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24ème Journée : UBB - Pau
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
Le XV palois (source site OFF)
Jacquot - Du Toit - Choirat / Andrew - Charlon / Filo - Larrieu - Dearlove
(m) Marques - (o) Hough
Fekitoa - Drouard - Puyo (cap) - Hiriart / Dumora
Remplaçants : Agnesi - Maignien - Torresin - Solofuti - Descons - Nawerecagi - Fromont - Tawera
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L'Eclair- J'aime l'Union à la folie
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
Nous allons donc revoir Seti Filo et Saia Fekitoa.
Bienvenue à Musard l'Eclair et Rdv à la bodega après le match pour la mousse !
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Vince33- J'aime l'Union à la folie
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
S'il se laisse aller, pas sûr qu'on voit Filo longtemps ... Ca va pas être facile de ne pas retrouver les bons vieux réflexes et le voire le le guettent déjà
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Tombé tout jaune dans le rugby.
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Allez UBB
Re: 24ème Journée : UBB - Pau
patrick a écrit:S'il se laisse aller, pas sûr qu'on voit Filo longtemps ... Ca va pas être facile de ne pas retrouver les bons vieux réflexes et le voire le le guettent déjà
Ou pas.
Séti a joué autant de minutes à la Section cette saison que lors de la saison passée chez vous, sans avoir aucun carton.
De là à dire que chez nous l'air rend plus intelligent, il y a un pas que je ne franchirais pas
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L'Eclair- J'aime l'Union à la folie
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Mobilisation générale
Du coup sur la tête reçu contre Aix samedi au match décisif de demain, Bordeaux-Bègles est reparti de l'avant. Récit.
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Fraser, Treloar et l'Union doivent une revanche. PHOTO FABIEN COTTEREAU
«Maintenant, on attend dimanche. » C'était jeudi soir et le manageur de l'Union Bordeaux-Bègles Marc Delpoux, un peu soucieux, ne cachait pas son impatience d'en arriver à demain et l'approche du coup d'envoi contre Pau (14 heures). Pour avoir les réponses à quelques questions. Pour lever les doutes nés de la défaite contre Aix (18-23) mais surtout avec une très grosse envie de reconquête. Tour d'horizon de la semaine qui doit remettre l'Union dans le bon sens.
1 L'ambiance : pas de sinistrose
Une arrivée un peu plus tôt que d'habitude, un départ un peu plus tard : le débriefing post-Aix a (entraînement non inclu) duré deux heures. Ce qu'il s'est dit ? Dans le vestiaire, les joueurs, qui avaient déjà eu l'occasion d'en parler la veille lors d'une séance récupération à la piscine, ont d'abord changé entre eux. Le capitaine Matthew Clarkin a mis le groupe devant ses responsabilités avec un discours tourné vers la suite : il reste sept matches, à gagner. Dans la foulée, la séance vidéo a été musclée : pas habitué aux coups de gueule hebdomadaires, Marc Delpoux a fait trembler les murs et n'a épargné personne, avant de conclure sur la nécessité de regarder devant. À 11 heures, au retour sur le pré, la semaine de préparation « normale » débutait. « Il n'y a pas de panique, glisse le troisième ligne Hugh Chalmers. Les spectateurs, les médias, le font, pas nous. On a fait un match dégueulasse, OK. Mais ce n'est pas pour ça qu'on va lâcher. »
La suite ? Pas de sinistrose - au contraire-, des sourires et un discours déterminé. Mais forcément un climat latent plus tendu que les semaines précédentes. Des mots très entendus ? Application, concentration, engagement. Quelques cadres ont pris la parole lors des séances. Le président Laurent Marti, lui, n'a pas croisé ses joueurs. Toujours agacé, mais jugeant que ce n'est pas son rôle. Dès samedi, il avait donné le fond de sa pensée.
2 Le jeu : les bases, les choix
Après la rencontre, Marc Delpoux avouait devoir trouver des solutions. La principale : « l'agressivité ». « De Montluçon à Toulouse, il y a des bases que l'on ne peut pas négliger et sur lesquelles nous, on a été déficients, pointe Hugh Chalmers. L'agressivité, le combat. Et la qualité technique. »
C'est donc là-dessus que le plus gros du rappel à l'ordre a été effectué. La touche aussi : une séance a été ajoutée au programme traditionnel, hier. « Contre Aix, on n'a pas su faire les bons choix » pointe Hugh Chalmers.
Les choix justement : c'est aussi là-dessus que l'Union va être attendue. « Nous sommes trop scolaires, commente Vincent Etcheto, l'entraîneur des arrières. Quand on est en difficulté, il faut savoir taper des grands coups de pied dans le coin. Toutes les équipes, le font, pas nous. » S'adapter, pas révolutionner : si le crachin annoncé demain devrait limiter les envolées, l'Union restera fidèle à ses convictions.
3 Les joueurs : huit changements
« Il n'y a pas de punition après Aix, pointe Vincent Etcheto. On a toujours fonctionné en faisant des roulements. On prend en compte la forme du moment, ce que l'on veut mettre en place selon l'adversaire, le comportement à l'entraînement. Ce n'est pas facile et les choix sont souvent douloureux. »
Pas moins de huit changements devraient être ainsi effectués dans le XV de départ demain, avec certains sans doute prévus avant Aix. Avei au talonnage, Adams à la mêlée, Leo et Chollon en troisième ligne effectuent ainsi un retour dans un turnover assez classique depuis le début de saison. À l'aile, la puissance de Connor et Lilo, genou rétabli, devrait être préférée au coup d'envoi à la vivacité de Jagr.
Autres changements : Purll blessé, le staff devrait lancer d'entrée Jaulhac, tout juste de retour, aux côtés d'un Treloar, qui, après un baptême en Pro D2 difficile, doit vite s'affirmer. Au centre, Mailei, beaucoup moins tranchant depuis deux mois, s'assiera sur le banc ; Vermis passant premier centre et Carballo devant une revanche après Albi. Derrière eux, Lopez, préféré à Ferrères, devra amener son jeu au pied.
http://www.sudouest.fr/2011/03/12/mobilisation-generale-340378-773.php
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Fraser, Treloar et l'Union doivent une revanche. PHOTO FABIEN COTTEREAU
«Maintenant, on attend dimanche. » C'était jeudi soir et le manageur de l'Union Bordeaux-Bègles Marc Delpoux, un peu soucieux, ne cachait pas son impatience d'en arriver à demain et l'approche du coup d'envoi contre Pau (14 heures). Pour avoir les réponses à quelques questions. Pour lever les doutes nés de la défaite contre Aix (18-23) mais surtout avec une très grosse envie de reconquête. Tour d'horizon de la semaine qui doit remettre l'Union dans le bon sens.
1 L'ambiance : pas de sinistrose
Une arrivée un peu plus tôt que d'habitude, un départ un peu plus tard : le débriefing post-Aix a (entraînement non inclu) duré deux heures. Ce qu'il s'est dit ? Dans le vestiaire, les joueurs, qui avaient déjà eu l'occasion d'en parler la veille lors d'une séance récupération à la piscine, ont d'abord changé entre eux. Le capitaine Matthew Clarkin a mis le groupe devant ses responsabilités avec un discours tourné vers la suite : il reste sept matches, à gagner. Dans la foulée, la séance vidéo a été musclée : pas habitué aux coups de gueule hebdomadaires, Marc Delpoux a fait trembler les murs et n'a épargné personne, avant de conclure sur la nécessité de regarder devant. À 11 heures, au retour sur le pré, la semaine de préparation « normale » débutait. « Il n'y a pas de panique, glisse le troisième ligne Hugh Chalmers. Les spectateurs, les médias, le font, pas nous. On a fait un match dégueulasse, OK. Mais ce n'est pas pour ça qu'on va lâcher. »
La suite ? Pas de sinistrose - au contraire-, des sourires et un discours déterminé. Mais forcément un climat latent plus tendu que les semaines précédentes. Des mots très entendus ? Application, concentration, engagement. Quelques cadres ont pris la parole lors des séances. Le président Laurent Marti, lui, n'a pas croisé ses joueurs. Toujours agacé, mais jugeant que ce n'est pas son rôle. Dès samedi, il avait donné le fond de sa pensée.
2 Le jeu : les bases, les choix
Après la rencontre, Marc Delpoux avouait devoir trouver des solutions. La principale : « l'agressivité ». « De Montluçon à Toulouse, il y a des bases que l'on ne peut pas négliger et sur lesquelles nous, on a été déficients, pointe Hugh Chalmers. L'agressivité, le combat. Et la qualité technique. »
C'est donc là-dessus que le plus gros du rappel à l'ordre a été effectué. La touche aussi : une séance a été ajoutée au programme traditionnel, hier. « Contre Aix, on n'a pas su faire les bons choix » pointe Hugh Chalmers.
Les choix justement : c'est aussi là-dessus que l'Union va être attendue. « Nous sommes trop scolaires, commente Vincent Etcheto, l'entraîneur des arrières. Quand on est en difficulté, il faut savoir taper des grands coups de pied dans le coin. Toutes les équipes, le font, pas nous. » S'adapter, pas révolutionner : si le crachin annoncé demain devrait limiter les envolées, l'Union restera fidèle à ses convictions.
3 Les joueurs : huit changements
« Il n'y a pas de punition après Aix, pointe Vincent Etcheto. On a toujours fonctionné en faisant des roulements. On prend en compte la forme du moment, ce que l'on veut mettre en place selon l'adversaire, le comportement à l'entraînement. Ce n'est pas facile et les choix sont souvent douloureux. »
Pas moins de huit changements devraient être ainsi effectués dans le XV de départ demain, avec certains sans doute prévus avant Aix. Avei au talonnage, Adams à la mêlée, Leo et Chollon en troisième ligne effectuent ainsi un retour dans un turnover assez classique depuis le début de saison. À l'aile, la puissance de Connor et Lilo, genou rétabli, devrait être préférée au coup d'envoi à la vivacité de Jagr.
Autres changements : Purll blessé, le staff devrait lancer d'entrée Jaulhac, tout juste de retour, aux côtés d'un Treloar, qui, après un baptême en Pro D2 difficile, doit vite s'affirmer. Au centre, Mailei, beaucoup moins tranchant depuis deux mois, s'assiera sur le banc ; Vermis passant premier centre et Carballo devant une revanche après Albi. Derrière eux, Lopez, préféré à Ferrères, devra amener son jeu au pied.
http://www.sudouest.fr/2011/03/12/mobilisation-generale-340378-773.php
Dernière édition par Alain le Dim 13 Mar 2011 - 10:23, édité 1 fois
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« Patere ut Vinceres !!! » « Souffrir pour Vaincre !!! ». L'esprit champion n'est pas qu'une histoire de talent, mais aussi d'âme et de coeur. Il n'y aurait pas de victoires s'il n'y avait pas, par instants, des chutes, des défaites, des tentations de ployer les genoux.
Camille Lopez, comme on se retrouve
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Camille Lopez. PHOTO G. BONNAUD
Quand voilà Pau, difficile de ne pas parlerde Camille Lopez. Pas seulement pour refaire le coup du Soulétain de Mauleon qui veut s'offrir le scalp des voisins béarnais. Mais parce que, depuis qu'il est à l'Union Bordeaux-Bègles, la Section lui colle à la peau. Il y a un an, c'est face à elle (31-13) qu'il a connu sa « première titularisation » à domicile et qu'il a changé de dimension : 14 points inscrits dont deux essais et un drop. Il y a quatre mois et demi, lors du match aller (15-25), c'est face à elle aussi qu'il a lâché un ballon à la retombée d'une chandelle à la sirène, coûtant le bonus défensif et quelques jours à ruminer. Et demain, c'est contre elle qu'il fera son retour après avoir été privé d'Aix par une grippe. « On se retrouve un petit peu dans le contexte de l'année dernière, avec de la pression, l'obligation de gagner de ce match. L'équipe avait alors fait un énorme match et m'avait facilité la tâche. Ça va être difficile, mais on sait ce qu'il nous reste à faire. »
En un an, le jeune homme, pas encore 22 ans (on aurait tendance à l'oublier) a changé de statut. Il n'est plus seulement l'espoir arrivé de Fédérale 1 que l'on protège, mais fait partie intégrante d'un collectif visant les demi-finales de Pro D2. Seize titularisations (dont 11 cette saison), six entrées en jeu (5) et une transformation, physique bien sûr après avoir suivi un gros programme la saison passée et cet été, mais en terme de confiance aussi, hésitant moins à exprimer son caractère affirmé.
À l'arrière demain
« J'arrivais de très bas, je ne pouvais que progresser ! sourit-il. C'est vrai que, l'an passé, j'arrivais d'un petit club, je regardais un petit peu. Je suis peut-être plus à l'aise pour diriger la ligne, la défense. Maintenant, pour espérer devenir indiscutable, j'ai besoin de travailler techniquement, que ce soit le poste ou le jeu au pied, de prendre de l'expérience. "Ged" (Fraser) m'aide beaucoup. »
Ouvreur numéro 2, il s'est aussi retrouvé comme solution à l'arrière, poste qu'il occupera demain. « J'avais joué deux saisons en cadet et presque plus jamais depuis. Mais je n'étais pas perdu non plus : je voyais ce qui se faisait à l'entraînement, ce qu'on y demandait. Aller sous les chandelles, avoir des responsabilités, ça me plaît. Ça me laisse un peu plus de temps pour analyser. »
Plutôt convaincant lors de ses apparitions, mais manquant forcément encore de vécu dans la gestion. Un des points noirs, justement, de l'équipe contre Aix. « C'est plus compliqué que d'autres fois, mais je n'ai pas peur. On a perdu un match, tout n'est pas fini. »
Fédérale 1 · rugby · Pau · Pro D2 · Gironde
http://www.sudouest.fr/2011/03/12/camille-lopez-comme-on-se-retrouve-340011-773.php
Camille Lopez. PHOTO G. BONNAUD
Quand voilà Pau, difficile de ne pas parlerde Camille Lopez. Pas seulement pour refaire le coup du Soulétain de Mauleon qui veut s'offrir le scalp des voisins béarnais. Mais parce que, depuis qu'il est à l'Union Bordeaux-Bègles, la Section lui colle à la peau. Il y a un an, c'est face à elle (31-13) qu'il a connu sa « première titularisation » à domicile et qu'il a changé de dimension : 14 points inscrits dont deux essais et un drop. Il y a quatre mois et demi, lors du match aller (15-25), c'est face à elle aussi qu'il a lâché un ballon à la retombée d'une chandelle à la sirène, coûtant le bonus défensif et quelques jours à ruminer. Et demain, c'est contre elle qu'il fera son retour après avoir été privé d'Aix par une grippe. « On se retrouve un petit peu dans le contexte de l'année dernière, avec de la pression, l'obligation de gagner de ce match. L'équipe avait alors fait un énorme match et m'avait facilité la tâche. Ça va être difficile, mais on sait ce qu'il nous reste à faire. »
En un an, le jeune homme, pas encore 22 ans (on aurait tendance à l'oublier) a changé de statut. Il n'est plus seulement l'espoir arrivé de Fédérale 1 que l'on protège, mais fait partie intégrante d'un collectif visant les demi-finales de Pro D2. Seize titularisations (dont 11 cette saison), six entrées en jeu (5) et une transformation, physique bien sûr après avoir suivi un gros programme la saison passée et cet été, mais en terme de confiance aussi, hésitant moins à exprimer son caractère affirmé.
À l'arrière demain
« J'arrivais de très bas, je ne pouvais que progresser ! sourit-il. C'est vrai que, l'an passé, j'arrivais d'un petit club, je regardais un petit peu. Je suis peut-être plus à l'aise pour diriger la ligne, la défense. Maintenant, pour espérer devenir indiscutable, j'ai besoin de travailler techniquement, que ce soit le poste ou le jeu au pied, de prendre de l'expérience. "Ged" (Fraser) m'aide beaucoup. »
Ouvreur numéro 2, il s'est aussi retrouvé comme solution à l'arrière, poste qu'il occupera demain. « J'avais joué deux saisons en cadet et presque plus jamais depuis. Mais je n'étais pas perdu non plus : je voyais ce qui se faisait à l'entraînement, ce qu'on y demandait. Aller sous les chandelles, avoir des responsabilités, ça me plaît. Ça me laisse un peu plus de temps pour analyser. »
Plutôt convaincant lors de ses apparitions, mais manquant forcément encore de vécu dans la gestion. Un des points noirs, justement, de l'équipe contre Aix. « C'est plus compliqué que d'autres fois, mais je n'ai pas peur. On a perdu un match, tout n'est pas fini. »
Fédérale 1 · rugby · Pau · Pro D2 · Gironde
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Dernière édition par Alain le Dim 13 Mar 2011 - 10:26, édité 1 fois
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« Patere ut Vinceres !!! » « Souffrir pour Vaincre !!! ». L'esprit champion n'est pas qu'une histoire de talent, mais aussi d'âme et de coeur. Il n'y aurait pas de victoires s'il n'y avait pas, par instants, des chutes, des défaites, des tentations de ployer les genoux.
Saia Fekitoa le travailleur polyvalent palois
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Saia Fekitoa. photo g. bonnaud
Saia Fekitoa est difficile à attraper. Pas seulement sur le terrain. Aussitôt l'entraînement terminé, il file chez lui retrouver sa femme et leur fils Efiafi, âgé de 2 ans, à Uzos où la petite famille a établi résidence.
Demain, le Tongien de 23 ans retrouvera la pelouse du stade André-Moga qu'il a foulé durant les deux dernières saisons sous la tunique de l'Union. « Cela fait plaisir de revenir, de revoir des gens que je connais, mais nous y allons pour ramener un résultat », avoue-t-il sans concession. Une fois de plus, Saia Fekitoa sera aligné à une aile de la Section Paloise. C'est devenu une habitude car après avoir débuté la saison au centre, Saia a été repositionné lors du déplacement à Tarbesle 16 octobre dernier, au gré des blessures des ailiers et des performances satisfaisantes de ses partenaires du centre. « C'est vrai, au début nous l'avions recruté pour jouer au centre. Mais il y avait déjà du monde à ce poste. Saia à la chance d'être polyvalent », explique Conrad Stoltz. Et depuis il s'est imposé dans un registre singulier. Saia Fekitoa n'est pas un finisseur qui attend patiemment les ballons au bout de la ligne. « Il cherche toujours du travail à faire sur le terrain, il se propose partout », analyse Stoltz. Autour des regroupements, en délaissant son aile pour aller toucher la gonfle de l'autre côté, ou pour proposer une solution intérieure à son ouvreur. Un ailier multifonctions en somme.
Briviste à 18 ans
Même s'il concède préférer jouer au centre, Saia Fekitoa s'adapte : « Je joue pour l'équipe, les coaches m'ont donné confiance en moi. »
Car la confiance du petit et trapu tongien s'est tiré la malle lors de son séjour à Brive. Tout juste majeur, il arrive en Corrèze au centre de formation du CABCL. « Mon agent m'a fait venir à Brive. J'étais très jeune, c'était difficile. » Les coaches brivistes ne lui font pas confiance et après une poignée d'apparitions en équipe première, le staff lui indique qu'il ne sera pas conservé « sans raison ». Alors Saia prépare son baluchon en quête d'un nouveau maillot. « Je n'avais plus du tout confiance en moi et je voulais retrouver le plaisir de jouer au rugby. » Les valises sont posées à Bordeaux. Il fait la connaissance de son compatriote Seti Filo avec qui il se lie d'amitié. Ses performances incitent la Section à se pencher sur son cas, intéressé par la qualité de son jeu d'attaque.
Et pour sa première saison en Béarn, nul doute que tout le monde se satisfait de posséder un joueur qui n'hésite pas à prendre des initiatives et à quitter son aile pour créer le danger.http://www.sudouest.fr/2011/03/12/saia-fekitoa-le-travailleur-polyvalent-palois-340445-773.php
Saia Fekitoa. photo g. bonnaud
Saia Fekitoa est difficile à attraper. Pas seulement sur le terrain. Aussitôt l'entraînement terminé, il file chez lui retrouver sa femme et leur fils Efiafi, âgé de 2 ans, à Uzos où la petite famille a établi résidence.
Demain, le Tongien de 23 ans retrouvera la pelouse du stade André-Moga qu'il a foulé durant les deux dernières saisons sous la tunique de l'Union. « Cela fait plaisir de revenir, de revoir des gens que je connais, mais nous y allons pour ramener un résultat », avoue-t-il sans concession. Une fois de plus, Saia Fekitoa sera aligné à une aile de la Section Paloise. C'est devenu une habitude car après avoir débuté la saison au centre, Saia a été repositionné lors du déplacement à Tarbesle 16 octobre dernier, au gré des blessures des ailiers et des performances satisfaisantes de ses partenaires du centre. « C'est vrai, au début nous l'avions recruté pour jouer au centre. Mais il y avait déjà du monde à ce poste. Saia à la chance d'être polyvalent », explique Conrad Stoltz. Et depuis il s'est imposé dans un registre singulier. Saia Fekitoa n'est pas un finisseur qui attend patiemment les ballons au bout de la ligne. « Il cherche toujours du travail à faire sur le terrain, il se propose partout », analyse Stoltz. Autour des regroupements, en délaissant son aile pour aller toucher la gonfle de l'autre côté, ou pour proposer une solution intérieure à son ouvreur. Un ailier multifonctions en somme.
Briviste à 18 ans
Même s'il concède préférer jouer au centre, Saia Fekitoa s'adapte : « Je joue pour l'équipe, les coaches m'ont donné confiance en moi. »
Car la confiance du petit et trapu tongien s'est tiré la malle lors de son séjour à Brive. Tout juste majeur, il arrive en Corrèze au centre de formation du CABCL. « Mon agent m'a fait venir à Brive. J'étais très jeune, c'était difficile. » Les coaches brivistes ne lui font pas confiance et après une poignée d'apparitions en équipe première, le staff lui indique qu'il ne sera pas conservé « sans raison ». Alors Saia prépare son baluchon en quête d'un nouveau maillot. « Je n'avais plus du tout confiance en moi et je voulais retrouver le plaisir de jouer au rugby. » Les valises sont posées à Bordeaux. Il fait la connaissance de son compatriote Seti Filo avec qui il se lie d'amitié. Ses performances incitent la Section à se pencher sur son cas, intéressé par la qualité de son jeu d'attaque.
Et pour sa première saison en Béarn, nul doute que tout le monde se satisfait de posséder un joueur qui n'hésite pas à prendre des initiatives et à quitter son aile pour créer le danger.http://www.sudouest.fr/2011/03/12/saia-fekitoa-le-travailleur-polyvalent-palois-340445-773.php
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« Patere ut Vinceres !!! » « Souffrir pour Vaincre !!! ». L'esprit champion n'est pas qu'une histoire de talent, mais aussi d'âme et de coeur. Il n'y aurait pas de victoires s'il n'y avait pas, par instants, des chutes, des défaites, des tentations de ployer les genoux.
Re: 24ème Journée : UBB - Pau
L'outsider ambitieux (Sud-Ouest Online)
Les Palois laissent le costume de favori à leur adversaire du jour mais savent qu'un bon résultat ramené de Gironde pourrait les relancer pour une place en demi-finale.
Inutile de se le cacher, le succès contre Saint-Etienne conjugué aux revers des Bordelais et des Montois, respectivement face à Aix et Tarbes, est porteur d'espoirs pour la suite de la saison. Mais aucune certitude. Pour le moment en tout cas. Demain, la Section Paloise affronte l'Union Bordeaux-Bègles et une victoire pourrait changer la donne. « Bien sûr, tout le monde sait que c'est un match important. Si nous gagnons, tout est relancé, mais si nous perdons, la saison continue quand même », lâche détendu Conrad Stoltz l'entraîneur des trois quarts palois.
La Section se déplace en Gironde sans pression pour y affronter une formation en crise de confiance qui connaît une dynamique qui s'est inversée depuis le week-end dernier. « Ils ont perdu contre Aix, ils sont donc sous pression s'ils veulent avoir les prétentions qu'ils ont affichées depuis le début de la saison », analyse Joël Rey. En effet, cette rencontre apparaît d'une importance primordiale pour l'Union qui sent dans son dos le souffle de ses poursuivants tarbais, auscitains, carcassonnais et palois. Une défaite pourrait briser leurs ambitions.
« Tout à gagner »
Les Palois savent bien la problématique que revêt cette rencontre pour leur adversaire du jour. Logiquement, ils ont enfilé le costume de l'outsider. « Sur ce match, nous avons tout à gagner, la pression est positive », poursuit Conrad Stoltz. En effet, une victoire demain permettrait aux Palois de revenir à hauteur des Bordelais au classement. « Pour le moment, nous ne sommes pas prétendants, nous allons afficher le même état d'esprit qu'habituellement à l'extérieur », explique Joël Rey. À savoir une défense de fer, une solide conquête et une optimisation des ballons d'attaque.
Mais ne pas être dans la peau du favori n'empêche pas d'être ambitieux. Et les joueurs de la Section ne comptent pas faire le déplacement en Gironde pour rien. Pour preuve, l'équipe alignée demain est sensiblement la même que celle qui est allée gagner à Albi et Narbonne. « Une équipe en pleine confiance à l'extérieur », note Stoltz.
S'ils ne s'affichent pas « prétendants » pour le moment, les Palois sont conscients de la situation dans laquelle ils se trouvent. « Pour rester dans la course, il faut faire un résultat à Bordeaux. Ramener zéro point serait une déception », affirme Stoltz.
Il faudra cependant être vigilant et concentré contre une bête blessée qui espère défendre sa place dans le quinté de tête face à un humble concurrent direct.
Oui c'est cela, très humble, on sait bien qu'on a aucune chance. On vient uniquement pour jouer, vous êtes la capitale de région après tout.
Les Palois laissent le costume de favori à leur adversaire du jour mais savent qu'un bon résultat ramené de Gironde pourrait les relancer pour une place en demi-finale.
Inutile de se le cacher, le succès contre Saint-Etienne conjugué aux revers des Bordelais et des Montois, respectivement face à Aix et Tarbes, est porteur d'espoirs pour la suite de la saison. Mais aucune certitude. Pour le moment en tout cas. Demain, la Section Paloise affronte l'Union Bordeaux-Bègles et une victoire pourrait changer la donne. « Bien sûr, tout le monde sait que c'est un match important. Si nous gagnons, tout est relancé, mais si nous perdons, la saison continue quand même », lâche détendu Conrad Stoltz l'entraîneur des trois quarts palois.
La Section se déplace en Gironde sans pression pour y affronter une formation en crise de confiance qui connaît une dynamique qui s'est inversée depuis le week-end dernier. « Ils ont perdu contre Aix, ils sont donc sous pression s'ils veulent avoir les prétentions qu'ils ont affichées depuis le début de la saison », analyse Joël Rey. En effet, cette rencontre apparaît d'une importance primordiale pour l'Union qui sent dans son dos le souffle de ses poursuivants tarbais, auscitains, carcassonnais et palois. Une défaite pourrait briser leurs ambitions.
« Tout à gagner »
Les Palois savent bien la problématique que revêt cette rencontre pour leur adversaire du jour. Logiquement, ils ont enfilé le costume de l'outsider. « Sur ce match, nous avons tout à gagner, la pression est positive », poursuit Conrad Stoltz. En effet, une victoire demain permettrait aux Palois de revenir à hauteur des Bordelais au classement. « Pour le moment, nous ne sommes pas prétendants, nous allons afficher le même état d'esprit qu'habituellement à l'extérieur », explique Joël Rey. À savoir une défense de fer, une solide conquête et une optimisation des ballons d'attaque.
Mais ne pas être dans la peau du favori n'empêche pas d'être ambitieux. Et les joueurs de la Section ne comptent pas faire le déplacement en Gironde pour rien. Pour preuve, l'équipe alignée demain est sensiblement la même que celle qui est allée gagner à Albi et Narbonne. « Une équipe en pleine confiance à l'extérieur », note Stoltz.
S'ils ne s'affichent pas « prétendants » pour le moment, les Palois sont conscients de la situation dans laquelle ils se trouvent. « Pour rester dans la course, il faut faire un résultat à Bordeaux. Ramener zéro point serait une déception », affirme Stoltz.
Il faudra cependant être vigilant et concentré contre une bête blessée qui espère défendre sa place dans le quinté de tête face à un humble concurrent direct.
Oui c'est cela, très humble, on sait bien qu'on a aucune chance. On vient uniquement pour jouer, vous êtes la capitale de région après tout.
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L'Eclair- J'aime l'Union à la folie
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
Humble, humble?
Ca serait bien la première fois que les fiers Béarnais seraient Humble, c'est un mot qui n'existe pas dans le patois Béarnais.
Allez Union.
Ca serait bien la première fois que les fiers Béarnais seraient Humble, c'est un mot qui n'existe pas dans le patois Béarnais.
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léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
léopold a écrit:Humble, humble?
Ca serait bien la première fois que les fiers Béarnais seraient Humble, c'est un mot qui n'existe pas dans le patois Béarnais.
Allez Union.
Et c'est vrai que vous autres bordelais, vous en parlez en connaisseurs.
Bon je ne dis pas ça pour toi, ni pour Vince et ceux que je connais c'est pour la branchante.
Tiens à propos de patois, tu sais comment on dit "va te faire enc..." en béarnais
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L'Eclair- J'aime l'Union à la folie
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
Euh l'Eclair, ici c'est le forum de l'Union, pas celui des GdB. Alors OK pour l'engagement mais avec de l'humour, du respect et la fraternité rugbystique de rigueur.
A demain
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
Sûr que si les palois sont "humbles comme des italiens" on devrait pleurer demain encore !!!
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
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L'Eclair- J'aime l'Union à la folie
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
histoire de donner une petite idée de la "toute petite équipe d'Aix" qui nous a donné la leçon, elle vient de passer 23 à 0 au vieux Stado.
Décidement les petits ne sont plus ce qu'ils étaient.
Ce match contre la section est très important, une victoire permettrait d'écarter 2 prétendant à la fois.
Allez Union.
Décidement les petits ne sont plus ce qu'ils étaient.
Ce match contre la section est très important, une victoire permettrait d'écarter 2 prétendant à la fois.
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léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
http://www.sudouest.fr/2011/03/13/attention-choc-frontal-340923-8.php
13 mars 2011 06h00 | Par nicolas le gardien
Attention, choc frontal
Entre une Union sous pression et une Section en forme, le match ne sera pas sans intérêt.
«Ils ont qu'à envoyer du jeu, nous montrer comment ils jouent. » Et vlan. Quelques mots bordelais après le match aller encore sur l'estomac (Vincent Etcheto avait déclaré que la Section avait gagné sans montrer beaucoup d'ambition dans le jeu), Joël Rey a rouvert vendredi les hostilités entre Girondins et Béarnais, qui se retrouveront cet après-midi, phase finale en toile de fond.
Innocemment, ou pas, le co-entraîneur palois a aussi tapé là où ça fait mal : depuis deux-trois semaines, l'Union Bordeaux-Bègles a quelque peu perdu le fil dans sa volonté de pratiquer un jeu complet. Très séduisante à l'automne et en janvier, la formation de Marc Delpoux l'est moins depuis un bonus gagné en trompe l'œil contre Saint-Etienne (27-3) il y a trois semaines. Battue dans la foulée à Albi (8-27) et par Aix (18-23), elle s'est même révélée inquiétante, faute de se montrer au niveau sur les bases, l'alternance et l'efficacité. Sans remettre en cause l'identité qui l'a fait passer d'outsider au début du championnat à équipe à battre dans le sprint final, un mot d'ordre a donc tourné en boucle cette semaine, et pas seulement parce que des averses sont annoncées : « agressivité » dixit Marc Delpoux, son manager. Gagner, aussi.
Car vers 16 heures, au coup de sifflet final, tout sera très différent : soit l'Union aura reconstruit un petit matelas sur quelques poursuivants (Pau, bien sûr, Tarbes, Aurillac, Oyonnax et ceux qui laisseront des plumes aujourd'hui), soit la Section aura chassé les Girondins d'un Top 5 que ceux-ci squattent sans discontinuer depuis quatre mois et demi pour s'y installer elle-même. En deux expressions les deux staffs résument leur différence de moral du moment : quand Marc Delpoux « ne voit rien au-delà de Pau », Joël Rey pointe que « quoiqu'il arrive, cela ne sera pas fini. Tout peut aller très vite dans un sens comme dans l'autre ».
Pau, leader sur 6 matches
Passée (elle aussi) par beaucoup de sentiments depuis septembre, la Section ne veut plus trop utiliser publiquement le mot « demi-finales », son objectif de début de saison, et déclare jouer son va-tout sans pression.
Elle est évidemment pourtant revenue trop près des places qualificatives pour ne pas y penser très fort : largement en tête de la Pro D2 sur les six dernières journées (23 points marqués contre 19 par Lyon, 17 par Grenoble ou 15 par l'Union), battus par leur meilleur ennemi tarbais il y a quinze jours au Hameau (24-27) mais avec une prestation intéressante, les Béarnais au volume de jeu également avéré, ont le droit de croire à un bis repetita de leur final en fanfare de la saison dernière.
Comme l'Union (qui recevra quatre fois pour trois déplacements), Grégory Puyo et ses coéquipiers (trois matches à la maison et quatre en voyage) devront pour cela probablement s'imposer encore à 5 reprises. Donc avec plusieurs coups hors de leur base : ça tombe bien, ils restent sur des victoires à Narbonne e t à Albi (5 au total à l'extérieur cette saison). « Il va falloir mettre beaucoup de pression défensivement, prévient Conrad Stoltz, le co-entraîneur palois. Et si nous avons des ballons, il faudra les garder pour les priver de munitions. »
Depuis deux semaines, les Bordelais, en disette en touche, arrivent toutefois à les perdre tout seuls. Mais il n'est aussi pas interdit de penser que Matthew Clarkin et ses coéquipiers, rarement décevants face aux rivaux directs, peuvent retrouver leurs réflexes du bon vieux temps : après tout, c'était il y a un mois. Alors, choc frontal ?
Union Bordeaux-Bègles · Sports · rugby · Section paloise
1. GAGNER
2. GAGNER
3. GAGNER
4. APRES, on pourra envoyer du jeu, histoire de redorer notre blason un peu terni depuis le match à Albi.
Temps gris mais "rares averses" prévues pour cet après-midi. On pourrait donc échapper à la flotte.
Espérons par contre que Pau prendra la grêle
13 mars 2011 06h00 | Par nicolas le gardien
Attention, choc frontal
Entre une Union sous pression et une Section en forme, le match ne sera pas sans intérêt.
«Ils ont qu'à envoyer du jeu, nous montrer comment ils jouent. » Et vlan. Quelques mots bordelais après le match aller encore sur l'estomac (Vincent Etcheto avait déclaré que la Section avait gagné sans montrer beaucoup d'ambition dans le jeu), Joël Rey a rouvert vendredi les hostilités entre Girondins et Béarnais, qui se retrouveront cet après-midi, phase finale en toile de fond.
Innocemment, ou pas, le co-entraîneur palois a aussi tapé là où ça fait mal : depuis deux-trois semaines, l'Union Bordeaux-Bègles a quelque peu perdu le fil dans sa volonté de pratiquer un jeu complet. Très séduisante à l'automne et en janvier, la formation de Marc Delpoux l'est moins depuis un bonus gagné en trompe l'œil contre Saint-Etienne (27-3) il y a trois semaines. Battue dans la foulée à Albi (8-27) et par Aix (18-23), elle s'est même révélée inquiétante, faute de se montrer au niveau sur les bases, l'alternance et l'efficacité. Sans remettre en cause l'identité qui l'a fait passer d'outsider au début du championnat à équipe à battre dans le sprint final, un mot d'ordre a donc tourné en boucle cette semaine, et pas seulement parce que des averses sont annoncées : « agressivité » dixit Marc Delpoux, son manager. Gagner, aussi.
Car vers 16 heures, au coup de sifflet final, tout sera très différent : soit l'Union aura reconstruit un petit matelas sur quelques poursuivants (Pau, bien sûr, Tarbes, Aurillac, Oyonnax et ceux qui laisseront des plumes aujourd'hui), soit la Section aura chassé les Girondins d'un Top 5 que ceux-ci squattent sans discontinuer depuis quatre mois et demi pour s'y installer elle-même. En deux expressions les deux staffs résument leur différence de moral du moment : quand Marc Delpoux « ne voit rien au-delà de Pau », Joël Rey pointe que « quoiqu'il arrive, cela ne sera pas fini. Tout peut aller très vite dans un sens comme dans l'autre ».
Pau, leader sur 6 matches
Passée (elle aussi) par beaucoup de sentiments depuis septembre, la Section ne veut plus trop utiliser publiquement le mot « demi-finales », son objectif de début de saison, et déclare jouer son va-tout sans pression.
Elle est évidemment pourtant revenue trop près des places qualificatives pour ne pas y penser très fort : largement en tête de la Pro D2 sur les six dernières journées (23 points marqués contre 19 par Lyon, 17 par Grenoble ou 15 par l'Union), battus par leur meilleur ennemi tarbais il y a quinze jours au Hameau (24-27) mais avec une prestation intéressante, les Béarnais au volume de jeu également avéré, ont le droit de croire à un bis repetita de leur final en fanfare de la saison dernière.
Comme l'Union (qui recevra quatre fois pour trois déplacements), Grégory Puyo et ses coéquipiers (trois matches à la maison et quatre en voyage) devront pour cela probablement s'imposer encore à 5 reprises. Donc avec plusieurs coups hors de leur base : ça tombe bien, ils restent sur des victoires à Narbonne e t à Albi (5 au total à l'extérieur cette saison). « Il va falloir mettre beaucoup de pression défensivement, prévient Conrad Stoltz, le co-entraîneur palois. Et si nous avons des ballons, il faudra les garder pour les priver de munitions. »
Depuis deux semaines, les Bordelais, en disette en touche, arrivent toutefois à les perdre tout seuls. Mais il n'est aussi pas interdit de penser que Matthew Clarkin et ses coéquipiers, rarement décevants face aux rivaux directs, peuvent retrouver leurs réflexes du bon vieux temps : après tout, c'était il y a un mois. Alors, choc frontal ?
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Allez UBB
Re: 24ème Journée : UBB - Pau
http://www.ubbrugby.com/actualites.php?cat=0&actu=1076
COMPOSITION DE L EQUIPE QUI VA RENCONTRER PAU
écrit le 13 Mars 2011
COMPOSITION DE L'EQUIPE
1 . LABBE Franck
2 . AVEI Ole
3 . FLOREA Sylvio
4 . TRELOAR Caméron
5 . JAULHAC Adam
6 . CHOLLON Arthur
7 . LEO Dan
8 . CLARKIN Matthew
9 . ADAMS Heinie
10 . FRASER Gérard
11 . CONNOR Blair
12 . VERMIS Henri-Pierre
13 . CARBALLO Rafaël
14 . LILO Vungakoto
15 . LOPEZ Camille
16 . MONTAGNAT Frédéric
17 . BADEL Mathieu
18 . O'CONNOR Shane
19 . TERNISIEN Charly
20 . SERON Julien
21 . JAGR Martin
22 . FERRERES Laurent
23 . DECAMPS Nicolas
Il serait bon que cette première ligne (et la deuxième) (re)montre qu'on peut compter sur elle. Pour le reste du grand classique. Chollon et Clarkhin vont devoir nettoyer sévère, Leo se baisser et Vermis devra faire mieux que ses derniers matchs (mais peut être lui demandera t'on essentiellement de défendre). Lopez devra prendre rapidement ses marques, attention aux réceptions sur les ballons hauts et à la précision de ses coups de pieds de déplacement.
A toute à l'heure
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écrit le 13 Mars 2011
COMPOSITION DE L'EQUIPE
1 . LABBE Franck
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5 . JAULHAC Adam
6 . CHOLLON Arthur
7 . LEO Dan
8 . CLARKIN Matthew
9 . ADAMS Heinie
10 . FRASER Gérard
11 . CONNOR Blair
12 . VERMIS Henri-Pierre
13 . CARBALLO Rafaël
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15 . LOPEZ Camille
16 . MONTAGNAT Frédéric
17 . BADEL Mathieu
18 . O'CONNOR Shane
19 . TERNISIEN Charly
20 . SERON Julien
21 . JAGR Martin
22 . FERRERES Laurent
23 . DECAMPS Nicolas
Il serait bon que cette première ligne (et la deuxième) (re)montre qu'on peut compter sur elle. Pour le reste du grand classique. Chollon et Clarkhin vont devoir nettoyer sévère, Leo se baisser et Vermis devra faire mieux que ses derniers matchs (mais peut être lui demandera t'on essentiellement de défendre). Lopez devra prendre rapidement ses marques, attention aux réceptions sur les ballons hauts et à la précision de ses coups de pieds de déplacement.
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
Y'a plus qu'à....
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
esperons que la presence de la TV ne soit notre chat noir
en tout cas penser a sortir une petite laine sa caille mais il ne tien qu'aux joueurs de mettre le FEU dans les tribunes
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
Monsieur est délicat, 13°C pour l'instant
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
Fraser devisse un coup de pied et tout le monde est hors jeux.
Apres l essai de Vungalilo, pénalité pour Agen
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Allez l'UBB !!!!
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Re: 24ème Journée : UBB - Pau
Nouvelle pénalité pour Agen, 46 mètres pour Agen
5 a 3
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