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Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Belle compo compte tenu des absents, juste peur de notre axe droit de mêlée avec Tabidze rentrant en cours de match, j'espère qu'il me fera mentir ! Enfin le retour du Top 14, c'est pas trop tôt Il faut absolument dominer le début de match pour vite calmer les ardeurs biarottes.
FrenchKick- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/biarritz-olympique/biarritz-olympique-steffon-armitage-reve-tres-haut-5695304.php
Biarritz Olympique : Steffon Armitage « rêve très haut »
Par Recueilli par Pierre Mailharin - p.mailharin@sudouest.fr
Le Biarritz Olympique ouvre le Top 14 ce samedi après-midi à Aguilera contre l’Union Bordeaux-Bègles (14 heures), une élite qu’il retrouve après sept saisons en Pro D2. Si beaucoup lui promettent une lutte pour le maintien, son capitaine Steffon Armitage ne veut pas limiter les ambitions des siens
Après sept ans en Pro D2, y a-t-il de l’appréhension à retrouver le Top 14 ?
Non. Depuis que je suis arrivé il y a deux ans, on travaille pour ça. Le meilleur moment pour nous, c’est maintenant. C’est l’heure de prendre du plaisir. Beaucoup n’ont pas vécu le Top 14, ça va leur changer un peu, mais tout le monde a hâte.
Ce sera du plaisir, mais ne faut-il pas aussi s’attendre à des moments difficiles ?
Ah oui, mais la vie est difficile ! C’est pour ça que je me lève le matin, j’ai envie de vaincre les difficultés. Et je vais le faire en prenant du plaisir. Oui, ça va faire mal de temps en temps, mais dans ma tête, je sais que je fais un métier que j’adore. Certains sont bloqués tout le temps dans un bureau. Nous, on la chance d’être tous les week-ends sur le terrain.
Les observateurs vous prédisent une lutte pour le maintien, avec Brive, Pau, Castres et Perpignan. Êtes-vous d’accord avec cette lecture ?
Pas du tout. Je suis un gars qui rêve très haut. Et je pense que toute l’équipe est avec moi. Écoutez, il y a beaucoup de personnes qui parlent, mais c’est ce qui se passe sur le terrain qui compte. Avec les quarante joueurs, on va tout donner. Qu’on perde ou qu’on gagne, si on donne 200 % à chaque fois, pour moi c’est le plus important.
Ce qu’on a montré à Lille, ce n’est rien par rapport à ce qu’on va faire demain
Les règles ont évolué cette saison sur les rucks, votre spécialité (1). Avez-vous assimilé le changement ?
Oui, on a réussi à le faire. En ce moment, les règles changent tous les ans dans les rucks. J’ai la chance d’avoir de très bons joueurs autour de moi, des jeunes, comme Mathieu Hirigoyen, (Tornike) Jalagonia, qui m’aident à être meilleur. Pour qu’on ne se fasse pas pénaliser en match. On fait les choses correctement. On est des troisièmes lignes, des gratteurs, on triche un peu mais pas beaucoup, hein (rires) Non, en fait, on ne triche jamais !
Le BO n’a disputé qu’un match amical. Trouvez-vous cela suffisant ?
Écoutez, on s’est entraîné très dur, on a fait du contact entre nous. Si on arrive à faire du contact à quinze contre quinze dans notre équipe, qu’on arrive à arrêter les mauls, à faire des bonnes mêlées, pourquoi on ne pourrait pas le faire contre une autre équipe ? On suit le choix des coachs et on est prêt.
Cette rencontre, à Lille, était contre Bordeaux-Bègles (défaite 7-28), que vous retrouvez ce samedi. Avez-vous pu en tirer des enseignements ?
On est allé là-bas pour donner un peu de temps de jeu à tout le monde et tenter des choses. Bien sûr, certaines n’ont pas marché. Mais ce qu’on a montré à Lille, ce n’est rien par rapport à ce qu’on va faire demain.
Vous avez tenu tête à l’UBB sur ce match, il n’y avait que 7-14 à l’heure de jeu. Sentez-vous que la dynamique de la montée se poursuit ?
Les deux essais qu’ils ont marqués dans les vingt dernières minutes, c’était sur deux coups de pied… Et sur le dernier, je pensais que l’arbitre avait sifflé. Voilà, c’est juste des petits détails qui peuvent changer le résultat d’un match. On a travaillé là-dessus, physiquement, pour que ça ne se reproduise pas.
(1) Les déblayages devront se faire au-dessus de la ceinture
Biarritz Olympique : Steffon Armitage « rêve très haut »
Par Recueilli par Pierre Mailharin - p.mailharin@sudouest.fr
Le Biarritz Olympique ouvre le Top 14 ce samedi après-midi à Aguilera contre l’Union Bordeaux-Bègles (14 heures), une élite qu’il retrouve après sept saisons en Pro D2. Si beaucoup lui promettent une lutte pour le maintien, son capitaine Steffon Armitage ne veut pas limiter les ambitions des siens
Après sept ans en Pro D2, y a-t-il de l’appréhension à retrouver le Top 14 ?
Non. Depuis que je suis arrivé il y a deux ans, on travaille pour ça. Le meilleur moment pour nous, c’est maintenant. C’est l’heure de prendre du plaisir. Beaucoup n’ont pas vécu le Top 14, ça va leur changer un peu, mais tout le monde a hâte.
Ce sera du plaisir, mais ne faut-il pas aussi s’attendre à des moments difficiles ?
Ah oui, mais la vie est difficile ! C’est pour ça que je me lève le matin, j’ai envie de vaincre les difficultés. Et je vais le faire en prenant du plaisir. Oui, ça va faire mal de temps en temps, mais dans ma tête, je sais que je fais un métier que j’adore. Certains sont bloqués tout le temps dans un bureau. Nous, on la chance d’être tous les week-ends sur le terrain.
Les observateurs vous prédisent une lutte pour le maintien, avec Brive, Pau, Castres et Perpignan. Êtes-vous d’accord avec cette lecture ?
Pas du tout. Je suis un gars qui rêve très haut. Et je pense que toute l’équipe est avec moi. Écoutez, il y a beaucoup de personnes qui parlent, mais c’est ce qui se passe sur le terrain qui compte. Avec les quarante joueurs, on va tout donner. Qu’on perde ou qu’on gagne, si on donne 200 % à chaque fois, pour moi c’est le plus important.
Ce qu’on a montré à Lille, ce n’est rien par rapport à ce qu’on va faire demain
Les règles ont évolué cette saison sur les rucks, votre spécialité (1). Avez-vous assimilé le changement ?
Oui, on a réussi à le faire. En ce moment, les règles changent tous les ans dans les rucks. J’ai la chance d’avoir de très bons joueurs autour de moi, des jeunes, comme Mathieu Hirigoyen, (Tornike) Jalagonia, qui m’aident à être meilleur. Pour qu’on ne se fasse pas pénaliser en match. On fait les choses correctement. On est des troisièmes lignes, des gratteurs, on triche un peu mais pas beaucoup, hein (rires) Non, en fait, on ne triche jamais !
Le BO n’a disputé qu’un match amical. Trouvez-vous cela suffisant ?
Écoutez, on s’est entraîné très dur, on a fait du contact entre nous. Si on arrive à faire du contact à quinze contre quinze dans notre équipe, qu’on arrive à arrêter les mauls, à faire des bonnes mêlées, pourquoi on ne pourrait pas le faire contre une autre équipe ? On suit le choix des coachs et on est prêt.
Cette rencontre, à Lille, était contre Bordeaux-Bègles (défaite 7-28), que vous retrouvez ce samedi. Avez-vous pu en tirer des enseignements ?
On est allé là-bas pour donner un peu de temps de jeu à tout le monde et tenter des choses. Bien sûr, certaines n’ont pas marché. Mais ce qu’on a montré à Lille, ce n’est rien par rapport à ce qu’on va faire demain.
Vous avez tenu tête à l’UBB sur ce match, il n’y avait que 7-14 à l’heure de jeu. Sentez-vous que la dynamique de la montée se poursuit ?
Les deux essais qu’ils ont marqués dans les vingt dernières minutes, c’était sur deux coups de pied… Et sur le dernier, je pensais que l’arbitre avait sifflé. Voilà, c’est juste des petits détails qui peuvent changer le résultat d’un match. On a travaillé là-dessus, physiquement, pour que ça ne se reproduise pas.
(1) Les déblayages devront se faire au-dessus de la ceinture
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/top14/avant-biarritz-ubb-un-moment-privilegie-dans-une-carriere-dit-maxime-lucu-5694573.php
Avant Biarritz – UBB : « Un moment privilégié dans une carrière », dit Maxime Lucu
Par Propos recueillis par Yoan Leshauriès - y.leshauries@sudouest.fr
Maxime Lucu, le demi de mêlée basque de l’Union Bordeaux-Bègles, fait son retour à Aguiléra ce samedi (14 heures) pour affronter le Biarritz Olympique, son ancien club
Vous avez été opéré d’une pubalgie cet été, ce qui vous a fait manquer la tournée en Australie avec le XV de France. Comment l’avez-vous vécu ?
Durant la saison dernière, j’avais déjà eu une alerte. À l’approche des phases finales, j’ai pu gérer la chose mais j’ai ressenti une énorme douleur en demie face à Toulouse. À la fin du match, il y a la frustration de la défaite (24-21) puis je reçois un appel pour me dire que je suis convoqué chez les Bleus. Mais je venais de parler de ma blessure au staff médical de l’UBB. Je sais qu’en équipe de France, il faut être à 100 %. J’ai appelé Fabien (Galthié) vers 0 h 30 pour lui annoncer mon forfait. J’avais poussé trop loin, je devais passer par la case opération. Le lendemain, ça a été compliqué. Mais je me suis vite remis la tête à l’endroit. J’ai pu reprendre la préparation le 16 août et je suis monté crescendo.
Le compte-à-rebours était lancé pour ne pas manquer la 1re journée à Biarritz ?
Ce n’était pas l’objectif premier, je voulais prendre le temps de bien revenir mais c’est vrai que quand j’ai vu le calendrier, je me suis dit : « Louper ça, ça serait dommage. » Aujourd’hui je suis à 100 %, même s’il me manque du temps de jeu et du rythme.
Comment appréhendez-vous ces retrouvailles avec le BO ?
Ce n’est pas simple à gérer mais je ressens beaucoup de joie de retrouver Biarritz en Top 14. Le stade sera plein, il y aura ma famille dans les tribunes. Mon frère (Ximun) ne jouera pas, il sera 24e mais je vais profiter de le croiser à l’échauffement. C’est un moment hyper privilégié dans une carrière. Il y a toujours ce lien très fort avec ce club. J’ai quand même joué pendant 8 ans au BO (2011-2019), on a bataillé en Pro D2 pour tenter de faire remonter le club, on a toujours échoué… C’est grâce à ce club que j’en suis là aujourd’hui. Il m’a lancé en Pro D2 sur ma première année, moi qui n’avais jamais fait de centre de formation. Ils m’ont fait confiance.
« Il y a toujours ce lien très fort avec ce club où j’ai joué pendant huit ans »
Lors de l’échauffement avant le barrage de l’UBB face à Clermont, on se souvient de vous le regard scotché sur l’écran géant de Chaban-Delmas pour suivre le dénouement de la finale d’accession…
De l’hôtel jusqu’aux vestiaires, je n’ai pas regardé une seule minute, c’était un vrai effort. En entrant sur le terrain et en découvrant ça sur l’écran, j’ai regardé comme si j’y étais. Le fait que le BO ait gagné, ça m’a fait du bien. Je me suis dit : « Maintenant, c’est à toi d’aller au bout ». Ce jour-là, ma mère était à Chaban, mon père à Aguiléra. Tout le monde était heureux.
Qu’est-ce qui vous a poussé à couper le cordon avec Biarritz en 2019 ?
J’avais envie de sortir du cocon familial. À Biarritz, je savais que j’étais bien vu, que j’allais jouer, que les supporters m’appréciaient. J’avais envie de me mettre en danger. Je savais que monter en Top 14 allait me faire du bien. J’arrivais dans un endroit où je devais montrer réellement ce que j’avais dans le ventre. J’avais peur de ne pas rentrer dans le cercle, d’être mis un peu à l’écart, aussi de par mes performances. Mais tout s’est très bien passé. Dans la vie de tous les jours, cela m’a aussi fait changer : un resto avec les copains, aller voir une exposition, aller voir des potes jouer à Angoulême. Alors que quand j’étais au Pays Basque, je rentrais dans la famille, je faisais toujours les mêmes choses. J’avais envie de voir si je pouvais m’épanouir seul.
En tant que joueur, qu’est-ce que ça vous a apporté ?
Je m’affirme beaucoup plus dans le groupe. À Biarritz, on se retournait toujours vers moi quand ça allait mal, en tant que capitaine, mais c’était de la Pro D2, c’était un peu plus simple de sortir du lot. À l’UBB, j’arrivais dans un club où il y avait déjà pas mal de leaders. Ici, si tu restes dans ton confort, les mecs ne vont pas te suivre et d’autres vont prendre ta place. Je me sens plus à l’aise aujourd’hui à ce niveau, je m’affirme. J’ai aussi beaucoup mis l’accent sur mon jeu au pied, sur la vitesse dans les rucks… Je me concentre davantage sur les détails car je dois bosser plus. Ici, je suis un joueur lambda. Je progresse mais il me reste encore beaucoup à travailler.
En seulement deux saisons, vous vous êtes imposé en Top 14, vous avez joué des demi-finales dans toutes les compétitions, vous avez participé à des rassemblements avec le XV de France…
Mon passage de Pro D2 en Top 14, je l’ai trouvé hyper rapide. Je pensais que j’aurais besoin de plus de temps d’adaptation. J’ai pris du plaisir à faire de bonnes prestations sur ma première saison, à vite me sentir à l’aise avec une équipe qui marchait bien. On a été coupés dans notre élan, il y a eu pas mal de frustration. Quand on a repris, on a eu un peu de mal mais on a su trouver le déclic pour repartir et vivre ce qu’on a vécu. Ça a été la même chose sur le plan personnel. J’ai en tête mon mauvais début de saison dernière, difficile mentalement car j’ai perdu un cousin très proche. Cette mauvaise passe aurait pu me coûter mais je n’ai ressorti que du positif.
Qu’avez-vous de plus basque en vous ?
Sur le terrain, Christophe (Urios) ne fait que me dire que je suis têtu comme un Basque. Sur chaque coup, chaque ballon qui traîne, je plonge dessus. Ce n’est pas forcément beau à voir mais je ne lâche jamais. Le Basque veut toujours avoir raison. Alors qu’en dehors du terrain, je ne suis pas du tout comme ça (rires).
Et qu’avez-vous désormais de plus bordelais en vous ?
J’ai peut-être pris un petit côté « bobo ». Je vais faire le marché aux Capucins, acheter mes petits légumes, boire mon café… le genre de choses que je ne faisais pas du tout à Biarritz ou à Saint-Pée, j’étais d’ailleurs le premier à m’amuser de ces gens-là.
Avant Biarritz – UBB : « Un moment privilégié dans une carrière », dit Maxime Lucu
Par Propos recueillis par Yoan Leshauriès - y.leshauries@sudouest.fr
Maxime Lucu, le demi de mêlée basque de l’Union Bordeaux-Bègles, fait son retour à Aguiléra ce samedi (14 heures) pour affronter le Biarritz Olympique, son ancien club
Vous avez été opéré d’une pubalgie cet été, ce qui vous a fait manquer la tournée en Australie avec le XV de France. Comment l’avez-vous vécu ?
Durant la saison dernière, j’avais déjà eu une alerte. À l’approche des phases finales, j’ai pu gérer la chose mais j’ai ressenti une énorme douleur en demie face à Toulouse. À la fin du match, il y a la frustration de la défaite (24-21) puis je reçois un appel pour me dire que je suis convoqué chez les Bleus. Mais je venais de parler de ma blessure au staff médical de l’UBB. Je sais qu’en équipe de France, il faut être à 100 %. J’ai appelé Fabien (Galthié) vers 0 h 30 pour lui annoncer mon forfait. J’avais poussé trop loin, je devais passer par la case opération. Le lendemain, ça a été compliqué. Mais je me suis vite remis la tête à l’endroit. J’ai pu reprendre la préparation le 16 août et je suis monté crescendo.
Le compte-à-rebours était lancé pour ne pas manquer la 1re journée à Biarritz ?
Ce n’était pas l’objectif premier, je voulais prendre le temps de bien revenir mais c’est vrai que quand j’ai vu le calendrier, je me suis dit : « Louper ça, ça serait dommage. » Aujourd’hui je suis à 100 %, même s’il me manque du temps de jeu et du rythme.
Comment appréhendez-vous ces retrouvailles avec le BO ?
Ce n’est pas simple à gérer mais je ressens beaucoup de joie de retrouver Biarritz en Top 14. Le stade sera plein, il y aura ma famille dans les tribunes. Mon frère (Ximun) ne jouera pas, il sera 24e mais je vais profiter de le croiser à l’échauffement. C’est un moment hyper privilégié dans une carrière. Il y a toujours ce lien très fort avec ce club. J’ai quand même joué pendant 8 ans au BO (2011-2019), on a bataillé en Pro D2 pour tenter de faire remonter le club, on a toujours échoué… C’est grâce à ce club que j’en suis là aujourd’hui. Il m’a lancé en Pro D2 sur ma première année, moi qui n’avais jamais fait de centre de formation. Ils m’ont fait confiance.
« Il y a toujours ce lien très fort avec ce club où j’ai joué pendant huit ans »
Lors de l’échauffement avant le barrage de l’UBB face à Clermont, on se souvient de vous le regard scotché sur l’écran géant de Chaban-Delmas pour suivre le dénouement de la finale d’accession…
De l’hôtel jusqu’aux vestiaires, je n’ai pas regardé une seule minute, c’était un vrai effort. En entrant sur le terrain et en découvrant ça sur l’écran, j’ai regardé comme si j’y étais. Le fait que le BO ait gagné, ça m’a fait du bien. Je me suis dit : « Maintenant, c’est à toi d’aller au bout ». Ce jour-là, ma mère était à Chaban, mon père à Aguiléra. Tout le monde était heureux.
Qu’est-ce qui vous a poussé à couper le cordon avec Biarritz en 2019 ?
J’avais envie de sortir du cocon familial. À Biarritz, je savais que j’étais bien vu, que j’allais jouer, que les supporters m’appréciaient. J’avais envie de me mettre en danger. Je savais que monter en Top 14 allait me faire du bien. J’arrivais dans un endroit où je devais montrer réellement ce que j’avais dans le ventre. J’avais peur de ne pas rentrer dans le cercle, d’être mis un peu à l’écart, aussi de par mes performances. Mais tout s’est très bien passé. Dans la vie de tous les jours, cela m’a aussi fait changer : un resto avec les copains, aller voir une exposition, aller voir des potes jouer à Angoulême. Alors que quand j’étais au Pays Basque, je rentrais dans la famille, je faisais toujours les mêmes choses. J’avais envie de voir si je pouvais m’épanouir seul.
En tant que joueur, qu’est-ce que ça vous a apporté ?
Je m’affirme beaucoup plus dans le groupe. À Biarritz, on se retournait toujours vers moi quand ça allait mal, en tant que capitaine, mais c’était de la Pro D2, c’était un peu plus simple de sortir du lot. À l’UBB, j’arrivais dans un club où il y avait déjà pas mal de leaders. Ici, si tu restes dans ton confort, les mecs ne vont pas te suivre et d’autres vont prendre ta place. Je me sens plus à l’aise aujourd’hui à ce niveau, je m’affirme. J’ai aussi beaucoup mis l’accent sur mon jeu au pied, sur la vitesse dans les rucks… Je me concentre davantage sur les détails car je dois bosser plus. Ici, je suis un joueur lambda. Je progresse mais il me reste encore beaucoup à travailler.
En seulement deux saisons, vous vous êtes imposé en Top 14, vous avez joué des demi-finales dans toutes les compétitions, vous avez participé à des rassemblements avec le XV de France…
Mon passage de Pro D2 en Top 14, je l’ai trouvé hyper rapide. Je pensais que j’aurais besoin de plus de temps d’adaptation. J’ai pris du plaisir à faire de bonnes prestations sur ma première saison, à vite me sentir à l’aise avec une équipe qui marchait bien. On a été coupés dans notre élan, il y a eu pas mal de frustration. Quand on a repris, on a eu un peu de mal mais on a su trouver le déclic pour repartir et vivre ce qu’on a vécu. Ça a été la même chose sur le plan personnel. J’ai en tête mon mauvais début de saison dernière, difficile mentalement car j’ai perdu un cousin très proche. Cette mauvaise passe aurait pu me coûter mais je n’ai ressorti que du positif.
Qu’avez-vous de plus basque en vous ?
Sur le terrain, Christophe (Urios) ne fait que me dire que je suis têtu comme un Basque. Sur chaque coup, chaque ballon qui traîne, je plonge dessus. Ce n’est pas forcément beau à voir mais je ne lâche jamais. Le Basque veut toujours avoir raison. Alors qu’en dehors du terrain, je ne suis pas du tout comme ça (rires).
Et qu’avez-vous désormais de plus bordelais en vous ?
J’ai peut-être pris un petit côté « bobo ». Je vais faire le marché aux Capucins, acheter mes petits légumes, boire mon café… le genre de choses que je ne faisais pas du tout à Biarritz ou à Saint-Pée, j’étais d’ailleurs le premier à m’amuser de ces gens-là.
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/biarritz-olympique/biarritz-olympique-des-supporters-demandent-des-comptes-a-la-maire-qui-leur-repond-5690593.php
Biarritz Olympique : des supporters demandent des comptes à la maire, qui leur répond
Par Pierre Mailharin - p.mailharin@sudouest.fr
Aupa BO et les Socios, « soucieux de l’avenir du club », ont adressé un courrier à Maider Arosteguy pour en savoir plus sur ses intentions
Inquiets du projet de délocalisation du Biarritz Olympique à Lille, porté par les dirigeants du club pro, les présidents des deux principales associations de supporters (1 500 adhérents en tout), Roman Gignon pour Aupa BO et Michel Lafaurie pour les Socios, ont adressé un courrier à la maire de Biarritz Maider Arosteguy. Ils souhaitent connaître ses intentions « concrètes ».
« Ce n’est pas lui qui a dicté ce courrier. On n’est pas à la solde d’Aldigé »
Si la lettre reprend l’argumentaire du président biarrot Jean-Baptiste Aldigé, parfois mot pour mot, Michel Lafaurie assure qu’ils ne sont pas téléguidés : « Ce n’est pas lui qui a dicté ce courrier. On n’est pas à la solde d’Aldigé, ni anti mairie. On est juste soucieux de l’avenir du club. » Les deux hommes sont tout de même allés rencontrer le responsable, « pour entendre sa version au sujet de la délocalisation ». Ils sont sortis de leur entretien persuadés que la balle est dans le camp de la municipalité, le leitmotiv d’Aldigé.
Un stade à rénover
« Ce qu’il dit et c’est aussi notre avis, c’est que le stade ne correspond plus aux attentes. Le club ne peut pas avoir une autonomie financière. Toutes les hospitalités ont été vendues pour cette saison et il manque 1 million d’euro. » Que le propriétaire Louis-Vincent Gave serait obligé d’éponger pour équilibrer un budget à 13 millions. Lafaurie ne veut pas entendre parler d’une réduction des dépenses : « On est déjà le plus petit budget de Top 14. Il faut avoir une équipe qui tienne la route. » Selon eux, le salut viendra d’une activation rapide par la mairie du projet Aguilera, censé générer de nouvelles recettes, faute de quoi, la seule délocalisation acceptable serait à Saint-Sébastien.
Ils écartent également l’idée d’une troisième option : un départ de l’actionnaire en laissant le club à d’autres, voire à un niveau inférieur : « Ce serait des licenciements et la mort du club. »
« Proche du million »
Déçus que « rien ne bouge à la mairie depuis la montée », ils formulent trois questions à Maider Arosteguy. Sollicitée par « Sud Ouest », celle-ci renvoie au dernier magazine municipal. La première interrogation n’y est pas abordée. Le duo voulait savoir « quels partenaires nouveaux ont été trouvés ou facilités » via la maire, tout en reconnaissant que ce n’est pas son rôle : « Mais cela se passe dans toutes mairies, assure Lafaurie. Essayez d’aller travailler à Anglet, il faut donner à l’Hormadi, aux Genêts et à l’AORC. » Les deux autres questionnements touchent à l’engagement financier exact de la Ville. « 50 000 euros net comme annoncé par M. Aldigé ? » Et « le contrat d’image liant la Ville à la SASP va-t-il baisser de 100 000 euros en 2021-2022 » ?
Sur France Bleu Pays basque ce vendredi, Arosteguy a rappelé les chiffres à ce stade, qui figurent sur les comptes rendus de conseils municipaux, avec un engagement global « proche du million d’euros par an ». Il se décompose en une subvention annuelle fixe de 350 000 euros, une subvention de « droit d’image » variable, supérieure à 600 000 euros en 2020-2021. Auxquels s’ajoutent des dépenses, en théorie à la charge du BOPB dans le cadre du bail emphytéotique, mais assumées par la mairie, entre autres les fluides (eau, gaz, etc) ou la mise à disposition de jardiniers de la Ville pour l’entretien de la pelouse. Près de 140 000 euros en 2020.
Pointant en conseil municipal début juillet « que les engagements en matière de visibilité de la Ville au stade ou sur les maillots n’ont pas été tenus », Maider Arosteguy avait annoncé que la subvention “droit d’image” serait renégociée.
Le Magazine municipal fixe un calendrier pour le volet logement du projet Aguilera, avec une « réalisation des premiers aménagements » en 2025.
Biarritz Olympique : des supporters demandent des comptes à la maire, qui leur répond
Par Pierre Mailharin - p.mailharin@sudouest.fr
Aupa BO et les Socios, « soucieux de l’avenir du club », ont adressé un courrier à Maider Arosteguy pour en savoir plus sur ses intentions
Inquiets du projet de délocalisation du Biarritz Olympique à Lille, porté par les dirigeants du club pro, les présidents des deux principales associations de supporters (1 500 adhérents en tout), Roman Gignon pour Aupa BO et Michel Lafaurie pour les Socios, ont adressé un courrier à la maire de Biarritz Maider Arosteguy. Ils souhaitent connaître ses intentions « concrètes ».
« Ce n’est pas lui qui a dicté ce courrier. On n’est pas à la solde d’Aldigé »
Si la lettre reprend l’argumentaire du président biarrot Jean-Baptiste Aldigé, parfois mot pour mot, Michel Lafaurie assure qu’ils ne sont pas téléguidés : « Ce n’est pas lui qui a dicté ce courrier. On n’est pas à la solde d’Aldigé, ni anti mairie. On est juste soucieux de l’avenir du club. » Les deux hommes sont tout de même allés rencontrer le responsable, « pour entendre sa version au sujet de la délocalisation ». Ils sont sortis de leur entretien persuadés que la balle est dans le camp de la municipalité, le leitmotiv d’Aldigé.
Un stade à rénover
« Ce qu’il dit et c’est aussi notre avis, c’est que le stade ne correspond plus aux attentes. Le club ne peut pas avoir une autonomie financière. Toutes les hospitalités ont été vendues pour cette saison et il manque 1 million d’euro. » Que le propriétaire Louis-Vincent Gave serait obligé d’éponger pour équilibrer un budget à 13 millions. Lafaurie ne veut pas entendre parler d’une réduction des dépenses : « On est déjà le plus petit budget de Top 14. Il faut avoir une équipe qui tienne la route. » Selon eux, le salut viendra d’une activation rapide par la mairie du projet Aguilera, censé générer de nouvelles recettes, faute de quoi, la seule délocalisation acceptable serait à Saint-Sébastien.
Ils écartent également l’idée d’une troisième option : un départ de l’actionnaire en laissant le club à d’autres, voire à un niveau inférieur : « Ce serait des licenciements et la mort du club. »
« Proche du million »
Déçus que « rien ne bouge à la mairie depuis la montée », ils formulent trois questions à Maider Arosteguy. Sollicitée par « Sud Ouest », celle-ci renvoie au dernier magazine municipal. La première interrogation n’y est pas abordée. Le duo voulait savoir « quels partenaires nouveaux ont été trouvés ou facilités » via la maire, tout en reconnaissant que ce n’est pas son rôle : « Mais cela se passe dans toutes mairies, assure Lafaurie. Essayez d’aller travailler à Anglet, il faut donner à l’Hormadi, aux Genêts et à l’AORC. » Les deux autres questionnements touchent à l’engagement financier exact de la Ville. « 50 000 euros net comme annoncé par M. Aldigé ? » Et « le contrat d’image liant la Ville à la SASP va-t-il baisser de 100 000 euros en 2021-2022 » ?
Sur France Bleu Pays basque ce vendredi, Arosteguy a rappelé les chiffres à ce stade, qui figurent sur les comptes rendus de conseils municipaux, avec un engagement global « proche du million d’euros par an ». Il se décompose en une subvention annuelle fixe de 350 000 euros, une subvention de « droit d’image » variable, supérieure à 600 000 euros en 2020-2021. Auxquels s’ajoutent des dépenses, en théorie à la charge du BOPB dans le cadre du bail emphytéotique, mais assumées par la mairie, entre autres les fluides (eau, gaz, etc) ou la mise à disposition de jardiniers de la Ville pour l’entretien de la pelouse. Près de 140 000 euros en 2020.
Pointant en conseil municipal début juillet « que les engagements en matière de visibilité de la Ville au stade ou sur les maillots n’ont pas été tenus », Maider Arosteguy avait annoncé que la subvention “droit d’image” serait renégociée.
Le Magazine municipal fixe un calendrier pour le volet logement du projet Aguilera, avec une « réalisation des premiers aménagements » en 2025.
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/top14/biarritz-ubb-le-club-girondin-est-prevenu-il-sait-ou-il-met-les-pieds-5684256.php
Biarritz – UBB : le club girondin est prévenu, il sait où il met les pieds
Par Y. L.
Les Girondins s’avancent à Biarritz avec prudence ce samedi (14 heures) lors de la 1re journée de Top 14. Sur le terrain du promu, dans un stade bouillant, ils devront éviter le piège qui leur est tendu d’entrée
Un nouveau départ en terrain hostile. Voilà ce à quoi l’Union Bordeaux-Bègles se prépare à l’heure de retrouver le Top 14. La demi-finale face à Toulouse (24-21), c’est désormais du passé. Tout comme le parfum des phases finales au cours desquelles le groupe girondin semble avoir pris de l’épaisseur et emmagasiné de l’expérience. Pour espérer regoûter à ces matchs couperets au printemps prochain, les hommes de Christophe Urios devront à nouveau s’avaler neuf mois de compétition, ne pas se manquer au départ, tenir bon au creux de l’hiver et ne pas flancher dans le sprint final. Dit comme ça, tout a l’air simple. Le parcours de l’an dernier leur a au moins montré la voie et les sacrifices nécessaires pour arriver à bon port.
L’heure de vérité
Après cinq semaines de préparation ponctuées de deux victoires en matchs amicaux (face à Biarritz, 28-7 et à Pau, 33-24), les choses sérieuses débutent vraiment ce samedi après-midi. Si l’UBB avait pris l’habitude de lancer sa saison à domicile ces dernières années, bien souvent face au champion en titre, elle se rend cette fois sur le terrain d’un promu en ouverture de la saison 2021-2022. Dans un stade Aguiléra annoncé chaud bouillant, sur le terrain d’un Biarritz Olympique qui n’a pas l’intention de manquer ses retrouvailles avec le Top 14, sept ans après, ça sent déjà le match piège.
« On va chez une équipe qui a envie de prouver qu’elle a sa place ici, résume le capitaine Jefferson Poirot. Quand on débute face à un champion, on se retrouve face à une équipe qui a un peu moins de préparation, qui est encore un peu sur son nuage, un peu moins prête que nous. Là, c’est le contraire : le BO s’est préparé un peu plus. Ils ont ciblé ce match depuis de nombreux mois. »
Le manager Christophe Urios tire lui aussi le signal d’alarme pour maintenir ses troupes en éveil : « On sait où on met les pieds. On va chez un promu qui a beaucoup d’arguments pour nous mettre en difficulté, on l’a vu sur le premier match de préparation (14-7 jusqu’à la 73e). C’est un événement parce qu’ils remontent en Top 14, il y a beaucoup d’engouement autour du match. Le stade sera plein. Ils ont une équipe avec beaucoup d’expérience, ils doivent nous accrocher pour bien lancer la saison. Il faut qu’on soit prêts. »
Si la prudence n’a cessé de planer sur Moga tout au long de la semaine, le manager girondin assure qu’il ne s’agit pas d’un discours de façade. « Quand je suis monté avec Oyonnax, on recevait Clermont pour le premier match à Mathon, se souvient Christophe Urios. Les Auvergnats sont arrivés sans trop nous connaître, peut-être aussi sans trop nous respecter… Ils en ont pris 40. Je l’ai vécu ça ! »
De par ses deux saisons précédentes, avec un effectif stable, l’UBB s’avance tout de même sur la Côte Basque avec des certitudes. « L’équipe a changé, elle se prépare bien, elle est concentrée, admet Urios. Mais la dimension combat, je ne sais pas, ça, c’est le match qui le montrera. » On va vite voir si les Girondins ont toujours le même caractère.
Biarritz – UBB : le club girondin est prévenu, il sait où il met les pieds
Par Y. L.
Les Girondins s’avancent à Biarritz avec prudence ce samedi (14 heures) lors de la 1re journée de Top 14. Sur le terrain du promu, dans un stade bouillant, ils devront éviter le piège qui leur est tendu d’entrée
Un nouveau départ en terrain hostile. Voilà ce à quoi l’Union Bordeaux-Bègles se prépare à l’heure de retrouver le Top 14. La demi-finale face à Toulouse (24-21), c’est désormais du passé. Tout comme le parfum des phases finales au cours desquelles le groupe girondin semble avoir pris de l’épaisseur et emmagasiné de l’expérience. Pour espérer regoûter à ces matchs couperets au printemps prochain, les hommes de Christophe Urios devront à nouveau s’avaler neuf mois de compétition, ne pas se manquer au départ, tenir bon au creux de l’hiver et ne pas flancher dans le sprint final. Dit comme ça, tout a l’air simple. Le parcours de l’an dernier leur a au moins montré la voie et les sacrifices nécessaires pour arriver à bon port.
L’heure de vérité
Après cinq semaines de préparation ponctuées de deux victoires en matchs amicaux (face à Biarritz, 28-7 et à Pau, 33-24), les choses sérieuses débutent vraiment ce samedi après-midi. Si l’UBB avait pris l’habitude de lancer sa saison à domicile ces dernières années, bien souvent face au champion en titre, elle se rend cette fois sur le terrain d’un promu en ouverture de la saison 2021-2022. Dans un stade Aguiléra annoncé chaud bouillant, sur le terrain d’un Biarritz Olympique qui n’a pas l’intention de manquer ses retrouvailles avec le Top 14, sept ans après, ça sent déjà le match piège.
« On va chez une équipe qui a envie de prouver qu’elle a sa place ici, résume le capitaine Jefferson Poirot. Quand on débute face à un champion, on se retrouve face à une équipe qui a un peu moins de préparation, qui est encore un peu sur son nuage, un peu moins prête que nous. Là, c’est le contraire : le BO s’est préparé un peu plus. Ils ont ciblé ce match depuis de nombreux mois. »
Le manager Christophe Urios tire lui aussi le signal d’alarme pour maintenir ses troupes en éveil : « On sait où on met les pieds. On va chez un promu qui a beaucoup d’arguments pour nous mettre en difficulté, on l’a vu sur le premier match de préparation (14-7 jusqu’à la 73e). C’est un événement parce qu’ils remontent en Top 14, il y a beaucoup d’engouement autour du match. Le stade sera plein. Ils ont une équipe avec beaucoup d’expérience, ils doivent nous accrocher pour bien lancer la saison. Il faut qu’on soit prêts. »
Si la prudence n’a cessé de planer sur Moga tout au long de la semaine, le manager girondin assure qu’il ne s’agit pas d’un discours de façade. « Quand je suis monté avec Oyonnax, on recevait Clermont pour le premier match à Mathon, se souvient Christophe Urios. Les Auvergnats sont arrivés sans trop nous connaître, peut-être aussi sans trop nous respecter… Ils en ont pris 40. Je l’ai vécu ça ! »
De par ses deux saisons précédentes, avec un effectif stable, l’UBB s’avance tout de même sur la Côte Basque avec des certitudes. « L’équipe a changé, elle se prépare bien, elle est concentrée, admet Urios. Mais la dimension combat, je ne sais pas, ça, c’est le match qui le montrera. » On va vite voir si les Girondins ont toujours le même caractère.
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Biarritz-Bordeaux Bègles : l'Australien Kuridrani titulaire pour le retour du BO en Top 14
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Biarritz-bordeaux-begles-l-australien-kuridrani-titulaire-pour-le-retour-du-bo-en-top-14/1282806
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Top 14 : l'UBB est "prête" pour la reprise face à Biarritz, selon Christophe Urios
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/top-14-l-ubb-est-pret-pour-la-reprise-face-a-biarritz-selon-christophe-urios-1630692174
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/top-14-l-ubb-est-pret-pour-la-reprise-face-a-biarritz-selon-christophe-urios-1630692174
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
L'heure de vérité approche.... je suis entré dans mon "vestiaire" mental pour commencer ma préparation entre impatience, motivation et appréhension.
Le premier choc des images sera déterminant
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sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Il faut jouer à notre meilleur niveau et être confiant, le public bien sur aura sa part, mais ce n'est pas lui qui est sur le terrain.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Auré33 a écrit:Belle compo compte tenu des absents, juste peur de notre axe droit de mêlée avec Tabidze rentrant en cours de match, j'espère qu'il me fera mentir ! Enfin le retour du Top 14, c'est pas trop tôt Il faut absolument dominer le début de match pour vite calmer les ardeurs biarottes.
pour moi aussi, ce n'est pas la garantie tout risque.
Il va falloir se sortir les doigts dès le début du match...
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Dr. Gregory Bouse a écrit:Auré33 a écrit:Belle compo compte tenu des absents, juste peur de notre axe droit de mêlée avec Tabidze rentrant en cours de match, j'espère qu'il me fera mentir ! Enfin le retour du Top 14, c'est pas trop tôt Il faut absolument dominer le début de match pour vite calmer les ardeurs biarottes.
pour moi aussi, ce n'est pas la garantie tout risque.
Il va falloir se sortir les doigts dès le début du match...
Tabidze ça aurait pu devenir un des meilleurs pilier droit du top 14 son problème est qu'il ne joue pas donc il stagne lui ca aurait été bénéfique de le prêter. Mais ça reste un très bon joueur qui a besoin d'enchaîner
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Allez l’UBB !!
SympathyForTheDevil- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Matthieu déjà touché
Bon ça va
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Vince33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
On a du mal dans ce début de match.....
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Big'Ben a écrit:On a du mal dans ce début de match.....
Oui mais on défend et on n'a pas pris de points pour l'instant .
Les biarrots crachent ils leur venin ?
Vince33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
On n’arrive pas à sortir de nos 22, on est completement en apnée mangé par l’envie et le combat biarrot
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Vince33 a écrit:Big'Ben a écrit:On a du mal dans ce début de match.....
Oui mais on défend et on n'a pas pris de points pour l'instant .
Les biarrots crachent ils leur venin ?
Apres c'était sur que les biarrots allaient tous donner en début de match faut laisser passer l'orage
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
On souffre, mais pour l’instant on ne se prend pas de points donc on fatigue les joueurs biarrots.
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Je suis comme Urios cette passe de merde me rend fou
Vince33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Vince33 a écrit:Je suis comme Urios cette passe de merde me rend fou
Aucun effort sur cette passe de pica. On fait pile poile ce qui ne faut pas faire on passe au sol trop rapidement. Faut que les.leader secouent tous le monde
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
On se fatigue beaucoup aussi à défendre, on a pas été dangereux une seule fois.
Touche zéro
Passes brouillonnes
Rien ne va pour l'instant
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Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Clairement enorme difference dans le combat et l’implication
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romojito33- Orga
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Et le soutien c'est le néant aussi, déjà 5 ou 6 contest en 20 minutes
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Re: Top 14 - 1ère journée : Biarritz / UBB
Et voilà essai du BO .
Va falloir mettre de l'engagement sinon ce sera la grosse défaite
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Vince33- J'aime l'Union à la folie
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