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Tournoi des 6 Nations 2023
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
grospaquet31 a écrit:c'est beau un joli mot...on passe de sobrieté à discretion. La langue francaise est magnifique autant par sa varieté que par sa complexité.
Ces journalistes du midol sont de vrais poetes alors que Mr Toutlemonde aurait plutot laché un: " il va se sortir les doigts du c.. et se bouger le ionf le NTK!"
complétement...
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
https://www.rugbyrama.fr/2023/02/17/6-nations-2023-suspension-de-uini-atonio-thomas-laclayat-et-si-cetait-lui-la-releve-11005982.php
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Scalp a écrit:grospaquet31 a écrit:c'est beau un joli mot...on passe de sobrieté à discretion. La langue francaise est magnifique autant par sa varieté que par sa complexité.
Ces journalistes du midol sont de vrais poetes alors que Mr Toutlemonde aurait plutot laché un: " il va se sortir les doigts du c.. et se bouger le ionf le NTK!"
complétement...
Le niveau suprême de la sobriété est la discretion. Il semble l’avoir atteint d’après le midol. J’imagine que le plus haut niveau de la discrétion doit etre la transparence avant peut etre qui sait atteindre un jour le graal avec l’absence (ou le vide?).
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:grospaquet31 a écrit:c'est beau un joli mot...on passe de sobrieté à discretion. La langue francaise est magnifique autant par sa varieté que par sa complexité.
Ces journalistes du midol sont de vrais poetes alors que Mr Toutlemonde aurait plutot laché un: " il va se sortir les doigts du c.. et se bouger le ionf le NTK!"
complétement...
Le niveau suprême de la sobriété est la discretion. Il semble l’avoir atteint d’après le midol. J’imagine que le plus haut niveau de la discrétion doit etre la transparence avant peut etre qui sait atteindre un jour le graal avec l’absence (ou le vide?).
Dans le compte rendu d’Ovale Masqué sur le match IRL FRA, il y a un petit GIF amusant: avec un commentaire tout aussi amusant: en substance « si N’tamack donne l’impression de jouer en marchant, c’est peut être parce qu’il joue en marchant ! »
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
la liste des 42 joueurs pour l'ecosse est sortie avec 5 joueurs de l'ubb :
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Roberto Miopalmo a écrit:grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:grospaquet31 a écrit:c'est beau un joli mot...on passe de sobrieté à discretion. La langue francaise est magnifique autant par sa varieté que par sa complexité.
Ces journalistes du midol sont de vrais poetes alors que Mr Toutlemonde aurait plutot laché un: " il va se sortir les doigts du c.. et se bouger le ionf le NTK!"
complétement...
Le niveau suprême de la sobriété est la discretion. Il semble l’avoir atteint d’après le midol. J’imagine que le plus haut niveau de la discrétion doit etre la transparence avant peut etre qui sait atteindre un jour le graal avec l’absence (ou le vide?).
Dans le compte rendu d’Ovale Masqué sur le match IRL FRA, il y a un petit GIF amusant: avec un commentaire tout aussi amusant: en substance « si N’tamack donne l’impression de jouer en marchant, c’est peut être parce qu’il joue en marchant ! »
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
grospaquet31 a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:grospaquet31 a écrit:c'est beau un joli mot...on passe de sobrieté à discretion. La langue francaise est magnifique autant par sa varieté que par sa complexité.
Ces journalistes du midol sont de vrais poetes alors que Mr Toutlemonde aurait plutot laché un: " il va se sortir les doigts du c.. et se bouger le ionf le NTK!"
complétement...
Le niveau suprême de la sobriété est la discretion. Il semble l’avoir atteint d’après le midol. J’imagine que le plus haut niveau de la discrétion doit etre la transparence avant peut etre qui sait atteindre un jour le graal avec l’absence (ou le vide?).
Dans le compte rendu d’Ovale Masqué sur le match IRL FRA, il y a un petit GIF amusant: avec un commentaire tout aussi amusant: en substance « si N’tamack donne l’impression de jouer en marchant, c’est peut être parce qu’il joue en marchant ! »
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Les-bleus-veulent-lever-les-doutes-apres-la-defaite-contre-l-irlande/1381889
Jeu, composition : les changements qui attendent les Bleus avant d'affronter l'Ecosse
Battus logiquement en Irlande (32-19) il y a 10 jours, les Français ont entamé la préparation du match contre l'Écosse (dimanche 16h) avec quelques doutes en tête et des solutions à imaginer pour éviter qu'ils ne s'installent.
Alex Bardot, Frédéric Bernès et Maxime Raulin
L'équipe de France avait perdu cette sale habitude de perdre qu'elle avait choisie d'abandonner aux autres 574 jours durant. Mais elle a dévissé sèchement, à Dublin (32-19), face à bien meilleur qu'elle, au moins cet après-midi-là. Cela ne remettra pas en question tout le travail colossal abattu depuis le début du mandat Galthié : l'instauration d'une méthode, ses succès empilés (14), un record et un Grand Chelem à la clé. Ce revers est pourtant venu épaissir un brouillard apparu lors des tests de l'automne dernier : comme des parasites dans les messages, comme un doute dans l'exécution de la partition, comme une frustration née de succès moins souverains. L'élastique s'est tendu jusqu'à craquer à l'Aviva.
Après une semaine de coupure, et à cinq jours de recevoir des Écossais vainqueurs prodigieux en Angleterre (23-29) et contre le pays de Galles (35-7), voilà le staff tricolore face à quelques problèmes solubles : repréciser les cadres de jeu et de vie et réajuster son quinze de départ, histoire de s'épargner une authentique migraine.
Une liberté à cadrer
Jusqu'en novembre, tout était clair, dans les mots et sur le terrain. Mais depuis janvier, un flou est venu entourer le projet de jeu de l'équipe de France : dépossession, repossession, rugby tout-terrain comme pendant vingt minutes à Dublin ? Au sein du staff, conscient du problème, on assure que personne n'a jamais évoqué l'abandon de la stratégie de dépossession qui a fait le succès des Bleus depuis 2020. En relisant les différentes déclarations d'avant Tournoi, on constate que c'est vrai, mais que le message a perdu en clarté.
Tout a commencé en janvier quand Fabien Galthié, apparemment attentif aux critiques sur le jeu des Bleus lors de la tournée de novembre, avait tenté un coup sémantique : « J'ai envie de parler de repossession plus que de dépossession. » Dans l'esprit du sélectionneur, c'était du ripolinage, pas l'annonce d'un changement de style. Mais par le choix même du mot de « repossession », qui signifie avant tout un jeu avec moins de pied, il a introduit une ambiguïté.
Deux semaines plus tard, dans ces colonnes, Laurent Labit, le responsable de l'attaque, avait confirmé au sujet de la dépossession : « C'est toujours notre principe. » Mais le reste de l'interview introduisait d'importantes nuances. Revenant sur la tournée de novembre, au cours de laquelle le staff avait demandé de « fermer le jeu », il regrettait ces situations d'attaque « très favorables que (les joueurs) n'ont pas saisies ».
Et alors qu'il lui était demandé si la France allait donc s'orienter « vers un peu moins de dépossession », il répondait : « Oui, sans doute (...) On va repartir sur ce qu'on faisait les premières saisons, avec plus d'alternance. » Plus tard, Labit ajoutait : « Peut-être que maintenant, il faudra utiliser un peu plus le ballon à la main dans toutes les zones du terrain. » Un discours qui donnait l'idée d'une « repossession » un peu différente de celle de Fabien Galthié.
À Dublin, la machine s'est emballée : 180 passes (record de l'ère Galthié)
À Capbreton, lors de la préparation du Tournoi, un projet de jeu plus ambitieux qu'en novembre, davantage axé sur l'adaptation à la défense, a été présenté aux joueurs. « C'est un peu plus ouvert, en disait Romain Ntamack dans un entretien donné à l'AFP après la courte victoire inaugurale en Italie (24-29). On retrouve plus de liberté, plus d'options, plus de prises d'initiative, de passes. »
Mais à Dublin, la machine s'est emballée : 180 passes (record de l'ère Galthié), des initiatives de loin malgré la pression défensive et l'absence de déséquilibre, des coups foireux. Un comportement inhabituel, qui a abouti à l'essai formidable de Damian Penaud mais aussi à des contres irlandais et à un épuisement collectif. Après coup, alors que Ntamack justifiait ce choix par la pression mise par les Irlandais sur les botteurs français et par l'« envie de marquer des essais comme celui (de Penaud) », Galthié tranchait : « On aurait dû occuper davantage. C'est d'ailleurs ce qui était prévu. »
Pour la première fois dans ce mandat, les joueurs sont sortis du cadre fixé, et pas qu'un peu. Comme si la stratégie moins clairement définie et les nuances dans le discours du staff les avaient conduits, après un mois de novembre à ronger leur frein, à se ruer sur la nouvelle liberté qui leur était donnée.
La clarification sur la stratégie semble inévitable avant d'entamer la deuxième partie du Tournoi. Après avoir redonné de la liberté, le staff doit en fixer les contours. Ce qui revient à la restreindre, mais aussi à la rendre plus vertueuse.
Haouas favori, Danty dans l'attente
Le sélectionneur Fabien Galthié n'est pas un adepte du turnover. Forcément, on ne change pas une équipe qui gagne. Avec quatorze victoires de rang, les remaniements ont souvent été dictés par les blessures ou les suspensions. Malgré la défaite en Irlande (31-19), une première depuis plus de dix-huit mois, le staff devrait conserver le même credo pour la réception de l'Écosse, dimanche, au Stade de France (16 h).
Danty ou Moefana ?
Un poste est à pourvoir. Celui de pilier droit, suite à la suspension de Uini Atonio, qui manquera également le déplacement en Angleterre (11 mars, 17 h 45). La logique voudrait que son suppléant, Sipili Falatea (25 ans), soit propulsé titulaire. Mais son entrée en jeu face à l'Irlande a déçu. La tendance serait plutôt de titulariser Mohamed Haouas, plus « mobile ». La dernière sélection du pilier de Montpellier (28 ans) remonte à près d'un an lors de la levée du Grand Chelem face à l'Angleterre (25-13). Une occasion en or pour le futur Clermontois (15 sélections) de retrouver du crédit, lui qui était le titulaire au poste au début du mandat Galthié à l'hiver 2020.
Une autre interrogation plane au-dessus du quinze de départ pour affronter l'Écosse. Qui pour accompagner l'indéboulonnable Gaël Fickou au centre ? Le retour de Jonathan Danty, qui a rejoué avec le Stade Rochelais une mi-temps sur la pelouse de Castres (17-32), change la donne. D'autant que Yoram Moefana n'a pas été franchement convaincant face à l'Italie et à l'Irlande.
Il faudra néanmoins attendre le traditionnel entraînement à haute intensité de demain après-midi pour avoir une réponse définitive. Si Danty donne satisfaction, la place de Moefana sera en danger.
Pour le reste, si le deuxième-ligne Paul Willemse (pour Romain Taofifenua) ou l'arrière Thomas Ramos (pour Melvyn Jaminet) pouvaient sembler menacés, il semblerait que le staff des Bleus joue la carte de la continuité et ne procède à aucun autre changement dans sa composition d'équipe.
Des frustrations à canaliser
William Servat détient une des meilleures places pour suivre au plus près les matches de l'équipe de France. L'oreillette allumée en permanence, les cervicales en position essuie-glace, l'entraîneur en charge de la conquête et des tâches spécifiques passe d'en bas les messages en direct. C'est aussi lui qui les reçoit en premier. À Dublin, à la 46e minute d'Irlande-France, c'est à William Servat que Paul Willemse a distinctement lancé un : « Pourquoi ? », dans un mélange de mécontentement et d'incompréhension.
Le deuxième-ligne ne s'attendait pas à sortir aussi tôt et n'a pas cherché à le cacher. Il venait de réaliser une vraie action positive - un plaquage offensif sur le pilier droit Finlay Bealham près de la ligne française qui permit dans un premier temps à Charles Ollivon de gratter le ballon et dans un second à Ethan Dumortier d'enclencher une jolie contre-attaque. À la fin de cette longue séquence, les Bleus récupéreront une pénalité et Willemse son souffle. Les mains sur les genoux, il semblait chercher un peu d'air. Est-ce cela qui a motivé son exfiltration avant l'heure prévue ? Possible. L'entrée en jeu de Romain Taofifenua, tout en puissance et en vigueur, n'a pas donné tort au staff.
Les places deviennent de plus en plus chères
L'émoi furtif de Willemse à Dublin n'a rien d'un psychodrame. Mais il est d'autant moins passé inaperçu aux yeux de l'encadrement qu'il survenait six jours après une autre sortie amère, celle de Romain Ntamack à Rome. L'ouvreur toulousain n'a pas apprécié qu'on le rapatrie sur le banc à la 65e minute, à un moment critique puisque l'Italie menait alors 24-22. Sur les images de la télévision, Ntamack tape dans la main de son suppléant Matthieu Jalibert puis dans celles de tous ceux qu'il rejoint sur la banquette.
Quelques secondes plus tard, le réalisateur ayant décidé de garder une caméra sur lui, on le verra applaudir à l'essai de Jalibert. Reste qu'à sa sortie du terrain, le numéro 10 a fait savoir qu'il ne comprenait pas qu'on le « coache » alors qu'il faisait un bon match. Il eut même quelques petits gestes de mauvaise humeur. Certes, tout entraîneur vous dira à quel point c'est bon signe qu'un joueur manifeste son déplaisir d'avoir à laisser sa place. Il dira plus difficilement combien ces grésillements peuvent peser dans la vie d'un groupe.
Le staff des Bleus a conscience que ces deux épisodes coup sur coup disent quelque chose. De la tournée de novembre et de la frustration qu'elle a pu faire naître chez certains. Du compte à rebours qui s'égrène avant la Coupe du monde et des places qui deviennent de plus en plus chères.
On touche ici à de la pure gestion humaine, à de la diplomatie appliquée aux susceptibilités des uns et des autres, ce qui n'a jamais été le point fort du management de Fabien Galthié. Le mois dernier, l'entraîneur de l'attaque Laurent Labit expliquait dans L'Équipe que jusqu'ici l'individu avait su s'oublier devant une cause commune plus grande que lui. « Les joueurs sont focus sur un objectif : être champions du monde. Quand tu l'es, c'est au-dessus de tout, au-dessus de ta position, de ton numéro dans le dos, de ton statut de remplaçant ou titulaire. Ils l'ont compris et on le voit dans leur comportement. En plus de trois ans et demi, personne n'est sorti du cadre. Aucune déclaration. »
Jeu, composition : les changements qui attendent les Bleus avant d'affronter l'Ecosse
Battus logiquement en Irlande (32-19) il y a 10 jours, les Français ont entamé la préparation du match contre l'Écosse (dimanche 16h) avec quelques doutes en tête et des solutions à imaginer pour éviter qu'ils ne s'installent.
Alex Bardot, Frédéric Bernès et Maxime Raulin
L'équipe de France avait perdu cette sale habitude de perdre qu'elle avait choisie d'abandonner aux autres 574 jours durant. Mais elle a dévissé sèchement, à Dublin (32-19), face à bien meilleur qu'elle, au moins cet après-midi-là. Cela ne remettra pas en question tout le travail colossal abattu depuis le début du mandat Galthié : l'instauration d'une méthode, ses succès empilés (14), un record et un Grand Chelem à la clé. Ce revers est pourtant venu épaissir un brouillard apparu lors des tests de l'automne dernier : comme des parasites dans les messages, comme un doute dans l'exécution de la partition, comme une frustration née de succès moins souverains. L'élastique s'est tendu jusqu'à craquer à l'Aviva.
Après une semaine de coupure, et à cinq jours de recevoir des Écossais vainqueurs prodigieux en Angleterre (23-29) et contre le pays de Galles (35-7), voilà le staff tricolore face à quelques problèmes solubles : repréciser les cadres de jeu et de vie et réajuster son quinze de départ, histoire de s'épargner une authentique migraine.
Une liberté à cadrer
Jusqu'en novembre, tout était clair, dans les mots et sur le terrain. Mais depuis janvier, un flou est venu entourer le projet de jeu de l'équipe de France : dépossession, repossession, rugby tout-terrain comme pendant vingt minutes à Dublin ? Au sein du staff, conscient du problème, on assure que personne n'a jamais évoqué l'abandon de la stratégie de dépossession qui a fait le succès des Bleus depuis 2020. En relisant les différentes déclarations d'avant Tournoi, on constate que c'est vrai, mais que le message a perdu en clarté.
Tout a commencé en janvier quand Fabien Galthié, apparemment attentif aux critiques sur le jeu des Bleus lors de la tournée de novembre, avait tenté un coup sémantique : « J'ai envie de parler de repossession plus que de dépossession. » Dans l'esprit du sélectionneur, c'était du ripolinage, pas l'annonce d'un changement de style. Mais par le choix même du mot de « repossession », qui signifie avant tout un jeu avec moins de pied, il a introduit une ambiguïté.
Deux semaines plus tard, dans ces colonnes, Laurent Labit, le responsable de l'attaque, avait confirmé au sujet de la dépossession : « C'est toujours notre principe. » Mais le reste de l'interview introduisait d'importantes nuances. Revenant sur la tournée de novembre, au cours de laquelle le staff avait demandé de « fermer le jeu », il regrettait ces situations d'attaque « très favorables que (les joueurs) n'ont pas saisies ».
Et alors qu'il lui était demandé si la France allait donc s'orienter « vers un peu moins de dépossession », il répondait : « Oui, sans doute (...) On va repartir sur ce qu'on faisait les premières saisons, avec plus d'alternance. » Plus tard, Labit ajoutait : « Peut-être que maintenant, il faudra utiliser un peu plus le ballon à la main dans toutes les zones du terrain. » Un discours qui donnait l'idée d'une « repossession » un peu différente de celle de Fabien Galthié.
À Dublin, la machine s'est emballée : 180 passes (record de l'ère Galthié)
À Capbreton, lors de la préparation du Tournoi, un projet de jeu plus ambitieux qu'en novembre, davantage axé sur l'adaptation à la défense, a été présenté aux joueurs. « C'est un peu plus ouvert, en disait Romain Ntamack dans un entretien donné à l'AFP après la courte victoire inaugurale en Italie (24-29). On retrouve plus de liberté, plus d'options, plus de prises d'initiative, de passes. »
Mais à Dublin, la machine s'est emballée : 180 passes (record de l'ère Galthié), des initiatives de loin malgré la pression défensive et l'absence de déséquilibre, des coups foireux. Un comportement inhabituel, qui a abouti à l'essai formidable de Damian Penaud mais aussi à des contres irlandais et à un épuisement collectif. Après coup, alors que Ntamack justifiait ce choix par la pression mise par les Irlandais sur les botteurs français et par l'« envie de marquer des essais comme celui (de Penaud) », Galthié tranchait : « On aurait dû occuper davantage. C'est d'ailleurs ce qui était prévu. »
Pour la première fois dans ce mandat, les joueurs sont sortis du cadre fixé, et pas qu'un peu. Comme si la stratégie moins clairement définie et les nuances dans le discours du staff les avaient conduits, après un mois de novembre à ronger leur frein, à se ruer sur la nouvelle liberté qui leur était donnée.
La clarification sur la stratégie semble inévitable avant d'entamer la deuxième partie du Tournoi. Après avoir redonné de la liberté, le staff doit en fixer les contours. Ce qui revient à la restreindre, mais aussi à la rendre plus vertueuse.
Haouas favori, Danty dans l'attente
Le sélectionneur Fabien Galthié n'est pas un adepte du turnover. Forcément, on ne change pas une équipe qui gagne. Avec quatorze victoires de rang, les remaniements ont souvent été dictés par les blessures ou les suspensions. Malgré la défaite en Irlande (31-19), une première depuis plus de dix-huit mois, le staff devrait conserver le même credo pour la réception de l'Écosse, dimanche, au Stade de France (16 h).
Danty ou Moefana ?
Un poste est à pourvoir. Celui de pilier droit, suite à la suspension de Uini Atonio, qui manquera également le déplacement en Angleterre (11 mars, 17 h 45). La logique voudrait que son suppléant, Sipili Falatea (25 ans), soit propulsé titulaire. Mais son entrée en jeu face à l'Irlande a déçu. La tendance serait plutôt de titulariser Mohamed Haouas, plus « mobile ». La dernière sélection du pilier de Montpellier (28 ans) remonte à près d'un an lors de la levée du Grand Chelem face à l'Angleterre (25-13). Une occasion en or pour le futur Clermontois (15 sélections) de retrouver du crédit, lui qui était le titulaire au poste au début du mandat Galthié à l'hiver 2020.
Une autre interrogation plane au-dessus du quinze de départ pour affronter l'Écosse. Qui pour accompagner l'indéboulonnable Gaël Fickou au centre ? Le retour de Jonathan Danty, qui a rejoué avec le Stade Rochelais une mi-temps sur la pelouse de Castres (17-32), change la donne. D'autant que Yoram Moefana n'a pas été franchement convaincant face à l'Italie et à l'Irlande.
Il faudra néanmoins attendre le traditionnel entraînement à haute intensité de demain après-midi pour avoir une réponse définitive. Si Danty donne satisfaction, la place de Moefana sera en danger.
Pour le reste, si le deuxième-ligne Paul Willemse (pour Romain Taofifenua) ou l'arrière Thomas Ramos (pour Melvyn Jaminet) pouvaient sembler menacés, il semblerait que le staff des Bleus joue la carte de la continuité et ne procède à aucun autre changement dans sa composition d'équipe.
Des frustrations à canaliser
William Servat détient une des meilleures places pour suivre au plus près les matches de l'équipe de France. L'oreillette allumée en permanence, les cervicales en position essuie-glace, l'entraîneur en charge de la conquête et des tâches spécifiques passe d'en bas les messages en direct. C'est aussi lui qui les reçoit en premier. À Dublin, à la 46e minute d'Irlande-France, c'est à William Servat que Paul Willemse a distinctement lancé un : « Pourquoi ? », dans un mélange de mécontentement et d'incompréhension.
Le deuxième-ligne ne s'attendait pas à sortir aussi tôt et n'a pas cherché à le cacher. Il venait de réaliser une vraie action positive - un plaquage offensif sur le pilier droit Finlay Bealham près de la ligne française qui permit dans un premier temps à Charles Ollivon de gratter le ballon et dans un second à Ethan Dumortier d'enclencher une jolie contre-attaque. À la fin de cette longue séquence, les Bleus récupéreront une pénalité et Willemse son souffle. Les mains sur les genoux, il semblait chercher un peu d'air. Est-ce cela qui a motivé son exfiltration avant l'heure prévue ? Possible. L'entrée en jeu de Romain Taofifenua, tout en puissance et en vigueur, n'a pas donné tort au staff.
Les places deviennent de plus en plus chères
L'émoi furtif de Willemse à Dublin n'a rien d'un psychodrame. Mais il est d'autant moins passé inaperçu aux yeux de l'encadrement qu'il survenait six jours après une autre sortie amère, celle de Romain Ntamack à Rome. L'ouvreur toulousain n'a pas apprécié qu'on le rapatrie sur le banc à la 65e minute, à un moment critique puisque l'Italie menait alors 24-22. Sur les images de la télévision, Ntamack tape dans la main de son suppléant Matthieu Jalibert puis dans celles de tous ceux qu'il rejoint sur la banquette.
Quelques secondes plus tard, le réalisateur ayant décidé de garder une caméra sur lui, on le verra applaudir à l'essai de Jalibert. Reste qu'à sa sortie du terrain, le numéro 10 a fait savoir qu'il ne comprenait pas qu'on le « coache » alors qu'il faisait un bon match. Il eut même quelques petits gestes de mauvaise humeur. Certes, tout entraîneur vous dira à quel point c'est bon signe qu'un joueur manifeste son déplaisir d'avoir à laisser sa place. Il dira plus difficilement combien ces grésillements peuvent peser dans la vie d'un groupe.
Le staff des Bleus a conscience que ces deux épisodes coup sur coup disent quelque chose. De la tournée de novembre et de la frustration qu'elle a pu faire naître chez certains. Du compte à rebours qui s'égrène avant la Coupe du monde et des places qui deviennent de plus en plus chères.
On touche ici à de la pure gestion humaine, à de la diplomatie appliquée aux susceptibilités des uns et des autres, ce qui n'a jamais été le point fort du management de Fabien Galthié. Le mois dernier, l'entraîneur de l'attaque Laurent Labit expliquait dans L'Équipe que jusqu'ici l'individu avait su s'oublier devant une cause commune plus grande que lui. « Les joueurs sont focus sur un objectif : être champions du monde. Quand tu l'es, c'est au-dessus de tout, au-dessus de ta position, de ton numéro dans le dos, de ton statut de remplaçant ou titulaire. Ils l'ont compris et on le voit dans leur comportement. En plus de trois ans et demi, personne n'est sorti du cadre. Aucune déclaration. »
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/tournoi-des-six-nations-xv-de-france-une-autorite-a-rebatir-dans-le-jeu-au-sol-14138490.php
Tournoi des Six-Nations. XV de France : une autorité à rebâtir dans le jeu au sol
Par Denys Kappès-Grangé - d.kappes-grange@sudouest.fr
Que ce soit la conséquence des directives arbitrales ou le résultat des absences, le constat est le même : les Bleus sont moins souverains sur les zones de ruck depuis le début du Tournoi. À corriger dans l’optique du match face à l’Écosse ce dimanche au Stade de France (16h)
Dans la litanie des chiffres ayant accompagné l’analyse de la défaite du XV de France en Irlande (32-19), il y a moins de 10 jours pour le compte de la deuxième journée du Six-Nations, voici quelques données qui vous ont peut-être échappé. À Dublin, les coéquipiers de Johnny Sexton ont digéré 65 % de leurs rucks en moins de 3 secondes. Et même 41 % en moins de deux secondes. Rapide ? Très rapide. Bien assez en tout cas pour faire disjoncter les radars tricolores au terme d’un match à 46 minutes de temps de jeu effectif…
Si les Bleus avaient réussi à faire tomber à 53 % le nombre de rucks rapides joués par les Irlandais depuis le début du mandat de Fabien Galthié, en 2020, ils ont cette fois échoué à faire dérailler la petite mécanique irlandaise. Ce constat apporte un des éléments d’explication à la première défaite du XV de France depuis le dernier test de la tournée de juillet 2021 en Australie. Mais il éclaire également la relative érosion de l’autorité des Bleus dans le jeu au sol lors des deux derniers matchs.
La capacité des coéquipiers de Grégory Alldritt à exceller dans les rucks défensifs était pour beaucoup dans la série des 14 succès consécutifs empilés entre novembre 2021 et ce début d’année 2023. L’usage de cette force a déjà été abondamment commenté. Dans le jeu de dépossession prôné par Fabien Galthié, c’est notamment ce qui permettait d’alimenter la redoutable machine à turn-over des Tricolores. Las, elle semble s’être pour l’heure enrayée.
Certaines absences d’éléments pivots du Grand Chelem 2022 peuvent l’expliquer. En premier lieu, celle du centre Jonathan Danty qui a rejoué ce samedi près de 40 minutes à Castres avec La Rochelle et rallié dans la foulée Marcoussis. Mais aussi celle de l’ailier toulonnais Gabin Villière qui a rechuté lors du stage à Capbreton, victime d’une fracture du péroné, alors qu’il avait été convoqué aussitôt après son retour à la compétition.
Une carte face à l’Écosse
Les circonstances atténuantes ne se cantonnent pas uniquement à la composition de l’effectif. En Italie, dans une rencontre où les Bleus avaient effectué 18 fautes, ce sont les nouvelles directives arbitrales qui avaient été pointées du doigt. « Il est désormais demandé à l’assistant plaqueur et futur gratteur de bien soulever ses coudes entre les deux actions, de marquer une déconnexion claire », a expliqué depuis le patron des arbitres à World Rugby, Joël Jutge.
« J’ai le sentiment qu’ils ont envie de voir plus d’équipes posséder le ballon »
« Ces directives étaient annoncées, mais la France subie parce qu’elle n’a pas pu travailler sur cette problématique en l’absence de rassemblement depuis la dernière tournée de novembre », a observé ce week-end Alexandre Ruiz, actuel entraîneur adjoint à Montpellier et, surtout, ancien arbitre international français. « La façon d’arbitrer en année Coupe du monde n’est jamais la même parce que World Rugby a un plan idéal. […] J’ai le sentiment qu’ils ont envie de voir plus d’équipes posséder le ballon et donc d’être plus dur avec la défense. C’est ce qui se fait au Six-Nations aujourd’hui. »
Auteurs de sept fautes seulement à l’Aviva Stadium, dont quatre au sol, les Bleus ont corrigé leur indiscipline rapidement. Et leur volonté de plus tenir le ballon désormais démontre qu’ils ont bien assimilé cette nouvelle donne. Mais ils n’ont pas pour autant retrouvé leur efficacité dans les zones de contest.
« On a dit qu’on ne pouvait pas y mettre les mains à cause de l’arbitrage, observe Pierre Berbizier. Mais c’est surtout leur recherche de vitesse qui nous a mis en difficulté. Qui plus est avec leur alternance dans le jeu : il y avait une incertitude sur la zone où allaient avoir lieu les rucks alors que les Italiens venaient nous jouer systématiquement au près. Du coup, on a eu du retard. »
Identifié, le défaut doit désormais être corrigé avant d’affronter une Écosse en verve et en confiance dimanche au Stade de France (16h). « C’est notre chance, prolonge l’ancien sélectionneur du XV de France. Les Écossais n’ont pas la même densité que les Irlandais. On sera sans doute moins sur le reculoir dans le défi individuel, l’organisation sur les soutiens et dans les rucks en sera facilité. D’autant qu’on se tournera sans doute vers le contre en laissant la responsabilité du jeu aux Écossais. »
Tournoi des Six-Nations. XV de France : une autorité à rebâtir dans le jeu au sol
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Que ce soit la conséquence des directives arbitrales ou le résultat des absences, le constat est le même : les Bleus sont moins souverains sur les zones de ruck depuis le début du Tournoi. À corriger dans l’optique du match face à l’Écosse ce dimanche au Stade de France (16h)
Dans la litanie des chiffres ayant accompagné l’analyse de la défaite du XV de France en Irlande (32-19), il y a moins de 10 jours pour le compte de la deuxième journée du Six-Nations, voici quelques données qui vous ont peut-être échappé. À Dublin, les coéquipiers de Johnny Sexton ont digéré 65 % de leurs rucks en moins de 3 secondes. Et même 41 % en moins de deux secondes. Rapide ? Très rapide. Bien assez en tout cas pour faire disjoncter les radars tricolores au terme d’un match à 46 minutes de temps de jeu effectif…
Si les Bleus avaient réussi à faire tomber à 53 % le nombre de rucks rapides joués par les Irlandais depuis le début du mandat de Fabien Galthié, en 2020, ils ont cette fois échoué à faire dérailler la petite mécanique irlandaise. Ce constat apporte un des éléments d’explication à la première défaite du XV de France depuis le dernier test de la tournée de juillet 2021 en Australie. Mais il éclaire également la relative érosion de l’autorité des Bleus dans le jeu au sol lors des deux derniers matchs.
La capacité des coéquipiers de Grégory Alldritt à exceller dans les rucks défensifs était pour beaucoup dans la série des 14 succès consécutifs empilés entre novembre 2021 et ce début d’année 2023. L’usage de cette force a déjà été abondamment commenté. Dans le jeu de dépossession prôné par Fabien Galthié, c’est notamment ce qui permettait d’alimenter la redoutable machine à turn-over des Tricolores. Las, elle semble s’être pour l’heure enrayée.
Certaines absences d’éléments pivots du Grand Chelem 2022 peuvent l’expliquer. En premier lieu, celle du centre Jonathan Danty qui a rejoué ce samedi près de 40 minutes à Castres avec La Rochelle et rallié dans la foulée Marcoussis. Mais aussi celle de l’ailier toulonnais Gabin Villière qui a rechuté lors du stage à Capbreton, victime d’une fracture du péroné, alors qu’il avait été convoqué aussitôt après son retour à la compétition.
Une carte face à l’Écosse
Les circonstances atténuantes ne se cantonnent pas uniquement à la composition de l’effectif. En Italie, dans une rencontre où les Bleus avaient effectué 18 fautes, ce sont les nouvelles directives arbitrales qui avaient été pointées du doigt. « Il est désormais demandé à l’assistant plaqueur et futur gratteur de bien soulever ses coudes entre les deux actions, de marquer une déconnexion claire », a expliqué depuis le patron des arbitres à World Rugby, Joël Jutge.
« J’ai le sentiment qu’ils ont envie de voir plus d’équipes posséder le ballon »
« Ces directives étaient annoncées, mais la France subie parce qu’elle n’a pas pu travailler sur cette problématique en l’absence de rassemblement depuis la dernière tournée de novembre », a observé ce week-end Alexandre Ruiz, actuel entraîneur adjoint à Montpellier et, surtout, ancien arbitre international français. « La façon d’arbitrer en année Coupe du monde n’est jamais la même parce que World Rugby a un plan idéal. […] J’ai le sentiment qu’ils ont envie de voir plus d’équipes posséder le ballon et donc d’être plus dur avec la défense. C’est ce qui se fait au Six-Nations aujourd’hui. »
Auteurs de sept fautes seulement à l’Aviva Stadium, dont quatre au sol, les Bleus ont corrigé leur indiscipline rapidement. Et leur volonté de plus tenir le ballon désormais démontre qu’ils ont bien assimilé cette nouvelle donne. Mais ils n’ont pas pour autant retrouvé leur efficacité dans les zones de contest.
« On a dit qu’on ne pouvait pas y mettre les mains à cause de l’arbitrage, observe Pierre Berbizier. Mais c’est surtout leur recherche de vitesse qui nous a mis en difficulté. Qui plus est avec leur alternance dans le jeu : il y avait une incertitude sur la zone où allaient avoir lieu les rucks alors que les Italiens venaient nous jouer systématiquement au près. Du coup, on a eu du retard. »
Identifié, le défaut doit désormais être corrigé avant d’affronter une Écosse en verve et en confiance dimanche au Stade de France (16h). « C’est notre chance, prolonge l’ancien sélectionneur du XV de France. Les Écossais n’ont pas la même densité que les Irlandais. On sera sans doute moins sur le reculoir dans le défi individuel, l’organisation sur les soutiens et dans les rucks en sera facilité. D’autant qu’on se tournera sans doute vers le contre en laissant la responsabilité du jeu aux Écossais. »
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
je comprends mieux pourquoi Mathieu est rentré en 15, la starlette toulousaine n'etait pas contente de sortir contre l'italie.
J'ai vu que Ramos non plus n'etait pas content de sortir. Mathieu va t-il remplacer Fickou ou Dumortier lors du prochain match? fera t-il une Couilloud, Lavaud ou Le Garrec en restant sur le banc?
En fait la phrase rappelée dans l'article de Labit - « Les joueurs sont focus sur un objectif : être champions du monde. Quand tu l'es, c'est au-dessus de tout, au-dessus de ta position, de ton numéro dans le dos, de ton statut de remplaçant ou titulaire. Ils l'ont compris et on le voit dans leur comportement. En plus de trois ans et demi, personne n'est sorti du cadre. Aucune déclaration. » - elle ne doit pas valoir pour certains, comme le demi dieux toulousains. Quand je pense que le midol rabachait que Jalibert etait orgeuilleux, eh ben le NTK en est carrement rongé jusqu'à la moelle. L'equipe est verrouillé par certains cadres, j'en suis persuadé. Tot ou tard ca va exploser, et peut etre meme avant la CM.
J'ai vu que Ramos non plus n'etait pas content de sortir. Mathieu va t-il remplacer Fickou ou Dumortier lors du prochain match? fera t-il une Couilloud, Lavaud ou Le Garrec en restant sur le banc?
En fait la phrase rappelée dans l'article de Labit - « Les joueurs sont focus sur un objectif : être champions du monde. Quand tu l'es, c'est au-dessus de tout, au-dessus de ta position, de ton numéro dans le dos, de ton statut de remplaçant ou titulaire. Ils l'ont compris et on le voit dans leur comportement. En plus de trois ans et demi, personne n'est sorti du cadre. Aucune déclaration. » - elle ne doit pas valoir pour certains, comme le demi dieux toulousains. Quand je pense que le midol rabachait que Jalibert etait orgeuilleux, eh ben le NTK en est carrement rongé jusqu'à la moelle. L'equipe est verrouillé par certains cadres, j'en suis persuadé. Tot ou tard ca va exploser, et peut etre meme avant la CM.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
grospaquet31 a écrit:j
En fait la phrase rappelée dans l'article de Labit - [color=#0000FF]« Les joueurs sont focus sur un objectif : être champions du monde. Quand tu l'es, c'est au-dessus de tout, au-dessus de ta position, de ton numéro dans le dos, de ton statut de remplaçant ou titulaire. Ils l'ont compris et on le voit dans leur comportement. En plus de trois ans et demi, personne n'est sorti du cadre. Aucune déclaration. »
Présenter l'immuabilité de la stratégie ( dont on voit aujourd'hui clairement les limites) et la quasi servilité de l'effectif (du moins de certains joueurs) comme une réussite est un peu étrange. La cadre est de plus en plus contraint pour ne pas dire restrictif et il n'en faudrait sans doute pas beaucoup (une défaite contre l'Ecosse par exemple) pour qu'il commence à se fissurer. Attention au syndrome de la cocotte minute !!!
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
si c'est le cas, je reste degouté par l'attitude de Ntamack. ca va à l'encontre de la vie de groupe (qui n'est qu'une facade) et de l'interet de lequipe. sur le match suivant, on va sortir Ramos alors qu'il n'y a pas besoin par un joueur dont ce n'est pas son poste dans le but de garder NTK sur le terrain pour qu'il ne fasse pas la gueule. si on en est reduit à ca, c'est lamentable.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
VI Nations : le match pays de Galles-Angleterre menacé par une grève des joueurs gallois ?
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tournoi-des-6-nations/vi-nations-le-match-pays-de-galles-angleterre-menace-par-une-greve-des-joueurs-gallois_AV-202302210153.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tournoi-des-6-nations/vi-nations-le-match-pays-de-galles-angleterre-menace-par-une-greve-des-joueurs-gallois_AV-202302210153.html
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Et bien moi j'espère que la cocotte va péter et avant la CdM. Que les vérités cachées éclatent au grand jour. On le sait depuis longtemps et il devient difficile de le cacher, le XV de France c'est "Il faut sauver le soldat RNT" doublé de "Dupont, tout le temps, partout, jusqu'au bout et quoiqu'il en coûte".
Dans quelques années, je reste persuadé qu'on en apprendra de pas très belles sur ce XV de France et cette époque Galthié. Du genre que RNT a été maintenu envers et contre tout/tous, au détriment d'un mec comme Jalibert, afin de satisfaire non seulement le lobby toulousain mais aussi les caprices de la starlette Dupont.
Ne nous y trompons pas, la charnière qu'on nous vend envers et contre tout, jusqu'à l'overdose, son vrai visage, c'est celui-ci :
Nous sommes entrés dans l'air de la starification, quitte à en payer le prix sur le plan purement sportif ou humain.
Dans quelques années, je reste persuadé qu'on en apprendra de pas très belles sur ce XV de France et cette époque Galthié. Du genre que RNT a été maintenu envers et contre tout/tous, au détriment d'un mec comme Jalibert, afin de satisfaire non seulement le lobby toulousain mais aussi les caprices de la starlette Dupont.
Ne nous y trompons pas, la charnière qu'on nous vend envers et contre tout, jusqu'à l'overdose, son vrai visage, c'est celui-ci :
Nous sommes entrés dans l'air de la starification, quitte à en payer le prix sur le plan purement sportif ou humain.
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Switch a écrit:Et bien moi j'espère que la cocotte va péter et avant la CdM. Que les vérités cachées éclatent au grand jour. On le sait depuis longtemps et il devient difficile de le cacher, le XV de France c'est "Il faut sauver le soldat RNT" doublé de "Dupont, tout le temps, partout, jusqu'au bout et quoiqu'il en coûte".
Dans quelques années, je reste persuadé qu'on en apprendra de pas très belles sur ce XV de France et cette époque Galthié. Du genre que RNT a été maintenu envers et contre tout/tous, au détriment d'un mec comme Jalibert, afin de satisfaire non seulement le lobby toulousain mais aussi les caprices de la starlette Dupont.
Ne nous y trompons pas, la charnière qu'on nous vend envers et contre tout, jusqu'à l'overdose, son vrai visage, c'est celui-ci :
Nous sommes entrés dans l'air de la starification, quitte à en payer le prix sur le plan purement sportif ou humain.
Et que Galthié fait ça pour avoir des packs de Volvic gratos et des chemises edenpark chaque été. Et qu'il veut pas froisser le stade toulousain (club concurrent de son club historique) et qu'il veut faire plaisir à Lartot car c'est ça sa priorité ABSOLUE!!!
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Roberto Miopalmo a écrit:Switch a écrit:Et bien moi j'espère que la cocotte va péter et avant la CdM. Que les vérités cachées éclatent au grand jour. On le sait depuis longtemps et il devient difficile de le cacher, le XV de France c'est "Il faut sauver le soldat RNT" doublé de "Dupont, tout le temps, partout, jusqu'au bout et quoiqu'il en coûte".
Dans quelques années, je reste persuadé qu'on en apprendra de pas très belles sur ce XV de France et cette époque Galthié. Du genre que RNT a été maintenu envers et contre tout/tous, au détriment d'un mec comme Jalibert, afin de satisfaire non seulement le lobby toulousain mais aussi les caprices de la starlette Dupont.
Ne nous y trompons pas, la charnière qu'on nous vend envers et contre tout, jusqu'à l'overdose, son vrai visage, c'est celui-ci :
Nous sommes entrés dans l'air de la starification, quitte à en payer le prix sur le plan purement sportif ou humain.
Et que Galthié fait ça pour avoir des packs de Volvic gratos et des chemises edenpark chaque été. Et qu'il veut pas froisser le stade toulousain (club concurrent de son club historique) et qu'il veut faire plaisir à Lartot car c'est ça sa priorité ABSOLUE!!!
Dans nos sociétés modernes, le sport, la politique, l'économie et le marketing sont bien plus liés qu'on ne le pense ou qu'on ne le voudrait, hélas. Le meilleur exemple étant le PSG. Beaucoup l'ont oublié mais le président français a quand même été directement impliqué dans la récente prolongation de Mbappé au PSG, dans un grand jeu politico-économico-sportif entre la ville de Paris, la France et le Qatar. Sans aller évidemment jusque là, le rugby moderne n'est pas épargné par ces questions, ces enjeux et ces comportements.
On est parfois bien naïfs sur certaines réalités modernes.
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Mdr la photo de Dupont
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Je pense que Galthiè a peur que l'on se rende compte que la charnière Lucu - Jalibert est au moins aussi efficace que la charnière Dupont - NTM
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Je pense que Galthiè a peur que l'on se rende compte que la charnière Lucu - Jalibert est au moins aussi efficace que la charnière Dupont - NTM
Histoire de sortir du stéréotype "bordelais jaloux des toulousains", je pense qu'il y a bien plus à dénoncer chez Galthié que la simple opposition des charnières (Dupont/RNT vs Lucu/Jalibert) ou même des 10 (RNT vs Jalibert). Ce sont les cas qui cristalisent le plus les divergences, mais il y a beaucoup de points qui interroge voire interpellent dans la gestion du XV de France.
D'ailleurs, ces points sont loin d'être soulevés uniquement par les bordelais. On les retrouve à l'identique (ou presque) dans les discussions que peuvent avoir les supporters lyonnais, clermontois, toulonnais, basques, catalans ou même étrangers ! En fait, il n'y a quasiment que chez les supporters toulousains, bizarrement, qu'on ne retrouve pas ces sujets de discussions
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Switch a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Je pense que Galthiè a peur que l'on se rende compte que la charnière Lucu - Jalibert est au moins aussi efficace que la charnière Dupont - NTM
Histoire de sortir du stéréotype "bordelais jaloux des toulousains", je pense qu'il y a bien plus à dénoncer chez Galthié que la simple opposition des charnières (Dupont/RNT vs Lucu/Jalibert) ou même des 10 (RNT vs Jalibert). Ce sont les cas qui cristalisent le plus les divergences, mais il y a beaucoup de points qui interroge voire interpellent dans la gestion du XV de France.
D'ailleurs, ces points sont loin d'être soulevés uniquement par les bordelais. On les retrouve à l'identique (ou presque) dans les discussions que peuvent avoir les supporters lyonnais, clermontois, toulonnais, basques, catalans ou même étrangers ! En fait, il n'y a quasiment que chez les supporters toulousains, bizarrement, qu'on ne retrouve pas ces sujets de discussions
Ce qui relève de la désinformation, car c' est totalement faux.
Comme tout le monde ils dénoncent la surexploitation des joueurs. Et qu' un turn-over devrait être organisé, avant de péter tous les joueurs et ce même pendant les entrainements dis de "haute intensité". Galthié va finir par bousiller tout le monde sans avoir de remplaçants habitués au haut niveau.
Que la rentrée de Jalibert à l' arrière, contre l' Irlande, était une belle connerie et que le replacement de N'Tamack au centre eut été plus judicieux. Quant à l' utilisation de Dupont, ça hurle à l' acharnement physique. Le garçon est sur les jantes.
Par contre on va demander, Giroud, en tête, que les clubs gèrent la santé physique des internationaux. On verra bien si son discours change quand il sera dans le staff de l' UBB.
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Comme ça m’arrive de temps à autres (assez souvent quand même) je suis d’accord avec Tire-Bouchon.
Le souci de Galthié, n’est pas le copinage (un mec avec un ego aussi démesuré ne doit pas beaucoup verser là-dedans…) mais « le jusqu’au boutisme » Son équipe (les 23) à 2-3 exceptions près (en 4, en 7 et en 15) on la connaît. Et s’il pouvait l’aligner à tous les matchs, il le ferait. Sans se soucier de la santé de ses titulaires, sans se soucier de préparer d’éventuels remplaçants, sans se soucier de ménager les clubs qui mettent leurs joueurs à disposition, mais en plus en les exhortant à eux les mettre au repos!!!
La gestion des cas Baille et Villiere, la probable titularisation de Danty, les cas Marchand, Atonio, Aldritt et Dupont qui sont sur les rotules ou pas loin. Les cas Olivon, N’tamack et Fickou qui sont pas en super forme mais que l’on maintient contre vents et marées. Tout ça relève d’une gestion humaine et physique complètement contre-productive.
Le souci de Galthié, n’est pas le copinage (un mec avec un ego aussi démesuré ne doit pas beaucoup verser là-dedans…) mais « le jusqu’au boutisme » Son équipe (les 23) à 2-3 exceptions près (en 4, en 7 et en 15) on la connaît. Et s’il pouvait l’aligner à tous les matchs, il le ferait. Sans se soucier de la santé de ses titulaires, sans se soucier de préparer d’éventuels remplaçants, sans se soucier de ménager les clubs qui mettent leurs joueurs à disposition, mais en plus en les exhortant à eux les mettre au repos!!!
La gestion des cas Baille et Villiere, la probable titularisation de Danty, les cas Marchand, Atonio, Aldritt et Dupont qui sont sur les rotules ou pas loin. Les cas Olivon, N’tamack et Fickou qui sont pas en super forme mais que l’on maintient contre vents et marées. Tout ça relève d’une gestion humaine et physique complètement contre-productive.
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
https://www.eurosport.fr/rugby/6-nations/2023/tournoi-des-six-nations-jb-lafond-avant-france-ecosse-ramos-ou-ntamack-je-pense-qu-un-des-deux-va-sauter_vid1847764/video.shtml
Bordelais exilé ds le 31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
Roberto Miopalmo a écrit:Comme ça m’arrive de temps à autres (assez souvent quand même) je suis d’accord avec Tire-Bouchon.
Le souci de Galthié, n’est pas le copinage (un mec avec un ego aussi démesuré ne doit pas beaucoup verser là-dedans…) mais « le jusqu’au boutisme » Son équipe (les 23) à 2-3 exceptions près (en 4, en 7 et en 15) on la connaît. Et s’il pouvait l’aligner à tous les matchs, il le ferait. Sans se soucier de la santé de ses titulaires, sans se soucier de préparer d’éventuels remplaçants, sans se soucier de ménager les clubs qui mettent leurs joueurs à disposition, mais en plus en les exhortant à eux les mettre au repos!!!
La gestion des cas Baille et Villiere, la probable titularisation de Danty, les cas Marchand, Atonio, Aldritt et Dupont qui sont sur les rotules ou pas loin. Les cas Olivon, N’tamack et Fickou qui sont pas en super forme mais que l’on maintient contre vents et marées. Tout ça relève d’une gestion humaine et physique complètement contre-productive.
j'en suis pas forcement sur, j'ai des doutes.
la personnalité de NTK se révèle avec un gros melon, et un orgueil démesuré. Il fait la gueule en sortant contre l'italie. Du coup au match suivant on sort plutot Ramos. ca peut etre une coincidence mais je ne crois pas. Quand tu vois les rentrées k fait Jalibert sur tous les derniers matchs en 10, il n'y avait aucune raison de le faire rentrer en 15. Je suis persuadé que c'etait prevu comme ca entre eux et que Galthié y a consenti pour ménager la starlette NTK.
Tu peux toujours dire que je suis à coté de la plaque...c'est possible aussi
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Re: Tournoi des 6 Nations 2023
grospaquet31 a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:Comme ça m’arrive de temps à autres (assez souvent quand même) je suis d’accord avec Tire-Bouchon.
Le souci de Galthié, n’est pas le copinage (un mec avec un ego aussi démesuré ne doit pas beaucoup verser là-dedans…) mais « le jusqu’au boutisme » Son équipe (les 23) à 2-3 exceptions près (en 4, en 7 et en 15) on la connaît. Et s’il pouvait l’aligner à tous les matchs, il le ferait. Sans se soucier de la santé de ses titulaires, sans se soucier de préparer d’éventuels remplaçants, sans se soucier de ménager les clubs qui mettent leurs joueurs à disposition, mais en plus en les exhortant à eux les mettre au repos!!!
La gestion des cas Baille et Villiere, la probable titularisation de Danty, les cas Marchand, Atonio, Aldritt et Dupont qui sont sur les rotules ou pas loin. Les cas Olivon, N’tamack et Fickou qui sont pas en super forme mais que l’on maintient contre vents et marées. Tout ça relève d’une gestion humaine et physique complètement contre-productive.
j'en suis pas forcement sur, j'ai des doutes.
la personnalité de NTK se révèle avec un gros melon, et un orgueil démesuré. Il fait la gueule en sortant contre l'italie. Du coup au match suivant on sort plutot Ramos. ca peut etre une coincidence mais je ne crois pas. Quand tu vois les rentrées k fait Jalibert sur tous les derniers matchs en 10, il n'y avait aucune raison de le faire rentrer en 15. Je suis persuadé que c'etait prevu comme ca entre eux et que Galthié y a consenti pour ménager la starlette NTK.
Tu peux toujours dire que je suis à coté de la plaque...c'est possible aussi
Qui peut croire à une coïncidence, sérieusement ?
Plus le temps passe et plus ça crève les yeux. Le constat est simple : le rugby français cherche à s'incarner, et particulièrement en cette année de CdM, en une idole et une star, telle Mbappé en foot. L'élu, c'est Dupont. D'abord parce que c'est un super joueur (il faut le reconnaître), ensuite parce qu'il porte super bien le jaune et les peignoirs, et enfin le fait qu'il soit toulousain n'en ait que mieux, ces derniers étant l'alpha et l'omega du rugby mondial.
Partant de là, les projets XV de France et CdM 2023 sont donc en partie bâtis sur et pour lui. Or, Dupont a pour envie (exigence ?) première de jouer (même 100% des rencontres), et surtout de jouer avec son copinou méchu du ST (suffit de voir comment il a joué avec Jalibert quand ce dernier était 10). Donc même si RNT se révèle comme n'étant ni le messi au poste de 10, ni même un très grand ouvreur (ces derniers mois il est même très sobre pour ne pas dire transparent), on le fait jouer. Comme l'a d'ailleurs très justement relevé un journaliste, "Jalibert pourra faire tout ce qu'il veut, il ne sera jamais LE 10 du XV de France" (sous-entendu : tant que Dupont en sera le 9). Il faut néanmoins faire plaisir au petit Antoine, sur qui tout repose visiblement, et donc lui laisser son BFF même si ce dernier est franchement moyen et que d'autres talents sont disponibles pour prendre la relève (et faire mieux, comme l'a démontré Jalibert depuis cet automne). Le fait qu'il soit fils de et toulousain, là aussi, ne fait que contribuer à en faire une belle story.
On en arrive donc à une situation où, dans l'intérêt du XV de France, c'est à dire de Dupont, il faut maintenir RNT en 10 coûte que coûte, et surtout ne pas ni le remettre en cause, ni le déranger. Et ce même si ça implique de faire payer Ramos ou Jalibert, en faisant sortir l'un et en faisant jouer le second à un poste qui n'est pas le sien.
Pour ce qui est du reste, évidemment le "problème" de Galthié ne se résume pas au seul sujets Dupont/RNT/Jalibert. On peut bien entendu parler de sa gestion de l'effectif ou de sa vision du jeu. Dans tous les cas, nous sommes sur le fil, et il en faut un peu moins chaque jour pour nous en faire tomber. Et çà, ce n'est pas une affaire de toulousain ou de bordelais, mais de tout le rugby français.
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