
L'ancien DG de la Coupe du monde 2023 Claude Atcher conteste son licenciement pour faute grave mardi après-midi devant le conseil des prud'hommes de Paris. Il demande l'équivalent de huit années de salaire.
Frédéric Bernès
C'est une partie non négligeable de l'héritage de la Coupe du monde 2023 qui sera discutée mardi après-midi devant le conseil des prud'hommes de Paris. Vingt mois après son licenciement pour faute grave, Claude Atcher, ex-directeur général du GIP (comité d'organisation), réclame environ 1,8 million d'euros à son ancien employeur en réparation d'une rupture de contrat de travail - un CDD en l'espèce - qu'il juge abusive.
Rapporté à la rémunération mensuelle brute de l'ancien patron du GIP (19 429,75€), c'est grosso modo huit années de salaire qu'exige Atcher pour un double préjudice : d'abord, une mise à pied à titre conservatoire, décidée le 29 août 2022, qui, selon lui, n'avait de conservatoire que le nom alors qu'elle scellait déjà, toujours selon lui, son licenciement définitif ; ensuite, à titre subsidiaire, Atcher conteste la caractérisation de toute faute grave, en l'occurrence des faits directs de harcèlement managérial. En début d'audience, le conseil prud'homal devra se prononcer sur la demande du GIP de surseoir à statuer en raison des deux enquêtes pénales en cours sur les mêmes faits.
Sur la faute grave, Atcher et ses avocats récusent les rapports
Sur le fond du dossier, Claude Atcher prétend que sa mise à pied à titre conservatoire, signifiée deux mois après les premiers témoignages publiés par L'Équipe (22 juin), serait intervenue beaucoup trop tardivement. Ce à quoi, les avocats du GIP répondent que « cette mise à pied à titre conservatoire a été notifiée quasi immédiatement, cinq jours ouvrés après la restitution du rapport du Comité d'éthique. M. Atcher aurait certainement crié au scandale si le GIP s'était fié à un article de presse. »
Pour étayer sa thèse, Atcher et ses avocats se fient à la traduction française d'un courrier en anglais du directeur général de World Rugby, faisant dire au Britannique Alan Gilpin : « Nous pensons que le conseil d'administration du GIP n'a d'autre choix que de résilier le contrat de Claude Atcher » alors que dans la version originale de cette lettre du 26 août, Gilpin se borne à écrire « Nous pensons que le conseil d'administration du GIP n'a d'autre choix que de suspendre le contrat (...), le temps que l'enquête de l'Inspection du travail soit restituée. » La lecture complète du texte suffit à comprendre quel sens est le bon.
Problème de traduction, problème aussi de réécriture biographique puisque les avocats d'Atcher écrivent en préambule que leur client a « dirigé et géré l'organisation d'événements sportifs internationaux, au plus haut niveau, notamment : en 1986, la Coupe du monde de football au Mexique ; en 1990, la Coupe du monde de football en Italie ; en 1992, les Jeux Olympiques de Barcelone (...) en 1995, la Coupe du monde de rugby en Afrique du Sud », ce qui relève de la fabulation. Contactée, Me Voirin, avocate de M. Atcher, n'a pas donné suite.
Concernant la faute grave, Atcher et ses avocats récusent les rapports du Comité d'éthique du GIP, de l'inspection du travail et enfin du cabinet Addeo, au nom de leur absence patente d'impartialité. Ces rapports convergent tous trois vers une même description : un management brutal, un climat de peur, des burn-out, des arrêts maladie...
Pour sa défense, Atcher s'appuie sur ses excellents résultats financiers prévisionnels (+ 68 millions en juin 2022)
Comme dans son livre, Atcher reprend sa thèse d'une grande conspiration mêlant Florian Grill - rappelons qu'en juin 2022, le procès Laporte-Altrad n'a même pas eu lieu et l'éventualité d'élections anticipées à la FFR n'existe donc pas -, « une agence de communication parisienne qui a été à l'initiative des articles de presse » (nous sommes bien placés pour savoir que c'est faux), « une ministre des Sports qui s'est largement immiscée dans l'enquête des Inspecteurs du travail (une accusation lourde qui n'est soutenue que par un mail de Bernard Laporte - qui a lui-même voté le licenciement d'Atcher pour faute grave).
Claude Atcher et ses avocats assurent aussi qu'un témoignage non anonyme rédigé par un ancien directeur du GIP a été « acheté » par le GIP « comme condition à la transaction financière liée à son départ » Aucun élément n'est versé au soutien de cette nouvelle accusation lourde.
Comme dans son livre, Atcher s'appuie sur le fameux pré-rapport d'étonnement d'Ottman Zaïr alors que le sous-préfet, qui n'a passé que trois jours au GIP en présence de l'ancien DG, a indiqué depuis « qu'il ne peut nullement être la confirmation que tout allait bien (...) Je ne souhaite pas, par respect pour mes collègues qui se sont par la suite confiés à moi sur leur mal-être en raison de son style de management, que mon message soit utilisé à d'autres fins ».
Les avocats du GIP s'étonnent et même s'étouffent que le témoignage à décharge de Marie Houzot puisse avoir une quelconque valeur étant donné que l'ancienne chef de cabinet d'Atcher au GIP avait soutenu devant ce même conseil des prud'hommes qu'elle « avait été victime de harcèlement moral, spécialement de la part du directeur général (Atcher) », qu'elles étaient (elle et la DRH Sophie Coste) « sous l'emprise de ce dernier », « victimes de ses méthodes. » Et de rappeler que le conseil des prud'hommes de Paris a lui-même jugé, en novembre 2023, que le licenciement de Mme Houzot pour faute grave (comportements agressifs, violence verbale, propos dénigrants à l'encontre du personnel du GIP), était justifié.
Pour sa défense, Atcher s'appuie sur ses excellents résultats financiers prévisionnels (+ 68 millions en juin 2022) dont on sait aujourd'hui ce qu'ils sont devenus entre le désastre du GIE hospitalités et les lourdes pertes du programme Campus. Il produit également plusieurs témoignages en sa faveur. « Mais la plupart des gens, notent les avocats du GIP, ne travaillaient pas à son contact à la maison de la Mutualité (siège du GIP). » Atcher considère pour sa part que les nombreux témoignages recueillis dans les trois rapports le mettant en cause sont disqualifiés en raison de leur anonymisation et du fait que l'intégralité des verbatims des personnes auditionnées ne lui aient pas été transmis.
Les avocats du GIP soulignent ne pas comprendre sur quelles bases a été calculée l'indemnité de 900 000 euros réclamée pour rupture abusive de contrat
Sur cette question, le GIP fait valoir que le conseil des prud'hommes s'est déjà prononcé à deux reprises, en janvier 2023 puis en octobre 2023, déboutant Atcher de ses demandes de se voir communiquer les témoignages exhaustifs cités dans les rapports, au motif que « l'employeur n'est pas tenu de communiquer ses sources au salarié présumé auteur du harcèlement, afin de protéger l'identité des salariés procédant à des dénonciations d'actes de harcèlement ». Le tribunal considère qu'un verbatim complet permettrait de fait une identification.
Les avocats du GIP soulignent par ailleurs ne pas comprendre sur quelles bases a été calculée l'indemnité de 900 000 euros réclamée pour rupture abusive de contrat. « D'autant que sont inclus dans ce montant, le paiement d'une prime d'intervention (140 000 €), d'une prime de performance et de fidélisation (96 000 €), d'une prime variable (27 000 €) alors que ces primes sont réclamées individuellement par ailleurs. » Claude Atcher revendique enfin le paiement de congés payés non pris à hauteur de 19 000 euros. Ce à quoi le GIP répond que son solde de congés payés était au contraire négatif de quinze jours, et lui demande donc un remboursement du trop-perçu, soit environ 9 000 €.
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Re: Le Pognon et le Rugby
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Re: Le Pognon et le Rugby
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Re: Le Pognon et le Rugby
Toulon condamné à une amende de 500.000 € pour non-respect du salary cap. Le RCT a fait appel.
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Re: Le Pognon et le Rugby
Toujours impressionnant au départ ces condamnations, elles font pschitt après appel, désolant .Switch a écrit:Toulon condamné à une amende de 500.000 € pour non-respect du salary cap. Le RCT a fait appel.
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Re: Le Pognon et le Rugby
densnewzealand a écrit:Toujours impressionnant au départ ces condamnations, elles font pschitt après appel, désolant .Switch a écrit:Toulon condamné à une amende de 500.000 € pour non-respect du salary cap. Le RCT a fait appel.
On croise les doigts !
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Re: Le Pognon et le Rugby
https://www.lerugbynistere.fr/news/top-14-salary-cap-contourne-tres-lourdement-sanctionne-le-rct-conteste-fermement-et-va-faire-appel-0307241217.php
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Re: Le Pognon et le Rugby
Scalp a écrit:densnewzealand a écrit:Toujours impressionnant au départ ces condamnations, elles font pschitt après appel, désolant .Switch a écrit:Toulon condamné à une amende de 500.000 € pour non-respect du salary cap. Le RCT a fait appel.
On croise les doigts !
Tant qu'il y aura pas de réel sanction ferme et équitable... J'en rigolerais.
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Re: Le Pognon et le Rugby
marchal a écrit:https://www.lerugbynistere.fr/news/top-14-salary-cap-contourne-tres-lourdement-sanctionne-le-rct-conteste-fermement-et-va-faire-appel-0307241217.php
Le Président du RCT a séché les cours de Jacky... retour de bâton.
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le Pognon et le Rugby
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Pour-reduire-son-deficit-castres-mise-sur-une-reduction-des-salaires-et-la-buvette/1481010
Pour réduire son déficit, Castres mise sur une réduction des salaires et... la buvette !
Après Perpignan, la Chambre régionale des comptes d'Occitanie rend ce mardi son rapport sur le Castres Olympique, qui perd entre 4,4 et 6 M€ par an.
Marc Leplongeon
Imaginez un club de Première Division, logé dans une petite ville de 42 500 habitants, dont 95 % des abonnés résident dans le département (le Tarn), et où six communes à moins de deux heures de route ont accueilli des clubs de Top 14 ou de Pro D2 entre 2018 et 2023. Un environnement ultra-concurrentiel donc, un très bel engouement pour le sport et l'institution, mais une « assise territoriale limitée », comme le résume sobrement la Chambre régionale des comptes (CRC) d'Occitanie, dans son rapport rendu public ce mardi et que L'Équipe dévoile en exclusivité.
En clair : comment subsister en tant que club de l'élite, quand bien même on serait riche de son histoire, mais qu'on tire localement une part substantielle de ses revenus ? Et le Castres Olympique de répondre (partiellement) à cette question par une évidence : développer une brasserie et... internaliser la buvette !
Un club très dépendant de son actionnaire majoritaire...
Le Castre Olympique est une belle institution qui, comme de nombreux clubs du Top 14, demeure toutefois fragile. Selon la CRC, le chiffre d'affaires est composé à 60 % du sponsoring (48,2 M€ entre 2018-2019 et 2022-2023), à 27 % des droits TV reversés par la Ligue nationale de rugby (21,5 M€), à 9 % des recettes des matches (abonnements des particuliers et billetterie - 7,1 M€) et à 3 % des ventes de marchandises notamment en boutique (2,4 M€). Le club est organisé en groupement sportif, scindé en une association qui gère le secteur amateur, et une société qui a la charge de l'équipe professionnelle évoluant en Top 14 et du centre de formation.
Très stable comparativement à plusieurs autres clubs du même acabit, la gouvernance s'appuie sur le groupe pharmaceutique Pierre Fabre, qui couvre un déficit compris chaque année entre 4,4 et 6 M€. Outre l'éventuelle « confusion des rôles respectifs entre les deux entités » du club (quelques employés de la société sont chargés de tâches associatives et des bénévoles assurent des missions commerciales), qui l'expose à des « risques juridiques », la CRC considère que ces pertes chroniques sont le principal problème du Castres Olympique. Le club est en effet très dépendant de son principal actionnaire (Fabre), qui est aussi son principal sponsor équipement.
...et du soutien financier des collectivités
Comment, dans ces conditions, réduire les pertes ? Et ce d'autant plus que le soutien financier des collectivités (à travers des prestations de visibilité, type panneaux publicitaires ou invitations en loge) est déjà très important. Il s'élève à un million d'euros et la ville de Castres met à disposition gratuitement un parking et un terrain destiné à accueillir les réceptions privées, en plus du stade Pierre-Fabre, occupé par le club contre une faible redevance annuelle de 75 000 euros (en échange de la prise en charge des travaux en tribune). Des soutiens qui « doivent faire l'objet d'un encadrement juridique renforcé et d'un suivi plus rigoureux », souligne la CRC.
Le Castres Olympique répond en baissant sa masse salariale. La rémunération de ses joueurs professionnels (qui représente 39 % des charges d'exploitation du club) a « diminué de 4 % entre les saisons 2021-2022 et 2022-2023, sous l'effet de sa stratégie de recrutement », écrit la CRC.
Le club veut également créer une brasserie et développer les événements d'entreprise. Sous la recommandation de la Chambre régionale des comptes, le club a régularisé la vente d'alcool dans les buvettes du stade, qui était confiée depuis des années de manière non réglementaire à l'Amicale des supporters. Il étudie désormais la possibilité « d'internaliser » l'exploitation de cette buvette « qui a rapporté près de 245 000 euros au cours de la saison 2022-2023 », note la CRC. Loin d'être une paille dans un environnement économique précaire.
Pour réduire son déficit, Castres mise sur une réduction des salaires et... la buvette !
Après Perpignan, la Chambre régionale des comptes d'Occitanie rend ce mardi son rapport sur le Castres Olympique, qui perd entre 4,4 et 6 M€ par an.
Marc Leplongeon
Imaginez un club de Première Division, logé dans une petite ville de 42 500 habitants, dont 95 % des abonnés résident dans le département (le Tarn), et où six communes à moins de deux heures de route ont accueilli des clubs de Top 14 ou de Pro D2 entre 2018 et 2023. Un environnement ultra-concurrentiel donc, un très bel engouement pour le sport et l'institution, mais une « assise territoriale limitée », comme le résume sobrement la Chambre régionale des comptes (CRC) d'Occitanie, dans son rapport rendu public ce mardi et que L'Équipe dévoile en exclusivité.
En clair : comment subsister en tant que club de l'élite, quand bien même on serait riche de son histoire, mais qu'on tire localement une part substantielle de ses revenus ? Et le Castres Olympique de répondre (partiellement) à cette question par une évidence : développer une brasserie et... internaliser la buvette !
Un club très dépendant de son actionnaire majoritaire...
Le Castre Olympique est une belle institution qui, comme de nombreux clubs du Top 14, demeure toutefois fragile. Selon la CRC, le chiffre d'affaires est composé à 60 % du sponsoring (48,2 M€ entre 2018-2019 et 2022-2023), à 27 % des droits TV reversés par la Ligue nationale de rugby (21,5 M€), à 9 % des recettes des matches (abonnements des particuliers et billetterie - 7,1 M€) et à 3 % des ventes de marchandises notamment en boutique (2,4 M€). Le club est organisé en groupement sportif, scindé en une association qui gère le secteur amateur, et une société qui a la charge de l'équipe professionnelle évoluant en Top 14 et du centre de formation.
Très stable comparativement à plusieurs autres clubs du même acabit, la gouvernance s'appuie sur le groupe pharmaceutique Pierre Fabre, qui couvre un déficit compris chaque année entre 4,4 et 6 M€. Outre l'éventuelle « confusion des rôles respectifs entre les deux entités » du club (quelques employés de la société sont chargés de tâches associatives et des bénévoles assurent des missions commerciales), qui l'expose à des « risques juridiques », la CRC considère que ces pertes chroniques sont le principal problème du Castres Olympique. Le club est en effet très dépendant de son principal actionnaire (Fabre), qui est aussi son principal sponsor équipement.
...et du soutien financier des collectivités
Comment, dans ces conditions, réduire les pertes ? Et ce d'autant plus que le soutien financier des collectivités (à travers des prestations de visibilité, type panneaux publicitaires ou invitations en loge) est déjà très important. Il s'élève à un million d'euros et la ville de Castres met à disposition gratuitement un parking et un terrain destiné à accueillir les réceptions privées, en plus du stade Pierre-Fabre, occupé par le club contre une faible redevance annuelle de 75 000 euros (en échange de la prise en charge des travaux en tribune). Des soutiens qui « doivent faire l'objet d'un encadrement juridique renforcé et d'un suivi plus rigoureux », souligne la CRC.
Le Castres Olympique répond en baissant sa masse salariale. La rémunération de ses joueurs professionnels (qui représente 39 % des charges d'exploitation du club) a « diminué de 4 % entre les saisons 2021-2022 et 2022-2023, sous l'effet de sa stratégie de recrutement », écrit la CRC.
Le club veut également créer une brasserie et développer les événements d'entreprise. Sous la recommandation de la Chambre régionale des comptes, le club a régularisé la vente d'alcool dans les buvettes du stade, qui était confiée depuis des années de manière non réglementaire à l'Amicale des supporters. Il étudie désormais la possibilité « d'internaliser » l'exploitation de cette buvette « qui a rapporté près de 245 000 euros au cours de la saison 2022-2023 », note la CRC. Loin d'être une paille dans un environnement économique précaire.
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Re: Le Pognon et le Rugby
C'est le risque de ces clubs de mécènes que sont le CO mais aussi le SF, le Racing, Clermont ou Toulon. Le jour où ça flanche, c'est la cata.Le CO vit dans l'angoisse que Fabre retire un jour ses billes.
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Switch- Centre de presse
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Re: Le Pognon et le Rugby
Switch a écrit:C'est le risque de ces clubs de mécènes que sont le CO mais aussi le SF, le Racing, Clermont ou Toulon. Le jour où ça flanche, c'est la cata.Le CO vit dans l'angoisse que Fabre retire un jour ses billes.
Tu as raison dans le fond.
Après pour le cas particulier du CO, Pierre Fabre avant sa mort a organisé sa succession en montant une structure ( fondation mais pas sur de moi ) indépendante et adossé au club qui finance de manière pérenne.
En gros il a "cassé le game" du mécénat, pour que celui ci perdure après son départ...
Sinon les labo Pierre Fabre t'aurait bcp a en dire, et ça sort largement du domaine "rugbystique".
Tothor- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le Pognon et le Rugby
Tothor a écrit:Switch a écrit:C'est le risque de ces clubs de mécènes que sont le CO mais aussi le SF, le Racing, Clermont ou Toulon. Le jour où ça flanche, c'est la cata.Le CO vit dans l'angoisse que Fabre retire un jour ses billes.
Tu as raison dans le fond.
Après pour le cas particulier du CO, Pierre Fabre avant sa mort a organisé sa succession en montant une structure ( fondation mais pas sur de moi ) indépendante et adossé au club qui finance de manière pérenne.
En gros il a "cassé le game" du mécénat, pour que celui ci perdure après son départ...
Sinon les labo Pierre Fabre t'aurait bcp a en dire, et ça sort largement du domaine "rugbystique".
J'ai préféré rester sur le sujet de ce topic, effectivement
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Switch- Centre de presse
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Re: Le Pognon et le Rugby
Canal+ attaque Google, Cisco et Cloudflare pour protéger le Top 14 du piratage
https://www.xvovalie.com/canal-attaque-google-cisco-et-cloudflare-pour-proteger-le-top-14-du-piratage/
https://www.xvovalie.com/canal-attaque-google-cisco-et-cloudflare-pour-proteger-le-top-14-du-piratage/
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Re: Le Pognon et le Rugby
Tothor a écrit:Switch a écrit:C'est le risque de ces clubs de mécènes que sont le CO mais aussi le SF, le Racing, Clermont ou Toulon. Le jour où ça flanche, c'est la cata.Le CO vit dans l'angoisse que Fabre retire un jour ses billes.
Tu as raison dans le fond.
Après pour le cas particulier du CO, Pierre Fabre avant sa mort a organisé sa succession en montant une structure ( fondation mais pas sur de moi ) indépendante et adossé au club qui finance de manière pérenne.
En gros il a "cassé le game" du mécénat, pour que celui ci perdure après son départ...
Sinon les labo Pierre Fabre t'aurait bcp a en dire, et ça sort largement du domaine "rugbystique".
Le CO appartient à 100% à la Holding Pierre Fabre.
A noter que cette Holding et le CO ont le même Président.
Le CO n' est pas un club à mécène mais un club d' entreprise !
Classer Montferrand dans le lot des clubs d' entreprise, c' est aller un peu vite.
Michelin ne détient que 3% des parts. Disons que c' est une équipe avec un parachute. Qui a fonctionné parfaitement il n' y a pas longtemps. Mais il y a quand même toute l' histoire de ce club qui pèse.
Ils ont une économie basée sur les partenaires locaux.
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Re: Le Pognon et le Rugby
Je ne penses pas que les Tarnais se plaignent du Labo Fabre.
Dans un département sinistré, il est la seule ressource pour faire vivre un Rugby qui a connu ses heures de gloire,de ma jeunesse là bas,mais c'était vrai avec un rugby amateur à 8 poules de 8,le département pouvait s'énorgueillir de pas mal de club,Carmaux, Mazamet,Castres, Graulhet,Albi, Gaillac tenaient le haut du pavé,ils alimentaient aussi les grands clubs comme Montferrand, le ST qui ne se privaient pas de largement puiser chez leurs jeunes.
Fabre à permis au rugby Tarnais de haut niveau de survivre et c'est déjà beaucoup.
Dans un département sinistré, il est la seule ressource pour faire vivre un Rugby qui a connu ses heures de gloire,de ma jeunesse là bas,mais c'était vrai avec un rugby amateur à 8 poules de 8,le département pouvait s'énorgueillir de pas mal de club,Carmaux, Mazamet,Castres, Graulhet,Albi, Gaillac tenaient le haut du pavé,ils alimentaient aussi les grands clubs comme Montferrand, le ST qui ne se privaient pas de largement puiser chez leurs jeunes.
Fabre à permis au rugby Tarnais de haut niveau de survivre et c'est déjà beaucoup.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le Pognon et le Rugby
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Toulouse-un-champion-a-l-equilibre-economique-fragile/1482807
Le Stade Toulousain, un champion à l'équilibre économique fragile
Risque fiscal, exposition à un délit de favoritisme, prévention des conflits d'intérêts : la Chambre régionale des comptes d'Occitanie loue « la situation financière satisfaisante » du Stade Toulousain mais l'invite à régulariser plusieurs cas litigieux.
Marc Leplongeon
On peut avoir des tribunes quasiment pleines à chaque match, une billetterie en hausse de 70 % entre 2018 et 2022, une belle progression du chiffre d'affaires grâce aux excellents résultats de l'équipe première, des produits dérivés qui se vendent comme des petits pains... et tout de même frôler le déficit chaque année. C'est un des enseignements du dernier rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) d'Occitanie, publié ce lundi (après Perpignan et Castres) dans le cadre d'une vaste étude sur le rugby.
Le Stade toulousain a su braver la Covid un peu mieux que les autres, se permettant même un insolent bénéfice de 700 000 euros à la fin de la saison 2021, là où les clubs de Top 14 cumulaient 37 millions de pertes. Avec la fin des aides économiques relatives à la crise sanitaire, le remboursement des Prêts garantis par l'État (PGE) et, forcément, l'aléa sportif, le bénéfice dégagé en 2022 (1,5 M€) ne peut toutefois « être regardé comme pérenne », prévient la CRC. La faute, notamment, à des charges d'exploitation et une masse salariale qui s'envolent, un phénomène qui touche tous les clubs.
Aux côtés de la société chargée du secteur professionnel et de l'association préposée au développement du sport amateur, la gouvernance du Stade Toulousain est composée d'une seconde association, dite des « Amis du Stade Toulousain ». Celle-ci a un rôle primordial. Avec 23 % du capital et un siège permanent au conseil de surveillance du club, elle est surtout propriétaire du stade Ernest-Wallon.
En clair, résume la CRC, les deux associations disposent d'un « pouvoir de décision prépondérant » et sont chargées de veiller à ce que « l'aspect commercial de l'exploitation du club professionnel ne l'emporte pas sur les intérêts du sport amateur ». Cela, bien sûr, n'empêche pas de faire du business... Ainsi Didier Lacroix, président du club professionnel, et Franck Belot, président de l'association « Les amis du Stade Toulousain », sont « gérants et/ou associés dans plusieurs sociétés prestataires du groupement (Old Ink, À la Une ou encore À vos marques) », précise la Chambre régionale des comptes.
Une convention de prêt à usage qui pose problème
« Franck Belot est par ailleurs directeur commercial pour Infront, société de droit Suisse spécialisée dans le marketing sportif (...), principal partenaire financier du club professionnel », poursuit la CRC, qui s'étonne « qu'aucun dispositif de prévention des conflits d'intérêts n'ait été mis en place ». Interrogé sur ce sujet, le club a promis la création en 2024 d'un « comité d'éthique indépendant ».
Dans les faits, l'Association des Amis met gratuitement à disposition du club le stade Ernest-Wallon, via ce qu'on appelle une convention de « prêt à usage » qui pose de nombreux problèmes. Selon la CRC, le club n'aurait pas dû pouvoir valoriser dans son bilan le 1,3 M€ qu'il a investi dans les installations ces dernières années, n'étant pas propriétaire des lieux. De la même manière, il n'est pas censé pouvoir encaisser le produit des sous-locations (séminaires d'entreprises, redevances payées par le Toulouse Olympique XIII, etc.).
« Cette convention de prêt d'usage n'est pas adaptée à la réalité des investissements réalisés par le club ainsi qu'aux pratiques de sous-location. Elle ne permet pas non plus une transparence des bilans patrimoniaux », conclut la CRC. Cette Association des Amis s'est aussi exposée à un risque de délit de favoritisme lorsqu'elle a mené les travaux de rénovation du stade grâce à près de 7 M€ de subventions publiques. Il n'y a pas eu d'appel à la concurrence. « Seuls deux maîtres d'oeuvre prestataires [ont été] sollicités sur une base discrétionnaire », lit-on dans le rapport. L'association a reconnu son erreur.
Des subventions aux airs de contrepartie financière
Les magistrats financiers pointent également un important risque de redressement fiscal. Le club assure en effet avoir développé au fil des années ses propres marque et logo qui différeraient légèrement de ceux déposés à l'Institut national de la propriété industrielle (INPI) par l'association. Il explique donc ne verser à cette dernière aucune « redevance pour marque », mais de simples subventions décorrélées de toute velléité commerciale. Impossible, répond la CRC, selon qui le club est dans l'obligation de payer l'association pour utiliser la marque « Stade Toulousain rugby ». Si telle devait être l'interprétation de l'Administration fiscale, l'association pourrait être vue comme « participant à l'activité lucrative du club » et devrait s'acquitter chaque année d'impôts sur les sociétés, comme ce fut le cas en 2011 (une décision que le club a contestée sans succès en justice).
Les subventions qu'elle touche du club seraient, dans ce scénario, vues comme des contreparties commerciales et seraient imposables. Le fisc, enfin, pourrait aussi considérer que les subventions versées par le club à l'association (820 000 euros sur l'année 2022) visent à « minorer artificiellement le résultat fiscal » du club. Un scénario noir que le club champion de France et vainqueur de la Coupe des champions entend bien éviter, lui dont l'équilibre économique, malgré ses performances, reste « très fragile », conclut la CRC.
Le Stade Toulousain, un champion à l'équilibre économique fragile
Risque fiscal, exposition à un délit de favoritisme, prévention des conflits d'intérêts : la Chambre régionale des comptes d'Occitanie loue « la situation financière satisfaisante » du Stade Toulousain mais l'invite à régulariser plusieurs cas litigieux.
Marc Leplongeon
On peut avoir des tribunes quasiment pleines à chaque match, une billetterie en hausse de 70 % entre 2018 et 2022, une belle progression du chiffre d'affaires grâce aux excellents résultats de l'équipe première, des produits dérivés qui se vendent comme des petits pains... et tout de même frôler le déficit chaque année. C'est un des enseignements du dernier rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) d'Occitanie, publié ce lundi (après Perpignan et Castres) dans le cadre d'une vaste étude sur le rugby.
Le Stade toulousain a su braver la Covid un peu mieux que les autres, se permettant même un insolent bénéfice de 700 000 euros à la fin de la saison 2021, là où les clubs de Top 14 cumulaient 37 millions de pertes. Avec la fin des aides économiques relatives à la crise sanitaire, le remboursement des Prêts garantis par l'État (PGE) et, forcément, l'aléa sportif, le bénéfice dégagé en 2022 (1,5 M€) ne peut toutefois « être regardé comme pérenne », prévient la CRC. La faute, notamment, à des charges d'exploitation et une masse salariale qui s'envolent, un phénomène qui touche tous les clubs.
Aux côtés de la société chargée du secteur professionnel et de l'association préposée au développement du sport amateur, la gouvernance du Stade Toulousain est composée d'une seconde association, dite des « Amis du Stade Toulousain ». Celle-ci a un rôle primordial. Avec 23 % du capital et un siège permanent au conseil de surveillance du club, elle est surtout propriétaire du stade Ernest-Wallon.
En clair, résume la CRC, les deux associations disposent d'un « pouvoir de décision prépondérant » et sont chargées de veiller à ce que « l'aspect commercial de l'exploitation du club professionnel ne l'emporte pas sur les intérêts du sport amateur ». Cela, bien sûr, n'empêche pas de faire du business... Ainsi Didier Lacroix, président du club professionnel, et Franck Belot, président de l'association « Les amis du Stade Toulousain », sont « gérants et/ou associés dans plusieurs sociétés prestataires du groupement (Old Ink, À la Une ou encore À vos marques) », précise la Chambre régionale des comptes.
Une convention de prêt à usage qui pose problème
« Franck Belot est par ailleurs directeur commercial pour Infront, société de droit Suisse spécialisée dans le marketing sportif (...), principal partenaire financier du club professionnel », poursuit la CRC, qui s'étonne « qu'aucun dispositif de prévention des conflits d'intérêts n'ait été mis en place ». Interrogé sur ce sujet, le club a promis la création en 2024 d'un « comité d'éthique indépendant ».
Dans les faits, l'Association des Amis met gratuitement à disposition du club le stade Ernest-Wallon, via ce qu'on appelle une convention de « prêt à usage » qui pose de nombreux problèmes. Selon la CRC, le club n'aurait pas dû pouvoir valoriser dans son bilan le 1,3 M€ qu'il a investi dans les installations ces dernières années, n'étant pas propriétaire des lieux. De la même manière, il n'est pas censé pouvoir encaisser le produit des sous-locations (séminaires d'entreprises, redevances payées par le Toulouse Olympique XIII, etc.).
« Cette convention de prêt d'usage n'est pas adaptée à la réalité des investissements réalisés par le club ainsi qu'aux pratiques de sous-location. Elle ne permet pas non plus une transparence des bilans patrimoniaux », conclut la CRC. Cette Association des Amis s'est aussi exposée à un risque de délit de favoritisme lorsqu'elle a mené les travaux de rénovation du stade grâce à près de 7 M€ de subventions publiques. Il n'y a pas eu d'appel à la concurrence. « Seuls deux maîtres d'oeuvre prestataires [ont été] sollicités sur une base discrétionnaire », lit-on dans le rapport. L'association a reconnu son erreur.
Des subventions aux airs de contrepartie financière
Les magistrats financiers pointent également un important risque de redressement fiscal. Le club assure en effet avoir développé au fil des années ses propres marque et logo qui différeraient légèrement de ceux déposés à l'Institut national de la propriété industrielle (INPI) par l'association. Il explique donc ne verser à cette dernière aucune « redevance pour marque », mais de simples subventions décorrélées de toute velléité commerciale. Impossible, répond la CRC, selon qui le club est dans l'obligation de payer l'association pour utiliser la marque « Stade Toulousain rugby ». Si telle devait être l'interprétation de l'Administration fiscale, l'association pourrait être vue comme « participant à l'activité lucrative du club » et devrait s'acquitter chaque année d'impôts sur les sociétés, comme ce fut le cas en 2011 (une décision que le club a contestée sans succès en justice).
Les subventions qu'elle touche du club seraient, dans ce scénario, vues comme des contreparties commerciales et seraient imposables. Le fisc, enfin, pourrait aussi considérer que les subventions versées par le club à l'association (820 000 euros sur l'année 2022) visent à « minorer artificiellement le résultat fiscal » du club. Un scénario noir que le club champion de France et vainqueur de la Coupe des champions entend bien éviter, lui dont l'équilibre économique, malgré ses performances, reste « très fragile », conclut la CRC.
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Re: Le Pognon et le Rugby
Ben, pas de surprise. Quand on arrive à aligner 3 équipes complètes compétitives, les joueurs n'étant pas payés en cacahuètes, ça ponctionne....
De ce point de vue le ST n'est pas un modèle à suivre.
De ce point de vue le ST n'est pas un modèle à suivre.
krahknardz- Team modo
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Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Re: Le Pognon et le Rugby
krahknardz a écrit:Ben, pas de surprise. Quand on arrive à aligner 3 équipes complètes compétitives, les joueurs n'étant pas payés en cacahuètes, ça ponctionne....
De ce point de vue le ST n'est pas un modèle à suivre.
Si tu fais référence aux 58 joueurs utilisé sur la saison, il faut retrancher les 12 contrat joker coupe du monde.
Autre faits amusant, l'UBB et le stade toulousain ont a une ou deux unités près, le même nombre de contrats pros.
Sinon tu peux aussi essayer de faire jouer les espoirs en pro... Parce qu'ils jouent ou pas en pro, ils restent sous contrat et sont payés ( mais moins que des pros aguerris )
Combien de jeunes finalistes en espoir l'année dernière ont étés alignés par l'ubb cette année ?
Tothor- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le Pognon et le Rugby
C'est là que le budget et pas le salary cap fait la différence !!!!!!Tothor a écrit:krahknardz a écrit:Ben, pas de surprise. Quand on arrive à aligner 3 équipes complètes compétitives, les joueurs n'étant pas payés en cacahuètes, ça ponctionne....
De ce point de vue le ST n'est pas un modèle à suivre.
Si tu fais référence aux 58 joueurs utilisé sur la saison, il faut retrancher les 12 contrat joker coupe du monde.
Autre faits amusant, l'UBB et le stade toulousain ont a une ou deux unités près, le même nombre de contrats pros.
Sinon tu peux aussi essayer de faire jouer les espoirs en pro... Parce qu'ils jouent ou pas en pro, ils restent sous contrat et sont payés ( mais moins que des pros aguerris )
Combien de jeunes finalistes en espoir l'année dernière ont étés alignés par l'ubb cette année ?
coach2rugby- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le Pognon et le Rugby
C’est amusant tothor de vouloir constamment ramener le sujet vers l’ubb quand ca ne t’arranges pas. Je pose la question, combien de joueurs sur la feuille de match de la finale sont passés par le centre de formation des deux clubs? Je te laisse faire le compte . La différence n’est pas énorme , et peut être même en notre faveur, au hasard, Lamothe, Cazeaux, Bochaton, Jalibert , Moefana, Depoortere, LBB, Moefana, Buros. Donc à l’arrivée qu’est ce qui est le plus remarquable ? Faire jouer beaucoup de joueurs espoir pendant la saison , ou sur une feuille de finale? La question se pose. On sait très bien que le ST est un énorme « aspirateur » de nombreux jeunes de la région. La ou je suis admirateur c’est dans la capacité des formateurs à leur faire épouser le même style de la A aux espoirs . C’est remarquable. La ou je suis plus dubitatif c’est sur le nombre de joueurs qui feront vraiment carrière au plus haut niveau au ST . Par rapport à l’ubb à mon avis le différentiel sera infime. Donc mon cher balaie devant ta porte concernant votre gestion qui me paraît un peu opaque et peu transparente comme la cour des comptes vous le rappelle.Tothor a écrit:krahknardz a écrit:Ben, pas de surprise. Quand on arrive à aligner 3 équipes complètes compétitives, les joueurs n'étant pas payés en cacahuètes, ça ponctionne....
De ce point de vue le ST n'est pas un modèle à suivre.
Si tu fais référence aux 58 joueurs utilisé sur la saison, il faut retrancher les 12 contrat joker coupe du monde.
Autre faits amusant, l'UBB et le stade toulousain ont a une ou deux unités près, le même nombre de contrats pros.
Sinon tu peux aussi essayer de faire jouer les espoirs en pro... Parce qu'ils jouent ou pas en pro, ils restent sous contrat et sont payés ( mais moins que des pros aguerris )
Combien de jeunes finalistes en espoir l'année dernière ont étés alignés par l'ubb cette année ?
Je peux te conseiller une petite tisane Toulouse/Kolbe/Toulon, un blend audacieux quoique un peu difficile à digérer par le salary cap manager et bien étouffé . ou le Thé Jaminet/Toulon une autre variante un peu râpeuse. Je te dis ça parce tu nous avais sauté dessus à pieds joints lorsque Marti avait racheté les années de formation de Gazzoti et Matiu. Bonne vacances et comme je te l’avais déjà dit pense à nous lacher .
Dernière édition par densnewzealand le Mer 17 Juil 2024 - 8:40, édité 2 fois
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le Pognon et le Rugby
Comme je l'avais déjà commenté le budget joue un rôle primordial !!!
L'ensemble des salaires (voir juste défraiement) de tout les staffs école de rugby, jeunes et espoir c'est sûrement le salaire de Kaino !!!!!
Tu rajoutes tout les avantages pour les jeunes, les moyens de détection en France et hors de France et tu arrives avec un budget formation qui est nettement supérieur aux autres clubs!!
Donc si le salary cap est le même pour tous il y a quand même d'énorme disparités dans les moyens de former les joueurs !!
L'ensemble des salaires (voir juste défraiement) de tout les staffs école de rugby, jeunes et espoir c'est sûrement le salaire de Kaino !!!!!
Tu rajoutes tout les avantages pour les jeunes, les moyens de détection en France et hors de France et tu arrives avec un budget formation qui est nettement supérieur aux autres clubs!!
Donc si le salary cap est le même pour tous il y a quand même d'énorme disparités dans les moyens de former les joueurs !!
coach2rugby- J'aime l'Union à la folie
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