Transferts (Autres clubs)

Bon courage Jacky

Scalp a écrit:

https://x.com/tightfive_rugby/status/1828786165631066205?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ

Bon courage Jacky

Ce monstre....
Il a beau être chez Jacky, je regrette qu'il n'ait pas donné la pleine mesure de son talent ici.

Scalp a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Scalp a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Top 14 / Transferts – Baptiste Couilloud prolonge à Lyon pour cinq ans (Source Rugbyrama)

Si ça pouvait donner des idées à Matthieu pour rester chez nous :)

https://x.com/gauthierbaudin/status/1828862792591446046?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ

C’est beaucoup trop long, n’importe quel joueur a le temps de s’endormir sur cette durée. Pas du tout fan des ces contrat trop long…

Au moins ça verrouille tes joueurs clés. Si par exemple Matthieu veut signer pour 3 ou 4 ans au lieu de 2, je prends de suite. Ça peut être un point important pour attirer d'autres joueurs.

3 ans c’est parfait et je trouve que c’est le max souhaitable, comme on l’a vu avec Poirot et son +4, la sécurité peut anesthésier quelque peu la motivation…, on ne sait jamais ce que peut devenir un joueur sur une aussi longue période. Alors oui, il y a aussi des avantages, comme certainement de lisser le salaire, d’éviter des revalorisations en court de route, mais c’est comme faire un pari, je préfère qu’on fasse des points d’étapes plus rapprochés…

Les contrats longs ne me gênent absolument pas sur le principe. Il faut juste voir à qui on les fait signer.
On a malheureusement chez nous l'exemple type avec Poirot. Pour moi, et je sais qu'on est pas tous d'accord sur ce point, il y a eu un contrat long en contrepartie d'un renoncement à l'EDF (comme Lamerat d'ailleurs). Alors oui, peut être qu'il n'aurait plus été un premier choix, devenant le 4 ème ou 5 ème au poste en bleu, mais avec les méformes et les blessures, on est jamais à l'abris d'être rappelé. Et pour moi, ce renoncement sportif (ne plus vouloir être international) est un très mauvais signal. A cela s'ajoute les problèmes de santé (cervicales) de Poirot qui font qu'il n'a plus eu le même niveau de performance qu'entre 22 et 26 ans.
A Toulouse, à Lyon avec Couilloud, à Paris avec Barré... ils font signer des contrats longs à des mecs jeunes et/ou qui ont toujours des hautes ambitions individuelles, et notamment celles d'être international. Et ça, ça passe par des hautes performances en club.
Si demain, on fait signer un contrat de 5 ans à MJ, Depoortère, Moefana... je dis bravo!

Roberto Miopalmo a écrit:

Scalp a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Scalp a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Top 14 / Transferts – Baptiste Couilloud prolonge à Lyon pour cinq ans (Source Rugbyrama)

Si ça pouvait donner des idées à Matthieu pour rester chez nous :)

https://x.com/gauthierbaudin/status/1828862792591446046?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ

C’est beaucoup trop long, n’importe quel joueur a le temps de s’endormir sur cette durée. Pas du tout fan des ces contrat trop long…

Au moins ça verrouille tes joueurs clés. Si par exemple Matthieu veut signer pour 3 ou 4 ans au lieu de 2, je prends de suite. Ça peut être un point important pour attirer d'autres joueurs.

3 ans c’est parfait et je trouve que c’est le max souhaitable, comme on l’a vu avec Poirot et son +4, la sécurité peut anesthésier quelque peu la motivation…, on ne sait jamais ce que peut devenir un joueur sur une aussi longue période. Alors oui, il y a aussi des avantages, comme certainement de lisser le salaire, d’éviter des revalorisations en court de route, mais c’est comme faire un pari, je préfère qu’on fasse des points d’étapes plus rapprochés…

Les contrats longs ne me gênent absolument pas sur le principe. Il faut juste voir à qui on les fait signer.
On a malheureusement chez nous l'exemple type avec Poirot. Pour moi, et je sais qu'on est pas tous d'accord sur ce point, il y a eu un contrat long en contrepartie d'un renoncement à l'EDF (comme Lamerat d'ailleurs). Alors oui, peut être qu'il n'aurait plus été un premier choix, devenant le 4 ème ou 5 ème au poste en bleu, mais avec les méformes et les blessures, on est jamais à l'abris d'être rappelé. Et pour moi, ce renoncement sportif (ne plus vouloir être international) est un très mauvais signal. A cela s'ajoute les problèmes de santé (cervicales) de Poirot qui font qu'il n'a plus eu le même niveau de performance qu'entre 22 et 26 ans.
A Toulouse, à Lyon avec Couilloud, à Paris avec Barré... ils font signer des contrats longs à des mecs jeunes et/ou qui ont toujours des hautes ambitions individuelles, et notamment celles d'être international. Et ça, ça passe par des hautes performances en club.
Si demain, on fait signer un contrat de 5 ans à MJ, Depoortère, Moefana... je dis bravo!

100% d'accord avec toi

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Roberto Miopalmo a écrit:

Scalp a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:

Scalp a écrit:

Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Top 14 / Transferts – Baptiste Couilloud prolonge à Lyon pour cinq ans (Source Rugbyrama)

Si ça pouvait donner des idées à Matthieu pour rester chez nous :)

https://x.com/gauthierbaudin/status/1828862792591446046?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ

C’est beaucoup trop long, n’importe quel joueur a le temps de s’endormir sur cette durée. Pas du tout fan des ces contrat trop long…

Au moins ça verrouille tes joueurs clés. Si par exemple Matthieu veut signer pour 3 ou 4 ans au lieu de 2, je prends de suite. Ça peut être un point important pour attirer d'autres joueurs.

3 ans c’est parfait et je trouve que c’est le max souhaitable, comme on l’a vu avec Poirot et son +4, la sécurité peut anesthésier quelque peu la motivation…, on ne sait jamais ce que peut devenir un joueur sur une aussi longue période. Alors oui, il y a aussi des avantages, comme certainement de lisser le salaire, d’éviter des revalorisations en court de route, mais c’est comme faire un pari, je préfère qu’on fasse des points d’étapes plus rapprochés…

Les contrats longs ne me gênent absolument pas sur le principe. Il faut juste voir à qui on les fait signer.
On a malheureusement chez nous l'exemple type avec Poirot. Pour moi, et je sais qu'on est pas tous d'accord sur ce point, il y a eu un contrat long en contrepartie d'un renoncement à l'EDF (comme Lamerat d'ailleurs). Alors oui, peut être qu'il n'aurait plus été un premier choix, devenant le 4 ème ou 5 ème au poste en bleu, mais avec les méformes et les blessures, on est jamais à l'abris d'être rappelé. Et pour moi, ce renoncement sportif (ne plus vouloir être international) est un très mauvais signal. A cela s'ajoute les problèmes de santé (cervicales) de Poirot qui font qu'il n'a plus eu le même niveau de performance qu'entre 22 et 26 ans.
A Toulouse, à Lyon avec Couilloud, à Paris avec Barré... ils font signer des contrats longs à des mecs jeunes et/ou qui ont toujours des hautes ambitions individuelles, et notamment celles d'être international. Et ça, ça passe par des hautes performances en club.
Si demain, on fait signer un contrat de 5 ans à MJ, Depoortère, Moefana... je dis bravo!

100% d'accord avec toi

Je ne crois pas qu'on ait signé à Poirot un long contrat en échange d'un arrêt de sa carrière internationale, ça ne ressemble pas au club, et ce n'est pas non plus notre intérêt qu'un joueur quitte le haut niveau, mais peu importe, ce n'est pas le sujet.

Le sujet, c'est de passer un long contrat, 5 ans, et c'est une éternité dans le sport de haut niveau, tu ne sais jamais ce qui va arriver à un joueur, ni comment cette hyper sécurité va l'affecter, ainsi que ses performances. Ça reste un pari qui peut se révéler dangereux. Si tout se passe bien entre un club et un joueur, les contrats se renouvèlent presque logiquement. Je préfère qu'on reste sur un mode de fonctionnement ou on accepte un minimum la concurrence, si un joueur veut partir, ce n'est jamais bon de la garder, et en 5 ans, un joueur peut aussi avoir des envies d'ailleurs, comme il peut ne plus vraiment convenir au club. Il faut que les mouvements dans un effectif restent fluides, 3 ans, c'est déjà long, ce n'est que mon opinion…

varmatin.com
Comment la recrue toulonnais Antoine Frisch est passée d’ouvreur à premier, puis deuxième centre, au fil des saisons
Pierrick Ilic-Ruffinatti
3–4 minutes
Formé à l’ouverture, Antoine Frisch a glissé au poste de premier centre en 2018, avant d’être déplacé en numéro 13 en 2023. Retour sur ces saisons qui ont transformé la recrue toulonnaise en trois-quart super polyvalent.

Publié le 29/08/2024 à 09:00, mis à jour le 29/08/2024 à 09:00
Bien que numéro13 lors de ses deux saisons au Munster, Antoine Frisch a été utilisé en premier centre par Fabien Galthié. (Photo AFP)

Ouvreur de formation, Antoine Frisch a glissé au poste de premier centre à son arrivée à Tarbes. "Tu as plus de liberté, tu fais plus de courses et tu es moins dans la stratégie… a a été une révélation!" Ensuite, que ce soit à Massy, Rouen ou Bristol, le Francilien s’est imposé comme un cinq huitième de référence. Sauf qu’à son arrivée au Munster à l’été 2022, le staff irlandais a choisi de lui coller le 13 dans le dos.

Et, sans surprise, ça a marché! Alors, premier ou deuxième centre? "Ça m’est égal, et d’ailleurs avec le XV de France j’ai reglissé en 12. [...] Ce que j’aime au centre, c’est que tu peux distribuer, chercher les espaces, attaquer les intervalles, identifier l’épaule faible… Disons que 12 tu es plus décisif en attaque, mais que j’adore défendre en 13 (rires)."

D’autant qu’à 28 ans, qu’importe le poste, Antoine Frisch sait qu’il lui reste des marges de progression. "J’aimerais peser davantage sur les matchs en défense. En étant plus incisif sur mes lectures et sur la dureté au plaquage."

De belles promesses pour le RCT qui, s’il n’a pas recruté un centre au profil tank (type Ahki ou Tuilagi), s’est offert les services d’un distributeur hors pair qui, d’un coup d’œil, d’une passe ou d’un crochet, est capable d’envoyer un coéquipier sur la lune.



varmatin.com
"C’étaient des posters du XV de France que j’avais dans ma chambre…": Antoine Frisch revient sur sa décision de jouer pour les Bleus
Pierrick Ilic-Ruffinatti
3–4 minutes
Autorisé à jouer pour l’Angleterre, l’Irlande et la France, Antoine Frisch n’a pourtant pas hésité une fois que Fabien Galthié lui a permis de « goûter au groupe France». «J’ai écouté mon cœur. [...] Porter le maillot bleu était un rêve de môme.»

Publié le 29/08/2024 à 08:00, mis à jour le 29/08/2024 à 08:00
Le 6 juillet 2024, Antoine Frisch est officiellement devenu international.

Né à Saint-Cloud, d’un père français et d’une mère anglo-irlandaise, Antoine Frisch avait le choix du Roi au moment d’embrasser sa carrière internationale. Et si le sélectionneur anglais ne s’est jamais manifesté, le néo-Toulonnais a en revanche dû trancher entre le Trèfle et le Coq. Et si Fabien Galthié a pris un premier contact dès 2021-2022, on a longtemps imaginé le centre choisir de représenter l’Irlande, son pays d’adoption.

Il faut dire qu’en partant en Afrique du Sud avec l’équipe d’Irlande développement en septembre 2022 - soit deux mois après la tournée du XV de France au Japon, pour laquelle il avait été retenu mais à laquelle il avait dû renoncer sur blessure - Antoine Frisch a plus que brouillé les pistes.

"Avoir toutes les options ouvertes"

« Avant d’y participer, je m’étais renseigné pour être certain que ça ne m’enlevait pas mon éligibilité avec le XV de France. Je voulais avoir toutes les options ouvertes. En arrivant au Munster, je me suis dit que c’était peut-être mon chemin de jouer pour l’Irlande… Mais finalement, dès que Fabien m’a permis de goûter au groupe France, ça a été une évidence… Quand j’étais petit, c’étaient des posters du XV de France que j’avais dans ma chambre… Donc je n’ai pas vraiment eu à choisir entre la France et l’Irlande. » Antoine Frisch est alors appelé lors du Tournoi 2024, même s’il ne participe à aucune rencontre.

Et finalement, en juillet 2024, le centre devient international français en Argentine. À deux reprises. Sans regret ? « J’ai écouté mon cœur. Alors je remercie infiniment le rugby irlandais qui m’a tant apporté, mais pouvoir porter le maillot bleu était un rêve de môme. Ce maillot, cet hymne… J’ai des frissons rien que d’y repenser. »



varmatin.com
De Fontainebleau au XV de France, et désormais Toulon, voici comment Antoine Frisch a poussé les portes du (très) haut niveau
Pierrick Ilic-Ruffinatti
7–9 minutes

Tenter de décrypter le phénomène Frisch, c’est accepter que tout chemin n’est pas tracé. Ou du moins linéaire. Et que si certains sont prédestinés à toucher des étoiles depuis leur naissance, d’autres doivent s’accrocher. Car avant de devenir "l’international tricolore Antoine Frisch (28 ans, 2 capes), recrue phare de l’été toulonnais", le petit Antoine de Fontainebleau a dû ramer pour atteindre son rêve.

Mais ça tombe bien: prendre des chemins de traverse ne lui a jamais fait peur. "Baisser les bras n’a jamais été une option. C’est à l’intérieur de moi depuis tout petit. Je ne l’ai pas choisi. C’est dans ma tête depuis ma naissance. Je sais depuis le jour où j’ai enfilé mes premiers crampons que je ne lâcherai rien. Que je ne m’arrêterai jamais jusqu’à réussir."
Dans les pas de son grand frère

Et pour aller à la rencontre d’Antoine Frisch, ce n’est pas du côté de Bristol ou du Munster qu’il faut se tourner, mais plutôt de Fontainebleau, à la fin des années 90.

"En réalité, je suis né à Saint-Cloud. Mais oui, mes premiers souvenirs remontent à Fontainebleau, où mes parents ont déménagé quand j’avais 3/4 ans." Bien entouré par sa mère professeure d’anglais à l’université, son père qui travaille dans le commerce international chez Jacquet et ses frères Xavier (de trois ans son aîné) et Matthew (de quatre ans son cadet), Antoine Frisch connaît une enfance paisible.

Dans un contexte familial où personne n’a de réelle appétence pour le ballon ovale. Pourtant, Antoine tombe très jeune dans la marmite. "Je passais mon temps avec mon grand frère et ses potes. Et un jour, pour suivre son ami Théo, il s’est inscrit au RS77, le club de Fontainebleau… donc je l’ai suivi! J’ai alors 4 ans, et ça allume chez moi une flamme toute particulière."
"Une obsession"

Il ne le sait pas encore, mais sa vie vient de basculer. "C’est devenu une obsession. Je ne vivais plus que pour ce ballon." Plutôt discret dans la vie, Antoine Frisch se dévoile sur le terrain. Et rapidement, il fait part de son "plus grand rêve" à ses coéquipiers: "Jouer pour l’équipe de France. D’aussi loin que je me souvienne… je n’ai jamais rêvé que de ça, j’étais possédé."

Et ça tombe bien, le jeune ouvreur n’est pas maladroit. "Je ne traversais pas le terrain, mais je sentais que j’avais un truc, que je comprenais le jeu." Il se fait alors remarquer, au point d’être retenu en sélection intersecteurs, puis en sélection île de France, avant de rejoindre le PUC en Cadets.

Il trace alors sa route, et postule au Pôle Espoirs Lakanal... mais n’est pas retenu. "C’est mon premier échec. Je pensais que c’était un passage indispensable… a m’a fait mal." Mais quand une porte se ferme, Antoine Frisch en ouvre une autre. C’est ainsi qu’il entre au centre de formation de Massy, où il restera de 2013 à 2015. "J’ai compris que si on te claquait la porte au nez, il fallait passer par la fenêtre." À Massy, Frisch s’éclate et se distingue. Mais en 2015, alors qu’il se rapproche de son rêve, le futur international raffûte ceux qui l’imaginent intégrer le groupe pro massicois pour… partir en Angleterre, afin d’étudier, pendant un an, le commerce international.
"À cet âge-là, il fallait jouer"

Sur les bancs de la fac de Loughborough, il rencontre un certain Thibaud Flament. Les deux compères se retrouvent alors à jouer pour leur université. "Il y avait six équipes, classées par niveau. Je me retrouve en 4. C’est un peu dur, mais imaginez: Thibaud jouait en 5, rigole-t-il. Lunaire, quand on connaît la suite de son histoire."

Après une année peu convaincante en Angleterre, Frisch décide finalement de retraverser la Manche. Et s’engage avec le Stade français en 2016. De quoi imaginer qu’il est (enfin) sur le point d’embrasser son destin? Sauf qu’en deux saisons, pourtant titulaire en Espoirs, l’ouvreur n’apparaît que sur une feuille de match avec les pros. Lors d’un amical. "Je manquais d’expérience. Probablement d’audace aussi. J’étais en concurrence avec Morné Steyn et Jules Plisson, on jouait le maintien, il y avait une pression folle… L’opportunité ne s’est pas présentée. Ou je n’ai pas su la saisir. J’ai alors décidé de m’en aller. J’aurais pu attendre, mais j’étais convaincu qu’à cet âge-là, il fallait jouer."
"Abandonner mon rêve? Croyez-le!"

En 2018, à 22 ans, pas du tout enclin à baisser les bras, Antoine Frisch accepte ainsi de rejoindre Tarbes, en Fédérale 1. Reculer pour mieux sauter? "Parce que ça n’avait pas marché au Pôle Lakanal et au Stade français j’allais abandonner mon rêve? Croyez-le! Alors même quand ça semblait impossible, je me suis accroché. Mon rêve de jouer pour le XV de France a dicté mes choix. Et la première étape, c’était de jouer en pro."

Après une saison remarquée, il quitte finalement les Hautes-Pyrénées pour Massy. Toujours en Fédérale 1, donc, mais chez un club plus ambitieux. Avancer, doucement, mais avancer… C’est encore ce qui poussera celui qui occupe désormais le poste de centre (lire par ailleurs) à rallier Rouen à l’été suivant, alors que le club cherche à se pérenniser en Pro D2. Étape par étape, Antoine Frisch progresse. Quand finalement, à l’été 2021, son nom commence à circuler en Top 14. "Mais je ne reçois aucune offre, alors je pense rester à Rouen. Ou signer dans un club de haut de tableau en Pro D2. Sauf que ma carrière bascule sur un coup de téléphone de Pat Lam, le manager de Bristol." Après vingt années à rêver de haut niveau, Antoine Frisch rejoint enfin un club de première division... en Angleterre. "Pourquoi Pat Lam m’a fait confiance? Allez savoir… En tout cas, il m’a donné un coup de pouce inespéré."
Revanche? "Je n’aime pas ce mot"

La suite, tout le monde la connaît: après une excellente saison à Bristol, Antoine Frisch rejoint le Munster où, en deux saisons, il s’impose comme l’un des meilleurs centres du Vieux continent. Il est alors dragué par la sélection irlandaise, mais fini par choisir le XV de France en juillet dernier.

Si c’est un euphémisme de prétendre que son début de carrière a mis du temps à décoller, Antoine Frisch a fini par dévaler les marches du haut niveau deux par deux. Et le voilà désormais de retour en France par la (très) grande porte.

Sa plus belle revanche? "Je n’aime pas ce mot, car le rugby français ne me devait rien. Je n’étais probablement pas prêt à saisir les opportunités quand elles se sont présentées. Il a alors fallu que je travaille un peu plus. Et je suis fier de mon chemin. Bien sûr que si on m’avait promis de faire les équipes de France jeunes, puis de découvrir le Top 14 à 18 ans, j’aurais signé des deux mains. Mais ça ne s’est pas passé ainsi, et ça m’a appris à m’adapter, à rebondir. Je n’ai aucune rancœur." Une façon de prendre du recul qui force l’admiration, pour un joueur qui ne cesse de repousser les limites. La suite, c’est désormais à Toulon qu’elle s’écrira. Et de vous à nous, on a tendance à croire que la belle histoire ne fait que démarrer…

https://www.gloucestershirelive.co.uk/sport/rugby/rugby-news/exclusive-zach-mercer-agrees-gloucester-9522464

Mercer Tuifua Quere Karaba Abadie Ollivon Coulon Ludlam Tolofua …

TOP 14. Le miracle inattendu pour rapatrier Kolisi, le Racing 92 sur le point de toucher le pactole

https://www.lerugbynistere.fr/news/top-14-le-miracle-inattendu-pour-rapatrier-kolisi-le-racing-92-sur-le-point-de-toucher-le-pactole-0109241851.php

Top 14 – Baptiste Germain (Bayonne) : "J’ai quitté Toulouse avec un sentiment d’inachevé"

https://www.rugbyrama.fr/2024/09/03/top-14-baptiste-germain-bayonne-jai-quitte-toulouse-avec-un-sentiment-dinacheve-12172233.php

Il fallait rester à l'UBB, avec un peu de patience, il aurait eu sa place dans un club en pleine bourre…

"Soulever un jour le Brennus avec Lyon" : Baptiste Couilloud assume et explique son choix fort

https://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/lyon_69123/soulever-un-jour-le-brennus-avec-lyon-baptiste-couilloud-assume-et-explique-son-choix-fort_61558294.html

Top 14 – Léo Barré persiste et signe au Stade Français jusqu’en 2029

https://www.xvovalie.com/top-14-leo-barre-persiste-et-signe-au-stade-francais-jusquen-2029/

2029? Un contrat de 5 ans?? Ils sont tombés sur la tête....

krahknardz a écrit:2029? Un contrat de 5 ans?? Ils sont tombés sur la tête....

Ouep, je suis très dubitatif pour des contrats aussi longs, comme dans le cas de Couilloud. Cinq ans, c'est une éternité dans le sport de haut niveau…

Bon courage

Tom FRANKLIN vient renforcer la touche paloise comme joueur supplémentaire
https://www.rugbyrama.fr/2024/09/04/top-14-un-deuxieme-ligne-neo-zelandais-sengage-a-pau-comme-joueur-supplementaire-12176765.php

Ah urios assure encore une fois son avenir clermont a intérêt a bien y réfléchir....

Top 14 – Urios à l’ASM : prolongation ou départ ?

https://www.xvovalie.com/top-14-urios-a-lasm-prolongation-ou-depart/

Vidéo. "S’il y avait une nation qui m’attirait plus qu’une autre, cela serait l’Angleterre", avoue Ugo Mola (Toulouse) dans l’émission viàMidol, Des Mauls et Débats

https://www.rugbyrama.fr/2024/09/05/video-sil-y-avait-une-nation-qui-mattirait-plus-quune-autre-cela-serait-langleterre-avoue-ugo-mola-toulouse-dans-lemission-viamidol-des-mauls-et-12177991.php

Axel Desperes en Vert et Blanc jusqu’en 2029

Bravo à pau d'avoir pu garder desperes il nous avait embêté l'an dernier chez nous

Si cappuozzo comme il a dit veut gagner des titres je pense pas que partir à Clermont serait la bonne option

marchal a écrit:Si cappuozzo comme il a dit veut gagner des titres je pense pas que partir à Clermont serait la bonne option

A l'instant T, non. Il faut être réaliste. Mais ne soyons pas non plus condescendants, comme d'autres le sont

Disons plutôt qu'un feu follet comme Capuozzo serait moins épanoui dans un système de jeu comme celui d'Urios, qui préfère les mecs à la Dulin.

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/stade-rochelais/le-stade-rochelais-et-uini-atonio-se-sont-mis-d-accord-pour-deux-ans-de-plus-21269144.php