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Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Le rugby va sortir affaibli de cet événement en France. Que vont se dire les spectateurs neutres, ou ceux qui s’intéressent a ce sport uniquement pour ces grands événements? J’ai des amis, qui habitent Dijon par exemple, ils ont adoré l’ambiance, l’esprit d’équipe, les valeurs de ce sport. Par contre les règles ils n’ont rien compris, et surtout après un mois à s’accrocher le dernier match les a laissé très dubitatif. Ils m’ont dit, ton sport pour caricature r, l’arbitre a vraiment un gros impact sur le résultat dis moi . Au foot c’est moins flagrant..sudiste a écrit:Etchetera a écrit:Je sens pourtant la victoire surprise de l'Angleterre ce soir....grâce à l'arbitre (qui a les oreilles qui sifflent depuis la sodomie de notre quart) et qui va être beaucoup moins généreux avec les sud-Af, bien au contraire à mon avis. Il a une pression énorme!
C'est incroyable qu'il arbitre la même équipe en quart puis en demi. Je n'en reviens toujours pas.
La situation vire évidemment au (très mauvais) comique. Les instances du rugby volent immédiatement au secours de cet arbitre en le confirmant pour arbitrer la demi finale (et alors même, encore une fois, que "son" pays est toujours en lice) pour quasiment le jour d'après reconnaitre 5 erreurs MAJEURES sur le 1/4.
Notre sport voudrait se ridiculiser qu'il ne s'y prendrait pas autrement ?
Cerise sur le gâteau l'élimination de l'EDF entraine un gros manque à gagner pour tous les acteurs de l'évènement et notamment pour la FFR qui n'épongera pas ses 20 millions de déficit ...FFR qui a été la vache à lait de nombreuses fédérations internationales au bord de la faillite dans l'organisation de tournées rémunératrices.
Enfin il est à prévoir que l'engouement sur le nombre de licenciés que génère ce type d'évènement ne s'essouffle pas rapidement entre la frustration de cet arrêt brutal et la météo hivernale qui s'annonce ...beaucoup de "poussins" humides, fragiles et dépités vont abandonner pour retrouver la chaleur du nid familial
voilà. En poussant le bouchon on va finir à ressembler au patinage artistique ou à la gymnastique, ou les alliances, les combines peuvent vous faire gagner un médaille olympique. C’est gravissime. D’ailleurs l’argument souvent utilisé par les médias, et nous meme selon lequel qu’en tant que pays organisateur nous devrions conséquemment bénéficier d’un avantage arbitral, viens de l’histoire de cette compétition. Et c’est hallucinant!! . Pour ma part c’est la défaite de trop. 91/95/2011/2023, en 8 éditions nous avons eu un arbitrage plus que douteux. La moitié! Alors il faut faire du lobbying, etc… ah bon. Je voudrais surtout comme le dit Sudiste que nous marquions notre territoire de manière plus claire. Mais n’est il pas déjà trop tard… on a vendu notre âme à CCV, accepté l’entrée des sudafs en coupe d’Europe, on va sûrement vers une coupe du monde des clubs… une coupe internations, mais qui tire les ficelles et les bénéfices ? Les pays du Sud, à l’agonie. Leurs stades sont vides, la concurrence du 13 hyper forte. Marre de payer des droits TV pour des pays.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Bordelais exilé ds le 31 a écrit:LIONS'XV a écrit:L'essentiel de la défaite réside dans la sélection d'un Dupont diminué.
Cette faute de coaching est-elle celle de Dupont, de Galthié ?
Eux-seuls (et Dieu) le savent.
Surtout que ça a eu pour résultat de "brider" Matthieu. Son meilleur match, il le fait, comme par hasard, le jour où Dupont est absent
Même si je suis globalement d'accord avec vous, deux bémols quand même, un, contre l'Italie, c'était tout de même open bar et 2, contre les Boks, la charnière n'a pas tant couiné que ça, je me rappelle encore le petit par-dessus de Dupont pour Jalibert, qui arrive à le réceptionner, désorganisant complétement la défense des Boks…
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
densnewzealand a écrit:Le rugby va sortir affaibli de cet événement en France. Que vont se dire les spectateurs neutres, ou ceux qui s’intéressent a ce sport uniquement pour ces grands événements? J’ai des amis, qui habitent Dijon par exemple, ils ont adoré l’ambiance, l’esprit d’équipe, les valeurs de ce sport. Par contre les règles ils n’ont rien compris, et surtout après un mois à s’accrocher le dernier match les a laissé très dubitatif. Ils m’ont dit, ton sport pour caricature r, l’arbitre a vraiment un gros impact sur le résultat dis moi . Au foot c’est moins flagrant..sudiste a écrit:Etchetera a écrit:Je sens pourtant la victoire surprise de l'Angleterre ce soir....grâce à l'arbitre (qui a les oreilles qui sifflent depuis la sodomie de notre quart) et qui va être beaucoup moins généreux avec les sud-Af, bien au contraire à mon avis. Il a une pression énorme!
C'est incroyable qu'il arbitre la même équipe en quart puis en demi. Je n'en reviens toujours pas.
La situation vire évidemment au (très mauvais) comique. Les instances du rugby volent immédiatement au secours de cet arbitre en le confirmant pour arbitrer la demi finale (et alors même, encore une fois, que "son" pays est toujours en lice) pour quasiment le jour d'après reconnaitre 5 erreurs MAJEURES sur le 1/4.
Notre sport voudrait se ridiculiser qu'il ne s'y prendrait pas autrement ?
Cerise sur le gâteau l'élimination de l'EDF entraine un gros manque à gagner pour tous les acteurs de l'évènement et notamment pour la FFR qui n'épongera pas ses 20 millions de déficit ...FFR qui a été la vache à lait de nombreuses fédérations internationales au bord de la faillite dans l'organisation de tournées rémunératrices.
Enfin il est à prévoir que l'engouement sur le nombre de licenciés que génère ce type d'évènement ne s'essouffle pas rapidement entre la frustration de cet arrêt brutal et la météo hivernale qui s'annonce ...beaucoup de "poussins" humides, fragiles et dépités vont abandonner pour retrouver la chaleur du nid familial
voilà. En poussant le bouchon on va finir à ressembler au patinage artistique ou à la gymnastique, ou les alliances, les combines peuvent vous faire gagner un médaille olympique. C’est gravissime. D’ailleurs l’argument souvent utilisé par les médias, et nous meme selon lequel qu’en tant que pays organisateur nous devrions conséquemment bénéficier d’un avantage arbitral, viens de l’histoire de cette compétition. Et c’est hallucinant!! . Pour ma part c’est la défaite de trop. 91/95/2011/2023, en 8 éditions nous avons eu un arbitrage plus que douteux. La moitié! Alors il faut faire du lobbying, etc… ah bon. Je voudrais surtout comme le dit Sudiste que nous marquions notre territoire de manière plus claire. Mais n’est il pas déjà trop tard… on a vendu notre âme à CCV, accepté l’entrée des sudafs en coupe d’Europe, on va sûrement vers une coupe du monde des clubs… une coupe internations, mais qui tire les ficelles et les bénéfices ? Les pays du Sud, à l’agonie. Leurs stades sont vides, la concurrence du 13 hyper forte. Marre de payer des droits TV pour des pays.
Le Rugby a perdu en crédibilité pendant cette coupe du monde, mauvaise organisation, phases de poule sans grand intérêt, avec des tableaux déséquilibrés, démonétisant les deux demi-finales. Arbitrage honteux, Pays de Galles/Fidji, France/Boks, pour les plus évidents, le Rugby n'est pas près de sortir de sa nasse…
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
La première fois de ma vie que je suis pour les Anglais, tellement j'ai envie de voir ces Boks dégager de la coupe du monde
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Pourquoi-l-arbitre-de-france-afrique-du-sud-le-neo-zelandais-ben-o-keeffe-a-ete-choisi-pour-une-demi-finale/1426653
Pourquoi l'arbitre de France-Afrique du Sud, Ben O'Keeffe, a été choisi pour une demi-finale
Considéré actuellement comme l'un des quatre meilleurs arbitres au monde avec l'Anglais Wayne Barnes, l'Australien Angus Gardner et le Sud-Africain Jaco Peyper, le Néo-Zélandais Ben O'Keeffe était pressenti pour arbitrer une demi-finale avant même que ne soit donné le coup d'envoi de son quart entre la France et l'Afrique du Sud.
Richard Escot
Le prince des arbitres français, Jacques Muntz, écrivait en 1935 : « Le rugby est un jeu d'échecs joué à toute allure. » Captation vidéo, analyse image par image devant une rangée d'écrans et liens audio n'y changent finalement pas grand-chose : l'arbitre de champ prend souvent seul sa décision, et la métaphore de l'échiquier garni de pièces se déplaçant à la vitesse d'un sprinteur olympique raconte bien la difficulté que nous avons tous, observateurs, joueurs, arbitres, entraîneurs, à percevoir en temps réel tous les mouvements de ce jeu polymorphe.
Ceci dit pour bien comprendre le contexte dans lequel évoluent les arbitres de champ, il en est du directeur de jeu comme des joueurs internationaux : il lui arrive d'obtenir une note moyenne. D'après nos informations, si la performance de Ben O'Keeffe - comme celle d'une grande majorité de Tricolores - a été loin d'être parfaite lors du quart de finale entre la France et l'Afrique du Sud, « il n'est pas descendu en dessous des standards requis », précise notre source. Pas question pour World Rugby de tenir compte du flux des réseaux sociaux et des critiques médiatiques : même s'il n'a pas été brillant, le Néo-Zélandais constitue - avec l'Anglais Wayne Barnes et l'Australien Angus Gardner - le panel de directeurs de jeu prévus pour les finales et les demi-finales, quatre autres arbitres restant en réserve.
Des nominations effectuées avant les résultats des matches
« Présenter la nomination de Ben O'Keeffe pour la demi-finale entre l'Angleterre et l'Afrique du Sud comme un soutien de la part de World Rugby après son quart de finale qui a suscité tant de polémiques, c'est aussi erroné que de considérer que sa nationalité néo-zélandaise le rend suspect au point de favoriser tel ou tel adversaire pour affronter les All Blacks en finale », lâche un membre de Word Rugby. D'autant qu'après avoir pris en compte les possibles confrontations, les nominations sont, d'après ce que nous savons, annoncées au groupe des arbitres de ce Mondial avant même les résultats des matches. C'est ainsi que Ben O'Keeffe était prévu pour la demi-finale de samedi, quel qu'ait été le score de France-Afrique du Sud.
« Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? »
Un membre de World Rugby
« Nous ne nourrissons aucune suspicion concernant l'intégrité et l'éthique de nos arbitres, souligne un membre de World Rugby. Ce sujet n'est pas abordé. Il n'est même pas sous-jacent lors des discussions. Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? J'en doute... » D'après les informations recueillies auprès de nos sources, une chose est certaine, confiance totale est accordée à Ben O'Keeffe. Et sa performance, certes passable lors du quart de finale, scrutée en temps réel, puis analysée et restituée par un comité d'évaluation ad hoc composé de cinq membres, n'a pas le moins du monde entaché le crédit dont il dispose auprès de la direction de la haute performance de World Rugby, dont dépend la commission arbitrale.
On peut légitimement s'interroger sur l'étroit volant d'arbitres centraux dont dispose World Rugby, à savoir quatre Anglais, deux Australiens, deux Néo-Zélandais, et seulement un Irlandais, un Sud-Africain, un Français et un Géorgien, ce qui réduit d'autant les possibilités de nomination durant la phase finale.
Mais c'est aussi ce problème de « consanguinité » qui induit la présence peu ou prou des mêmes nations - Nouvelle-Zélande, Australie, France, Galles, Angleterre, Afrique du Sud - en demi-finales de cette compétition depuis plus de trente ans. Car, tel un chien se mordant la queue, les nations majeures en lice pour le titre mondial sont celles qui produisent les meilleurs arbitres internationaux. Pour preuve, à l'exception du Géorgien Nika Amashukeli, onze des douze directeurs de jeu de la présente édition officiaient au Japon, il y a quatre ans.
Pourquoi l'arbitre de France-Afrique du Sud, Ben O'Keeffe, a été choisi pour une demi-finale
Considéré actuellement comme l'un des quatre meilleurs arbitres au monde avec l'Anglais Wayne Barnes, l'Australien Angus Gardner et le Sud-Africain Jaco Peyper, le Néo-Zélandais Ben O'Keeffe était pressenti pour arbitrer une demi-finale avant même que ne soit donné le coup d'envoi de son quart entre la France et l'Afrique du Sud.
Richard Escot
Le prince des arbitres français, Jacques Muntz, écrivait en 1935 : « Le rugby est un jeu d'échecs joué à toute allure. » Captation vidéo, analyse image par image devant une rangée d'écrans et liens audio n'y changent finalement pas grand-chose : l'arbitre de champ prend souvent seul sa décision, et la métaphore de l'échiquier garni de pièces se déplaçant à la vitesse d'un sprinteur olympique raconte bien la difficulté que nous avons tous, observateurs, joueurs, arbitres, entraîneurs, à percevoir en temps réel tous les mouvements de ce jeu polymorphe.
Ceci dit pour bien comprendre le contexte dans lequel évoluent les arbitres de champ, il en est du directeur de jeu comme des joueurs internationaux : il lui arrive d'obtenir une note moyenne. D'après nos informations, si la performance de Ben O'Keeffe - comme celle d'une grande majorité de Tricolores - a été loin d'être parfaite lors du quart de finale entre la France et l'Afrique du Sud, « il n'est pas descendu en dessous des standards requis », précise notre source. Pas question pour World Rugby de tenir compte du flux des réseaux sociaux et des critiques médiatiques : même s'il n'a pas été brillant, le Néo-Zélandais constitue - avec l'Anglais Wayne Barnes et l'Australien Angus Gardner - le panel de directeurs de jeu prévus pour les finales et les demi-finales, quatre autres arbitres restant en réserve.
Des nominations effectuées avant les résultats des matches
« Présenter la nomination de Ben O'Keeffe pour la demi-finale entre l'Angleterre et l'Afrique du Sud comme un soutien de la part de World Rugby après son quart de finale qui a suscité tant de polémiques, c'est aussi erroné que de considérer que sa nationalité néo-zélandaise le rend suspect au point de favoriser tel ou tel adversaire pour affronter les All Blacks en finale », lâche un membre de Word Rugby. D'autant qu'après avoir pris en compte les possibles confrontations, les nominations sont, d'après ce que nous savons, annoncées au groupe des arbitres de ce Mondial avant même les résultats des matches. C'est ainsi que Ben O'Keeffe était prévu pour la demi-finale de samedi, quel qu'ait été le score de France-Afrique du Sud.
« Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? »
Un membre de World Rugby
« Nous ne nourrissons aucune suspicion concernant l'intégrité et l'éthique de nos arbitres, souligne un membre de World Rugby. Ce sujet n'est pas abordé. Il n'est même pas sous-jacent lors des discussions. Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? J'en doute... » D'après les informations recueillies auprès de nos sources, une chose est certaine, confiance totale est accordée à Ben O'Keeffe. Et sa performance, certes passable lors du quart de finale, scrutée en temps réel, puis analysée et restituée par un comité d'évaluation ad hoc composé de cinq membres, n'a pas le moins du monde entaché le crédit dont il dispose auprès de la direction de la haute performance de World Rugby, dont dépend la commission arbitrale.
On peut légitimement s'interroger sur l'étroit volant d'arbitres centraux dont dispose World Rugby, à savoir quatre Anglais, deux Australiens, deux Néo-Zélandais, et seulement un Irlandais, un Sud-Africain, un Français et un Géorgien, ce qui réduit d'autant les possibilités de nomination durant la phase finale.
Mais c'est aussi ce problème de « consanguinité » qui induit la présence peu ou prou des mêmes nations - Nouvelle-Zélande, Australie, France, Galles, Angleterre, Afrique du Sud - en demi-finales de cette compétition depuis plus de trente ans. Car, tel un chien se mordant la queue, les nations majeures en lice pour le titre mondial sont celles qui produisent les meilleurs arbitres internationaux. Pour preuve, à l'exception du Géorgien Nika Amashukeli, onze des douze directeurs de jeu de la présente édition officiaient au Japon, il y a quatre ans.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Nous avons abattu le Chef, le vrai Capitaine. Certains se sont réjouit du départ de Laporte.
Il a manqué Bernard Laporte à cette Coupe du Monde. Sa voix (grande g...) a manquée. Nous n'en serions pas là si on n'avait pas viré Atcher et Nanard, qui malgré leurs défauts, nous conduisaient vers les sommets. Mais voilà nous sommes français. Désespérément Français !
Il a manqué Bernard Laporte à cette Coupe du Monde. Sa voix (grande g...) a manquée. Nous n'en serions pas là si on n'avait pas viré Atcher et Nanard, qui malgré leurs défauts, nous conduisaient vers les sommets. Mais voilà nous sommes français. Désespérément Français !
LIONS'XV- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
LIONS'XV a écrit:Nous avons abattu le Chef, le vrai Capitaine. Certains se sont réjouit du départ de Laporte.
Il a manqué Bernard Laporte à cette Coupe du Monde. Sa voix (grande g...) a manquée. Nous n'en serions pas là si on n'avait pas viré Atcher et Nanard, qui malgré leurs défauts, nous conduisaient vers les sommets. Mais voilà nous sommes français. Désespérément Français !
Je n’y crois pas une milliseconde !
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
LIONS'XV a écrit:Nous avons abattu le Chef, le vrai Capitaine. Certains se sont réjouit du départ de Laporte.
Il a manqué Bernard Laporte à cette Coupe du Monde. Sa voix (grande g...) a manquée. Nous n'en serions pas là si on n'avait pas viré Atcher et Nanard, qui malgré leurs défauts, nous conduisaient vers les sommets. Mais voilà nous sommes français. Désespérément Français !
Si qqun voit le rapport, merci d’expliquer.
Quand on saura jouer des 2 contre 1 et rattraper des ballons aeriens, on pourra dire qu’on avait pas besoin de Laporte et de l’autre pipasse?
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Consanguinité !! Ah oui quand même . Le mot est lâché . Je voulais pas l’employer, mais si notre quotidien sportif plutôt mesuré l’emploie, alors que dire? Ça implique, contrôle, pas de remise en cause, donc si O’Keefe avait décidé se laisser les joueurs se débrouiller, que sont TMO était parti aux toilettes, que ces arbitres de touche n’auraient signalé aucunes fautes , le départ de Kolbe par exemple, ne siffler que la moitié des fautes il était assuré d’arbitrer une demi finale? Mais c’est exactement ce qui s’est passé !! D’ailleurs les amis vous vous souvenez quand même que l’arbitre de Fidi/PDG Carley , pourtant épinglé par tout le monde a arbitré 3 hours après !! Tout simplement parce que les arbitres sont contrôlés, de petites marionnettes, la je sens que dans 1/2 saisons vous verrez de plus en plus le petit blondinet , j’ai plus le nom, qui nous avait saladé à la maison la saison dernière. Ils ont mis OKeefe volontairement, pas pour arbitrer contre nous, trop malins, mais parce que sont style, laxiste ou plutôt à la Bernardo correspondait au style de jeu des sudafs. Voilà c’est vicieux et vicié. Uniquement 12 pénalités dans le chaos que fut ce match! Réveillez vous FFR!Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Pourquoi-l-arbitre-de-france-afrique-du-sud-le-neo-zelandais-ben-o-keeffe-a-ete-choisi-pour-une-demi-finale/1426653
Pourquoi l'arbitre de France-Afrique du Sud, Ben O'Keeffe, a été choisi pour une demi-finale
Considéré actuellement comme l'un des quatre meilleurs arbitres au monde avec l'Anglais Wayne Barnes, l'Australien Angus Gardner et le Sud-Africain Jaco Peyper, le Néo-Zélandais Ben O'Keeffe était pressenti pour arbitrer une demi-finale avant même que ne soit donné le coup d'envoi de son quart entre la France et l'Afrique du Sud.
Richard Escot
Le prince des arbitres français, Jacques Muntz, écrivait en 1935 : « Le rugby est un jeu d'échecs joué à toute allure. » Captation vidéo, analyse image par image devant une rangée d'écrans et liens audio n'y changent finalement pas grand-chose : l'arbitre de champ prend souvent seul sa décision, et la métaphore de l'échiquier garni de pièces se déplaçant à la vitesse d'un sprinteur olympique raconte bien la difficulté que nous avons tous, observateurs, joueurs, arbitres, entraîneurs, à percevoir en temps réel tous les mouvements de ce jeu polymorphe.
Ceci dit pour bien comprendre le contexte dans lequel évoluent les arbitres de champ, il en est du directeur de jeu comme des joueurs internationaux : il lui arrive d'obtenir une note moyenne. D'après nos informations, si la performance de Ben O'Keeffe - comme celle d'une grande majorité de Tricolores - a été loin d'être parfaite lors du quart de finale entre la France et l'Afrique du Sud, « il n'est pas descendu en dessous des standards requis », précise notre source. Pas question pour World Rugby de tenir compte du flux des réseaux sociaux et des critiques médiatiques : même s'il n'a pas été brillant, le Néo-Zélandais constitue - avec l'Anglais Wayne Barnes et l'Australien Angus Gardner - le panel de directeurs de jeu prévus pour les finales et les demi-finales, quatre autres arbitres restant en réserve.
Des nominations effectuées avant les résultats des matches
« Présenter la nomination de Ben O'Keeffe pour la demi-finale entre l'Angleterre et l'Afrique du Sud comme un soutien de la part de World Rugby après son quart de finale qui a suscité tant de polémiques, c'est aussi erroné que de considérer que sa nationalité néo-zélandaise le rend suspect au point de favoriser tel ou tel adversaire pour affronter les All Blacks en finale », lâche un membre de Word Rugby. D'autant qu'après avoir pris en compte les possibles confrontations, les nominations sont, d'après ce que nous savons, annoncées au groupe des arbitres de ce Mondial avant même les résultats des matches. C'est ainsi que Ben O'Keeffe était prévu pour la demi-finale de samedi, quel qu'ait été le score de France-Afrique du Sud.
« Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? »
Un membre de World Rugby
« Nous ne nourrissons aucune suspicion concernant l'intégrité et l'éthique de nos arbitres, souligne un membre de World Rugby. Ce sujet n'est pas abordé. Il n'est même pas sous-jacent lors des discussions. Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? J'en doute... » D'après les informations recueillies auprès de nos sources, une chose est certaine, confiance totale est accordée à Ben O'Keeffe. Et sa performance, certes passable lors du quart de finale, scrutée en temps réel, puis analysée et restituée par un comité d'évaluation ad hoc composé de cinq membres, n'a pas le moins du monde entaché le crédit dont il dispose auprès de la direction de la haute performance de World Rugby, dont dépend la commission arbitrale.
On peut légitimement s'interroger sur l'étroit volant d'arbitres centraux dont dispose World Rugby, à savoir quatre Anglais, deux Australiens, deux Néo-Zélandais, et seulement un Irlandais, un Sud-Africain, un Français et un Géorgien, ce qui réduit d'autant les possibilités de nomination durant la phase finale.
Mais c'est aussi ce problème de « consanguinité » qui induit la présence peu ou prou des mêmes nations - Nouvelle-Zélande, Australie, France, Galles, Angleterre, Afrique du Sud - en demi-finales de cette compétition depuis plus de trente ans. Car, tel un chien se mordant la queue, les nations majeures en lice pour le titre mondial sont celles qui produisent les meilleurs arbitres internationaux. Pour preuve, à l'exception du Géorgien Nika Amashukeli, onze des douze directeurs de jeu de la présente édition officiaient au Japon, il y a quatre ans.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
densnewzealand a écrit:Consanguinité !! Ah oui quand même . Le mot est lâché . Je voulais pas l’employer, mais si notre quotidien sportif plutôt mesuré l’emploie, alors que dire? Ça implique, contrôle, pas de remise en cause, donc si O’Keefe avait décidé se laisser les joueurs se débrouiller, que sont TMO était parti aux toilettes, que ces arbitres de touche n’auraient signalé aucunes fautes , le départ de Kolbe par exemple, ne siffler que la moitié des fautes il était assuré d’arbitrer une demi finale? Mais c’est exactement ce qui s’est passé !! D’ailleurs les amis vous vous souvenez quand même que l’arbitre de Fidi/PDG Carley , pourtant épinglé par tout le monde a arbitré 3 hours après !! Tout simplement parce que les arbitres sont contrôlés, de petites marionnettes, la je sens que dans 1/2 saisons vous verrez de plus en plus le petit blondinet , j’ai plus le nom, qui nous avait saladé à la maison la saison dernière. Ils ont mis OKeefe volontairement, pas pour arbitrer contre nous, trop malins, mais parce que sont style, laxiste ou plutôt à la Bernardo correspondait au style de jeu des sudafs. Voilà c’est vicieux et vicié. Uniquement 12 pénalités dans le chaos que fut ce match! Réveillez vous FFR!Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Pourquoi-l-arbitre-de-france-afrique-du-sud-le-neo-zelandais-ben-o-keeffe-a-ete-choisi-pour-une-demi-finale/1426653
Pourquoi l'arbitre de France-Afrique du Sud, Ben O'Keeffe, a été choisi pour une demi-finale
Considéré actuellement comme l'un des quatre meilleurs arbitres au monde avec l'Anglais Wayne Barnes, l'Australien Angus Gardner et le Sud-Africain Jaco Peyper, le Néo-Zélandais Ben O'Keeffe était pressenti pour arbitrer une demi-finale avant même que ne soit donné le coup d'envoi de son quart entre la France et l'Afrique du Sud.
Richard Escot
Le prince des arbitres français, Jacques Muntz, écrivait en 1935 : « Le rugby est un jeu d'échecs joué à toute allure. » Captation vidéo, analyse image par image devant une rangée d'écrans et liens audio n'y changent finalement pas grand-chose : l'arbitre de champ prend souvent seul sa décision, et la métaphore de l'échiquier garni de pièces se déplaçant à la vitesse d'un sprinteur olympique raconte bien la difficulté que nous avons tous, observateurs, joueurs, arbitres, entraîneurs, à percevoir en temps réel tous les mouvements de ce jeu polymorphe.
Ceci dit pour bien comprendre le contexte dans lequel évoluent les arbitres de champ, il en est du directeur de jeu comme des joueurs internationaux : il lui arrive d'obtenir une note moyenne. D'après nos informations, si la performance de Ben O'Keeffe - comme celle d'une grande majorité de Tricolores - a été loin d'être parfaite lors du quart de finale entre la France et l'Afrique du Sud, « il n'est pas descendu en dessous des standards requis », précise notre source. Pas question pour World Rugby de tenir compte du flux des réseaux sociaux et des critiques médiatiques : même s'il n'a pas été brillant, le Néo-Zélandais constitue - avec l'Anglais Wayne Barnes et l'Australien Angus Gardner - le panel de directeurs de jeu prévus pour les finales et les demi-finales, quatre autres arbitres restant en réserve.
Des nominations effectuées avant les résultats des matches
« Présenter la nomination de Ben O'Keeffe pour la demi-finale entre l'Angleterre et l'Afrique du Sud comme un soutien de la part de World Rugby après son quart de finale qui a suscité tant de polémiques, c'est aussi erroné que de considérer que sa nationalité néo-zélandaise le rend suspect au point de favoriser tel ou tel adversaire pour affronter les All Blacks en finale », lâche un membre de Word Rugby. D'autant qu'après avoir pris en compte les possibles confrontations, les nominations sont, d'après ce que nous savons, annoncées au groupe des arbitres de ce Mondial avant même les résultats des matches. C'est ainsi que Ben O'Keeffe était prévu pour la demi-finale de samedi, quel qu'ait été le score de France-Afrique du Sud.
« Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? »
Un membre de World Rugby
« Nous ne nourrissons aucune suspicion concernant l'intégrité et l'éthique de nos arbitres, souligne un membre de World Rugby. Ce sujet n'est pas abordé. Il n'est même pas sous-jacent lors des discussions. Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? J'en doute... » D'après les informations recueillies auprès de nos sources, une chose est certaine, confiance totale est accordée à Ben O'Keeffe. Et sa performance, certes passable lors du quart de finale, scrutée en temps réel, puis analysée et restituée par un comité d'évaluation ad hoc composé de cinq membres, n'a pas le moins du monde entaché le crédit dont il dispose auprès de la direction de la haute performance de World Rugby, dont dépend la commission arbitrale.
On peut légitimement s'interroger sur l'étroit volant d'arbitres centraux dont dispose World Rugby, à savoir quatre Anglais, deux Australiens, deux Néo-Zélandais, et seulement un Irlandais, un Sud-Africain, un Français et un Géorgien, ce qui réduit d'autant les possibilités de nomination durant la phase finale.
Mais c'est aussi ce problème de « consanguinité » qui induit la présence peu ou prou des mêmes nations - Nouvelle-Zélande, Australie, France, Galles, Angleterre, Afrique du Sud - en demi-finales de cette compétition depuis plus de trente ans. Car, tel un chien se mordant la queue, les nations majeures en lice pour le titre mondial sont celles qui produisent les meilleurs arbitres internationaux. Pour preuve, à l'exception du Géorgien Nika Amashukeli, onze des douze directeurs de jeu de la présente édition officiaient au Japon, il y a quatre ans.
Le petit monde du rugby est une nasse, ce n'est pas nouveau, mais quand tu te dis que les choses ont peut-être enfin changé, comme le pensait Benazzi avant cette coupe du monde, tu constates que non, tout est resté figé dans la même réalité géopolitique, on sera fossilisé avant qu'on puisse mesurer la moindre évolution de ce petit microcosme.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
densnewzealand a écrit:Consanguinité !! Ah oui quand même . Le mot est lâché . Je voulais pas l’employer, mais si notre quotidien sportif plutôt mesuré l’emploie, alors que dire? Ça implique, contrôle, pas de remise en cause, donc si O’Keefe avait décidé se laisser les joueurs se débrouiller, que sont TMO était parti aux toilettes, que ces arbitres de touche n’auraient signalé aucunes fautes , le départ de Kolbe par exemple, ne siffler que la moitié des fautes il était assuré d’arbitrer une demi finale? Mais c’est exactement ce qui s’est passé !! D’ailleurs les amis vous vous souvenez quand même que l’arbitre de Fidi/PDG Carley , pourtant épinglé par tout le monde a arbitré 3 hours après !! Tout simplement parce que les arbitres sont contrôlés, de petites marionnettes, la je sens que dans 1/2 saisons vous verrez de plus en plus le petit blondinet , j’ai plus le nom, qui nous avait saladé à la maison la saison dernière. Ils ont mis OKeefe volontairement, pas pour arbitrer contre nous, trop malins, mais parce que sont style, laxiste ou plutôt à la Bernardo correspondait au style de jeu des sudafs. Voilà c’est vicieux et vicié. Uniquement 12 pénalités dans le chaos que fut ce match! Réveillez vous FFR!Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Pourquoi-l-arbitre-de-france-afrique-du-sud-le-neo-zelandais-ben-o-keeffe-a-ete-choisi-pour-une-demi-finale/1426653
Pourquoi l'arbitre de France-Afrique du Sud, Ben O'Keeffe, a été choisi pour une demi-finale
Considéré actuellement comme l'un des quatre meilleurs arbitres au monde avec l'Anglais Wayne Barnes, l'Australien Angus Gardner et le Sud-Africain Jaco Peyper, le Néo-Zélandais Ben O'Keeffe était pressenti pour arbitrer une demi-finale avant même que ne soit donné le coup d'envoi de son quart entre la France et l'Afrique du Sud.
Richard Escot
Le prince des arbitres français, Jacques Muntz, écrivait en 1935 : « Le rugby est un jeu d'échecs joué à toute allure. » Captation vidéo, analyse image par image devant une rangée d'écrans et liens audio n'y changent finalement pas grand-chose : l'arbitre de champ prend souvent seul sa décision, et la métaphore de l'échiquier garni de pièces se déplaçant à la vitesse d'un sprinteur olympique raconte bien la difficulté que nous avons tous, observateurs, joueurs, arbitres, entraîneurs, à percevoir en temps réel tous les mouvements de ce jeu polymorphe.
Ceci dit pour bien comprendre le contexte dans lequel évoluent les arbitres de champ, il en est du directeur de jeu comme des joueurs internationaux : il lui arrive d'obtenir une note moyenne. D'après nos informations, si la performance de Ben O'Keeffe - comme celle d'une grande majorité de Tricolores - a été loin d'être parfaite lors du quart de finale entre la France et l'Afrique du Sud, « il n'est pas descendu en dessous des standards requis », précise notre source. Pas question pour World Rugby de tenir compte du flux des réseaux sociaux et des critiques médiatiques : même s'il n'a pas été brillant, le Néo-Zélandais constitue - avec l'Anglais Wayne Barnes et l'Australien Angus Gardner - le panel de directeurs de jeu prévus pour les finales et les demi-finales, quatre autres arbitres restant en réserve.
Des nominations effectuées avant les résultats des matches
« Présenter la nomination de Ben O'Keeffe pour la demi-finale entre l'Angleterre et l'Afrique du Sud comme un soutien de la part de World Rugby après son quart de finale qui a suscité tant de polémiques, c'est aussi erroné que de considérer que sa nationalité néo-zélandaise le rend suspect au point de favoriser tel ou tel adversaire pour affronter les All Blacks en finale », lâche un membre de Word Rugby. D'autant qu'après avoir pris en compte les possibles confrontations, les nominations sont, d'après ce que nous savons, annoncées au groupe des arbitres de ce Mondial avant même les résultats des matches. C'est ainsi que Ben O'Keeffe était prévu pour la demi-finale de samedi, quel qu'ait été le score de France-Afrique du Sud.
« Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? »
Un membre de World Rugby
« Nous ne nourrissons aucune suspicion concernant l'intégrité et l'éthique de nos arbitres, souligne un membre de World Rugby. Ce sujet n'est pas abordé. Il n'est même pas sous-jacent lors des discussions. Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? J'en doute... » D'après les informations recueillies auprès de nos sources, une chose est certaine, confiance totale est accordée à Ben O'Keeffe. Et sa performance, certes passable lors du quart de finale, scrutée en temps réel, puis analysée et restituée par un comité d'évaluation ad hoc composé de cinq membres, n'a pas le moins du monde entaché le crédit dont il dispose auprès de la direction de la haute performance de World Rugby, dont dépend la commission arbitrale.
On peut légitimement s'interroger sur l'étroit volant d'arbitres centraux dont dispose World Rugby, à savoir quatre Anglais, deux Australiens, deux Néo-Zélandais, et seulement un Irlandais, un Sud-Africain, un Français et un Géorgien, ce qui réduit d'autant les possibilités de nomination durant la phase finale.
Mais c'est aussi ce problème de « consanguinité » qui induit la présence peu ou prou des mêmes nations - Nouvelle-Zélande, Australie, France, Galles, Angleterre, Afrique du Sud - en demi-finales de cette compétition depuis plus de trente ans. Car, tel un chien se mordant la queue, les nations majeures en lice pour le titre mondial sont celles qui produisent les meilleurs arbitres internationaux. Pour preuve, à l'exception du Géorgien Nika Amashukeli, onze des douze directeurs de jeu de la présente édition officiaient au Japon, il y a quatre ans.
Ce qui est comique c’est qu’on dit partout qu’au niveau international, il faut être discipliné pour gagner mais tu te rends compte qu’en fait c’est pas le cas, et que s’il y a peu de faute c’est que les fautes sifflées habituellement ne le sont pas…
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
latine a écrit:densnewzealand a écrit:Consanguinité !! Ah oui quand même . Le mot est lâché . Je voulais pas l’employer, mais si notre quotidien sportif plutôt mesuré l’emploie, alors que dire? Ça implique, contrôle, pas de remise en cause, donc si O’Keefe avait décidé se laisser les joueurs se débrouiller, que sont TMO était parti aux toilettes, que ces arbitres de touche n’auraient signalé aucunes fautes , le départ de Kolbe par exemple, ne siffler que la moitié des fautes il était assuré d’arbitrer une demi finale? Mais c’est exactement ce qui s’est passé !! D’ailleurs les amis vous vous souvenez quand même que l’arbitre de Fidi/PDG Carley , pourtant épinglé par tout le monde a arbitré 3 hours après !! Tout simplement parce que les arbitres sont contrôlés, de petites marionnettes, la je sens que dans 1/2 saisons vous verrez de plus en plus le petit blondinet , j’ai plus le nom, qui nous avait saladé à la maison la saison dernière. Ils ont mis OKeefe volontairement, pas pour arbitrer contre nous, trop malins, mais parce que sont style, laxiste ou plutôt à la Bernardo correspondait au style de jeu des sudafs. Voilà c’est vicieux et vicié. Uniquement 12 pénalités dans le chaos que fut ce match! Réveillez vous FFR!Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Pourquoi-l-arbitre-de-france-afrique-du-sud-le-neo-zelandais-ben-o-keeffe-a-ete-choisi-pour-une-demi-finale/1426653
Pourquoi l'arbitre de France-Afrique du Sud, Ben O'Keeffe, a été choisi pour une demi-finale
Considéré actuellement comme l'un des quatre meilleurs arbitres au monde avec l'Anglais Wayne Barnes, l'Australien Angus Gardner et le Sud-Africain Jaco Peyper, le Néo-Zélandais Ben O'Keeffe était pressenti pour arbitrer une demi-finale avant même que ne soit donné le coup d'envoi de son quart entre la France et l'Afrique du Sud.
Richard Escot
Le prince des arbitres français, Jacques Muntz, écrivait en 1935 : « Le rugby est un jeu d'échecs joué à toute allure. » Captation vidéo, analyse image par image devant une rangée d'écrans et liens audio n'y changent finalement pas grand-chose : l'arbitre de champ prend souvent seul sa décision, et la métaphore de l'échiquier garni de pièces se déplaçant à la vitesse d'un sprinteur olympique raconte bien la difficulté que nous avons tous, observateurs, joueurs, arbitres, entraîneurs, à percevoir en temps réel tous les mouvements de ce jeu polymorphe.
Ceci dit pour bien comprendre le contexte dans lequel évoluent les arbitres de champ, il en est du directeur de jeu comme des joueurs internationaux : il lui arrive d'obtenir une note moyenne. D'après nos informations, si la performance de Ben O'Keeffe - comme celle d'une grande majorité de Tricolores - a été loin d'être parfaite lors du quart de finale entre la France et l'Afrique du Sud, « il n'est pas descendu en dessous des standards requis », précise notre source. Pas question pour World Rugby de tenir compte du flux des réseaux sociaux et des critiques médiatiques : même s'il n'a pas été brillant, le Néo-Zélandais constitue - avec l'Anglais Wayne Barnes et l'Australien Angus Gardner - le panel de directeurs de jeu prévus pour les finales et les demi-finales, quatre autres arbitres restant en réserve.
Des nominations effectuées avant les résultats des matches
« Présenter la nomination de Ben O'Keeffe pour la demi-finale entre l'Angleterre et l'Afrique du Sud comme un soutien de la part de World Rugby après son quart de finale qui a suscité tant de polémiques, c'est aussi erroné que de considérer que sa nationalité néo-zélandaise le rend suspect au point de favoriser tel ou tel adversaire pour affronter les All Blacks en finale », lâche un membre de Word Rugby. D'autant qu'après avoir pris en compte les possibles confrontations, les nominations sont, d'après ce que nous savons, annoncées au groupe des arbitres de ce Mondial avant même les résultats des matches. C'est ainsi que Ben O'Keeffe était prévu pour la demi-finale de samedi, quel qu'ait été le score de France-Afrique du Sud.
« Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? »
Un membre de World Rugby
« Nous ne nourrissons aucune suspicion concernant l'intégrité et l'éthique de nos arbitres, souligne un membre de World Rugby. Ce sujet n'est pas abordé. Il n'est même pas sous-jacent lors des discussions. Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? J'en doute... » D'après les informations recueillies auprès de nos sources, une chose est certaine, confiance totale est accordée à Ben O'Keeffe. Et sa performance, certes passable lors du quart de finale, scrutée en temps réel, puis analysée et restituée par un comité d'évaluation ad hoc composé de cinq membres, n'a pas le moins du monde entaché le crédit dont il dispose auprès de la direction de la haute performance de World Rugby, dont dépend la commission arbitrale.
On peut légitimement s'interroger sur l'étroit volant d'arbitres centraux dont dispose World Rugby, à savoir quatre Anglais, deux Australiens, deux Néo-Zélandais, et seulement un Irlandais, un Sud-Africain, un Français et un Géorgien, ce qui réduit d'autant les possibilités de nomination durant la phase finale.
Mais c'est aussi ce problème de « consanguinité » qui induit la présence peu ou prou des mêmes nations - Nouvelle-Zélande, Australie, France, Galles, Angleterre, Afrique du Sud - en demi-finales de cette compétition depuis plus de trente ans. Car, tel un chien se mordant la queue, les nations majeures en lice pour le titre mondial sont celles qui produisent les meilleurs arbitres internationaux. Pour preuve, à l'exception du Géorgien Nika Amashukeli, onze des douze directeurs de jeu de la présente édition officiaient au Japon, il y a quatre ans.
Ce qui est comique c’est qu’on dit partout qu’au niveau international, il faut être discipliné pour gagner mais tu te rends compte qu’en fait c’est pas le cas, et que s’il y a peu de faute c’est que les fautes sifflées habituellement ne le sont pas…
On a changé les règles sur ce match, mais on a oublié de le dire aux Français
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
La Coupe du monde de rugby « gâchée comme jamais » par un tirage au sort effectué « des années trop tôt », selon les médias étrangers
https://www.lemonde.fr/sport/article/2023/10/21/la-coupe-du-monde-de-rugby-gachee-comme-jamais-par-un-tirage-au-sort-effectue-des-annees-trop-tot-selon-les-medias-etrangers_6195843_3242.html
https://www.lemonde.fr/sport/article/2023/10/21/la-coupe-du-monde-de-rugby-gachee-comme-jamais-par-un-tirage-au-sort-effectue-des-annees-trop-tot-selon-les-medias-etrangers_6195843_3242.html
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.courrierinternational.com/article/rugby-irlandais-ecossais-gallois-et-meme-francais-rangez-vous-derriere-les-anglais
Rugby. Irlandais, Écossais, Gallois… et même Français, rangez-vous derrière les Anglais !
Pour l’honneur de l’hémisphère Nord, le XV de la Rose doit battre l’Afrique du Sud (le 21 octobre à 21 heures) puis remporter la Coupe du monde, clame ce journaliste. Qui invite, avec une mauvaise foi tout assumée, les voisins de l’Angleterre à mettre de côté les rivalités tant historiques que rugbystiques.
The Daily Telegraph
Je vois d’ici un petit sourire narquois se dessiner sur les visages de mes amis gallois, écossais et irlandais. Mais laissez-moi aller au bout du raisonnement. Pour la demi-finale de samedi [21 octobre entre l’Angleterre et l’Afrique du Sud], les amateurs de rugby des autres home nations [nations constitutives du Royaume-Uni] – et aussi d’ailleurs de France, d’Italie et de toutes les nations européennes de rugby – feraient bien de laisser de côté la tradition, de ravaler temporairement leur animosité et de soutenir l’Angleterre.
Voici un conseil pour les lecteurs de Cardiff, de Dublin et d’Édimbourg, élevés dans cette idée qu’ils doivent soutenir n’importe quelle équipe, sauf les Anglais : même si la tentation est grande, n’allez pas vous acheter un maillot vert, changer de nom pour De Kock [nom d’un ancien joueur des Springbocks et d’un ancien capitaine de l’équipe de cricket nationale] ou vous faire faire un tatouage en hommage à Siya Kolisi [le capitaine sud-africain]. Au contraire, dites-vous pour une fois qu’il pourrait être bon que l’Angleterre s’adjuge la victoire.
Tout le monde déteste l’Angleterre
Certes, il n’y a rien de mal à ne pas aimer l’Angleterre. La rivalité entre les différents groupes de supporteurs fait tout le charme du Tournoi des Six Nations. Elle met du piment dans tous les matchs, sans presque jamais dégénérer en hostilité. Les jours des matchs du Tournoi des Six Nations, autour des stades, l’ambiance des pubs est à une hostilité bon enfant, qui se manifeste par des moqueries et des plaisanteries, et non par des altercations et des bagarres. Ces rivalités sont très ancrées, et à bien des égards, elles trahissent la personnalité des supporteurs.
D’ailleurs, n’importe quel rugbyman ayant défendu les couleurs du XV de la Rose vous le confirmera, la situation peut se résumer ainsi : tout le monde déteste l’Angleterre. Les Écossais, les Gallois et les Irlandais sont unis dans leur mépris des Anglais. Pour exprimer leur antipathie, ils accusent généralement l’adversaire d’arrogance et de démesure, se référant à l’histoire. Cette saison, on entend aussi beaucoup de mots méprisants comme “ennui” ou “aberrations” dans le jeu.
Au-delà des prises de bec locales
Depuis le mois de septembre, les puristes gallois, écossais et irlandais du rugby ne cessent de répéter que, dans l’intérêt du sport, il vaut mieux voir l’Angleterre évincée le plus tôt possible de la compétition. Or les Anglais sont encore là.
Et puis il faut se rendre à l’évidence : cette demi-finale n’opposera pas deux équipes des Six Nations. Il s’agit d’une Coupe du monde, ce sera un match d’une portée bien plus grande que les prises de bec locales annuelles. Cette compétition va décider de l’épicentre du rugby mondial. Dès lors, il serait peut-être temps d’enterrer les vieilles querelles.
Voici la dixième édition du tournoi pour la coupe Webb-Ellis, et pourtant, au cours de son histoire, l’une des home nations n’a été en finale qu’à quatre reprises, et n’a remporté le trophée qu’une seule fois. Le fait qu’à chaque fois ç’ait été l’Angleterre devrait provoquer une certaine consternation de la part de ceux qui sont attachés aux traditions du rugby en Grande-Bretagne et en Irlande.
Docteur Owen en rouge, Mister Farrell en blanc
Par ailleurs, si la Nouvelle-Zélande rencontre l’Afrique du Sud samedi de la semaine prochaine [le 28 octobre] en finale, comme c’est prévisible, ce sera un nouveau camouflet pour le rugby britannique et irlandais. Et ce sera encore une preuve éclatante de la supériorité de l’hémisphère Sud. Quant à ceux d’entre vous qui ne s’intéressent guère à la prestation d’autres home nations contre les géants du Sud, qui ne se soucient que des chances de réussite du pays de Galles, de l’Écosse ou de l’Irlande, qu’ils gardent cela à l’esprit la prochaine fois qu’ils seront au bar de leur club de rugby local, pendant un petit-déjeuner, à s’enthousiasmer pour les Lions [équipe regroupant les meilleurs joueurs britanniques et irlandais pour des tournées dans l’hémisphère Sud] en pleine action à Sydney, Auckland ou Johannesburg.
En effet, si vous pouvez acclamer Owen Farrell quand il marque un drop de dernière minute sous le maillot rouge des Lions, vous n’aurez pas trop de mal à l’applaudir quand il fera la même chose en portant un maillot blanc anglais. Au moins, retenez-vous de le huer.
À vrai dire, nous savons tous que nous n’avons pas trop d’illusions à nous faire quant aux chances de l’Angleterre samedi. La probabilité de voir Farrell et ses coéquipiers faire autre chose que subir l’assaut des Springboks est proche de zéro. Raison de plus d’être derrière eux. C’est ainsi que nous, les Britanniques, nous soutenons ceux qu’on donne perdants, quand bien même il s’agit de l’équipe d’Angleterre.
Les Anglais feraient pareil, non ?
Et franchement, Kanye West a plus de chances de se faire inviter à dîner chez Taylor Swift [les deux artistes américains se livrent à une querelle publique depuis des années] que l’équipe du sélectionneur Steve Borthwick de surclasser les champions du monde.
Enfin, une chose est sûre, les home nations ont besoin d’une victoire de l’Angleterre. Et puis si vous voulez rendre cette idée plus acceptable, considérez les choses ainsi : si l’équipe qui est arrivée seulement quatrième du tournoi au printemps accède à la finale, n’est-ce pas révélateur de la bonne santé des Six Nations ?
Mais rassurez-vous, alors même que, contrairement à vos habitudes, vous acclamerez l’Angleterre pour sa victoire, si les rôles étaient inversés et si c’était le pays de Galles, l’Écosse ou l’Irlande qui affrontaient l’Afrique du Sud en demi-finale, tous les supporteurs anglais soutiendraient cette autre nation. Vous ne croyez pas ?
Jim White
Rugby. Irlandais, Écossais, Gallois… et même Français, rangez-vous derrière les Anglais !
Pour l’honneur de l’hémisphère Nord, le XV de la Rose doit battre l’Afrique du Sud (le 21 octobre à 21 heures) puis remporter la Coupe du monde, clame ce journaliste. Qui invite, avec une mauvaise foi tout assumée, les voisins de l’Angleterre à mettre de côté les rivalités tant historiques que rugbystiques.
The Daily Telegraph
Je vois d’ici un petit sourire narquois se dessiner sur les visages de mes amis gallois, écossais et irlandais. Mais laissez-moi aller au bout du raisonnement. Pour la demi-finale de samedi [21 octobre entre l’Angleterre et l’Afrique du Sud], les amateurs de rugby des autres home nations [nations constitutives du Royaume-Uni] – et aussi d’ailleurs de France, d’Italie et de toutes les nations européennes de rugby – feraient bien de laisser de côté la tradition, de ravaler temporairement leur animosité et de soutenir l’Angleterre.
Voici un conseil pour les lecteurs de Cardiff, de Dublin et d’Édimbourg, élevés dans cette idée qu’ils doivent soutenir n’importe quelle équipe, sauf les Anglais : même si la tentation est grande, n’allez pas vous acheter un maillot vert, changer de nom pour De Kock [nom d’un ancien joueur des Springbocks et d’un ancien capitaine de l’équipe de cricket nationale] ou vous faire faire un tatouage en hommage à Siya Kolisi [le capitaine sud-africain]. Au contraire, dites-vous pour une fois qu’il pourrait être bon que l’Angleterre s’adjuge la victoire.
Tout le monde déteste l’Angleterre
Certes, il n’y a rien de mal à ne pas aimer l’Angleterre. La rivalité entre les différents groupes de supporteurs fait tout le charme du Tournoi des Six Nations. Elle met du piment dans tous les matchs, sans presque jamais dégénérer en hostilité. Les jours des matchs du Tournoi des Six Nations, autour des stades, l’ambiance des pubs est à une hostilité bon enfant, qui se manifeste par des moqueries et des plaisanteries, et non par des altercations et des bagarres. Ces rivalités sont très ancrées, et à bien des égards, elles trahissent la personnalité des supporteurs.
D’ailleurs, n’importe quel rugbyman ayant défendu les couleurs du XV de la Rose vous le confirmera, la situation peut se résumer ainsi : tout le monde déteste l’Angleterre. Les Écossais, les Gallois et les Irlandais sont unis dans leur mépris des Anglais. Pour exprimer leur antipathie, ils accusent généralement l’adversaire d’arrogance et de démesure, se référant à l’histoire. Cette saison, on entend aussi beaucoup de mots méprisants comme “ennui” ou “aberrations” dans le jeu.
Au-delà des prises de bec locales
Depuis le mois de septembre, les puristes gallois, écossais et irlandais du rugby ne cessent de répéter que, dans l’intérêt du sport, il vaut mieux voir l’Angleterre évincée le plus tôt possible de la compétition. Or les Anglais sont encore là.
Et puis il faut se rendre à l’évidence : cette demi-finale n’opposera pas deux équipes des Six Nations. Il s’agit d’une Coupe du monde, ce sera un match d’une portée bien plus grande que les prises de bec locales annuelles. Cette compétition va décider de l’épicentre du rugby mondial. Dès lors, il serait peut-être temps d’enterrer les vieilles querelles.
Voici la dixième édition du tournoi pour la coupe Webb-Ellis, et pourtant, au cours de son histoire, l’une des home nations n’a été en finale qu’à quatre reprises, et n’a remporté le trophée qu’une seule fois. Le fait qu’à chaque fois ç’ait été l’Angleterre devrait provoquer une certaine consternation de la part de ceux qui sont attachés aux traditions du rugby en Grande-Bretagne et en Irlande.
Docteur Owen en rouge, Mister Farrell en blanc
Par ailleurs, si la Nouvelle-Zélande rencontre l’Afrique du Sud samedi de la semaine prochaine [le 28 octobre] en finale, comme c’est prévisible, ce sera un nouveau camouflet pour le rugby britannique et irlandais. Et ce sera encore une preuve éclatante de la supériorité de l’hémisphère Sud. Quant à ceux d’entre vous qui ne s’intéressent guère à la prestation d’autres home nations contre les géants du Sud, qui ne se soucient que des chances de réussite du pays de Galles, de l’Écosse ou de l’Irlande, qu’ils gardent cela à l’esprit la prochaine fois qu’ils seront au bar de leur club de rugby local, pendant un petit-déjeuner, à s’enthousiasmer pour les Lions [équipe regroupant les meilleurs joueurs britanniques et irlandais pour des tournées dans l’hémisphère Sud] en pleine action à Sydney, Auckland ou Johannesburg.
En effet, si vous pouvez acclamer Owen Farrell quand il marque un drop de dernière minute sous le maillot rouge des Lions, vous n’aurez pas trop de mal à l’applaudir quand il fera la même chose en portant un maillot blanc anglais. Au moins, retenez-vous de le huer.
À vrai dire, nous savons tous que nous n’avons pas trop d’illusions à nous faire quant aux chances de l’Angleterre samedi. La probabilité de voir Farrell et ses coéquipiers faire autre chose que subir l’assaut des Springboks est proche de zéro. Raison de plus d’être derrière eux. C’est ainsi que nous, les Britanniques, nous soutenons ceux qu’on donne perdants, quand bien même il s’agit de l’équipe d’Angleterre.
Les Anglais feraient pareil, non ?
Et franchement, Kanye West a plus de chances de se faire inviter à dîner chez Taylor Swift [les deux artistes américains se livrent à une querelle publique depuis des années] que l’équipe du sélectionneur Steve Borthwick de surclasser les champions du monde.
Enfin, une chose est sûre, les home nations ont besoin d’une victoire de l’Angleterre. Et puis si vous voulez rendre cette idée plus acceptable, considérez les choses ainsi : si l’équipe qui est arrivée seulement quatrième du tournoi au printemps accède à la finale, n’est-ce pas révélateur de la bonne santé des Six Nations ?
Mais rassurez-vous, alors même que, contrairement à vos habitudes, vous acclamerez l’Angleterre pour sa victoire, si les rôles étaient inversés et si c’était le pays de Galles, l’Écosse ou l’Irlande qui affrontaient l’Afrique du Sud en demi-finale, tous les supporteurs anglais soutiendraient cette autre nation. Vous ne croyez pas ?
Jim White
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Italie/France du Tournoi on prends 10 pénalités en 30 mn, on pouvait plus mettre un doigt dans les rucks, attention messieurs dame on va favoriser le jeu d’attaque . Et la guerre, le chaos. Allez passez votre chemin. En tout ca a moi je le passe.Scalp a écrit:latine a écrit:densnewzealand a écrit:Consanguinité !! Ah oui quand même . Le mot est lâché . Je voulais pas l’employer, mais si notre quotidien sportif plutôt mesuré l’emploie, alors que dire? Ça implique, contrôle, pas de remise en cause, donc si O’Keefe avait décidé se laisser les joueurs se débrouiller, que sont TMO était parti aux toilettes, que ces arbitres de touche n’auraient signalé aucunes fautes , le départ de Kolbe par exemple, ne siffler que la moitié des fautes il était assuré d’arbitrer une demi finale? Mais c’est exactement ce qui s’est passé !! D’ailleurs les amis vous vous souvenez quand même que l’arbitre de Fidi/PDG Carley , pourtant épinglé par tout le monde a arbitré 3 hours après !! Tout simplement parce que les arbitres sont contrôlés, de petites marionnettes, la je sens que dans 1/2 saisons vous verrez de plus en plus le petit blondinet , j’ai plus le nom, qui nous avait saladé à la maison la saison dernière. Ils ont mis OKeefe volontairement, pas pour arbitrer contre nous, trop malins, mais parce que sont style, laxiste ou plutôt à la Bernardo correspondait au style de jeu des sudafs. Voilà c’est vicieux et vicié. Uniquement 12 pénalités dans le chaos que fut ce match! Réveillez vous FFR!Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Pourquoi-l-arbitre-de-france-afrique-du-sud-le-neo-zelandais-ben-o-keeffe-a-ete-choisi-pour-une-demi-finale/1426653
Pourquoi l'arbitre de France-Afrique du Sud, Ben O'Keeffe, a été choisi pour une demi-finale
Considéré actuellement comme l'un des quatre meilleurs arbitres au monde avec l'Anglais Wayne Barnes, l'Australien Angus Gardner et le Sud-Africain Jaco Peyper, le Néo-Zélandais Ben O'Keeffe était pressenti pour arbitrer une demi-finale avant même que ne soit donné le coup d'envoi de son quart entre la France et l'Afrique du Sud.
Richard Escot
Le prince des arbitres français, Jacques Muntz, écrivait en 1935 : « Le rugby est un jeu d'échecs joué à toute allure. » Captation vidéo, analyse image par image devant une rangée d'écrans et liens audio n'y changent finalement pas grand-chose : l'arbitre de champ prend souvent seul sa décision, et la métaphore de l'échiquier garni de pièces se déplaçant à la vitesse d'un sprinteur olympique raconte bien la difficulté que nous avons tous, observateurs, joueurs, arbitres, entraîneurs, à percevoir en temps réel tous les mouvements de ce jeu polymorphe.
Ceci dit pour bien comprendre le contexte dans lequel évoluent les arbitres de champ, il en est du directeur de jeu comme des joueurs internationaux : il lui arrive d'obtenir une note moyenne. D'après nos informations, si la performance de Ben O'Keeffe - comme celle d'une grande majorité de Tricolores - a été loin d'être parfaite lors du quart de finale entre la France et l'Afrique du Sud, « il n'est pas descendu en dessous des standards requis », précise notre source. Pas question pour World Rugby de tenir compte du flux des réseaux sociaux et des critiques médiatiques : même s'il n'a pas été brillant, le Néo-Zélandais constitue - avec l'Anglais Wayne Barnes et l'Australien Angus Gardner - le panel de directeurs de jeu prévus pour les finales et les demi-finales, quatre autres arbitres restant en réserve.
Des nominations effectuées avant les résultats des matches
« Présenter la nomination de Ben O'Keeffe pour la demi-finale entre l'Angleterre et l'Afrique du Sud comme un soutien de la part de World Rugby après son quart de finale qui a suscité tant de polémiques, c'est aussi erroné que de considérer que sa nationalité néo-zélandaise le rend suspect au point de favoriser tel ou tel adversaire pour affronter les All Blacks en finale », lâche un membre de Word Rugby. D'autant qu'après avoir pris en compte les possibles confrontations, les nominations sont, d'après ce que nous savons, annoncées au groupe des arbitres de ce Mondial avant même les résultats des matches. C'est ainsi que Ben O'Keeffe était prévu pour la demi-finale de samedi, quel qu'ait été le score de France-Afrique du Sud.
« Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? »
Un membre de World Rugby
« Nous ne nourrissons aucune suspicion concernant l'intégrité et l'éthique de nos arbitres, souligne un membre de World Rugby. Ce sujet n'est pas abordé. Il n'est même pas sous-jacent lors des discussions. Poserait-on la question si la France était en demi-finales et que Mathieu Raynal arbitrait l'autre demi-finale ? J'en doute... » D'après les informations recueillies auprès de nos sources, une chose est certaine, confiance totale est accordée à Ben O'Keeffe. Et sa performance, certes passable lors du quart de finale, scrutée en temps réel, puis analysée et restituée par un comité d'évaluation ad hoc composé de cinq membres, n'a pas le moins du monde entaché le crédit dont il dispose auprès de la direction de la haute performance de World Rugby, dont dépend la commission arbitrale.
On peut légitimement s'interroger sur l'étroit volant d'arbitres centraux dont dispose World Rugby, à savoir quatre Anglais, deux Australiens, deux Néo-Zélandais, et seulement un Irlandais, un Sud-Africain, un Français et un Géorgien, ce qui réduit d'autant les possibilités de nomination durant la phase finale.
Mais c'est aussi ce problème de « consanguinité » qui induit la présence peu ou prou des mêmes nations - Nouvelle-Zélande, Australie, France, Galles, Angleterre, Afrique du Sud - en demi-finales de cette compétition depuis plus de trente ans. Car, tel un chien se mordant la queue, les nations majeures en lice pour le titre mondial sont celles qui produisent les meilleurs arbitres internationaux. Pour preuve, à l'exception du Géorgien Nika Amashukeli, onze des douze directeurs de jeu de la présente édition officiaient au Japon, il y a quatre ans.
Ce qui est comique c’est qu’on dit partout qu’au niveau international, il faut être discipliné pour gagner mais tu te rends compte qu’en fait c’est pas le cas, et que s’il y a peu de faute c’est que les fautes sifflées habituellement ne le sont pas…
On a changé les règles sur ce match, mais on a oublié de le dire aux Français
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Interview sympa de Louis Picamoles, sincère et humble.
extraits
Quel joueur du XV de France vous a le plus impressionné durant la compétition ?
L.P : J'ai été enthousiasmé par cette équipe dans sa globalité. J'ai toujours un peu de mal à retirer un individu dans un sport collectif comme le rugby. Néanmoins, j'ai aimé la Coupe du monde de Grégory Alldritt à l'image du joueur et de l'engagement qu'il met dans ses matchs. Il ne s'est pas économisé sur cette Coupe du monde. Il a une régularité à chaque fois dans l'effort. On est jamais déçu par ce joueur. C'est la marque des grands. C'est la différence entre lui et moi. J'avais cette faculté des fois à passer à côté. Lui, il a une régularité impressionnante. C'est un acharné de travail et résiliant. Avec Ardie Savea, ce sont les deux joueurs qui sont au-dessus du lot à leur poste avec un style différent.
Vous voulez aussi souligner la performance d'autres joueurs du XV de France...
L.P : Oui... J'ai adoré la Coupe du monde de Peato Mauvaka. Il avait un statut de numéro deux au début. Avec la blessure de Julien Marchand, il est passé titulaire. Il a montré qu'il avait l'étoffe d'être numéro un à ce poste. Matthieu Jalibert aussi ! Il y avait beaucoup d'attente autour de lui après la blessure de Romain Ntamack, qui était le numéro un au poste. Certains pointaient un petit doute sur sa capacité à assumer la relève. Il a fait une très belle compétition.
https://actu.fr/sports/rugby/xv-de-france/coupe-du-monde-2023-louis-picamoles-livre-son-nouveau-favori-je-ne-vois-pas-qui-peut-les-arreter_60213309.html
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Quel joueur du XV de France vous a le plus impressionné durant la compétition ?
L.P : J'ai été enthousiasmé par cette équipe dans sa globalité. J'ai toujours un peu de mal à retirer un individu dans un sport collectif comme le rugby. Néanmoins, j'ai aimé la Coupe du monde de Grégory Alldritt à l'image du joueur et de l'engagement qu'il met dans ses matchs. Il ne s'est pas économisé sur cette Coupe du monde. Il a une régularité à chaque fois dans l'effort. On est jamais déçu par ce joueur. C'est la marque des grands. C'est la différence entre lui et moi. J'avais cette faculté des fois à passer à côté. Lui, il a une régularité impressionnante. C'est un acharné de travail et résiliant. Avec Ardie Savea, ce sont les deux joueurs qui sont au-dessus du lot à leur poste avec un style différent.
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L.P : Oui... J'ai adoré la Coupe du monde de Peato Mauvaka. Il avait un statut de numéro deux au début. Avec la blessure de Julien Marchand, il est passé titulaire. Il a montré qu'il avait l'étoffe d'être numéro un à ce poste. Matthieu Jalibert aussi ! Il y avait beaucoup d'attente autour de lui après la blessure de Romain Ntamack, qui était le numéro un au poste. Certains pointaient un petit doute sur sa capacité à assumer la relève. Il a fait une très belle compétition.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
biscouette a écrit:Interview sympa de Louis Picamoles, sincère et humble.
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Quel joueur du XV de France vous a le plus impressionné durant la compétition ?
L.P : J'ai été enthousiasmé par cette équipe dans sa globalité. J'ai toujours un peu de mal à retirer un individu dans un sport collectif comme le rugby. Néanmoins, j'ai aimé la Coupe du monde de Grégory Alldritt à l'image du joueur et de l'engagement qu'il met dans ses matchs. Il ne s'est pas économisé sur cette Coupe du monde. Il a une régularité à chaque fois dans l'effort. On est jamais déçu par ce joueur. C'est la marque des grands. C'est la différence entre lui et moi. J'avais cette faculté des fois à passer à côté. Lui, il a une régularité impressionnante. C'est un acharné de travail et résiliant. Avec Ardie Savea, ce sont les deux joueurs qui sont au-dessus du lot à leur poste avec un style différent.
Vous voulez aussi souligner la performance d'autres joueurs du XV de France...
L.P : Oui... J'ai adoré la Coupe du monde de Peato Mauvaka. Il avait un statut de numéro deux au début. Avec la blessure de Julien Marchand, il est passé titulaire. Il a montré qu'il avait l'étoffe d'être numéro un à ce poste. Matthieu Jalibert aussi ! Il y avait beaucoup d'attente autour de lui après la blessure de Romain Ntamack, qui était le numéro un au poste. Certains pointaient un petit doute sur sa capacité à assumer la relève. Il a fait une très belle compétition.
https://actu.fr/sports/rugby/xv-de-france/coupe-du-monde-2023-louis-picamoles-livre-son-nouveau-favori-je-ne-vois-pas-qui-peut-les-arreter_60213309.html
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Etchetera a écrit:Je sens pourtant la victoire surprise de l'Angleterre ce soir....grâce à l'arbitre (qui a les oreilles qui sifflent depuis la sodomie de notre quart) et qui va être beaucoup moins généreux avec les sud-Af, bien au contraire à mon avis. Il a une pression énorme!
C'est incroyable qu'il arbitre la même équipe en quart puis en demi. Je n'en reviens toujours pas.
A la mi-temps, j'ai tout bon ....en plus, un temps bien pourri! tout est réuni.....
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Etchetera a écrit:Etchetera a écrit:Je sens pourtant la victoire surprise de l'Angleterre ce soir....grâce à l'arbitre (qui a les oreilles qui sifflent depuis la sodomie de notre quart) et qui va être beaucoup moins généreux avec les sud-Af, bien au contraire à mon avis. Il a une pression énorme!
C'est incroyable qu'il arbitre la même équipe en quart puis en demi. Je n'en reviens toujours pas.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
LaRuine33 a écrit:Etchetera a écrit:Etchetera a écrit:Je sens pourtant la victoire surprise de l'Angleterre ce soir....grâce à l'arbitre (qui a les oreilles qui sifflent depuis la sodomie de notre quart) et qui va être beaucoup moins généreux avec les sud-Af, bien au contraire à mon avis. Il a une pression énorme!
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Match le plus pourri de cette coupe du monde… Bravo les gars
Quel que soit le vainqueur il devrait se faire défoncer en finale (j'espère).
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
biscouette a écrit:LaRuine33 a écrit:Etchetera a écrit:Etchetera a écrit:Je sens pourtant la victoire surprise de l'Angleterre ce soir....grâce à l'arbitre (qui a les oreilles qui sifflent depuis la sodomie de notre quart) et qui va être beaucoup moins généreux avec les sud-Af, bien au contraire à mon avis. Il a une pression énorme!
C'est incroyable qu'il arbitre la même équipe en quart puis en demi. Je n'en reviens toujours pas.
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Match le plus pourri de cette coupe du monde… Bravo les gars
Quel que soit le vainqueur il devrait se faire défoncer en finale (j'espère).
Quel bel arbitrage, on voit sur la caméra en hauteur le pilier de l'Afrique du Sud qui pousse en travers et il a la pénalité...à pleurer
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
MINABLE!
On nous a volé notre finale France-NZ
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
O’Keefe : oh putain in ruck , je me casses à 10 mètres débrouillez vous .ce mec est une escroquerie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Cette coupe du monde aurait dû s appeler:
Il faut sauver le soldat Hémisphère Sud.
J ai rien dit jusqu'à ce soir j attendais la conclusion de ce cirque, c est trop bidon cette coupe du monde.
La France et l Irlande sont les meilleures nations du rugby aujourd hui point barre. Je crois que c est Dens qui le disait le gros problème c est que cette coupe du monde ne fait pas de la pub pour ce sport, les supporters moyen non initié, se sont aperçu de l arbitrage complètement à la rue dans cette coupe du monde.
C est dommage qu un tel évènement sportif soit rempli de magouille pour mettre en avant l Hémisphère Sud qui ne va pas au mieux.
Il faut sauver le soldat Hémisphère Sud.
J ai rien dit jusqu'à ce soir j attendais la conclusion de ce cirque, c est trop bidon cette coupe du monde.
La France et l Irlande sont les meilleures nations du rugby aujourd hui point barre. Je crois que c est Dens qui le disait le gros problème c est que cette coupe du monde ne fait pas de la pub pour ce sport, les supporters moyen non initié, se sont aperçu de l arbitrage complètement à la rue dans cette coupe du monde.
C est dommage qu un tel évènement sportif soit rempli de magouille pour mettre en avant l Hémisphère Sud qui ne va pas au mieux.
Yatangaki- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Comme tu dis…Etchetera a écrit:MINABLE!
On nous a volé notre finale France-NZ
Quelle merde pour notre sport…
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Monsieur un point d’écart, je pèse sur les matchs
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