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Barrage : UBB / Racing
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Re: Barrage : UBB / Racing
UBB-Racing 92 : "Tu te qualifies ou tu es éliminé", Lancaster sait à quoi s'en tenir avant les barrages
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/top-14/ubb-racing-92-tu-te-qualifies-ou-tu-es-elimine-lancaster-sait-a-quoi-s-en-tenir-avant-les-barrages_VN-202406140429.html
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Re: Barrage : UBB / Racing
Switch a écrit:Scalp a écrit:
Pourraient-elles porter Matthieu sur le bouclier, durant leur tour d'honneur....pour faire d'une pierre, deux coups
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Barrage : UBB / Racing
Le Racing 92 en vigilance « turnovers » avant le barrage face à l'UBB dimanche à Bordeaux
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Le-racing-92-en-vigilance-turnovers-avant-le-barrage-face-a-l-ubb-dimanche-a-bordeaux/1474689
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Le-racing-92-en-vigilance-turnovers-avant-le-barrage-face-a-l-ubb-dimanche-a-bordeaux/1474689
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Re: Barrage : UBB / Racing
https://www.sudouest.fr/thematiques/sport/rugby/storyline-20099479.php
Top 14. UBB – Racing 92 : La nouvelle chance de Matéo Garcia à l’ouverture
Par Yoan Leshauriès
En l’absence de Matthieu Jalibert (ischios), le jeune ouvreur de 21 ans s’avance vers ses premières phases finales de Top 14 dans la peau d’un titulaire avec l’UBB, après celles de Champions Cup
Matéo Garcia ne vit pas une saison comme les autres avec l’Union Bordeaux-Bègles. Il l’avait débutée en tant que numéro 3 sur le poste de demi d’ouverture. Dix mois plus tard, après avoir été la doublure de Matthieu Jalibert pendant la période du Tournoi des Six-Nations, il se prépare à être titulaire lors du barrage de Top 14 face au Racing 92, ce dimanche (21 h 05) à Chaban-Delmas. Suite à la blessure de l’international français (ischios) jusqu’à la fin de la saison, le staff girondin n’a pas hésité une seule seconde à redonner les clés du camion à son jeune ouvreur de 21 ans.
« Il y a eu plus de hauts que de bas. Ça reste un joueur très jeune. Je pense qu’il est prêt, j’en suis même sûr ».
« Les phases finales, ça se prépare. Matéo a fait 13 matchs en tant que titulaire avec nous cette année (11 en championnat) », rappelle Yannick Bru, le manager de l’UBB. « Il y a eu plus de hauts que de bas. Ça reste un joueur très jeune. Je pense qu’il est prêt, j’en suis même sûr. Ce n’est pas une garantie de faire un grand match car même les joueurs expérimentés n’en font pas toujours. Mais Matéo a fait suffisamment de préparation, de débriefings, pour connaître notre projet de A à Z mais pour se connaître aussi lui-même. Franchement, je suis déçu pour Matthieu car c’est un joueur spécial mais nous sommes totalement rassurés par la présence de Matéo. »
Cette saison, en comptant ce barrage, le jeune joueur originaire d’Hendaye aura totalisé autant de matchs avec les pros que depuis son arrivée à l’UBB en 2019 en provenance des Crabos de l’Aviron Bayonnais. « Il a des qualités techniques au niveau de la passe et du jeu au pied qui sont supérieures à la moyenne », juge l’international français Maxime Lucu. « La première fois que je l’ai vu jouer, je me suis dit : ce gamin, il a quelque chose. »
La leçon des Harlequins
Cette année, Matéo Garcia a profité des circonstances pour sortir de sa coquille. Si Zack Holmes avait débuté les matchs en 10 en tout début de saison, pendant que Jalibert était à la Coupe du monde, les prestations de l’Australien n’ont pas convaincu le staff qui lui a préféré le jeune espoir pendant la période du Tournoi. Ce dernier a alors enchaîné et a vécu un apprentissage en accéléré, alternant le bon et le moins bon. Il avait particulièrement brillé en 8e de finale de Champions Cup face aux Saracens où il avait même été désigné « Homme du match ». Avant de passer complètement à côté du quart de finale face aux Harlequins, où il avait reçu un carton jaune et avait été remplacé dès la 40e minute.
« Il l’a très mal vécu, il se sentait coupable », témoigne Maxime Lucu. « Ça lui a rappelé qu’il faut répondre présent tous les week-ends, que rien n’est acquis, qu’il faut travailler. On lui a dit qu’on était tous passés par là, qu’il fallait rebondir. Et c’est ce qu’il a fait. » « Je pense qu’il a appris de cet enchaînement Saracens – Harlequins », glisse Yannick Bru. « Il a aussi appris du match qu’il contribue à nous faire gagner à Toulon, ou ce match à domicile face au RCT qu’il nous fait gagner par son but et ce petit coup de pied rasant pour Pablo Uberti dans l’en-but. Il a des moments de magie, il a démontré tout le talent qu’il a en lui. Après, ce talent doit être au service de l’équipe. Cette saison, il a compris beaucoup de choses, il a fait de gros progrès. »
Le jeune ouvreur a tout de même dû être canalisé. « Il est né en jouant à toucher au bord des plages comme on le fait au Pays basque, souligne Maxime Lucu. Parfois, il faut lui faire comprendre qu’il y a un plan de jeu établi. À l’aile ou à l’arrière, c’est simple. Quand tu es 10, on te demande de gérer tes avants, suivre une stratégie. Il faut être un peu plus froid. Mais il grandit là-dessus. »
Repassé par la case Espoirs
Sur la fin de saison, dans le sprint pour la qualification, Matéo Garcia a été moins utilisé. « Il ne fallait pas y voir une sanction, explique Yannick Bru. On a souvent opté pour un banc 6-2 avec le fait que Max Lucu couvre le poste de 10 en cours de match. Mais Matéo a toujours passé H24 avec nous. Comme il était souvent 24e dans le groupe, on l’a envoyé jouer deux matchs avec les Espoirs car il avait besoin de retrouver du rythme. Il était très demandeur. »
Pour son retour face à Oyonnax le week-end dernier, Matéo Garcia, prévu titulaire à l’ouverture, avait glissé à l’arrière en raison du forfait de Louis Bielle-Biarrey (ischios), laissant le numéro 10 à Matthieu Jalibert. Le jeune Basque a sorti un gros match avec un essai au compteur et un 5/6 face aux perches, devenant le meilleur réalisateur du club girondin (106 points). « Ça confirme qu’il est à l’aise, qu’il s’engage et qu’il a du talent, constate Yannick Bru. Après, la maîtrise collective et le leadership sur l’équipe se créent avec l’expérience. Il s’implique beaucoup dans ces domaines. »
Matéo Garcia s’avance maintenant vers ses premières phases finales de Top 14 dans la peau d’un titulaire. Bien encadré, l’UBB croit en lui. Et comme le dit Maxime Lucu, « il faut qu’il prenne son envol ».
Top 14. UBB – Racing 92 : La nouvelle chance de Matéo Garcia à l’ouverture
Par Yoan Leshauriès
En l’absence de Matthieu Jalibert (ischios), le jeune ouvreur de 21 ans s’avance vers ses premières phases finales de Top 14 dans la peau d’un titulaire avec l’UBB, après celles de Champions Cup
Matéo Garcia ne vit pas une saison comme les autres avec l’Union Bordeaux-Bègles. Il l’avait débutée en tant que numéro 3 sur le poste de demi d’ouverture. Dix mois plus tard, après avoir été la doublure de Matthieu Jalibert pendant la période du Tournoi des Six-Nations, il se prépare à être titulaire lors du barrage de Top 14 face au Racing 92, ce dimanche (21 h 05) à Chaban-Delmas. Suite à la blessure de l’international français (ischios) jusqu’à la fin de la saison, le staff girondin n’a pas hésité une seule seconde à redonner les clés du camion à son jeune ouvreur de 21 ans.
« Il y a eu plus de hauts que de bas. Ça reste un joueur très jeune. Je pense qu’il est prêt, j’en suis même sûr ».
« Les phases finales, ça se prépare. Matéo a fait 13 matchs en tant que titulaire avec nous cette année (11 en championnat) », rappelle Yannick Bru, le manager de l’UBB. « Il y a eu plus de hauts que de bas. Ça reste un joueur très jeune. Je pense qu’il est prêt, j’en suis même sûr. Ce n’est pas une garantie de faire un grand match car même les joueurs expérimentés n’en font pas toujours. Mais Matéo a fait suffisamment de préparation, de débriefings, pour connaître notre projet de A à Z mais pour se connaître aussi lui-même. Franchement, je suis déçu pour Matthieu car c’est un joueur spécial mais nous sommes totalement rassurés par la présence de Matéo. »
Cette saison, en comptant ce barrage, le jeune joueur originaire d’Hendaye aura totalisé autant de matchs avec les pros que depuis son arrivée à l’UBB en 2019 en provenance des Crabos de l’Aviron Bayonnais. « Il a des qualités techniques au niveau de la passe et du jeu au pied qui sont supérieures à la moyenne », juge l’international français Maxime Lucu. « La première fois que je l’ai vu jouer, je me suis dit : ce gamin, il a quelque chose. »
La leçon des Harlequins
Cette année, Matéo Garcia a profité des circonstances pour sortir de sa coquille. Si Zack Holmes avait débuté les matchs en 10 en tout début de saison, pendant que Jalibert était à la Coupe du monde, les prestations de l’Australien n’ont pas convaincu le staff qui lui a préféré le jeune espoir pendant la période du Tournoi. Ce dernier a alors enchaîné et a vécu un apprentissage en accéléré, alternant le bon et le moins bon. Il avait particulièrement brillé en 8e de finale de Champions Cup face aux Saracens où il avait même été désigné « Homme du match ». Avant de passer complètement à côté du quart de finale face aux Harlequins, où il avait reçu un carton jaune et avait été remplacé dès la 40e minute.
« Il l’a très mal vécu, il se sentait coupable », témoigne Maxime Lucu. « Ça lui a rappelé qu’il faut répondre présent tous les week-ends, que rien n’est acquis, qu’il faut travailler. On lui a dit qu’on était tous passés par là, qu’il fallait rebondir. Et c’est ce qu’il a fait. » « Je pense qu’il a appris de cet enchaînement Saracens – Harlequins », glisse Yannick Bru. « Il a aussi appris du match qu’il contribue à nous faire gagner à Toulon, ou ce match à domicile face au RCT qu’il nous fait gagner par son but et ce petit coup de pied rasant pour Pablo Uberti dans l’en-but. Il a des moments de magie, il a démontré tout le talent qu’il a en lui. Après, ce talent doit être au service de l’équipe. Cette saison, il a compris beaucoup de choses, il a fait de gros progrès. »
Le jeune ouvreur a tout de même dû être canalisé. « Il est né en jouant à toucher au bord des plages comme on le fait au Pays basque, souligne Maxime Lucu. Parfois, il faut lui faire comprendre qu’il y a un plan de jeu établi. À l’aile ou à l’arrière, c’est simple. Quand tu es 10, on te demande de gérer tes avants, suivre une stratégie. Il faut être un peu plus froid. Mais il grandit là-dessus. »
Repassé par la case Espoirs
Sur la fin de saison, dans le sprint pour la qualification, Matéo Garcia a été moins utilisé. « Il ne fallait pas y voir une sanction, explique Yannick Bru. On a souvent opté pour un banc 6-2 avec le fait que Max Lucu couvre le poste de 10 en cours de match. Mais Matéo a toujours passé H24 avec nous. Comme il était souvent 24e dans le groupe, on l’a envoyé jouer deux matchs avec les Espoirs car il avait besoin de retrouver du rythme. Il était très demandeur. »
Pour son retour face à Oyonnax le week-end dernier, Matéo Garcia, prévu titulaire à l’ouverture, avait glissé à l’arrière en raison du forfait de Louis Bielle-Biarrey (ischios), laissant le numéro 10 à Matthieu Jalibert. Le jeune Basque a sorti un gros match avec un essai au compteur et un 5/6 face aux perches, devenant le meilleur réalisateur du club girondin (106 points). « Ça confirme qu’il est à l’aise, qu’il s’engage et qu’il a du talent, constate Yannick Bru. Après, la maîtrise collective et le leadership sur l’équipe se créent avec l’expérience. Il s’implique beaucoup dans ces domaines. »
Matéo Garcia s’avance maintenant vers ses premières phases finales de Top 14 dans la peau d’un titulaire. Bien encadré, l’UBB croit en lui. Et comme le dit Maxime Lucu, « il faut qu’il prenne son envol ».
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Re: Barrage : UBB / Racing
https://www.rugbyrama.fr/2024/06/14/top-14-le-point-sur-les-effectifs-avant-les-barrages-12014908.php
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Re: Barrage : UBB / Racing
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/top-14-barrage-avant-ubb-racing-92-bru-et-kolisi-ont-noue-de-vrais-liens-du-cote-de-durban-20099468.php
Top 14 (barrage). Avant UBB – Racing 92 : Bru et Kolisi ont noué de vrais liens du côté de Durban
Par Yoan Leshauriès
Lors de son année passée au sein du staff des Sharks, le manager de l’UBB a côtoyé le double champion du monde sud-africain qui évolue aujourd’hui au Racing 92. De vrais liens se sont noués
Entre Yannick Bru (51 ans), le manager de l’Union Bordeaux-Bègles, et Siya Kolisi (32 ans), le double champion du monde sud-africain qui porte les couleurs du Racing 92, il existe un grand respect mutuel. Le technicien bordelais a côtoyé le capitaine des Springboks (83 sélections) la saison dernière, durant l’année qu’il a passée au sein du staff des Sharks de Durban, aux côtés de Noel McNamara et Akvsenti Giorgadze, qui l’ont accompagné à l’UBB. Sur les bords de l’Océan Indien, de vrais liens se sont noués.
Lorsque les Bordelais se sont déplacés sur le terrain du Stade Français il y a trois semaines, Siya Kolisi s’est rendu à leur hôtel pour passer un moment avec son ancien staff. En revanche, avant les retrouvailles en barrage du Top 14 ce dimanche (21 h 05) à Chaban-Delmas, il a pris ses distances. Le téléphone est resté coupé. « Ça veut sûrement dire qu’il est dans sa bulle, qu’il veut préparer son match sans interférence », sourit Yannick Bru.
Début mars, juste avant sa venue à Bordeaux pour affronter l’UBB avec le Racing 92 lors de la saison régulière (21-5), le troisième ligne n’avait pas non plus eu d’échange avec le staff girondin. Cela n’avait pas empêché les retrouvailles chaleureuses autour d’une bière après le coup de sifflet final. « Il avait été très bon à Chaban, ça avait été un des meilleurs joueurs du Racing, il nous avait fait mal dans la zone de rucks », se souvient Yannick Bru. « Il avait fait les efforts qu’on était habitués à le voir faire en Afrique du Sud ».
Témoin privilégié
Durant une saison, du côté de Durban, Yannick Bru a pu être au plus près de Siya Kolisi, l’icône de toute une nation. « En France, on ne se rend pas bien compte de l’aura qu’il a là-bas », souligne le manager bordelais. « En le voyant, j’ai compris que le niveau d’engagement dans notre sport est lié aux conditions de vie que tu as eues. C’est pour ça que la façon dont on travaille en Afrique du Sud n’est pas transposable chez nous. Pour eux, le rugby est une chance. Quand Siya prépare les matchs, il est investi à 100 %. Une fois que c’est terminé, ça ne l’empêche pas de passer à autre chose ».
Un grand respect
Premier capitaine noir des Springboks, Siya Kolisi a un parcours singulier puisqu’il a grandi dans un township de la banlieue de Port-Elizabeth. En dehors du rugby, il consacre beaucoup de temps à sa fondation qui vient en aide aux plus démunis. « J’ai toujours été frappé par son respect et ses valeurs », confie Yannick Bru. « Derrière sa présence sur les réseaux sociaux, il y a une vraie profondeur ».
“J’avais été très surpris que le capitaine des champions du monde fasse 100 mètres de plus pour venir me serrer la main”
Yannick Bru est arrivé chez les Sharks de Durban en août 2023. À cette période, les Springboks préparaient le Rugby Championship. La première rencontre avec Siya Kolisi s’est faite quelques jours plus tard, à 48 heures d’un match Afrique du Sud – Argentine. « Avec le préparateur physique des Sharks, j’avais passé deux jours en inside avec l’encadrement des Boks », raconte le manager de l’UBB. « À la fin d’un entraînement, les joueurs se dirigeaient vers le bus. Siya, lui, a fait demi-tour pour venir me voir. Et il m’a dit : C’est vous le coach français qui va travailler avec nous ? Je suis enchanté, on se verra bientôt ». J’avais été très surpris que le capitaine des champions du monde fasse un détour pour venir me serrer la main. Personne ne me connaissait là-bas ».
Voisins à Simbithi
En Afrique du Sud, Yannick Bru et Siya Kolisi étaient même voisins. Ils habitaient à quatre minutes l’un de l’autre à « Simbithi Eco Eastate », un de ces quartiers sécurisés à 45 km au Nord du centre-ville de Durban et du centre d’entraînement des Sharks. Eben Etzebeth, l’autre star des Springboks, Ben Tapuai (trois-quart centre de l’UBB cette saison) et Johan Van Rensburg (future recrue de l’UBB), habitaient le même quartier. De temps à autre, après les matchs, Siya Kolisi ouvrait les portes de sa villa pour un « braai » (barbecue traditionnel sud-africain). Yannick Bru en garde des photos souvenirs dans son téléphone portable.
« Quand on voyait l’énorme 4x4 de Siya garé devant le coffee shop, on s’arrêtait pour boire un café avec lui entre 5 h 45 et 6 h 30 du matin »
Noel McNamara, aujourd’hui entraîneur des arrières de l’UBB, vivait quant à lui dans un autre « Estate » du nom de « Zimbuli », un peu plus au Sud. « Avec Noël, sur la route du centre d’entraînement, on passait devant le Tiki Tonga, une chaîne de coffee shop qui appartient à Brad Baritt, ancien capitaine des Saracens », raconte Yannick Bru. « Quand on voyait l’énorme 4x4 de Siya garé devant, on s’arrêtait pour boire un café avec lui entre 5 h 45 et 6 h 30 du matin. On parlait un peu de rugby mais pas trop, car derrière, il y avait une grosse journée de travail de 7 heures à 17 heures ». Lorsqu’il a signé au Racing 92, Siya Kolisi a posé quelques questions à son entraîneur français. « Il me demandait comment était la vie à Paris, comment fallait-il qu’il s’organise pour sa femme et ses enfants ».
Aujourd’hui bien installé dans l’Hexagone, Siya Kolisi revient à Bordeaux avec le Racing 92 pour affronter l’UBB en barrage de Top 14. « C’est un sacré défi !, reconnaît-il. C’est une bonne équipe, qui pratique un jeu excitant. Les supporters seront derrière eux et c’est toujours spécial d’évoluer là-bas ». Loin de Durban, ses anciennes connaissances (Bru, McNamara, Giorgadze, Tapuai, Sadie) tenteront de lui barrer la route pour accéder à la grande fête des demi-finales à Bordeaux.
Top 14 (barrage). Avant UBB – Racing 92 : Bru et Kolisi ont noué de vrais liens du côté de Durban
Par Yoan Leshauriès
Lors de son année passée au sein du staff des Sharks, le manager de l’UBB a côtoyé le double champion du monde sud-africain qui évolue aujourd’hui au Racing 92. De vrais liens se sont noués
Entre Yannick Bru (51 ans), le manager de l’Union Bordeaux-Bègles, et Siya Kolisi (32 ans), le double champion du monde sud-africain qui porte les couleurs du Racing 92, il existe un grand respect mutuel. Le technicien bordelais a côtoyé le capitaine des Springboks (83 sélections) la saison dernière, durant l’année qu’il a passée au sein du staff des Sharks de Durban, aux côtés de Noel McNamara et Akvsenti Giorgadze, qui l’ont accompagné à l’UBB. Sur les bords de l’Océan Indien, de vrais liens se sont noués.
Lorsque les Bordelais se sont déplacés sur le terrain du Stade Français il y a trois semaines, Siya Kolisi s’est rendu à leur hôtel pour passer un moment avec son ancien staff. En revanche, avant les retrouvailles en barrage du Top 14 ce dimanche (21 h 05) à Chaban-Delmas, il a pris ses distances. Le téléphone est resté coupé. « Ça veut sûrement dire qu’il est dans sa bulle, qu’il veut préparer son match sans interférence », sourit Yannick Bru.
Début mars, juste avant sa venue à Bordeaux pour affronter l’UBB avec le Racing 92 lors de la saison régulière (21-5), le troisième ligne n’avait pas non plus eu d’échange avec le staff girondin. Cela n’avait pas empêché les retrouvailles chaleureuses autour d’une bière après le coup de sifflet final. « Il avait été très bon à Chaban, ça avait été un des meilleurs joueurs du Racing, il nous avait fait mal dans la zone de rucks », se souvient Yannick Bru. « Il avait fait les efforts qu’on était habitués à le voir faire en Afrique du Sud ».
Témoin privilégié
Durant une saison, du côté de Durban, Yannick Bru a pu être au plus près de Siya Kolisi, l’icône de toute une nation. « En France, on ne se rend pas bien compte de l’aura qu’il a là-bas », souligne le manager bordelais. « En le voyant, j’ai compris que le niveau d’engagement dans notre sport est lié aux conditions de vie que tu as eues. C’est pour ça que la façon dont on travaille en Afrique du Sud n’est pas transposable chez nous. Pour eux, le rugby est une chance. Quand Siya prépare les matchs, il est investi à 100 %. Une fois que c’est terminé, ça ne l’empêche pas de passer à autre chose ».
Un grand respect
Premier capitaine noir des Springboks, Siya Kolisi a un parcours singulier puisqu’il a grandi dans un township de la banlieue de Port-Elizabeth. En dehors du rugby, il consacre beaucoup de temps à sa fondation qui vient en aide aux plus démunis. « J’ai toujours été frappé par son respect et ses valeurs », confie Yannick Bru. « Derrière sa présence sur les réseaux sociaux, il y a une vraie profondeur ».
“J’avais été très surpris que le capitaine des champions du monde fasse 100 mètres de plus pour venir me serrer la main”
Yannick Bru est arrivé chez les Sharks de Durban en août 2023. À cette période, les Springboks préparaient le Rugby Championship. La première rencontre avec Siya Kolisi s’est faite quelques jours plus tard, à 48 heures d’un match Afrique du Sud – Argentine. « Avec le préparateur physique des Sharks, j’avais passé deux jours en inside avec l’encadrement des Boks », raconte le manager de l’UBB. « À la fin d’un entraînement, les joueurs se dirigeaient vers le bus. Siya, lui, a fait demi-tour pour venir me voir. Et il m’a dit : C’est vous le coach français qui va travailler avec nous ? Je suis enchanté, on se verra bientôt ». J’avais été très surpris que le capitaine des champions du monde fasse un détour pour venir me serrer la main. Personne ne me connaissait là-bas ».
Voisins à Simbithi
En Afrique du Sud, Yannick Bru et Siya Kolisi étaient même voisins. Ils habitaient à quatre minutes l’un de l’autre à « Simbithi Eco Eastate », un de ces quartiers sécurisés à 45 km au Nord du centre-ville de Durban et du centre d’entraînement des Sharks. Eben Etzebeth, l’autre star des Springboks, Ben Tapuai (trois-quart centre de l’UBB cette saison) et Johan Van Rensburg (future recrue de l’UBB), habitaient le même quartier. De temps à autre, après les matchs, Siya Kolisi ouvrait les portes de sa villa pour un « braai » (barbecue traditionnel sud-africain). Yannick Bru en garde des photos souvenirs dans son téléphone portable.
« Quand on voyait l’énorme 4x4 de Siya garé devant le coffee shop, on s’arrêtait pour boire un café avec lui entre 5 h 45 et 6 h 30 du matin »
Noel McNamara, aujourd’hui entraîneur des arrières de l’UBB, vivait quant à lui dans un autre « Estate » du nom de « Zimbuli », un peu plus au Sud. « Avec Noël, sur la route du centre d’entraînement, on passait devant le Tiki Tonga, une chaîne de coffee shop qui appartient à Brad Baritt, ancien capitaine des Saracens », raconte Yannick Bru. « Quand on voyait l’énorme 4x4 de Siya garé devant, on s’arrêtait pour boire un café avec lui entre 5 h 45 et 6 h 30 du matin. On parlait un peu de rugby mais pas trop, car derrière, il y avait une grosse journée de travail de 7 heures à 17 heures ». Lorsqu’il a signé au Racing 92, Siya Kolisi a posé quelques questions à son entraîneur français. « Il me demandait comment était la vie à Paris, comment fallait-il qu’il s’organise pour sa femme et ses enfants ».
Aujourd’hui bien installé dans l’Hexagone, Siya Kolisi revient à Bordeaux avec le Racing 92 pour affronter l’UBB en barrage de Top 14. « C’est un sacré défi !, reconnaît-il. C’est une bonne équipe, qui pratique un jeu excitant. Les supporters seront derrière eux et c’est toujours spécial d’évoluer là-bas ». Loin de Durban, ses anciennes connaissances (Bru, McNamara, Giorgadze, Tapuai, Sadie) tenteront de lui barrer la route pour accéder à la grande fête des demi-finales à Bordeaux.
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Scalp- Team modo
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Re: Barrage : UBB / Racing
L'entretien d'avant barrage avec Jefferson Poirot
https://www.ubbrugby.com/actualites/9124-l-entretien-d-avant-barrage-avec-jefferson-poirot.html
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Re: Barrage : UBB / Racing
Top 14. UBB – Racing 92, la deuxième confrontation en barrage après celle de 2022
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/top-14-ubb-racing-92-la-deuxieme-confrontation-en-barrage-apres-celle-de-2022-20089750.php
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Re: Barrage : UBB / Racing
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Re: Barrage : UBB / Racing
Top 14 – L’UBB et Toulouse en têtes d’affiche : le classement des affluences du championnat
https://www.rugbyrama.fr/2024/06/15/top-14-lubb-et-toulouse-en-tetes-daffiche-le-classement-des-affluences-du-championnat-12018299.php
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Re: Barrage : UBB / Racing
Top 14 : l’UBB et le Racing 92 en quête de gloire dans un barrage explosif
https://www.xvovalie.com/top-14-lubb-et-le-racing-92-en-quete-de-gloire-dans-un-barrage-explosif/
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Re: Barrage : UBB / Racing
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composition du barrage
bonjour , quelle compo pourront on avoir pour demain soir ?
alf33- J'aime l'Union un peu
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Re: Barrage : UBB / Racing
https://www.rugbyrama.fr/2024/06/15/top-14-deux-charnieres-recomposees-au-coeur-de-bordeaux-begles-racing-92-12018447.php
Top 14 - Deux charnières recomposées au cœur de Bordeaux-Bègles - Racing 92
Jérôme Prévôt
Matthieu Jalibert d’un côté, Nolann Le Garrec de l’autre. Chaque équipe comptera un absent de marque. Leurs remplaçants, Mateo Garcia et Clovis Le Bail vivront un tournant de leur carrière.
Ce sera l’une des attractions de ce barrage. Les deux équipes aligneront des charnières recomposées. À Bordeaux, la grande affaire fut évidemment celle du forfait de Matthieu Jalibert, actée très vite après sa sortie face à Oyonnax samedi dernier. La déchirure des ischio-jambiers de la cuisse gauche était patente. Elle a été confirmée très vite, signifiant la fin de la saison du phénix girondin. Il sera remplacé par Mateo Garcia, excellent à l’arrière contre Oyonnax. Mais c’est toujours lui qui a suppléé Matthieu Jalibert cette saison. L’option de placer Lucu à l’ouverture et Lesgourgues à la mêlée n’a jamais été envisagée sérieusement par Yannick Bru et son staff.
Mateo Garcia, 21 ans, formé à Bayonne, ex-international des moins de 20 ans, vivra évidemment un moment important dans sa jeune carrière. Il était notamment titulaire lors de la belle victoire face aux Saracens en Coupe d’Europe. Il a été titulaire onze fois en Top 14 cette saison, et deux fois en Champions Cup. Et l’UBB a gagné huit fois. Il était notamment aux affaires lors des victoires décisives à Clermont et à Toulon. En plus, l’option Lesgourgues-Lucu aurait privé l’UBB de l’avantage d’avoir deux buteurs (un droitier et un gaucher) sur le terrain.
Côté Racing, l’absent de marque s’appelle Nolann Le Garrec, forfait jusqu’à la fin de la saison à cause d’une blessure à une épaule et opéré cette semaine. Ce n’est pas facile de se passer d’un demi de mêlée buteur néo-international en pleine confiance ; un joueur que le staff considère évidemment comme un maillon très fort. Il sera remplacé par Clovis Le Bail, venu de Pau à l’intersaison et qui a été huit fois titulaire cette saison. Moins célébré que son jeune concurrent, Le Bail peut s’enorgueillir d’avoir été appelé dans des groupes élargis du XV de France en 2021, mais sans goûter aux tests.
Gibert doit rebondir
Il fera la paire avec Antoine Gibert, pur produit du Racing, souvent présenté comme une pépite du rugby français. Stuart Lancaster préfère en ce moment utiliser son concurrent sud-africain Tristan Tedder à l’arrière, où il se montre sous son meilleur jour en ce moment, ce qui relègue Max Spring parmi les remplaçants à la fois comme arrière et comme… demi de mêlée, les joies de la polyvalence.
Les supporters du Racing attendent un coup d’éclat de Gibert dont les performances ont stagné depuis le dernier Tournoi. Il avait été appelé par Fabien Galthié, on lui donnait des chances de commencer une carrière en bleu, d’autant plus qu’il est lui aussi capable de jouer à la mêlée. Mais il a dû faire les voyages à vide, car l’option Ramos en numéro 10 a été privilégiée. Antoine Gibert n’a donc pas eu droit à une seule feuille de match, ce qui a pu le perturber. Une grosse performance à Chaban-Delmas signerait un grand retour sur le devant de la scène pour ce gars qu’on comparait à ses débuts à Frédéric Michalak.
Top 14 - Deux charnières recomposées au cœur de Bordeaux-Bègles - Racing 92
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Matthieu Jalibert d’un côté, Nolann Le Garrec de l’autre. Chaque équipe comptera un absent de marque. Leurs remplaçants, Mateo Garcia et Clovis Le Bail vivront un tournant de leur carrière.
Ce sera l’une des attractions de ce barrage. Les deux équipes aligneront des charnières recomposées. À Bordeaux, la grande affaire fut évidemment celle du forfait de Matthieu Jalibert, actée très vite après sa sortie face à Oyonnax samedi dernier. La déchirure des ischio-jambiers de la cuisse gauche était patente. Elle a été confirmée très vite, signifiant la fin de la saison du phénix girondin. Il sera remplacé par Mateo Garcia, excellent à l’arrière contre Oyonnax. Mais c’est toujours lui qui a suppléé Matthieu Jalibert cette saison. L’option de placer Lucu à l’ouverture et Lesgourgues à la mêlée n’a jamais été envisagée sérieusement par Yannick Bru et son staff.
Mateo Garcia, 21 ans, formé à Bayonne, ex-international des moins de 20 ans, vivra évidemment un moment important dans sa jeune carrière. Il était notamment titulaire lors de la belle victoire face aux Saracens en Coupe d’Europe. Il a été titulaire onze fois en Top 14 cette saison, et deux fois en Champions Cup. Et l’UBB a gagné huit fois. Il était notamment aux affaires lors des victoires décisives à Clermont et à Toulon. En plus, l’option Lesgourgues-Lucu aurait privé l’UBB de l’avantage d’avoir deux buteurs (un droitier et un gaucher) sur le terrain.
Côté Racing, l’absent de marque s’appelle Nolann Le Garrec, forfait jusqu’à la fin de la saison à cause d’une blessure à une épaule et opéré cette semaine. Ce n’est pas facile de se passer d’un demi de mêlée buteur néo-international en pleine confiance ; un joueur que le staff considère évidemment comme un maillon très fort. Il sera remplacé par Clovis Le Bail, venu de Pau à l’intersaison et qui a été huit fois titulaire cette saison. Moins célébré que son jeune concurrent, Le Bail peut s’enorgueillir d’avoir été appelé dans des groupes élargis du XV de France en 2021, mais sans goûter aux tests.
Gibert doit rebondir
Il fera la paire avec Antoine Gibert, pur produit du Racing, souvent présenté comme une pépite du rugby français. Stuart Lancaster préfère en ce moment utiliser son concurrent sud-africain Tristan Tedder à l’arrière, où il se montre sous son meilleur jour en ce moment, ce qui relègue Max Spring parmi les remplaçants à la fois comme arrière et comme… demi de mêlée, les joies de la polyvalence.
Les supporters du Racing attendent un coup d’éclat de Gibert dont les performances ont stagné depuis le dernier Tournoi. Il avait été appelé par Fabien Galthié, on lui donnait des chances de commencer une carrière en bleu, d’autant plus qu’il est lui aussi capable de jouer à la mêlée. Mais il a dû faire les voyages à vide, car l’option Ramos en numéro 10 a été privilégiée. Antoine Gibert n’a donc pas eu droit à une seule feuille de match, ce qui a pu le perturber. Une grosse performance à Chaban-Delmas signerait un grand retour sur le devant de la scène pour ce gars qu’on comparait à ses débuts à Frédéric Michalak.
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Re: Barrage : UBB / Racing
Top 14 - UBB : "la boule au ventre, tout le monde l'a" avant le barrage face au Racing
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/top-14-ubb-la-boule-au-ventre-tout-le-monde-l-a-avant-le-barrage-face-au-racing-9425470
https://www.francebleu.fr/sports/rugby/top-14-ubb-la-boule-au-ventre-tout-le-monde-l-a-avant-le-barrage-face-au-racing-9425470
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Re: Barrage : UBB / Racing
UGBY. TOP 14. Cameron Woki vs UBB : la scène idéale pour impressionner Galthié ?
https://www.lerugbynistere.fr/news/rugby-top-14-cameron-woki-vs-ubb-la-scene-ideale-pour-impressionner-galthie-1506241404.php
https://www.lerugbynistere.fr/news/rugby-top-14-cameron-woki-vs-ubb-la-scene-ideale-pour-impressionner-galthie-1506241404.php
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Re: Barrage : UBB / Racing
Jefferson Poirot (Bordeaux-Bègles) avant le barrage contre le Racing : « Ne pas se laisser porter par la magie du rugby »
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Jefferson-poirot-bordeaux-begles-avant-le-barrage-contre-le-racing-ne-pas-se-laisser-porter-par-la-magie-du-rugby/1474939
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Re: Barrage : UBB / Racing
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Re: Barrage : UBB / Racing
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Re: Barrage : UBB / Racing
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Re: Barrage : UBB / Racing
Abadie sur la feuille, c'est là que tu vois qu'on a des trous dans la raquette…
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Re: Barrage : UBB / Racing
Y a plus qu'à !
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Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
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Humeur : Fonction de l'UBB
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Re: Barrage : UBB / Racing
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Re: Barrage : UBB / Racing
Tuisauva ailier, Nadolo, tu es content j’imagine
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Re: Barrage : UBB / Racing
Ça faire plaisir de revoir Nico et Romain, content également de la présence de Madosh, grosse équipe titulaire,
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Re: Barrage : UBB / Racing
Scalp a écrit:Tuisauva ailier, Nadolo, tu es content j’imagine
Avec les 2 coffres à ballon qui jouent au centre, je ne sais pas s'il va toucher beaucoup de bons ballons..
J'ai parlé de bons ballons, hein ?
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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