6 Nations 2020

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willoush a écrit:Tauzin appelé curieux ! J'ai trouvé Nakaitaci très en jambe...

Alors que les médiocres qui géraient le XV de France appelaient Huget, Tauzin était déjà bien meilleur que le playboy des pistes de danse. Ce ne serait pas étonnant qu'il ait rapidement sa chance en bleu.

patrick a écrit:

willoush a écrit:Tauzin appelé curieux ! J'ai trouvé Nakaitaci très en jambe...

Alors que les médiocres qui géraient le XV de France appelaient Huget, Tauzin était déjà bien meilleur que le playboy des pistes de danse. Ce ne serait pas étonnant qu'il ait rapidement sa chance en bleu.

C'est exact… Il est très fort.

Il ne joue pas à Toulouse alors le voir en bleu, pourquoi pas Cros qui joue tous matchs tant qu'on y est.
Merci Scalp.

me tarde de voir un jour débuter jalibert en 10 et ntamack en 12 avec wakatawa en 13 ca peut faire de sacrés dégâts. Fickou su le banc en 12 il est trop faiblard en attaque il ne lache aucun ballon

biscouette a écrit:

patrick a écrit:

willoush a écrit:Tauzin appelé curieux ! J'ai trouvé Nakaitaci très en jambe...

Alors que les médiocres qui géraient le XV de France appelaient Huget, Tauzin était déjà bien meilleur que le playboy des pistes de danse. Ce ne serait pas étonnant qu'il ait rapidement sa chance en bleu.

C'est exact… Il est très fort.

En tout cas, pas sur l’essai de Klemenzackhkczk à la sirène

nadoloubb a écrit:me tarde de voir un jour débuter jalibert en 10 et ntamack en 12 avec wakatawa en 13 ca peut faire de sacrer dégâts. Fickou su le banc en 12 il est trop faiblard en attaque il ne lache aucun ballon

Fickou est un magicien...il est capable de faire disparaître le ballon en plein match

grospaquet31 a écrit:

nadoloubb a écrit:me tarde de voir un jour débuter jalibert en 10 et ntamack en 12 avec wakatawa en 13 ca peut faire de sacrer dégâts. Fickou su le banc en 12 il est trop faiblard en attaque il ne lache aucun ballon

Fickou est un magicien...il est capable de faire disparaître le ballon en plein match

Sauf qu'un vrai magicien finit toujours par faire réapparaitre l'objet de son art .... Fickou lui

Tiens tiens même les journalistes qui assistent aux entraînements commencent à voir l'évidence...

XV de France : Arthur Vincent éjecté, Thomas Ramos réintégré ? Les explications !


https://www.minutesports.fr/index.php/2020/02/18/xv-de-france-arthur-vincent-ejecte-thomas-ramos-reintegre-les-explications/

Le journaleux qui a écrit l'article n'est pas respectueux pour Vincent, EJECTE voir un terme qui devrait s'appliquer au minable qui écrit l'article.
Du respect merde

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Equipe-de-france-fickou-pousse-a-l-aile-face-au-pays-de-galles/1110929

Poirot et Woki a priori pas sur la feuille de match; Jalibert bien entendu remplaçant.
Notons que Poirot à mon sens va sauter du train EDf...

Le pilier gallois Wyn Jones estime que la France triche en mêlée


https://www.lexvdedepart.com/2020/02/19/le-pilier-gallois-wyn-jones-estime-que-la-france-triche-en-melee/

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Tournoi-des-six-nations-wyn-jones-accuse-l-equipe-de-france-de-tricher-en-melee/1111125

Tournoi des Six Nations : Wyn Jones accuse l'équipe de France de tricher en mêlée

Wyn Jones, le pilier du pays de Galles, qui affrontera l'équipe de France, samedi à Cardiff, accuse les Bleus de tricher lors des mêlées et appelle à la vigilance des arbitres.

À trois jours du déplacement du quinze de France à Cardiff pour la troisième journée du Tournoi des Six Nations, Wyn Jones a allumé une première mèche. Le pilier gauche gallois a déclaré qu'il s'attendait à ce que les Bleus « trichent » en mêlée dans des propos rapportés par The Guardian.

« La France a un gros pack mais probablement peu discipliné, surtout en mêlée, a déclaré Wyn Jones. Nous savons qu'ils vont frapper, poursuivre et tricher. C'est quelque chose dont nous sommes pleinement conscients et que nous devrons affronter ce jour-là. Ils voudront pousser avant (l'introduction) et nous perturber. Il faudra se concentrer sur nous-mêmes, annuler leur indiscipline et espérer qu'ils ne s'en sortiront pas comme ça ».

En 2016, les Bleus avaient obtenu un succès controversé contre les Gallois après vingt minutes de mêlées dans les arrêts de jeu (20-18). La FFR avait reçu un blâme pour détournement du protocole commotion après avoir remplacé Uini Atonio par Rabah Slimani, plus solide en mêlée, à la 79e minute.

Le sélectionneur gallois veut parler de la mêlée à l'arbitre

L'encadrement gallois est allé dans le même sens que son pilier. Ainsi Wayne Pivac, le sélectionneur du pays de Galles, a l'intention d'évoquer dans la semaine la mêlée avec l'arbitre anglais Matt Carley, qui dirigera la rencontre, après avoir déjà dirigé le quinze de France contre l'Italie (35-22).

Jonathan Humphreys, l'entraîneur des avants gallois a, lui, déclaré : « La mêlée est un travail en cours pour nous et il y a eu de très bonnes choses. Mais lorsque vous avez affaire à des piliers qui inclinent des mêlées, cela crée de l'instabilité et des problèmes. La France aime exercer une domination par ses avants, mais les règles sont claires : il faut pousser droit. [...] J'espère que c'est quelque chose sur lesquels les arbitres deviendront de plus en plus durs ».

Le XV du Poireau a déjà subi une défaite dans la compétition, face à l'Irlande (24-14), alors que les Français, eux, sont toujours invaincus.

https://www.midi-olympique.fr/2020/02/19/cros-shaun-edwards-nous-transmet-sa-rage,8742305.php

Cros : « Shaun Edwards nous transmet sa rage »

À quelques jours de défier les Gallois au Millennium, le troisième ligne toulousain évoque la méthode de l'entraîneur anglais de la défense des Bleus, justement ancien mentor du secteur auprès du XV du poireau.

Les entraîneurs parlent beaucoup de l'intensité des entraînements qu'ils vous proposent. Est-ce vraiment supérieur à ce que vous connaissez en club ?

Oui, tout de même. C'est très intense. Ce qui change surtout par rapport à nos habitudes de club, ce sont les contacts. En club, il y en a moins aux entraînements. Là, il y a de l'intensité, des contacts et c'est donc plus long de récupérer des entraînements.

Vos coéquipiers disent aussi qu'il y a une forme d'accoutumance, que ces entraînements sont aujourd'hui moins durs à encaisser que lors du premier stage à Nice...

C'est le but de ces préparations, de pousser les organismes et de les habituer à ce type d'efforts. Qu'il y ait un effet rebond, pour qu'on en profite en situation de compétition. Après, à Nice, c'était vraiment dur et intense. On a remis ça la semaine dernière, avec le week-end sans match. Ensuite, il y a eu une petite relâche. Si on avait continué à s'entraîner aussi dur en semaine de match, on ne pourrait pas être performants, le week-end venu. On manquerait d'énergie.

L'exigence et l'intensité, ce sont deux qualificatifs qui collent à la réputation de Shaun Edwards. Cela se vérifie-t-il sur le terrain ?

C'est quelqu’un de sûr de ce qu'il fait, qui met énormément de convictions dans ses entraînements. Il nous demande des choses très précises. Si on les fait, ça va. Si on ne les fait pas, en revanche... Shaun a un gros caractère. Mais c'est un avantage pour nous. La défense, c'est de la rigueur et un état d'esprit. Il nous transmet sa rage d'avancer, de gagner. Je crois que cela s'est vu, notamment sur le premier match.

S'exprime-t-il en français ?

Oui, il prend des cours et il fait énormément d'efforts sur ce point. Il prépare aussi beaucoup ses prises de parole. On le voit en séances vidéo, par exemple : au début, on ne comprenait pas toujours ce qu'il voulait nous dire ; aujourd'hui, on le comprend sans trop de problèmes.

Sentez-vous chez lui une tension particulière, cette semaine, à quelques jours de retrouver le pays de Galles comme adversaire ?

Pas forcément. Il s'implique beaucoup depuis le début et c'est toujours le cas. Je crois qu'il a hâte.

Est-ce un plus de l'avoir dans vos rangs, au moment d'affronter les Gallois ?

Oui, c'est une chance. Il connaît cette équipe par cœur et essaie de nous transmettre à la fois leur façon de jouer et les clés pour les battre.

A-t-il fait un copier-coller du système défensif qu'il avait mis en place au pays de Galles ?

Il y a beaucoup de similitudes, bien sûr. Mais je note aussi quelques petites différences entre ce qu'on met en place et ce qu'on analyse des Gallois. Shaun donne son point de vue, le reste du staff aussi. C'est un bon mélange, constructif.

Tous les deux ans avant d'aller à Cardiff, le sujet du Millennium revient sur la table. Peut-on vraiment se préparer à l'ambiance si particulière qui règne dans ce stade ?

Fabien (Galthié) communique beaucoup là-dessus, de manière à ce qu'on ne soit pas surpris. On s'y entraînera aussi la veille du match. Mais ce n'est pas déterminant. Nous avons tous l'habitude de jouer dans de grands stades. Nous avons tous du vécu. Peut-être pas exactement l'ambiance du Millennium, certes, mais nous avons une certaine expérience.

Ce match sera-t-il le tournant de votre Tournoi ?

Premier match à l'extérieur et un gros test, c'est sûr. Depuis le début, on dit qu'on veut avancer pas à pas mais il est clair qu'une victoire au pays de Galles serait une performance marquante pour le collectif et nous laisserait entrevoir de belles ambitions pour le résultat final dans le Tournoi.

L'expression « Grand Chelem » est pour l'instant prohibée à Marcoussis ?

On a le droit d'être ambitieux, c'est même une bonne chose. Mais il ne faut pas brûler les étapes non plus.

https://www.sudouest.fr/2020/02/19/edwards-agent-double-7215097-10142.php

XV de France : Shaun Edwards, l’agent double


Dans sa préparation du déplacement au pays de Galles, le sélectionneur Fabien Galthié a pu s’appuyer sur les conseils de Shaun Edwards Crédit photo : ARCHIVES LAURENT THEILLET

Par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial

Architecte de la défense galloise pendant plus de dix ans, le technicien anglais s’attache désormais à doter les Bleus d’un rideau aux qualités d’agressivité et d’imperméabilité similaires

La séance n’en est qu’à ses prémices. Shaun Edwards se hâte pourtant déjà. Autour de lui, par vagues successives, deux joueurs se munissent de boucliers pour contrarier les mouvements de deux autres qui viennent « gratter » un ballon coincé au préalable entre deux boudins par l’entraîneur anglais en charge de la défense des Bleus. Une séquence, effectuée ce mercredi à Marcoussis, comme il en existe tant d’autres dans le quotidien du rugby pro. Sauf que celle-ci porte son nom. « Ce sont les ‘‘ Shaun drills’’ », a expliqué quelques minutes auparavant le manager Raphaël Ibañez : « Des exercices de mise en condition préparés par Shaun. » Et pas de doute, c’est bien « son » moment.

« Lève, lève ! » « Tes pieds ! » Au plus près des joueurs, le technicien corrige les attitudes avant de les laisser à disposition de Fabien Galthié.
Cette énergie, conjuguée à la nervosité du rythme de ses pas, pourrait traduire une forme de fébrilité à quelques jours de ses retrouvailles avec le pays de Galles. Puisqu’il s’est occupé de la défense galloise durant onze ans (2008–2019), la prochaine échéance du XV de France suscite sans doute chez Shaun Edwards une certaine confusion des sentiments. Mais, dans un grand sourire, Bernard Le Roux affirme que ce comportement n’a absolument pas valeur d’indice : « Il est toujours avec un petit papier dans les mains en train de marcher énervé. »

En mode miroir

Il faut croire que c’est communicatif. Dans le prolongement de l’action entreprise par Fabien Galthié, lorsqu’il était encore un « adjoint comme les autres » au Japon, l’Anglais remodèle le rideau défensif tricolore. Au-delà des cinq essais déjà encaissés en deux matchs, les résultats sont visibles : il monte toujours aussi vite, mais il est plus agressif et s’attache à ne laisser « aucun ballon facile dans les rucks » pour reprendre les mots du numéro 8 rochelais Grégory Alldritt.

Ce descriptif vous est familier ? Normal, il colle aussi bien à la défense dont Shaun Edwards a doté les Gallois et qui, ces dernières saisons, a si souvent causé des tourments au XV de France. « On retrouve effectivement la même organisation dans ce qu’il met en place aujourd’hui avec les Bleus », observe Patrice Lagisquet qui s’occupe désormais du Portugal après avoir chapeauté les arrières tricolores durant le mandat de Philippe Saint-André (2011–2015) : « Il y a toujours ces montées agressives, ces plaquages à deux, cette volonté de prendre au bassin pour prendre le centre de gravité de l’adversaire et ainsi gagner l’impact. »

À double tranchant

Les similitudes sont effectivement évidentes. Et cela même si le troisième ligne François Cros semble apporter un bémol : « On a un système défensif similaire, mais on a des petites différences par rapport à eux. » Objectivement, il faut avoir l’œil expert pour les déceler… Quand Jonathan Davies, à qui revenait le choix de couper les extérieurs ou de contrôler la montée, était l’un des joueurs clés de son système, Gaël Fickou s’en charge désormais. Et, chez les Gallois hier comme chez les Bleus aujourd’hui, les ailiers ont un rôle tout aussi identiques.

Au-delà de l’organisation collective, c’est pourtant peut-être dans les attitudes que la marque Shaun Edwards est la plus prégnante. Alors que les Gallois sont régulièrement présentés comme étant « pénibles » à jouer par leur capacité à imposer le combat dans le jeu au sol, l’Anglais semble déterminé à insuffler aux Français le même état d’esprit. « Oui, c’est quelque chose qu’on ne faisait pas forcément et qu’on essaie de mettre en place », témoigne François Cros en faisait référence à l’importance de contester les rucks adverses : « On se rend compte que ce qui dit sortie de balle ralentie, dit circulation défensive plus facile et meilleure montée. »

La présence de Shaun Edwards dans le staff de Fabien Galthié a probablement incité Wayne Pivac, le successeur de Warren Gatland à la tête du XV du Poireau, à se martyriser le cuir chevelu ces derniers jours. « Il connaît l’organisation galloise par cœur, note ainsi François Cros. Il essaie de nous transmettre leur façon de jouer et les clés pour les battre. » Mais cela ne doit pas occulter une autre vérité. Les Gallois, eux aussi, connaissent Shaun Edwards sur le bout des doigts.

léopold a écrit:Le journaleux qui a écrit l'article n'est pas respectueux pour Vincent, EJECTE voir un terme qui devrait s'appliquer au minable qui écrit l'article.
Du respect merde

En effet, tout ça pour attirer du lecteur...pitoyable !

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Tournoi-jefferson-poirot-un-statut-qui-vacille-au-sein-du-xv-de-france/1111342

Tournoi : Jefferson Poirot, un statut qui vacille au sein du XV de France

Passé de vice-capitaine des Bleus lors de la Coupe du monde à remplaçant en début de Tournoi, le pilier gauche bordelais est menacé de ne même pas être convoqué pour le déplacement au Pays de Galles samedi.


Le dernier match de Jefferson Poirot, face à l'Italie, ne semble pas plaider en sa faveur. (F. Faugère/L'Équipe)

Maxime Raulin

Lorsqu'il était encore consultant (France Télévisions et L'Équipe), il y a tout juste un an, Fabien Galthié considérait Jefferson Poirot comme un des rares joueurs français pouvant « matcher » au niveau international. Le futur sélectionneur de l'équipe de France citait également Arthur Iturria (non convoqué), Antoine Dupont ou Damian Penaud. Au nom de sa mobilité et de son habileté dans les rucks, il imaginait Poirot (27 ans, 35 sélections) l'accompagner jusqu'à la prochaine Coupe du monde, en France, en 2023.

Quelques mois plus tard, la donne a semble-t-il changé. Poirot, vice-capitaine de Guilhem Guirado et candidat autoproclamé à sa succession, a pris un premier coup sur la tête quand la tâche a été confiée à Charles Ollivon. « Au-delà d'être capitaine, j'aimerais avoir un rôle dans ce groupe, avait-il confié dans L'Équipe quelques jours après cette annonce. Il y aura de la déception si je ne fais pas partie des leaders. » Deuxième coup sur la tête en ce début de Tournoi. Titulaire inamovible sous Jacques Brunel, le pilier gauche s'est retrouvé remplaçant de Cyril Baille pour les deux premiers matches.

Après cette décision, il n'a pas montré de signes de déception, en public comme au sein du groupe. Les caméras de France Télévisions l'avaient même montré assumant un rôle de leader, à travers un discours lors de la mise en place de la veille de France - Angleterre. Mais le « déclassement » pourrait continuer. Au vu des entraînements, et selon nos informations, Jefferson Poirot est menacé de ne pas être du voyage au pays de Galles ce samedi, et laissé à la disposition de son club de Bordeaux (qui se déplace à Clermont samedi). Cette fois, c'est un sacré coup de massue !

Poirot n'apporte pas toutes les garanties en mêlée fermée

Comment Poirot, si bien considéré par Galthié, qui avait débuté 31 de ses 33 premières sélections depuis ses débuts en février 2016, se retrouve-t-il aujourd'hui ainsi fragilisé ? Les raisons semblent d'abord techniques. Si Poirot possède toujours son activité et sa capacité à contester les ballons, sa tenue de mêlée n'apporte pas toutes les garanties en mêlée fermée. En tout cas moins, aux yeux de William Servat, que Cyril Baille (qu'il a entraîné à Toulouse de 2012 à 2019). D'autant que Baille est par ailleurs un pilier mobile et un très bon manieur de ballon (voir par ailleurs), comme en attestent ses performances depuis le début du Tournoi. Cette nouvelle hiérarchie rappelle au passage que Baille (26 ans, 19 sélections), qui a aussi commencé sa carrière internationale en 2016, aurait sans doute davantage titillé le statut de Poirot s'il n'avait pas été freiné par deux grosses blessures, une rupture du tendon rotulien du genou gauche en avril 2017 (huit mois d'arrêt), puis une désinsertion de l'ischio-jambier gauche en août 2018 (quatre mois d'arrêt).

Jefferson Poirot pourrait également payer son entrée en jeu face à l'Italie. Si le Bordelais s'était illustré devant l'Angleterre, avec notamment deux ballons récupérés et une grosse activité défensive (6 plaquages), sa deuxième performance a été jugé moins bonne, notamment à cause d'une pénalité concédée. L'expérience de Poirot (3e joueur le plus capé du groupe derrière Fickou et Le Roux) et sa connaissance du Principality Stadium de Cardiff au sein d'un groupe très jeune ne semblent pas peser autant dans la balance que ces soucis techniques.

Vient s'ajouter la forte envie du staff de l'équipe de France de voir à l'oeuvre le jeune Jean-Baptiste Gros (20 ans). Le double champion du monde des moins de 20 ans (2018 et 2019) n'est pas inconnu de Fabien Galthié. Ce dernier, quand il entraînait Toulon (2017-2018), lui a offert ses premières minutes en Top 14 (décembre 2017 face à Oyonnax). Depuis, il a toujours gardé un oeil sur lui. Dès le premier rassemblement à Nice mi-janvier, il avait l'idée de lui donner du temps de jeu pendant le Tournoi. Très bon en mêlée, se déplaçant quasiment comme un troisième-ligne et doté d'un fort caractère, Jean-Baptiste Gros est, selon plusieurs observateurs, programmé pour réussir et s'installer durablement chez les Bleus.

Jefferson Poirot a donc du souci à se faire. D'autant qu'une autre menace pourrait rapidement pointer le bout de son nez. William Servat, l'entraîneur des avants, suit de très près les performances de Clément Castets (23 ans). Encore un pilier toulousain qu'il connaît bien et qui a réalisé une première partie de saison remarquée (20 matches, 15 titularisations).

Ce qui est sûr, c'est que Jeff va devoir vraiment prouver sa valeur, en faisant des prestations vraiment abouties, c'est quand qu'il a fait un match où on a pu dire qu'il était parfait, ou presque..., pas contre Edimbourg en tout cas, à vrai dire, je ne m'en rappelle pas.
C'est bien le problème, Jeff à tout le potentiel, il a maintenant l’expérience et pourtant il ne joue pas au niveau auquel on l'attend. Le match contre Édimbourg en était vraiment emblématique, il aurait du être logiquement, un des meilleurs dans notre camps et ce ne fut pas le cas. Le contraste était encore plus fort, parce que tous ses coéquipiers avaient eux monté leur niveau d'un cran, dans un match s'approchant des standards internationaux, à l'instar d'un Maynadier, irréprochable.
Il faut parfois passer par le purgatoire pour retrouver le paradis, je suis sûr que s'il devait sortir du groupe France, ce ne serait pas rédhibitoire, à condition qu'il reparte vraiment à la reconquête de son Rugby. À l'UBB, on a un coach qui aime bien les revanchards et qui serait capable de l'aider à prouver quelle est sa vrai valeur et j'en reste persuadé, ce n'est pas celle qu'il a montré parfois ces derniers temps. Quoiqu'il en soit, qu'il sorte ou reste en EDF, il faudra qu'il envoie du lourd, Servat ne lui fera pas de cadeau...

https://www.minutesports.fr/index.php/2020/02/19/premier-choix-fort-du-xv-de-france-jefferson-poirot-cest-non/

Premier choix fort du XV de France : Jefferson Poirot, c’est non !

by Liam Henry

C’est clairement un coup dur pour le pilier gauche Jefferson Poirot : ce-dernier ne sera pas retenu pour défier le Pays-de-Galles, ce samedi après-midi à Cardiff, dans le cadre de la 3ème journée du Tournoi des Six-Nations.

L’information avait circulé ces derniers jours et RMC Sport l’annonce officiellement ce mercredi soir : Jefferson Poirot ne sera ni titulaire, ni sur le banc des remplaçants.

En effet, Fabien Galthié et ses adjoints auraient décidé de faire confiance au Toulonnais Jean-Baptiste Gros pour suppléer le titulaire Cyril Baille.

RMC Sport précise que le sélectionneur Fabien Galthié ne serait pas satisfait des entrées en jeu de Jefferson Poirot contre l’Angleterre et l’Italie et aurait décidé de se passer de ses services. De l’extérieur, certains s’interrogent même sur un éventuel souci relationnel.

Reste désormais à savoir si Jefferson Poirot fera au moins partie des cinq joueurs réservistes retenus en cas de pépin physique, ou s’il sera carrément libéré et renvoyé dans son club.

Justement, le staff de l’Union Bordeaux-Bègles aimerait bien récupérer son joueur. En effet, le pilier gauche Thierry Paiva s’est gravement blessé lors du match contre Lyon et ne pourra plus rejouer cette saison.

Aussi, l’autre pilier gauche de l’UBB, Laurent Delboulbès s’est plaint de l’avant-bras lors de l’entraînement de mardi et demeure incertain pour le match contre Clermont, ce samedi soir à l’occasion de la 16ème journée du Top 14.

En grande difficulté au poste de pilier gauche, le manager Christophe Urios verrait donc d’un très bon œil le retour de Jefferson Poirot à Bordeaux dès jeudi. Affaire à suivre…

Waouh si delboubes n'est pas apte et si poirot n'est pas libéré on est mal à gauche pour samedi contre clermont.
Après je suis assez d'accord avec toi scalp sur le niveau actuel de poirot. Je rajouterai que j'ai l'impression que servat mais ses hommes à lui au niveau des avants baille,, marchand, castet, cros tolofua. Alors ok il les a entraîné et les connais bien mais quand même. ..
Ensuite la soi-disant mauvaise tenue en mêlée de poirot sur les 2 derniers matchs n'est pas que de son fait. Peut être que bamba, qui recule à chaque mêlée ainsi que les 2ieme ligness'y sont aussi pour quelques choses
J'espère en tous cas que le moral de poirot ne va pas en prendre un coup. Et que cette éjection des 28 le boostera mais c'est quand même un coup dur pour lui qui ne sera pas facile à avaler

Ah revoilà le népotisme rugbystique français ! Faisons au plus vite un XV de France avec 50% de toulousains et 50% de toulonnais, et nous serons sauvés !

Laissons les. Dans ce rugby moderne, une défaite (sinon une débâcle) samedi à Cardiff et des têtes sauteront, on commencera à jetter la pierre à certains et on réclamera au plus vite des coupables. Sauf pour les quelques privilégiés comme N'Tamack "le fils de" qui bénéficient d'une imunité.

Hâte de voir ce match ! Et tant mieux pour nous si Jeff revient.