Top 14 - 22ème journée : UBB / MHR

Comment a t'on pu chopper ce Covid sans que l'équipe rencontrée ne soit elle aussi contaminée?
Dans ce cas la contagion vient de chez nous!!!
Les joueurs, leur famille, le personnel du club?
Il semble que les Espoirs eux jouant contre le Racing, ne soient pas contaminé.
La faute à pas de chance, oui bien sur, a t'on été assez rigoureux?

Scalp a écrit:

densnewzealand a écrit:Sur RMC il y à 30 mn , le président à dit texto, que le joueur est finalement négatif.... bref, faudra m'expliquer la gestion de cette histoire... il à également insité sur le silence que  ceux qui hurlaient aux loups pour arrêter la saison l'an passé sont là d'une soudaine discrétion...

C'est n'importe quoi, fait chier !, bordel de merde !, je vais aller prendre l'air

L Marti s'est juste trompé de terme : le joueur était positif en fait . 5 cas contacts de ce joueur sont "traçés" ;

léopold a écrit:Comment a t'on pu chopper ce Covid sans que l'équipe rencontrée ne soit elle aussi contaminée?
Dans ce cas la contagion vient de chez nous!!!
Les joueurs, leur famille, le personnel du club?
Il semble que les Espoirs eux jouant contre le Racing, ne soient pas contaminé.
La faute à pas de chance, oui bien sur, a t'on été assez rigoureux?

La question n'est pas la rigueur individuelle ici; mais la gestion professionnelle du club pour répondre à la contamination. Or, reprendre l'entraînement collectif 10 jours seulement après les contacts n'est pas rigoureux quand bien même jeudi les tests étaient négatifs. Il fallait de facto reporter le match, et on aurait pu reprendre l'entraînement lundi de manière normalisé (sous couvert des tests et joueurs positifs en quarantaine).
Au lieu de ça, on est reparti dans une situation bien alourdie, non seulement sans match dans les pattes mais avec un risque évident d'une reprise de la contamination altérant irrémédiablement la préparation en vue du prochain match. On ne se met donc pas dans les conditions professionnelles requises permettant une reprise de l'activité physique suffisamment sécure pour enchainer tous les matchs à venir. Ceci n'est pas acceptable.

le radis a écrit:

léopold a écrit:Comment a t'on pu chopper ce Covid sans que l'équipe rencontrée ne soit elle aussi contaminée?
Dans ce cas la contagion vient de chez nous!!!
Les joueurs, leur famille, le personnel du club?
Il semble que les Espoirs eux jouant contre le Racing, ne soient pas contaminé.
La faute à pas de chance, oui bien sur, a t'on été assez rigoureux?

La question n'est pas la rigueur individuelle ici; mais la gestion professionnelle du club pour répondre à la contamination. Or, reprendre l'entraînement collectif 10 jours seulement après les contacts n'est pas rigoureux quand bien même jeudi les tests étaient négatifs. Il fallait de facto reporter le match, et on aurait pu reprendre l'entraînement lundi de manière normalisé (sous couvert des tests et joueurs positifs en quarantaine).
Au lieu de ça, on est reparti dans une situation bien alourdie, non seulement sans match dans les pattes mais avec un risque évident d'une reprise de la contamination altérant irrémédiablement la préparation en vue du prochain match. On ne se met donc pas dans les conditions professionnelles requises permettant une reprise de l'activité physique suffisamment sécure pour enchainer tous les matchs à venir. Ceci n'est pas acceptable.

Plutôt d'accord avec toi ...on aurait voulu faire pire qu'on n'y serait pas arrivé.
Maintenant j'imagine qu'il y avait au delà de l'envie de jouer ce match, une grosse pression de la LNR et peut être des diffuseurs.
Bref l'urgence est toujours mauvaise conseillère

Pourquoi ne suis-je pas né dans un désert rugbystique en Moselle par exemple avec pour passion le pâté lorrain ou dans une vallée du Jura où j'aurais pu m'adonner au yodle dans les alpages
Aujourd'hui le rugby est devenu une croix à porter avec chaque jour une épine de plus planter dans mon crâne...

Ce putain de virus nous colle au cul comme le sparadrap au capitaine Haddock ...de quoi devenir fou !!!

Je m'associe à ton désespoir sudiste!......ma seule consolation, c'est de me sentir moins seul au sein du forum pour supporter cette merde qui va me pourrir mon plaisir pour une deuxième saison consécutive....
Je vais rester encore un an, on ne sait jamais.......avant l'exil en Moselle....

sudiste a écrit:Pourquoi ne suis-je pas né dans un désert rugbystique en Moselle par exemple avec pour passion le pâté lorrain ou dans une vallée du Jura où j'aurais pu m'adonner au yodle dans les alpages
Aujourd'hui le rugby est devenu une croix à porter avec chaque jour une épine de plus planter dans mon crâne...

Ce putain de virus nous colle au cul comme le sparadrap au capitaine Haddock ...de quoi devenir fou !!!

Euh, je suis né dans un désert rugbystique, le ballon ovale à Strasbourg ça fait doucement rigoler yopla, et ça ne change pas grand chose.
Ce que dit Radis est juste et faux. Manque de rigueur? En même temps ne pas disputer ce match équivalait à se flinguer pour la 1/2 finale. Y avait-il vraiment une bonne décision à prendre, ou seulement un choix entre de mauvaises décisions? C'est le pourri de cette situation.
Franchement si on est de nouveau les dindons de la farce ce serait écoeurant.

https://www.ladepeche.fr/2021/04/24/top-14-la-vague-covid-ralentit-la-crue-de-la-garonne-9508110.php

Top 14 : la vague Covid ralentit la crue de la Garonne

22e journée de Championnat et encore un match reporté pour Bordeaux-Bègles, futur adversaire des Toulousains en Coupe d’Europe, samedi 1er mai. Les Girondins, qui devaient recevoir Montpellier ce dimanche 25 avril, sont à l'arrêt côté compétition et à court de rythme.

Aujourd’hui peut-être. Ou alors demain. L’agenda des Bordelais n’est jamais certain actuellement. Chaque prise de rendez-vous est annulée puis remplacée par un autre rendez-vous. Bref, l’UBB ne s’en sort pas. Entre son quart de finale de Coupe d’Europe gagné contre le Racing 92 et sa demi-finale face au Stade Toulousain, le club du président Laurent Marti devait jouer deux rencontres de championnat. Le Covid en a décidé autrement.

La première face à Agen a été reportée le week-end dernier. En suivant, Bordeaux-Bègles devait initialement recevoir Montpellier vendredi soir. Mais la rencontre avait été décalée à dimanche après de nouveaux cas positifs dans l’effectif girondin. Patatras, un joueur de son effectif présentait des symptômes hier matin. Après avoir passé des tests PCR jeudi qui se sont tous avérés négatifs et ont permis à l’UBB de reprendre l’entraînement collectif hier matin. Mais ce joueur a donc déclaré des symptômes. Ses partenaires qui devaient participer à une mise en place au Stade Chaban-Delmas sont repartis sans pouvoir s’entraîner. C’est un peu le lot quotidien des Bordelais depuis leur quart de finale de Coupe d’Europe contre le Racing. Et la conférence de presse d’avant match a été annulée.

Depuis deux semaines, le virus impacte fortement le club. Au total, huit joueurs ont été testés positifs dont au moins deux joueurs de première ligne, parmi lesquels le capitaine Jefferson Poirot, ce qui avait nécessité la fermeture du centre d’entraînement du club il y a dix jours.

Deux week-ends sans jouer

Outre que l’UBB qui est loin d’avoir assuré sa place dans les six du Top 14 se trouve désormais avec deux matchs en retard dans un calendrier qui acte actuellement des matchs en semaine, l’équipe doit préparer une demi-finale de Coupe d’Europe sans entraînement collectif depuis deux semaines. De plus, les joueurs vont bien évidemment manquer de rythme et leur santé peut être remise en question.

En face, le Stade Toulousain qui a été épargné par le Covid va se présenter après avoir opéré un roulement dans son effectif lors des deux rencontres de championnat intercalées entre les deux rencontres de Coupe d’Europe.

En admettant que le match ait lieu dans la mesure où en Coupe d’Europe, il ne peut y avoir de match reporté en raison du calendrier. Un forfait de Bordeaux-Bègles est hélas envisageable.

Philippe Lauga

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Bordeaux-begles-se-retrouve-dans-une-situation-delicate-apres-un-nouveau-cas-de-covid/1245960

Bordeaux-Bègles se retrouve dans une situation délicate après un nouveau cas de Covid

Le nouveau cas de Covid détecté ce samedi dans les rangs bordelais place le club dans une situation extrêmement précaire et fait peser une menace sur sa demi-finale européenne (contre Toulouse le 1er mai).

Alex Bardot

Sur son compte Instagram, ce samedi matin, Matthieu Jalibert a posté une vidéo de lui s'entraînant aux tirs au but sur la pelouse du stade Chaban-Delmas. Une veille de match normale, à faire ses gammes. Deux heures plus tard, il s'affichait au bord de sa piscine, avec comme simple commentaire : « week-end. »

Entre ces deux vidéos, l'ouvreur de l'UBB et ses partenaires ont été cueillis par l'embarrassante nouvelle d'un nouveau cas de Covid au sein de l'effectif, le huitième en une semaine. Un cas avec une charge virale faible, détecté lors des tests de « sécurité » passés vendredi. « Un truc de fou, a résumé le président Laurent Marti sur le site de Sud Ouest. Jeudi soir, on teste tout le monde et tout le monde est négatif. La LNR a demandé de retester à nouveau vendredi et on sort un cas positif ce samedi matin [...]. Il aurait peut-être fallu le retester et il se serait peut-être avéré négatif. Mais au moment où on a pensé faire ça, le joueur en question a commencé à se sentir moins bien, on a laissé tomber. » Et, après un premier report, de vendredi à dimanche, la commission médicale de la LNR, réunie en urgence, a décidé de décaler à nouveau le match, à une date restant à fixer cette fois.

« Ce championnat commence à être faussé, on ne peut pas dire autre chose »
Laurent Marti, le président de l'UBB

Pour Bordeaux-Bègles et Montpellier, c'est un deuxième report d'affilée, qui va les priver d'un match de rodage avant leurs demi-finales européennes respectives (à Toulouse en Coupe d'Europe pour l'UBB le 1er mai, à Bath pour le MHR en Challenge Européen le même jour) et leur promet une fin de Top 14 avec un match à disputer en semaine, voire deux s'ils se qualifient pour la finale. « Ce championnat commence à être faussé, on ne peut pas dire autre chose », a constaté le président bordelais Marti chez nos confrères de Sud Ouest.

En vue de la Coupe d'Europe, la situation des Girondins est évidemment la plus préoccupante. Ils ne s'étaient pas entraînés depuis neuf jours quand ils se sont retrouvés vendredi pour une séance collective, autorisée par la Ligue après les tests négatifs de la veille. Et, après le nouveau cas de ce samedi, les revoilà à l'isolement pour au moins quarante-huit heures. Ils repasseront des tests lundi. S'ils s'avèrent négatifs, ils pourront reprendre l'entraînement et auront six jours pour préparer leur première demi-finale européenne, ce qui sera de toute façon loin d'être idéal. Mais la plus grosse menace est évidemment celle d'une contagion née du dernier cas et de l'apparition de nouveaux cas de Covid, détectés lundi ou plus tard.

Au mieux, ils retarderaient encore la préparation, la rendant quasi-inexistante. Au pire, ils pourraient amener à une défaite sur tapis vert, comme Toulon en quarts-de-finale. Les tests imposés trois jours avant le match par le règlement de l'EPCR seront déterminants. Selon le texte de l'organisateur, si un ou plusieurs cas positifs sont détectés à cette occasion, « la Commission d'évaluation des risques médicaux du jour de match de l'EPCR se réunira pour déterminer si le match peut être joué en toute sécurité. » Si ce n'est pas le cas, la rencontre sera annulée « et le club dont le statut Covid-19 n'a pas obligé l'annulation se qualifiera pour la phase suivante du tournoi. » L'UBB n'a pas fini de trembler.

krahknardz a écrit:

sudiste a écrit:Pourquoi ne suis-je pas né dans un désert rugbystique en Moselle par exemple avec pour passion le pâté lorrain ou dans une vallée du Jura où j'aurais pu m'adonner au yodle dans les alpages
Aujourd'hui le rugby est devenu une croix à porter avec chaque jour une épine de plus planter dans mon crâne...

Ce putain de virus nous colle au cul comme le sparadrap au capitaine Haddock ...de quoi devenir fou !!!

Euh, je suis né dans un désert rugbystique, le ballon ovale à Strasbourg ça fait doucement rigoler yopla, et ça ne change pas grand chose.
Ce que dit Radis est juste et faux. Manque de rigueur? En même temps ne pas disputer ce match équivalait à se flinguer pour la 1/2 finale. Y avait-il vraiment une bonne décision à prendre, ou seulement un choix entre de mauvaises décisions? C'est le pourri de cette situation.
Franchement si on est de nouveau les dindons de la farce ce serait écoeurant.

Mais Krankran, au final, non seulement on ne joue pas ce match, mais on se prive potentiellement de 5 joueurs et s'ils sont positifs on ne les aura pas pour l'enchaînement des 2 premiers matchs (Bayonne et Agen) de la semaine de championnat à 3 matchs.
La priorité des priorités aurait dû être : éradiquer la chaîne de contamination. Certes, cela aurait entraîné le report du match contre le MHR, mais on aurait repris l'entraînement collectif la semaine prochaine avec au moins 5 joueurs de plus et ce dans des conditions quasi normales (moins les positifs de la semaine dernière).
Là on a eu tout faux en se trompant d'objectif, le club a été inconséquent et au final on perd sur les tous les tableaux et fragilisons encore plus notre fin de saison.
Je le répète, ce n'est pas admissible (et encore je ne parle pas du côté sanitaire...).
Je suis mécontent de cette gestion par le club.

le radis a écrit:

krahknardz a écrit:

sudiste a écrit:Pourquoi ne suis-je pas né dans un désert rugbystique en Moselle par exemple avec pour passion le pâté lorrain ou dans une vallée du Jura où j'aurais pu m'adonner au yodle dans les alpages
Aujourd'hui le rugby est devenu une croix à porter avec chaque jour une épine de plus planter dans mon crâne...

Ce putain de virus nous colle au cul comme le sparadrap au capitaine Haddock ...de quoi devenir fou !!!

Euh, je suis né dans un désert rugbystique, le ballon ovale à Strasbourg ça fait doucement rigoler yopla, et ça ne change pas grand chose.
Ce que dit Radis est juste et faux. Manque de rigueur? En même temps ne pas disputer ce match équivalait à se flinguer pour la 1/2 finale. Y avait-il vraiment une bonne décision à prendre, ou seulement un choix entre de mauvaises décisions? C'est le pourri de cette situation.
Franchement si on est de nouveau les dindons de la farce ce serait écoeurant.

Mais Krankran, au final, non seulement on ne joue pas ce match, mais on se prive potentiellement de 5 joueurs et s'ils sont positifs on ne les aura pas pour l'enchaînement des 2 premiers matchs (Bayonne et Agen) de la semaine de championnat à 3 matchs.
La priorité des priorités aurait dû être : éradiquer la chaîne de contamination. Certes, cela aurait entraîné le report du match contre le MHR, mais on aurait repris l'entraînement collectif la semaine prochaine avec au moins 5 joueurs de plus et ce dans des conditions quasi normales (moins les positifs de la semaine dernière).
Là on a eu tout faux en se trompant d'objectif, le club a été inconséquent et au final on perd sur les tous les tableaux et fragilisons encore plus notre fin de saison.
Je le répète, ce n'est pas admissible (et encore je ne parle pas du côté sanitaire...).
Je suis mécontent de cette gestion par le club.

Certes. Mais au final, le club n’a fait que suivre le protocole. Le club ne decide pas de la tenue d’un match ou de son report.
Les tests étaient negatifs donc on pouvait reprendre l’entraînement collectif le vendredi. On était obligé sinon comment avoir un minimum d’entraînement collectif pour un match le dimanche?
Sinon on peut revoir le protocole...

Cela ne se passe pas comme ça: il y a des discussions permanentes avec la LNR et nous (comme le MHR) souhaitions avant tout jouer ce match. La LNR a accompagné.
Je le répète mais l’objectif aurait dû être de stopper la chaîne de contamination. C'est le pdt de l'entreprise qui a pouvoir réglementaire sur son club : L Marti aurait dû continuer le protocole dégradé.

Que fallait il faire ?
-mettre tout le monde sous cloche au risque de développer un méga cluster en interne, le virus circulant déjà dans le groupe ?
-n'organiser aucun rassemblement même par petits groupes et laisser tout le monde dans sa famille ... mais justement les infections au COVID n'en proviennent elles pas ?
Une fois la 1ere contamination détectée, on peut certes limiter les risques peut-on vraiment les annihiler sans confiner strictement et individuellement chaque personne ???
Ceci étant dit, on est dans ma merde ... mais ça ne veut pas dire qu'on n'en sortira pas vainqueur. D'ailleurs c'est souvent dans ces moments que l'UBB a été la meilleure

Cette situation sanitaire est catastrophique, et comme dit Patrick, le virus peut venir de partout, on ne peut pas vraiment éliminer tous les risques, même si je comprends ce que dit Le Radis, la gestion de cette crise est vraiment extrêmement compliqué.

Si le sort doit encore nous frapper, n'oublions pas que pour l'instant le bilan de cette saison, c'est d'être dans le dernier carré des deux compétitions européennes la même saison. Un exploit que nous sommes probablement les seuls à avoir réalisé dans l'histoire du Rugby Français et Européen et probablement pour longtemps. Comme quoi, ce virus nous aura au moins aussi permis cette performance inédite, dont tout le monde se fout et dont personne ne parle...

Il faut voir le positif dans toute situation, rien n'est encore joué, l'UBB est souvent performante quand on ne l'attend pas, comme le disait Nadoloubb, Urios aime ces situations ou l'on doit savoir passer en mode commando, tout est encore possible.

La solution était de vacciner nos gars, l'enjeu financier étant déjà un premier justificatif, des quantités de gens qui ne sont pas en situation d'âge ou d'autres priorité l'ont été.
Après si on en croit les présidents de club, lors des matchs, une tolérance est pratiquée, les sponsors,les médias' y compris ceux qui nous taille des croupières), des anciennes gloires, des copains,bref une bonne centaine de tiers qui n'ont rien à faire là.
On va pas me dire que ces gens là après notre victoire n'ont pas été au contact du groupe UBB.
Avec un carnet de santé, OK, sans ils restent devant la TV

On ne reprend pas l'entraînement collectif 12 jours après la contamination de "masse". Enfin un peu de sérieux !

Si le sort doit encore nous frapper, n'oublions pas que pour l'instant le bilan de cette saison, c'est d'être dans le dernier carré des deux compétitions européennes la même saison. Un exploit que nous sommes probablement les seuls à avoir réalisé dans l'histoire du Rugby Français et Européen et probablement pour longtemps


Vous avez joué la Hcup et le Challenge dans la même saison rugbistique. ?
Tu ne confonds pas l' année civile ?

tire-bouchon a écrit:Si le sort doit encore nous frapper, n'oublions pas que pour l'instant le bilan de cette saison, c'est d'être dans le dernier carré des deux compétitions européennes la même saison. Un exploit que nous sommes probablement les seuls à avoir réalisé dans l'histoire du Rugby Français et Européen et probablement pour longtemps


Vous avez joué la Hcup et le Challenge dans la même saison rugbistique. ?
Tu ne confonds pas l' année civile ?

On a joué notre demi-finale de Challenge Cup en tout début de saison, contre Bristol, Covid oblige certes, mais c'est bien cette saison. On les a ensuite battu en Champion Cup en 1/8 de finale. Ta remarque souligne bien ce que je disais dans mon commentaire initial, tout le monde s'en fout et personne n'en parle, mais c'est quand même une performance assez spéciale...

Top 14-Pro D2: des présidents veulent supprimer les relégations cet été

https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/top-14/top-14-pro-d2-des-presidents-veulent-supprimer-les-relegations-cet-ete_AV-202104250175.html

https://www.midi-olympique.fr/2021/04/25/les-presidents-discutent-dun-top-15-qui-sauverait-pau-bayonne-et-laisserait-agen-en-vie-9509227.php

Les présidents discutent d'un Top 15 qui sauverait Pau, Bayonne et laisserait Agen en vie

Information Midi Olympique - Mercredi soir, les présidents de clubs étaient réunis pour la première fois autour de René Bouscatel, le nouveau patron de la LNR. La soirée fut semble-t-il agitée... et pourrait déboucher sur une mini révolution la saison prochaine.

La semaine dernière, Pierre-Yves Revol adressait un courrier aux trente présidents du rugby pro ainsi qu’à leur chef, René Bouscatel. Une missive au fil de laquelle « PYR » s’étonnait des décisions prises par le nouveau comité directeur de la Ligue, notamment sur le lieu de la finale de Pro D2 : aux yeux du patron du CO, le choix de Montpellier, une ville située à une heure de Perpignan et 900 kilomètres de Vannes, plaçait l’Usap de François Rivière, membre élu de ce comité directeur, dans une position beaucoup trop confortable face à l’équipe qui pourrait, sauf cataclysme, affronter les Sang et Or sur ce match.
Mercredi soir, alors que les présidents du rugby pro étaient réunis pour la première fois autour de René Bouscatel, l’histoire qui nous occupe aurait connu une suite. « Pierre-Yves (Revol) et René (Bouscatel) ont soldé les comptes, explique un témoin. Bouscatel lui a dit : « J’ai pensé beaucoup de choses de ton mandat (Revol fut président de la LNR de 2008 à 2012, N.D.L.R.). Mais j’ai toujours préféré t’en parler entre quatre yeux ou les garder pour moi, plutôt que de les coucher sur une lettre circulaire adressée à trente personnes. » Ce à quoi Revol aurait répondu : « On n’est pas là pour refaire l’historique, René. Ces premières décisions sont simplement de nature à interloquer le grand public, voilà tout. »

Un schisme chez les présidents

Que faut-il conclure de la passe d’armes entre ces deux figures des institutions ? D’abord, la dernière élection, qui a laissé Vincent Merling et ses soutiens sur le bord de la route, a créé un schisme au sein de la Ligue Nationale de Rugby et, fraîchement élu, René Bouscatel doit aujourd’hui composer avec une opposition qu’il n’avait probablement pas imaginée si vivace. Ensuite, le seul terme de « Montpellier » peut suffire à déclencher, du côté des présidents, une éruption volcanique.

En offrant la finale de Pro D2 au club de Mohed Altrad, premier sponsor de la FFR, les membres du comité directeur ont sans le vouloir dégoupillé une grenade. Mercredi soir, après que le vice-président du RC Vannes François Coville ait lâché à ses pairs que cette décision était « inéquitable », la directrice du MHR Jessica Casanova (elle représente Mohed Altrad lors des réunions de présidents) aurait alors tenu à prendre la parole pour calmer les ardeurs des présidents complotistes. Un autre témoin raconte : « Casanova a assuré que le MHR n’aurait pas candidaté pour la finale de Pro D2 s’il n’avait pas reçu, bien avant l’élection de René (Bouscatel) à la LNR, un coup de fil de la Ligue pour lui dire que postuler à la finale serait une bonne idée. Elle a donc demandé à ce que les gens arrêtent de hurler au complot dès qu’il s’agit de Montpellier. Parce qu’on ne peut pas taxer Paul Goze et ses équipes de complaisance envers Mohed Altrad, n’est-ce pas ? »

De toute évidence, la prise de parole de Jessica Casanova eut le mérite d’apaiser un débat houleux que René Bouscatel scella en assurant que le choix de Montpellier (Toulouse et La Rochelle étaient aussi candidats) s’était fait sur un critère objectif, le dossier héraultais permettant à la Ligue une économie de plusieurs milliers d’euros sans offrir à l’Usap un avantage évident, les chances de voir du public dans les stades début juin étant à ce jour infimes.

Un passage au Top 15 et une pro D2 à 17 ?

Autour de René Bouscatel, la soirée « petits meurtres entre amis » se serait terminée sur un appel à l’aide du président de Soyaux-Angoulême Didier Pitcho qui demanda à ce que les dix clubs (lesquels ?) s’étant un temps prononcés pour un passage du Pro D2 à dix-huit clubs le soutiennent dans sa démarche. Une descente en Nationale pourrait avoir à ses yeux une incidence catastrophique pour son club, lequel serait alors menacé de « dépôt de bilan » (tels furent ses termes, si l’on en croit plusieurs témoins).
Dans son appel au secours, Pitcho fut alors relayé par Philippe Tayeb (Bayonne) et Bernard Pontneau (Pau) : ceux-ci, considérant une hypothétique descente comme inéquitable tant la saison sportive fut accidentée (Pontneau aurait parlé de « boucherie » sur le plan économique, si son club était rétrogradé), auraient respectivement demandé un passage au Top 16 et un gel du championnat.
Seront-ils entendus ? Il semblerait, oui. En coulisses, il se murmure aujourd’hui que si un Pro D2 à dix-sept clubs voyait le jour la saison prochaine (maintenant au passage Soyaux-Angoulême en Pro D2), il pourrait être suivi par un élite au format «Top 15» où Agen, passé de relégué à barragiste, jouerait un match de la muerte face au finaliste malheureux de la ProD2.
Dans ce cas, Bayonne et Pau seraient maintenus sans passer par la case « barrage ».

Attention : cela ne veut pas dire que ça se fera. Mais le comité directeur de la Ligue travaille bel et bien sur ce double projet (Top 15 et Pro 17) pour la saison prochaine, avant un retour à la normale prévu pour l’exercice 2021/2022. Le plus dur sera de convaincre le diffuseur et les clubs ne souhaitant pas partager l’enveloppe des droits télés en 32 parts égales, contre 30 actuellement….

Marc Duzan

Cette formule si elle était vite actée, aurait l'avantage pour nous, d'enlever tout intérêt à Bayonne et un peu aussi au MHR, de vouloir gagner contre nous...

Scalp a écrit:Cette formule si elle était vite actée, aurait l'avantage pour nous, d'enlever tout intérêt à Bayonne et un peu aussi au MHR, de vouloir gagner contre nous...

C’est faussé pour le bas du classement mais aussi pour le haut.
J’espere quon fera des phases finales a 8 et autant de qualifiés en CC.

grospaquet31 a écrit:

Scalp a écrit:Cette formule si elle était vite actée, aurait l'avantage pour nous, d'enlever tout intérêt à Bayonne et un peu aussi au MHR, de vouloir gagner contre nous...

C’est faussé pour le bas du classement mais aussi pour le haut.
J’espere quon fera des phases finales a 8 et autant de qualifiés en CC.

Tu as raison !

Entre des clubs en roue libre s’ils sont sauvés et le spectre de la péréquation si tous les matchs ne peuvent être joués le championnat n’a plus réellement de sens. Qualifier les 8 premiers pourrait être une solution, mais du coup on est pas à l’abris que le 9 ème ou le 10 ème crie au scandale!

grospaquet31 a écrit:

Scalp a écrit:Cette formule si elle était vite actée, aurait l'avantage pour nous, d'enlever tout intérêt à Bayonne et un peu aussi au MHR, de vouloir gagner contre nous...

C’est faussé pour le bas du classement mais aussi pour le haut.
J’espere quon fera des phases finales a 8 et autant de qualifiés en CC.

Je vais essayer de ne pas exprimer une platitude pour ne pas déranger "Modérator".
La qualif des 8 premiers pour un phase finale du Top14 relève de la LNR.
Par contre pour la qualif de 8 équipes en Hcup, relève de ERC, et surtout il va falloir l' accord des autres clubs européens.
En espérant alors que le Covid soit maîtrisé.

tire-bouchon a écrit:

grospaquet31 a écrit:

Scalp a écrit:Cette formule si elle était vite actée, aurait l'avantage pour nous, d'enlever tout intérêt à Bayonne et un peu aussi au MHR, de vouloir gagner contre nous...

C’est faussé pour le bas du classement mais aussi pour le haut.
J’espere quon fera des phases finales a 8 et autant de qualifiés en CC.

Je vais essayer de ne pas exprimer une platitude pour ne pas déranger "Modérator".
La qualif des 8 premiers pour un phase finale du Top14 relève de la LNR.
Par contre pour la qualif de 8 équipes en Hcup, relève de ERC, et surtout il va falloir l' accord des autres clubs européens.
En espérant alors que le Covid soit maîtrisé.

Je le sais bien. Mais on a bien vu l’an dernier que les clubs de top 14 pouvaient imposer des decisions a l’eprc. Bon c’est vrai que c’etait le grand ST qui etait tres demandeur. Si on est pas dans les 6, il faudra faire pareil, on ne peut pas se permettre de louper cette CC.