Finale 2024 : Stade Toulousain / UBB

Toulouse n'appuie pas la où ça nous fait mal contrairement à LR ou SF.
J'ai beaucoup moins peur en mêlée, en défense sur maul ou sur la touche une la semaine dernière.
Avant d'être une équipe joueuse c'est avant tout une équipe de combat!!
Comme inquiétude : la pression, le physique.
Comme peur: le réveil de Dupont !!!
Car Toulouse avec un Dupont a son niveau c'est très très costaud offensivement, défensivement et au pied.
Il y a toujours de la place, le top serait de faire un match a la SF, un match de traînard.toujours derrière mais toujours a porté de la victoire. Rester au contact et les coiffer à la fin!!!!

coach2rugby a écrit:Toulouse n'appuie pas la où ça nous fait mal contrairement à LR ou SF.
J'ai beaucoup moins peur en mêlée, en défense sur maul ou sur la touche une la semaine dernière.
Avant d'être une équipe joueuse c'est avant tout une équipe de combat!!
Comme inquiétude : la pression, le physique.
Comme peur: le réveil de Dupont !!!
Car Toulouse avec un Dupont a son niveau c'est très très costaud offensivement, défensivement et au pied.
Il y a toujours de la place, le top serait de faire un match a la SF, un match de traînard.toujours derrière mais toujours a porté de la victoire. Rester au contact et les coiffer à la fin!!!!

Je suis assez d"accord avec toi. J'ai moins peur de leurs avants, surtout si Meafou n'est finalement pas là.
Baille absent, on a une carte à jouer en mêlée, en seconde mi-temps.
Leur troisième ligne est bien équilibrée mais elle a beaucoup joué, et n'a pas un 8 gros porteur, à la Tataf
Si on parvient à étouffer Dupont on aura fait 50% du boulot à mon avis
Pour les 3/4, si Lebel est absent, cela leur fait un facteur X en moins, et je ne suis pas inquiet au niveau de notre paire de centre.
On va avoir besoin d'un très grand Maxime + Buros en tous cas

Thony a écrit:

coach2rugby a écrit:Toulouse n'appuie pas la où ça nous fait mal contrairement à LR ou SF.
J'ai beaucoup moins peur en mêlée, en défense sur maul ou sur la touche une la semaine dernière.
Avant d'être une équipe joueuse c'est avant tout une équipe de combat!!
Comme inquiétude : la pression, le physique.
Comme peur: le réveil de Dupont !!!
Car Toulouse avec un Dupont a son niveau c'est très très costaud offensivement, défensivement et au pied.
Il y a toujours de la place, le top serait de faire un match a la SF, un match de traînard.toujours derrière mais toujours a porté de la victoire. Rester au contact et les coiffer à la fin!!!!

Je suis assez d"accord avec toi. J'ai moins peur de leurs avants, surtout si Meafou n'est finalement pas là.
Baille absent, on a une carte à jouer en mêlée, en seconde mi-temps.
Leur troisième ligne est bien équilibrée mais elle a beaucoup joué, et n'a pas un 8 gros porteur, à la Tataf
Si on parvient à étouffer Dupont on aura fait 50% du boulot à mon avis
Pour les 3/4, si Lebel est absent, cela leur fait un facteur X en moins, et je ne suis pas inquiet au niveau de notre paire de centre.
On va avoir besoin d'un très grand Maxime + Buros en tous cas

On a moins peur d'eux devant effectivement, ils ne cherchent pas la destruction, leurs avants participent au jeu, mais ils sont redoutables en défense et savent coller la pression pour récupérer les ballons, et là, ils sont redoutables.

Contrairement au SF et aussi à LR, les Toulousains savent quoi faire avec le ballon, si on applique la même stratégie que face au SF, on est mort. Trouver l'équilibre, sans partir à l'abordage et se faire contrer, ou rendre les ballons au pied, et prendre des relances, ça sera très compliqué. Il faudra commencer par avoir une conquête propre, être ultra-discipliné tout en étant agressif, gagner la guerre des rucks, et on aura une chance. La question étant d'espérer qu'on aura assez d'essence dans le réservoir, au moindre moment de faiblesse, on prendra cher. Il faudra faire le meilleur match de la saison pendant 80 minutes, sans faiblir, avec en face une équipe qui va nous coller une pression de malade. Si on gagne ce match, ce sera le plus grand exploit sportif de l'histoire de l'UBB !

L’UBB en finale du Top 14 : le port de la Lune, capitale du rugby depuis le XIXe siècle

https://www.sudouest.fr/archives/l-ubb-en-finale-du-top-14-le-port-de-la-lune-capitale-du-rugby-depuis-le-xixe-siecle-20286033.php

N’en déplaise à la Ville rose, le port de la Lune, capitale du rugby pendant plus de dix ans au début du XXe siècle, est toujours une place forte de l’Ovalie.

Certains supporters Toulousain en venant sur notre forum, bienvenue à eux , auront l'occasion de découvrir la lune…

XV de France : "Ça m’a beaucoup aidé à rebondir…" François Cros dévoile son remède contre la déception de la Coupe du monde 2022

https://www.ladepeche.fr/2024/06/26/stade-toulousain-ca-ma-beaucoup-aide-a-rebondir-francois-cros-devoile-son-remede-contre-la-deception-de-la-coupe-du-monde-2022-12041433.php

Scalp a écrit:

Thony a écrit:

coach2rugby a écrit:Toulouse n'appuie pas la où ça nous fait mal contrairement à LR ou SF.
J'ai beaucoup moins peur en mêlée, en défense sur maul ou sur la touche une la semaine dernière.
Avant d'être une équipe joueuse c'est avant tout une équipe de combat!!
Comme inquiétude : la pression, le physique.
Comme peur: le réveil de Dupont !!!
Car Toulouse avec un Dupont a son niveau c'est très très costaud offensivement, défensivement et au pied.
Il y a toujours de la place, le top serait de faire un match a la SF, un match de traînard.toujours derrière mais toujours a porté de la victoire. Rester au contact et les coiffer à la fin!!!!

Je suis assez d"accord avec toi. J'ai moins peur de leurs avants, surtout si Meafou n'est finalement pas là.
Baille absent, on a une carte à jouer en mêlée, en seconde mi-temps.
Leur troisième ligne est bien équilibrée mais elle a beaucoup joué, et n'a pas un 8 gros porteur, à la Tataf
Si on parvient à étouffer Dupont on aura fait 50% du boulot à mon avis
Pour les 3/4, si Lebel est absent, cela leur fait un facteur X en moins, et je ne suis pas inquiet au niveau de notre paire de centre.
On va avoir besoin d'un très grand Maxime + Buros en tous cas

On a moins peur d'eux devant effectivement, ils ne cherchent pas la destruction, leurs avants participent au jeu, mais ils sont redoutables en défense et savent coller la pression pour récupérer les ballons, et là, ils sont redoutables.

Contrairement au SF et aussi à LR, les Toulousains savent quoi faire avec le ballon, si on applique la même stratégie que face au SF, on est mort. Trouver l'équilibre, sans partir à l'abordage et se faire contrer, ou rendre les ballons au pied, et prendre des relances, ça sera très compliqué. Il faudra commencer par avoir une conquête propre, être ultra-discipliné tout en étant agressif, gagner la guerre des rucks, et on aura une chance. La question étant d'espérer qu'on aura assez d'essence dans le réservoir, au moindre moment de faiblesse, on prendra cher. Il faudra faire le meilleur match de la saison pendant 80 minutes, sans faiblir, avec en face une équipe qui va nous coller une pression de malade. Si on gagne ce match, ce sera le plus grand exploit sportif de l'histoire de l'UBB !

Je sais pas trop pour ma part le jeu au pied et le ST. Il y a des joueurs pas très à l'aise sur jeu de pression.
Moi je suis d'avis d'utiliser le jeu de pression, un style un peu Sudaf dans lequel ils vont se faire chier. Chandelle, du rasant dans des zones inoccupés, du jeu derrière le dos, on a des flèches pour mettre la pression ensuite.

Après s'ils mettent Mallia et Kinghorn aux ailes on verra.
LR a montré un peu ce qu'il faut faire je trouve. Il faudra être plus discipliné et plus précis. Meilleur de manière générale.

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-ubb-peut-elle-compenser-l-absence-de-tameifuna-en-finale-de-top-14/1477462

L'UBB peut-elle compenser l'absence de Tameifuna en finale de Top 14 ?

L'absence du roc tongien Ben Tameifuna, touché à une épaule il y a dix jours, sera un sacré handicap pour l'UBB vendredi, contre Toulouse, en finale du Top 14.

Adrien Corée

148 kg en moins, ça fait un joli trou dans la raquette. Lundi, l'entraîneur de la mêlée bordelaise Jean-Baptiste Poux a annoncé sur France Bleu Gironde que le colosse Ben Tameifuna ne serait pas de la partie face au Stade Toulousain vendredi soir : « On l'a testé ce (lundi) matin. Malheureusement, il n'a pas de bonnes sensations et ne pourra pas postuler. Par miracle, on espérait l'avoir, mais finalement ce n'est pas possible. On fera sans lui, même si c'est un joueur irremplaçable. »

Victime d'une luxation de l'épaule droite lors du barrage face au Racing (31-17) le 16 juin, Tameifuna avait été laissé au repos pour la demie contre Paris (22-20). Le manager Yannick Bru avait alors annoncé qu'il préférait « laisser à Ben le temps de se soigner ». Mais lors du premier entraînement lundi, l'épaule de « Big Ben » grinçait toujours. « Le pessimisme est là aujourd'hui. Réponse en fin de semaine », a nuancé Bru auprès de Sud Ouest.

Samedi soir, l'absence de Tameifuna (32 ans) a grandement contribué au calvaire vécu par les avants bordelais pendant les soixante dernières minutes de la rencontre. Face à un Stade Français réputé pour la solidité de son pack, l'équipe bordelaise a énormément subi dans les zones d'affrontement, notamment sur les mauls et en conquête : cinq touches perdues et quatre pénalités en mêlée fermée. « Sans Tameifuna, la mêlée a été moins conquérante qu'elle devrait l'être, appuie Guy Accoceberry, ancien demi de mêlée international et fin observateur de l'UBB. Ça a failli entraîner l'élimination. »

Le physique de titan et l'expérience du haut niveau de Tameifuna auraient pu freiner l'hémorragie. En 2016, alors au Racing, il avait été déterminant dans le succès des Franciliens contre Toulon en finale du Top 14 (29-21). Dans une équipe réduite à 14 très tôt (carton rouge contre Machenaud à la 18e), il avait tenu la baraque en mêlée, dans une fin de match étouffante à Barcelone.

« C'est la pierre angulaire du paquet d'avants, souligne encore Accoceberry. Depuis plusieurs saisons, c'est peut-être le meilleur droitier du monde. Il est au moins dans le top 3 quand on voit la Coupe du monde qu'il a réalisée, tout ce qu'il fait depuis qu'il est à Bordeaux. C'est un joueur puissant en mêlée, tonique, il gratte les ballons, il avance... »

Huit ans après, alors qu'on l'attendait pour une autre finale délocalisée loin de Saint-Denis, Tameifuna ne sera pas, à moins d'un improbable rétablissement express, le héros de l'UBB. Pour le staff bordelais, qui doit déjà se passer des services de Sipili Falatea, victime d'une rupture des ligaments croisés début janvier, les choix sont réduits au poste de pilier droit.

Samedi soir, c'est le massif Sud-Africain Carlü Sadie qui avait débuté, secondé en cours de match par le plus mobile mais moins puissant Géorgien Lekso Kaulashvili, qui a davantage un profil de gaucher. Arrivé en cours de saison en provenance de Tarbes comme joker médical de Falatea, le Tongien Toma'akino Taufa est également une option.

De l'autre côté, Toulouse présentera un paquet d'avants moins porté sur le combat que celui du Stade Français, mais tout aussi redoutable, notamment grâce à sa qualité de déplacement. Mais les Rouge et Noir déplorent également un forfait de taille en première ligne puisque Cyril Baille s'est sévèrement blessé contre La Rochelle vendredi (39-23) : rupture des ligaments croisés de la cheville gauche et fracture du péroné.

La doublure de Tameifuna n'aura donc pas à pousser face à l'international français, référence mondiale à gauche. Mais son remplaçant, certainement Rodrigue Neti, n'est pas le plus docile des clients. « La blessure de Baille rééquilibre un petit peu les débats, mais je pense que Toulouse a un banc un peu plus profond que celui de l'UBB, prévient "Acco". Neti, dès qu'il a dû jouer cette saison, a montré qu'il était au niveau. »

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Podcast-crunch-l-ubb-peut-elle-faire-trembler-toulouse/1477187

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Le-jour-ou-avec-francois-cros-ma-fille-m-a-aide-a-rebondir-apres-l-echec-a-la-coupe-du-monde/1477431

Le jour où... avec François Cros : « Ma fille m'a aidé à rebondir » après l'échec à la Coupe du monde

Avant de disputer vendredi une nouvelle finale de Top 14, le flanker toulousain François Cros revient sur les moments forts de sa carrière. Notamment sur l'échec de la dernière Coupe du monde, dont il a su se relever grâce à la naissance de sa fille Lili.

Laurent Campistron, à Toulouse

Au Stade Toulousain, il fait partie de ces joueurs qui ne déçoivent jamais. De ces leaders de jeu et de vestiaire qui performent, rassurent et entretiennent cette fameuse culture de la gagne qui contribue tant à remplir l'armoire à trophées du club.

À 30 balais, François Cros a déjà vécu tellement d'aventures en rouge et noir que cette nouvelle finale de Top 14 qui se profile, vendredi face à l'UBB, a peu de chances de l'émouvoir. En revanche, elle risque fort de décupler sa rage de vaincre, comme à chaque fois.

Le jour où...

« ... vous remportez votre premier bouclier de Brennus.[/b]

En 2019 (15 juin), contre Clermont (24-18). Une année incroyable pour moi, parce que c'est aussi celle de ma première sélection en équipe de France (17 août contre l'Écosse) et celle de la validation de mon diplôme de pédicure-podologue. Je me souviens d'une finale hyper âpre, hyper tendue, avec un gros combat. Au coup de sifflet final, je n'avais plus aucune force, je m'étais juste effondré au sol de joie et de fatigue.

Le jour où...

...vous apprenez que vous n'êtes pas retenu dans les 31 qui partiront au Japon disputer la Coupe du monde 2019.

Jacques Brunel (le sélectionneur de l'époque) m'avait appelé deux ou trois heures avant l'annonce officielle de la liste. J'étais déçu parce que j'y avais cru, les signaux étaient plutôt positifs. J'avais joué deux matches de prépa sur trois (contre l'Écosse et l'Italie), et ça s'était plutôt bien passé pour moi. Une Coupe du monde est une aventure qu'on vit très rarement. La frustration était donc grande, mais je m'en suis servi pour atteindre l'objectif de jouer celle d'après, en 2023.

« Je ne me souviens pas de tous mes plaquages réussis. En revanche, je me souviens de tous ceux que j'ai ratés ! »

Le jour où...

...vous marquez l'essai le plus important de votre carrière.

Ça va être assez rapide, parce que je n'en ai pas planté beaucoup (rires) ! Je dirais donc le premier et le seul en équipe de France pour l'instant : contre l'Angleterre, en 2022(19 mars, victoire 25-13), lors du dernier match du Tournoi des Six Nations. Même si ce n'est pas le plus beau, c'est sûrement le plus important, parce qu'il a contribué à nous faire gagner le Grand Chelem cette année-là.

Je me souviens de l'action, juste avant la mi-temps. Romain (Ntamack) arrive à breaker et se fait arrêter à un mètre de la ligne. Je fais alors le choix de tenter ma chance, de ramasser le ballon pour franchir la ligne. C'était à double tranchant, soit je marquais et c'était top, soit je me ratais et je tuais l'action de l'équipe. En jouant ce ballon, j'étais obligé de conclure, en fait (rires) !

François Cros, en bref
30 ans, troisième-ligne. Taille : 1,90 m. Poids : 108 kg. Club : Toulouse
2021 : le 22 mai, il remporte la Coupe des champions avec le Stade Toulousain en battant en finale La Rochelle (22-17) à Twickenham.

Le jour où...

...vous avez fait "waouh" en regardant vos stats.

Il n'y en a pas vraiment. Plutôt que de chercher du positif dans mes stats, je regarde plutôt les secteurs qui n'ont pas été performants et qui restent à améliorer. C'est plutôt comme ça que je fonctionne. Je ne me souviens pas de tous mes plaquages réussis. En revanche, je me souviens de tous ceux que j'ai ratés !

Le jour où...

...votre vie a vraiment changé.

Celui de la naissance de ma fille (Lili), en septembre 2022. La découverte de la paternité est quelque chose d'assez incroyable dans la vie d'un homme. Perso, ça m'a beaucoup aidé à rebondir après l'échec de la dernière Coupe du monde. Quand tu as une petite merveille à la maison qui demande beaucoup de toi, tu n'as pas le temps de t'apitoyer sur ton sort. Avec mon épouse (Jennifer), on a la chance d'avoir une petite qui nous comble de bonheur, qui est pleine de vie, en bonne santé.

On est hyper heureux de pouvoir vivre ça et de lui faire vivre aussi des bons moments. À moins d'un an, elle était présente au Stade de France le jour où on a remporté notre dernier bouclier de Brennus (2023). Elle était là aussi pour le quart de finale de la Coupe du monde. Elle ne s'en souviendra sûrement pas quand elle sera plus grande, mais on aura des photos pour lui prouver qu'elle était là.

Le jour où...

...vous avez donné votre premier cours à l'IFPP (Institut de formation en pédicurie et podologie).

Je ne me souviens pas du jour exact. J'avais un statut de vacataire et je donnais un coup de main aux nouveaux étudiants en formation. En fait, des patients viennent à l'école, comme dans un cabinet médical classique, et ce sont les étudiants qui font les consultations avec l'aide de formateurs comme moi à leur côté. Nous, on est là pour valider la consultation et la prise en charge.

Pour moi, c'était l'idéal pour maintenir mon niveau d'activité en podologie. Je ne voulais pas tout arrêter après l'obtention du diplôme, parce que ce sont des métiers où l'on a besoin d'exercer pour rester compétent. Aujourd'hui, j'y vais beaucoup moins, parce qu'avec ma petite fille, c'est plus difficile de trouver des créneaux.

« Le plus dur a été de retrouver un enjeu sportif à la hauteur de l'événement qu'on venait de vivre »
À propos de la défaite en quarts de finale de la dernière Coupe du monde

Le jour où...

...vous perdez contre l'Afrique du Sud en quarts de finale de la Coupe du monde 2023.

Forcément très déçu, parce que c'est un match où on avait la possibilité de mieux faire. On perd d'un point (28-29), et mourir à un point, c'est cruel. C'était l'événement d'une vie, quelque chose qu'on ne revivra jamais à domicile. Il y avait des grosses attentes derrière nous, et ç'a été compliqué de voir la tristesse de nos supporters, de ne pas avoir réussi à leur donner ce qu'ils espéraient.

J'ai mis du temps à digérer cette défaite. Le plus dur a été de retrouver un enjeu sportif à la hauteur de l'événement qu'on venait de vivre. J'ai eu du mal à rallumer le moteur en Top 14, où l'enjeu était bien moindre à ce moment-là. C'est la Coupe des champions qui m'a relancé. Avec sa phase de poules ultra-courte, où chaque match peut être décisif, elle m'a fait un bien fou.

Le jour où...

...vous raccrocherez les crampons.

Ça sera quand mon corps me dira stop. Je suis sous contrat jusqu'en 2027. J'espère disputer aussi la Coupe du monde en Australie cette année-là. C'est un objectif de carrière, quelque chose qui me tient à coeur. J'aurai alors 33 ans, on fera le point à ce moment-là. Quand on a la chance de faire le sport qu'on aime à ce niveau-là, c'est forcément compliqué le jour où il faut s'arrêter. »

Bain de foule à Ernest-Wallon

C'est mercredi, dans l'après-midi, après l'entraînement du jour, que le Stade Toulousain ralliera Marseille pour y disputer vendredi la finale du Top 14 face à l'UBB (21 h 05). Les Rouge et Noir, qui ont donné rendez-vous à leurs supporters sur le parvis d'Ernest-Wallon à 14 h 30, s'offriront un bain de foule au milieu des fans avant de monter dans le bus. Ils s'entraîneront une dernière fois jeudi après-midi sur la pelouse du stade Orange Vélodrome, juste avant l'annonce officielle de la compo d'équipe (18 heures). À noter qu'un écran géant sera installé sur la place toulousaine du Capitole, vendredi soir, pour permettre aux supporters qui n'auront pas pu se rendre à Marseille de suivre la finale ensemble.

Info ou intox : Tameifuna et Jalibert alignés contre Toulouse ?

https://www.xvovalie.com/info-ou-intox-tameifuna-et-jalibert-alignes-contre-toulouse/

FINALE TOP 14. Kinghorn vs Penaud : deux géants pour une bataille des cieux ?

https://www.lerugbynistere.fr/news/finale-top-14-kinghorn-vs-penaud-deux-geants-pour-une-bataille-des-cieux-2506241842.php

https://www.francebleu.fr/emissions/la-melee-du-lundi/gironde

L'intox pourrait jouer dans les 2 sens : faire croire qu'ils seront alignés alors qu'ils sont bel et bien forfaits.
En attendant je crois que Toulouse s'en fout et c'est plutot avec nos nerfs que l'on joue

Quiz. Retrouvez les compositions de la première victoire de l'UBB contre Toulouse après sa montée, en 2012

https://www.rugbyrama.fr/2024/06/26/quiz-retrouvez-les-compositions-de-la-premiere-victoire-de-lubb-contre-toulouse-apres-sa-montee-en-2012-12041530.php

Toulouse – Bordeaux-Bègles : où voir la finale de Top 14 ? Le guide du supporter

https://www.rugbyrama.fr/2024/06/26/toulouse-bordeaux-begles-ou-voir-la-finale-de-top-14-le-guide-du-supporter-12040210.php

Bru face à Mola, le duel de stratèges

https://top14.lnr.fr/actualite/bru-face-a-mola-le-duel-de-strateges

Scalp a écrit:FINALE TOP 14. Kinghorn vs Penaud : deux géants pour une bataille des cieux ?

https://www.lerugbynistere.fr/news/finale-top-14-kinghorn-vs-penaud-deux-geants-pour-une-bataille-des-cieux-2506241842.php

Kinghorn dont personne ne parlait en France, ni ne connaissait le nom (ou presque), avant qu'il ne joue à Toulouse

Finale Stade Toulousain-Bordeaux-Bègles : pourquoi le Vélodrome est un stade maudit pour Antoine Dupont ?

https://www.ladepeche.fr/2024/06/26/finale-stade-toulousain-bordeaux-begles-pourquoi-le-velodrome-est-un-stade-maudit-pour-antoine-dupont-12042095.php

J'ai suivi un direct, il y a un gars qui filmait tout et a partagé le départ des joueurs pour Marseille sur instagram.
Mais pas vu Matthieu, après c'était un peu flou l'image.
Certains étaient sur place ?

Rugby : qu’est-ce que le bouclier de Brennus, trophée du Top 14, disputé vendredi par l’UBB et le Stade Toulousain ?

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/top14/rugby-qu-est-ce-que-le-bouclier-de-brennus-trophee-du-top-14-20295014.php

Mathieu Jalibert est bien parti pour aller à Marseille

Scalp a écrit:Rugby : qu’est-ce que le bouclier de Brennus, trophée du Top 14, disputé vendredi par l’UBB et le Stade Toulousain ?

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/top14/rugby-qu-est-ce-que-le-bouclier-de-brennus-trophee-du-top-14-20295014.php

La Saint Graal !
Ramenez nous ca à Bordeaux