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XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
Matthis Lebel, avant le premier test des Bleus au Japon : « On souffre »
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Matthis-lebel-avant-le-premier-test-des-bleus-au-japon-on-souffre/1340980
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Re: XV de France (partie en cours)
XV de France : le Japon avance masqué
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france/xv-de-france-le-japon-avance-masque-11473798.php
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: XV de France (partie en cours)
Jalibert et Lucu, le Japon comme défouloir
https://www.rugbyrama.fr/rugby/test-match/2022/test-match-matthieu-jalibert-et-maxime-lucu-le-japon-comme-defouloir_sto9010959/story.shtml
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Re: XV de France (partie en cours)
La compo probable du XV de France, la défaite des Bleuets... les 5 infos de ce mercredi !
https://www.rugbyrama.fr/rugby/la-compo-probable-du-xv-de-france-.-des-bleuets.-les-5-infos-de-ce-mercredi_sto9011348/story.shtml
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Maxime-lucu-numero-9-du-xv-de-france-face-au-japon-je-ne-me-sentais-pas-legitime/1341113
Maxime Lucu, numéro 9 du XV de France face au Japon : «Je ne me sentais pas légitime»
Le demi de mêlée, trop timide à son arrivée en équipe de France, va vivre sa première sélection avec le numéro 9 dans le dos, samedi, face au Japon. L'apothéose d'un parcours atypique.
Renaud Bourel et Clément Dossin
Tokyo - Situé au 28e étage, le bar du Conrad Hotel offre une vue époustouflante sur le jardin Hama-Rikyu et la baie de Tokyo. Maxime Lucu, qui fêtera sa première titularisation en bleu face au Japon samedi (8 h en France) au Toyota Stadium d'Aichi, prend place dans un confortable fauteuil en cuir. Le gamin de Saint-Pée-sur-Nivelle (29 ans), qui ne se prédestinait pas au plus haut niveau, est revenu pendant trente minutes sur son éclosion sur le tard, son rôle de doublure d'Antoine Dupont en équipe de France qu'il embrasse avec plaisir et sa relation avec Matthieu Jalibert.
Sa carrière
« Putain, j'ai loupé le coche »
« Vous n'avez pas débarqué en équipe de France comme certains à 20 ans. Quel regard portez-vous sur votre trajectoire ?
Je n'ai pas un parcours écrit d'avance. Je n'ai pas fait de pôle Espoirs, je n'ai pas fait d'équipe (de France) jeunes. J'ai eu la chance dans la malchance du club de Biarritz d'avoir du temps de jeu tôt en Pro D2 (en 2014). Ça m'a permis de prendre énormément d'expérience en jouant 30 matches en moyenne par saison et d'avoir ensuite des opportunités de jouer en Top 14. La trajectoire n'est pas commune mais je ne suis pas une exception en équipe de France : on a vu des Melvyn Jaminet, Anthony Bouthier sortir comme ça... Ça permet de se construire différemment et ça rend les choses encore plus belles quand on y arrive.
Comment structure-t-on son ambition quand on se construit de façon un peu plus "artisanale" ?
L'humilité, dans mon parcours, est le maître mot. Mon ambition, quand je suis arrivé en Top 14 (en 2019 à Bordeaux-Bègles), était d'abord de performer à ce niveau-là, d'inscrire mon nom dans ce Championnat. Puis quand je suis arrivé en équipe de France (appelé la première fois en janvier 2020), j'ai eu beaucoup de mal au début parce que je ne me sentais pas forcément légitime au milieu de tous ces mecs. Après, c'est une construction mentale qui permet de se dire que si on est là, si on est appelé, c'est qu'on a une contribution à apporter. Il ne faut pas arriver en étant timide parce que le train ne passe pas forcément deux fois.
Avez-vous souffert du syndrome de l'imposteur en équipe de France au début ?
Quand tu y arrives alors que six mois avant, tu étais en Pro D2, à disputer des saisons compliquées avec Biarritz, tu te dis : "Ce n'est peut-être pas ma place, je n'ai pas le niveau." Tu te poses énormément de questions alors qu'il faut profiter du moment et s'en servir pour apprendre. À chaque fois que j'y allais, je donnais tout même si, au début, j'ai souvent fait partie des mecs qui rentraient (en club en milieu de semaine). C'est la tête qui prend le dessus si on a envie d'y revenir... Moi, j'avais pour rêve de porter ce maillot et j'ai tout fait pour y arriver.
Était-ce un rêve de gosse ?
Non, pas du tout. Je n'avais pas l'espérance d'être rugbyman professionnel quand j'étais gamin, je n'avais pas ça en moi. Je me disais : "Ça arrive aux autres, je leur laisse." Au Pays basque, on n'est pas forcément éduqués pour être professionnel de rugby, il y a tellement de choses à faire, d'autres sports à découvrir. C'est seulement quand Biarritz m'a appelé et que j'ai vu mon frère devenir professionnel (Ximun Lucu, 32 ans, arrière du BO) que je me suis dit : "Max, maintenant, il faut tout donner pour essayer de devenir professionnel." J'y suis parvenu. Puis je suis arrivé en Top 14 et j'ai eu cette première convocation en équipe de France. Mais quand je voyais la concurrence au poste de demi de mêlée, jamais je ne me suis dit que je pourrais être appelé en bleu. J'ai été trop timide quand je suis arrivé.
Trop timide sur le terrain ou en dehors ?
Les deux. Quand je suis arrivé à Nice il y a deux ans (stage de préparation au Tournoi 2020), j'ai subi les choses. Je regardais les mecs alors que j'avais 27 ans, il fallait juste que je montre mon rugby. J'ai essayé de mettre ça en oeuvre l'année d'après quand j'ai été rappelé parce que j'avais été déçu de ne pas avoir profité du moment. Je m'étais mis un petit frein par rapport à mon passé de joueur de Pro D2.
Vous avez eu un déclic ?
Ouais, quand je suis rentré chez moi en club. Je me suis dit : "Putain, j'ai loupé le coche !" Je suis rentré avec les 14 (chaque semaine, le staff des Bleus libère 14 joueurs, ndlr), le wagon est passé et après je n'ai pas été rappelé. J'étais déçu et, pendant le confinement, j'ai réalisé qu'il fallait tout mettre en oeuvre pour y revenir et montrer mon vrai visage.
Deux ans plus tard, au Japon, il n'y a plus de problème de légitimité ?
Non. Lors de la tournée d'automne, je me suis dit : "Il faut aller là-bas et montrer un autre Max. Tu joues, c'est bien, tu ne joues pas, donne au moins le maximum. Donne une vraie idée (de ce que tu vaux) au staff." J'ai pris la chose comme ça et j'ai réussi à disputer ces premiers matches. »
Son style de jeu
« Ce rôle de gestionnaire me va »
« On vous qualifie de demi de mêlée gestionnaire par opposition à Antoine Dupont. Ce n'est pas péjoratif dans votre esprit ?
Ah non, c'est le bon mot ! C'est mon jeu. Je ne suis pas quelqu'un qui traverse le terrain, qui met quinze essais par saison. Je crois que je n'en ai même pas mis un cette année (rire). J'ai un profil différent des autres. J'ai appris le rugby comme ça. J'essaie de progresser, d'apporter des choses à mon jeu mais je n'ai pas ça en moi. Le rôle de gestionnaire me va mieux que celui de puncheur ou de dynamiteur.
Est-ce que ce n'est pas ce profil-là, justement, qui vous rend indispensable aux yeux du staff ?
Je suppose que ça amène quelque chose de complémentaire à l'équipe par rapport aux qualités d'Antoine ou des autres joueurs, parce qu'il y a beaucoup de profils de puncheurs. J'apporte ce qu'on me demande, notamment en fin de match sur des rentrées un peu chaudes comme celles contre l'Irlande (30-24, le 12 février) ou le pays de Galles (13-9, le 11 mars). Ce sont des choses que j'ai toujours aimé faire et j'étais complètement d'accord avec ce que me proposait le staff.
Ces fins de match à forte tension, ce sont des moments que vous aimez vivre ?
Je m'entraîne pour ça, on nous fait pas mal travailler sur ces scénarios-là aussi. J'y prends beaucoup de plaisir. Ce sont des situations difficiles à vivre dans le sens où tes potes ont fait tout le boulot pendant 60 - 70 minutes et la moindre erreur peut coûter cher. J'ai l'image du pays de Galles avec ce coup de pied un peu raté quand je rentre. Si Rees-Zammit (ailier gallois) fait un crochet intérieur sur François Cros, il y a essai 80 mètres derrière. Et c'est finalement "Jo" Danty qui gratte le ballon. Le Grand Chelem s'est joué à un détail. Mentalement, quand tu es remplaçant, ce sont des choses que tu n'as pas forcément en tête. Tu te dis plutôt : "Putain, je suis deg', j'ai envie de jouer." Or, c'est hyper important quand on te donne l'opportunité de rentrer et d'être immédiatement au niveau, parce que tu peux coûter cher à l'équipe et ç'a failli être le cas. J'ai revu ce coup de pied un nombre incalculable de fois et ça m'a permis de me dire contre l'Angleterre (25-13, le 19 mars), derrière, que si je rentrais, je ne devais pas commettre la même erreur.
Y a-t-il des joueurs qui vous ont influencé ?
Forcément, à Biarritz, il y a Dimitri Yachvili qui était dans ce registre-là, buteur, gestionnaire, défenseur. Sinon, quand j'ai commencé à regarder le rugby à la télé, j'adorais l'Australien George Gregan, sa faculté à être au service de l'équipe. On peut gagner le terrain en perçant, en faisant des différences individuelles, mais on peut aussi le faire en occupant (au pied), en jouant différemment, en ayant un sens tactique pour faire déjouer l'équipe en face. Je prends beaucoup de plaisir là-dedans.
Comme Thibaud Flament, vous comptez sept sélections et aucune défaite. C'est assez dingue dans l'histoire récente du quinze de France. Êtes-vous une sorte de porte-bonheur ?
(Il se marre.) J'aimerais que ce soit ça... La dernière tournée de novembre et le Grand Chelem favorisent cette série. J'ai eu de la chance, je suis tombé dans une bonne période. Si on peut porter bonheur le plus longtemps possible, ce sera formidable. »
Sa relation avec Matthieu Jalibert
« Parfois, on se prend le chou, c'est électrique »
Vous formez avec Matthieu Jalibert une charnière pleine de contrastes en termes de tempérament et de jeu. Décrivez-nous votre relation au quotidien.
On se chamaille pas mal (rire). On évolue en club ensemble donc on a cette proximité. C'est un super mec, on s'entend trop bien. Quand je suis arrivé à Bordeaux, c'est un des mecs qui m'a accueilli et intégré. C'est un jeune talentueux (23 ans), mais qui est jeune encore dans sa tête. Même s'il est formaté pour le haut niveau, il faut le recadrer un peu (il sourit). Il m'énerve plein de fois, mais c'est une amitié très forte qui nous lie, pas tout le temps rose, mais sincère. Je m'engueule tout le temps à Bordeaux avec lui parce qu'il y a des ballons de transition qu'il a envie de jouer, c'est un joueur d'instinct, mais dans le rugby d'aujourd'hui et au très haut niveau, les mecs le connaissent et il faut le tempérer. Donc parfois, on se prend le chou, c'est électrique, notamment aux entraînements. On se branche beaucoup, même en chambre qu'on partage ici en tournée. C'est aussi le sel d'une relation. Et puis c'est quelqu'un d'hyper intelligent, donc même si tu lui fais des critiques, ça le fera chier sur le moment, mais il les accepte. Mais je lui dis : "Je ne te lâcherai pas parce que tu en as besoin." Et lui ne se gêne pas dans l'autre sens.
Vous vous êtes trouvés...
Oui, je crois. C'est une relation que doivent avoir un 9 et un 10. Si vous avez deux muets, vous n'y arriverez jamais, même avec deux purs talents. On a besoin de complicité, de vivre des choses, de connaître le mec avec qui tu joues. Matthieu n'est pas un mec qui va poser le jeu, il va mettre de la dynamite partout, et quand tu es 9, il faut s'adapter à lui. Si tu as un demi de mêlée qui ne lui file pas un ballon, déjà il va se frustrer. C'est un mec qui doit toucher 15 à 20 ballons pour mettre l'équipe dans l'avancée sinon il s'efface et ne prend pas de plaisir. Or, si Matthieu ne prend pas de plaisir, l'équipe joue mal. »
Maxime Lucu, numéro 9 du XV de France face au Japon : «Je ne me sentais pas légitime»
Le demi de mêlée, trop timide à son arrivée en équipe de France, va vivre sa première sélection avec le numéro 9 dans le dos, samedi, face au Japon. L'apothéose d'un parcours atypique.
Renaud Bourel et Clément Dossin
Tokyo - Situé au 28e étage, le bar du Conrad Hotel offre une vue époustouflante sur le jardin Hama-Rikyu et la baie de Tokyo. Maxime Lucu, qui fêtera sa première titularisation en bleu face au Japon samedi (8 h en France) au Toyota Stadium d'Aichi, prend place dans un confortable fauteuil en cuir. Le gamin de Saint-Pée-sur-Nivelle (29 ans), qui ne se prédestinait pas au plus haut niveau, est revenu pendant trente minutes sur son éclosion sur le tard, son rôle de doublure d'Antoine Dupont en équipe de France qu'il embrasse avec plaisir et sa relation avec Matthieu Jalibert.
Sa carrière
« Putain, j'ai loupé le coche »
« Vous n'avez pas débarqué en équipe de France comme certains à 20 ans. Quel regard portez-vous sur votre trajectoire ?
Je n'ai pas un parcours écrit d'avance. Je n'ai pas fait de pôle Espoirs, je n'ai pas fait d'équipe (de France) jeunes. J'ai eu la chance dans la malchance du club de Biarritz d'avoir du temps de jeu tôt en Pro D2 (en 2014). Ça m'a permis de prendre énormément d'expérience en jouant 30 matches en moyenne par saison et d'avoir ensuite des opportunités de jouer en Top 14. La trajectoire n'est pas commune mais je ne suis pas une exception en équipe de France : on a vu des Melvyn Jaminet, Anthony Bouthier sortir comme ça... Ça permet de se construire différemment et ça rend les choses encore plus belles quand on y arrive.
Comment structure-t-on son ambition quand on se construit de façon un peu plus "artisanale" ?
L'humilité, dans mon parcours, est le maître mot. Mon ambition, quand je suis arrivé en Top 14 (en 2019 à Bordeaux-Bègles), était d'abord de performer à ce niveau-là, d'inscrire mon nom dans ce Championnat. Puis quand je suis arrivé en équipe de France (appelé la première fois en janvier 2020), j'ai eu beaucoup de mal au début parce que je ne me sentais pas forcément légitime au milieu de tous ces mecs. Après, c'est une construction mentale qui permet de se dire que si on est là, si on est appelé, c'est qu'on a une contribution à apporter. Il ne faut pas arriver en étant timide parce que le train ne passe pas forcément deux fois.
Avez-vous souffert du syndrome de l'imposteur en équipe de France au début ?
Quand tu y arrives alors que six mois avant, tu étais en Pro D2, à disputer des saisons compliquées avec Biarritz, tu te dis : "Ce n'est peut-être pas ma place, je n'ai pas le niveau." Tu te poses énormément de questions alors qu'il faut profiter du moment et s'en servir pour apprendre. À chaque fois que j'y allais, je donnais tout même si, au début, j'ai souvent fait partie des mecs qui rentraient (en club en milieu de semaine). C'est la tête qui prend le dessus si on a envie d'y revenir... Moi, j'avais pour rêve de porter ce maillot et j'ai tout fait pour y arriver.
Était-ce un rêve de gosse ?
Non, pas du tout. Je n'avais pas l'espérance d'être rugbyman professionnel quand j'étais gamin, je n'avais pas ça en moi. Je me disais : "Ça arrive aux autres, je leur laisse." Au Pays basque, on n'est pas forcément éduqués pour être professionnel de rugby, il y a tellement de choses à faire, d'autres sports à découvrir. C'est seulement quand Biarritz m'a appelé et que j'ai vu mon frère devenir professionnel (Ximun Lucu, 32 ans, arrière du BO) que je me suis dit : "Max, maintenant, il faut tout donner pour essayer de devenir professionnel." J'y suis parvenu. Puis je suis arrivé en Top 14 et j'ai eu cette première convocation en équipe de France. Mais quand je voyais la concurrence au poste de demi de mêlée, jamais je ne me suis dit que je pourrais être appelé en bleu. J'ai été trop timide quand je suis arrivé.
Trop timide sur le terrain ou en dehors ?
Les deux. Quand je suis arrivé à Nice il y a deux ans (stage de préparation au Tournoi 2020), j'ai subi les choses. Je regardais les mecs alors que j'avais 27 ans, il fallait juste que je montre mon rugby. J'ai essayé de mettre ça en oeuvre l'année d'après quand j'ai été rappelé parce que j'avais été déçu de ne pas avoir profité du moment. Je m'étais mis un petit frein par rapport à mon passé de joueur de Pro D2.
Vous avez eu un déclic ?
Ouais, quand je suis rentré chez moi en club. Je me suis dit : "Putain, j'ai loupé le coche !" Je suis rentré avec les 14 (chaque semaine, le staff des Bleus libère 14 joueurs, ndlr), le wagon est passé et après je n'ai pas été rappelé. J'étais déçu et, pendant le confinement, j'ai réalisé qu'il fallait tout mettre en oeuvre pour y revenir et montrer mon vrai visage.
Deux ans plus tard, au Japon, il n'y a plus de problème de légitimité ?
Non. Lors de la tournée d'automne, je me suis dit : "Il faut aller là-bas et montrer un autre Max. Tu joues, c'est bien, tu ne joues pas, donne au moins le maximum. Donne une vraie idée (de ce que tu vaux) au staff." J'ai pris la chose comme ça et j'ai réussi à disputer ces premiers matches. »
Son style de jeu
« Ce rôle de gestionnaire me va »
« On vous qualifie de demi de mêlée gestionnaire par opposition à Antoine Dupont. Ce n'est pas péjoratif dans votre esprit ?
Ah non, c'est le bon mot ! C'est mon jeu. Je ne suis pas quelqu'un qui traverse le terrain, qui met quinze essais par saison. Je crois que je n'en ai même pas mis un cette année (rire). J'ai un profil différent des autres. J'ai appris le rugby comme ça. J'essaie de progresser, d'apporter des choses à mon jeu mais je n'ai pas ça en moi. Le rôle de gestionnaire me va mieux que celui de puncheur ou de dynamiteur.
Est-ce que ce n'est pas ce profil-là, justement, qui vous rend indispensable aux yeux du staff ?
Je suppose que ça amène quelque chose de complémentaire à l'équipe par rapport aux qualités d'Antoine ou des autres joueurs, parce qu'il y a beaucoup de profils de puncheurs. J'apporte ce qu'on me demande, notamment en fin de match sur des rentrées un peu chaudes comme celles contre l'Irlande (30-24, le 12 février) ou le pays de Galles (13-9, le 11 mars). Ce sont des choses que j'ai toujours aimé faire et j'étais complètement d'accord avec ce que me proposait le staff.
Ces fins de match à forte tension, ce sont des moments que vous aimez vivre ?
Je m'entraîne pour ça, on nous fait pas mal travailler sur ces scénarios-là aussi. J'y prends beaucoup de plaisir. Ce sont des situations difficiles à vivre dans le sens où tes potes ont fait tout le boulot pendant 60 - 70 minutes et la moindre erreur peut coûter cher. J'ai l'image du pays de Galles avec ce coup de pied un peu raté quand je rentre. Si Rees-Zammit (ailier gallois) fait un crochet intérieur sur François Cros, il y a essai 80 mètres derrière. Et c'est finalement "Jo" Danty qui gratte le ballon. Le Grand Chelem s'est joué à un détail. Mentalement, quand tu es remplaçant, ce sont des choses que tu n'as pas forcément en tête. Tu te dis plutôt : "Putain, je suis deg', j'ai envie de jouer." Or, c'est hyper important quand on te donne l'opportunité de rentrer et d'être immédiatement au niveau, parce que tu peux coûter cher à l'équipe et ç'a failli être le cas. J'ai revu ce coup de pied un nombre incalculable de fois et ça m'a permis de me dire contre l'Angleterre (25-13, le 19 mars), derrière, que si je rentrais, je ne devais pas commettre la même erreur.
Y a-t-il des joueurs qui vous ont influencé ?
Forcément, à Biarritz, il y a Dimitri Yachvili qui était dans ce registre-là, buteur, gestionnaire, défenseur. Sinon, quand j'ai commencé à regarder le rugby à la télé, j'adorais l'Australien George Gregan, sa faculté à être au service de l'équipe. On peut gagner le terrain en perçant, en faisant des différences individuelles, mais on peut aussi le faire en occupant (au pied), en jouant différemment, en ayant un sens tactique pour faire déjouer l'équipe en face. Je prends beaucoup de plaisir là-dedans.
Comme Thibaud Flament, vous comptez sept sélections et aucune défaite. C'est assez dingue dans l'histoire récente du quinze de France. Êtes-vous une sorte de porte-bonheur ?
(Il se marre.) J'aimerais que ce soit ça... La dernière tournée de novembre et le Grand Chelem favorisent cette série. J'ai eu de la chance, je suis tombé dans une bonne période. Si on peut porter bonheur le plus longtemps possible, ce sera formidable. »
Sa relation avec Matthieu Jalibert
« Parfois, on se prend le chou, c'est électrique »
Vous formez avec Matthieu Jalibert une charnière pleine de contrastes en termes de tempérament et de jeu. Décrivez-nous votre relation au quotidien.
On se chamaille pas mal (rire). On évolue en club ensemble donc on a cette proximité. C'est un super mec, on s'entend trop bien. Quand je suis arrivé à Bordeaux, c'est un des mecs qui m'a accueilli et intégré. C'est un jeune talentueux (23 ans), mais qui est jeune encore dans sa tête. Même s'il est formaté pour le haut niveau, il faut le recadrer un peu (il sourit). Il m'énerve plein de fois, mais c'est une amitié très forte qui nous lie, pas tout le temps rose, mais sincère. Je m'engueule tout le temps à Bordeaux avec lui parce qu'il y a des ballons de transition qu'il a envie de jouer, c'est un joueur d'instinct, mais dans le rugby d'aujourd'hui et au très haut niveau, les mecs le connaissent et il faut le tempérer. Donc parfois, on se prend le chou, c'est électrique, notamment aux entraînements. On se branche beaucoup, même en chambre qu'on partage ici en tournée. C'est aussi le sel d'une relation. Et puis c'est quelqu'un d'hyper intelligent, donc même si tu lui fais des critiques, ça le fera chier sur le moment, mais il les accepte. Mais je lui dis : "Je ne te lâcherai pas parce que tu en as besoin." Et lui ne se gêne pas dans l'autre sens.
Vous vous êtes trouvés...
Oui, je crois. C'est une relation que doivent avoir un 9 et un 10. Si vous avez deux muets, vous n'y arriverez jamais, même avec deux purs talents. On a besoin de complicité, de vivre des choses, de connaître le mec avec qui tu joues. Matthieu n'est pas un mec qui va poser le jeu, il va mettre de la dynamite partout, et quand tu es 9, il faut s'adapter à lui. Si tu as un demi de mêlée qui ne lui file pas un ballon, déjà il va se frustrer. C'est un mec qui doit toucher 15 à 20 ballons pour mettre l'équipe dans l'avancée sinon il s'efface et ne prend pas de plaisir. Or, si Matthieu ne prend pas de plaisir, l'équipe joue mal. »
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Re: XV de France (partie en cours)
RUGBY. 3 cadres positifs au Covid-19, le Japon décimé au moment de recevoir la France
https://www.lerugbynistere.fr/news/rugby-3-cadres-positifs-au-covid-19-le-japon-decime-au-moment-de-recevoir-la-france-300622954.php
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Re: XV de France (partie en cours)
XV de France : quatre joueurs de l'UBB titulaires contre le Japon, première pour Jolmes
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/ubb-premiere-pour-jolmes-une-charniere-lucu-jalibert-avec-le-xv-de-france-contre-le-japon-1656577252
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Re: XV de France (partie en cours)
Tres decu pour Buros et l'EDF qui merite bien mieux que Jaminet
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
grospaquet31 a écrit:Tres decu pour Buros et l'EDF qui merite bien mieux que Jaminet
Buros est là-bas pour faire le nombre, je pense qu'il ne fera pas le 2eme match.
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Re: XV de France (partie en cours)
Big'Ben a écrit:grospaquet31 a écrit:Tres decu pour Buros et l'EDF qui merite bien mieux que Jaminet
Buros est là-bas pour faire le nombre, je pense qu'il ne fera pas le 2eme match.
Je pense qu'il a une chance au contraire, ç'aurait du sens, on verra bien
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Re: XV de France (partie en cours)
Falatea et Moefana : un oncle et un neveu ensemble en équipe de France
https://www.rugbyrama.fr/rugby/xv-de-france/2021/xv-de-france-falatea-et-moefana-un-oncle-et-un-neveu-ensemble-chez-les-bleus_sto9012356/story.shtml
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Re: XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
Les chiffres de la composition des Bleus pour le premier test face au Japon
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Les-chiffres-de-la-composition-des-bleus-pour-le-premier-test-face-au-japon/1341204
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Les-chiffres-de-la-composition-des-bleus-pour-le-premier-test-face-au-japon/1341204
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Re: XV de France (partie en cours)
XV de France. Combien de pauses fraîcheur ? La grande inconnue avant Japon-France
https://actu.fr/sports/rugby/pro/xv-de-france-combien-de-pauses-fraicheur-la-grande-inconnue-avant-japon-france_52147128.html
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Re: XV de France (partie en cours)
France. ''Il a payé les conséquences d’une série de 40 matchs'' : Fabien Galthié revient sur la période sombre de Matthieu Jalibert
https://www.lerugbynistere.fr/news/france-il-a-paye-les-consequences-dune-serie-de-40-matchs-fabien-galthie-revient-sur-la-periode-sombre-de-matthieu-jalibert-3006221644.php
Le choix de l'icono du Rugbynistère me ferait presque pleurer
https://www.lerugbynistere.fr/news/france-il-a-paye-les-consequences-dune-serie-de-40-matchs-fabien-galthie-revient-sur-la-periode-sombre-de-matthieu-jalibert-3006221644.php
Le choix de l'icono du Rugbynistère me ferait presque pleurer
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Re: XV de France (partie en cours)
France - Japon 2017 : épilogue d'une tournée manquée
https://www.rugbyrama.fr/rugby/test-match/2018/test-match-france-japon-2017-epilogue-d-une-tournee-manquee_sto9010829/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/test-match/2018/test-match-france-japon-2017-epilogue-d-une-tournee-manquee_sto9010829/story.shtml
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Re: XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
VIDÉO - XV de FRANCE - Harinordoquy : "Pour Ollivon, Jalibert et Lucu, ça peut être une tournée casse-gueule au Japon"
https://video.rugbyrama.fr/rugby/xv-de-france/2018-2019/xv-de-france-harinordoquy-pour-ollivon-jalibert-et-lucu-ca-peut-etre-une-tournee-casse-gueule-au-japon_vid1704309/video.shtml
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Re: XV de France (partie en cours)
Fabien Galthié : « On a fait des choix forts »
https://www.ffr.fr/actualites/xv-de-france/fabien-galthie-on-a-fait-des-choix-forts
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/06/28/les-fortes-chaleurs-et-des-contraintes-de-production-poussent-le-japon-a-economiser-son-electricite_6132301_3234.html
Les fortes chaleurs et des contraintes de production poussent le Japon à économiser son électricité
Pour éviter les risques de coupure, le gouvernement du premier ministre, Fumio Kishida, a prolongé, mardi 28 juin, l’alerte à la pénurie de courant.
Par Philippe Mesmer(Tokyo, correspondance)
Escaliers mécaniques à l’arrêt dans les grands magasins, la tour Tokyo Skytree dans le noir ou des personnels appelés à limiter les heures supplémentaires. Les gestes se multiplient à Tokyo et dans le nord-est du Japon pour réduire la consommation d’électricité et éviter des coupures en cette période de chaleur exceptionnelle et d’approvisionnement contraint. Soucieux d’éviter tout mécontentement à l’approche des élections sénatoriales du 10 juillet, le gouvernement du premier ministre, Fumio Kishida, a prolongé, mardi 28 juin, l’alerte à la pénurie de courant.
Une telle alerte est émise lorsque la réserve de sécurité des compagnies d’électricité passe sous les 5 %, voire menace de tomber sous les 3 %. Sous cette limite, le risque de coupure devient particulièrement élevé. Lundi 27 juin, la réserve a chuté à 3,7 %, en fin d’après-midi. « La demande reste supérieure aux prévisions, dans un contexte de chaleur anormalement intense », a expliqué le ministère de l’économie, du commerce et de l’industrie (METI). « Nous demandons à la population de réduire sa consommation d’énergie, surtout en début de soirée, lorsque la réserve diminue », a insisté le porte-parole du gouvernement, Yoshihiko Isozaki. Si la température augmente de 1 °C, a calculé la compagnie d’électricité de Tokyo (Tepco), la demande d’électricité croît de 1,5 gigawatt.
Pour répondre à la demande, Tepco a sollicité d’autres compagnies régionales. Le producteur JERA – coentreprise créée par Tepco et la compagnie d’électricité du Chubu pour la production d’origine thermique – a avancé de deux jours le redémarrage, prévu le 1er juillet, de sa centrale au gaz du département de Chiba, à l’est de Tokyo.
Arrêt prolongé du parc nucléaire
L’approvisionnement pâtit des difficultés d’un réseau en pleine transformation pour réaliser l’objectif de neutralité carbone à l’horizon 2050. La libéralisation, en 2016, du marché de l’électricité a exacerbé la concurrence entre opérateurs pour offrir les tarifs les plus avantageux. Les compagnies ont fermé plusieurs centrales thermiques jugées peu rentables. Le développement des énergies renouvelables progresse, mais reste soumis aux aléas de la météo.
A cela s’ajoute l’arrêt prolongé du parc nucléaire, depuis la catastrophe de Fukushima, en 2011. Quelque 54 réacteurs fournissaient jusque-là 30 % de l’électricité du Japon. Les normes sévères de sécurité et les oppositions locales empêchent la relance de nombre d’entre eux : seuls dix sont aujourd’hui en activité. Résultat : le Japon a perdu près d’un quart de ses capacités de production d’électricité et reste très dépendant des énergies fossiles, le gaz ou le pétrole, dont les prix augmentent en raison de la guerre en Ukraine.
Le tremblement de terre du 16 mars, dans le Nord-Est, a par ailleurs provoqué d’importants dégâts dans les centrales thermiques exploitées par la Tepco et la compagnie d’électricité du Tohoku, qui ont perdu une capacité totale de 3,4 gigawatts. Toutes les installations n’ont pas été réparées.
Un été plus chaud que la normale
Ces difficultés se conjuguent à une période de chaleur anormalement élevée. Plusieurs records de température ont été battus en juin. Isesaki, à 85 kilomètres au nord-ouest de Tokyo, a enregistré 40,2 °C, le 25 juin. Le même jour, dans la capitale, le thermomètre atteignait 35,4 °C. Tokyo n’avait jamais connu plus de 35 °C en juin.
La période des pluies de mousson s’est terminée le 27 juin, avec vingt-deux jours d’avance par rapport à la moyenne. Dans ses dernières prévisions sur trois mois, dévoilées le 15 juin, l’Agence japonaise de météorologie (JMA) attend un été plus chaud que la normale dans le nord, l’est et l’ouest du Japon, en raison du changement climatique et du phénomène La Niña.
Dans ce contexte, et à l’approche des élections, pour lequel il part largement favori, le gouvernement agit avec prudence pour ne pas mécontenter une population déjà agacée par la hausse de 18,6 % des prix de l’électricité, en mai, et sur un an. Il veut éviter les coupures, mais aussi les coups de chaleur, qui ont fait deux morts le 26 juin. D’où l’appel du ministère de l’économie, du commerce et de l’industrie (METI) à « utiliser les climatiseurs de manière raisonnable, tout en s’abstenant d’utiliser l’éclairage sans raison ».
Les fortes chaleurs et des contraintes de production poussent le Japon à économiser son électricité
Pour éviter les risques de coupure, le gouvernement du premier ministre, Fumio Kishida, a prolongé, mardi 28 juin, l’alerte à la pénurie de courant.
Par Philippe Mesmer(Tokyo, correspondance)
Escaliers mécaniques à l’arrêt dans les grands magasins, la tour Tokyo Skytree dans le noir ou des personnels appelés à limiter les heures supplémentaires. Les gestes se multiplient à Tokyo et dans le nord-est du Japon pour réduire la consommation d’électricité et éviter des coupures en cette période de chaleur exceptionnelle et d’approvisionnement contraint. Soucieux d’éviter tout mécontentement à l’approche des élections sénatoriales du 10 juillet, le gouvernement du premier ministre, Fumio Kishida, a prolongé, mardi 28 juin, l’alerte à la pénurie de courant.
Une telle alerte est émise lorsque la réserve de sécurité des compagnies d’électricité passe sous les 5 %, voire menace de tomber sous les 3 %. Sous cette limite, le risque de coupure devient particulièrement élevé. Lundi 27 juin, la réserve a chuté à 3,7 %, en fin d’après-midi. « La demande reste supérieure aux prévisions, dans un contexte de chaleur anormalement intense », a expliqué le ministère de l’économie, du commerce et de l’industrie (METI). « Nous demandons à la population de réduire sa consommation d’énergie, surtout en début de soirée, lorsque la réserve diminue », a insisté le porte-parole du gouvernement, Yoshihiko Isozaki. Si la température augmente de 1 °C, a calculé la compagnie d’électricité de Tokyo (Tepco), la demande d’électricité croît de 1,5 gigawatt.
Pour répondre à la demande, Tepco a sollicité d’autres compagnies régionales. Le producteur JERA – coentreprise créée par Tepco et la compagnie d’électricité du Chubu pour la production d’origine thermique – a avancé de deux jours le redémarrage, prévu le 1er juillet, de sa centrale au gaz du département de Chiba, à l’est de Tokyo.
Arrêt prolongé du parc nucléaire
L’approvisionnement pâtit des difficultés d’un réseau en pleine transformation pour réaliser l’objectif de neutralité carbone à l’horizon 2050. La libéralisation, en 2016, du marché de l’électricité a exacerbé la concurrence entre opérateurs pour offrir les tarifs les plus avantageux. Les compagnies ont fermé plusieurs centrales thermiques jugées peu rentables. Le développement des énergies renouvelables progresse, mais reste soumis aux aléas de la météo.
A cela s’ajoute l’arrêt prolongé du parc nucléaire, depuis la catastrophe de Fukushima, en 2011. Quelque 54 réacteurs fournissaient jusque-là 30 % de l’électricité du Japon. Les normes sévères de sécurité et les oppositions locales empêchent la relance de nombre d’entre eux : seuls dix sont aujourd’hui en activité. Résultat : le Japon a perdu près d’un quart de ses capacités de production d’électricité et reste très dépendant des énergies fossiles, le gaz ou le pétrole, dont les prix augmentent en raison de la guerre en Ukraine.
Le tremblement de terre du 16 mars, dans le Nord-Est, a par ailleurs provoqué d’importants dégâts dans les centrales thermiques exploitées par la Tepco et la compagnie d’électricité du Tohoku, qui ont perdu une capacité totale de 3,4 gigawatts. Toutes les installations n’ont pas été réparées.
Un été plus chaud que la normale
Ces difficultés se conjuguent à une période de chaleur anormalement élevée. Plusieurs records de température ont été battus en juin. Isesaki, à 85 kilomètres au nord-ouest de Tokyo, a enregistré 40,2 °C, le 25 juin. Le même jour, dans la capitale, le thermomètre atteignait 35,4 °C. Tokyo n’avait jamais connu plus de 35 °C en juin.
La période des pluies de mousson s’est terminée le 27 juin, avec vingt-deux jours d’avance par rapport à la moyenne. Dans ses dernières prévisions sur trois mois, dévoilées le 15 juin, l’Agence japonaise de météorologie (JMA) attend un été plus chaud que la normale dans le nord, l’est et l’ouest du Japon, en raison du changement climatique et du phénomène La Niña.
Dans ce contexte, et à l’approche des élections, pour lequel il part largement favori, le gouvernement agit avec prudence pour ne pas mécontenter une population déjà agacée par la hausse de 18,6 % des prix de l’électricité, en mai, et sur un an. Il veut éviter les coupures, mais aussi les coups de chaleur, qui ont fait deux morts le 26 juin. D’où l’appel du ministère de l’économie, du commerce et de l’industrie (METI) à « utiliser les climatiseurs de manière raisonnable, tout en s’abstenant d’utiliser l’éclairage sans raison ».
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.courrierinternational.com/article/climat-une-vague-de-chaleur-inedite-frappe-le-japon
Climat. Une vague de chaleur inédite frappe le Japon
Depuis le week-end dernier, l’archipel suffoque sous des températures anormalement élevées pour le mois de juin en raison du phénomène météorologique La Niña.
32, 35, 36, 35, 35, 35… À Tokyo, la température maximum ne descend plus la barre des 35 °C depuis le 25 juin. Chose exceptionnelle pour le mois de juin, où les températures dépassent rarement les 30 °C, la vague de chaleur s’abat en ce moment presque sur l’ensemble de l’archipel, faisant même monter le mercure à 40 °C le 29 juin dans la ville d’Isesaki, au nord de Tokyo, constate la chaîne publique NHK.
“Selon les projections, la température maximum à Tokyo entre les 21 et 30 juin va atteindre 32,8 °C. C’est un record historique depuis 1875, il y a cent quarante-sept ans, l’année à laquelle l’Agence météorologique a commencé à archiver les températures”, souligne de son côté le journal économique Nihon Keizai Shimbun.
Du fait de cette canicule inédite pour la saison, la demande d’électricité connaît un pic dans le pays, poussant Tepco, opérateur d’électricité de la région du Kanto, dans l’est du Japon, à émettre une alerte pour trois jours de suite à partir du 27 pour appeler les Japonais à économiser l’énergie, selon un autre article du journal.
“À la suite du tremblement de terre survenu au large de la préfecture de Fukushima en mars, certaines centrales thermiques sont actuellement à l’arrêt dans l’est du Japon. […] En anticipant des pics de chaleur en juillet, Tepco était en train de les réparer et de les inspecter. Or la canicule a frappé le pays plus tôt que prévu, entraînant des risques de coupure de courant. Pour les 27 et 28 juin, ce scénario a été évité de justesse grâce aux économies d’énergie et à l’augmentation de la production d’énergie solaire.”
Climat favorable pour relancer les centrales nucléaires
Quant aux raisons de cette vague de chaleur, le journal Mainichi l’attribue d’abord au phénomène dit de La Niña, qui désigne le refroidissement de la surface des eaux de l’est du Pacifique. En raison de cette anomalie thermique, “de l’air chaud enveloppe l’ensemble de l’archipel japonais, augmentant les températures”. L’accélération du changement climatique est bien évidemment l’une des causes : parmi les 25 températures les plus hautes enregistrées au Japon, 20 records ont été recensés après 2007. “Il y a une grande concentration après 2000, quand les scientifiques ont commencé à constater les effets du dérèglement climatique”, continue le journaliste.
Dans un Japon où la majorité des centrales nucléaires sont à l’arrêt – seuls dix réacteurs ont été relancés après l’accident de Fukushima en 2011 –, cette situation est de nature à favoriser le redémarrage de ces structures, d’autant que le pays s’est fixé l’objectif d’atteindre la neutralité carbone avant 2050. Ainsi, le Premier ministre, Fumio Kishida, en déplacement à Elmau, dans le sud de l’Allemagne, pour participer au G7, a déclaré le 28 juin que le gouvernement “utiliserait au maximum l’énergie nucléaire pour améliorer la capacité de production d’énergie”, rapporte le Nihon Keizai Shimbun.
Courrier international
Climat. Une vague de chaleur inédite frappe le Japon
Depuis le week-end dernier, l’archipel suffoque sous des températures anormalement élevées pour le mois de juin en raison du phénomène météorologique La Niña.
32, 35, 36, 35, 35, 35… À Tokyo, la température maximum ne descend plus la barre des 35 °C depuis le 25 juin. Chose exceptionnelle pour le mois de juin, où les températures dépassent rarement les 30 °C, la vague de chaleur s’abat en ce moment presque sur l’ensemble de l’archipel, faisant même monter le mercure à 40 °C le 29 juin dans la ville d’Isesaki, au nord de Tokyo, constate la chaîne publique NHK.
“Selon les projections, la température maximum à Tokyo entre les 21 et 30 juin va atteindre 32,8 °C. C’est un record historique depuis 1875, il y a cent quarante-sept ans, l’année à laquelle l’Agence météorologique a commencé à archiver les températures”, souligne de son côté le journal économique Nihon Keizai Shimbun.
Du fait de cette canicule inédite pour la saison, la demande d’électricité connaît un pic dans le pays, poussant Tepco, opérateur d’électricité de la région du Kanto, dans l’est du Japon, à émettre une alerte pour trois jours de suite à partir du 27 pour appeler les Japonais à économiser l’énergie, selon un autre article du journal.
“À la suite du tremblement de terre survenu au large de la préfecture de Fukushima en mars, certaines centrales thermiques sont actuellement à l’arrêt dans l’est du Japon. […] En anticipant des pics de chaleur en juillet, Tepco était en train de les réparer et de les inspecter. Or la canicule a frappé le pays plus tôt que prévu, entraînant des risques de coupure de courant. Pour les 27 et 28 juin, ce scénario a été évité de justesse grâce aux économies d’énergie et à l’augmentation de la production d’énergie solaire.”
Climat favorable pour relancer les centrales nucléaires
Quant aux raisons de cette vague de chaleur, le journal Mainichi l’attribue d’abord au phénomène dit de La Niña, qui désigne le refroidissement de la surface des eaux de l’est du Pacifique. En raison de cette anomalie thermique, “de l’air chaud enveloppe l’ensemble de l’archipel japonais, augmentant les températures”. L’accélération du changement climatique est bien évidemment l’une des causes : parmi les 25 températures les plus hautes enregistrées au Japon, 20 records ont été recensés après 2007. “Il y a une grande concentration après 2000, quand les scientifiques ont commencé à constater les effets du dérèglement climatique”, continue le journaliste.
Dans un Japon où la majorité des centrales nucléaires sont à l’arrêt – seuls dix réacteurs ont été relancés après l’accident de Fukushima en 2011 –, cette situation est de nature à favoriser le redémarrage de ces structures, d’autant que le pays s’est fixé l’objectif d’atteindre la neutralité carbone avant 2050. Ainsi, le Premier ministre, Fumio Kishida, en déplacement à Elmau, dans le sud de l’Allemagne, pour participer au G7, a déclaré le 28 juin que le gouvernement “utiliserait au maximum l’énergie nucléaire pour améliorer la capacité de production d’énergie”, rapporte le Nihon Keizai Shimbun.
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Re: XV de France (partie en cours)
RUGBY. Le Top 14 a-t-il progressé grâce à la préparation physique des Bleus ?
https://www.lerugbynistere.fr/news/rugby-le-top-14-a-t-il-progresse-grace-au-staff-des-bleus-3006221825.php
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Re: XV de France (partie en cours)
Yamasawa, demi d'ouverture du Japon, positif au Covid-19 et forfait face aux Bleus
https://www.rugbyrama.fr/rugby/test-match/2018/xv-de-france-takuya-yamasawa-demi-d-ouverture-du-japon-positif-au-covid-19-et-forfait-face-aux-bleus_sto9013317/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/test-match/2018/xv-de-france-takuya-yamasawa-demi-d-ouverture-du-japon-positif-au-covid-19-et-forfait-face-aux-bleus_sto9013317/story.shtml
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