Re: Coupe d'Europe - 1/2 de finale : Toulouse / UBB

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 14:41

Scalp a écrit:https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/attaque-l-instinctif-jalibert-face-a-l-analytique-ntamack-2309228.php

Attaque : l’instinctif Jalibert face à l’analytique Ntamack

Les profils diffèrent entre le Bordelais, aux inspirations fulgurantes, et le Toulousain plein de sang-froid

Les cases sont toutes trouvées. À Matthieu Jalibert celle du joueur d’instinct, à Romain Ntamack celle de l’ouvreur gestionnaire. Bien sûr, une telle évidence introduit le soupçon de la caricature. Mais Laurent Labit y souscrit malgré tout. « Romain a un profil plus d’organisateur de jeu, qu’il joue en 10 ou en 12. Il essaie de faire jouer les autres, analyse l’entraîneur de l’attaque du XV de France. À l’inverse, même s’il est aussi dans l’organisation, Matthieu est un accélérateur de jeu. Il cherche les espaces, essaie de jouer sur sa vitesse. »

Vitesse contre lecture

Ces différences sont en partie le résultat de la confiance que Matthieu Jalibert accorde à sa vitesse. Pourtant, dans ce domaine aussi, les deux hommes se ressemblent. Mais quand Romain Ntamack déploie une vitesse pleine de puissance, Matthieu Jalibert atteint sa vélocité maximale sur de plus courtes distances. Ce qui lui permet notamment de prendre les intervalles.

« Il a beaucoup de vitesse donc quand les espaces s’ouvrent à lui, c’est très difficile de le contrôler. Romain a quant à lui plus une exploitation de la science du jeu, de la lecture de jeu. Il essaie de beaucoup analyser pour comprendre les situations. Il va trouver la solution par la réflexion alors que Matthieu va les chercher par ses qualités physiques. »

Alors là, pas franchement d'accord avec cet article, Matthieu sait très bien lui aussi jouer la gestion, il sait aussi très bien organiser le jeu, la différence avec Ntamack n'est pas décisive. Matthieu à également une très bonne vision du jeu, mais son microprocesseur interne tourne plus vite, ça lui permet de prendre plus rapidement les bonnes décisions, sa vitesse de course fait le reste, comme très bien expliqué dans cet article.

Quand on dit "joueur d'instinct" pour qualifier Matthieu, c'est simplement qu'il va plus vite que Romain dans sa prise de décision/action..., plus vite cérébralement, plus vite physiquement, plus offensif tout simplement.

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 14:42

marchal a écrit:je ne pense pas l'avoir vu, merci scalp :):)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Serie-jalibert-ntamack-destins-croises-1-3-mathieu-jalibert-le-bebe-de-l-ubb/1246965

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 14:49

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Serie-jalibert-ntamack-destins-croises-1-3-mathieu-jalibert-le-bebe-de-l-ubb/1246965

Série Jalibert - Ntamack, destins croisés (1/3) : Matthieu Jalibert, le bébé de l'UBB

Le demi d'ouverture de l'équipe de France et de Bordeaux-Bègles s'est construit en plusieurs temps entre la Nouvelle-Calédonie et la métropole, jusqu'à devenir l'un des meilleurs ouvreurs d'Europe.

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En janvier 2017, quelques mois avant ses débuts en Top 14, Matthieu Jalibert brillait avec les espoirs de l'UBB. (F. Cottereau /Photopqr/sud ouest)

Antoine Bourlon

À Nouméa, comme partout en Nouvelle-Calédonie, on balance ça comme pour dire « c'est bien ». En y mettant de la nuance, de « mal choc'» à « très choc'», manière d'accompagner les instants d'aujourd'hui et les souvenirs d'hier. Ceux d'un petit rugbyman de métropole, pas très grand, pas très épais, pas très carrure locale en somme, résonnent encore au Stade Calédonien, le club de Rivière-Salée, quartier du nord de Nouméa.

Matthieu Jalibert en bref
22 ans.
1,81 m ; 79 kg. Demi-d'ouverture.
Club : Bordeaux-Bègles.
12 sélections.
16 septembre 2017 : premier match de Top 14 avec l'UBB, à Lyon. Il rentre 17 minutes (49-14).
3 février 2018 : Première sélection avec les Bleus

Nous sommes en 2003 quand débarque sur Le Caillou la famille Jalibert. Marine et Matthieu, les enfants, suivent Corinne et Jean-Jacques à un peu moins de 17 000 kilomètres de Saint-Germain-en-Laye (Île-de-France), où ils ont vu le jour. Le papa est militaire, la marmaille s'adapte. Il faut dire qu'il fait bon vivre au beau milieu du Pacifique, a fortiori quand on y retrouve ses passions. « Matthieu suivait son papa, qui jouait en équipe seniors, rembobine Frédéric Duret, ancien président du club. Il était toujours flanqué de sa soeur, d'un an son aînée, qui jouait avec lui avec les moins de 9 ans. C'était des gamins attachants, d'une famille discrète qui participait à la vie du club. »

Dès 5 ans, avec son casque et ses manches retroussées, Matthieu ne lâche que rarement son ballon au complexe Philémo-Simutoga. À l'occasion, il porte le tee aux buteurs de l'équipe des grands et participe aux « Jours de rugby », tournois inspirés de l'émission éponyme, rythmés par les matches, les pique-niques et les goûters faits maison. « Il avait de la dextérité, poursuit le dirigeant. Petits, les enfants forment ce qu'on appelle des grappes sur le terrain. Matthieu s'échappait de ça et appréciait déjà jouer au pied. »

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Matthieu Jalibert casqué lors de ses premières années en Nouvelle-Calédonie.

Le Stade Calédonien, qui a également vu passer Yolaine Yengo, de France 7 féminin, lui inculque les premiers fondamentaux. « Avec le potentiel rugby d'ici, on veut sortir certains gamins de leur situation par ce sport, et, à tous, leur fournir des bases, enchaîne Frédéric Duret. Matthieu en a eu de bonnes, avant son développement en métropole. »

Après quatre ans de jeu, de joie et de copains, les pérégrinations militaires reprennent et envoient les Jalibert à Bordeaux. Jolie cité pour grandir, et un club de rugby tout neuf, alors en Pro D2, l'Union Bordeaux-Bègles. Y jouent alors Grégoire Yachvili, frère de l'international Dimitri, un peu plus tard Jimmy Marlu, ou le jeune Maxime Machenaud.

« C'est rapidement devenu l'enfant du club, le chouchou de tout le monde »
Hugo Querillacq

Malgré la fusion avec le Stade Bordelais, l'école de rugby garde son appellation CABBG et son maillot à carreaux, le premier de Matthieu Jalibert. Ici, il fera toutes ses gammes. « C'est rapidement devenu l'enfant du club, le chouchou de tout le monde, dépeint Hugo Querillacq, coéquipier époque préado. Il était au-dessus du lot, il faisait ce qu'il voulait. Vitesse, appuis, premier attaquant... Et il a ce charisme naturel qui fait qu'on le suivrait un peu partout. »

De Nouméa à la Gironde, Matthieu Jalibert a pris son casque dans ses valises, toujours bien scratché, seulement rembourré par la tignasse « Brice de Nice » propre au début des années 2010. « Il avait la tchatche, sans gêne, au sens positif du terme », enchaîne Gabriel Ayuso, ailier de l'équipe. « Il avait déjà une grande bouche, rigole Hugo. Un côté que tu adores ou que tu détestes, mais totalement naturel, jamais forcé et pas dans un rôle. Et loin d'être négatif, car il est profondément gentil. »

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Matthieu Jalibert au premier rang, tout à gauche, lors de ses premières années au CABBG.

Sur les terrains d'Aquitaine et d'ailleurs, le petit numéro 10 se fait une réputation. Il est craint et suivi, joueur offensif vif et alerte, un peu comme à l'école, où son année d'avance, obtenue en primaire, le fait côtoyer la génération 97. « En quatrième, on est rentrés en pré-filière rugby à Talence, raconte Raphaël Lassegnore, devenu l'un de ses meilleurs amis. Ce pôle de collège permettait de regrouper les meilleurs de Gironde, avec cours jusqu'à 16 heures puis des entraînements variés. Jusque-là, il était bon à l'école. Mais après, on ne pouvait plus dire que c'était une tronche... (rires) » Il obtiendra son baccalauréat aux rattrapages, avant deux années de licence Staps (sport) et un bachelor en école de commerce et marketing.

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Bien avant les diplômes, la vie du jeune ouvreur s'organise autour du même aimant, le rugby. Il s'attache à Jonny Wilkinson et Dan Carter - prime à l'excellence -, et poursuit sa progression parmi les jeunes ouailles bordelaises, dont Jules Gimbert, partenaire à la mêlée également devenu pro. « J'étais en concurrence avec eux, je ne vous fais pas un dessin, c'était dur... », sourit Damien Vergé, troisième larron de la charnière.

Il fait alors peu de doutes que le demi d'ouverture est prédestiné à percer. « Des catégories de jeunes à minimes, il marchait sur l'eau, explique Hugo Querillacq. Puis il se blesse, bien comme il faut... » Un genou droit qui trinque lors d'une session judo avec le collège.

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Matthieu Jalibert balle en main (le Lyonnais Baptiste Couilloud derrière lui) face à la Géorgie au mondial U20, en 2017. (T. Kulumbegashvili /AFP)

« Avec la pré-filière, on a une initiation, rembobine Raphaël. Le professeur fait la démonstration avec Matthieu, il lui fait la prise, le blesse. Le genou reste bloqué sur le tatami. Entorse. Il a été arrêté pendant quelques mois. À cette époque, il avait tendance à grossir vite sans le sport. Il était devenu un peu « boulot » et il était triste. »

Sa maman confie quelques moments de doute à ses pairs, son papa, qui a toujours suivi le rejeton aux quatre coins de France, complète le soutien. Matthieu Jalibert, sans se morfondre, est un peu désabusé. « Je suis gavé nul », lance-t-il alors. En langage sud-ouest, comprendre « très », même si les copains de l'époque nuancent : « Il avait perdu des sensations et il avait des difficultés à retrouver son niveau, certes. Ça a pris un moment avant de le revoir au top, mais son talent ne s'était pas envolé. Il a eu une belle force mentale à ce moment-là. Il est revenu doucement, à son rythme. »

Recalé au Pôle Espoirs

Si son évolution prend du temps, le chemin tracé par la FFR n'en laisse guère. L'entrée au lycée se corrèle avec celle en Pôle Espoirs, structures majeures de la formation pour la plupart des internationaux. Matthieu Jalibert, un peu dans le creux de la vague, reste à quai. « Ç'a été une grosse déception, explique Raphaël Lassegnore. On lui avait dit que c'était dû à son physique, trop petit, pas assez musclé. Le Pôle, c'est l'aboutissement à cet âge-là. Il avait été triste, mais il ne s'est jamais mis au fond du seau. »

Son année d'avance à l'école, qui le voit intégrer le lycée un an avant l'âge "prévu", ne joue pas non plus en sa faveur ; pour certains formateurs, c'est même la raison principale de cette non-admission. « À ce moment-là, 15-16 ans, c'est vrai que physiquement, c'était un chips », resitue Hugo Querillacq. Ado à croissance plus lente, Jalibert finit même derrière son paquet d'avants lors de sa seule année de cadet (*). « Comme c'était un pin's, tout petit, tout fin, et qu'il y avait un autre numéro 10, ils avaient pensé à glisser Matthieu à la mêlée, détaille Lassegnore. Il tirait un peu la gueule, il n'a jamais trop aimé ça. »

« Quand on le récupère en Crabos première année, il était polyvalent neuf et dix, confirme Nicolas Zenoni, alors entraîneur des Crabos de l'UBB. Sur le planning, le plan de succession, il était tracé demi de mêlée. Il était bon, mais pas super dominant. » Ça ne durera pas très longtemps. Rapidement repositionné à l'ouverture, le Bordelais retrouve le rythme de son enfance, ses fulgurances et l'oeil attentif des suiveurs. Il finit par participer aux compétitions inter-pôles, aux sélections à 15 comme à 7.

Sa deuxième année avec les moins de 18 ans terminera de convaincre les sceptiques, envoûtés par un pouvoir offensif unique. « Je pense à son petit coup de pied par-dessus de merde pour aller marquer », se marre Damien Vergé. « Il le faisait une fois par match, embraye Théo Delblancu, talonneur du quinze béglais. Mais quand tu jouais devant, à te hacher, et que derrière, tu avais ses coups de génie... »

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La magie opère à plusieurs reprises, notamment lors d'une épopée qui voit les Crabos de l'UBB se hisser en finale du Championnat de France. Face au Racing 92, en quarts, Jalibert ponctue sa prestation d'un essai de cent mètres, avant de briller à nouveau face à Biarritz, en demies. La défaite en finale, face au Toulon de Louis Carbonel, laisse un goût amer.

Jalibert, toujours pas convoqué en équipe de France, cultive son feu intérieur. « Il a dû se dire "moi je n'y suis pas, je vais montrer que j'aurais dû y être" », synthétise Delblancu. « Il s'entraînait énormément, complète Zenoni. D'autres mecs étaient dans les radars, pas lui. Je pense que ça l'a vexé. Chez nous, il est devenu capitaine entre-temps. Il était travailleur, exemplaire, sûr de lui, quelqu'un qui parle quand il n'est pas content, mais pas inutilement. »

Le passage en Espoirs, à l'automne 2016, arrive à point nommé. « Chaque talent a son parcours, adapté à ses ressources, explique Sébastien Piqueronies, entraîneur de la sélection des moins de 19 ans. On doit s'adapter à eux, pas l'inverse, les bonifier. Matthieu est l'illustration d'un parcours atypique. Son pic de maturité est arrivé plus tard. La transition Crabos - Espoirs a été un accélérateur. Ce qui est fondamental, c'est surtout la détermination et la capacité de travail. Lui, il optimise tout. »

Le tir au but, par exemple, dont il récupère la responsabilité sans trembler. Dans le sillage d'un début de saison étincelant, les récompenses tombent. Piqueronies le convoque en équipe de France, Jalibert participe à trois rencontres, grimpe en moins de 20 ans, joue la Coupe du monde de la catégorie à Tbilissi, en Géorgie, sa dernière compétition chez les jeunes avant ses débuts professionnels avec l'UBB, en septembre 2017.

« Un jour, lors d'un tournoi de jeunes à Biarritz, un papy était venu le voir, conclut Damien Vergé. Il notait chaque année le meilleur du tournoi dans son carnet, et il y avait déjà quelques internationaux. » À Nouméa et à Bordeaux, on avait aussi pris rendez-vous avec l'avenir.

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(*) : Un changement dans les catégories a fait passer la génération 98 de cadets à Crabos après seulement un an dans la catégorie.

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 14:52

Stade Toulousain - UBB : Le tacle ironique de Mola à Urios

https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/top-14/stade-toulousain-ubb-le-tacle-ironique-de-mola-a-urios_VN-202104290264.html

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 14:53

"Ntamack et Jalibert tireront le rugby français vers le haut" se félicite Mola

https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/top-14/ntamack-et-jalibert-tireront-le-rugby-francais-vers-le-haut-se-felicite-mola_VN-202104290261.html

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 15:00

Champions Cup : avant l'UBB, le Stade Toulousain se met au vert dès ce jeudi soir

https://www.francebleu.fr/sports/rugby/champions-cup-avant-l-ubb-le-stade-toulousain-se-met-au-vert-des-ce-jeudi-soir-1619700208

**marchal** Jeu 29 Avr 2021 - 16:14

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Ugo-mola-l-ubb-est-l-une-des-equipes-les-plus-dangereuses-de-notre-championnat/1247404

https://www.epcrugby.com/2021/04/29/toulouse-pret-pour-une-dose-supplementaire-de-magie/

https://www.stadetoulousain.fr/actu/9555/st-ubb-une-premiere-en-champions-cup

**le radis** Jeu 29 Avr 2021 - 16:42

La compo du Midol peut donner des sueurs froides. :chambreur:

Titou Jeu 29 Avr 2021 - 17:37

le radis a écrit:La compo du Midol peut donner des sueurs froides.

C'est à dire

**Kerquillas** Jeu 29 Avr 2021 - 17:38

A savoir. Pourrais stp nous la transmettre pour qu'on sue également ? ....

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 17:42

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 17:43

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 17:55

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 17:56

Encouragez les joueurs de l'UBB avant la demi-finale !

https://www.ubbrugby.com/actualites/7790-encouragez-les-joueurs-de-l-ubb-avant-la-demi-finale.html

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 17:57

Champions Cup – Stade Toulousain : « L’UBB a mérité d’être là » assure Ugo Mola

https://www.francebleu.fr/sports/rugby/champions-cup-stade-toulousain-l-ubb-a-merite-d-etre-la-assure-ugo-mola-1619709054

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 17:58

Ugo Mola : « L'UBB est l'une des équipes les plus dangereuses de notre Championnat »

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Ugo-mola-l-ubb-est-l-une-des-equipes-les-plus-dangereuses-de-notre-championnat/1247404#xtor=RSS-1

Mr Scots Jeu 29 Avr 2021 - 17:59

Scalp a écrit:

Et Uberti ? Toujours blessé ?

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 18:00

Champions Cup. 1 VS 1 Kolbe face à Lam : un duel de feu entre David et Goliath

https://www.lerugbynistere.fr/news/champions-cup-1-vs-1-kolbe-face-a-lam-un-duel-entre-david-et-goliath-2904211545.php

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 18:01

Mr Scots a écrit:
Scalp a écrit:

Et Uberti ? Toujours blessé ?

C'est peut-être le 3/4 malade...

willoush Jeu 29 Avr 2021 - 18:01

Uberti ? Higgs ? Rien est dit sur eux.

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 18:03

willoush a écrit:Uberti ? Higgs ? Rien est dit sur eux.

Bon après, c'est la compo du Midol, pas toujours très fiable...

Mr Scots Jeu 29 Avr 2021 - 18:04

Scalp a écrit:Champions Cup. 1 VS 1 Kolbe face à Lam : un duel de feu entre David et Goliath

https://www.lerugbynistere.fr/news/champions-cup-1-vs-1-kolbe-face-a-lam-un-duel-entre-david-et-goliath-2904211545.php

Pourquoi ils disent que Lam va porter le numéro 14 ? Ils vont mettre Buros en 11 j’imagine ?

Mr Scots Jeu 29 Avr 2021 - 18:05

Scalp a écrit:
willoush a écrit:Uberti ? Higgs ? Rien est dit sur eux.

Bon après, c'est la compo du Midol, pas toujours très fiable...

Je pense que les noms qu’ils ont listés comme étant incertains, ce n’est pas un hasard... Après, peut-être qu’ils se trompent mais je pense pas qu’ils auraient balancé des noms au pif

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 18:05

Face à l'UBB, Toulouse n'aura pas d'excuses

https://www.rugbyrama.fr/rugby/champions-cup/2020-2021/champions-cup-face-a-l-ubb-toulouse-n-aura-pas-d-excuses_sto8296500/story.shtml

**Scalp** Jeu 29 Avr 2021 - 18:07

Mr Scots a écrit:
Scalp a écrit:
willoush a écrit:Uberti ? Higgs ? Rien est dit sur eux.

Bon après, c'est la compo du Midol, pas toujours très fiable...

Je pense que les noms qu’ils ont listés comme étant incertains, ce n’est pas un hasard... Après, peut-être qu’ils se trompent mais je pense pas qu’ils auraient balancé des noms au pif

Ils peuvent avoir des infos effectivement, mais aussi se tromper sur une partie de leur compo, c'est vrai qu'il y a deux joueurs majeurs qui ont disparu purement et simplement...

jimL Jeu 29 Avr 2021 - 18:25

sachant que les covidés ne pourront pas faire partie du groupe quelqu'un a une idée du groupe pour ce match ?

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