Transferts (Autres clubs)

https://rugbyprime.com/2024/08/21/top-14-leo-barre-a-fait-son-choix-il-reste-au-stade-francais/

Teddy Thomas sur le départ, des discussions entamées avec Bayonne

https://actu.fr/nouvelle-aquitaine/bayonne_64102/teddy-thomas-sur-le-depart-des-discussions-entamees-avec-bayonne_61512744.html

Scalp a écrit:

https://x.com/RugbyInterview/status/1826549975171428729

Une idée comme ça, mais pourquoi on ne pourrait pas se positionner sur Graou, comme LR est venu se positionner sur Tatafu au dernier moment. Je ne vois pas ce qui pourrait l'empêcher. Son style de jeu colle à notre système, il aurait une place de 1bis, dans un club qui a quand même de meilleures perspectives de titre que Bayonne, ça pourrait peut-être lui convenir

Scalp a écrit:

Scalp a écrit:

https://x.com/RugbyInterview/status/1826549975171428729

Une idée comme ça, mais pourquoi on ne pourrait pas se positionner sur Graou, comme LR est venu se positionner sur Tatafu au dernier moment. Je ne vois pas ce qui pourrait l'empêcher. Son style de jeu colle à notre système, il aurait une place de 1bis, dans un club qui a quand même de meilleures perspectives de titre que Bayonne, ça pourrait peut-être lui convenir

Mon avis sur Graou, c'est qu'à l'instar d'autres joueurs, comme Roumat par exemple, c'est qu'il est porté par le collectif toulousain. Je ne suis pas certain qu'il soit aussi performant dans un autre club.

Roberto Miopalmo a écrit:

Scalp a écrit:

Scalp a écrit:

https://x.com/RugbyInterview/status/1826549975171428729

Une idée comme ça, mais pourquoi on ne pourrait pas se positionner sur Graou, comme LR est venu se positionner sur Tatafu au dernier moment. Je ne vois pas ce qui pourrait l'empêcher. Son style de jeu colle à notre système, il aurait une place de 1bis, dans un club qui a quand même de meilleures perspectives de titre que Bayonne, ça pourrait peut-être lui convenir

Mon avis sur Graou, c'est qu'à l'instar d'autres joueurs, comme Roumat par exemple, c'est qu'il est porté par le collectif toulousain. Je ne suis pas certain qu'il soit aussi performant dans un autre club.

Tu as peut-être raison, mais finalement, il trouverait également un bon collectif à l'UBB, j'aime bien la vitesse qu'il met au jeu. Mais évidement, c'est une pure spéculation, pas du tout évident que ce joueur intéresse le club, comme lui s'intéresserait à l'UBB…, le deal avec Bayonne est probablement déjà bien ficelé.

Top 14 : Teddy Thomas dans le viseur de Bayonne pour la saison prochaine ?

https://rugbyprime.com/2024/08/22/top-14-teddy-thomas-dans-le-viseur-de-bayonne-pour-la-saison-prochaine/

Il serait proche du BO également

Ben33 a écrit:Il serait proche du BO également

Il part dans tous les sens

Scalp a écrit:

Ben33 a écrit:Il serait proche du BO également

Il part dans tous les sens

Ouais mais un retour au BO aurait du sens.

Jacky considère vraiment ses joueurs comme des objets étant sa propriété. Navrant.

Switch a écrit:Jacky considère vraiment ses joueurs comme des objets étant sa propriété. Navrant.

Une stratégie qui s'annonce complétement productive

https://www.rugbyrama.fr/2024/08/23/transfertstop-14-info-midi-olympique-leo-barre-a-prolonge-son-contrat-jusquen-2029-au-stade-francais-12155278.php

le radis a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2024/08/23/transfertstop-14-info-midi-olympique-leo-barre-a-prolonge-son-contrat-jusquen-2029-au-stade-francais-12155278.php

Finalement, il ne s'est pas barré

On n'est pas tous des fadas non plus

varmatin.com
"On se comprend car on parle rugby", Kyle Sinckler explique son état d’esprit, lui qui ne compte "rien laisser au hasard" avec le RCT
Pierrick Ilic-Ruffinatti
3–4 minutes
Bien loin du Kyle Sinckler turbulent de l’enfance, le pilier anglais de 31 ans (69 capes) est désormais en mission. Déterminé à réussir à Toulon, il ne compte pas se laisser distraire par la vie (très) attractive du sud de la France.

Publié le 20/08/2024 à 21:15, mis à jour le 20/08/2024 à 21:15

Gamin, Kyle Sinckler reconnaît avoir été « turbulent, voire insolent ». « Je ne tenais pas en place. Et je voulais qu’on me remarque. Alors je faisais beaucoup de bruit… À l’école, mes profs vous diront qu’ils m’entendaient avant de me voir… »

Une image qui tranche avec le Kyle Sinckler au ton posé que nous avons rencontré lors du stage en Ardèche. Parce qu’il a grandi ? Mûri ? « En même temps, c’était il y a plus de 20 ans (rires). Non, en réalité le rugby et la vie m’ont appris qu’il fallait une rigueur de tous les instants. Il ne faut jamais se relâcher, croire que tu es arrivé. Alors désormais, plus rien ne me distrait, ne m’éloigne de mon chemin. Je sais ce que je veux faire. Et comment le faire. Oui, Toulon est une région incroyable, nous avons de belles maisons, il y a beaucoup de choses à voir et nous avons de nombreuses sollicitations… Mais la seule chose qui compte, c’est le rugby. »

« Ne rien laisser au hasard »

Et de détailler : « Vous voyez, vous parlez français, je parle anglais mais on se comprend car on parle rugby. C’est notre langage universel. Et soyez certain que tous les joueurs qui ont eu du succès en venant à Toulon, l’ont eu parce qu’ils parlaient rugby et ne se dispersaient pas. Je suis donc concentré, déterminé. »

De quoi imaginer qu’après avoir eu une jeunesse des plus classiques, il mène désormais une vie de moine une fois sorti du Campus RCT ? « De moine non, mais quand je rentre, je dors, je balade mes chiens, je profite du soleil pour recharger les batteries et de la mer pour faire ma récupération. Je ne veux rien laisser au hasard, car je veux être bon sur le terrain. »

Déterminé à réussir dans le club « qui [le] fait rêver depuis 15 ans », Kyle Sinckler ne compte pas avoir de regrets sur la rade.



varmatin.com
"La notion de numéro 1 est particulière au poste de pilier", la recrue toulonnaise Kyle Sinckler évoque sa concurrence avec Beka Gigashvili
Pierrick Ilic-Ruffinatti
~2 minutes

Même s’il arrive avec un statut de rockstar, Kyle Sinckler sait que le rôle de n°1 ne lui est pas garanti à Toulon. Pas que l’Anglais (69 capes) ne manque de talent, bien au contraire. Mais parce qu’il devra jouer des coudes avec Beka Gigashvili, reconnu comme l’un des meilleurs spécialistes du poste à travers la planète ovale. Et intouchable depuis son arrivée à Toulon, en 2019.
"Même remplaçant, tu peux jouer 35 minutes"

"La notion de “numéro 1" est particulière au poste de pilier. Nous avons trop besoin les uns des autres. Même s’il est l’un des meilleurs droitiers du monde, Beka aura besoin de moi, comme j’aurais besoin de lui. On ne peut pas jouer tous les matchs. tre plusieurs, c’est ce qui permet de garder de la fraîcheur, de la motivation. Peut-être qu’il démarrera certains matchs que je terminerai. Ou l’inverse. Si tu es demi de mêlée ou arrière, il y a une vraie hiérarchie. Pas pour nous. Car même si tu es remplaçant, tu peux jouer 30-35 minutes. Le Top 14 est un marathon, aucun pilier ne peut jouer 80 minutes chaque week-end. Je ne vois donc pas Beka comme un concurrent, bien au contraire. »



varmatin.com
"Je me suis pris de passion pour le RCT": Kyle Sinckler explique comment il est tombé amoureux de Toulon au début des années 2010
Pierrick Ilic-Ruffinatti
8–10 minutes

C’est un monstre du rugby anglais qui a posé ses valises sur la rade. Avec Kyle Sinckler, ce ne sont pas moins de 69 capes avec le XV de la Rose et 7 avec les Lions Britanniques qui ont débarqué au RCT. Au point, alors qu’il arrive – à 31 ans – à l’âge où les piliers paraissent les plus forts, de s’étonner qu’il privilégie sa carrière en club à celle en sélection? Souriant, l’ancien droitier de Bristol a accepté de revenir sur ce choix qui a pu surprendre.

Comment se passe votre début d’aventure?

La météo est dure pour un Anglais. Quand je vois les degrés actuels, je me dis que même l’hiver à Toulon doit être plus chaud que l’été à Bristol (rires)! Plus sérieusement, je suis heureux d’être ici. J’ai d’ailleurs volontairement anticipé mon arrivée. La présaison démarrait le 23 juillet, mais je suis arrivé le 1er. Pour m’installer, trouver mes repères, savoir où j’allais acheter mes légumes, ma viande. Ou mettre de l’essence, également. Et connaître la route vers le centre d’entraînement par cœur, pour perdre le moins de temps possible. Car je n’ai aucun temps à perdre.

On vous sent en mission…

Il faut bien comprendre que jouer pour Toulon était un rêve pour moi. Depuis des années. Et vous pourriez croire que je dis ça pour faire plaisir aux supporters, mais ce n’est pas le cas. Dans ma carrière, j’ai eu le privilège de jouer pour de grands clubs, que ce soit les Harlequins ou Bristol. De porter le maillot de l’Angleterre, des Lions. Mais depuis que je suis gamin, je rêve de porter ce maillot. Toulon est un club différent. À part dans mon cœur.

Comment est-ce possible?

Comme tout jeune, même si j’étais passionné de rugby, je ne m’intéressais finalement qu’à la Premiership et à la sélection. Je ne prenais jamais le temps de regarder le moindre match de Top 14. Et puis un jour, Jonny [Wilkinson] a signé à Toulon [2009]. Waouh. La claque. Alors j’ai découvert le rugby français, et je suis tombé amoureux du RCT. Il y avait une âme particulière qui se dégageait sur le terrain. Et ensuite, il y a eu les frères Armitage, Simon Shaw et Andrew Sheridan… Alors je ne pouvais plus manquer un match du RCT. Si on ajoute des stars internationales comme mon idole Hayman, ou encore Bruno, Tillous-Borde, Basta, Giteau, Mitchell, Botha, Masoe, Suta… Je me suis pris de passion pour le RCT.

Et ensuite?

Grâce à cet intérêt pour le RCT, j’ai pu m’intéresser à la culture du rugby dans votre pays. Et j’ai découvert que vous aviez une "culture club" bien supérieure à la nôtre. Qui me fait penser à celle des Anglais en foot. Vous aimez votre équipe plus que tout au monde. Le rugby, ce n’est pas un sujet que vous prenez à la légère. Et c’est d’autant plus vrai à Toulon. Alors dès mon plus jeune âge, je me suis promis de découvrir, un jour, le rugby français. Et ça ne pouvait être sous un autre maillot que celui du RCT.

Auriez-vous pu venir plus tôt dans votre carrière à Toulon?

Je n’ai jamais prospecté en France avant cette saison. Donc je n’ai jamais eu la moindre opportunité. Mais cette fois, j’étais à l’écoute, prêt, et quand j’ai reçu un coup de fil de mon agent pour me dire que j’intéressais Toulon, c’était difficile de refuser. Venir jouer sous ce beau maillot, dans le meilleur championnat du monde… et c’est d’autant plus vrai pour les piliers! Que ce soit les potentiels champions ou les équipes de milieu de tableau, tous les clubs ont des piliers de niveau international. Je voulais venir me tester face à ce qui se fait de mieux. Ce sera l’occasion de savoir où j’en suis.

Venir à Toulon, c’est aussi accepter de mettre entre parenthèses votre carrière internationale… Comment avez-vous compris que c’était le moment de changer de projet?

C’était difficile et en même temps tellement évident, puisque je rejoignais un club qui me faisait rêver depuis quinze ans. Puis vous savez, j’ai la chance d’être à mon prime (1). Je n’ai pas de blessure, je suis en forme, j’ai 13 saisons pros dans les jambes et donc de l’expérience, je connais ma façon de travailler, de performer, ce qu’il faut faire pour être en forme le week-end… Je vous le dis, je suis à mon prime! Et c’est cool de savoir que cela coïncide avec ce nouveau challenge qui me tient à cœur. Alors je savais bien qu’en venant à Toulon, je devenais inéligible avec la sélection… Mais on ne sait jamais, le règlement pourrait évoluer? Qu’importe: je ne pouvais pas manquer cette opportunité de jouer à Toulon.

Mais si vous êtes convaincu d’arriver à votre meilleur niveau, pourquoi ne pas avoir choisi de le mettre à profit pour la sélection?

J’ai toujours voulu suivre mon cœur. Et parfois, dans la vie, si tu veux te lancer dans un nouveau projet, il faut accepter d’en abandonner d’autres. J’ai eu la chance de jouer pour mon pays, et j’aurais aimé continuer. J’aimerais d’ailleurs en avoir à nouveau l’opportunité, si la règle finie par changer… Mais qu’importe, j’ai pris cette décision. Puis pour moi, ne plus être sélectionnable ne veut pas dire que je vais régresser au niveau de mon rugby. Regardez Jack Willis. Il ne joue plus avec l’Angleterre, mais est probablement le meilleur troisième ligne du monde. Le Top 14, c’est l’occasion de disputer l’équivalent d’un test-match (2) tous les week-ends. Quand vous voyez Toulouse ou La Rochelle, leurs packs sont meilleurs que ceux de nombreuses, si ce n’est de toutes les sélections.

Vous pensez?

Je le sais! Et tant mieux, car j’ai faim. C’est aussi pour ça que j’ai voulu sortir de ma zone de confort. Nouvelle langue, nouvelle culture, nouveau rugby, beaucoup d’attentes… J’aurais pu rester en Angleterre, dans un rugby où j’évolue depuis 14-15 ans. Mais j’aime me mettre en danger. Voir ce que j’ai dans le ventre.

Avez-vous parlé de votre décision avec Steve Borthwick, le sélectionneur anglais?

J’ai un immense respect pour Steve. J’ai bossé avec lui pendant des années. Mais je pense que la meilleure chose pour notre relation était de m’en aller. Aujourd’hui, parler sur le terrain et jouer un grand rugby avec le RCT est la seule chose qui m’intéresse. Je veux retomber fou amoureux du rugby. Parfois c’est difficile d’entretenir la flamme quand tu fais la même chose tous les jours. Que ça devient plus un métier qu’une passion. Donc je sentais qu’en venant à Toulon, ça allait raviver ma passion. La culture, les discussions avec les fans, les traditions, ce club qui est le cœur de la ville, l’héritage…

Vous avez choisi Toulon, mais aviez-vous d’autres opportunités?

Oui, et certaines avec des contrats énormes. Mais mon cœur était déjà à Toulon. L’argent est important, mais mon amour pour le rugby est bien supérieur. Donc je n’ai pas hésité. Le jour où Pierre [Mignoni] m’a appelé, tout était réglé dans ma tête.

Pour parler de jeu, on vous perçoit comme un pilier "complet", aussi à l’aise en mêlée que dans le jeu. À 31 ans, sur quels aspects aimeriez-vous encore progresser?

Je vais répondre sur tous les points, mais c’est un peu simple, non (rires)? Alors disons plutôt que les attentes ont toujours été importantes à mon sujet. On veut que je sois bon en mêlée, que je porte le ballon, que je plaque, que je chasse… Tant mieux, car j’aime l’idée qu’un droitier ne soit pas juste là pour gagner des mêlées. Il n’empêche que je me connais, et que je sais que c’est ce secteur qui me permet de bien rentrer dans un match. Si ça se passe bien en mêlée, je sais que je peux me libérer. D’autant qu’on me répète qu’à Toulon, si tu avances sur chaque mêlée, tu peux être traité comme un dieu. C’est donc ma grande priorité. Le reste viendra ensuite.

1. Être à son prime signifie qu’il est au moment de sa carrière où il est le plus fort.

2. Test-match est le terme utilisé pour parler d’une rencontre internationale.

Lucio Sordoni va s'engager au Racing 92 comme joker médical de Demba Bamba

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Lucio-sordoni-va-s-engager-au-racing-92-comme-joker-medical-de-demba-bamba/1503734

Top 14 / Transferts – Baptiste Couilloud prolonge à Lyon pour cinq ans (Source Rugbyrama)

Si ça pouvait donner des idées à Matthieu pour rester chez nous :)

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Top 14 / Transferts – Baptiste Couilloud prolonge à Lyon pour cinq ans (Source Rugbyrama)

Si ça pouvait donner des idées à Matthieu pour rester chez nous :)

C’est beaucoup trop long, n’importe quel joueur a le temps de s’endormir sur cette durée. Pas du tout fan des ces contrat trop long…

Scalp a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Top 14 / Transferts – Baptiste Couilloud prolonge à Lyon pour cinq ans (Source Rugbyrama)

Si ça pouvait donner des idées à Matthieu pour rester chez nous :)

https://x.com/gauthierbaudin/status/1828862792591446046?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ

C’est beaucoup trop long, n’importe quel joueur a le temps de s’endormir sur cette durée. Pas du tout fan des ces contrat trop long…

Au moins ça verrouille tes joueurs clés. Si par exemple Matthieu veut signer pour 3 ou 4 ans au lieu de 2, je prends de suite. Ça peut être un point important pour attirer d'autres joueurs.

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Scalp a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Top 14 / Transferts – Baptiste Couilloud prolonge à Lyon pour cinq ans (Source Rugbyrama)

Si ça pouvait donner des idées à Matthieu pour rester chez nous :)

https://x.com/gauthierbaudin/status/1828862792591446046?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ

C’est beaucoup trop long, n’importe quel joueur a le temps de s’endormir sur cette durée. Pas du tout fan des ces contrat trop long…

Au moins ça verrouille tes joueurs clés. Si par exemple Matthieu veut signer pour 3 ou 4 ans au lieu de 2, je prends de suite. Ça peut être un point important pour attirer d'autres joueurs.

3 ans c’est parfait et je trouve que c’est le max souhaitable, comme on l’a vu avec Poirot et son +4, la sécurité peut anesthésier quelque peu la motivation…, on ne sait jamais ce que peut devenir un joueur sur une aussi longue période. Alors oui, il y a aussi des avantages, comme certainement de lisser le salaire, d’éviter des revalorisations en court de route, mais c’est comme faire un pari, je préfère qu’on fasse des points d’étapes plus rapprochés…

Bon courage Jacky