Staff 2019-2020

https://www.ubbrugby.com/ubb/actualite/7116-christophe-urios-en-dedicace-chez-mollat.html

Suffit qu'il nous ramène le bout de bois et il pourra se présenter à la Mairie

Scalp a écrit:https://www.ubbrugby.com/ubb/actualite/7116-christophe-urios-en-dedicace-chez-mollat.html

je Savais que Hugo était fan

Bonjour,
Quelques mots sur la petite conférence-dédicace de C.Urios et de F.Rey-Millet à Mollat mercredi.
Plutôt qu’une conférence classique, ces deux messieurs ont demandé la participation du public qui devait écrire sur un post-it des questions, auxquelles Urios, principalement, a répondu. Et comme d’habitude avec lui, ce fut passionnant et drôle…Et on a apprit plein de choses : comment il s’y prend pour gérer des joueurs de nationalité et de culture différentes, comment il a organisé son arrivée au club (les fameux bacchus), comment il a planifié la saison de l’ubb : sur ce point, est affiché au ceva un immense tableau avec un calendrier (au jour le jour) des entrainements, séances de préparation et de repos, matches jusqu’à la finale… Tout est planifié, cadré, millimétré : par exemple, il racontait que lors de séance d’entrainement des avants du début de semaine, les joueurs avaient dépassé de 10 petites minutes la fin de séance, du coup, ils étaient sortis du « cadre » ; Urios n’a rien dit mais il a précisé qu’il était hors de question que cela se reproduise lors de la prochaine séance car ça pouvait risquer notamment que les joueurs soient plus fatigués ou se blessent lors du match… D’ailleurs, selon lui, les blessures ne doivent jamais se produire (sauf accident imprévisible en match comme récemment avec Amosa) à partir du moment où les joueurs respectent le cadre. Et c’est vrai que pour l’instant, on n’a pas de blessé…
Il a parlé aussi des performances des joueurs : il faut que les joueurs mettent leur individualité au service du collectif et non l’inverse et qu’ils soient toujours plus performants pour faire progresser l’équipe : chaque lundi matin, il convoque à son bureau 3, 4 joueurs pour un entretien d’évaluation : le joueur rempli de son côté une fiche d’autoévaluation que Urios compare avec sa propre évaluation et discute avec lui des objectifs individuels remplis ou pas par le joueur…
Bref du grand Urios pendant une heure !
Je vous conseille d’ailleurs le livre, qui nous plonge vraiment dans le quotidien d’un entraineur et d‘une équipe. C’est juste dommage que F.Rey-Millet n’ait pas attendu un an de plus pour la préparation et la rédaction du livre : on aurait suivi le travail d’Urios avec notre club !
Allez l’Union !

Gman a écrit:Bonjour,
Quelques mots sur la petite conférence-dédicace de C.Urios et de F.Rey-Millet à Mollat mercredi.
Plutôt qu’une conférence classique, ces deux messieurs ont demandé la participation du public qui devait écrire sur un post-it des questions, auxquelles Urios, principalement, a répondu. Et comme d’habitude avec lui, ce fut passionnant et drôle…Et on a apprit plein de choses : comment il s’y prend pour gérer des joueurs de nationalité et de culture différentes, comment il a organisé son arrivée au club (les fameux bacchus), comment il a planifié la saison de l’ubb : sur ce point, est affiché au ceva un immense tableau avec un calendrier (au jour le jour) des entrainements, séances de préparation et de repos, matches jusqu’à la finale… Tout est planifié, cadré, millimétré : par exemple, il racontait que lors de séance d’entrainement des avants du début de semaine, les joueurs avaient dépassé de 10 petites minutes la fin de séance, du coup, ils étaient sortis du « cadre » ; Urios n’a rien dit mais il a précisé qu’il était hors de question que cela se reproduise lors de la prochaine séance car ça pouvait risquer notamment que les joueurs soient plus fatigués ou se blessent lors du match… D’ailleurs, selon lui, les blessures ne doivent jamais se produire (sauf accident imprévisible en match comme récemment avec Amosa) à partir du moment où les joueurs respectent le cadre. Et c’est vrai que pour l’instant, on n’a pas de blessé…
Il a parlé aussi des performances des joueurs : il faut que les joueurs mettent leur individualité au service du collectif et non l’inverse et qu’ils soient toujours plus performants pour faire progresser l’équipe : chaque lundi matin, il convoque à son bureau 3, 4 joueurs pour un entretien d’évaluation : le joueur rempli de son côté une fiche d’autoévaluation que Urios compare avec sa propre évaluation et discute avec lui des objectifs individuels remplis ou pas par le joueur…
Bref du grand Urios pendant une heure !
Je vous conseille d’ailleurs le livre, qui nous plonge vraiment dans le quotidien d’un entraineur et d‘une équipe. C’est juste dommage que F.Rey-Millet n’ait pas attendu un an de plus pour la préparation et la rédaction du livre : on aurait suivi le travail d’Urios avec notre club !
Allez l’Union !

Merci pour le report !
Et t'aurais pas un lien vers le live (si c'était filmé), Mark E. Smith ?

La conférence n'a pas été filmée ; juste quelques photos prises pour le site internet de mollat, je suppose... mais bon, le même jour, à la même heure, il y avait Bret Easton Ellis en dédicace dans la grande salle de mollat... donc, Urios, forcément, ne joue pas dans la même cour... !

ps : tu as reconnu l'immense Marc E Smith en photo : respect !

Gman a écrit:La conférence n'a pas été filmée ; juste quelques photos prises pour le site internet de mollat, je suppose... mais bon, le même jour, à la même heure, il y avait Bret Easton Ellis en dédicace dans la grande salle de mollat... donc, Urios, forcément, ne joue pas dans la même cour... !

ps : tu as reconnu l'immense Marc E Smith en photo : respect !

Rhââa, dommage.
Pourvu que Totoff "el Catalan" Urios ne nous ponde pas un "Less than zero" face au MHRC...

ps : c'est un cuistot de Bordeaux -mais ossalois pour de vrai- qui m'a un peu mis le pied à l'étrier concernant ce groupe de ska festif.

"the fall", du ska festif... la blague est bonne mais je ne suis pas sûr que ton pote cuistot aurait osé le dire en face de Smith lors d'un concert par exemple...
Mais bon, on s'éloigne beaucoup du rugby là... On va se faire rappeler à l'ordre par les modérateurs !
Allez un petit logo pour se faire pardonner Et espérons que dimanche, la chute sera pour le MHR !!!

Sur que non, même si Mark E. Smith a quand même tout pompé sur la Compagnie Créole, la référence du rocksteady jamaïcain.
Mais, avec son caractère ombrageux, difficile d'évoquer avec lui à l'époque son statut de parrain de la "New Jack" sans le froisser.

Bon, t'as raison, on va se faire taper sur les doigts par les modos...

(et bienvenue !)

On m'ôtera pas de l'idée que la ressemblance est quand même frappante :





Edit : j'avais oublié de mettre quelques smileys pour l'indulgence des modos.

Gman a écrit:"the fall", du ska festif... la blague est bonne mais je ne suis pas sûr que ton pote cuistot aurait osé le dire en face de Smith lors d'un concert par exemple...
Mais bon, on s'éloigne beaucoup du rugby là... On va se faire rappeler à l'ordre par les modérateurs !
Allez un petit logo pour se faire pardonner Et espérons que dimanche, la chute sera pour le MHR !!!

Vu que ton interlocuteur est modo, pas de soucis... bon en même temps c'est MJS donc on est habitués aux non sequitur....

Gman a écrit:ps : tu as reconnu l'immense Marc E Smith en photo : respect !

me too :)
un bon demi de mêlée (des demis et démêlés)

hope no fall for our UBB!

Emission du 02/11/2019, début d'interview de Christophe Urios à 7 minutes

https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/emissions/jt-1920-aquitaine

https://www.la-croix.com/Sport/Top-14-Urios-UBB-greffe-espoir-2019-11-05-1301058663

https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2019-2020/top-14-urios-c-est-ma-vie-le-rugby_sto7554904/story.shtml

Urios : "C'est ma vie, le rugby"

Par Jean-Yves Saint-Céran

Le manager de l'UBB, Christophe Urios se livre. Avec sa franchise habituelle, ses convictions et un sens de la formule qui n'appartient qu'à lui. Un entretien qui permet de mieux découvrir un homme passionné de rugby. Première partie sur son mode de fonctionnement.

Rugbyrama : Entre intransigeant, méticuleux, bosseur, quel qualificatif vous va le mieux ?

Christophe Urios : Moi je dirais authentique. Je veux dire vrai, honnête. Devant le micro, comme devant mes potes d'enfance et devant ma famille évidemment ou devant de nouvelles connaissances à Bordeaux. Je change pas. Etre vrai, en somme.

Cela veut dire que dans vos méthodes d'entraînement, vous êtes comme cela ?

Je suis tel que je suis. Je ne joue pas un rôle. Je n'ai jamais joué un rôle. Cela m'a coûté cher d'ailleurs, parfois. J'ai été éduqué comme ça. Je dis les choses telles qu'elles sont. Alors parfois, c'est cash, c'est pas facile à entendre. Mais, au moins on sait où on va.

L'échange fait aussi partie de vos valeurs ?

Oui. Tu peux être authentique et être dans l'échange. Heureusement d'ailleurs. J'ai toujours pensé comme ça. Quand j'étais joueur, j'ai toujours eu du mal avec les entraîneurs qui nous imposaient des choses, qui ne nous faisaient pas participer à la vie de l'équipe, du jeu. Je ne suis jamais exprimé pleinement. Donc, je crois que c'est qui est important, c'est de faire participer les mecs. Pour moi, le rugby appartient aux hommes, pas à la technique. La technique, c'est facile. Par contre, les hommes ça l'est moins. Comment veux-tu embarquer les joueurs si tu ne partages pas avec eux, si tu ne les impliques pas, si tu ne les rends pas acteurs de ce que tu veux faire. Ça marche pas. Ou plutôt dans la durée, ça marche pas. Donc, j'ai mis du temps à m'en rendre compte. aujourd'hui, je me sens à l'aise dans mon métier. Oui, je partage. J'ai besoin d'échanger que ce soit avec mon staff ou avec mes joueurs. J'ai besoin d'avoir ce ressenti avec eux.

Quel est la place de l'affect dans votre mode de fonctionnement ?

Il est important. Moi, j'ai besoin d'aimer mes joueurs. Pour moi, le conflit, le rapport de force ne me fait pas peur. Mais je ne le cherche pas. J'aime faire passer ma façon de penser, de voir les choses en concertation avec les joueurs et avec mon staff. Maintenant, s'il y a des décisions à prendre, je les prends. Et ça, ça me plaît. J'aime prendre des décisions quand elles sont difficiles. Je me retrouve la-dedans. Mais il y a toujours une part de concertation importante.

On sait votre passion pour le rugby. Combien de temps vous ne consacrez pas au rugby ?

Pas beaucoup. Dans mes journées de travail, je consacre tout mon temps au rugby. C'est ma vie, le rugby. Mais c'est un projet qui est un projet familial. Chez moi, on parle rugby, tout le temps. Alors, certains vont dire que c'est malheureux. Mais moi, je ne trouve pas ça malheureux. Je suis passionné par ça. J'aime parler de rugby, de l'entraînement. J'aime parler des sports qui peuvent m'amener quelque chose, des gens qui réussissent. C'est ma passion. Alors oui, j'aime travailler. Je me réfugie dans le travail. Je m'y ressource. Je me sens plus compétent parce que je travaille beaucoup. J'ai besoin d'être le plus compétent possible, le meilleur possible pour mes joueurs.

C'est une boulimie ?

Je ne le dirai pas comme cela. Je ne suis pas un surhomme. Pas du tout. Je suis cablé comme cela. Quand j'étais joueur, je m’entraînais à fond. Tout ce que je fais, c'est toujours dans l'excès. Je suis dans l'excès, on peut dire. aujourd'hui, j'adore mon métier. J'adore le rugby. j'adore travailler sur un projet. Là, je suis très heureux à Bordeaux parce que je suis parti sur autre chose et je me réalise pleinement. Et j'aime ça. C'est tout le temps.

" Une préparation de match, c'est méticuleux , précis"

Votre travail est très cadré. Il se murmure que vous avez programmé les entraînements pour les 3 ans à venir...

Oui.

Vraiment ?

Oui. C'est un projet. Donc il faut qu'il soit parfaitement contrôlé. Cela ne veut pas dire qu'il ne s'adapte pas après, évidemment. C'est comme les joueurs. Dans un match, on te dit que les joueurs doivent s'adapter. Bien sûr. Mais c'est d'autant plus facile de s'adapter quand tout est cadré. Quand ce n'est pas organisé et que tu veux t'adapter, cela devient le bordel. Il y a des gens qui sont bien dans le bordel. Moi, je sais pas vivre dans le bordel. Ca me fait flipper. J'ai besoin que ça soit structuré, que quand je démarre une semaine, on sache exactement ce que l'on va faire. Il n'y a pas de place pour l'improvisation.

Cela n'existe pas chez moi. Je fais en sorte de contrôler le maximum de choses. Et après, je suis capable de m'adapter. Mais si je ne maîtrise pas ça, si je ne contrôle pas tout,c'est dans ces moments là que je flippe. Il y a des gars qui ont ce talent pour improviser, inventer des choses, sortir un lapin du chapeau. Ce n'est pas mon fonctionnement. Je ne sais pas le faire. Je ne sais pas si c'est bien ou pas. en tout cas, c'est mon fonctionnement. Et je fais en sorte d'éduquer mes joueurs comme ça. Mes joueurs doivent être pareils. Ils doivent comprendre qu'une préparation de match, ç'est méticuleux, précis. On sait ce que l'on va faire. Et après, tu fais les choses.

" Mon rugby, je veux qu'il soit physique "

Votre rugby demande aussi de l'engagement ?

C'est le rugby d'aujourd'hui qui le demande. Mais comme le rugby d'hier. Le rugby, c'est un sport de contact, de combat, de domination physique. Si tu ne t'engages pas, tu n'as aucune chance de gagner les matchs. Forcément, mon rugby est un rugby d'engagement. D'abord d'engagement là (il montre sa tête). S'engager pour l'équipe, pour le groupe. Être capable de se remettre en cause, de proposer des choses. Je vais prendre un exemple très concret. La première mi-temps d'Edimbourg, elle m'a gonflé, elle ne me plaît pas. Parce que je nous ai trouvé fade, sans ressource. On n'était pas en danger mais on imposait rien. Je déteste ça. Tu peux perdre ou faire de mauvais matchs, te tromper mais tu n'as pas le droit de ne pas imposer ce que tu veux faire. Et ça, cela demande de l'engagement. Que ce soit dans la préparation ou dans la réalisation d'un match. Il y a donc l'engagement physique, la domination physique.

Moi, mon rugby, je veux qu'il soit physique. Parce que c'est une façon de dominer l'adversaire. Quand tu domines physiquement, souvent tu domines l'adversaire aussi mentalement. Et ensuite, il y a toute l'organisation qui va derrière avec un jeu collectif qui est important. Je crois que c'est que l'on est en train de mettre en place à Bordeaux; enfin, je ne crois pas, c'est sûr. Le rugby est le seul sport avec cette forte connotation collective. C'est un sport qui demande tant d'engagement, de don de soi. C'est dur le rugby. Moi, je fais partie de ceux qui pensent que le rugby est un sport de grande valeur. Cela me fait toujours du mal quand j'entends "ouais, les valeurs du rugby elles s'estompent". Ce n'est pas vrai.

Le rugby est un sport d'engagement très dur. Il faut être courageux pour jouer au rugby aujourd'hui. Il faut être capable de donner et de se sacrifier pour le groupe. Quand, je vois les matchs, l'intensité, le niveau d'entraînement des mecs. Il suffit de passer une semaine avec les mecs pour voir le niveau d'engagement physique. C'est incroyable. Si tu n'es pas connecté avec des valeurs fortes, cela ne dure pas.

Le rugby, sport de contact mais sport d'affect aussi ?

Exactement. Si mes joueurs ne s'apprécient pas, comment tu veux avoir des résultats ? Tu peux sur une Coupe du monde, sur des choses très courtes, ne pas t'apprécier. Tu sais que tu es là pour 3 semaines, un mois. Mais sur une saison que l'on a démarré le 1er juillet et qui se finit pour le match le plus tardif, le 29 juin, comment tu veux faire une bonne saison si tu ne t'apprécies pas ? C'est impossible. Les joueurs ont besoin de s'apprécier. Je suis content quand les joueurs font des choses à coté du projet. Après, il ne faut pas faire n'importe quoi. Moi, j'ai besoin aussi d'apprécier mes joueurs. Je les respecte énormément. J'ai une relation affective avec eux. Mais attention, je ne rigole pas.Je ne suis pas là pour m'amuser. Je suis là pour gagner les matchs. Et je suis content d'être avec mes joueurs. Cela fait très longtemps que cela ne m'était pas arrivé.

J'étais très content de les revoir après les vacances, il y a un mois. J'étais excité de les retrouver. Donc, cela veut dire que cela va très bien. Mais, je ne tolère pas le moindre écart. A partir du moment où tu remets en cause le collectif, parce que ton comportement n'est pas bon, cela va être dur pour toi.

A suivre...

ah mince j'avais pas vu
désolé scalp

marchal a écrit:ah mince j'avais pas vu
désolé scalp

Oh mais alors là, zéro problème Marchal

Scalp a écrit:

Votre travail est très cadré. Il se murmure que vous avez programmé les entraînements pour les 3 ans à venir...

Oui.

Vraiment ?

Oui. C'est un projet. Donc il faut qu'il soit parfaitement contrôlé.

Là j'avoue, je reste sans voix.... Sur le cul... C'est une machine ce mec!

Ouep Krankran
J'avais compris que la planification portait (seulement ) sur la saison en cours jusqu'à la finale; mais pas sur 3 ans !
Ce type est assez incroyable !  

krahknardz a écrit:

Scalp a écrit:

Votre travail est très cadré. Il se murmure que vous avez programmé les entraînements pour les 3 ans à venir...

Oui.

Vraiment ?

Oui. C'est un projet. Donc il faut qu'il soit parfaitement contrôlé.

Là j'avoue, je reste sans voix.... Sur le cul... C'est une machine ce mec!

C'est un manager , il anticipe, il arrive pas en fin de saison en disant , allez bonnes vacances. Ce qui est plus étonnant c'est que çà n'est pas été fait avant

densnewzealand a écrit:

krahknardz a écrit:

Scalp a écrit:

Votre travail est très cadré. Il se murmure que vous avez programmé les entraînements pour les 3 ans à venir...

Oui.

Vraiment ?

Oui. C'est un projet. Donc il faut qu'il soit parfaitement contrôlé.

Là j'avoue, je reste sans voix.... Sur le cul... C'est une machine ce mec!

C'est un manager , il anticipe, il arrive pas en fin de saison en disant , allez bonnes vacances. Ce qui est plus étonnant c'est que çà n'est pas été fait avant

Ouais, les managers en général ils sont bons pour faire des powerpoints et enfumer. Si les boîtes françaises étaient si bien gérées que ça on le saurait. Et ça m'étonnerait qu'on en trouve maintenant qui aient une vision claire sur 3 ans.... Alors l'entendre dire qu'il a les entraînements planifiés sur 2 ans, ça montre une anticipation à un niveau de détail juste inconcevable.

krahknardz a écrit:

densnewzealand a écrit:

krahknardz a écrit:

Scalp a écrit:

Votre travail est très cadré. Il se murmure que vous avez programmé les entraînements pour les 3 ans à venir...

Oui.

Vraiment ?

Oui. C'est un projet. Donc il faut qu'il soit parfaitement contrôlé.

Là j'avoue, je reste sans voix.... Sur le cul... C'est une machine ce mec!

C'est un manager , il anticipe, il arrive pas en fin de saison en disant , allez bonnes vacances. Ce qui est plus étonnant c'est que çà n'est pas été fait avant

Ouais, les managers en général ils sont bons pour faire  des powerpoints et enfumer. Si les boîtes  françaises étaient  si bien gérées  que ça  on le saurait. Et ça m'étonnerait qu'on  en trouve maintenant qui aient une vision claire sur 3 ans.... Alors l'entendre dire qu'il a les entraînements planifiés  sur 2 ans, ça montre une anticipation à  un niveau de détail  juste inconcevable.

Un manager pose un diagnostic mets en place une organisation, un staff, délegue, donne des objectifs, qu'il ait posé les bases de ses entrainements sur deux trois ans ne m'étonne pas venant de lui, il adore çà. le plus important dans mon commentaire venait du fait qu'en dehors de Marti, le boss, il n'y ait pas eu un vrai manager avant.

Urios est vraiment de loin le meilleur choix possible pour notre club.On a vraiment de la chance d'avoir un mec comme ça à la tête de notre équipe. Voir tout ce qu'il a apporté ( surtout sur le plan mental) à ce groupe en si peu de temps est assez impressionnant ça donne vraiment envie de voir la suite, surtout quand il faudra resserrer un peu les rangs si on a un petit coup de moins bien dans la saison.

Auré33 a écrit:Urios est vraiment de loin le meilleur choix possible pour notre club.On a vraiment de la chance d'avoir un mec comme ça à la tête de notre équipe. Voir tout ce qu'il a apporté ( surtout sur le plan mental) à ce groupe en si peu de temps est assez impressionnant ça donne vraiment envie de voir la suite, surtout quand il faudra resserrer un peu les rangs si on a un petit coup de moins bien dans la saison.

si on voit le verre à moitié vide et a la lecture des différents interview de CU, on peut se dire "que de temps perdu avec des coaches sans expérience"...

bref, ce qui est fait est fait, tournons nous vers l'avenir.

grospaquet31 a écrit:

Auré33 a écrit:Urios est vraiment de loin le meilleur choix possible pour notre club.On a vraiment de la chance d'avoir un mec comme ça à la tête de notre équipe. Voir tout ce qu'il a apporté ( surtout sur le plan mental) à ce groupe en si peu de temps est assez impressionnant ça donne vraiment envie de voir la suite, surtout quand il faudra resserrer un peu les rangs si on a un petit coup de moins bien dans la saison.  

si on voit le verre à moitié vide et a la lecture des différents interview de CU, on peut se dire "que de temps perdu avec des coaches sans expérience"...

bref, ce qui est fait est fait, tournons nous vers l'avenir.

Je suis bien d'accord avec toi sur ce point, mais après avoir manger autant de pain noir sur ces dernière saisons, si on arrive enfin à toucher le graal tant attendu, ça ne sera que plus savoureux pour les inconditionnels supporters de l'Union

Atteindre les barrages cette saison sera fantastique. Et mieux ne serait que tu bonus. J'entends pas mal de gens annoncer l'UBB dans les 6 et même dans les 4. Je ne serai pas assez optimiste pour les 4, mais pour les 6, j'y crois vraiment.

Switch a écrit:Atteindre les barrages cette saison sera fantastique. Et mieux ne serait que tu bonus. J'entends pas mal de gens annoncer l'UBB dans les 6 et même dans les 4. Je ne serai pas assez optimiste pour les 4, mais pour les 6, j'y crois vraiment.

Avec éventuellement en prime de sortir des poules d'une compétition européenne