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Le XV de France (partie 2)
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Re: Le XV de France (partie 2)
Big'Ben a écrit:grospaquet31 a écrit:Toujours pas de Woki...comprends pas.
Pareil, c'est incompréhensible de mon point de vue. Woki a prouvé qu'il pouvait hisser son niveau de jeu à un très haut niveau, et le staff continu de le museler à la place de joueurs qui sont moins en forme...
Encore un mec venu "faire le nombre" et qui bulle sanitaire oblige restera 2 mois à cirer les bancs de Marcoussis alors qu'il pourrait être en club. Vibislement, avoir mangé Maro Itoje en touche (excusez du peu) à l'automne n'est pas un argument suffisant, surtout face à une touche irlandaise qui on le sait est ridiculement faible
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Re: Le XV de France (partie 2)
Avant Irlande – France : “Les Irlandais ne changeront pas leur organisation parce que trois joueurs ne sont pas là”, estime Fabien Galthié
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/avant-irlande-france-les-irlandais-ne-changeront-pas-leur-organisation-parce-que-trois-joueurs-ne-sont-pas-la-estime-fabien-galthie-1293004.php
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Re: Le XV de France (partie 2)
C'est un peu comme Pesenti, je ne comprends pas comment on peut se passer de lui sur le banc au moins. Tao c'est pas l'assurance tout risque au placage et fait bcp de faute de main.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
Fabien Galthié explique les titularisations de Damian Penaud et Anthony Jelonch face à l'Irlande
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Fabien-galthie-explique-les-titularisations-de-damian-penaud-et-anthony-jelonch-face-a-l-irlande/1222458
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Fabien-galthie-explique-les-titularisations-de-damian-penaud-et-anthony-jelonch-face-a-l-irlande/1222458
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Re: Le XV de France (partie 2)
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Re: Le XV de France (partie 2)
L'Irlande va mettre la pression sur Dupont
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2021/tournoi-des-6-nations-2021-l-irlande-va-mettre-la-pression-sur-antoine-dupont-france_sto8116497/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2021/tournoi-des-6-nations-2021-l-irlande-va-mettre-la-pression-sur-antoine-dupont-france_sto8116497/story.shtml
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Re: Le XV de France (partie 2)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Comment-la-france-peut-aller-chercher-la-victoire-en-irlande/1223054
Comment la France peut aller chercher la victoire en Irlande
Pour en finir avec dix ans sans victoire à Dublin, l'équipe de France aurait tort de ne pas miser sur sa vitesse. Elle aurait encore plus tort de ne pas mettre la ferveur et le caractère indispensables dans les zones de combat.
Frédéric Bernès
Quand nous aurons tout oublié de Rome, il restera cette passe rétroviseur d'Antoine Dupont, cette passe roulée boulée, les yeux derrière la tête, qui donna au premier essai international d'Arthur Vincent une publicité inattendue. Une merveille, monsieur Dupont, je dirais même plus, une vermeille. Certains épisodes du Tournoi vieillissent dans les mémoires, se raffermissent avec le temps, quand d'autres s'évaporent, classés verticalement, en dessous de la pile. Sans que cela amoindrisse les mérites de Charles Ollivon et son équipage, le destin du dernier Italie-France (10-50) n'est pas promis à une réédition en Pléiade.
On sait bien que la mémoire obéit à des raisons sentimentales, à des pouvoirs mystérieux, et que certains acteurs de Grand Chelem n'ont sauvé de l'oubli que quelques images brumeuses, ou pittoresques. De 1981, année de la rose sauf dans le Tournoi, Jean-Pierre Rives ne se remémore à peu près rien du premier match contre l'Écosse (16-9), si ce n'est qu'il avait dû extraire, sans fauteuil de dentiste ni pince crochue, une molaire devenue gênante au fond de la bouche de Jean-François Imbernon. «Je me rappelle m'être trouvé sur le terrain avec cette dent dans la main et lui avoir demandé : "Qu'est-ce que j'en fais ?" "Ben jette-la !", qu'il m'avait répondu.»
Sans Fields of Athenry repris par cinquante mille chanteurs irlandais, sans les semelles qui font « schlok-schlok » en revenant des pissotières à la mi-temps (c'est que l'art de se soulager en tenant sa pinte entre les dents n'est pas toujours maîtrisé), l'Aviva ne sera bien sûr pas cet après-midi le pressoir que nous connaissons bien. Mais il faudrait qu'il ait la mémoire d'un petit pois sauteur pour que le quinze de France ne reconnaisse pas son lieu de perdition officiel depuis dix ans. Il y a deux hivers, Antoine Dupont était là, titulaire. Damian Penaud et Gaël Fickou aussi. Les douze autres figurants de cette première mi-temps à classer comme une pièce de musée, celui des horreurs, ont disparu du paysage, pour une blessure ou pour toujours.
Après Cardiff, y aurait vraiment pas de mal à se faire Dublin
Depuis son poste de commentateur télé, Fabien Galthié avait dû penser ce jour-là que la dépossession n'est pas regardable lorsqu'elle est à ce point non désirée. Durant ces quarante minutes, les Irlandais passèrent 89 % du temps dans le camp français et confisquèrent 77 % des ballons. C'était une époque où on ne parlait pas de gagner des titres mais où on savait se consoler d'avoir gagné la seconde période.
Ces dix dernières années, cette équipe d'Irlande fut celle qui mit le mieux la France face à ses insuffisances. Et elle devait bien se poiler en écoutant les commentaires des perdants, légèrement guindés, limite snobinards, au sujet de ce rugby Tetris qui place la précision au-dessus de tout. Après l'inoubliable drop de Johnny Sexton au bout du temps additionnel en 2018, après la leçon de froideur de la Coupe du monde 2015, nous pourrions craindre que les Irlandais prennent un malin plaisir à retourner le cutter dans la même plaie. Croyez bien que c'est ce que nous ferions si les courbes des deux équipes ne s'étaient pas croisées, la renaissance française donnant un sacré coup de vieux à l'Irlande le 31 octobre dernier, en lui passant quatre essais (35-27), comme autant de façons de lui dire que le jeu irait dorénavant trop vite pour elle. Ce soir-là, les Français avaient même gagné la première période, c'est vous dire...
Pour effacer la dette extérieure de Dublin, se souvenir de cette nuit d'octobre semble porter le meilleur conseil qui soit. Car avant de se dévergonder, les Français avaient pris soin de bétonner leur fond de tarte, en neutralisant plusieurs mauls après touche et en répondant dans le combat rapproché juste devant leur ligne et juste avant la mi-temps. C'est exactement ces rendez-vous qu'il ne faudra pas manquer. Et c'est en pensant à eux que Fabien Galthié et son staff ont placé le pragmatisme avant les préceptes.
Tant pis pour la stabilité, tant pis aussi pour Teddy Thomas et Dylan Cretin, jugés très performants à Rome et à qui on a dû expliquer cette semaine que la réalité du terrain plaidait pour la titularisation d'Anthony Jelonch, dont le goût pour le chocolat sera éprouvé par Beirne, Henderson, Ruddock et Stander, et celle de Damian Penaud, en vertu de ses habiletés aériennes. Le premier pas de Dupont, qui vaut bien la première touche de Bergkamp, le coup de rein de Jalibert, les jolies gambettes de Penaud ou de Dulin surprendront d'autant mieux si le pressing irlandais n'arrive pas à s'enclencher, si le jeu au pied tactique des Français fait la maille et s'il n'y a pas de voies d'eau au bord des rucks, comme en Italie.
Andy Farrell, lui, n'a pas pu faire autrement que de recoudre son équipe, devant, derrière et au milieu. Pas si loin de pigeonner les Gallois à Cardiff en devant se débrouiller à quatorze pendant près d'une heure, les Irlandais ont perdu James Ryan et Johnny Sexton (commotions), Peter O'Mahony (suspendu) et Conor Murray (ischio), ce qui chiffre gros le déficit de leadership. Au moins, personne n'aura à se demander si le courage de Sexton ne confinerait pas à l'inconscience.
La curiosité se fixera plutôt sur le pauvre Billy Burns, qui a servi de chair à Twitter toute la semaine pour avoir cochonné la dernière pénaltouche au Millennium. William Servat a raison de dire que, sur son chemin vers l'âge adulte, l'équipe de France a besoin de ce genre de victoire en terrain hostile. L'année dernière, elle s'était imposée à Cardiff pendant le Tournoi. Et maintenant, y aurait vraiment pas de mal à se faire Dublin !
Comment la France peut aller chercher la victoire en Irlande
Pour en finir avec dix ans sans victoire à Dublin, l'équipe de France aurait tort de ne pas miser sur sa vitesse. Elle aurait encore plus tort de ne pas mettre la ferveur et le caractère indispensables dans les zones de combat.
Frédéric Bernès
Quand nous aurons tout oublié de Rome, il restera cette passe rétroviseur d'Antoine Dupont, cette passe roulée boulée, les yeux derrière la tête, qui donna au premier essai international d'Arthur Vincent une publicité inattendue. Une merveille, monsieur Dupont, je dirais même plus, une vermeille. Certains épisodes du Tournoi vieillissent dans les mémoires, se raffermissent avec le temps, quand d'autres s'évaporent, classés verticalement, en dessous de la pile. Sans que cela amoindrisse les mérites de Charles Ollivon et son équipage, le destin du dernier Italie-France (10-50) n'est pas promis à une réédition en Pléiade.
On sait bien que la mémoire obéit à des raisons sentimentales, à des pouvoirs mystérieux, et que certains acteurs de Grand Chelem n'ont sauvé de l'oubli que quelques images brumeuses, ou pittoresques. De 1981, année de la rose sauf dans le Tournoi, Jean-Pierre Rives ne se remémore à peu près rien du premier match contre l'Écosse (16-9), si ce n'est qu'il avait dû extraire, sans fauteuil de dentiste ni pince crochue, une molaire devenue gênante au fond de la bouche de Jean-François Imbernon. «Je me rappelle m'être trouvé sur le terrain avec cette dent dans la main et lui avoir demandé : "Qu'est-ce que j'en fais ?" "Ben jette-la !", qu'il m'avait répondu.»
Sans Fields of Athenry repris par cinquante mille chanteurs irlandais, sans les semelles qui font « schlok-schlok » en revenant des pissotières à la mi-temps (c'est que l'art de se soulager en tenant sa pinte entre les dents n'est pas toujours maîtrisé), l'Aviva ne sera bien sûr pas cet après-midi le pressoir que nous connaissons bien. Mais il faudrait qu'il ait la mémoire d'un petit pois sauteur pour que le quinze de France ne reconnaisse pas son lieu de perdition officiel depuis dix ans. Il y a deux hivers, Antoine Dupont était là, titulaire. Damian Penaud et Gaël Fickou aussi. Les douze autres figurants de cette première mi-temps à classer comme une pièce de musée, celui des horreurs, ont disparu du paysage, pour une blessure ou pour toujours.
Après Cardiff, y aurait vraiment pas de mal à se faire Dublin
Depuis son poste de commentateur télé, Fabien Galthié avait dû penser ce jour-là que la dépossession n'est pas regardable lorsqu'elle est à ce point non désirée. Durant ces quarante minutes, les Irlandais passèrent 89 % du temps dans le camp français et confisquèrent 77 % des ballons. C'était une époque où on ne parlait pas de gagner des titres mais où on savait se consoler d'avoir gagné la seconde période.
Ces dix dernières années, cette équipe d'Irlande fut celle qui mit le mieux la France face à ses insuffisances. Et elle devait bien se poiler en écoutant les commentaires des perdants, légèrement guindés, limite snobinards, au sujet de ce rugby Tetris qui place la précision au-dessus de tout. Après l'inoubliable drop de Johnny Sexton au bout du temps additionnel en 2018, après la leçon de froideur de la Coupe du monde 2015, nous pourrions craindre que les Irlandais prennent un malin plaisir à retourner le cutter dans la même plaie. Croyez bien que c'est ce que nous ferions si les courbes des deux équipes ne s'étaient pas croisées, la renaissance française donnant un sacré coup de vieux à l'Irlande le 31 octobre dernier, en lui passant quatre essais (35-27), comme autant de façons de lui dire que le jeu irait dorénavant trop vite pour elle. Ce soir-là, les Français avaient même gagné la première période, c'est vous dire...
Pour effacer la dette extérieure de Dublin, se souvenir de cette nuit d'octobre semble porter le meilleur conseil qui soit. Car avant de se dévergonder, les Français avaient pris soin de bétonner leur fond de tarte, en neutralisant plusieurs mauls après touche et en répondant dans le combat rapproché juste devant leur ligne et juste avant la mi-temps. C'est exactement ces rendez-vous qu'il ne faudra pas manquer. Et c'est en pensant à eux que Fabien Galthié et son staff ont placé le pragmatisme avant les préceptes.
Tant pis pour la stabilité, tant pis aussi pour Teddy Thomas et Dylan Cretin, jugés très performants à Rome et à qui on a dû expliquer cette semaine que la réalité du terrain plaidait pour la titularisation d'Anthony Jelonch, dont le goût pour le chocolat sera éprouvé par Beirne, Henderson, Ruddock et Stander, et celle de Damian Penaud, en vertu de ses habiletés aériennes. Le premier pas de Dupont, qui vaut bien la première touche de Bergkamp, le coup de rein de Jalibert, les jolies gambettes de Penaud ou de Dulin surprendront d'autant mieux si le pressing irlandais n'arrive pas à s'enclencher, si le jeu au pied tactique des Français fait la maille et s'il n'y a pas de voies d'eau au bord des rucks, comme en Italie.
Andy Farrell, lui, n'a pas pu faire autrement que de recoudre son équipe, devant, derrière et au milieu. Pas si loin de pigeonner les Gallois à Cardiff en devant se débrouiller à quatorze pendant près d'une heure, les Irlandais ont perdu James Ryan et Johnny Sexton (commotions), Peter O'Mahony (suspendu) et Conor Murray (ischio), ce qui chiffre gros le déficit de leadership. Au moins, personne n'aura à se demander si le courage de Sexton ne confinerait pas à l'inconscience.
La curiosité se fixera plutôt sur le pauvre Billy Burns, qui a servi de chair à Twitter toute la semaine pour avoir cochonné la dernière pénaltouche au Millennium. William Servat a raison de dire que, sur son chemin vers l'âge adulte, l'équipe de France a besoin de ce genre de victoire en terrain hostile. L'année dernière, elle s'était imposée à Cardiff pendant le Tournoi. Et maintenant, y aurait vraiment pas de mal à se faire Dublin !
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Re: Le XV de France (partie 2)
VI Nations: Dupont, Penaud, les rêves de Grand Chelem… les clés d'Irlande-France
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tournoi-des-6-nations/vi-nations-dupont-penaud-les-reves-de-grand-chelem-les-cles-d-irlande-france_AV-202102140112.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tournoi-des-6-nations/vi-nations-dupont-penaud-les-reves-de-grand-chelem-les-cles-d-irlande-france_AV-202102140112.html
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Re: Le XV de France (partie 2)
L'Irlande a les moyens de mettre la pression sur nos avants, notre 5 de devant est tout à fait quelconque,sans ballon avec de la pression pas de Dupont qui tienne.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
léopold a écrit:L'Irlande a les moyens de mettre la pression sur nos avants, notre 5 de devant est tout à fait quelconque,sans ballon avec de la pression pas de Dupont qui tienne.
Je te trouve un poil dur, mais on va vite savoir si notre cinq de devant tient la route
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Re: Le XV de France (partie 2)
Burns, Jalibert... Ils ont rendez-vous avec l'histoire
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2021/6-nations-2021-burns-irlande-jalibert-france-.-ils-ont-rendez-vous-avec-l-histoire_sto8124275/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2021/6-nations-2021-burns-irlande-jalibert-france-.-ils-ont-rendez-vous-avec-l-histoire_sto8124275/story.shtml
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Re: Le XV de France (partie 2)
Scalp a écrit:Burns, Jalibert... Ils ont rendez-vous avec l'histoire
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2021/6-nations-2021-burns-irlande-jalibert-france-.-ils-ont-rendez-vous-avec-l-histoire_sto8124275/story.shtml
Je poste le dernier paragraphe:
Le Bordelais se sait plus que jamais attendu au tournant, dans son rôle de buteur comme dans sa capacité à gérer le cours des événements. Les espoirs de victoire finale reposent en bonne partie sur ses épaules. Ce dimanche 14 février restera assurément comme une date clé dans sa toute jeune carrière. Reste à savoir si elle sera marquée d'une pierre blanche ou noire.
le merdol fait tout pour le mettre dans les meilleures conditions...le fusil de chasse chargé est pret.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
https://www.midi-olympique.fr/2021/02/11/a-dublin-la-france-devra-effacer-une-decennie-de-deroutes-9367528.php
À Dublin, la France devra effacer une décennie de déroutes
Tournoi des 6 Nations, XV de France
Aussi incroyable que cela puisse paraître, la dernière victoire française en Irlande remonte à 2011. Le temps est venu d’effacer les ardoises, garçons...
Putain, dix ans ! Dix ans que le XV de France n’a plus gagné à Dublin. Dix ans que les Bleus quittent l’Aviva la gueule en vrac et le corps meurtri. Dix ans que les Tricolores ébauchent des plans anti Sexton, tous plus moisis les uns que les autres : en son temps, le Goret avait par exemple jugé qu’envoyer péter « Basta » dans la courge de l’ami Johnny finirait d’engloutir les neurones du maître à jouer irlandais ; les Celtes, devinant l’astuce, avaient anéanti la redoutable (?) tactique française en plaçant le rustique Sean O’Brien au cul de son ouvreur, étouffant de la sorte, et assez facilement pour tout dire, la tactique tricolore. Au vrai, on a pris tellement de roustes en bord de Liffey qu’on revit cycliquement la dernière victoire des Bleus à Dublin avec un plaisir non feint. Et comment l’oublier, d’ailleurs? C’était le 13 février 2011, le talonneur du XV de France s’appelait encore William Servat, la sélection s’appuyait sur une paire de centres « maousse costaude » (Aurélien Rougerie et Damien Traille) et on disait de cette charnière (Morgan Parra et François Trinh-Duc) qu’elle s’apprêtait à ringardiser toutes celles l’ayant précédé : cet après-midi-là, le XV de France n’avait pas vraiment forcé son talent, le grand blond de Clermont (Rougerie) surclassant Gordon Darcy au milieu du terrain pour donner un essai à Maxime Médard et permettre aux gonzes de Marc Lièvremont de s’imposer en Irlande (25-22).
Depuis ? C’est la mouise, sainte mère, et l’on ne souffre plus de voir les sélectionneurs celtes, qu’ils se nomment Eddie O’Sullivann, Declan Kidney ou Joe Schmidt, se succéder, heureux ou hilares, en conférence de presse d’après-match en empilant les fadaises, assurant avoir « fait le job » ou pire, « contenu l’équipe la plus physique de la compétition. » On n’en peut plus, vous comprenez? On n’en peut plus, de cette manie qu’ont les Diables Verts d’enchaîner vingt-cinq temps de jeu sans commettre une faute. On n’en peut plus, non plus, des coups de pied dans la boîte de Conor Murray, de la grande bouche de Cian Healy ou de la façon dont Rob Herring a succédé à Rory Best pour guider ces maudits « driving mauls » sur vingt mètres, jusqu’à nos en-but. Parce qu’au fil du temps, on s’est comme lâchement résigné à ce que les Bleus soient fessés en Irlande, une nation comptant pourtant moins de licenciés que la seule ligue Occitanie, un adversaire qui fut jadis une formalité pour les équipes de France, un aimable sparring-partner où, selon les époques, Fergus Slattery, Simon Geoghegan ou Keith Wood étaient à peu près les seuls talents de leur génération respective.
La guerre des mondes
De toute évidence, le temps est aujourd’hui venu d’effacer les ardoises et, qu’on le veuille ou non, cette année semble l’année ou jamais pour que l’équipe de France s’impose enfin à Dublin. D’abord, parce que les Diables Verts seront privés dimanche de l’armée de braillards qui pousse habituellement chacune de leurs interminables séquences et, de façon assumée, fait si souvent pression sur le corps arbitral : et on a vu, samedi, comme la « squadra azzurra » semblait banale, inoffensive, dès lors qu’elle était dépourvue du soutien populaire d’un stade olympique qui masque généralement ses carences, au moins en début de rencontre. Ensuite, la sélection irlandaise semble à bien des titres vieillissante, en fin de cycle, quand, à l’inverse, la France s’appuie à présent sur une génération talentueuse, vierge d’histoire et de tout passif face aux Diables Verts. Il y a peu, l’ancien demi de mêlée des Bleus Dimitri Yachvili, aujourd’hui consultant pour France Télévisions, nous confiait à ce sujet : « L’Irlande n’a pas beaucoup évolué depuis le Mondial japonais. Le schéma reste le même : occupation, conquête, défi physique. Andy Farrell (le sélectionneur irlandais) veut maintenir la charnière historique (Murray-Sexton) parce que son expérience est à ses yeux importante. Mais elle maintient aussi l’équipe dans un style de jeu qui correspond de moins en moins aux standards internationaux… » Pourquoi Farrell, déjà sur la sellette si l’on en croit les rumeurs irlandaises, est-il si frileux, concernant sa charnière ? Et a-t-il finalement raison d’estimer que Johnny Sexton et Conor Murray restent les références du pays à leur poste, quand le numéro9 de l’Ulster John Cooney et l’ouvreur des Munstermen JJ Hanrahan enchaînent les bonnes performances au point d’éveiller, pour le second d’entre eux, l’intérêt du Lou et d’autres gros bras du Top 14 ?
Sergio Parisse : « La France a une confiance inébranlable »
Solide, sérieuse, plus disciplinée qu’à l’habitude et par moments séduisante, la bande à Galthié a de son côté fait à Rome ce que l’on attendait d’elle et, dans le sillage d’une victoire à sept essais, accueilli avec bienveillance les louanges d’une partie du rugby européen, qu’il soit ici incarné par l’Anglais Clive Woodward ou ailleurs par Keith Wood, le divin chauve de la république irlandaise. Quant à Sergio Parisse, cette autre divinité pelée du rugby mondial, voici ce qu’il nous confiait au sujet des Bleus : « L’équipe de France, c’est déjà un état d’esprit remarquable. Les joueurs ont plaisir d’être ensemble, ça saute aux yeux et ce n’était pas le cas, auparavant. Il y a de l’envie, de la solidarité, énormément de talent et une confiance inébranlable dans le projet de jeu. » On entend vos arguments, Sergio. Mais Teddy Thomas et Gabin Villière sont-ils prêts à assurer sous les bombes que ne manquera pas de lancer Conor Murray ? Et face à quelques-uns des meilleurs « gratteurs » du vieux continent, Bernard Le Roux retrouvera-t-il la grinta qui était la sienne à l’automne, à l’époque où il déblayait quarante rucks par rencontre? Pour Simon Zebo, l’arrière irlandais du Racing92, la clé du match ne se situera de toute façon pas sur l’un ou l’autre de ces secteurs de jeu. « Les Français devront utiliser leur flair et exploiter les extérieurs. Si Gaël Fickou et Teddy Thomas ont quelques ballons au large, ils vont stresser le triangle du fond irlandais ; car si la France utilise beaucoup le jeu au pied, elle garde au fond d’elle une attirance évidente pour le jeu. » Quelle que soit la façon dont Fabien Galthié compte s’y prendre pour fendre l’Eire, on souhaite juste qu’il fasse enfin taire les démons de l’Aviva et mette un terme à dix ans de misère. Putain, dix ans…
Marc Duzan
À Dublin, la France devra effacer une décennie de déroutes
Tournoi des 6 Nations, XV de France
Aussi incroyable que cela puisse paraître, la dernière victoire française en Irlande remonte à 2011. Le temps est venu d’effacer les ardoises, garçons...
Putain, dix ans ! Dix ans que le XV de France n’a plus gagné à Dublin. Dix ans que les Bleus quittent l’Aviva la gueule en vrac et le corps meurtri. Dix ans que les Tricolores ébauchent des plans anti Sexton, tous plus moisis les uns que les autres : en son temps, le Goret avait par exemple jugé qu’envoyer péter « Basta » dans la courge de l’ami Johnny finirait d’engloutir les neurones du maître à jouer irlandais ; les Celtes, devinant l’astuce, avaient anéanti la redoutable (?) tactique française en plaçant le rustique Sean O’Brien au cul de son ouvreur, étouffant de la sorte, et assez facilement pour tout dire, la tactique tricolore. Au vrai, on a pris tellement de roustes en bord de Liffey qu’on revit cycliquement la dernière victoire des Bleus à Dublin avec un plaisir non feint. Et comment l’oublier, d’ailleurs? C’était le 13 février 2011, le talonneur du XV de France s’appelait encore William Servat, la sélection s’appuyait sur une paire de centres « maousse costaude » (Aurélien Rougerie et Damien Traille) et on disait de cette charnière (Morgan Parra et François Trinh-Duc) qu’elle s’apprêtait à ringardiser toutes celles l’ayant précédé : cet après-midi-là, le XV de France n’avait pas vraiment forcé son talent, le grand blond de Clermont (Rougerie) surclassant Gordon Darcy au milieu du terrain pour donner un essai à Maxime Médard et permettre aux gonzes de Marc Lièvremont de s’imposer en Irlande (25-22).
Depuis ? C’est la mouise, sainte mère, et l’on ne souffre plus de voir les sélectionneurs celtes, qu’ils se nomment Eddie O’Sullivann, Declan Kidney ou Joe Schmidt, se succéder, heureux ou hilares, en conférence de presse d’après-match en empilant les fadaises, assurant avoir « fait le job » ou pire, « contenu l’équipe la plus physique de la compétition. » On n’en peut plus, vous comprenez? On n’en peut plus, de cette manie qu’ont les Diables Verts d’enchaîner vingt-cinq temps de jeu sans commettre une faute. On n’en peut plus, non plus, des coups de pied dans la boîte de Conor Murray, de la grande bouche de Cian Healy ou de la façon dont Rob Herring a succédé à Rory Best pour guider ces maudits « driving mauls » sur vingt mètres, jusqu’à nos en-but. Parce qu’au fil du temps, on s’est comme lâchement résigné à ce que les Bleus soient fessés en Irlande, une nation comptant pourtant moins de licenciés que la seule ligue Occitanie, un adversaire qui fut jadis une formalité pour les équipes de France, un aimable sparring-partner où, selon les époques, Fergus Slattery, Simon Geoghegan ou Keith Wood étaient à peu près les seuls talents de leur génération respective.
La guerre des mondes
De toute évidence, le temps est aujourd’hui venu d’effacer les ardoises et, qu’on le veuille ou non, cette année semble l’année ou jamais pour que l’équipe de France s’impose enfin à Dublin. D’abord, parce que les Diables Verts seront privés dimanche de l’armée de braillards qui pousse habituellement chacune de leurs interminables séquences et, de façon assumée, fait si souvent pression sur le corps arbitral : et on a vu, samedi, comme la « squadra azzurra » semblait banale, inoffensive, dès lors qu’elle était dépourvue du soutien populaire d’un stade olympique qui masque généralement ses carences, au moins en début de rencontre. Ensuite, la sélection irlandaise semble à bien des titres vieillissante, en fin de cycle, quand, à l’inverse, la France s’appuie à présent sur une génération talentueuse, vierge d’histoire et de tout passif face aux Diables Verts. Il y a peu, l’ancien demi de mêlée des Bleus Dimitri Yachvili, aujourd’hui consultant pour France Télévisions, nous confiait à ce sujet : « L’Irlande n’a pas beaucoup évolué depuis le Mondial japonais. Le schéma reste le même : occupation, conquête, défi physique. Andy Farrell (le sélectionneur irlandais) veut maintenir la charnière historique (Murray-Sexton) parce que son expérience est à ses yeux importante. Mais elle maintient aussi l’équipe dans un style de jeu qui correspond de moins en moins aux standards internationaux… » Pourquoi Farrell, déjà sur la sellette si l’on en croit les rumeurs irlandaises, est-il si frileux, concernant sa charnière ? Et a-t-il finalement raison d’estimer que Johnny Sexton et Conor Murray restent les références du pays à leur poste, quand le numéro9 de l’Ulster John Cooney et l’ouvreur des Munstermen JJ Hanrahan enchaînent les bonnes performances au point d’éveiller, pour le second d’entre eux, l’intérêt du Lou et d’autres gros bras du Top 14 ?
Sergio Parisse : « La France a une confiance inébranlable »
Solide, sérieuse, plus disciplinée qu’à l’habitude et par moments séduisante, la bande à Galthié a de son côté fait à Rome ce que l’on attendait d’elle et, dans le sillage d’une victoire à sept essais, accueilli avec bienveillance les louanges d’une partie du rugby européen, qu’il soit ici incarné par l’Anglais Clive Woodward ou ailleurs par Keith Wood, le divin chauve de la république irlandaise. Quant à Sergio Parisse, cette autre divinité pelée du rugby mondial, voici ce qu’il nous confiait au sujet des Bleus : « L’équipe de France, c’est déjà un état d’esprit remarquable. Les joueurs ont plaisir d’être ensemble, ça saute aux yeux et ce n’était pas le cas, auparavant. Il y a de l’envie, de la solidarité, énormément de talent et une confiance inébranlable dans le projet de jeu. » On entend vos arguments, Sergio. Mais Teddy Thomas et Gabin Villière sont-ils prêts à assurer sous les bombes que ne manquera pas de lancer Conor Murray ? Et face à quelques-uns des meilleurs « gratteurs » du vieux continent, Bernard Le Roux retrouvera-t-il la grinta qui était la sienne à l’automne, à l’époque où il déblayait quarante rucks par rencontre? Pour Simon Zebo, l’arrière irlandais du Racing92, la clé du match ne se situera de toute façon pas sur l’un ou l’autre de ces secteurs de jeu. « Les Français devront utiliser leur flair et exploiter les extérieurs. Si Gaël Fickou et Teddy Thomas ont quelques ballons au large, ils vont stresser le triangle du fond irlandais ; car si la France utilise beaucoup le jeu au pied, elle garde au fond d’elle une attirance évidente pour le jeu. » Quelle que soit la façon dont Fabien Galthié compte s’y prendre pour fendre l’Eire, on souhaite juste qu’il fasse enfin taire les démons de l’Aviva et mette un terme à dix ans de misère. Putain, dix ans…
Marc Duzan
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Re: Le XV de France (partie 2)
grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Burns, Jalibert... Ils ont rendez-vous avec l'histoire
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2021/6-nations-2021-burns-irlande-jalibert-france-.-ils-ont-rendez-vous-avec-l-histoire_sto8124275/story.shtml
Je poste le dernier paragraphe:
Le Bordelais se sait plus que jamais attendu au tournant, dans son rôle de buteur comme dans sa capacité à gérer le cours des événements. Les espoirs de victoire finale reposent en bonne partie sur ses épaules. Ce dimanche 14 février restera assurément comme une date clé dans sa toute jeune carrière. Reste à savoir si elle sera marquée d'une pierre blanche ou noire.
le merdol fait tout pour le mettre dans les meilleures conditions...le fusil de chasse chargé est pret.
Tu as raison, en cas de défaite, ce sera probablement un flinguage en règle
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Re: Le XV de France (partie 2)
grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Burns, Jalibert... Ils ont rendez-vous avec l'histoire
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2021/6-nations-2021-burns-irlande-jalibert-france-.-ils-ont-rendez-vous-avec-l-histoire_sto8124275/story.shtml
Je poste le dernier paragraphe:
Le Bordelais se sait plus que jamais attendu au tournant, dans son rôle de buteur comme dans sa capacité à gérer le cours des événements. Les espoirs de victoire finale reposent en bonne partie sur ses épaules. Ce dimanche 14 février restera assurément comme une date clé dans sa toute jeune carrière. Reste à savoir si elle sera marquée d'une pierre blanche ou noire.
le merdol fait tout pour le mettre dans les meilleures conditions...le fusil de chasse chargé est pret.
Sans le filtre autocensure automatique du merdol, l’article donnait:
Le Bordelais se sait plus que jamais attendu au tournant (surtout le nôtre), dans son rôle de buteur comme dans sa capacité à gérer le cours des événements - les points forts de Romain N’tamack, forfait sur blessure, faut-il le rappeler. Les espoirs de victoire finale reposent en bonne partie sur ses épaules (si la France perd, il en sera l’unique responsable). Ce dimanche 14 février restera assurément comme une date clé dans sa toute jeune (et courte dès que NTK reprendra logiquement sa place) carrière. Reste à savoir si elle sera marquée d'une pierre blanche ou noire (nous on sait deja)
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
C'est plus du journalisme,on ne prépare pas un événement on veut peser dessus.
J'ai vu que Pelous après ses déconvenues de prise de pouvoir au Stade, retrouve des couleurs, finalement sur Merdol le Rugby se limite aux frontières de la Haute Garonne.
J'ai vu que Pelous après ses déconvenues de prise de pouvoir au Stade, retrouve des couleurs, finalement sur Merdol le Rugby se limite aux frontières de la Haute Garonne.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
Une petite victoire 23 à 27 pour mon pronostic
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Re: Le XV de France (partie 2)
Scalp a écrit:grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Burns, Jalibert... Ils ont rendez-vous avec l'histoire
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2021/6-nations-2021-burns-irlande-jalibert-france-.-ils-ont-rendez-vous-avec-l-histoire_sto8124275/story.shtml
Je poste le dernier paragraphe:
Le Bordelais se sait plus que jamais attendu au tournant, dans son rôle de buteur comme dans sa capacité à gérer le cours des événements. Les espoirs de victoire finale reposent en bonne partie sur ses épaules. Ce dimanche 14 février restera assurément comme une date clé dans sa toute jeune carrière. Reste à savoir si elle sera marquée d'une pierre blanche ou noire.
le merdol fait tout pour le mettre dans les meilleures conditions...le fusil de chasse chargé est pret.
Tu as raison, en cas de défaite, ce sera probablement un flinguage en règle
Encore un pseudo article de Duzan...
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
2 touches française, 2 touches irlandaises, zéro pour les bleus...
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 21/11/2018
Humeur : Merde
Age : 33
Re: Le XV de France (partie 2)
Incroyable Yachvili cherche des excuses à Burns avant sa pénalité ratée alors que pour Matthieu il dit " pourtant à l'entrainement il les mettait toutes "
Vince33- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 02/12/2008
Re: Le XV de France (partie 2)
Jaja a l’air plus engagé en défense que la semaine dernière :)
Charles_ubb- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 22/04/2015
Humeur : Sus a l'arbitre
Re: Le XV de France (partie 2)
Bon... Très très très mauvaise entame de match, aucun lancement de jeu, aucune touche, aucun ballon d'attaque, des duels aériens perdu une fois sur deux, des fautes à répétitions en plus d'être conne comme ce croche pied qui coûte un carton jaune... Bref...
Je vais pas dire que la touche avec Woki serait plus simple, mais je le pense fortement.
Je vais pas dire que la touche avec Woki serait plus simple, mais je le pense fortement.
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : Angoulême
Date d'inscription : 21/11/2018
Humeur : Merde
Age : 33
Re: Le XV de France (partie 2)
Big'Ben a écrit:Bon... Très très très mauvaise entame de match, aucun lancement de jeu, aucune touche, aucun ballon d'attaque, des duels aériens perdu une fois sur deux, des fautes à répétitions en plus d'être conne comme ce croche pied qui coûte un carton jaune... Bref...
Je vais pas dire que la touche avec Woki serait plus simple, mais je le pense fortement.
Oui Woki ou Cretin mais un sauteur
Vince33- J'aime l'Union à la folie
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Date d'inscription : 02/12/2008
Re: Le XV de France (partie 2)
Yachvili a du mal à dire du bien de Matthieu .
Vince33- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 02/12/2008
Re: Le XV de France (partie 2)
Dupont a l'air de vouloir jouer au sauveur de la patrie. Il va finir par faire une connerie
krahknardz- Team modo
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Localisation : Bègles
Date d'inscription : 07/07/2013
Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Re: Le XV de France (partie 2)
On est en tête à la mi-temps mais je sais pas trop comment, on a passé les 30 premières minutes à défendre. Il aura fallut une incursion de Jalibert (encore une) pour faire avancer l'équipe des 40 mètres et dans la continuité ça fait essai.
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : Angoulême
Date d'inscription : 21/11/2018
Humeur : Merde
Age : 33
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