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Re: Le XV de France (partie 3)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/La-coherence-du-coaching-de-fabien-galthie-chez-les-bleus-interpelle/1232942
La cohérence du coaching de Fabien Galthié chez les Bleus interpelle
Lors des deux derniers matches, en Irlande comme en Angleterre, l'utilisation très tardive ou la non-utilisation de plusieurs remplaçants posent la question de la cohérence du coaching de Fabien Galthié.
Frédéric Bernès (avec M.R.)
Quand on répond « Romain Taofifenua avait mal au dos et on a fait entrer Cameron (Woki) à la place de Dylan (Cretin) pour garder une assise en touche », c'est qu'on ne veut pas répondre à la question qui portait uniquement sur l'apport qu'auraient pu constituer les entrées en jeu de Baptiste Serin, Romain Ntamack et Anthony Jelonch, qui ont fait tous trois ceinture (et bretelles) samedi à Twickenham.
L'esquive de Fabien Galthié dit-elle qu'il n'était pas complètement au clair avec ses décisions ? Ou qu'il préférait taire les raisons ayant commandé ces choix ? Quoi qu'il en soit, cette non-réponse à ces non-changements n'est pas de nature à redonner de la clarté à une politique du coaching devenue assez brumeuse depuis deux matches.
Dimanche, des médias anglais ont parlé de « quelques tremblements dans le management ». Dans la chaîne d'événements ayant mené à la défaite de samedi (23-20), il n'y a pas qu'en France qu'on a désigné ce coaching minimaliste comme un possible maillon. Puisqu'il est écrit dans les chiffres que ce quinze de France peine à verrouiller ces matches et à tenir la distance (lire page 18), comment ne pas placer la focale sur l'utilisation et l'effet recherché du coaching. Depuis qu'il est en poste, Galthié a pu parfois, à raison, être refroidi par le rendu de certains remplaçants. C'est arrivé contre l'Angleterre l'année dernière dans le Tournoi, contre l'Italie cette année.
« Trois remplaçants non utilisés, c'est vrai que c'est beaucoup. Cela étant, celui qui me dit qu'il est chaque fois sûr et certain de son coaching, je lui dis chapeau »
Patrice Lagisquet, entraîneur du quinze de France de 2011 à 2015
Mais cela n'explique pas le manque de lisibilité qui se dégage des deux derniers matches, en Irlande et en Angleterre. À quoi bon bâtir un banc avec six avants - un parti pris a priori judicieux pour une après-midi à Twickenham - si c'est pour ne pas utiliser Jelonch, dont la dureté sur l'homme aurait pu être précieuse en fin de partie ?
À Dublin, le staff avait prévenu certains joueurs (dont Baille et Marchand) pour qu'ils se préparent à l'idée de tenir la totalité des 80 minutes. Le pilier gauche et le talonneur revinrent au stand à la 76e minute. Cette préméditation pouvait s'expliquer par le fait que Galthié ne disposait pas de son banc Premium ce 14 février, Kolingar et Bourgarit étant plutôt considérés comme les numéros 3 à leur poste, derrière Gros et Chat. Pourtant, peut-être par diplomatie, le staff avait choisi une autre justification. « On s'est dit qu'on pouvait pousser le plus loin possible avec certains joueurs cadres car nous n'avons pas de match le week-end suivant. »
Contre l'Angleterre, les techniciens français ont appliqué le même plan à plusieurs cadres qui n'étaient plus de première fraîcheur passée la 70e minute (Dupont, Vakatawa, Ollivon) alors que, cette fois, le calendrier leur promet l'inverse, sous la forme d'une enfilade de trois matches dans un temps rapproché (Angleterre, Galles, Écosse). La question de la cohérence se pose.
Les trois non-changements de Twickenham posent en creux une autre question : existe-t-il déjà dans cette équipe des statuts d'indéboulonnables ? Si oui, il va falloir réunir d'urgence la cellule marketing et néologisme pour trouver un nouveau mot-valise désignant au mieux des « finisseurs » qui n'ont même pas le loisir de commencer. En piquant le terme « finisseur » au vocabulaire d'Eddie Jones, Galthié et Ibañez voulaient montrer l'importance si particulière de leur banc. Après les matches en Irlande et en Angleterre, le raisonnement devient boiteux.
« Trois remplaçants non utilisés, c'est vrai que c'est beaucoup, convient Patrice Lagisquet, entraîneur du quinze de France de 2011 à 2015. Cela étant, celui qui me dit qu'il est chaque fois sûr et certain de son coaching, je lui dis chapeau. Ça m'est arrivé de me tromper et de le dire tel quel aux joueurs concernés, surtout en club parce qu'en équipe de France c'est un management très différent. En club, j'étais plus attentif au ressenti psychologique des joueurs. En sélection, vous n'entrez pas trop dans ces considérations, sauf si deux joueurs sont vraiment d'un niveau très proche. »
De nos jours, la décision d'un remplacement non-programmé se trouve au point de rencontre de plusieurs sources d'information, notamment celles qui s'affichent en temps réel sur le moniteur de Quentin Rinaldi, le monsieur datas du quinze de France. L'année dernière contre l'Angleterre, les voyants GPS de Virimi Vakatawa tiraient vers le rouge foncé et Arthur Vincent avait eu droit à ses premiers moments en bleu. « On n'est pas un comité d'entreprise qui offre des cadeaux et des repas de Noël, disait alors Galthié. Arthur est entré parce que Virimi était moins bien et je savais qu'il restait deux montées défensives à assurer. »
En revoyant les dernières montées défensives de Vakatawa samedi, celles d'un homme au bout de son rouleau, il y a de quoi se demander pourquoi la même jurisprudence n'a pas prévalu, Ntamack pouvant entrer au centre au côté de Fickou. « Parfois, témoigne Lagisquet, entre les messages que font passer les joueurs au doc ou au kiné, les retours du coach au bord du terrain, ce que disent les capteurs, ce que vous voyez vous-même, c'est chaud. » Tout sauf une science exacte.
La cohérence du coaching de Fabien Galthié chez les Bleus interpelle
Lors des deux derniers matches, en Irlande comme en Angleterre, l'utilisation très tardive ou la non-utilisation de plusieurs remplaçants posent la question de la cohérence du coaching de Fabien Galthié.
Frédéric Bernès (avec M.R.)
Quand on répond « Romain Taofifenua avait mal au dos et on a fait entrer Cameron (Woki) à la place de Dylan (Cretin) pour garder une assise en touche », c'est qu'on ne veut pas répondre à la question qui portait uniquement sur l'apport qu'auraient pu constituer les entrées en jeu de Baptiste Serin, Romain Ntamack et Anthony Jelonch, qui ont fait tous trois ceinture (et bretelles) samedi à Twickenham.
L'esquive de Fabien Galthié dit-elle qu'il n'était pas complètement au clair avec ses décisions ? Ou qu'il préférait taire les raisons ayant commandé ces choix ? Quoi qu'il en soit, cette non-réponse à ces non-changements n'est pas de nature à redonner de la clarté à une politique du coaching devenue assez brumeuse depuis deux matches.
Dimanche, des médias anglais ont parlé de « quelques tremblements dans le management ». Dans la chaîne d'événements ayant mené à la défaite de samedi (23-20), il n'y a pas qu'en France qu'on a désigné ce coaching minimaliste comme un possible maillon. Puisqu'il est écrit dans les chiffres que ce quinze de France peine à verrouiller ces matches et à tenir la distance (lire page 18), comment ne pas placer la focale sur l'utilisation et l'effet recherché du coaching. Depuis qu'il est en poste, Galthié a pu parfois, à raison, être refroidi par le rendu de certains remplaçants. C'est arrivé contre l'Angleterre l'année dernière dans le Tournoi, contre l'Italie cette année.
« Trois remplaçants non utilisés, c'est vrai que c'est beaucoup. Cela étant, celui qui me dit qu'il est chaque fois sûr et certain de son coaching, je lui dis chapeau »
Patrice Lagisquet, entraîneur du quinze de France de 2011 à 2015
Mais cela n'explique pas le manque de lisibilité qui se dégage des deux derniers matches, en Irlande et en Angleterre. À quoi bon bâtir un banc avec six avants - un parti pris a priori judicieux pour une après-midi à Twickenham - si c'est pour ne pas utiliser Jelonch, dont la dureté sur l'homme aurait pu être précieuse en fin de partie ?
À Dublin, le staff avait prévenu certains joueurs (dont Baille et Marchand) pour qu'ils se préparent à l'idée de tenir la totalité des 80 minutes. Le pilier gauche et le talonneur revinrent au stand à la 76e minute. Cette préméditation pouvait s'expliquer par le fait que Galthié ne disposait pas de son banc Premium ce 14 février, Kolingar et Bourgarit étant plutôt considérés comme les numéros 3 à leur poste, derrière Gros et Chat. Pourtant, peut-être par diplomatie, le staff avait choisi une autre justification. « On s'est dit qu'on pouvait pousser le plus loin possible avec certains joueurs cadres car nous n'avons pas de match le week-end suivant. »
Contre l'Angleterre, les techniciens français ont appliqué le même plan à plusieurs cadres qui n'étaient plus de première fraîcheur passée la 70e minute (Dupont, Vakatawa, Ollivon) alors que, cette fois, le calendrier leur promet l'inverse, sous la forme d'une enfilade de trois matches dans un temps rapproché (Angleterre, Galles, Écosse). La question de la cohérence se pose.
Les trois non-changements de Twickenham posent en creux une autre question : existe-t-il déjà dans cette équipe des statuts d'indéboulonnables ? Si oui, il va falloir réunir d'urgence la cellule marketing et néologisme pour trouver un nouveau mot-valise désignant au mieux des « finisseurs » qui n'ont même pas le loisir de commencer. En piquant le terme « finisseur » au vocabulaire d'Eddie Jones, Galthié et Ibañez voulaient montrer l'importance si particulière de leur banc. Après les matches en Irlande et en Angleterre, le raisonnement devient boiteux.
« Trois remplaçants non utilisés, c'est vrai que c'est beaucoup, convient Patrice Lagisquet, entraîneur du quinze de France de 2011 à 2015. Cela étant, celui qui me dit qu'il est chaque fois sûr et certain de son coaching, je lui dis chapeau. Ça m'est arrivé de me tromper et de le dire tel quel aux joueurs concernés, surtout en club parce qu'en équipe de France c'est un management très différent. En club, j'étais plus attentif au ressenti psychologique des joueurs. En sélection, vous n'entrez pas trop dans ces considérations, sauf si deux joueurs sont vraiment d'un niveau très proche. »
De nos jours, la décision d'un remplacement non-programmé se trouve au point de rencontre de plusieurs sources d'information, notamment celles qui s'affichent en temps réel sur le moniteur de Quentin Rinaldi, le monsieur datas du quinze de France. L'année dernière contre l'Angleterre, les voyants GPS de Virimi Vakatawa tiraient vers le rouge foncé et Arthur Vincent avait eu droit à ses premiers moments en bleu. « On n'est pas un comité d'entreprise qui offre des cadeaux et des repas de Noël, disait alors Galthié. Arthur est entré parce que Virimi était moins bien et je savais qu'il restait deux montées défensives à assurer. »
En revoyant les dernières montées défensives de Vakatawa samedi, celles d'un homme au bout de son rouleau, il y a de quoi se demander pourquoi la même jurisprudence n'a pas prévalu, Ntamack pouvant entrer au centre au côté de Fickou. « Parfois, témoigne Lagisquet, entre les messages que font passer les joueurs au doc ou au kiné, les retours du coach au bord du terrain, ce que disent les capteurs, ce que vous voyez vous-même, c'est chaud. » Tout sauf une science exacte.
Scalp- Team modo
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Re: Le XV de France (partie 3)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Malgre-son-statut-de-doublure-de-dupont-baptiste-serin-ne-lachera-pas-selon-vincent-etcheto/1232934
Malgré son statut de doublure de Dupont, Baptiste Serin « ne lâchera pas » selon Vincent Etcheto
Pour son ancien entraîneur Vincent Etcheto, Baptiste Serin assume son statut de doublure d'Antoine Dupont. Et même s'il doit se contenter de miettes, il n'abdiquera pas.
Maxime Raulin
0 + 0 = la tête à « Toto » Dupont ! En Irlande et en Angleterre, Baptiste Serin n'a pas disputé la moindre minute, le titulaire Antoine Dupont disputant l'intégralité des deux dernières rencontres des Bleus. Ne pas du tout entrer en jeu, le demi de mêlée remplaçant l'avait déjà expérimenté pour la première du sélectionneur Fabien Galthié, face à l'Angleterre, en février 2020. Globalement, Serin doit se contenter de miettes depuis (voir infographie), y compris quand Dupont, comme ce fut le cas samedi, laisse percevoir des signes d'une lucidité fatiguée. « Dupont a des super-pouvoirs, analyse Vincent Etcheto, ancien entraîneur de Serin à Bordeaux (2012 à 2015). Si un match se joue à peu de choses, il peut te faire un exploit. Mais c'est dommage de laisser des joueurs comme Ntamack ou Serin sur le bord de touche. Ils ont de l'expérience, de la qualité. De la défiance ? Non, je ne pense pas. Peut-être davantage de la sur-confiance en Dupont. »
Même si le demi de mêlée de Toulon est habitué à jouer les doublures en Bleu (15 titularisations en 40 sélections), ce temps de jeu famélique ne risque-t-il pas de commencer à peser sur son moral ? À l'automne, il déclarait : « J'ai toujours eu beaucoup de concurrence, ce n'est pas quelque chose qui me dérange, ça permet d'avancer. Ce qui est important, c'est que l'équipe gagne. » Interrogés par nos soins sur la façon dont Serin vit ce statut bien ancré de numéro 2 et les faibles occasions de se montrer, partenaires ou ex-partenaires n'ont pas souhaité s'étendre sur le sujet. Un proche a néanmoins glissé : « J'ai eu Baptiste récemment, mais nous n'avons pas parlé rugby. Il n'est pas du genre à se plaindre. »
Vincent Etcheto, avec qui il a gardé le contact, confirme : « Il est toujours très pudique là-dessus. C'est un champion, il a la classe et n'est pas du genre à s'épancher que ce soit dans la presse ou avec moi. Il assume son statut. Quand vous avez un mec comme Dupont devant vous, c'est difficile. Il est spectaculaire, brillant, décisif et populaire à la fois. Il est sur un piédestal. Ça me fait penser à Jean-Baptiste Lafond qui était dans l'ombre de l'indétrônable Serge Blanco. C'est le sport de haut niveau. Il y a des numéros 1 et des numéros 2. Baptiste est un vrai pro. Quand on fait appel à lui, il joue son jeu. C'est grâce à cette mentalité qu'il va durer en équipe de France. »
Il répond présent à chaque entrée en jeu, même pour quelques minutes
Serin peut se targuer d'avoir répondu présent à chaque fois. L'an dernier, face à l'Italie, il a inscrit un essai splendide, deux minutes seulement après son entrée en jeu, sur une pénalité vite jouée à la main. Quinze jours plus tard, à Cardiff, son jeu au pied a donné de l'air aux Bleus dans une fin de match irrespirable. Lors de son unique titularisation, le demi de mêlée, nommé alors capitaine, a encore marqué un essai aux Italiens. « Qu'il soit bon à chaque fois qu'il entre en jeu, même pour cinq minutes, n'est pas un hasard, souligne Etcheto. Ça prouve d'abord qu'il a le niveau, mais aussi qu'il a intégré et accepté son statut. Ce qui n'est pas le cas de tout le monde. Baptiste sait qu'il doit encore prouver pour tenter de faire changer d'avis le sélectionneur. Il ne faut rien lâcher. Surtout qu'il y a des mecs comme Couilloud ou Bézy derrière. C'est aussi une guerre psychologique avec Galthié, qui est un ex-demi de mêlée. Si tu lâches, c'est fini. Mais Baptiste ne lâchera pas, il a ce mental. »
Si Baptiste Serin ronge son frein en silence chez les Bleus, il conserve son âme de leader (statut qu'il tient dans son club à Toulon), mais également son côté « bon camarade », très important dans un groupe. Souriant, il aime échanger, blaguer. « C'est un garçon intelligent, abonde Etcheto. Il n'est pas aigri et son côté compétiteur le fait avancer. Il sera décisif à chaque fois qu'on fera appel à lui. C'est peut-être lui qui nous fera gagner le prochain match ! »
Enfin, le Toulonnais voit sans doute un peu plus loin que le court terme avec en ligne de mire la Coupe du monde 2023 en France. Après avoir participé au Mondial au Japon, le demi de mêlée rêve de faire partie de la première équipe de France à soulever le trophée Webb-Ellis. Même s'il doit rester dans l'ombre de Dupont.
Malgré son statut de doublure de Dupont, Baptiste Serin « ne lâchera pas » selon Vincent Etcheto
Pour son ancien entraîneur Vincent Etcheto, Baptiste Serin assume son statut de doublure d'Antoine Dupont. Et même s'il doit se contenter de miettes, il n'abdiquera pas.
Maxime Raulin
0 + 0 = la tête à « Toto » Dupont ! En Irlande et en Angleterre, Baptiste Serin n'a pas disputé la moindre minute, le titulaire Antoine Dupont disputant l'intégralité des deux dernières rencontres des Bleus. Ne pas du tout entrer en jeu, le demi de mêlée remplaçant l'avait déjà expérimenté pour la première du sélectionneur Fabien Galthié, face à l'Angleterre, en février 2020. Globalement, Serin doit se contenter de miettes depuis (voir infographie), y compris quand Dupont, comme ce fut le cas samedi, laisse percevoir des signes d'une lucidité fatiguée. « Dupont a des super-pouvoirs, analyse Vincent Etcheto, ancien entraîneur de Serin à Bordeaux (2012 à 2015). Si un match se joue à peu de choses, il peut te faire un exploit. Mais c'est dommage de laisser des joueurs comme Ntamack ou Serin sur le bord de touche. Ils ont de l'expérience, de la qualité. De la défiance ? Non, je ne pense pas. Peut-être davantage de la sur-confiance en Dupont. »
Même si le demi de mêlée de Toulon est habitué à jouer les doublures en Bleu (15 titularisations en 40 sélections), ce temps de jeu famélique ne risque-t-il pas de commencer à peser sur son moral ? À l'automne, il déclarait : « J'ai toujours eu beaucoup de concurrence, ce n'est pas quelque chose qui me dérange, ça permet d'avancer. Ce qui est important, c'est que l'équipe gagne. » Interrogés par nos soins sur la façon dont Serin vit ce statut bien ancré de numéro 2 et les faibles occasions de se montrer, partenaires ou ex-partenaires n'ont pas souhaité s'étendre sur le sujet. Un proche a néanmoins glissé : « J'ai eu Baptiste récemment, mais nous n'avons pas parlé rugby. Il n'est pas du genre à se plaindre. »
Vincent Etcheto, avec qui il a gardé le contact, confirme : « Il est toujours très pudique là-dessus. C'est un champion, il a la classe et n'est pas du genre à s'épancher que ce soit dans la presse ou avec moi. Il assume son statut. Quand vous avez un mec comme Dupont devant vous, c'est difficile. Il est spectaculaire, brillant, décisif et populaire à la fois. Il est sur un piédestal. Ça me fait penser à Jean-Baptiste Lafond qui était dans l'ombre de l'indétrônable Serge Blanco. C'est le sport de haut niveau. Il y a des numéros 1 et des numéros 2. Baptiste est un vrai pro. Quand on fait appel à lui, il joue son jeu. C'est grâce à cette mentalité qu'il va durer en équipe de France. »
Il répond présent à chaque entrée en jeu, même pour quelques minutes
Serin peut se targuer d'avoir répondu présent à chaque fois. L'an dernier, face à l'Italie, il a inscrit un essai splendide, deux minutes seulement après son entrée en jeu, sur une pénalité vite jouée à la main. Quinze jours plus tard, à Cardiff, son jeu au pied a donné de l'air aux Bleus dans une fin de match irrespirable. Lors de son unique titularisation, le demi de mêlée, nommé alors capitaine, a encore marqué un essai aux Italiens. « Qu'il soit bon à chaque fois qu'il entre en jeu, même pour cinq minutes, n'est pas un hasard, souligne Etcheto. Ça prouve d'abord qu'il a le niveau, mais aussi qu'il a intégré et accepté son statut. Ce qui n'est pas le cas de tout le monde. Baptiste sait qu'il doit encore prouver pour tenter de faire changer d'avis le sélectionneur. Il ne faut rien lâcher. Surtout qu'il y a des mecs comme Couilloud ou Bézy derrière. C'est aussi une guerre psychologique avec Galthié, qui est un ex-demi de mêlée. Si tu lâches, c'est fini. Mais Baptiste ne lâchera pas, il a ce mental. »
Si Baptiste Serin ronge son frein en silence chez les Bleus, il conserve son âme de leader (statut qu'il tient dans son club à Toulon), mais également son côté « bon camarade », très important dans un groupe. Souriant, il aime échanger, blaguer. « C'est un garçon intelligent, abonde Etcheto. Il n'est pas aigri et son côté compétiteur le fait avancer. Il sera décisif à chaque fois qu'on fera appel à lui. C'est peut-être lui qui nous fera gagner le prochain match ! »
Enfin, le Toulonnais voit sans doute un peu plus loin que le court terme avec en ligne de mire la Coupe du monde 2023 en France. Après avoir participé au Mondial au Japon, le demi de mêlée rêve de faire partie de la première équipe de France à soulever le trophée Webb-Ellis. Même s'il doit rester dans l'ombre de Dupont.
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Re: Le XV de France (partie 3)
Pourquoi France-Ecosse va bien se jouer le 26 mars
https://sport24.lefigaro.fr/rugby/6-nations/actualites/pourquoi-france-ecosse-va-bien-se-jouer-le-26-mars-1036926
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Re: Le XV de France (partie 3)
Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Malgre-son-statut-de-doublure-de-dupont-baptiste-serin-ne-lachera-pas-selon-vincent-etcheto/1232934
Malgré son statut de doublure de Dupont, Baptiste Serin « ne lâchera pas » selon Vincent Etcheto
Pour son ancien entraîneur Vincent Etcheto, Baptiste Serin assume son statut de doublure d'Antoine Dupont. Et même s'il doit se contenter de miettes, il n'abdiquera pas.
Maxime Raulin
0 + 0 = la tête à « Toto » Dupont ! En Irlande et en Angleterre, Baptiste Serin n'a pas disputé la moindre minute, le titulaire Antoine Dupont disputant l'intégralité des deux dernières rencontres des Bleus. Ne pas du tout entrer en jeu, le demi de mêlée remplaçant l'avait déjà expérimenté pour la première du sélectionneur Fabien Galthié, face à l'Angleterre, en février 2020. Globalement, Serin doit se contenter de miettes depuis (voir infographie), y compris quand Dupont, comme ce fut le cas samedi, laisse percevoir des signes d'une lucidité fatiguée. « Dupont a des super-pouvoirs, analyse Vincent Etcheto, ancien entraîneur de Serin à Bordeaux (2012 à 2015). Si un match se joue à peu de choses, il peut te faire un exploit. Mais c'est dommage de laisser des joueurs comme Ntamack ou Serin sur le bord de touche. Ils ont de l'expérience, de la qualité. De la défiance ? Non, je ne pense pas. Peut-être davantage de la sur-confiance en Dupont. »
Même si le demi de mêlée de Toulon est habitué à jouer les doublures en Bleu (15 titularisations en 40 sélections), ce temps de jeu famélique ne risque-t-il pas de commencer à peser sur son moral ? À l'automne, il déclarait : « J'ai toujours eu beaucoup de concurrence, ce n'est pas quelque chose qui me dérange, ça permet d'avancer. Ce qui est important, c'est que l'équipe gagne. » Interrogés par nos soins sur la façon dont Serin vit ce statut bien ancré de numéro 2 et les faibles occasions de se montrer, partenaires ou ex-partenaires n'ont pas souhaité s'étendre sur le sujet. Un proche a néanmoins glissé : « J'ai eu Baptiste récemment, mais nous n'avons pas parlé rugby. Il n'est pas du genre à se plaindre. »
Vincent Etcheto, avec qui il a gardé le contact, confirme : « Il est toujours très pudique là-dessus. C'est un champion, il a la classe et n'est pas du genre à s'épancher que ce soit dans la presse ou avec moi. Il assume son statut. Quand vous avez un mec comme Dupont devant vous, c'est difficile. Il est spectaculaire, brillant, décisif et populaire à la fois. Il est sur un piédestal. Ça me fait penser à Jean-Baptiste Lafond qui était dans l'ombre de l'indétrônable Serge Blanco. C'est le sport de haut niveau. Il y a des numéros 1 et des numéros 2. Baptiste est un vrai pro. Quand on fait appel à lui, il joue son jeu. C'est grâce à cette mentalité qu'il va durer en équipe de France. »
Il répond présent à chaque entrée en jeu, même pour quelques minutes
Serin peut se targuer d'avoir répondu présent à chaque fois. L'an dernier, face à l'Italie, il a inscrit un essai splendide, deux minutes seulement après son entrée en jeu, sur une pénalité vite jouée à la main. Quinze jours plus tard, à Cardiff, son jeu au pied a donné de l'air aux Bleus dans une fin de match irrespirable. Lors de son unique titularisation, le demi de mêlée, nommé alors capitaine, a encore marqué un essai aux Italiens. « Qu'il soit bon à chaque fois qu'il entre en jeu, même pour cinq minutes, n'est pas un hasard, souligne Etcheto. Ça prouve d'abord qu'il a le niveau, mais aussi qu'il a intégré et accepté son statut. Ce qui n'est pas le cas de tout le monde. Baptiste sait qu'il doit encore prouver pour tenter de faire changer d'avis le sélectionneur. Il ne faut rien lâcher. Surtout qu'il y a des mecs comme Couilloud ou Bézy derrière. C'est aussi une guerre psychologique avec Galthié, qui est un ex-demi de mêlée. Si tu lâches, c'est fini. Mais Baptiste ne lâchera pas, il a ce mental. »
Si Baptiste Serin ronge son frein en silence chez les Bleus, il conserve son âme de leader (statut qu'il tient dans son club à Toulon), mais également son côté « bon camarade », très important dans un groupe. Souriant, il aime échanger, blaguer. « C'est un garçon intelligent, abonde Etcheto. Il n'est pas aigri et son côté compétiteur le fait avancer. Il sera décisif à chaque fois qu'on fera appel à lui. C'est peut-être lui qui nous fera gagner le prochain match ! »
Enfin, le Toulonnais voit sans doute un peu plus loin que le court terme avec en ligne de mire la Coupe du monde 2023 en France. Après avoir participé au Mondial au Japon, le demi de mêlée rêve de faire partie de la première équipe de France à soulever le trophée Webb-Ellis. Même s'il doit rester dans l'ombre de Dupont.
Meme si je ne suis pas son plus grand fan, j'avoue que Serin reste tres pro, tres discret sur sa situation, c'est tout à son honneur, car c'est pas facile à vivre. Faut se mettre à sa place ou on arrete pas de dire que Dupont est le meilleur joueur du monde, meme si c'est pas vrai. Si on faisait plus d'article sur Serin, ses qualités, ses actions positives et qu'en meme temps on relevait de maniere objective les insuffisances, les scories de Dupont, certainement qu'on le verrait jouer en bleu plus souvent.
Apres Galthié est dans ses certitudes et la presse l'enferme dedans. là ca commence à changer, à s'interroger sur son coaching.
Si les mecs sur le banc sont là que pour palier une blessure, je les plains.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 3)
Grospack même sur le cas Serin tu accordes trop d’importance à la presse. Ce n’est pas parcequ’il y aura des articles vendant les qualités de Serin qu’il jouera plus. Galthié a les idées trop arrêtées. Il s’en remet trop à son top-joueur pour décanter les situations. Et je trouve que c’est une grave erreur de coaching. Ça va que Serin est costaud dans sa tête. Parce que là tout le monde a vu que Dupont baissait le pied, Serin le premier. Ça pourrait foutre un coup au moral de voir que tu rentres pas alors que ton concurrent commence à déjouer. J’espère vraiment que notre sélectionneur va changer son fusil d’épaule. Cependant le personnage Galthié m’inquiète. Il a un côté Eddy Jones. Gros égo, plein de certitude, pas du genre à écouter les avis contraires, même s’ils venaient de Labit ou Ibanez par exemple.
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 3)
La France peut encore gagner le tournoi, et finalement la défaite en Angleterre sera peut-être positive, si elle permet à Galthié de sortir d'une certaine rigidité quant à sa vision d'une Équipe type, avec certains titulaires indéboulonnables. Il va falloir être plus ambitieux dans le jeu, sur les deux matchs à venir, là aussi, c'est très intéressant que Galthié soit poussé à prendre plus de risques et contraint à desserrer un peu le frein à main.
La situation dans laquelle nous sommes, devrait logiquement renforcer le poids de Jalibert dans un système de jeu plus offensif. Il a marqué des points en Angleterre, au point de mériter de rester indiscutablement titulaire à son poste et de prendre de l'influence. Ce serait le moment idéal pour s'appuyer un peu plus sur lui contre les Gallois, un match ou il faudra absolument mettre de la vitesse pour bousculer une équipe très en place, s'appuyer enfin pleinement sur nos capacités offensives, Jalibert en tête...
La situation dans laquelle nous sommes, devrait logiquement renforcer le poids de Jalibert dans un système de jeu plus offensif. Il a marqué des points en Angleterre, au point de mériter de rester indiscutablement titulaire à son poste et de prendre de l'influence. Ce serait le moment idéal pour s'appuyer un peu plus sur lui contre les Gallois, un match ou il faudra absolument mettre de la vitesse pour bousculer une équipe très en place, s'appuyer enfin pleinement sur nos capacités offensives, Jalibert en tête...
Dernière édition par Scalp le Mar 16 Mar 2021 - 15:05, édité 1 fois
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Re: Le XV de France (partie 3)
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Re: Le XV de France (partie 3)
tire-bouchon a écrit:Putain ! Ici, y a plus de lecteurs de "la Dépèche" que de lecteurs de "Sud-Ouest"
je vous rassure, le "Sud-Ouest" est aux supporters biarrots ce que "la Dépèche" est aux supporters bordelais.
Aprés, Picamoles et Trin-Duc voici Jolmés.
Ce n' est plus un recrutement c' est un vide-greniers.
Tu dois confondre le supporter biarrot et les dirigeants de ce club... le passif est à ce niveau là.
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Re: Le XV de France (partie 3)
Roberto Miopalmo a écrit:Grospack même sur le cas Serin tu accordes trop d’importance à la presse. Ce n’est pas parcequ’il y aura des articles vendant les qualités de Serin qu’il jouera plus. Galthié a les idées trop arrêtées. Il s’en remet trop à son top-joueur pour décanter les situations. Et je trouve que c’est une grave erreur de coaching. Ça va que Serin est costaud dans sa tête. Parce que là tout le monde a vu que Dupont baissait le pied, Serin le premier. Ça pourrait foutre un coup au moral de voir que tu rentres pas alors que ton concurrent commence à déjouer. J’espère vraiment que notre sélectionneur va changer son fusil d’épaule. Cependant le personnage Galthié m’inquiète. Il a un côté Eddy Jones. Gros égo, plein de certitude, pas du genre à écouter les avis contraires, même s’ils venaient de Labit ou Ibanez par exemple.
Je partage ton inquiétude.
Je le trouve (trop) plein de certitudes, de suffisance, et de prétention. Il a une très haute opinion de lui-même et n'est pas enclin à se remettre en question, visiblement. Et je m'interroge sur ses capacités à amener un groupe ET une équipe (au sens de la solidarité, de l'esprit, de l'affect...) plutôt que sa suite de favoris (Dulin, Dupont, RNT, Ollivon) jusqu'à la CdM 2023. On est à 2 ans et demi du mondial mais déjà, il semble vouloir figer dans le marbre son équipe alors que justement, ces saisons N-2/N-3 doivent servir à faire une revue d'effectif, à tenter des choses et à faire jouer la concurrence pour créer un groupe homogène de 35 ou 40 joueurs à affiner au fil du temps pour n'en garder que 30. Personne ne peut imaginer qu'on va passer les 30 prochains mois et rallier la CdM avec le même XV ou le même groupe de 23 !
Féru d'histoire, j'aurais tendance à dire que Galthié se comporte comme Henri III et ses Mignons. Il s'enferme avec eux, se coupe du monde et réfléchit en vase clos. Alors certes, je ne lui souhaite pas de finir comme ce grand monarque (qui a souvent été méprisé et moqué dans l'Histoire), mais qu'il apprenne de ses erreurs, fasse son autocritique, et sache écouter son entourage pour évoluer dans le bon sens et amener l'équipe de France au titre mondial à la maison.
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Re: Le XV de France (partie 3)
6 Nations 2021. Jalibert, Baille et Fickou plébiscités dans l'équipe type de la 4e journée
https://www.lerugbynistere.fr/news/6-nations-2021-jalibert-baille-et-fickou-plebiscites-dans-lequipe-type-de-la-4e-journee-1603211439.php
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Re: Le XV de France (partie 3)
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/six-nations-les-gallois-pretendants-inattendus-au-grand-chelem-et-menace-reelle-pour-les-bleus-1658452.php
Six-Nations : les Gallois prétendants inattendus au Grand Chelem et menace réelle pour les Bleus
Par Arnaud David - a.david@sudouest.fr
Rien ne laissait penser que le pays de Galles de Wayne Pivac jouerait les premiers rôles. Accompagnés par la chance avec de l’expérience et du talent, ils débarquent à Paris pour réussir le Grand Chelem
Il est peu probable que Wayne Pivac ait songé à l’éventualité d’un Grand Chelem dans les semaines qui ont précédé ce Tournoi des Six Nations. Ou alors dans ses rêves les plus secrets. En décembre, sa première année aux commandes du Pays de Galles s’était achevée sur un bilan de sept défaites pour trois victoires (deux fois l’Italie et la Géorgie) seulement. En janvier, à l’approche du match inaugural de cette édition face à l’Irlande, beaucoup prédisaient son éviction.
Deux mois plus tard, le Néo-Zélandais peut sourire et toiser ses détracteurs, ceux qui estimaient qu’il avait saboté l’héritage laissé par son prédécesseur et compatriote Warren Gatland. Les Gallois sont invaincus et débarquent à Paris pour réaliser le Grand Chelem.
Quel regard porter sur ce parcours inattendu ? Quelle est la part de chance dans ce sans-faute ? Alun Wyn-Jones et ses équipiers sont-ils une menace sérieuse pour les Bleus ?
1 La part de chance
Même le plus fervent des supporters des « Dragons rouges » l’admettrait : une bonne étoile les accompagne cet hiver. « Lady Luck » était de passage à Cardiff le 7 février, souriant aux Gallois sérieusement bousculés par les Irlandais. Et pourtant, les joueurs de Wayne Pivac ont joué pendant 68 minutes en supériorité numérique face à des Irlandais réduits à 14 après l’expulsion de Peter O’Mahony. Score final : 21 à 16. Verdict : chanceux.
Bis repetita ou presque la semaine suivante en Écosse. Après 25 minutes, les Gallois semblaient en perdition (17-3). Mais un essai de Louis Rees-Zammit les a ramenés dans la course avant la pause. « Lady Luck » s’est penchée sur Murrayfield, les Écossais ont écopé d’un carton rouge sévère à la 53e minute. Et les Gallois ont réussi à prendre l’avantage au score et s’y sont cramponnés. Score final : 25-24. Verdict : chanceux.
Il n’y a pas eu d’expulsion anglaise lors de la visite des joueurs d’Eddie Jones à Cardiff lors de la 3e journée. En revanche, « Lady Luck » a soufflé deux mauvaises décisions à Pascal Gaüzère. Le Landais - ainsi qu’il l’a admis - accordant deux essais aux Gallois qu’il aurait dû refuser. Malgré ce coup de pouce, il faut reconnaître que les joueurs de la Principauté ont fini en trombes. Score final : 40-24. Verdict : chanceux mais pas seulement.
On passera sur le cavalier seul réalisé à Rome. Les sept essais inscrits à une très faible équipe d’Italie ne nous apprennent rien sur le potentiel des Gallois. En revanche, la certitude c’est qu’ils n’ont pas à puiser dans leurs réserves ce week-end avant de venir à Paris.
2 La part de talent
Si la part de réussite est indéniable dans le sans-faute gallois, on ne peut pas non plus ignorer le talent et l’expérience que possède cette formation. Les circonstances ont obligé Wayne Pivac à remanier son équipe type à la marge, à faire passer George North au poste de deuxième centre mais son ossature reste celle mise en place par son prédécesseur Warren Gatland.
Adepte d’un rugby spectaculaire avec les Scarlets de Llanelli, Pivac a su mettre un peu de limonade dans sa bière et adapter ses schémas tactiques à la rigueur du rugby international. Avec 17 essais inscrits, les Gallois affichent la meilleure attaque de cette édition, celle qui convertit le mieux ses franchissements. « Nous essayons de pratiquer un jeu offensif, mais de trouver le bon équilibre », affirme Pivac.
Il a aussi resserré les liens avec ses internationaux dont il avait critiqué le manque de forme cet automne. Dans sa démarche, le coach gallois a la chance de pouvoir s’appuyer sur les vieux briscards de l’ère Gatland : les Alun Wyn-Jones, Ken Owens, Taulupe Faletau, Dan Biggar, Jonathan Davies, George North, Liam Williams qui sont tous candidats à la tournée des Lions Britanniques.
Et puis, pour amener un souffle de fraîcheur dans sa sélection, Louis Rees-Zammit sur l’aile droite a déboulé avec ses qualités de finisseur et l’audace de ses 20 ans, inscrivant quatre essais depuis le début de ce tournoi.
Le tout dessine le profil d’un adversaire dangereux, que les Bleus auraient tort de mésestimer même s’il est passé un peu en dessous des radars cet hiver.
Six-Nations : les Gallois prétendants inattendus au Grand Chelem et menace réelle pour les Bleus
Par Arnaud David - a.david@sudouest.fr
Rien ne laissait penser que le pays de Galles de Wayne Pivac jouerait les premiers rôles. Accompagnés par la chance avec de l’expérience et du talent, ils débarquent à Paris pour réussir le Grand Chelem
Il est peu probable que Wayne Pivac ait songé à l’éventualité d’un Grand Chelem dans les semaines qui ont précédé ce Tournoi des Six Nations. Ou alors dans ses rêves les plus secrets. En décembre, sa première année aux commandes du Pays de Galles s’était achevée sur un bilan de sept défaites pour trois victoires (deux fois l’Italie et la Géorgie) seulement. En janvier, à l’approche du match inaugural de cette édition face à l’Irlande, beaucoup prédisaient son éviction.
Deux mois plus tard, le Néo-Zélandais peut sourire et toiser ses détracteurs, ceux qui estimaient qu’il avait saboté l’héritage laissé par son prédécesseur et compatriote Warren Gatland. Les Gallois sont invaincus et débarquent à Paris pour réaliser le Grand Chelem.
Quel regard porter sur ce parcours inattendu ? Quelle est la part de chance dans ce sans-faute ? Alun Wyn-Jones et ses équipiers sont-ils une menace sérieuse pour les Bleus ?
1 La part de chance
Même le plus fervent des supporters des « Dragons rouges » l’admettrait : une bonne étoile les accompagne cet hiver. « Lady Luck » était de passage à Cardiff le 7 février, souriant aux Gallois sérieusement bousculés par les Irlandais. Et pourtant, les joueurs de Wayne Pivac ont joué pendant 68 minutes en supériorité numérique face à des Irlandais réduits à 14 après l’expulsion de Peter O’Mahony. Score final : 21 à 16. Verdict : chanceux.
Bis repetita ou presque la semaine suivante en Écosse. Après 25 minutes, les Gallois semblaient en perdition (17-3). Mais un essai de Louis Rees-Zammit les a ramenés dans la course avant la pause. « Lady Luck » s’est penchée sur Murrayfield, les Écossais ont écopé d’un carton rouge sévère à la 53e minute. Et les Gallois ont réussi à prendre l’avantage au score et s’y sont cramponnés. Score final : 25-24. Verdict : chanceux.
Il n’y a pas eu d’expulsion anglaise lors de la visite des joueurs d’Eddie Jones à Cardiff lors de la 3e journée. En revanche, « Lady Luck » a soufflé deux mauvaises décisions à Pascal Gaüzère. Le Landais - ainsi qu’il l’a admis - accordant deux essais aux Gallois qu’il aurait dû refuser. Malgré ce coup de pouce, il faut reconnaître que les joueurs de la Principauté ont fini en trombes. Score final : 40-24. Verdict : chanceux mais pas seulement.
On passera sur le cavalier seul réalisé à Rome. Les sept essais inscrits à une très faible équipe d’Italie ne nous apprennent rien sur le potentiel des Gallois. En revanche, la certitude c’est qu’ils n’ont pas à puiser dans leurs réserves ce week-end avant de venir à Paris.
2 La part de talent
Si la part de réussite est indéniable dans le sans-faute gallois, on ne peut pas non plus ignorer le talent et l’expérience que possède cette formation. Les circonstances ont obligé Wayne Pivac à remanier son équipe type à la marge, à faire passer George North au poste de deuxième centre mais son ossature reste celle mise en place par son prédécesseur Warren Gatland.
Adepte d’un rugby spectaculaire avec les Scarlets de Llanelli, Pivac a su mettre un peu de limonade dans sa bière et adapter ses schémas tactiques à la rigueur du rugby international. Avec 17 essais inscrits, les Gallois affichent la meilleure attaque de cette édition, celle qui convertit le mieux ses franchissements. « Nous essayons de pratiquer un jeu offensif, mais de trouver le bon équilibre », affirme Pivac.
Il a aussi resserré les liens avec ses internationaux dont il avait critiqué le manque de forme cet automne. Dans sa démarche, le coach gallois a la chance de pouvoir s’appuyer sur les vieux briscards de l’ère Gatland : les Alun Wyn-Jones, Ken Owens, Taulupe Faletau, Dan Biggar, Jonathan Davies, George North, Liam Williams qui sont tous candidats à la tournée des Lions Britanniques.
Et puis, pour amener un souffle de fraîcheur dans sa sélection, Louis Rees-Zammit sur l’aile droite a déboulé avec ses qualités de finisseur et l’audace de ses 20 ans, inscrivant quatre essais depuis le début de ce tournoi.
Le tout dessine le profil d’un adversaire dangereux, que les Bleus auraient tort de mésestimer même s’il est passé un peu en dessous des radars cet hiver.
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Re: Le XV de France (partie 3)
''Génie gaulois'', ''meilleur match'', ''éblouissants'' : la presse étrangère s'agenouille devant nos Bleus
https://www.lerugbynistere.fr/news/genie-gaulois-meilleur-match-eblouissants-la-presse-etrangere-sagenouille-devant-nos-bleus-1603211457.php
https://www.lerugbynistere.fr/news/genie-gaulois-meilleur-match-eblouissants-la-presse-etrangere-sagenouille-devant-nos-bleus-1603211457.php
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Re: Le XV de France (partie 3)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Cameron-woki-troisieme-ligne-de-l-equipe-de-france-j-ai-tout-mis-en-oeuvre-pour-que-l-essai-ne-soit-pas-valide/1233113
Cameron Woki, troisième-ligne de l'équipe de France : « J'ai tout mis en oeuvre pour que l'essai ne soit pas validé »
Le troisième-ligne des Bleus reconnaît qu'il a tout fait pour éviter l'essai de Maro Itoje, samedi dernier à Twickenham, dans un match où les Anglais semblaient vraiment craindre l'équipe de France.
C'est un essai qui a évidemment beaucoup fait parler samedi dernier. Dans les dernières minutes de la rencontre, l'Anglais Maro Itoje est entré dans l'en-but français en puissance et l'essai a été accordé après arbitrage vidéo. Un essai qui a offert la victoire au quinze de la Rose face aux Bleus à Twickenham (23-20).
« L'arbitre a pris une décision, il faut juste la respecter »
Cameron Woki
En conférence de presse ce mardi après-midi, depuis Marcoussis, le troisième-ligne Cameron Woki, qui défendait sur le deuxième-ligne anglais, est revenu sur cette action : « Je n'ai pas envie de rentrer dans une polémique. Je pense que j'ai mis tout en oeuvre pour que l'essai ne soit pas validé. L'arbitre a pris une décision, il faut juste la respecter. »
Titulaire lors de la défaite en finale de la Coupe d'automne des nations (22-19, a.p.), début décembre 2020, déjà à Twickenham, le troisième-ligne de l'UBB a cependant noté un changement dans la perception que se faisaient les Anglais des Bleus : « Les Anglais s'attendaient peut-être à un match moins dur l'automne dernier. Samedi, j'ai surtout vu qu'on était plus craints qu'en décembre. Ils ont été sérieux tout au long de notre préparation avant de nous affronter, ils étaient très humbles, ils étaient en garde, ils nous craignaient un peu. »
Cameron Woki, troisième-ligne de l'équipe de France : « J'ai tout mis en oeuvre pour que l'essai ne soit pas validé »
Le troisième-ligne des Bleus reconnaît qu'il a tout fait pour éviter l'essai de Maro Itoje, samedi dernier à Twickenham, dans un match où les Anglais semblaient vraiment craindre l'équipe de France.
C'est un essai qui a évidemment beaucoup fait parler samedi dernier. Dans les dernières minutes de la rencontre, l'Anglais Maro Itoje est entré dans l'en-but français en puissance et l'essai a été accordé après arbitrage vidéo. Un essai qui a offert la victoire au quinze de la Rose face aux Bleus à Twickenham (23-20).
« L'arbitre a pris une décision, il faut juste la respecter »
Cameron Woki
En conférence de presse ce mardi après-midi, depuis Marcoussis, le troisième-ligne Cameron Woki, qui défendait sur le deuxième-ligne anglais, est revenu sur cette action : « Je n'ai pas envie de rentrer dans une polémique. Je pense que j'ai mis tout en oeuvre pour que l'essai ne soit pas validé. L'arbitre a pris une décision, il faut juste la respecter. »
Titulaire lors de la défaite en finale de la Coupe d'automne des nations (22-19, a.p.), début décembre 2020, déjà à Twickenham, le troisième-ligne de l'UBB a cependant noté un changement dans la perception que se faisaient les Anglais des Bleus : « Les Anglais s'attendaient peut-être à un match moins dur l'automne dernier. Samedi, j'ai surtout vu qu'on était plus craints qu'en décembre. Ils ont été sérieux tout au long de notre préparation avant de nous affronter, ils étaient très humbles, ils étaient en garde, ils nous craignaient un peu. »
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Re: Le XV de France (partie 3)
sudiste a écrit:tire-bouchon a écrit:Putain ! Ici, y a plus de lecteurs de "la Dépèche" que de lecteurs de "Sud-Ouest"
je vous rassure, le "Sud-Ouest" est aux supporters biarrots ce que "la Dépèche" est aux supporters bordelais.
Aprés, Picamoles et Trin-Duc voici Jolmés.
Ce n' est plus un recrutement c' est un vide-greniers.
Tu dois confondre le supporter biarrot et les dirigeants de ce club... le passif est à ce niveau là.
Non non ... j' affirme ce que j' écris.
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 3)
tire-bouchon a écrit:sudiste a écrit:tire-bouchon a écrit:Putain ! Ici, y a plus de lecteurs de "la Dépèche" que de lecteurs de "Sud-Ouest"
je vous rassure, le "Sud-Ouest" est aux supporters biarrots ce que "la Dépèche" est aux supporters bordelais.
Aprés, Picamoles et Trin-Duc voici Jolmés.
Ce n' est plus un recrutement c' est un vide-greniers.
Tu dois confondre le supporter biarrot et les dirigeants de ce club... le passif est à ce niveau là.
Non non ... j' affirme ce que j' écris.
Alors je ne comprends pas ce que tu affirmes
sudiste- Unioniste de la première heure
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Le XV de France (partie 3)
Moi aussi tire-bouchon, je ne te comprends pas l'intérêt de tes posts.
Dommage que je ne puisse filtrer tes commentaires. Ce forum est libre et très ouvert, et c'est ce qui en fait sa force grâce à des connaisseurs. Ce n'est qu'un avis personnel; dommage que tu en abuse, ta place serait mieux ailleurs.
Fait comme j'essaie de faire (même si je n y arrive pas toujours) : parle peu mais mieux et reste objectif et fair-play.
Bien à toi sans agression, juste une remarque gratuite et bienveillante ;-)
Dommage que je ne puisse filtrer tes commentaires. Ce forum est libre et très ouvert, et c'est ce qui en fait sa force grâce à des connaisseurs. Ce n'est qu'un avis personnel; dommage que tu en abuse, ta place serait mieux ailleurs.
Fait comme j'essaie de faire (même si je n y arrive pas toujours) : parle peu mais mieux et reste objectif et fair-play.
Bien à toi sans agression, juste une remarque gratuite et bienveillante ;-)
guillaume ubb- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 3)
grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Le Midol depuis hier a rajouté deux erreurs à Jalibert, dont une où ils sous-entendent, que la conséquence serait l'essai de Watson derrière
j'ai trouvé enfin un lien pour le match en entier.
Donc on parle bien de cette action qui finit en touche pour nous, que Fickou joue rapidement pour Dupont qui apres un temps de jeu degage plein axe....et on prend effectivement l'essai de Watson derriere...et dont le responsable est Jalibert.
j'en peux plus d'autant de malhonnêteté.
J’aimerais bien la trouver cette vidéo, parce que je me cartonne avec des toulousains sur Instagram qui expliquent que c’est à cause de Jaja qu’on perd le match...
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 3)
latine a écrit:grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Le Midol depuis hier a rajouté deux erreurs à Jalibert, dont une où ils sous-entendent, que la conséquence serait l'essai de Watson derrière
j'ai trouvé enfin un lien pour le match en entier.
Donc on parle bien de cette action qui finit en touche pour nous, que Fickou joue rapidement pour Dupont qui apres un temps de jeu degage plein axe....et on prend effectivement l'essai de Watson derriere...et dont le responsable est Jalibert.
j'en peux plus d'autant de malhonnêteté.
J’aimerais bien la trouver cette vidéo, parce que je me cartonne avec des toulousains sur Instagram qui expliquent que c’est à cause de Jaja qu’on perd le match...
Latine, tu ne perdrais pas un peu ton temps ??? tu sais bien que tu ne pourras rien y changer... Dona Quichotta
Dernière édition par Dr. Gregory Bouse le Mar 16 Mar 2021 - 23:30, édité 1 fois
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 3)
latine a écrit:grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Le Midol depuis hier a rajouté deux erreurs à Jalibert, dont une où ils sous-entendent, que la conséquence serait l'essai de Watson derrière
j'ai trouvé enfin un lien pour le match en entier.
Donc on parle bien de cette action qui finit en touche pour nous, que Fickou joue rapidement pour Dupont qui apres un temps de jeu degage plein axe....et on prend effectivement l'essai de Watson derriere...et dont le responsable est Jalibert.
j'en peux plus d'autant de malhonnêteté.
J’aimerais bien la trouver cette vidéo, parce que je me cartonne avec des toulousains sur Instagram qui expliquent que c’est à cause de Jaja qu’on perd le match...
Laisse tomber Latine, ne te fatigue pas devant autant de mauvaise foi
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Re: Le XV de France (partie 3)
Scalp a écrit:latine a écrit:grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Le Midol depuis hier a rajouté deux erreurs à Jalibert, dont une où ils sous-entendent, que la conséquence serait l'essai de Watson derrière
j'ai trouvé enfin un lien pour le match en entier.
Donc on parle bien de cette action qui finit en touche pour nous, que Fickou joue rapidement pour Dupont qui apres un temps de jeu degage plein axe....et on prend effectivement l'essai de Watson derriere...et dont le responsable est Jalibert.
j'en peux plus d'autant de malhonnêteté.
J’aimerais bien la trouver cette vidéo, parce que je me cartonne avec des toulousains sur Instagram qui expliquent que c’est à cause de Jaja qu’on perd le match...
Laisse tomber Latine, ne te fatigue pas devant autant de mauvaise foi
Disons qu’il faut que je cartonne quelqu’un (because énervement boulot) et ça me semble mieux pour tout le monde que ça tombe sur un supporter du ST à 2 de QI plutôt que sur mon adorable chien, mes enfants (pas toujours adorables), mes charmants collaborateurs ou ma hiérarchie...
Et puis le supporter du ST, il le mérite toujours non ? 🤮
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 3)
Dr. Gregory Bouse a écrit:latine a écrit:grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Le Midol depuis hier a rajouté deux erreurs à Jalibert, dont une où ils sous-entendent, que la conséquence serait l'essai de Watson derrière
j'ai trouvé enfin un lien pour le match en entier.
Donc on parle bien de cette action qui finit en touche pour nous, que Fickou joue rapidement pour Dupont qui apres un temps de jeu degage plein axe....et on prend effectivement l'essai de Watson derriere...et dont le responsable est Jalibert.
j'en peux plus d'autant de malhonnêteté.
J’aimerais bien la trouver cette vidéo, parce que je me cartonne avec des toulousains sur Instagram qui expliquent que c’est à cause de Jaja qu’on perd le match...
Latine, tu ne perdrais pas un peu ton temps ??? tu sais bien que tu ne pourras rien y changer... Dona Quichotta
Je déteste les mensonges et la mauvaise foi (je suis restée très jeune dans ma tête pour ces trucs là ...)... et puis ça me défoule 🤪
C’est venu du fait que Jaja a été élu meilleur joueur de la 4e journée et ça les toulousains, ils ont du mal en encaisser....
Dernière édition par latine le Mar 16 Mar 2021 - 23:39, édité 1 fois
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 3)
latine a écrit:Scalp a écrit:latine a écrit:grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Le Midol depuis hier a rajouté deux erreurs à Jalibert, dont une où ils sous-entendent, que la conséquence serait l'essai de Watson derrière
j'ai trouvé enfin un lien pour le match en entier.
Donc on parle bien de cette action qui finit en touche pour nous, que Fickou joue rapidement pour Dupont qui apres un temps de jeu degage plein axe....et on prend effectivement l'essai de Watson derriere...et dont le responsable est Jalibert.
j'en peux plus d'autant de malhonnêteté.
J’aimerais bien la trouver cette vidéo, parce que je me cartonne avec des toulousains sur Instagram qui expliquent que c’est à cause de Jaja qu’on perd le match...
Laisse tomber Latine, ne te fatigue pas devant autant de mauvaise foi
Disons qu’il faut que je cartonne quelqu’un (because énervement boulot) et ça me semble mieux pour tout le monde que ça tombe sur un supporter du ST à 2 de QI plutôt que sur mon adorable chien, mes enfants (pas toujours adorables), mes charmants collaborateurs ou ma hiérarchie...
Et puis le supporter du ST, il le mérite toujours non ? 🤮
bon défoulement alors
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Re: Le XV de France (partie 3)
latine a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:latine a écrit:grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Le Midol depuis hier a rajouté deux erreurs à Jalibert, dont une où ils sous-entendent, que la conséquence serait l'essai de Watson derrière
j'ai trouvé enfin un lien pour le match en entier.
Donc on parle bien de cette action qui finit en touche pour nous, que Fickou joue rapidement pour Dupont qui apres un temps de jeu degage plein axe....et on prend effectivement l'essai de Watson derriere...et dont le responsable est Jalibert.
j'en peux plus d'autant de malhonnêteté.
J’aimerais bien la trouver cette vidéo, parce que je me cartonne avec des toulousains sur Instagram qui expliquent que c’est à cause de Jaja qu’on perd le match...
Latine, tu ne perdrais pas un peu ton temps ??? tu sais bien que tu ne pourras rien y changer... Dona Quichotta
Je déteste les mensonges et la mauvaise foi (je suis restée très jeune dans ma tête pour ces trucs là ...)... et puis ça me défoule 🤪
C’est venu du fait que Jaja a été élu meilleur joueur de la 4e journée et ça les toulousains, ils ont du mal en encaisser....
Dis-toi que ce sera pire quand ils verront Jalibert brandir le bout de bois avec ses potes....
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Re: Le XV de France (partie 3)
latine a écrit:grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Le Midol depuis hier a rajouté deux erreurs à Jalibert, dont une où ils sous-entendent, que la conséquence serait l'essai de Watson derrière
j'ai trouvé enfin un lien pour le match en entier.
Donc on parle bien de cette action qui finit en touche pour nous, que Fickou joue rapidement pour Dupont qui apres un temps de jeu degage plein axe....et on prend effectivement l'essai de Watson derriere...et dont le responsable est Jalibert.
j'en peux plus d'autant de malhonnêteté.
J’aimerais bien la trouver cette vidéo, parce que je me cartonne avec des toulousains sur Instagram qui expliquent que c’est à cause de Jaja qu’on perd le match...
7’38 du match
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 3)
grospaquet31 a écrit:latine a écrit:grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Le Midol depuis hier a rajouté deux erreurs à Jalibert, dont une où ils sous-entendent, que la conséquence serait l'essai de Watson derrière
j'ai trouvé enfin un lien pour le match en entier.
Donc on parle bien de cette action qui finit en touche pour nous, que Fickou joue rapidement pour Dupont qui apres un temps de jeu degage plein axe....et on prend effectivement l'essai de Watson derriere...et dont le responsable est Jalibert.
j'en peux plus d'autant de malhonnêteté.
J’aimerais bien la trouver cette vidéo, parce que je me cartonne avec des toulousains sur Instagram qui expliquent que c’est à cause de Jaja qu’on perd le match...
7’38 du match
Merci
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 3)
latine a écrit:grospaquet31 a écrit:latine a écrit:grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Le Midol depuis hier a rajouté deux erreurs à Jalibert, dont une où ils sous-entendent, que la conséquence serait l'essai de Watson derrière
j'ai trouvé enfin un lien pour le match en entier.
Donc on parle bien de cette action qui finit en touche pour nous, que Fickou joue rapidement pour Dupont qui apres un temps de jeu degage plein axe....et on prend effectivement l'essai de Watson derriere...et dont le responsable est Jalibert.
j'en peux plus d'autant de malhonnêteté.
J’aimerais bien la trouver cette vidéo, parce que je me cartonne avec des toulousains sur Instagram qui expliquent que c’est à cause de Jaja qu’on perd le match...
7’38 du match
Merci
Avec plaisir...je ne voulais pas être énervé tout seul
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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