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Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
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Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
Avec le premier public d'Europe l'UBB serait donc la plus pénalisée en cas d'imposition d'une jauge minimale (disons 10.000)
Ou alors on impose une pourcentage commun sur les chiffres d'affluences de cette année ....on ne va tout même pas finir en 2021 avec la même affluence que le Stade Français
Ou alors on impose une pourcentage commun sur les chiffres d'affluences de cette année ....on ne va tout même pas finir en 2021 avec la même affluence que le Stade Français
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
C'est surtout que c'est totalement débile d'imposer une jauge max à 10.000 personnes, car dans un stade de 30.000 places comme Chaban on serait à 1 siège sur 3 (environ), soit un certain respect de distanciation, et dans un stade de 10.000 places, on serait à 100% de remplissage, soit une absence totale de distanciation.
Un pourcentage, idéalement 50% mais plus certainement 40 voire 30%, serait quand même plus judicieux et pertinent. Mais c'est peut-être trop demander à nos élites et nos dirigeants que de comprendre cela
Un pourcentage, idéalement 50% mais plus certainement 40 voire 30%, serait quand même plus judicieux et pertinent. Mais c'est peut-être trop demander à nos élites et nos dirigeants que de comprendre cela
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Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
Je pense qu'il n' y aura pas de pb de jauge pour septembre.
le radis- Team modo
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Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
le radis a écrit:Je pense qu'il n' y aura pas de pb de jauge pour septembre.
Vu notre gouvernement et surtout notre chère et fantastique Ministre des Sports, je m'attends à tout
On serait pas à une contradiction ou une connerie prêt ! Et puis comme déjà dit, le lobby du sport semble être (beaucoup) moins puissant et bien moins capable de se faire entendre que celui de l'hôtellerie-restauration ou de la culture
Espérons que cela change et que le sport pro soit reconnu à sa juste valeur, c'est à dire une nécessité (certes non-vitale) pour le quotidien des français !
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Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
le radis a écrit:Je pense qu'il n' y aura pas de pb de jauge pour septembre.
Et encore moins en décembre ou en janvier 2021 ...sans déconner cette quoi cette histoire de calendrier proposé par Goze et dont personne ne parle
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
sudiste a écrit:le radis a écrit:Je pense qu'il n' y aura pas de pb de jauge pour septembre.
Et encore moins en décembre ou en janvier 2021 ...sans déconner cette quoi cette histoire de calendrier proposé par Goze et dont personne ne parle
Encore une histoire de pognon made in Laporte et World Rugby pour faire toujours plus de matchs, de tournois, de championnats à la c** afin de générer du blé A ce rythme, dans quelques années on va aussi lancer un tournoi entre les meilleurs équipes de rugby et de NFL pour faire des rencontres spectaculaires mi-rugby/mi-foot US dans les immenses stades américains et faire encore plus de fric et de bling-bling
Ca commence à bien faire, ce mafioso aux commandes du rugby français
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Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
Après il est loin d'être acquis-à ce jour- que le pb de jauge ne se posera pas du tout sur l'entièreté de la prochaine saison.
le radis- Team modo
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Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
le radis a écrit:Après il est loin d'être acquis-à ce jour- que le pb de jauge ne se posera pas du tout sur l'entièreté de la prochaine saison.
J'espère bien que les politiques vont reprendre leurs esprits et surtout que l'on va cesser d'ètre gouverner par les blouses blanches .
Aujourd'hui 13 morts en France du Covid 19 , tout est dit, la 2ème vague n'existe pas nous sommes sur une mer d'huile .
Le Top 14 va repartir sans notion de distanciation amha.
Vince33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
Pour info, si j'ai bien compris, la rentrée de septembre en Lycée serait (officieusement) envisagée quasi normalement. Il est donc bien possible qu'on puisse avoir des stades remplis à 100% avec au pire des supporters masqués.
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Tombé tout jaune dans le rugby.
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Allez UBB
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
Vince33 a écrit:le radis a écrit:Après il est loin d'être acquis-à ce jour- que le pb de jauge ne se posera pas du tout sur l'entièreté de la prochaine saison.
J'espère bien que les politiques vont reprendre leurs esprits et surtout que l'on va cesser d'ètre gouverner par les blouses blanches .
Aujourd'hui 13 morts en France du Covid 19 , tout est dit, la 2ème vague n'existe pas nous sommes sur une mer d'huile .
Le Top 14 va repartir sans notion de distanciation amha.
Hm.... beaucoup de gens commencent à raisonner comme si tout était fini. Malheureusement il y a d'une part la férocité de l'épidémie en Amérique du Sud, et d'autre part la reprise des contaminations au Portugal (+50% par jour en une semaine, de 200 à 300, alors qu'ils testent 4 fois plus qu'en France!), pays qui a confiné plus tôt et bien mieux qu'ici, qui incitent à la plus grande prudence.
On aimerait tous qu'il n'y ait pas de 2ème vague, mais pour l'instant on ne sait simplement pas.
krahknardz- Team modo
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Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
https://www.ubbrugby.com/actualites/7391-une-vente-aux-encheres-solidaire-pour-remercier-les-soignants.html
le radis- Team modo
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
le radis a écrit:https://www.ubbrugby.com/actualites/7391-une-vente-aux-encheres-solidaire-pour-remercier-les-soignants.html
Je commence à trouver indécent, voire déprimant, que ce pays s'habitue à compter sur la solidarité des particuliers pour financer le matériel médical de l'hôpital public. Mais où passent donc nos impôts pléthoriques bordel
sudiste- Unioniste de la première heure
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
Remarque en l'espèce assez bizarrement à côté de la plaque .
le radis- Team modo
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
Pour en revenir au sujet initial, on peut remarquer que l'UBB incite régulièrement les particuliers qui le souhaitent à aider le monde hospitalier mais ne propose rien pour elle-même. Plusieurs hypothèses d'ailleurs pas incompatibles entre-elles :
1-L'UUB est très riche
2-L'UUB est prête à de très fortes économies
3-L'UUB ne sait pas du tout où elle en est
4-L'UBB espère un fort engouement populaire lors des campagnes d'abonnement et de partenariat
5-L'UBB ne veut rien devoir à ses plus fidèles supporters prêts à l'aider
6-L'UBB estime que ses abonnés lui ont déjà beaucoup donné en ne sollicitant pas de remboursement pour la saison tronquée
Si perso j'espère 1, je vote plutôt pour 2/3/4/5/6
1-L'UUB est très riche
2-L'UUB est prête à de très fortes économies
3-L'UUB ne sait pas du tout où elle en est
4-L'UBB espère un fort engouement populaire lors des campagnes d'abonnement et de partenariat
5-L'UBB ne veut rien devoir à ses plus fidèles supporters prêts à l'aider
6-L'UBB estime que ses abonnés lui ont déjà beaucoup donné en ne sollicitant pas de remboursement pour la saison tronquée
Si perso j'espère 1, je vote plutôt pour 2/3/4/5/6
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Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
le radis a écrit:Remarque en l'espèce assez bizarrement à côté de la plaque .
Je ne mets pas en cause l'initiative et la générosité de ceux qui y participeront bien évidemment , mais je trouve de plus en plus pénible de voir l'Etat s'habituer à ces collectes privées pour boucler les budgets de ce qui reste un "service public". Je pense que contrairement à ce que l'on nous dit, avec des dépenses de santé parmi les plus élevées en Europe, l'argent ne manque pas....c'est son utilisation qui pose problème. Faire appel à la générosité privée pour soutenir de mauvais gestionnaires d'argent public c'est un peu un comble.
sudiste- Unioniste de la première heure
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
patrick a écrit:Pour en revenir au sujet initial, on peut remarquer que l'UBB incite régulièrement les particuliers qui le souhaitent à aider le monde hospitalier mais ne propose rien pour elle-même. Plusieurs hypothèses d'ailleurs pas incompatibles entre-elles :
1-L'UUB est très riche
2-L'UUB est prête à de très fortes économies
3-L'UUB ne sait pas du tout où elle en est
4-L'UBB espère un fort engouement populaire lors des campagnes d'abonnement et de partenariat
5-L'UBB ne veut rien devoir à ses plus fidèles supporters prêts à l'aider
6-L'UBB estime que ses abonnés lui ont déjà beaucoup donné en ne sollicitant pas de remboursement pour la saison tronquée
Si perso j'espère 1, je vote plutôt pour 2/3/4/5/6
J'espère évidemment la 4 (à laquelle je participerai) mais comment lancer une campagne d'abonnement si tu ne sais pas la jauge que l'on t'autorisera à la reprise. Imaginons le pire avec une affluence limitée à 5000 personnes elle ne pourrait même pas satisfaire cette demande
sudiste- Unioniste de la première heure
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
sudiste a écrit:le radis a écrit:Remarque en l'espèce assez bizarrement à côté de la plaque .
Je ne mets pas en cause l'initiative et la générosité de ceux qui y participeront bien évidemment , mais je trouve de plus en plus pénible de voir l'Etat s'habituer à ces collectes privées pour boucler les budgets de ce qui reste un "service public". Je pense que contrairement à ce que l'on nous dit, avec des dépenses de santé parmi les plus élevées en Europe, l'argent ne manque pas....c'est son utilisation qui pose problème. Faire appel à la générosité privée pour soutenir de mauvais gestionnaires d'argent public c'est un peu un comble.
Oula, on en discutera devant un bon verre de vin !
le radis- Team modo
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
sudiste a écrit:patrick a écrit:Pour en revenir au sujet initial, on peut remarquer que l'UBB incite régulièrement les particuliers qui le souhaitent à aider le monde hospitalier mais ne propose rien pour elle-même. Plusieurs hypothèses d'ailleurs pas incompatibles entre-elles :
1-L'UUB est très riche
2-L'UUB est prête à de très fortes économies
3-L'UUB ne sait pas du tout où elle en est
4-L'UBB espère un fort engouement populaire lors des campagnes d'abonnement et de partenariat
5-L'UBB ne veut rien devoir à ses plus fidèles supporters prêts à l'aider
6-L'UBB estime que ses abonnés lui ont déjà beaucoup donné en ne sollicitant pas de remboursement pour la saison tronquée
Si perso j'espère 1, je vote plutôt pour 2/3/4/5/6
J'espère évidemment la 4 (à laquelle je participerai) mais comment lancer une campagne d'abonnement si tu ne sais pas la jauge que l'on t'autorisera à la reprise. Imaginons le pire avec une affluence limitée à 5000 personnes elle ne pourrait même pas satisfaire cette demande
Probablement un 7ème combiné avec le 3ème point : en attente d'une déclinaison govtale sur les aides aux sports pros.
le radis- Team modo
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Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
SO : https://www.sudouest.fr/2020/06/13/rugby-des-negociations-perilleuses-sur-la-baisse-des-salaires-7562906-773.php
Rugby : des négociations périlleuses sur la baisse des salaires
Par Arnaud David
Si plusieurs clubs ont trouvé un accord avec les joueurs sur les salaires, les discussions se révèlent plus difficiles dans d'autres, alors que l'examen des budgets par la DNACG approche.
Depuis le début de la semaine, Dominique Debreyer, le patron de la DNACG, a commencé à dépécher ses émissaires dans les clubs de Top 14 et de Pro D2, pour les aider dans la construction de leur budget. Dans deux semaines, le gendarme financier de la Ligue rendra son verdict, et validera - ou pas - les engagements qui lui auront été présentés.
C'est une période délicate pour les présidents de club qui depuis trois mois naviguent à vue. Ils ont sondé leurs partenaires, ceux qui, avec les recettes au guichet, assurent en moyenne 60 % de leurs revenus. Quel sera l'impact de la pandémie sur le sponsoring la saison prochaine?? Perdront-ils 10, 20, 30 % de leurs soutiens. Impossible de se prononcer avec certitude. En revanche, ils savent ce qu'ils vont devoir débourser pour honorer les salaires des joueurs.
Avec plus ou moins d'urgence, tous - ou presque - ont entamé des discussions avec les joueurs pour baisser les rémunérations. Castres, le Stade Toulousain, Toulon, Montpellier, Clermont, ont annoncé être parvenus à un accord. Le modus vivendi trouvé se situe autour d'une diminution de 10 à 15 % des salaires, en deçà donc des préconisations de la DNACG (voir ci-dessous).
« Retour à meilleure fortune »
Ailleurs, les négociations sont toujours en cours et tous les présidents ne les abordent pas de la même façon. À Agen, Jean-François Fonteneau s'est engagé à ce que la diminution soit la plus indolore possible en fixant un plafond à 10 %. Pierre-Yves Revol, le président de Castres, a protégé les petits salaires, en faisant porter l'effort sur les rémunérations supérieures à 10 000 euros par mois. À Bayonne, La Rochelle ou à Bordeaux, on a proposé aux joueurs un « retour à meilleure fortune » en échange d'un sacrifice plus ou moins important (- 21 % à l'UBB et Pau).
La situation en France n'est pas aussi tendue qu'en Angleterre où les patrons de la Premiership sont en conflit ouvert avec le syndicat des joueurs professionnels après avoir imposé de manière unilatérale une baisse de 25 %, mais un climat de défiance s'est néanmoins installé.
Situations de blocage
« C'est difficile un peu partout et personne n'est dupe, confirme Jérôme Lollo, un des principaux agents sportifs. Les 15 % de baisse ne s'imposent pas forcément. Pour les justifier, on montre parfois des documents à des joueurs qui ne sont pas des experts financiers mais on ne les laisse pas les photographier. Quand je vois des clubs de Pro D2 demander 15 % alors que depuis trois mois, les salaires sont pris en charge par l'État, je me dis qu'il y a un problème. En fait, certains profitent du Covid-19 comme d'une aubaine. Ils demandent deux ans de baisse de salaire pour trois mois d'inactivité. »
Un avis que partage Robins Tchale-Watchou, le président de Provale, le syndicat des joueurs. « Au départ, on a pu avoir une discussion constructive avec le syndicat des employeurs. On a posé un cadre dans un rapport de force équilibré. Les joueurs ont accepté de faire un geste pour aider les clubs à traverser la crise et il y a des présidents qui mènent la négociation de façon très honnête mais ce que je dénonce depuis le début, c'est que d'autres essaient de profiter de l'occasion pour réguler leur masse salariale et rattraper certaines folies qui les mettent en dehors des clous. C'est très moyen. »
D'où des situations de blocage qu'il va falloir surmonter d'ici l'examen des budgets par la DNACG. « Nous avons dit aux joueurs : si ce n'est pas équitable, vous avez les droit de refuser et on vous accompagnera », prévient Tchale-Watchou.
Ces bras de fer laisseront-ils des traces dans la relation entre les joueurs et l'encadrement?? À termes, lorsque la saison sera engagée, faudra-t-il associer la courbe de performance des clubs à la manière dont les négociations auront été menées??
DNACG : « On est loin de nos préconisations »
« Sud Ouest Dimanche ». Vous venez de commencer l'examen des budgets 2020-2021. Procédez-vous de manière différente cette année??
Dominique Debreyer (président de la DNACG). Nous avons décidé d'aller voir tous les clubs cette année compte tenu de la conjoncture. Ces visites se poursuivront jusqu'au 25 juin. Et nous nous réunirons ensuite les 25 et 26 juin.
Quelle sera votre ligne de conduite?? Ferez-vous preuve de flexibilité??
On reste ferme sur les hypothèses. C'est-à-dire qu'on risque d'avoir sur 2021 des trous dans les partenariats qui pourraient être de l'ordre de 30 %. Après, on ouvrira la discussion avec les clubs et on amendera notre position s'ils justifient que la solidarité joue à plein régime et que le rugby est plus fort que la crise. Dans ces cas-là, on prendra les contrats qui arriveront en partenariat puisque c'est la clé du système avec une deuxième clé qui sera la billetterie et la possibilité de jouer en jauge pleine. On est parti sur cette hypothèse. Autant sur les partenariats, je suis plutôt pessimiste et cela peut être un point d'accrochage avec les clubs, autant sur l'accueil des spectateurs, je suis plutôt optimiste.
Pensez-vous que les clubs auront l'autorisation d'accueillir des spectateurs sans restriction??
On part sur l'hypothèse que les stades auront le même potentiel d'accueil que l'an passé. Avec bien sûr un certain nombre de mesures sanitaires. Les clubs travaillent énormément sur les protocoles pour pouvoir recevoir un maximum de spectateurs à défaut d'un taux plein. Nous avons néanmoins anticipé une petite baisse générale de la billetterie.
Mais si c'est du huis clos ou du huis clos partiel, il faudra que l'État nous aide, sinon, le rugby ne résistera pas. Les simulations que nous avons pu faire nous le montrent, le rugby a besoin de spectateurs pour vivre. Outre la billetterie, il y a les recettes liées au réceptif. Et le réceptif, c'est les partenariats. S'il n'y a pas la convivialité qui fait la force du rugby, les partenaires ne viendront pas.
Les clubs ont entamé des négociations avec les joueurs sur les salaires. Vous préconisiez une baisse de 30 %. Les accords tournent plutôt autour de 15 %...
On est loin de nos préconisations. C'est clair. Or, les clubs vont avoir à payer des charges dès le début de la saison et les partenariats, ils ne les auront pas. C'est là que peut se situer la pierre d'achoppement entre les clubs et nous. Ils vont s'engager avec des masses salariales qui seront fixes et des produits incertains. Ce n'est pas une période facile pour travailler.
Rugby : des négociations périlleuses sur la baisse des salaires
Par Arnaud David
Si plusieurs clubs ont trouvé un accord avec les joueurs sur les salaires, les discussions se révèlent plus difficiles dans d'autres, alors que l'examen des budgets par la DNACG approche.
Depuis le début de la semaine, Dominique Debreyer, le patron de la DNACG, a commencé à dépécher ses émissaires dans les clubs de Top 14 et de Pro D2, pour les aider dans la construction de leur budget. Dans deux semaines, le gendarme financier de la Ligue rendra son verdict, et validera - ou pas - les engagements qui lui auront été présentés.
C'est une période délicate pour les présidents de club qui depuis trois mois naviguent à vue. Ils ont sondé leurs partenaires, ceux qui, avec les recettes au guichet, assurent en moyenne 60 % de leurs revenus. Quel sera l'impact de la pandémie sur le sponsoring la saison prochaine?? Perdront-ils 10, 20, 30 % de leurs soutiens. Impossible de se prononcer avec certitude. En revanche, ils savent ce qu'ils vont devoir débourser pour honorer les salaires des joueurs.
Avec plus ou moins d'urgence, tous - ou presque - ont entamé des discussions avec les joueurs pour baisser les rémunérations. Castres, le Stade Toulousain, Toulon, Montpellier, Clermont, ont annoncé être parvenus à un accord. Le modus vivendi trouvé se situe autour d'une diminution de 10 à 15 % des salaires, en deçà donc des préconisations de la DNACG (voir ci-dessous).
« Retour à meilleure fortune »
Ailleurs, les négociations sont toujours en cours et tous les présidents ne les abordent pas de la même façon. À Agen, Jean-François Fonteneau s'est engagé à ce que la diminution soit la plus indolore possible en fixant un plafond à 10 %. Pierre-Yves Revol, le président de Castres, a protégé les petits salaires, en faisant porter l'effort sur les rémunérations supérieures à 10 000 euros par mois. À Bayonne, La Rochelle ou à Bordeaux, on a proposé aux joueurs un « retour à meilleure fortune » en échange d'un sacrifice plus ou moins important (- 21 % à l'UBB et Pau).
La situation en France n'est pas aussi tendue qu'en Angleterre où les patrons de la Premiership sont en conflit ouvert avec le syndicat des joueurs professionnels après avoir imposé de manière unilatérale une baisse de 25 %, mais un climat de défiance s'est néanmoins installé.
Situations de blocage
« C'est difficile un peu partout et personne n'est dupe, confirme Jérôme Lollo, un des principaux agents sportifs. Les 15 % de baisse ne s'imposent pas forcément. Pour les justifier, on montre parfois des documents à des joueurs qui ne sont pas des experts financiers mais on ne les laisse pas les photographier. Quand je vois des clubs de Pro D2 demander 15 % alors que depuis trois mois, les salaires sont pris en charge par l'État, je me dis qu'il y a un problème. En fait, certains profitent du Covid-19 comme d'une aubaine. Ils demandent deux ans de baisse de salaire pour trois mois d'inactivité. »
Un avis que partage Robins Tchale-Watchou, le président de Provale, le syndicat des joueurs. « Au départ, on a pu avoir une discussion constructive avec le syndicat des employeurs. On a posé un cadre dans un rapport de force équilibré. Les joueurs ont accepté de faire un geste pour aider les clubs à traverser la crise et il y a des présidents qui mènent la négociation de façon très honnête mais ce que je dénonce depuis le début, c'est que d'autres essaient de profiter de l'occasion pour réguler leur masse salariale et rattraper certaines folies qui les mettent en dehors des clous. C'est très moyen. »
D'où des situations de blocage qu'il va falloir surmonter d'ici l'examen des budgets par la DNACG. « Nous avons dit aux joueurs : si ce n'est pas équitable, vous avez les droit de refuser et on vous accompagnera », prévient Tchale-Watchou.
Ces bras de fer laisseront-ils des traces dans la relation entre les joueurs et l'encadrement?? À termes, lorsque la saison sera engagée, faudra-t-il associer la courbe de performance des clubs à la manière dont les négociations auront été menées??
DNACG : « On est loin de nos préconisations »
« Sud Ouest Dimanche ». Vous venez de commencer l'examen des budgets 2020-2021. Procédez-vous de manière différente cette année??
Dominique Debreyer (président de la DNACG). Nous avons décidé d'aller voir tous les clubs cette année compte tenu de la conjoncture. Ces visites se poursuivront jusqu'au 25 juin. Et nous nous réunirons ensuite les 25 et 26 juin.
Quelle sera votre ligne de conduite?? Ferez-vous preuve de flexibilité??
On reste ferme sur les hypothèses. C'est-à-dire qu'on risque d'avoir sur 2021 des trous dans les partenariats qui pourraient être de l'ordre de 30 %. Après, on ouvrira la discussion avec les clubs et on amendera notre position s'ils justifient que la solidarité joue à plein régime et que le rugby est plus fort que la crise. Dans ces cas-là, on prendra les contrats qui arriveront en partenariat puisque c'est la clé du système avec une deuxième clé qui sera la billetterie et la possibilité de jouer en jauge pleine. On est parti sur cette hypothèse. Autant sur les partenariats, je suis plutôt pessimiste et cela peut être un point d'accrochage avec les clubs, autant sur l'accueil des spectateurs, je suis plutôt optimiste.
Pensez-vous que les clubs auront l'autorisation d'accueillir des spectateurs sans restriction??
On part sur l'hypothèse que les stades auront le même potentiel d'accueil que l'an passé. Avec bien sûr un certain nombre de mesures sanitaires. Les clubs travaillent énormément sur les protocoles pour pouvoir recevoir un maximum de spectateurs à défaut d'un taux plein. Nous avons néanmoins anticipé une petite baisse générale de la billetterie.
Mais si c'est du huis clos ou du huis clos partiel, il faudra que l'État nous aide, sinon, le rugby ne résistera pas. Les simulations que nous avons pu faire nous le montrent, le rugby a besoin de spectateurs pour vivre. Outre la billetterie, il y a les recettes liées au réceptif. Et le réceptif, c'est les partenariats. S'il n'y a pas la convivialité qui fait la force du rugby, les partenaires ne viendront pas.
Les clubs ont entamé des négociations avec les joueurs sur les salaires. Vous préconisiez une baisse de 30 %. Les accords tournent plutôt autour de 15 %...
On est loin de nos préconisations. C'est clair. Or, les clubs vont avoir à payer des charges dès le début de la saison et les partenariats, ils ne les auront pas. C'est là que peut se situer la pierre d'achoppement entre les clubs et nous. Ils vont s'engager avec des masses salariales qui seront fixes et des produits incertains. Ce n'est pas une période facile pour travailler.
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Allez UBB
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
On apprend incidemment dans cet article que le montant moyen de la baisse (temporaire) des salaires à l'UBB est de 21 % .
Comme prévu malheureusement, cela augure d'une santé financière particulièrement précaire du club.
Comme prévu malheureusement, cela augure d'une santé financière particulièrement précaire du club.
le radis- Team modo
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Localisation : talence
Date d'inscription : 12/10/2012
Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
Il y a quand même quelque chose qui me chagrine de la part de mon club préféré :
tous les organisateurs de spectacles m'ont écrit pour m'indiquer la procédure à suivre pour obtenir le remboursement des billets acquis d'avance en raison des annulations lié au COVID19....
la totalité des clubs d'Aquitaine , dont le SUA , le Stade Rochelais , et l'Aviron Bayonnais ont mis en ligne (ou mail) les procédures pour obtenir des remboursement de billetterie ou avoirs (y compris au prorata sur abonnements au SUA qui n'a pas meilleure santé financière que l'UBB!) à raison des matchs de fin de saison annulés...
Et pendant ce temps là à l'UBB , RIEN ! La seule communication a été que les abonnements n'augmenteraient pas la saison prochaine !
mon club fait le mort et j'en suis fort marri !
Ce qui me gène c'est l'absence de geste et de communication , quand bien même je n'ai à titre personnel aucune intention de demander un prorata sur mes abonnements...(pour soutenir le club j'avais acquis en 2008 4 abonnements "1ère ligne" alors qu'il m'en suffisait d'un à l'époque où Marti avait menacé de se retirer)
En revanche j'ai acquis des billets supplémentaires pour des proches, ou pour le quart de challenge européen et trouve anormal qu'on ne m'en propose pas remboursement : l'enrichissement sans cause est pourtant prohibé en droit français !
On ne peut pas dénoncer un fonctionnement à la "papa" de la Ligue , ou les "mafia cassoulet" et faire l'autruche en pareilles circonstances...
nota: j'ai renoncé à demander un remboursement de mes billets pour le match contre l'UBB au club de La Rochelle qui m'offre en contrepartie , ainsi qu'à tout renonçant , d'avoir mon nom sur une brique faisant partie d'un mur prochainement édifié à l'honneur des bienfaiteurs ....
(ça fait cher la brique , mais au moins tu sais ce que t'as pour "une brique" ! )
tous les organisateurs de spectacles m'ont écrit pour m'indiquer la procédure à suivre pour obtenir le remboursement des billets acquis d'avance en raison des annulations lié au COVID19....
la totalité des clubs d'Aquitaine , dont le SUA , le Stade Rochelais , et l'Aviron Bayonnais ont mis en ligne (ou mail) les procédures pour obtenir des remboursement de billetterie ou avoirs (y compris au prorata sur abonnements au SUA qui n'a pas meilleure santé financière que l'UBB!) à raison des matchs de fin de saison annulés...
Et pendant ce temps là à l'UBB , RIEN ! La seule communication a été que les abonnements n'augmenteraient pas la saison prochaine !
mon club fait le mort et j'en suis fort marri !
Ce qui me gène c'est l'absence de geste et de communication , quand bien même je n'ai à titre personnel aucune intention de demander un prorata sur mes abonnements...(pour soutenir le club j'avais acquis en 2008 4 abonnements "1ère ligne" alors qu'il m'en suffisait d'un à l'époque où Marti avait menacé de se retirer)
En revanche j'ai acquis des billets supplémentaires pour des proches, ou pour le quart de challenge européen et trouve anormal qu'on ne m'en propose pas remboursement : l'enrichissement sans cause est pourtant prohibé en droit français !
On ne peut pas dénoncer un fonctionnement à la "papa" de la Ligue , ou les "mafia cassoulet" et faire l'autruche en pareilles circonstances...
nota: j'ai renoncé à demander un remboursement de mes billets pour le match contre l'UBB au club de La Rochelle qui m'offre en contrepartie , ainsi qu'à tout renonçant , d'avoir mon nom sur une brique faisant partie d'un mur prochainement édifié à l'honneur des bienfaiteurs ....
(ça fait cher la brique , mais au moins tu sais ce que t'as pour "une brique" ! )
Duracuir- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 448
Localisation : TALENCE
Date d'inscription : 24/04/2012
Humeur : UNION, quand tu me prends...!!!!
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
Pour les billets de challenge il me semble que l'EPCR n'a pas annoncé que ses compétitions étaient annulées donc théoriquement le match se jouera.
D'ailleurs dans la billeterie chez moi, les billets d'Edimbourg sont toujours actifs.
Mais je te rejoins sur le manque de communication et d'explication claire du club, c'est trés limite.
D'ailleurs dans la billeterie chez moi, les billets d'Edimbourg sont toujours actifs.
Mais je te rejoins sur le manque de communication et d'explication claire du club, c'est trés limite.
willoush- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 1383
Localisation : Au sud
Date d'inscription : 26/08/2018
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
https://murdesoutien.stadetoulousain.fr/
Nous sommes tous très patients mais aussi nombreux à être étonnés que ce genre de site n'existe pas pour l'UBB
Nous sommes tous très patients mais aussi nombreux à être étonnés que ce genre de site n'existe pas pour l'UBB
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Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
Oui il y a bp de retard en terme de communication et d'organisation du soutien populaire au club.
le radis- Team modo
- Nombre de messages : 13236
Localisation : talence
Date d'inscription : 12/10/2012
Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
willoush a écrit:Mais je te rejoins sur le manque de communication et d'explication claire du club, c'est trés limite.
le radis a écrit:Oui il y a bp de retard en terme de communication et d'organisation du soutien populaire au club.
Perso je trouve que le club est un peu à la ramasse au niveau communication, que ce soit pour la billetterie ou l'avenir du club.
Ribouldingue- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 975
Localisation : Gironde
Date d'inscription : 14/08/2012
Re: Comment soutenir l'UBB pendant la crise du COVID-19 ?
Ribouldingue a écrit:willoush a écrit:Mais je te rejoins sur le manque de communication et d'explication claire du club, c'est trés limite.le radis a écrit:Oui il y a bp de retard en terme de communication et d'organisation du soutien populaire au club.
Perso je trouve que le club est un peu à la ramasse au niveau communication, que ce soit pour la billetterie ou l'avenir du club.
Il me semblait que nous avions recruté un super DG pour remplacer Brouzet, un peu discret non?
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 4506
Localisation : sud langonnais
Date d'inscription : 14/01/2017
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