26ème Journée - Oyonnax / UBB

Voici arrivé le jour du rendez-vous annuel chez nos amis poètes chers à Nico. Pour ceux qui auraient loupés les épisodes précédents, Nico avaient qualifié l'équipe d'Oyonnax de poètes car ils avaient la propension à gagner tous les matchs à la maison pour l'amour du maillot et la défense des valeurs ancestrales amteurs, mais à perdre tous les matchs à l'extérieur où l'honneur était moins important à defendre. C'est un peu moins vrai aujourd'hui car même si Mathon reste imprenable, ces "couillons" se mettent à l'heure du professionnalisme et eux aussi à aller gagner loin de leur terre. Seront nous les prochaines victime de la plastic valley, l'avenir proche va nous le dire. Rendez vous samedi à 19h pour cause d'avion tardif. GoldFM fera t'elle le long voyage ??? Voir Mathon et mourir

Mais je veux mon neveu que GoLDFM fera le voyage. Etre la radio officielle de l'Union c'est aussi accompagner ces messieurs sur tout le territoire, y compris sur des terres hostiles....

http://www.sudouest.com/accueil/sports/rugby/article/556416/mil/4391672.html

LA SURPRISE. En position de demi-finaliste à cinq journées de la fin, le petit club de l'Ain est toujours invaincu à domicile. Histoire d'un bastion de rugby qui s'est construit loin du Sud-Ouest
Ce qu'Oyonnax veut dire

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Les joueurs du Haut-Bugey se sont offerts le Racing, dimanche dernier au stade Mathon. (PHOTO PQR)

C'est encore arrivé « l'autre jour ». Olivier Nier donnait une conférence à Antibes. Pour se présenter, il a précisé qu'il était le coentraîneur du club de rugby d'Oyonnax, puis il a commencé son intervention. Alors, un homme a levé la main, perplexe. « Excusez-moi. Je connais très bien le Pays Basque, mais Oyonnax, je ne vois pas trop où c'est... »

Eh bien c'est normal, monsieur. Oyonnax, ce n'est pas en Basse-Navarre, c'est dans le Haut-Bugey. D'ailleurs, le « x » final ne se prononce pas. « Ça nous arrive souvent. Personne ne sait où c'est ! », s'amuse Olivier Nier, coach des arrières de l'USO, universitaire et chercheur. « Oyo, poursuit-il, c'est au fond d'une vallée du bout du monde. Venir jouer ici, pour les clubs du Sud-Ouest, ça veut dire se cogner des heures et des heures de bus. »

2 500 places assises

Les joueurs de Bordeaux-Bègles, par exemple, qui sont attendus demain dans le chef-lieu de canton de l'Ain, devront parcourir 700 km. Rien que pour l'aller. « Et puis il y a cette autoroute qui commence à monter dans les contreforts du Jura, la neige qu'on aperçoit. En plus, les équipes adverses sont souvent logées à Nantua, une cuvette où il fait particulièrement froid », raconte Ludovic Alain, journaliste sportif du quotidien « Le Progrès ».

Dans leur vallée, les rouge et noir ne perdent jamais, ou presque. Et le public chante : « Ici ! Ici ! C'est O-yo-nnax ! » Malgré un budget inférieur à 5 millions d'euros, qui place le club dans la fourchette la plus basse du rugby professionnel, le stade Charles-Mathon - 2500 places assises, 3 500 pékins debout - est imprenable. « On a dû perdre quatre matches à la maison depuis qu'on est en Pro D2 », glisse le pilier Richard Menotti, qui a connu la montée de Fédérale 1.

« J'arrivais de Paris, raconte-t-il. J'avais été approché par plusieurs clubs pros, j'avais même été reçu par Max Guazzini (le président du Stade Français). Mais je ne me reconnaissais pas dans le professionnalisme. Les valeurs du rugby, je les ai trouvées dans l'identité d'Oyonnax. En juniors, j'avais joué en sélection avec les mecs du Racing et ils se la pétaient un peu. »

L'évêque des pauvres

Le même Racing, qui avait été la seule équipe à s'imposer à « Oyo » la saison dernière, y a perdu dimanche (28-13). Dans le vestiaire, quelques jours avant la venue du leader parisien et de ses vedettes étrangères, on avait accroché ces mots du Brésilien Don Helder Camara, l'évêque des pauvres : « Quand on rêve tout seul, ça reste un rêve. Quand on rêve à plusieurs, ça devient une réalité ».

« Le club s'est construit en bastion loin du Sud-Ouest, reprend Olivier Nier. En plus de la dimension géographique, qui joue sur l'imaginaire des équipes visiteuses, il y a une dimension culturelle, qui correspond à l'histoire du club », souligne-t-il. Un David, parmi toute une tribu de Goliath.

Cette saison, sous l'impulsion du directeur sportif Christophe Urios, l'USO a évolué, élargi la panoplie de son jeu au-delà de la seule « rudesse » qui fait sa marque de fabrique. L'arrière ou ailier Pierre-Yves Montagnat, avec 235 points, est le troisième meilleur réalisateur de Pro D2. Et l'USO a un pied en demi-finale. « On regarde de plus en plus vers le haut », constate Richard Menotti.

Un « bled » industriel, avec les entreprises locales de plastique comme partenaires, avec son public populaire massé dans la « Tribune des ponceurs » (du nom des ouvriers des anciennes usines de lunettes en buis), a-t-il sa place en Top 14 ? « C'est un rêve secret », chuchote une voix oyonnaxienne. Et quand on rêve à plusieurs, ça peut devenir une réalité. C'est écrit dans les vestiaires.

rugby Pro D2 (26e journée)
Auteur : Nicolas Espitalier
n.espitalier@sudouest.com

Tout simplement beau et rafraichissant.

RUGBY PRO D2 26E JOURNÉE, OYONNAX - BORDEAUX-BÈGLES. Le troisième ligne, touché face à Auch, ne sera pas du voyage dans l'Ain. Et le pilier de l'Union a prolongé son contrat pour deux ans
Ternisien forfait, Baquet prolonge à l'Union

En raison d'une infirmerie déjà bien remplie, le groupe de l'Union appelé à affronter Oyonnax, l'un des candidats aux demi-finales et invaincu cette saison à domicile, ne va pas subir de grands bouleversements. Charly Ternisien, blessé samedi dernier face à Auch, a passé des examens plutôt rassurants cette semaine. Le troisième ligne de l'Union ne souffre que d'une légère contracture à la cuisse mais les entraîneurs n'ont pas l'intention de prendre le moindre risque. Il ne sera pas du voyage dans l'Ain et sera remplacé numériquement par Jean-Marie Ledan qui effectue son retour dans le groupe des 23. Sa dernière apparition remonte au 13 décembre dernier sur la pelouse du Métro Racing.

En première ligne, Frédéric Garcia et Patrick Laporte réintègrent Xavier Naulleau à la place de Bastien Siepielski, en délicatesse avec un coude. Enfin Saubusse, le jeune demi de mêlée de l'Union, pourrait être du déplacement si Jérôme Moreau, victime de douleurs au dos, devait déclarer forfait.

Cinquième prolongation

Dans la perspective de la saison prochaine, les dirigeants bordelais ont annoncé hier la prolongation de contrat de Judicaël Baquet (27 ans, 1, 83 m pour 110 kg). Le pilier, en fin de contrat en juin prochain, a signé pour deux ans. Il est le cinquième joueur à prolonger à l'Union après Charly Ternisien, Raphaël Lagarde, Julien Gaultier et Adam Jaulhac, prêté une saison de plus par Brive.
Auteur : A. L.

On se déplace dans le village gaulois imprenable et semble t'il nos 2 entraineurs ont peut être déjà pris le ciel sur la tête. LeDan dans le groupe ??? Crise de folie ou de lucidité
Allez, bonne chance Jean-Marie, montre leur qu'ils se trompaient.

Quand même Jean Marie Ledan grand "sécateur" devant l'éternel fait partie du groupe,sélection due à la blessure de Charly Ternisien et aussi j'espère à tout le talent,au courage,à l'implication , à la pugnacité de l'intéresse manifestés tout au long de la saison.
Tous nos encouragements accompagne l'équipe et le joueur dans le piège de Mathon.
Allez UBB

ca serait une bonne chose d'accrocher le point de bonus defensif au minimum vu que nos deux poursuivants ce recontre ce week end a savoir Grenoble et Aurillac et que le Grenoble n'est qu'a 3 ponits de nous

bien sur si on a encore comme objectif de finir 8eme

ca serait une bonne chose d'accrocher le point de bonus defensif au minimum vu que nos deux poursuivants ce recontre ce week end a savoir Grenoble et Aurillac et que le Grenoble n'est qu'a 3 ponits de nous

bien sur si on a encore comme objectif de finir 8eme


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Et pourquoi pas une victoire chez ces irréductibles Oyo... ???

LA COMPOSITION D'OYONNAX

1 : Minassian
2 : Ollivier
3 : Menotti
4 : Nemecek
5 : Beukes
6 : Baradat
7 : Marth
8 : Naufahu
9 : Campeggia
10 : Guilloux
11 : Montagnat
12 : N'Goma
13 : Charrier (cap)
14 : Tian
15 : Bouillot
16 : Humbert
17 : Ashvetia
18 : Bado
19 : Volle
20 : Authier
21 : Giroud
22 : Dumitru
23 : Rapant

sur le site d'Oyo http://www.usorugby.com/usorugby/breves.php?id=1357

et nous ?

Bon, puisqu'on ne répond pas (bouderait on ?), l'équipe est là http://www.ubbrugby.com/actualites.php?cat=0&actu=286

1 / GOUAGOUT MATHIEU, 2 / GAONA PIERRE et 3 / BAQUET JUDICAEL en première ligne, c'est fait pour tenir la route
4 /JAULHAC ADAM et 5 / CHANGEAT SYLVAIN, il y aura du poids et du combat
6 / JACKSON JOSH, 7 / CHOLLON ARTHUR et 8 / MONZEGLIO BRICE cap. bien ./
9 / MACHENAUD MAXIME et 10 / LAGARDE RAPHAEL comme d'hab
11 / FERRERES LAURENT 12 / VERMIS HENRI-PIERRE 13 / ANCELIN PASCAL 14 / ELLIOT ANTHONY assez classique aujourd'hui et souvent efficace
15 / DUVALLET THIBAUD c'est là qu'il est le meilleur

16 / MONTAGNAT FREDERIC 17 / SOURGENS OLIVIER 23 / NAULLEAU XAVIER pas des perdreaux de l'année
18 / CHALMERS HUGH et 19 / LEDAN JEAN-MARIE très complémentaires
20 / MOREAU JEROME 21 / FITTE BASTIEN et 22 / TANAMISAU JERRY de l'expérience et de la jeunesse.

Si on est sérieux, on peut faire quelque chose. Bon voyage les gars et veni vedi vici

http://www.leprogres.fr/fr/sports/rugby/article/450435,258/Montagnat-en-famille.html

Montagnat en famille

Après avoir dominé le leader parisien, Pierre-Yves Montagnat et les Oyonnaxiens doivent confirmer contre Bordeaux

Demain, Pierre-Yves, l'Oyonnaxien, accueille Bordeaux et son frère Frédéric. Devant toute la famille

Du côté de Bordeaux, le frangin a récupéré toutes les invitations. « J'ai fait une bonne razzia, avoue Frédéric. Chez nous il n'y a pas trop de demandes pour Oyonnax ».

Comme ça, la famille et les amis pourront assister au choc entre Oyonnax et Bordeaux demain. Et, surtout, voir à l'œuvre les frères Montagnat en même temps. Frédéric, 25 ans, talonneur de l'Union-Bordeaux-Bègles. Et son cadet, Pierre-Yves, 23 ans, ailier et meilleur buteur de l'USO.

Jusque-là, l'aîné mène 2-1. L'an dernier, il portait le maillot lyonnais et chacun avait remporté le derby à la maison. Cette saison, Bordeaux s'est imposé à l'aller (15-9). Arrivé comme joker médical, le talonneur a prolongé jusqu'à la fin de saison.

Même si ce ne sont pas les premières, ces retrouvailles exhalent un parfum particulier. « Je n'ai pas de pression spéciale, c'est juste un plaisir de jouer contre mon frère et devant la famille », assure Frédéric.

« Sur le terrain, on est pris par le match, on n'y pense pas trop, raconte le cadet qui chambre un peu au passage. De derrière, j'ai le temps de le voir, il s'est bien amélioré sur les lancers ».

Les deux ont commencé le rugby chez eux à Villeneuve-de-Marc. Frédéric d'abord, Pierre-Yves ensuite. « On n'avait pas le choix, il n'y avait qu'un club de rugby », sourit ce dernier qui s'est essayé à la mêlée avant de reculer à l'arrière pendant que son frère glissait de la 3e ligne au talonnage chez les jeunes du CSBJ.

À distance, les deux se suivent. « On s'appelle deux fois par semaine, glisse Pierre-Yves, on discute de nos matches. Là, on va s'appeler un peu plus ». L'aîné n'est pas surpris de l'éclosion du petit frère cette saison. « Déjà à Bourgoin il avait fait de belles saisons en Reichel et en Espoirs. J'avais surtout été étonné qu'ils ne le gardent pas au centre de formation. Depuis, il a fait un gros travail de vitesse et d'appuis. Ça lui a fait passer un cap. Après, il s'est mis à buter, ça l'a mis en confiance ».

Demain, ils se croiseront de loin à Mathon. Un stade particulier pour la fratrie. C'est là qu'ils ont joué leur seul match en commun. « C'était en Espoirs avec Bourgoin et je crois qu'on avait gagné », glisse Frédéric.

Rejouer ensemble n'est pas d'actualité. Frédéric s'est engagé deux ans de plus avec Bordeaux. Très courtisé, notamment par Lyon, Pierre-Yves n'a encore rien décidé. « C'est déjà difficile de trouver un club. L'objectif c'est de jouer, de rester pro. Après, ça ferait toujours plaisir de jouer ensemble ».

Ludovic Alain

US OYONNAX
Une semaine allégée
Au repos lundi et mercredi, les Oyonnaxiens se sont entraînés deux fois hier avant de couper de nouveau aujourd’hui. « On a un groupe qui se réduit en nombre, compte Olivier Nier, si on n’en tient pas compte, on va le payer sur la fin du bloc ».
Humbert opérationnel
Arrivé de La Rochelle comme joker médical après la blessure de Salim Tébani, le talonneur Daniel Humbert n’avait pas pu jouer contre le Racing-Métro faute de licence. Les formalités administratives réglées, il est dans le groupe pour la venue de Bordeaux.
Toujours sans Bado
Juan Carlos Bado soigne toujours une entorse des cervicales. Le 2e ligne est encore forfait pour Bordeaux. Par contre, Naude Beukes ne se ressent plus de son entorse à la cheville. Jérôme Naves et Mickaël Aït-Issad sont également dans le groupe élargi.
Le groupe : Minassian, Rapant, Ollivier, Humbert, Ménotti, Ashvetia, Beukes, Nemecek, Naufahu, Baclet, Marth, Volle, Baradat, Campeggia, Authier, Bouillot, Guilloux, Giroud, Charrier, N’goma, Dumitru, Naves, Montagnat, Tian, Aït-Issad.
Rugby-fauteuil
L’USO et le groupe APICIL organisent une rencontre de « Rugby fauteuil » demain à 16 heures à la salle omnisports Léon Emin, à côté du stade Mathon.
Match à 19 heures
Les Bordelais arrivent en avion dans la journée. Ils ont donc demandé à décaler le coup d’envoi d’une demi-heure. Rendez-vous à 19 heures au stade Mathon.
L’Union avec Naulleau
Le pilier Naulleau remplace Sipielski. Blessé, le 3e ligne Ternisien laisse sa place à Ledan.
Le groupe : Duvallet, Elliot, Vernmis, Ancelin, Fitte, Ferrères, Tamanisau, Lagarde, Machenaud, Moreau, Chalmers, Monzeglio, Cholon, Jaulhac, Changeat, Jackson, Sourgens, Bacquet, Gaona, Montagnat, Gouagout, Naulleau.

http://www.sudouest.com/gironde/sports/rugby/article/557008/mil/4395192.html

RUGBY PRO D2 26E JOURNÉE, OYONNAX - BORDEAUX-BÈGLES. L'invincibilité à domicile de l'équipe de l'Ain dure depuis plus d'un an. Pourtant l'Union s'est spécialisée cette saison dans la réalisation d'exploit chez les « gros »
A l'assaut de la forteresse

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Les coéquipiers de Brice Monzeglio (balle en main) referont-ils le coup comme à Agen, La Rochelle ou Pau en s'imposant ce soir à Oyonnax ?( Photo Fabien Cottereau)

«Oyonnax on n'y gagne pas ». Ce genre de phrase, en passe de devenir un poncif du rugby en général et de la Pro D 2 en particulier, n'est pas qu'une légende dont les gens d'Ovalie sont friands. Non, elle s'appuie sur un bilan statistique à faire frémir n'importe quelle équipe visiteuse. La formation de l'Ain n'a perdu qu'un seul match à domicile depuis trois saisons, c'était le 23 mars 2008 quand le Racing-Métro était venu s'imposer 16 à 9. Or, mis a part cet unique faux-pas, l'USO à domicile c'est Fort Knox. 37 victoires et 3 nuls en 41 rencontres. Une véritable citadelle, que ce stade Charles-Mathon, une forteresse inexpugnable que n'aurait pas renié Vauban. Le troisième ligne centre et capitaine de l'Union, Brice Monzeglio, connaît l'avantage que peuvent avoir de telles statistiques pour un club recevant. Il a évolué à Bourgoin à l'époque où Pierre-Rajon était aussi un stade où les visiteurs ne gagnaient jamais : « Pendant trois ans et demi nous avions enchaîné 43 ou 44 victoires chez nous. Des clubs venaient en envoyant l'équipe B car elles se disaient qu'elle ne pourrait jamais l'emporter ».

Tombeurs de « gros »

Mais voilà, l'équipe qui se déplace ce soir dans le Haut-Bugey n'est autre que l'Union Bordeaux-Bègles, spécialiste en chef de la prise de forteresses réputées imprenables. Une victoire à Agen, le 4 octobre 2008, une autre à La Rochelle le 8 février de cette année, et la victoire à Pau le 21 mars dernier ont beaucoup fait pour cette réputation de « tombeur de gros ». « On a gagné chez tous les demi-finalistes du championnat alors ça serait bien d'y aller prendre un point et pourquoi pas d'y faire un coup, glisse Henri-Pierre Vermis, de toute façon on s'y déplace sans pression particulière si ce n'est celle du jeu. Mais on ne lâchera pas, personne n'a envie de ramasser là-bas » poursuit-il. Pourtant, le challenge s'annonce difficile : « on sait que ce sera dur mais on est motivé. Certes, Oyonnax n'a pas perdu à domicile cette saison mais La Rochelle et Pau non plus avant que l'on y aille... » ajoute le Langonnais. Il s'agit aussi pour les joueurs au scapulaire de continuer à engranger des certitudes : « Il faut faire le mieux possible pour valider notre saison et les progrès enregistrés dans le jeu au pied ou dans l'utilisation du ballon » précise Brice Monzeglio.

Le paradoxe, c'est que l'Union a fait toutes ses révolutions à l'extérieur sur des pas de colombes, sans jamais s'afficher ou montrer ses muscles avant le match. « À chaque fois que l'on a fait un coup à l'extérieur, rappelle le capitaine Monzeglio, nous y sommes allés surtout pour bien jouer ». C'est à se demander alors ce qui motive les Girondins chez les cadors du championnat. Le capitaine esquisse une réponse : « l'équipe se regroupe et se resserre certainement avant ces matches-là, de peur, peut-être, d'encaisser une défaite trop sévère ».

Muscler le jeu sur l'homme

Tous les joueurs sont certains d'une chose, le match en lui-même sera très difficile : « Oyonnax est une équipe qui a la capacité à accélérer son jeu à l'approche des lignes » prévient Frédéric Garcia. L'entraîneur des avants attend d'ailleurs de ses joueurs qu'ils progressent dans la défense sur l'homme. C'est un secteur qui m'avait déçu contre Auch. On avait été souvent battu en un contre un. Il va falloir rectifier ça, défendre plus en avançant, être plus constant sur le porteur de balle ». Pour le coach cependant, il sera très difficile de « faire l'exploit, l'effet de surprise ne fonctionnera pas comme à Pau. Je ne vois pas Oyonnax se faire surprendre alors que cette équipe joue une place pour les demi-finales du championnat ».
Auteur : Nicolas cendrès

Y a pas de raison que Oyonnax se fasse surprendre (par surprise :) ), ils ont logiquement perdu chez nous, on gagne chez les gros, pourquoi ne perdraient ils pas ?

Coiffer Agen à l'aller et au retour, presque fait avec La rochelle, pourquoi pas le faire aussi à OYo....
AAAAALLLLLLEEEEEEEZZZZZZZ

qui est là ?

Je veux voir des poètes ce soir...

Chassons le mythe des romantiques Oyonnaxiens. Ils ont dérogé à leur propre principe qui consistait, comme l'a rappelé Patrick, à guerroyer ferme à domicile pour ensuite respectueusement laisser la part belle aux adversaires une fois les terres quittées.

Par conséquent, faisons leur part de notre désaccord de principe en repartant victorieusement de la joute d'aujourd'hui. Non mais des fois...


Je remarque que la page wikipédia sur Oyonnax a drôlement évolué depuis ma dernière visite. Je suis triste que la partie gastronomique soit laissée vide de tout commentaire. Si un Oyonnaxien se trouvait perdu sur le site, pourrait-il corriger cette errance culturelle.

Je suis prêt à lui envoyer un kouign aman 99% pur beurre en échange...

Sinon je suis toujours aussi subjugué par les pistes musicales de Gold FM.

Salut Nico, C'est parti sur Gold. Pascal est au RDV.

OUf...

Sinon, 1 défaite en 3 ans (contre le Racing) sur leurs terres. Ca promet...

Drop de 58 mètres?

Optimiste le garçon...

salut à vous

Bonsoir.


3-0 pour les locaux, pas glop.

Premier set pour Oyonnax 6-0. :greuh2:

Beaucoup de fautes.....

9-0 :greuh:

Serions nous partis à Oyonnax comme on va à la thalasso?