Derniers sujets
» UBB: Prolongations signatures Départs Saison 2025/2026par kaze33 Aujourd'hui à 22:46
» 10ᵉ journée : Vannes / UBB
par sudiste Aujourd'hui à 22:32
» XV de France (partie en cours)
par densnewzealand Aujourd'hui à 19:05
» Autres Clubs
par marchal Aujourd'hui à 15:50
» Yann Lesgourgues
par marchal Aujourd'hui à 15:00
» Mateo GARCIA
par Scalp Aujourd'hui à 13:10
» Podcast : Les UBBistes
par nadoloubb Aujourd'hui à 13:06
» Romain Buros
par Scalp Aujourd'hui à 11:37
» Bourse des places de match
par Kmary Aujourd'hui à 10:47
» Demandes de billets et déplacements saison 24/25
par krahknardz Aujourd'hui à 0:26
» Equipe de France à 7 (hommes)
par krahknardz Hier à 23:48
» Transferts (Autres clubs)
par Switch Hier à 23:44
» Matthieu Jalibert
par Scalp Hier à 20:19
» Mahamadou Diaby
par Scalp Hier à 17:37
» 12ᵉ journée : Castres / UBB
par Scalp Hier à 12:59
» Les Lionnes 2024-2025
par marchal Mar 19 Nov 2024 - 17:19
» Live twitch Gauthier Baudin
par Scalp Mar 19 Nov 2024 - 17:18
» Equipes de France Jeunes
par marchal Mar 19 Nov 2024 - 14:02
» Arthur Retière
par Scalp Mar 19 Nov 2024 - 10:17
» Musique !!!
par Scalp Mar 19 Nov 2024 - 4:13
» Ben Tameifuna
par Scalp Lun 18 Nov 2024 - 15:02
» Que deviennent nos anciens joueurs ?
par marchal Lun 18 Nov 2024 - 13:13
» XV de France (partie en cours)
par Scalp Dim 17 Nov 2024 - 11:14
» Ou voir les matchs de l'Union ?
par Lawrence the Hammer Sam 16 Nov 2024 - 17:41
» Autres joueurs
par marchal Sam 16 Nov 2024 - 14:43
» Le rugby et son évolution
par Scalp Sam 16 Nov 2024 - 11:42
» Zaccharie Affane
par Scalp Sam 16 Nov 2024 - 11:41
» Pro D2 : Autres matchs
par Roberto Miopalmo Sam 16 Nov 2024 - 9:15
» Tevita Tatafu
par Scalp Jeu 14 Nov 2024 - 19:01
» L'histoire de l'UBB
par marchal Jeu 14 Nov 2024 - 14:23
Coupe du Monde 2023 en France
+36
Ribouldingue
Kerquillas
Aspe
latine
kaze33
Tothor
FrenchKick
sudiste
igziabeher
biscouette
Phil33bx
Switch
LAURENTT3
LaRuine33
guillaume ubb
Vévé64
le radis
Vince33
tire-bouchon
marchal
nadoloubb
zizou46
Roberto Miopalmo
Big'Ben
Bordelais exilé ds le 31
léopold
densnewzealand
krahknardz
SEB34
Dr. Gregory Bouse
coach2rugby
S.K.I.T.O
Ante33
Olé
grospaquet31
Scalp
40 participants
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté terrain :: Rugby mondial (hors EDF)
Page 10 sur 40
Page 10 sur 40 • 1 ... 6 ... 9, 10, 11 ... 25 ... 40
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Date d'inscription : 11/09/2018
Re: Coupe du Monde 2023 en France
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Je pense que les anglais vont être pénibles à jouer. J'ai l'impression qu'ils font ce que l'on a fait quelques mois en arrière
la seule chose que je souhaite aux anglais c'est de se faire défoncer par les FIDGI en quart une deuxième fois.
histoire en plus de se venger de carley et de montrer pour l'occasion que les soi disantes petites nations sont capables de trouer les dépositaires de ce jeu qui n'en sont plus les exemples et loin s'en faut.
au passage merci aux japonais d'avoir joués dans l'esprit du rugby car c'est bien eux qui nous ont régalés.
SEB34- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 368
Localisation : 34
Date d'inscription : 17/08/2023
Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Chez-les-bleus-un-reajustement-du-plan-de-vol/1420454
Chez les Bleus, un réajustement du plan de vol
Alors que l'idée de départ consistait à garder sous une bâche l'équipe « premium » jusqu'à l'Italie, le 6 octobre, l'encadrement des Bleus a décidé de la relancer dès jeudi contre la Namibie. Plusieurs données peuvent expliquer ce choix.
Frédéric Bernès et Jean-François Paturaud
Le plan de vol du quinze de France a été réajusté après la béchamel à gros grumeaux servie contre l'Uruguay (27-12), un match sans structure, sans point de bonus et sans patron. À Lille, jeudi dernier, la plupart des patrons avaient justement des tenues de patron, costards-cravates, et regardaient le « spectacle » depuis les tribunes. Dans la programmation initiale de l'encadrement des Bleus, Antoine Dupont, Uini Atonio, Charles Ollivon, Matthieu Jalibert, Gaël Fickou ou Damian Penaud devaient garder le même dress-code à Marseille, jeudi contre la Namibie.
Mais dimanche matin, au dernier entraînement à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) avant la transhumance vers Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), pendant que les joggeurs joggaient et s'arrêtaient pour essayer d'apercevoir les Bleus au loin, les cadres portaient bien les chasubles des titulaires. En face, chez les chasubles blanches, on jouait avec deux piliers gauches (Jean-Baptiste Gros et Reda Wardi qui, lui, portait le numéro 5) et avec Maxime Lucu à l'aile.
Chez les casaques bleues, on retrouvait le quinze ayant réussi son envol le 8 septembre contre les All Blacks (27-13), à quatre différences près : Jonathan Danty (biceps fémoral, absent depuis le 27 août) à la place de Yoram Moefana au poste de premier centre, Louis Bielle-Biarrey à celle de Gabin Villière sur l'aile gauche, Anthony Jelonch (revenu à la compétition contre l'Uruguay) à celle de François Cros qui a enchaîné Fidji - Australie - Nouvelle-Zélande - Uruguay, tandis que Cyril Baille (mollet, absent depuis le 12 août) alternait avec Reda Wardi pour le poste de pilier gauche. Devenu talonneur numéro 1 à la 12e minute de France - Nouvelle-Zélande, Peato Mauvaka le reste pour le moment en attendant de savoir quand le ciel s'éclaircira pour Julien Marchand.
« Il est évident qu'un mois sans compétition, ce n'est pas idéal. D'autant que dans cette Coupe du monde, on ne travaille pas à 42 comme on en a pris l'habitude
Laurent Labit, entraîneur de l'attaque des Bleus
Dimanche midi, en conférence de presse, Laurent Labit n'a pas voulu reconnaître que l'idée de départ avait évolué. « On a toujours eu un plan, on le suit,a dit l'entraîneur de l'attaque. Il y a eu ce premier match contre les Blacks qui générait des attentes et du stress depuis trois ans. Six jours plus tard, venait l'Uruguay. Après le match de la Namibie, on disposera de quinze jours avant le dernier match de poules contre l'Italie. Il est évident qu'un mois sans compétition, ce n'est pas idéal. D'autant que dans cette Coupe du monde, on ne travaille pas à 42 comme on en a pris l'habitude. Ça veut dire que sur certaines séances, il faut ménager deux ou trois joueurs, il en manque un ou deux... On va trouver notre rythme et notre progression sur les matches. »
L'hypothèse d'un plan qui vire de bord en raison du point de bonus offensif non pris contre l'Uruguay a été évacuée prestement : « La situation reste la même, certifie Labit. Il faut battre l'Italie pour se qualifier. C'est ce qu'on a toujours envisagé. Le point de bonus, on ne le méritait pas contre l'Uruguay. »
Alors pourquoi faire revenir l'orchestre philharmonique contre la modeste Namibie ? Parce que certains « premiums » ont senti qu'ils avaient besoin de jouer, de ne pas rester un mois entier « en dehors » du Mondial, et l'ont fait savoir au staff ? Un mois sans jouer, c'est effectivement trop long, nous a-t-on confirmé en interne. Sachant qu'il y aura 15 jours dans la foulée de la Namibie pour préparer l'Italie.
« Enchaîner, ça ne nous dérange pas, au contraire, on a hâte d'y être », déclarait le centre Gaël Fickou dimanche. À moins que l'exemple de l'Irlande, qui a sorti son châssis de course contre la Roumanie (82- et les Tonga (59-16) et qui risque d'en faire autant contre l'Afrique du Sud et l'Écosse, a modifié l'axe de réflexion du sélectionneur Fabien Galthié ? « On a une poule différente », nuance Labit.
Des habitudes de jeu à recréer et répéter
« Je pense que c'est la bonne décision de remettre les cadres, assure Pierre Berbizier, sélectionneur de 1991 à 1995. Même si je n'ai pas tous les éléments des entraînements, un mois sans jouer (entre les All Blacks le 8 septembre et l'Italie le 6 octobre) aurait été préjudiciable car trop long. D'autant qu'aujourd'hui on peut coacher très vite dans un match. Le risque de blessure ? C'est le même en match ou dans un entraînement. »
Faut-il interpréter le coup de tondeuse sur les « coiffeurs » comme une réprimande après Lille ? Personne ne l'a dit et personne ne le dira. « On n'est pas là pour faire des démonstrations », déclarait Galthié après l'Uruguay. Ils ne sont pas là non plus pour concéder 15 pénalités et 17 turnovers aux Teros, même avec une équipe remaniée. Le sélectionneur aime parler de cette Coupe du monde comme d'un chemin. Le chemin aurait-il été moins enrichissant si le quinze de France « deuzium » avait livré un match abouti contre l'Uruguay ? La réponse va de soi.
« Notre ambition, c'est d'aller chercher le trophée, a dit Labit. Quand les matches vont devenir ultra-serrés, on sait qu'il n'y aura pas beaucoup d'occasions. Donc, il faut que les matches contre l'Uruguay ou la Namibie servent à créer des certitudes. Contre l'Uruguay, on a eu six touches et deux mêlées dans leurs vingt-deux. Pour un bilan improductif. On n'en aura pas autant contre l'Afrique du Sud ou l'Irlande (pour le potentiel quart de finale). Il faut qu'on soit plus efficaces sur nos lancements. Pour l'instant, on a fait une bonne seconde mi-temps contre la Nouvelle-Zélande et un match pas bon contre l'Uruguay. C'est trop peu. »
Entre les blessures de Romain Ntamack, Paul Willemse ou Jonathan Danty, la longue absence d'Anthony Jelonch, cette équipe ressent sans doute le besoin de se recréer des habitudes de jeu, de les répéter. De se rassurer sur certains secteurs. Et de retrouver l'assurance qu'elle dégageait au cours du Grand Chelem dans le Tournoi 2022.
Chez les Bleus, un réajustement du plan de vol
Alors que l'idée de départ consistait à garder sous une bâche l'équipe « premium » jusqu'à l'Italie, le 6 octobre, l'encadrement des Bleus a décidé de la relancer dès jeudi contre la Namibie. Plusieurs données peuvent expliquer ce choix.
Frédéric Bernès et Jean-François Paturaud
Le plan de vol du quinze de France a été réajusté après la béchamel à gros grumeaux servie contre l'Uruguay (27-12), un match sans structure, sans point de bonus et sans patron. À Lille, jeudi dernier, la plupart des patrons avaient justement des tenues de patron, costards-cravates, et regardaient le « spectacle » depuis les tribunes. Dans la programmation initiale de l'encadrement des Bleus, Antoine Dupont, Uini Atonio, Charles Ollivon, Matthieu Jalibert, Gaël Fickou ou Damian Penaud devaient garder le même dress-code à Marseille, jeudi contre la Namibie.
Mais dimanche matin, au dernier entraînement à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) avant la transhumance vers Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), pendant que les joggeurs joggaient et s'arrêtaient pour essayer d'apercevoir les Bleus au loin, les cadres portaient bien les chasubles des titulaires. En face, chez les chasubles blanches, on jouait avec deux piliers gauches (Jean-Baptiste Gros et Reda Wardi qui, lui, portait le numéro 5) et avec Maxime Lucu à l'aile.
Chez les casaques bleues, on retrouvait le quinze ayant réussi son envol le 8 septembre contre les All Blacks (27-13), à quatre différences près : Jonathan Danty (biceps fémoral, absent depuis le 27 août) à la place de Yoram Moefana au poste de premier centre, Louis Bielle-Biarrey à celle de Gabin Villière sur l'aile gauche, Anthony Jelonch (revenu à la compétition contre l'Uruguay) à celle de François Cros qui a enchaîné Fidji - Australie - Nouvelle-Zélande - Uruguay, tandis que Cyril Baille (mollet, absent depuis le 12 août) alternait avec Reda Wardi pour le poste de pilier gauche. Devenu talonneur numéro 1 à la 12e minute de France - Nouvelle-Zélande, Peato Mauvaka le reste pour le moment en attendant de savoir quand le ciel s'éclaircira pour Julien Marchand.
« Il est évident qu'un mois sans compétition, ce n'est pas idéal. D'autant que dans cette Coupe du monde, on ne travaille pas à 42 comme on en a pris l'habitude
Laurent Labit, entraîneur de l'attaque des Bleus
Dimanche midi, en conférence de presse, Laurent Labit n'a pas voulu reconnaître que l'idée de départ avait évolué. « On a toujours eu un plan, on le suit,a dit l'entraîneur de l'attaque. Il y a eu ce premier match contre les Blacks qui générait des attentes et du stress depuis trois ans. Six jours plus tard, venait l'Uruguay. Après le match de la Namibie, on disposera de quinze jours avant le dernier match de poules contre l'Italie. Il est évident qu'un mois sans compétition, ce n'est pas idéal. D'autant que dans cette Coupe du monde, on ne travaille pas à 42 comme on en a pris l'habitude. Ça veut dire que sur certaines séances, il faut ménager deux ou trois joueurs, il en manque un ou deux... On va trouver notre rythme et notre progression sur les matches. »
L'hypothèse d'un plan qui vire de bord en raison du point de bonus offensif non pris contre l'Uruguay a été évacuée prestement : « La situation reste la même, certifie Labit. Il faut battre l'Italie pour se qualifier. C'est ce qu'on a toujours envisagé. Le point de bonus, on ne le méritait pas contre l'Uruguay. »
Alors pourquoi faire revenir l'orchestre philharmonique contre la modeste Namibie ? Parce que certains « premiums » ont senti qu'ils avaient besoin de jouer, de ne pas rester un mois entier « en dehors » du Mondial, et l'ont fait savoir au staff ? Un mois sans jouer, c'est effectivement trop long, nous a-t-on confirmé en interne. Sachant qu'il y aura 15 jours dans la foulée de la Namibie pour préparer l'Italie.
« Enchaîner, ça ne nous dérange pas, au contraire, on a hâte d'y être », déclarait le centre Gaël Fickou dimanche. À moins que l'exemple de l'Irlande, qui a sorti son châssis de course contre la Roumanie (82- et les Tonga (59-16) et qui risque d'en faire autant contre l'Afrique du Sud et l'Écosse, a modifié l'axe de réflexion du sélectionneur Fabien Galthié ? « On a une poule différente », nuance Labit.
Des habitudes de jeu à recréer et répéter
« Je pense que c'est la bonne décision de remettre les cadres, assure Pierre Berbizier, sélectionneur de 1991 à 1995. Même si je n'ai pas tous les éléments des entraînements, un mois sans jouer (entre les All Blacks le 8 septembre et l'Italie le 6 octobre) aurait été préjudiciable car trop long. D'autant qu'aujourd'hui on peut coacher très vite dans un match. Le risque de blessure ? C'est le même en match ou dans un entraînement. »
Faut-il interpréter le coup de tondeuse sur les « coiffeurs » comme une réprimande après Lille ? Personne ne l'a dit et personne ne le dira. « On n'est pas là pour faire des démonstrations », déclarait Galthié après l'Uruguay. Ils ne sont pas là non plus pour concéder 15 pénalités et 17 turnovers aux Teros, même avec une équipe remaniée. Le sélectionneur aime parler de cette Coupe du monde comme d'un chemin. Le chemin aurait-il été moins enrichissant si le quinze de France « deuzium » avait livré un match abouti contre l'Uruguay ? La réponse va de soi.
« Notre ambition, c'est d'aller chercher le trophée, a dit Labit. Quand les matches vont devenir ultra-serrés, on sait qu'il n'y aura pas beaucoup d'occasions. Donc, il faut que les matches contre l'Uruguay ou la Namibie servent à créer des certitudes. Contre l'Uruguay, on a eu six touches et deux mêlées dans leurs vingt-deux. Pour un bilan improductif. On n'en aura pas autant contre l'Afrique du Sud ou l'Irlande (pour le potentiel quart de finale). Il faut qu'on soit plus efficaces sur nos lancements. Pour l'instant, on a fait une bonne seconde mi-temps contre la Nouvelle-Zélande et un match pas bon contre l'Uruguay. C'est trop peu. »
Entre les blessures de Romain Ntamack, Paul Willemse ou Jonathan Danty, la longue absence d'Anthony Jelonch, cette équipe ressent sans doute le besoin de se recréer des habitudes de jeu, de les répéter. De se rassurer sur certains secteurs. Et de retrouver l'assurance qu'elle dégageait au cours du Grand Chelem dans le Tournoi 2022.
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2023 en France
L'Angleterre leader du groupe D, les Fidji prennent l'ascendant sur l'Australie... tableaux et classements
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/l-angleterre-leader-du-groupe-d-les-fidji-prennent-l-ascendant-sur-l-australie-tableaux-et-classements_VN-202309180266.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/l-angleterre-leader-du-groupe-d-les-fidji-prennent-l-ascendant-sur-l-australie-tableaux-et-classements_VN-202309180266.html
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.courrierinternational.com/article/reportage-coupe-du-monde-2023-la-preparation-des-fidji-loin-de-tout-et-dans-la-boue
Reportage. Coupe du monde 2023 : la préparation des Fidji, loin de tout et dans la boue
Après avoir perdu sur le fil son premier match contre le pays de Galles, les joueurs fidjiens affrontent l’Australie dimanche 17 septembre. Le site sportif australien “The Roar” s’est intéressé à la préparation de ceux qui font figure d’outsiders dans cette Coupe du monde. Un stage sur une des îles les plus reculées du pays, loin de tout confort.
The Roar
Dans les semaines qui ont précédé le premier match des Fidji à la Coupe des nations du Pacifique, au début de juillet, [le sélectionneur fidjien] Simon Raiwalui reconnaissait que son équipe avait besoin de retrouver du collectif. Elle avait besoin de se ressouder et de se souvenir de ce que c’est qu’être “fidjien”. L’équipe est donc partie.
Non pas dans un hôtel cinq étoiles, comme la plupart des grands XV de l’ovalie internationale, mais dans une salle communautaire [de l’île] de Taveuni, où les lits queen size étaient remplacés par de simples matelas posés à même le sol. “On a atterri à Nadi [sur la côte ouest de l’île principale des Fidji], on a repris l’avion pour Suva [la capitale, située sur la côte est] et on a passé quelque chose comme vingt-huit heures à bord d’un ferry d’abord, puis d’un bus et d’un bateau, jusqu’à une de ces petites îles périphériques d’où est originaire Semi Radradra [un joueur cadre de la sélection]”, raconte l’entraîneur adjoint Brad Harris à The Roar.
“Pendant une semaine entière, on s’est entraînés sur place. On dormait par terre, on vivait et on s’entraînait au cœur même du village, les gens venaient nous apporter à manger. C’était fou. Ça ramenait les gars à leur identité fidjienne, à ce que c’est qu’être fidjien, à ce qu’on représente, aussi. C’était un travail sur l’identité. Et c’était fort, je peux vous dire que c’était incroyablement fort.”
Là, au cœur des Fidji, [des joueurs internationaux], qui touchent plus de 1 million de dollars [australiens, soit environ 600 000 euros] par saison et nourrissent des villages au pays par respect, dormaient côte à côte, dans la salle commune, avec ceux qui gagnent moins d’un dixième de ce que perçoit Semi Radradra, devenu l’un des joueurs les plus redoutés et les plus renommés d’Europe [il a signé au début de 2023 avec le club de Lyon].
“Les joueurs se sont accrochés”
La journée, ils allaient au charbon. Non pas sur les pelouses verdoyantes [du centre d’entraînement britannique] de Pennyhill Park ou [du centre australien] de Sanctuary Cove, où tout vous est servi sur un plateau, mais dans les prairies ondoyantes d’une des régions les plus reculées du monde, où la terre est si meuble que le risque de blessure est réel.
“On a tout remis de niveau”, s’amuse Brad Harris, qui a rejoint [l’équipe professionnelle de rugby à XV des] Fijian Drua en 2018, quand la nation insulaire a été invitée à rejoindre ce qui était alors le National Rugby Championship [d’Australie], avant d’aider les Fidji à ramener l’or aux Jeux olympiques de Tokyo [en rugby à sept]. “À propos du terrain, je vais être honnête avec vous, si vous aviez dit à une équipe anglaise, néo-zélandaise ou sud-africaine, ‘C’est sur ce terrain que vous allez vous entraîner’, je suis sûr que les joueurs auraient répondu : ‘Même pas dans tes rêves.’ Les nôtres se sont accrochés, comme ils le font toujours.”
“Ils ont un très bon état d’esprit, très frais, ils se sont retroussé les manches, et ça a été une semaine géniale.”
Cet esprit de cohésion s’est traduit, ces deux derniers mois, par quatre victoires en cinq rencontres pour les Flying Fijians [les “Fidjiens volants”], dont un premier succès historique contre l’Angleterre à Twickenham pour leur dernier match de préparation à la Coupe du monde. Les poids lourds de la formation anglaise, grassement rémunérés, l’ont joué perso, pendant que l’équipe des Fidji restait soudée, et cette pression a fini par se convertir en points. Les auspices étaient favorables : une semaine avant le coup d’éclat de Londres, les Fidji n’avaient pas démérité face à la France à Nantes [s’inclinant 17 à 34], montrant qu’ils avaient remis l’église au centre du village, face à l’un des favoris de ce Mondial.
Le confinement a galvanisé le groupe
Si la sélection fidjienne, auparavant capable de donner le change pendant la première période seulement, fait désormais figure de prétendante crédible à la Coupe 2023, cette évolution ne s’est pas faite du jour au lendemain. Brad Harris était aux premières loges pour observer la montée en puissance des Fidji, après avoir quitté la sélection nationale de Géorgie, en 2018. Surtout, il a vu ce qu’il est possible de faire quand une équipe, confrontée à l’adversité, mise sur le collectif et mouille le maillot.
De fait, voilà trois ans, Brad Harris a passé plusieurs mois avec la sélection fidjienne de rugby à sept confinée, coupée du monde, quand le Covid-19 s’est invité sur l’île, séparant les joueurs de leur famille et de leurs amis, même s’ils n’étaient distants que de quelques kilomètres. “En Australie, on disait qu’on était confinés alors qu’en réalité on pouvait se balader et faire à peu près ce qu’on voulait. Là-bas, il y avait carrément des barrages routiers. Personne ne pouvait entrer dans la ville ni en sortir”, se souvient-il.
“On avait des types de Suva qui étaient confinés à 5 ou 10 kilomètres de chez eux et qui ne pouvaient pas voir leur famille. Ils ne pouvaient même pas leur parler à travers une grille ni rien. Toutes ces épreuves ont galvanisé le groupe.” Cette cohabitation dans l’adversité les a amenés à vivre et à respirer rugby.
“Le paquet sur la préparation physique”
Brad Harris met au crédit de Simon Raiwalui – qui a pris la suite de Vern Cotter au poste de sélectionneur national en début d’année – et de l’entraîneur principal des Fijian Drua, Mick Byrne, d’avoir introduit un tel niveau de compréhension du jeu, de finesse et de prouesse technique, permettant aux Flying Fijians d’aborder ce Mondial dans les meilleures conditions. “[Simon Raiwalui] a mis le paquet sur la préparation physique. On a vu à la Coupe des nations du Pacifique tout le boulot abattu dans ce domaine et qui devrait – je l’espère – nous être très profitable dans les jours à venir. On est fin prêts.”
Brad Harris sait néanmoins que le parcours est semé d’embûches. “Au dernier Mondial, les Fidji avaient fait vaciller l’Australie lors de la première mi-temps. On a parlé de ça, de notre qualité de jeu en première période, mais aussi du fait que l’adversaire s’attendait à reprendre l’avantage dans les vingt dernières minutes, et c’est la raison pour laquelle on a mis le paquet sur la prépa physique et sur la discipline, pour pouvoir garder le dessus plutôt que de se faire déborder”, commente-t-il.
Brad Harris reconnaît également que leur plus grande force peut être aussi leur talon d’Achille, et juge qu’il sera déterminant pour les Fidji d’empêcher l’adversaire de ralentir le tempo de la rencontre et de privilégier les phases de jeu arrêté. “Tout le monde nous craint quand on impose notre jeu, qu’on est bien en place, qu’on est puissants, combatifs, qu’on fait tourner le ballon, et que ce sont les Fidji qui donnent le ton, mais nos adversaires arriveront avec une stratégie pour nous mettre des bâtons dans les roues.”
Après avoir refusé plusieurs postes ailleurs, Brad Harris s’apprête à rejoindre les Melbourne Rebels au poste d’entraîneur adjoint à l’issue de la Coupe du monde. Mais partir n’était pas une décision facile. “Ça va me manquer, de coacher les gars des Fidji, confesse-t-il, parce qu’ils sont différents de tous les autres groupes avec lesquels j’ai pu travailler. Leur état d’esprit est contagieux, ils ont fait de moi une meilleure personne au quotidien.”
“Nous, on est superficiels, on est matérialistes, eux, ils ne sont rien de tout ça. Je crois que c’est ce qui m’a retenu auprès d’eux.”
Si les Fidjiens créent la surprise au Mondial, ils le devront assurément à la culture édifiée et encouragée par Simon Raiwalui.
Christy Doran
Reportage. Coupe du monde 2023 : la préparation des Fidji, loin de tout et dans la boue
Après avoir perdu sur le fil son premier match contre le pays de Galles, les joueurs fidjiens affrontent l’Australie dimanche 17 septembre. Le site sportif australien “The Roar” s’est intéressé à la préparation de ceux qui font figure d’outsiders dans cette Coupe du monde. Un stage sur une des îles les plus reculées du pays, loin de tout confort.
The Roar
Dans les semaines qui ont précédé le premier match des Fidji à la Coupe des nations du Pacifique, au début de juillet, [le sélectionneur fidjien] Simon Raiwalui reconnaissait que son équipe avait besoin de retrouver du collectif. Elle avait besoin de se ressouder et de se souvenir de ce que c’est qu’être “fidjien”. L’équipe est donc partie.
Non pas dans un hôtel cinq étoiles, comme la plupart des grands XV de l’ovalie internationale, mais dans une salle communautaire [de l’île] de Taveuni, où les lits queen size étaient remplacés par de simples matelas posés à même le sol. “On a atterri à Nadi [sur la côte ouest de l’île principale des Fidji], on a repris l’avion pour Suva [la capitale, située sur la côte est] et on a passé quelque chose comme vingt-huit heures à bord d’un ferry d’abord, puis d’un bus et d’un bateau, jusqu’à une de ces petites îles périphériques d’où est originaire Semi Radradra [un joueur cadre de la sélection]”, raconte l’entraîneur adjoint Brad Harris à The Roar.
“Pendant une semaine entière, on s’est entraînés sur place. On dormait par terre, on vivait et on s’entraînait au cœur même du village, les gens venaient nous apporter à manger. C’était fou. Ça ramenait les gars à leur identité fidjienne, à ce que c’est qu’être fidjien, à ce qu’on représente, aussi. C’était un travail sur l’identité. Et c’était fort, je peux vous dire que c’était incroyablement fort.”
Là, au cœur des Fidji, [des joueurs internationaux], qui touchent plus de 1 million de dollars [australiens, soit environ 600 000 euros] par saison et nourrissent des villages au pays par respect, dormaient côte à côte, dans la salle commune, avec ceux qui gagnent moins d’un dixième de ce que perçoit Semi Radradra, devenu l’un des joueurs les plus redoutés et les plus renommés d’Europe [il a signé au début de 2023 avec le club de Lyon].
“Les joueurs se sont accrochés”
La journée, ils allaient au charbon. Non pas sur les pelouses verdoyantes [du centre d’entraînement britannique] de Pennyhill Park ou [du centre australien] de Sanctuary Cove, où tout vous est servi sur un plateau, mais dans les prairies ondoyantes d’une des régions les plus reculées du monde, où la terre est si meuble que le risque de blessure est réel.
“On a tout remis de niveau”, s’amuse Brad Harris, qui a rejoint [l’équipe professionnelle de rugby à XV des] Fijian Drua en 2018, quand la nation insulaire a été invitée à rejoindre ce qui était alors le National Rugby Championship [d’Australie], avant d’aider les Fidji à ramener l’or aux Jeux olympiques de Tokyo [en rugby à sept]. “À propos du terrain, je vais être honnête avec vous, si vous aviez dit à une équipe anglaise, néo-zélandaise ou sud-africaine, ‘C’est sur ce terrain que vous allez vous entraîner’, je suis sûr que les joueurs auraient répondu : ‘Même pas dans tes rêves.’ Les nôtres se sont accrochés, comme ils le font toujours.”
“Ils ont un très bon état d’esprit, très frais, ils se sont retroussé les manches, et ça a été une semaine géniale.”
Cet esprit de cohésion s’est traduit, ces deux derniers mois, par quatre victoires en cinq rencontres pour les Flying Fijians [les “Fidjiens volants”], dont un premier succès historique contre l’Angleterre à Twickenham pour leur dernier match de préparation à la Coupe du monde. Les poids lourds de la formation anglaise, grassement rémunérés, l’ont joué perso, pendant que l’équipe des Fidji restait soudée, et cette pression a fini par se convertir en points. Les auspices étaient favorables : une semaine avant le coup d’éclat de Londres, les Fidji n’avaient pas démérité face à la France à Nantes [s’inclinant 17 à 34], montrant qu’ils avaient remis l’église au centre du village, face à l’un des favoris de ce Mondial.
Le confinement a galvanisé le groupe
Si la sélection fidjienne, auparavant capable de donner le change pendant la première période seulement, fait désormais figure de prétendante crédible à la Coupe 2023, cette évolution ne s’est pas faite du jour au lendemain. Brad Harris était aux premières loges pour observer la montée en puissance des Fidji, après avoir quitté la sélection nationale de Géorgie, en 2018. Surtout, il a vu ce qu’il est possible de faire quand une équipe, confrontée à l’adversité, mise sur le collectif et mouille le maillot.
De fait, voilà trois ans, Brad Harris a passé plusieurs mois avec la sélection fidjienne de rugby à sept confinée, coupée du monde, quand le Covid-19 s’est invité sur l’île, séparant les joueurs de leur famille et de leurs amis, même s’ils n’étaient distants que de quelques kilomètres. “En Australie, on disait qu’on était confinés alors qu’en réalité on pouvait se balader et faire à peu près ce qu’on voulait. Là-bas, il y avait carrément des barrages routiers. Personne ne pouvait entrer dans la ville ni en sortir”, se souvient-il.
“On avait des types de Suva qui étaient confinés à 5 ou 10 kilomètres de chez eux et qui ne pouvaient pas voir leur famille. Ils ne pouvaient même pas leur parler à travers une grille ni rien. Toutes ces épreuves ont galvanisé le groupe.” Cette cohabitation dans l’adversité les a amenés à vivre et à respirer rugby.
“Le paquet sur la préparation physique”
Brad Harris met au crédit de Simon Raiwalui – qui a pris la suite de Vern Cotter au poste de sélectionneur national en début d’année – et de l’entraîneur principal des Fijian Drua, Mick Byrne, d’avoir introduit un tel niveau de compréhension du jeu, de finesse et de prouesse technique, permettant aux Flying Fijians d’aborder ce Mondial dans les meilleures conditions. “[Simon Raiwalui] a mis le paquet sur la préparation physique. On a vu à la Coupe des nations du Pacifique tout le boulot abattu dans ce domaine et qui devrait – je l’espère – nous être très profitable dans les jours à venir. On est fin prêts.”
Brad Harris sait néanmoins que le parcours est semé d’embûches. “Au dernier Mondial, les Fidji avaient fait vaciller l’Australie lors de la première mi-temps. On a parlé de ça, de notre qualité de jeu en première période, mais aussi du fait que l’adversaire s’attendait à reprendre l’avantage dans les vingt dernières minutes, et c’est la raison pour laquelle on a mis le paquet sur la prépa physique et sur la discipline, pour pouvoir garder le dessus plutôt que de se faire déborder”, commente-t-il.
Brad Harris reconnaît également que leur plus grande force peut être aussi leur talon d’Achille, et juge qu’il sera déterminant pour les Fidji d’empêcher l’adversaire de ralentir le tempo de la rencontre et de privilégier les phases de jeu arrêté. “Tout le monde nous craint quand on impose notre jeu, qu’on est bien en place, qu’on est puissants, combatifs, qu’on fait tourner le ballon, et que ce sont les Fidji qui donnent le ton, mais nos adversaires arriveront avec une stratégie pour nous mettre des bâtons dans les roues.”
Après avoir refusé plusieurs postes ailleurs, Brad Harris s’apprête à rejoindre les Melbourne Rebels au poste d’entraîneur adjoint à l’issue de la Coupe du monde. Mais partir n’était pas une décision facile. “Ça va me manquer, de coacher les gars des Fidji, confesse-t-il, parce qu’ils sont différents de tous les autres groupes avec lesquels j’ai pu travailler. Leur état d’esprit est contagieux, ils ont fait de moi une meilleure personne au quotidien.”
“Nous, on est superficiels, on est matérialistes, eux, ils ne sont rien de tout ça. Je crois que c’est ce qui m’a retenu auprès d’eux.”
Si les Fidjiens créent la surprise au Mondial, ils le devront assurément à la culture édifiée et encouragée par Simon Raiwalui.
Christy Doran
Dernière édition par Scalp le Lun 18 Sep 2023 - 10:12, édité 1 fois
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Les journalistes sportifs (tous supports) commencent à faire leur boulot... Il était temps...
il leur aura fallu le match contre l'uruguay pour se poser les questions de fond... et de commencer d'arrêter l'idolâtrie individuelle...
il leur aura fallu le match contre l'uruguay pour se poser les questions de fond... et de commencer d'arrêter l'idolâtrie individuelle...
SEB34- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 368
Localisation : 34
Date d'inscription : 17/08/2023
Re: Coupe du Monde 2023 en France
RUGBY. Thomas Ramos, et si c'était lui le vrai stratège de l'équipe de France ?
https://www.lerugbynistere.fr/news/les-talents-du-xv-avec-manpower-thomas-ramos-ce-stratege-dans-lame-1808231036.php
https://www.lerugbynistere.fr/news/les-talents-du-xv-avec-manpower-thomas-ramos-ce-stratege-dans-lame-1808231036.php
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Scalp a écrit:RUGBY. Thomas Ramos, et si c'était lui le vrai stratège de l'équipe de France ?
https://www.lerugbynistere.fr/news/les-talents-du-xv-avec-manpower-thomas-ramos-ce-stratege-dans-lame-1808231036.php
De l'Edf ET du Stade Toulousain !
sudiste- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 15935
Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Zanardi
Comme d’habitude, il ne regarde pas les matchs et pose ses fantasmes .
Comme d’habitude, il ne regarde pas les matchs et pose ses fantasmes .
le radis- Team modo
- Nombre de messages : 13237
Localisation : talence
Date d'inscription : 12/10/2012
Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Impossible de s'inscrire pour l'entrainement des Blacks à Chaban ...j'en déduis que le nombre de places était limité
sudiste- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 15935
Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Oui, 7000 places, il n'y en avait déjà plus vendredi soir...
igziabeher- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 621
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 13/01/2023
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Merci scalp, il est superbe cet article sur l'entrainement des fidji.
une âme, un collectif, une identité, un style, un jeu, de la générosité, des sourires, de la force = un maillot... c'est beau.
merci, merci à toutes ces nations qui nous montrent les valeurs que nous avons perdues...
une âme, un collectif, une identité, un style, un jeu, de la générosité, des sourires, de la force = un maillot... c'est beau.
merci, merci à toutes ces nations qui nous montrent les valeurs que nous avons perdues...
SEB34- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 368
Localisation : 34
Date d'inscription : 17/08/2023
krahknardz- Team modo
- Nombre de messages : 7560
Localisation : Bègles
Date d'inscription : 07/07/2013
Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Re: Coupe du Monde 2023 en France
krahknardz a écrit:
Ce connard de Zanardi (et je reste poli parce que je voulais utiliser beaucoup plus fort) a le culot de prétendre que les problèmes offensifs sont dûs à l'absence de Ntamack, et donc sous-entendu Jalibert, et c'est nouveau Hastoy aussi, sont des brêles défensivement.
Mais quel con!
C'est vraiment lourdingue à force
Vince33- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 4515
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 02/12/2008
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Vince33 a écrit:krahknardz a écrit:
Ce connard de Zanardi (et je reste poli parce que je voulais utiliser beaucoup plus fort) a le culot de prétendre que les problèmes offensifs sont dûs à l'absence de Ntamack, et donc sous-entendu Jalibert, et c'est nouveau Hastoy aussi, sont des brêles défensivement.
Mais quel con!
C'est vraiment lourdingue à force
Je croise les doigts pour que l'on soit champions du monde pour voir quelles seront les réactions de ces pseudos journalistes. Peut-être ils diront qu'avec NTK, on aurait été champions de l'Univers
Bordelais exilé ds le 31- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 1129
Localisation : Fontenilles
Date d'inscription : 14/02/2023
Humeur : Si ubb gagne, joyeux
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Pourtant d'apres les statistique on encaisse 1 essai/match en plus entre 2022 et 2023. Les problèmes défensifs ne sont pas une surprise. C'est un problème qui se poursuit car non résolu. Il doit certainement y avoir plusieurs facteurs pour l'expliquer comme le changement de strategie, d'arbitrage, la forme physique des joueurs etc..eh oui durant cette periode il me semble que NTK etait le titulaire, non?
par ailleurs, il faut combien d'essai encaissé sur coup de pied dans la zone laissée libre des 15m pour changer notre systeme defensif? meme l'Uruguay nous fait un copier/coller de ceux prix contre NZ, Ecosse, Australie...
par ailleurs, il faut combien d'essai encaissé sur coup de pied dans la zone laissée libre des 15m pour changer notre systeme defensif? meme l'Uruguay nous fait un copier/coller de ceux prix contre NZ, Ecosse, Australie...
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 11122
Localisation : toulouse
Date d'inscription : 31/08/2015
Age : 51
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Vince33 a écrit:krahknardz a écrit:
Ce connard de Zanardi (et je reste poli parce que je voulais utiliser beaucoup plus fort) a le culot de prétendre que les problèmes offensifs sont dûs à l'absence de Ntamack, et donc sous-entendu Jalibert, et c'est nouveau Hastoy aussi, sont des brêles défensivement.
Mais quel con!
C'est vraiment lourdingue à force
Je croise les doigts pour que l'on soit champions du monde pour voir quelles seront les réactions de ces pseudos journalistes. Peut-être ils diront qu'avec NTK, on aurait été champions de l'Univers
en l'etat, je pense qu'il faut fermer sa gueule et bosser, car si clairement le Merdol se fait du bien en pointant toujours le meme fautif de tous les maux de la terre, il n'en reste pas moins qu'on a un serieux probleme defensif, notamment sur les extérieurs. on encaisse des essais trop facilement. On loupe trop de premier placage, c'est autant de la responsabilité individuelle que collective.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 11122
Localisation : toulouse
Date d'inscription : 31/08/2015
Age : 51
Re: Coupe du Monde 2023 en France
grospaquet31 a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Vince33 a écrit:krahknardz a écrit:
Ce connard de Zanardi (et je reste poli parce que je voulais utiliser beaucoup plus fort) a le culot de prétendre que les problèmes offensifs sont dûs à l'absence de Ntamack, et donc sous-entendu Jalibert, et c'est nouveau Hastoy aussi, sont des brêles défensivement.
Mais quel con!
C'est vraiment lourdingue à force
Je croise les doigts pour que l'on soit champions du monde pour voir quelles seront les réactions de ces pseudos journalistes. Peut-être ils diront qu'avec NTK, on aurait été champions de l'Univers
en l'etat, je pense qu'il faut fermer sa gueule et bosser, car si clairement le Merdol se fait du bien en pointant toujours le meme fautif de tous les maux de la terre, il n'en reste pas moins qu'on a un serieux probleme defensif, notamment sur les extérieurs. on encaisse des essais trop facilement. On loupe trop de premier placage, c'est autant de la responsabilité individuelle que collective.
Oui mais ce problème défensif existe depuis au moins 12 mois si je me rappelle bien les statistiques des points / essais encaissés et je pense que l'élu jouait mais le Midol n'en a pas fait un "foin"
Bordelais exilé ds le 31- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 1129
Localisation : Fontenilles
Date d'inscription : 14/02/2023
Humeur : Si ubb gagne, joyeux
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Vince33 a écrit:krahknardz a écrit:
Ce connard de Zanardi (et je reste poli parce que je voulais utiliser beaucoup plus fort) a le culot de prétendre que les problèmes offensifs sont dûs à l'absence de Ntamack, et donc sous-entendu Jalibert, et c'est nouveau Hastoy aussi, sont des brêles défensivement.
Mais quel con!
C'est vraiment lourdingue à force
Je croise les doigts pour que l'on soit champions du monde pour voir quelles seront les réactions de ces pseudos journalistes. Peut-être ils diront qu'avec NTK, on aurait été champions de l'Univers
Croise bien les doigts, car si on n' est pas Champion, on va encore se trainer Galthié quatre ans de plus !
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 1674
Localisation : Ehpad St-Emilion
Date d'inscription : 06/06/2011
Humeur : végétative
Age : 73
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Comme c' est beau.SEB34 a écrit:Merci scalp, il est superbe cet article sur l'entrainement des fidji.
une âme, un collectif, une identité, un style, un jeu, de la générosité, des sourires, de la force = un maillot... c'est beau.
merci, merci à toutes ces nations qui nous montrent les valeurs que nous avons perdues...
Et aprés la CdM, tout ce beau monde retourne aux iles Fiji, ou ils restent en Europe, ou NZ, ou Australie en attendant la prochaine CdM.
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 1674
Localisation : Ehpad St-Emilion
Date d'inscription : 06/06/2011
Humeur : végétative
Age : 73
nadoloubb- Quentin MARTIntino
- Nombre de messages : 8676
Localisation : orléans
Date d'inscription : 13/04/2018
Re: Coupe du Monde 2023 en France
grospaquet31 a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Vince33 a écrit:krahknardz a écrit:
Ce connard de Zanardi (et je reste poli parce que je voulais utiliser beaucoup plus fort) a le culot de prétendre que les problèmes offensifs sont dûs à l'absence de Ntamack, et donc sous-entendu Jalibert, et c'est nouveau Hastoy aussi, sont des brêles défensivement.
Mais quel con!
C'est vraiment lourdingue à force
Je croise les doigts pour que l'on soit champions du monde pour voir quelles seront les réactions de ces pseudos journalistes. Peut-être ils diront qu'avec NTK, on aurait été champions de l'Univers
en l'etat, je pense qu'il faut fermer sa gueule et bosser, car si clairement le Merdol se fait du bien en pointant toujours le meme fautif de tous les maux de la terre, il n'en reste pas moins qu'on a un serieux probleme defensif, notamment sur les extérieurs. on encaisse des essais trop facilement. On loupe trop de premier placage, c'est autant de la responsabilité individuelle que collective.
Je trouve qu'on tire + sur giroud que sur edwards (pas sur le forum), son travail n'est jamais critiqué car il est l'artisan du grand chelem, avec un systeme défensif trés fort, mais je trouve qu'on s'est pas adapté et les adversaires si.
C'est les sud aff qui ont trouvé la faille dans notre systeme, il n'y a qu'à voir ce match de novembre, ou ils ont (abusé) de coup de pied tactique.
nadoloubb- Quentin MARTIntino
- Nombre de messages : 8676
Localisation : orléans
Date d'inscription : 13/04/2018
Re: Coupe du Monde 2023 en France
krahknardz a écrit:
Ce connard de Zanardi (et je reste poli parce que je voulais utiliser beaucoup plus fort) a le culot de prétendre que les problèmes offensifs sont dûs à l'absence de Ntamack, et donc sous-entendu Jalibert, et c'est nouveau Hastoy aussi, sont des brêles défensivement.
Mais quel con!
Que signifie un 10 qui défend "normalement" sa zone C'est ce mec qui impose la NORME maintenant ? Donc Hastoy et Jalibert sont des anormaux usurpateurs ayant réussi à se hisser au plus haut niveau international malgré leur "handicap"
Quel connard en effet !!!
Ce qu'il ne comprend pas c'est que l'erreur originelle vient du fait d'avoir réglé l'ensemble du jeu de l'EDF sur l'UNIQUE présence d'NTK sans apparement d'alternatives dont nous sommes encore en recherche
sudiste- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 15935
Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Urgent
J'ai un empêchement de dernière minute pour me rendre à l'entraînement des blacks à Bordeaux ! Qqn est intéressé par la place ?
J'ai un empêchement de dernière minute pour me rendre à l'entraînement des blacks à Bordeaux ! Qqn est intéressé par la place ?
FrenchKick- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 2834
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 07/07/2015
Humeur : Tant que l'ubb gagne tout va bien :)
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Scalp a écrit:RUGBY. Thomas Ramos, et si c'était lui le vrai stratège de l'équipe de France ?
https://www.lerugbynistere.fr/news/les-talents-du-xv-avec-manpower-thomas-ramos-ce-stratege-dans-lame-1808231036.php
Bravo Chat GPT !
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 6519
Localisation : à l'arrière des taxis...
Date d'inscription : 17/02/2019
Page 10 sur 40 • 1 ... 6 ... 9, 10, 11 ... 25 ... 40
Sujets similaires
» Coupe du Monde 2023 en France
» Coupe du Monde 2023
» Coupe du Monde 2023 en France
» La Coupe du Monde 2023 du XV de France
» Coupe du Monde 2023 en France
» Coupe du Monde 2023
» Coupe du Monde 2023 en France
» La Coupe du Monde 2023 du XV de France
» Coupe du Monde 2023 en France
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté terrain :: Rugby mondial (hors EDF)
Page 10 sur 40
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum